Figure 1 Carte de répartition de la pluviométrie au Bénin (Thèse de Lambrecht, 2007)
|
|
- Jean-Sébastien Lefebvre
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PLUVIOMETRIE DANS LE MONO-COUFFO 01/avril10 Hervé Ce rapport a été effectué dans le cadre du stage d Armel DONKPEGAN, qui portait de manière général sur les Aménagements Hydro-Agricoles et l Environnement dans le MONO-COUFFO. Force était de constater que peu de données précises était disponible dans cette région. Il a donc été décidé d acquérir des données brutes de pluviométrie à l ASECNA pour différentes stations météorologiques. Les données de pluviométrie en mm sont disponibles de manière informatisée ; en revanche, l ASECNA n a pas informatisé les durées des pluies. En plus de la connaissance sur la pluviométrie générale sur la zone d étude, ce document doit étudier la pertinence, pour PROTOS, de continuer à saisir les données des durées des pluies. I. GENERALITES Le climat N P (mm) 300 KANDI 250 Niger Malanville P (mm) J F M A M J J A S O N D NATITINGOU J F M A M J J A S O N D Tanguietà Natitingou Mousson Kouandé Djougou Bassila Lokossa mm / an Savalou Abomey Cové Ouidah Mousson Banikoara Ndali Parakou Savè Kétou Cotonou Océan Atlantique Pobé Kandi Porto Novo Nikki P (mm) P (mm) P (mm) 250 Harmattan Harmattan COTONOU J F M A M J J A S O N D km Kilometers 50 0 PARAKOU J F M A M J J A S O N D SAVE J F M A M J J A S O N D Gradient principal pluviométrique Nord- Sud Lokossa Abomey C Gradient secondaire pluviométrique Ouest- Est Gradient secondaire pluviométrique Est- Ouest Oui Figure 1 Carte de répartition de la pluviométrie au Bénin (Thèse de Lambrecht, 2007) La Carte ci-dessus extraite de la Thèse de LAMBRECHT R., 2007 montre que le Mono-Couffo connaît une certaine variation pluviométrique spatiale : Un gradient principal croissant du Sud vers le Nord se dégage : le littoral reçoit moins de pluie que le Nord de la zone Un double gradient latéral secondaire : Dans le Mono, la pluviométrie s accroît d Ouest en Est Dans le Couffo, la pluviométrie décroît d Ouest en Est (gradient moins marqué) Cette variation régionale est à mettre en relation avec le «Dahomey Gap». Page 1 sur 11
2 De manière générale, la pluviométrie de la zone du Mono-Couffo est de type subéquatorial caractérisé par deux (02) saisons pluvieuses et deux (02) saisons sèches qui s alternent. On distingue : - Une grande saison des pluies qui s étend de Mars à Juillet ; - Une petite saison sèche de Juillet à Août ; - Une petite saison des pluies de Septembre à Octobre ; - Une grande saison sèche de Novembre à Février. Il est intéressant d étudier de manière plus approfondie la pluviométrie dans le Mono-Couffo. Pour ce faire, il a été recherché des données pluviométriques de 6 stations météorologiques du Mono- Couffo auprès de l ASECNA. 0000D060 = Lonkly 0000D071 = Bopa 0000D063 = Aplahoué 0000D077 = Grand-Popo 0000D065 = Dogbo 0000D079 = Lokossa Dans le cadre de ce rapport, les données de LONKLY ( ), DOGBO ( ) et GRAND POPO ( ) ont été plus précisément analysées en lien avec le gradient Nord-Sud déjà mentionné. Remarque : les données de LOKOSSA ont également été analysées. Toutefois, elles portent sur une plus courte période ( ) ; c est pourquoi leur analyse a été séparée pour une simple comparaison des trois stations prises ici comme référence (GRAND POPO, DOGBO et LONKLY). II. Pluviométrie totale annuelle et mensuelle Ce premier graphe illustre la pluviométrie annuelle moyenne entre les 3 stations. Il confirme bien les données déjà présentées. Figure 2 Graphes de la pluviométrie annuelle et mensuelle pour les 3 stations étudiées L analyse de la pluviométrie mensuelle met en exergue la double périodicité des pluies dans la zone. Toutefois, il est intéressant de remarquer qu une variation spatiale s observe entre les 3 stations. Page 2 sur 11
