ACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "ACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES"

Transcription

1 OBSERVATOIRE REGIONAL DE LA SANTE Poitou-Charentes ACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES Enquête auprès des établissements de Poitou-Charentes Etude commanditée dans le cadre des Assises Régionales Alzheimer et financée par le Groupement Régional de Santé Publique de Poitou-Charentes Novembre 2009 Rapport n 125 Observatoire Régional de la Santé de Poitou-Charentes 17, rue Salvador Allende Poitiers Tel : Fax : ors@ors-poitou-charentes.org site Internet :

2 Auteurs Stéphane Robin, Nathalie Texier, Julien Giraud Commanditaires Assises Régionales Alzheimer, GRSP Poitou-Charentes Rapport n 125, novembre 2009 Résumé Dans le cadre des assises Alzheimer de Poitou-Charentes, la Direction Régionale des Affaires Sanitaires et Sociales a missionné l Observatoire Régional de la Santé (ORS) afin de réaliser une enquête postale à destination des établissements proposant des lits et places d accueil de jour et d hébergement temporaire. L objectif de l étude réalisée par l ORS est d apporter un éclairage régional en complément du travail mené par la CNSA. La participation des établissements assurant l accueil de jour des personnes âgées est plus importante que celle observée pour les établissements d hébergement temporaire. La répartition des réponses est différente de la distribution départementale des établissements. La capacité déclarée est plus importante en accueil de jour (94 places en moyenne) qu en hébergement temporaire (85 places en moyenne). Les taux d occupation déclarés sont faibles (53 % pour l hébergement temporaire et 40 % pour l accueil de jour). Ceci pose notamment la question de la connaissance (et des représentations) de cette offre d hébergement temporaire par les personnes âgées et leurs aidants, mais également par les professionnels de la prise en charge. Par ailleurs, la diversité de ces taux interroge sur les pratiques des établissements en matière de programmation et de communication sur ces places. Malgré des taux d occupation faibles, et même inférieurs à ceux observés au niveau national, la majorité des établissements déclarent avoir dû refuser des demandes d hébergement temporaire. Pour l accueil de jour, seul un quart des établissements a déclaré avoir refusé une demande. La communication entre les établissements et les CLIC et équipes APA devrait être renforcée. En effet, une majorité d établissements déclare que ces deux types d acteurs orientent jamais ou rarement vers l hébergement temporaire ou l accueil de jour. Pour l hébergement temporaire, une petite minorité de structures déclare avoir une équipe spécifique dédiée à l accompagnement des personnes prises en charge. En revanche, une large majorité des établissements (plus de 70 %) réalisant des accueils de jours en ont mise une en place. La moitié des établissements constate une saisonnalité des demandes d hébergement temporaire tandis que c est très minoritaire pour l accueil de jour. Notre enquête révèle la faiblesse de la communication mise en place par les établissements sur leur offre d hébergement temporaire. Pour l accueil de jour, une communication spécifique est mise en place dans plus de 70 % des établissements, soit une proportion presque 2 fois supérieure. ORS Poitou-Charentes 2

3 Peu d établissements ont rencontré des difficultés pour l hébergement temporaire. Le constat est plus mitigé pour l accueil de jour : les difficultés liées au transport sont assez fréquemment évoquées. Tous les établissements disposent de places d accueil de jour spécifiquement dédiées à la maladie d Alzheimer, mais pour plus de la moitié des établissements, aucun lit d hébergement temporaire n est spécifiquement dédié à la maladie d Alzheimer. Une organisation spécifique est mise en place dans environ un établissement sur cinq, dans le cadre de l hébergement temporaire, et par trois établissements sur quatre dans le cadre de l accueil de jour. Mots clés thématiques Accueil de jour, hébergement temporaire, personnes âgées, Alzheimer, enquête, répit, aidants Mots clés géographiques Poitou-Charentes ORS Poitou-Charentes 3

4 SOMMAIRE CONTEXTE 6 OBJECTIF 6 CONCEPTS ET DEFINITIONS 6 METHODE 7 L OFFRE REGIONALE EN LITS ET PLACES D HEBERGEMENT TEMPORAIRE ET D ACCUEIL DE JOUR 8 Les accueils de jour en Poitou-Charentes 8 L hébergement temporaire en Poitou-Charentes 8 REPRESENTATIVITE DE L ECHANTILLON OBTENU 9 ACCUEIL DE JOUR DESCRIPTION DE L ECHANTILLON Département de l établissement Statut de l établissement établissements sont publics, soit plus de 65 % des 32 établissements ayant répondu. 4 établissements sont privés à but non lucratif et 7 sont privés à but lucratif ACCUEIL ET PRISE EN CHARGE Capacité d accueil 10 Nombre de places installées 10 Nombre de places d accueil temporaire installées 11 Nombre de jours d ouverture des accueils de jour Occupation et nombre de personnes accueillies 11 Occupation 11 Nombre de personnes accueillies 12 Refus de demandes d accueil de jour Motifs d hébergement Orientation Conditions d accueil 14 Fréquence des séances d accueil de jour Communication Profil des patients 15 Niveau de dépendance 15 Age moyen des personnes prises en charge 15 Mise en place de transports spécifiques pour les personnes en accueil de jour 15 Moyens disponibles pour l accueil de jour Difficultés rencontrées CONDITIONS DE PRISE EN CHARGE DE LA MALADIE D ALZHEIMER Places d accueil de jour spécifiquement dédiées Prises en charge de la maladie d Alzheimer 17 Nombre de personnes 17 ORS Poitou-Charentes 4

5 Nombre de journées réalisées 17 Mise en place d une organisation spécifique 17 HERBERGEMENT TEMPORAIRE DESCRIPTION DE L ECHANTILLON Département de l établissement Statut de l établissement établissements sont publics, soit une majorité des 39 établissements ayant répondu. 11 établissements sont privés à but lucratif et 5 sont privés à but non lucratif ACCUEIL ET PRISE EN CHARGE Capacité d accueil 19 Nombre de places installées 19 Nombre de lits d hébergement temporaire installés 20 Nombre de jours d ouverture des lits d hébergement temporaire Occupation Ré orientation des lits d hébergement temporaire Motifs d hébergement Orientation Conditions d hébergement Communication Profil des patients 24 Niveau de dépendance 24 Age moyen des personnes prises en charge Difficultés rencontrées Suites à l hébergement temporaire CONDITIONS DE PRISE EN CHARGE DE LA MALADIE D ALZHEIMER Lits d hébergement temporaire spécifiquement dédiés Prises en charge de la maladie d Alzheimer 26 Nombre de personnes 26 Nombre de journées réalisées 26 Mise en place d une organisation spécifique 27 SYNTHESE CONCLUSION 28 Représentativité 28 Principaux enseignements et confrontation aux résultats nationaux 28 Capacités d accueil 28 Occupation 29 Orientation 29 Conditions d accueil 30 Communication 30 Difficultés rencontrées 30 Transport 31 Prise en charge de la maladie d Alzheimer 31 ORS Poitou-Charentes 5

6 CONTEXTE Le plan Alzheimer et maladies apparentées réaffirme la nécessité d apporter un soutien accru aux aidants (objectif n 1) afin que ceux-ci puissent «disposer d une aide professionnelle et, lorsque c est nécessaire, recourir à des structures nouvelles dites «de répit»». Ainsi, la mesure 1 du Plan vise à développer le nombre de places offrant des temps de répit qui sont aussi des temps de soins et d évaluation pour la personne malade et son entourage : création au niveau national de places d accueil de jour ou équivalent et de places d hébergement temporaire sur la durée du plan. Au delà du simple aspect quantitatif, cette mesure 1 souligne notamment la nécessité d évaluer non seulement les dispositifs existants afin de mieux connaître les facteurs qui font la réussite ou non de l installation d accueils de jour, mais également la bonne utilisation des hébergements temporaires. Pour atteindre ces objectifs, la Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie (CNSA) a mis en place une étude au niveau national. Dans le cadre des assises Alzheimer de Poitou-Charentes, la Direction Régionale des Affaires Sanitaires et Sociales a missionné l Observatoire Régional de la Santé (ORS) afin de réaliser une enquête postale à destination des établissements proposant des lits et places d accueil de jour et d hébergement temporaire. Cette enquête entre dans le cadre du Contrat d Objectifs et de Moyens (COM) 2009 liant le Groupement Régional de Santé Publique (GRSP) et l ORS de Poitou-Charentes. OBJECTIF L objectif de l étude réalisée par l ORS est d apporter un éclairage régional en complément du travail mené par la CNSA. CONCEPTS ET DEFINITIONS Différents concepts utilisés dans ce document demandent quelques explications pour une meilleure compréhension. Les EHPAD : les établissements d hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) - également présentés sous le terme général de maisons de retraite - assurent l hébergement et la prise en charge des personnes âgées à travers la mise en œuvre d un certain nombre de prestations et de services : restauration, entretien du linge, aide si nécessaire dans les gestes élémentaires de la vie courante (lever, toilette, hygiène ), délivrance des soins courants, aide de première urgence en cas de nécessité, services liés à la vie quotidienne (courrier, coiffeur, aide aux démarches ), activités de mobilisation (ateliers mémoire), d animation et de loisirs La plupart des maisons de retraite sont dites aujourd hui "médicalisées". Dans ce cas, elles disposent des financements nécessaires de l assurance maladie pour effectuer sur place les soins de base. Les EHPAD sont des établissements publics (gérés le plus souvent par une commune) ou privés à but non lucratif (associations) ou privés à but lucratif. Les établissements publics et un grand nombre de privés sont habilités à l aide sociale. Dans ce cas, les résidents disposant de faibles ressources peuvent bénéficier d une prise en charge partielle des frais de séjour ORS Poitou-Charentes 6