3 Pluviométrie moyenne (mm) nb mois GRAND POPO DOGBO LONKLY Grande Saison des Pluies 5 663,1 620,9 695,0 Petite Saison Sèche 1 26,7 66,0 117,6 Petite Saison des Pluies 2 160,9 247,3 272,0 Grande Saison Sèche 4 80,8 94,5 100,1 TOTAL ,5 1028,7 1184,7 Figure 3 Répartition de la pluviométrie moyenne entre les différentes saisons pour les 3 stations étudiées La plus faible pluviométrie repérée sur le littoral repose sur : Une sévère petite saison sèche : le mois d août reçoit statistiquement moins de 30mm alors qu à DOGBO ou LONKLY, la petite saison sèche est moins rigoureuse (>50mm/mois) ; Une petite saison des pluies également peu marquée : un déficit de plus de 30% se fait ressentir à GRAND POPO par rapport aux deux autres stations. Par contre, la Grande Saison des Pluies génère une pluviométrie satisfaisante sur le Littoral : elle est même plus importante à GRAND POPO qu à DOGBO (mais pas qu à LONKLY). On constate même que le mois de Juin est très fortement arrosé : la pluviométrie de ce mois dépasse statistiquement 250mm/mois, alors qu elle est d environ 170mm/mois. Pour conclure, le gradient Nord-Sud de pluviométrie repose sur une forte variation de la pluviométrie sur le littoral et une certaine homogénéité de la pluviométrie annuelle dans le Nord de la Région. Pour expliquer ces différences, il est nécessaire de savoir si ces variations sont liées au nombre de jours de pluies, ou à une variation de l intensité des pluies. III. Nombre de pluies annuel et mensuel De manière globale, le nombre de pluie croît de GRAND POPO à LONKLY, respectant ainsi le gradient déjà observé. Le tableau ci-après et le graphe illustrant le Nombre de jours de pluie moyen mensuel montrent que les trois stations varient suivant une certaine similitude conforme au gradient déjà mentionné : Pendant la Grande Saison des Pluies, les nombres de jours de pluie sont relativement similaires en légère défaveur pour la station côtière ; La Petite Saison Sèche (Août) voit un nombre très faible de nombre de jours de pluies à GRAND POPO (<3j/mois) alors qu il dépasse 8 j/mois à LONKLY ; Un même déficit s observe pendant la Petite Saison des Pluies vers le Littoral ; La Grande Saison Sèche n est jamais très arrosée (entre 5 et 8 jours pour les 4 mois) avec un léger déficit pour GRAND POPO. Page 3 sur 11
4 Figure 4 - Graphes du nombre de jour de pluie annuel et mensuel pour les 3 stations étudiées Nombre moyen de jours de pluie nb mois GRAND POPO DOGBO LONKLY Grande Saison des Pluies 5 33,0 40,7 44,5 Petite Saison Sèche 1 2,5 6,0 8,0 Petite Saison des Pluies 2 11,1 18,2 20,3 Grande Saison Sèche 4 5,5 8,1 8,2 TOTAL 12 52,0 73,1 80,9 Figure 5 Répartition du nombre moyen de pluies entre les différentes saisons pour les 3 stations étudiées L analyse du nombre de jours des pluies montre que : la Grande Saison des Pluies est globalement arrosée à la même fréquence sur l ensemble de la Région ; les Petites Saisons Sèches et des Pluies reçoivent moins fréquemment des pluies vers le Sud de la Région. IV. Intensité des Pluies Un autre paramètre est intéressant d être étudié : l Intensité des Pluies. Elle a été calculée comme le ratio de la Pluviométrie totale mensuelle par le Nombre de Jours de Pluies. Ce paramètre n évolue pas suivant le gradient Nord-Sud déjà mentionné. La Station de GRAND POPO enregistre statistiquement une intensité moyenne des pluies plus importante : la pluie journalière y est en moyenne de 16 mm. Pour les deux autre stations, la pluie journalière moyenne est d environ 14mm. Page 4 sur 11
5 Figure 6 Graphes de l intensité moyenne annuelle et mensuelle d une pluie journalière pour les 3 stations étudiées La plus forte intensité des pluies à GRAND POPO est surtout observée pendant la Grande Saison des Pluies le mois de Juin connaît les pluies les plus intenses avec en moyenne 23,1 mm/j. Moyenne de l intensité des pluies (mm/j) nb mois GRAND POPO DOGBO LONKLY Grande Saison des Pluies 5 19,6 15,2 16,5 Petite Saison Sèche 1 9,8 11,4 15,2 Petite Saison des Pluies 2 14,1 13,9 13,9 Grande Saison Sèche 4 14,3 11,1 12,6 TOTAL 12 16,1 13,3 14,6 Figure 7 Répartition de l intensité moyenne des pluies entre les différentes saisons pour les 3 stations étudiées V. Pluies exceptionnelles Le développement précédent repose sur l analyse moyenne des données. Il est également intéressant d étudier les valeurs maximales de la pluviométrie. Il permet en particulier de déterminer la quantité de pluie par jour statistiquement observée tous les 10 ans (pluie décennale), tous les 5 ans (pluie quinquennale), Cette partie repose sur l analyse statistique des données pluviométriques (mm) et durées du phénomène pluvieux (min) sur la décennie 2000 ( ). Il est à noter que les données sur les durées ne sont pas indiquées pour les pluies nocturnes. GRAND POPO mm/j mm/h en 1h mm/h en 2h mm/h en 3h mm/h en 6h mm/h en 24h Pluie Décennale 154,6 46,6 36,0 25,7 20,6 6,4 Pluie 5 ans 152,9 45,9 31,7 25,3 9,6 6,4 Pluie 3 ans 139,5 37,5 26,7 20,6 8,2 5,8 Pluie 2 ans 105,1 33,2 25,3 18,6 7,5 4,4 Pluie 1 an 84,5 29,4 19,5 16,5 5,5 3,5 Pluie Semestrielle 64,8 21,1 15,7 12,0 3,8 2,7 Pluie Trimestrielle 57,1 18,3 13,8 9,6 2,4 Pluie Mensuelle 25,9 8,5 5,1 0,8 1,1 Page 5 sur 11
6 DOGBO mm/h en mm/j mm/h en 1h mm/h en 2h mm/h en 3h mm/h en 6h 24h Pluie Décennale 125,3 70,1 64,3 15,8 7,3 5,2 Pluie 5 ans 81,1 64,3 35,9 15,1 7,3 3,4 Pluie 3 ans 77,2 53,2 26,9 14,9 6,0 3,2 Pluie 2 ans 71,8 29,9 19,5 14,1 5,4 3,0 Pluie 1 an 60,0 27,0 14,4 10,3 2,9 2,5 Pluie Semestrielle 51,9 23,6 10,8 7,8 2,2 Pluie Trimestrielle 46,1 19,5 8,7 6,0 1,9 Pluie Mensuelle 26,7 6,5 1,2 1,1 Figure 8 Intensité des pluies en fonction de différents temps de retour A l échelle d une durée journalière, GRAND POPO connaît des pluies plus intenses qu à DOGBO ce qu y avait déjà été repéré précédemment. Toutefois, une analyse plus fine montre qu en fonction de la durée de la pluie, ce constat a tendance à s inverser : pour les durées très courtes (1h à 2h), les pluies exceptionnelles sont plus intenses à DOGBO qu à GRAND POPO. Figure 9 Graphes illustrant le caractère intense de la pluviomètre entre DOGBO et GRAND POPO (1) Page 6 sur 11
7 Le caractère exceptionnel des pluies de GRAND POPO n est pas très accentué contrairement à ce qui est observé à DOGBO. Par exemple, la pluie décennale de DOGBO est en effet d environ 70mm/h en 1h et passe à environ 15mm/h en 3h (soit une variation d un facteur supérieur à 4). Les chiffres ont respectivement pour GRAND POPO : environ 45mm/h en 1h et 20mm/h en 3h (soit une variation d un facteur 2 environ). Figure 10 Graphes illustrant le caractère intense de la pluviomètre entre DOGBO et GRAND POPO (2) VI. Cas de LOKOSSA Les données pluviométriques couvrent que la période soit 20 ans, contre plus de 50 ans pour les stations prises ici comme référence. C est pourquoi le développement n a pas intégré spécifiquement les données de LOKOSSA dans la réflexion. Ce paragraphe tend à comparer les paramètres mis en exergue précédemment entre LOKOSSA et les trois stations de référence. LOKOSSA Pluviométrie moyenne annuelle (mm/an) 1027,7 Nombre de jour de pluie moyen annuel 80,1 Intensité moyenne annuelle d une pluie (mm/j) 12,8 La pluviométrie à LOKOSSA est assez similaire à celle de DOGBO. On constatera simplement qu il y pleut statistiquement 7 jours de plus, mais que les pluies y sont moins intenses (12,8 mm/j au lieu de 13,3 mm/j à DOGBO). Page 7 sur 11
8 Figure 11 Comparatif des paramètres pluviométriques entre LOKOSSA et les 3 stations de référence Page 8 sur 11
9 RESUME Le contexte climatique En ce qui concerne la riziculture, le paramètre climatologique principal est la pluviométrie. Il s agit des données de base : pluviométrie, nombre de jours de pluie et intensité moyenne journalière de la pluie (annuelle, mensuelle et journalière). Les grandes saisons climatiques ont été définies sur la base que la saison sèche doit recevoir moins de 10% de la pluviométrie annuelle. Peu de données précises et synthétiques sont disponibles sur les deux zones d intervention. Il a donc été nécessaire d analyser les données brutes issues de l ASECNA. Le Lecture trouvera à l Annexe 2 une analyse approfondie du contexte pluviométrique dans les deux zones d intervention. Ci-après ne sont repris que les conclusions tirées de cette analyse pluviométrique vis-à-vis de la faisabilité de la riziculture et du maraîchage de contre-saison. 1. La pluviométrie et la riziculture La riziculture est adaptée à une pluviométrie annuelle comprise entre 1000 et 1800mm (pendant la saison de culture), soit 160 à 300mm/mois (Memento de l Agronome). Les conditions pluviométriques sont peu favorables dans le MONO-COUFFO : Le COUFFO connaît une pluviométrie atteignant 1000mm pendant la période de mars à octobre. Cependant, seul le mois de juin connaît une pluie supérieure à 160mm/mois. La situation du MONO est plus critique : la pluviométrie cumulée tombée entre mars et octobre n atteint pas 900mm (pour 8 mois) ; la pluviométrie mensuelle ne dépasse jamais 150mm/mois excepté pour les mois de mai et juin à GRAND POPO. En intégrant la fréquence pluviométrique, les tendances déjà évoquées sont légèrement nuancées : Les conditions pluviométriques dans le COUFFO et le Nord-MONO (zone de LOKOSSA) restent assez favorables à la riziculture malgré une poche de sécheresse potentielle en août Les conditions pluviométriques dans le Sud-MONO (zones de GRAND-POPO et BOPA) sont assez défavorables à la riziculture avec une Grande Saison des Pluies parfois pas assez suffisante en volume et/ou en fréquence, et surtout une Petite Saison Sèche trop sévère Page 9 sur 11