7 L accueil de jour : Il s'agit d'accueillir pour une ou plusieurs journées par semaine, voire une demijournée, des personnes âgées vivant à leur domicile, dans des locaux dédiés à cet accueil. Les personnes âgées autonomes, dépendantes ou désorientées peuvent être accueillies durant une ou plusieurs journées (voire une demi-journée) afin de poursuivre les soins, de diminuer les hospitalisations ou tout simplement de soulager, un temps, les familles... Durant leur séjour, elles participent aux activités thérapeutiques et aux animations. Lorsque l'accueil de jour s'adresse à des personnes atteintes de la maladie d'alzheimer ou de troubles apparentés, il a comme objectifs principaux de préserver, maintenir voire restaurer l'autonomie des personnes atteintes de troubles démentiels et de permettre une poursuite de leur vie à domicile dans les meilleures conditions possibles, tant pour eux que pour leurs "aidants". L hébergement temporaire : Limité dans le temps, l hébergement temporaire s adresse à des personnes âgées dont le maintien à domicile est momentanément compromis. Il permet à la personne âgée de se reposer après une hospitalisation, de prendre en charge une personne dépendante, le temps de l hospitalisation du conjoint aidant, de préparer la personne âgée à une éventuelle entrée définitive en établissement, ou aux proches de «souffler» ou de partir en congès. Le Taux d occupation d un établissement est le rapport entre le nombre de personnes hébergées ou accueillies et la capacité d accueil de l établissement. [en % = (nombre de journées réalisées/365) / nombre de lits ou places installés *100] GIR : le Groupe Iso-Ressource est une note qui va de 1 à 6 et qui dépend de 10 variables discriminantes : la cohérence, l orientation, l habillage, l alimentation, l élimination, le transfert, les déplacements à l intérieur, les déplacements à l extérieur, et la communication à distance. Pour ces 10 variables, une modalité est attribuée qui va de A (fait seul, totalement, habituellement et correctement) à C (ne fait pas) en passant par B (fait partiellement, ou non habituellement ou non correctement). A partir de ces variables, le GIR est calculé. C est lui qui déterminera la classification des personnes par l intermédiaire de la grille AGGIR. METHODE La base d enquête des établissements a été constituée par la DRASS de Poitou-Charentes à partir du répertoire FINESS 1. L ensemble des établissements disposant de lits et places installés soit d accueil de jour, soit d hébergement temporaire a été interrogé par voie postale en avril Au total, ce sont 113 établissements de Poitou-Charentes qui ont été enquêtés. 1 FINESS : Fichier National des Etablissements Sanitaires et Sociaux. Ce fichier, dénommé «répertoire FINESS», est géré par le Ministère de la Santé. Il contient trois domaines d établissements des secteurs public et privé. Les établissements sanitaires : établissements hospitaliers, établissements de soins et de prévention, établissements à caractère sanitaire (laboratoires d analyse, pharmacies, établissements de transfusion sanguine,...). Les établissements sociaux : établissements pour les personnes âgées, pour les adultes handicapés, pour la jeunesse handicapée, services sociaux concourant à la protection de l enfance, établissements médicosociaux. Les établissements de formation des personnels sanitaires et sociaux. ORS Poitou-Charentes 7