10 Les résultats sur les bilans hydriques dans le MONO-COUFFO induisent même des conclusions encore plus restrictives. Les bilans hydriques sont en effet négatifs tout le long de l année voire légèrement positifs dans le COUFFO en juin et en septembre-octobre. C est pourquoi il est nécessaire d étudier plus spécifiquement l Hydrologie qui influence de manière importante la présence d eau dans les bas-fonds, en particulier dans le MONO- COUFFO. Changement climatique? L annexe 3 étudie de manière approfondie les présomptions de changement climatique au niveau des deux zones d intervention. En effet, des sources bibliographiques sur Internet tendent à montrer qu en effet un effet se fait ressentir au niveau national. Qu en est-il au niveau des deux régions étudiées. L analyse des données brutes de l ASECNA ne permettent pas d identifier de réels changements pluviométriques dans les deux zones d intervention. Page 10 sur 11
11 Contraintes à la Riziculture dans le Mono-Couffo Une double contrainte est à lever pour les aménagements rizicoles : Une pluviométrie répartie en deux saisons des pluies avec une petite saison sèche relativement longue (surtout dans le Mono), pouvant entraîner la nécessité de la mise en place d ouvrages de rétention Une inondation des sites liée aux remontées des fleuves Mono et Couffo, qui perturbe les écoulements habituels et génèrent de longues inondations dans les basfonds. Des digues de protection de crues seraient une solution Une population peu habituée à la riziculture A la vue des contraintes relativement élevées, les aménagements devraient être composés de (micro)-barrages ou de digues de protection. Il s agit d ouvrages dépassant l enveloppe financière du programme AHA de PROTOS. De plus, l expérience de la Phase Pilote a montré que les aménagements «lourds» étaient encore peu maîtrisables par les Bureaux d Etudes et les producteurs. Page 11 sur 11
Mai 2014. All rights reserved
AUDIT DE LA QUALITÉ DE SERVICE DES RÉSEAUX SYNTHESE DU RAPPORT GENERAL Mai 2014 All rights reserved 1 Contexte de la Mission d Audit Licence 2G 2 Lieux Concernés L Enquête technique a été effectuée du
Plus en détailRenforcement des Organisations des Producteurs par l Aménagement Hydro Agricole (ROPAHA) dans le Mono/Couffo RAPPORT FINAL
UNION REGIONALE DES PRODUCTEURS DU MONO ET DU COUFFO Renforcement des Organisations des Producteurs par l Aménagement Hydro Agricole (ROPAHA) dans le Mono/Couffo RAPPORT FINAL Co-financement : Commission
Plus en détailLA CONSTITUTION DES ÉQUIPES DE TRAVAIL
3 Démarche méthodologique La réalisation de la présente étude a connu les étapes suivantes: LA CONSTITUTION DES ÉQUIPES DE TRAVAIL L équipe de consultants ayant réalisé l étude est pluridisciplinaire :
Plus en détailBILAN D EXECUTION DU PLAN PREVISIONNEL DE DEVELOPPEMENT DE L ENTREPRISE (PPDE) Exercice 2009
MINISTERE DE L ENERGIE ET DE L EAU SOCIETE NATIONALE DES EAUX DU BENIN DIRECTION GENERALE DIRECTION DES ETUDES ET DE LA PLANIFICATION BILAN D EXECUTION DU PLAN PREVISIONNEL DE DEVELOPPEMENT DE L ENTREPRISE
Plus en détailREPUBLIQUE DU BÉNIN ETUDE DE FAISABILITE DES FORAGES MANUELS
REPUBLIQUE DU BÉNIN ETUDE DE FAISABILITE DES FORAGES MANUELS IDENTIFICATION DES ZONES POTENTIELLEMENT FAVORABLES Page 2 de 34 Table des matières AVANT - PROPOS... 4 I- DOCUMENTS DE BASE DU PROJET... 4
Plus en détailBILAN D EXECUTION AU 30 NOVEMBRE DU PTA 2013 DE LA DDS MONO/COUFFO
BILAN D EXECUTION AU 30 NOVEMBRE DU PTA 2013 DE LA DDS MONO/COUFFO Plan de présentation Introduction Présentation du PTA 2013 de la DDS Mono/Couffo Bilan physique d activités Bilan financier d activités
Plus en détail1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.
1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin
Plus en détailUNEP /UNESCO /UNCH / ECA
UNEP /UNESCO /UNCH / ECA URBAN POLLUTION OF SURFICIAL AND GROUNDWATER AQUIFERS VULNERABILITY IN AFRICA Bénin, Guinée, Niger, Mali, Côte d Ivoire, Sénégal, Burkina Faso AQUIFERE SUPERFICIEL ET POLLUTION
Plus en détailBILAN HYDRIQUE ET BESOIN D IRRIGATION DE LA CEREALICULTURE EN REGION SEMI-ARIDE.
Résumé Des travaux de recherches combinant les précipitations annuelles et les températures, classent la zone d étude dans le climat méditerranéen de l étage semi-aride (Seltzer, 1949; Emberger, 1955).
Plus en détailTrès légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février
25-2-24 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - février 25 Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février Le baromètre
Plus en détailLA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX
SMART WATER NETWORKS LA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX Les défis posés au gestionnaire du système d assainissement La sécurité des biens et des personnes Anticiper et limiter les risques de débordements
Plus en détailOù sont les Hommes sur la Terre
Où sont les Hommes sur la Terre Introduction : Notre planète est constituée de régions peuplées et d autres qui sont presque vides, ainsi 90% de la population vit dans l hémisphère nord. Dans certains
Plus en détailPROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE
Département Calvados Institution Interdépartementale du Bassin de l Orne PROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE RT DSD 10015EZ phase1-017
Plus en détailALERTE ET GESTION DES CRUES ÉCLAIRS SUR LES PETITS BASSINS VERSANTS URBAINS
ALERTE ET GESTION DES CRUES ÉCLAIRS SUR LES PETITS BASSINS VERSANTS URBAINS Utilisation du radar HYDRIX et de la plateforme RAINPOL sur la commune d ANTIBES JUAN-LES-PINS European Local Authorities Rencontres
Plus en détailCURRICULUM VITAE. Assez bien. Langues Lu Parlé Ecrit Français 1 1 1 Anglais 3 4 4
CURRICULUM VITAE 1. Nom de famille: FANAHEN 2. Prénom: Frédéric 3. Date et lieu de naissance: 27 avril 1968 à Cotonou - BENIN 4. Résidence : Cotonou 5. Formation : Etablissement : Date : de Diplôme(s)
Plus en détailREPUBLIQUE DU BENIN Ministère de l Economie et des Finances Direction Générale des Affaires Economiques
REPUBLIQUE DU BENIN Ministère de l Economie et des Finances Direction Générale des Affaires Economiques ETUDE SUR L INDUSTRIE AGRO-ALIMENTAIRE, FACTEUR D AUTO-SUFFISANCE ALIMENTAIRE ET DE CROISSANCE POUR
Plus en détailVITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE
VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ---------- DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA SANTE DU MONO-COUFFO ---------- SERVICE DES ETUDES DE LA PLANIFICATION ET DU SUIVI
m MINISTERE DE LA SANTE ---------- DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA SANTE DU MONO-COUFFO ---------- SERVICE DES ETUDES DE LA PLANIFICATION ET DU SUIVI RAPPORT AUTO EVALUATION 2010 Février 2011 Rapport d'auto
Plus en détailPROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale
Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE
Plus en détail4. Résultats et discussion
17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les
Plus en détailÉvolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailBilan décennal des catastrophes naturelles en France
Bilan décennal des catastrophes naturelles en France SOMMAIRE BILAN DÉCENNAL EN TERMES DE NOMBRE ET DE TYPE DE CATASTROPHES NATURELLES BILAN EN TERME DE VICTIMES.. 2 5 BILAN DÉCENNAL EN TERMES ÉCONOMIQUES
Plus en détailpoint sur l assurance française
le point sur l assurance française conférence de presse de la FFSA maison de l assurance / jeudi 29 janvier le point sur l assurance française ce qu il faut pour 2 Loi ALUR Publication Omnibus 2 L année
Plus en détailRapport de mission au Bénin. Formation à l exploitation de données avec QGIS 2.2.0 Valmiera
Rapport de mission au Bénin (Cotonou 21-28 novembre 2014) Formation à l exploitation de données avec QGIS 2.2.0 Valmiera Application à l écologie et à la gestion des bio-agresseurs Campus IITA/AfricaRice
Plus en détailVERS UNE GESTION OPTIMALE DES RESSOURCES EN EAU. EXEMPLE DE LA TUNISIE.
VERS UNE GESTION OPTIMALE DES RESSOURCES EN EAU. EXEMPLE DE LA TUNISIE. Habaieb H*., Albergel J.** * Institut National Agronomique de Tunisie ** Mission IRD de Tunis RESUME La Tunisie reçoit en moyenne
Plus en détailASSUSOFT: CONTRÔLE BORDEREAU DES PRIMES ASSUSOFT S.A. INFO@ASSUSOFT.BE TÉL: 03/289.83.85 WWW.ASSUSOFT.BE
ASSUSOFT: CONTRÔLE BORDEREAU DES PRIMES ASSUSOFT S.A. TÉL: 03/289.83.85 But 1 CONTENTS 1. But... 2 2. Description... 3 3. Rapports... 4 4. Paramètres à analyser pour effectuer efficacement une offre...
Plus en détailSuites numériques 4. 1 Autres recettes pour calculer les limites
Suites numériques 4 1 Autres recettes pour calculer les limites La propriété suivante permet de calculer certaines limites comme on verra dans les exemples qui suivent. Propriété 1. Si u n l et fx) est
Plus en détailReal-time Monitoring and forecast of IntraSeasonal Variability over Africa (MISVA)
Real-time Monitoring and forecast of IntraSeasonal Variability over Africa (MISVA) R. Roehrig 1,*, F. Couvreux 1, E. Poan 1, P. Peyrillé 1, J.-P. Lafore 1, O. Ndiaye 2, A. Diongue-Niang 2, F. Favot 1,
Plus en détailLa gestion opérationnelle de la météosensibilité. La prévision météorologique et hydrologique au cœur de l Économie et de la Société
La gestion opérationnelle de la météosensibilité La prévision météorologique et hydrologique au cœur de l Économie et de la Société La société METNEXT METNEXT en bref Notre métier : L assistance aux entreprises
Plus en détailDésherbage maïs. Synthèse 2014. Présentation des essais. Le protocole
Désherbage maïs Synthèse 2014 Cette synthèse regroupe les résultats de 9 essais du réseau de désherbage maïs Poitou-Charentes Vendée. L animation du réseau et la synthèse des données brutes sont assurés
Plus en détailConseil économique et social. Document établi par le Bureau central de statistique d Israël
Nations Unies Conseil économique et social ECE/CES/GE.2/214/3 Distr. générale 12 février 214 Français Original: russe Commission économique pour l Europe Conférence des statisticiens européens Groupe d
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailFAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détailFormat de l avis d efficience
AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation
Plus en détailEVALUATION DES STRATÉGIES PAYSANNES D ADAPTATION AUX CHANGEMENTS CLIMATIQUES : CAS DE LA PRODUCTION DU MAÏS AU NORD-BÉNIN RÉSUMÉ
African Crop Science Journal, Vol. 20, Issue Supplement s2, pp. 425-441 ISSN 1021-9730/2012 $4.00 Printed in Uganda. All rights reserved 2012, African Crop Science Society EVALUATION DES STRATÉGIES PAYSANNES
Plus en détailRapport d activité. Village électoral dans le cadre des élections législatives du 30 avril 2011
Front des organisations de la société civile pour des élections libres, transparentes et pacifiques. Rapport d activité Village électoral dans le cadre des élections législatives du 30 avril 2011 COTONOU,
Plus en détailM. F. PITA Departamento de Geografía Física. Universidad de Sevilla. C/ María de Padilla s.n. 41.002-SEVILLA (Espagne). mfpita@cica.
Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application au bassin du Guadalquivir (sudo-uest de l Espagne). En: Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application
Plus en détailLa confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai
25-5-27 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - mai 25 La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai Le baromètre de
Plus en détailSommaire 3.4. CRUE SUR UN PETIT BASSIN VERSANT... 19 3.6. INTUMESCENCE - DYSFONCTIONNEMENT D OUVRAGES HYDRAULIQUES...22
Préambule La collection des guides de l ASN regroupe les documents à destination des professionnels intéressés par la réglementation en matière de sûreté nucléaire et de radioprotection (exploitants, utilisateurs
Plus en détailCAC, DAX ou DJ : lequel choisir?
CAC, DAX ou DJ : lequel choisir? 1. Pourquoi cette question Tout trader «travaillant 1» sur les indices s est, à un moment ou un autre, posé cette question : «je sais que la tendance est bien haussière
Plus en détailAvec près des deux tiers des
Les Dossiers de l Observatoire Régional du Tourisme n 42 - mars 2012 Le poids économique de l hôtellerie de plein air en Pays de la Loire Plus de 600 campings Un chiffre d affaires annuel de 230 millions
Plus en détail" Gestion des données issues du réseau de mesures limnimétriques des cours d eau non navigables "
" Gestion des données issues du réseau de mesures par ir Sébastien Gailliez Plan de l exposé 1. Introduction 2. Réseau de mesures 3. Base de données AQUALIM 4. Gestion du réseau de mesures 5. Logiciels
Plus en détailInnovations Majeures de la Version 4
Innovations Majeures de la Version 4 Un nouvel environnement SIG avec de puissants outils graphiques. De nouveaux moteurs hydrologiques et hydrauliques plus sûrs et plus performants. De nouveaux modes
Plus en détailLes agences de publicité et de communication et agences média leaders en Suisse font preuve d optimisme dans un avenir exigeant.
Communiqué de presse 9 octobre 2012 bsw leading swiss agencies Les agences de publicité et de communication et agences média leaders en Suisse font preuve d optimisme dans un avenir exigeant. Les agences
Plus en détailANNEXE 1-A UNOPS BUREAU DES SERVICES D APPUI AUX PROJETS DES NATIONS UNIES INDICATEURS DES PERFORMANCES DU PROJET
ANNEXE 1-A UNOPS A. ETAT D EXECUTION DES RECOMMANDATIONS DE LA MISSION DE SUPERVISION DU MOIS DE SECTION II : RECOMMA NDATIONS DE LA MISSION N. ET ACTIONS ENTREPRISES PAR LE PROJET RECOMMANDATIONS SITUATION
Plus en détailSéminaire IST Insight du 23 avril 2013
Séminaire IST Insight du 23 avril 2013 Comment investir sur le marché des actions suisses Serge Ledermann Directeur s.ledermann@retraitespopulaires.ch Caroline 9 CP 288-1001 Lausanne Tél. 021 348 21 11
Plus en détailBilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes
ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193
Plus en détailRégionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique
Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL
Plus en détailRÉSUMÉ. Particulièrement adaptée à des institutions opérant en front office. Logiciel utilisé essentiellement en Afrique de l Ouest.
NOM DU PRODUIT PERFECT v6.1 NOM DU FOURNISSEUR CAGECFI Évaluation 2009* Novembre 2009 Évaluations précédentes Sans objet RÉSUMÉ Impression générale Solution intégrant une couverture fonctionnelle complète
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailAPPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc.
APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS Gilles Rivard, ing. M. Sc. Québec 15 mars 2012 PRÉSENTATION Particularités des petits bassins
Plus en détailEROSION ET ENVASEMENT DES BARRAGES-RESERVOIRS
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DES RESSOURCES EN EAU AGENCE NATIONALE DES BARRAGES ET TRANSFERTS EROSION ET ENVASEMENT DES BARRAGES-RESERVOIRS Exposé établi par Mr MANSER Amor
Plus en détailRapport de stage. «Travail préparatoire à l estimation du coût d une bonne qualité des eaux de baignade sur le littoral Aquitain»
GRAPE-CEEP Rapport de stage «Travail préparatoire à l estimation du coût d une bonne qualité des eaux de baignade sur le littoral Aquitain» Vallette Jean-Vincent Master II Gestion des Ressources Naturelles
Plus en détailLes prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards
Plus en détailSécurité des Systèmes d Information
Sécurité des Systèmes d Information Tableaux de bord SSI 29% Nicolas ABRIOUX / Consultant Sécurité / Intrinsec Nicolas.Abrioux@Intrinsec.com http://www.intrinsec.com Conférence du 23/03/2011 Tableau de
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détailBénin. Guide de l investissement au Bénin Opportunités et conditions Janvier 2010. Nations Unies
Bénin Guide de l investissement au Bénin Opportunités et conditions Janvier 2010 Nations Unies NATIONS UNIES I GUIDE DE L INVESTISSEMENT AU BÉNIN Opportunités et conditions Janvier 2010 NATIONS UNIES New
Plus en détailINTEGREE DES RESSOURCES EN EAU
Forum de l eau de Kyoto Contribution à la session du RIOB «Les progrès réalisés dans le monde dans la gestion intégrée des ressources en eau par bassin» GESTION INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Par M. Jean-Michel
Plus en détailRappel des travaux. Parcours administratif et législatif. Ce qui reste à faire
Rappel des travaux Parcours administratif et législatif Ce qui reste à faire Concernant l agrément et les avancées qualitatives Concernant le financement Attention particulière en ce qui concerne les cas
Plus en détailÉtude sur la localisation et la densité de 4 professions de santé : médecins généralistes libéraux infirmiers libéraux chirurgiens dentistes libéraux
Étude sur la localisation et la densité de 4 professions de santé : médecins généralistes libéraux infirmiers libéraux chirurgiens dentistes libéraux masseurs kinésithérapeutes libéraux 1 sommaire p 3
Plus en détailORIENTATION DES NOUVEAUX BACHELIERS Edition 2014. Offres de formation
ORIENTATION DES NOUVEAUX BACHELIERS Edition 2014 Offres de formation CARTE UNIVERSITAIRE DU 22 Centres universitaires d ici 2015 Centres fonctionnels au 31 décembre 2012 Centres non fonctionnels BENIN
Plus en détailCartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits
Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits Contexte Les crues ont parfois des effets dévastateurs sur la vie humaine, les infrastructures, l économie, les espèces sauvages
Plus en détailRAPPORT DU COMMISSAIRE ENQUÊTEUR
1 Tome 1 REPUBLIQUE FRANÇAISE PREFECTURE DE LA CHARENTE-MARITIME COMMUNE DE SAINTE-SOULLE ENQUETE PUBLIQUE relative au projet d aménagement d une retenue d eau du bassin versant de SAINTE-SOULLE, sur la
Plus en détailCHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE
1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES
Plus en détailCoup d œil sur les inégalités de revenus au
Coup d œil sur les inégalités de revenus au Québec L expression «nous les 99 %», qui avait servi de cri de ralliement des mouvements Occupy, résume les préoccupations que soulève la tendance mondiale à
Plus en détailRapport d activités 2012
République de Guinée-Bissau MINISTÈRE DE L AGRICULTURE ET DE LA PECHE Projet d Appui à la Sécurité Alimentaire (PASA) Composant II : Aménagements hydroagricoles (CAHA) Rapport d activités 2012 Élaboré
Plus en détailLe courrier publicitaire adressé en Belgique Chiffres clés de Janvier à Juin 2010
Le courrier publicitaire adressé en Belgique Chiffres clés de Janvier à Juin 2010 Un premier semestre en deux temps : recul au premier trimestre et stabilisation au second semestre. Les investissements
Plus en détailEtudes des nuages et de la convection autour des dépressions intenses des moyennes latitudes
Etudes des nuages et de la convection autour des dépressions intenses des moyennes latitudes Jérôme DREANO 28 Février 2014 1 Introduction Dans le modèle LMDZ, les paramétrisations physiques des nuages
Plus en détailDUT Techniques de commercialisation Mathématiques et statistiques appliquées
DUT Techniques de commercialisation Mathématiques et statistiques appliquées Francois.Kauffmann@unicaen.fr Université de Caen Basse-Normandie 3 novembre 2014 Francois.Kauffmann@unicaen.fr UCBN MathStat
Plus en détailPROJET D ELECTRIFICATION RURALE PAR RESEAU SBEE <<MESURES D ACCOMPAGNEMENT>> (MISSION D INTERMEDIATION SOCIALE)
1 PROJET D ELECTRIFICATION RURALE PAR RESEAU SBEE (MISSION D INTERMEDIATION SOCIALE) STRATEGIE DE DISTRIBUTION DES CARTES PREPAYEES 2 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION... 3 1.
Plus en détailLES PERTES DE RENDEMENT PEUVENT ÊTRE ÉVITÉES
MONITORING À DISTANCE LES INSTALLATIONS PHOTOVOLTAÏQUES LIVRENT DES RENDEMENTS OPTIMAUX UNIQUEMENT SI ELLES FONCTIONNENT CORRECTEMENT. LES DÉFAUTS TECHNIQUES OU LES PANNES DUES À L USURE NE PEUVENT PAS
Plus en détailLa gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques
La gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques Par Philippe PARENT Institution des Wateringues Par Philippe PARENT Institution
Plus en détailLa modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation
La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation Quels rôles jouent les surfaces continentales dans le système climatique? Nathalie de Noblet-Ducoudré nathalie.de-noblet@lsce.ipsl.fr
Plus en détailDocument d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité
Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité Février 2013 1 Liste de contrôle des essais de non-infériorité N o Liste de contrôle (les clients peuvent se servir de cette
Plus en détailCanada-Inde Profil et perspective
Canada-Inde Profil et perspective Mars 2009 0 L Inde et le Canada : un bref profil Vancouver Calgary Montréal Toronto INDE 3 287 263 km² 1,12 milliard 1 181 milliards $US 1 051 $US Source : Fiche d information
Plus en détailLe présent chapitre porte sur l endettement des
ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation
Plus en détailLe calcul du barème d impôt à Genève
Le calcul du barème d impôt à Genève Plan : 1. Historique Passage d un système en escalier à une formule mathématique 2. Principe de l imposition Progressivité, impôt marginal / moyen ; barème couple/marié
Plus en détailEric Chaumillon UMR CNRS 7266 Littoral Environnement et Sociétés LIENSs Université de la Rochelle
Eric Chaumillon UMR CNRS 7266 Littoral Environnement et Sociétés LIENSs Université de la Rochelle 7ème Journée de restitution des résultats de l Observatoire du Patrimoine Naturel Marais poitevin jeudi
Plus en détailModélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.
Contacts : jean-martial.cohard@ujf-grenoble.fr AMA Fall Meeting 2013 Toulouse, 22-24 janvier Modélisation couplée des processus de surface et souterrains pour prédire la distribution spatiale de l'évapotranspiration.
Plus en détailANALYSE DE LA DISTRIBUTION SPATIALE DU RÉSEAU DE SURVEILLANCE DE LA DÉFENSE CIVILE DE LA RÉGION DE MOLISE
ANALYSE DE LA DISTRIBUTION SPATIALE DU RÉSEAU DE SURVEILLANCE DE LA DÉFENSE CIVILE DE LA RÉGION DE MOLISE CARDILLO A. (1), SCARLATELLI S. (1) (1) Agenzia Regionale di Protezione Civile Campobasso, Italia
Plus en détailTITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)
TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) PAYS ET REGION DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET Ce projet sera mise en
Plus en détailCAPITALISATION ET EVALUATION DES MARCHES A BETAIL AUTOGERES AU NORD DU BENIN Articulation avec le développement local
CENTRE TECHNIQUE DE COOPÉRATION AGRICOLE ET RURALE (CTA) MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES (MAE) INTER-RESEAUX/DEVELOPPEMENT RURAL CAPITALISATION ET EVALUATION DES MARCHES A BETAIL AUTOGERES AU NORD DU
Plus en détailInvestissement en capital dans la transformation alimentaire canadienne
PROGRAMME DE RECHERCHE SUR LE SECTEUR DE LA TRANSFORMATION ALIMENTAIRE PROGRAMME DE RECHERCHE DE LA TRANSFORMATION ALIMENTAIRE / PROJET 6A PROJET 6a : CONNAISSANCES EN MATIÈRE D INNOVATION Investissement
Plus en détailMISSION DE SUIVI/MONITORING DES SITES DE DEPLACES DANS LE NORD DU BENIN. Date de la mission : Du 15 au 21 Décembre 2010
MISSION DE SUIVI/MONITORING DES SITES DE DEPLACES DANS LE NORD DU BENIN Date de la mission : Du 15 au 21 Décembre 2010 James Léon-Dufour, Physical Site Planner ERT/UNCHR Abraham Asondou, Field Program
Plus en détailNotes méthodologiques
Notes méthodologiques SUPERFICIE Service Public Fédéral Economie, PME, Classes moyennes et Energie, Direction générale Statistique et Information économique (SPF Economie / DGSIE), Statistiques Utilisation
Plus en détailMortalité observée et mortalité attendue au cours de la vague de chaleur de juillet 2006 en France métropolitaine
Mortalité observée et mortalité attendue au cours de la vague de chaleur de uillet en France métropolitaine FOUILLET A 1, REY G 1, JOUGLA E, HÉMON D 1 1 Inserm, U75, Villeuif, France. Inserm CépiDc, IFR9,
Plus en détailRéPERTOIRE DES PARTENARIATS DE COOPéRATION DéCENTRALISéE FRANCO-BéNINOIS 2013-2014
Répertoire des partenariats de coopération décentralisée franco-béninoise 203-204 RéPERTOIRE DES PARTENARIATS DE COOPéRATION DéCENTRALISéE FRANCO-BéNINOIS 203-204 Répertoire des partenariats de coopération
Plus en détailIndicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains
Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains Contexte Les communes littorales métropolitaines hébergent plus de 6 millions d habitants et ont
Plus en détailETUDE DE LA RENTABILITE FINANCIERE DES EXPLOITATIONS MARAICHERES DE GRAND-POPO
République du Bénin &&&& Ministère de l Agriculture, de l Elevage et de la Pêche (MAEP) &&&&&&&& Institut National des Recherches Agricoles du Bénin (INRAB) &&&&&& Programme Analyse de la Politique Agricole
Plus en détailFocus. Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage
Focus Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage Introduction Le travailleur qui devient chômeur et qui est admissible sur base de prestations de travail se voit, en application du principe
Plus en détailComparer l intérêt simple et l intérêt composé
Comparer l intérêt simple et l intérêt composé Niveau 11 Dans la présente leçon, les élèves compareront divers instruments d épargne et de placement en calculant l intérêt simple et l intérêt composé.
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION
ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION On constate trois grandes phases depuis la fin de la 2 ème guerre mondiale: 1945-fin 50: Deux blocs économiques et
Plus en détailLes Français ais et l assurance l
Mai 2013 Contacts: 01 45 84 14 44 Jérôme Fourquet Magalie Gérard prénom.nom@ifop.com Les Français ais et l assurance l santé pour Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Assurances Echantillon
Plus en détailLe contexte global. La ressource. I.1 Particularités de la ressource en eau. Superficie : 41 526Km 2
Le contexte global Superficie : 41 526Km 2 Population: 16,34M.(89,6% urbaine: / 10,4% rurale:) 2006 PIB/hab 2007: 35 576 USD Divisions administratives: 12 provinces et 467 communes en nombre variable Régime:
Plus en détailL évolution des parts modales des déplacements domicile-travail
Thème : Transport durable Orientation : Faire évoluer les pratiques de mobilité L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail par aire urbaine et département hors aires urbaines La part
Plus en détailDirection de la Programmation
Direction de la Programmation CONDITIONS DE LOCATION ET RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX SAISON 2013-2014 Loyer de base par représentation plus Loyer variable (% sur les billets vendus) Salle Wilfrid-Pelletier
Plus en détailLe contenu en CO2 du kwh électrique : Avantages comparés du contenu marginal et du contenu par usages sur la base de l historique.
Final le 08/10/2007 Le contenu en CO2 du kwh électrique : Avantages comparés du contenu marginal et du contenu par usages sur la base de l historique. - NOTE DETAILLEE - 1- Le contexte Le calcul du contenu
Plus en détail