8 L OFFRE REGIONALE EN LITS ET PLACES D HEBERGEMENT TEMPORAIRE ET D ACCUEIL DE JOUR Les accueils de jour en Poitou-Charentes Au 1 er novembre 2009, selon le répertoire FINESS (données provisoires), on compte en Poitou- Charentes, 378 places d accueil de jour installées et disponibles, soit plus de 2 places pour personnes de 75 ans et plus. Ce taux d équipement est supérieur à la moyenne nationale. A l échelle des départements, les Deux-Sèvres possède le taux le plus important avec 2,5 places pour personnes de 75 ans et plus tandis que la Vienne présente le taux d équipement le plus bas avec seulement 1,5 place. Parmi ces 378 places, 284 sont spécifiques aux personnes atteintes de la maladie d Alzheimer. Tableau 1 : Nombre de places d accueil de jour et taux d équipement au 1 er novembre Département Nombre de places installées Taux pour personnes âgées de 75 ans et plus Nombre de places d accueil de jour spécifiques Alzheimer Charente 82 2,16 48 Charente-Maritime 141 2, Deux-Sèvres 93 2,48 58 Vienne 62 1,54 61 Poitou-Charentes 378 2, France ,54 / Sources : Finess, INSEE (RP 2006) Exploitation : ORS Poitou-Charentes L hébergement temporaire en Poitou-Charentes Au 1 er novembre 2009, selon le répertoire FINESS (données provisoires), on compte en Poitou- Charentes, 379 lits d hébergement temporaire installés et disponibles, soit 2,1 places pour personnes de 75 ans et plus. Ce taux d équipement serait très supérieur à la moyenne nationale (cependant cette moyenne reste à confirmer par d autres sources tant l écart paraît important). A l échelle des départements, la Charente possède le taux le plus important avec 2,2 places pour personnes de 75 ans et plus tandis que le département des Deux-Sèvres présente le taux d équipement le plus bas avec 1,9 place. Parmi ces 379 places, 176 sont spécifiques aux personnes atteintes de la maladie d Alzheimer. Tableau 2 : Nombre de lits d hébergement temporaire et taux d équipement au 1 er novembre 2009 ² Département Nombre de lits installés Taux pour personnes âgées de 75 ans et plus Nombre de lits d hébergement temporaire réservés Alzheimer Charente 83 2,19 7 Charente-Maritime 143 2,13 67 Deux-Sèvres 70 1,86 23 Vienne 83 2,06 79 Poitou-Charentes 379 2, France ,18 / Sources : Finess, INSEE (RP 2006) Exploitation : ORS Poitou-Charentes 2 Ces données, issues du répertoire FINESS, sont provisoires et actuellement en cours de mise à jour au niveau national. ORS Poitou-Charentes 8

9 REPRESENTATIVITE DE L ECHANTILLON OBTENU Tableau 3 : Nombre d établissements par département Accueil de jour Taux de participation Hébergement temporaire Base Finess Enquête Base Finess Enquête Taux de participation Charente ,8 % ,1 % Charente-Maritime ,4 % ,8 % Deux-Sèvres ,3 % ,6 % Vienne ,0 % ,3 % Inconnu Total ,2 % ,7 % Sources : Finess Enquête Tableau 4 : Répartitions des établissements (effectifs et pourcentages) Accueil de jour Hébergement temporaire Base Finess Enquête Base Finess Enquête Charente 21 23,1 % 5 15,6 % 33 19,2 % 4 10,3 % Charente-Maritime 34 37,4 % 11 34,4 % 54 31,4 % 8 20,5 % Deux-Sèvres 21 23,1 % 7 21,9 % 37 21,5 % 8 20,5 % Vienne 15 16,5 % 6 18,8 % 48 27,9 % 16 41,0 % Inconnu 0 0,0 % 3 9,4 % 0 0,0 % 3 7,7 % Total % % % % Sources : Finess Enquête La participation des établissements assurant l accueil de jour des personnes âgées est plus importante que celle observée pour les établissements d hébergement temporaire. Plus d un tiers ont participé pour les premiers contre moins de un quart des seconds (Cf. tableau 3). Ainsi, pour l hébergement temporaire, 39 établissements ont répondu ce qui représente 85 places installées (sur 379 places installées au niveau régional selon le répertoire FINESS). Pour l accueil de jour, l analyse porte sur 32 établissements pour 94 places installées (sur 378 places installées au niveau régional selon le répertoire FINESS) 3. La répartition départementale est également différente : les départements de la Vienne puis des Deux-Sèvres ont en proportion plus fréquemment répondu que les deux départements charentais. Pour ces deux derniers, les taux de participation obtenus dans l enquête auprès des établissements d hébergement temporaire sont faibles (Cf. tableau 3). De plus, la répartition des réponses est différente de la distribution départementale des établissements. Ainsi, pour l accueil de jour, les établissements de Charente sont sous représentés par rapport à leur poids réel. En ce qui concerne l hébergement temporaire, les départements charentais sont largement sous représentés tandis que la Vienne est sur représentée (Cf. tableau 4). 3 Les données issues du répertoire FINESS au 1 er novembre 2009 sont encore provisoires. ORS Poitou-Charentes 9

10 ACCUEIL DE JOUR 1. DESCRIPTION DE L ECHANTILLON 1.1. Département de l établissement Sur les 32 établissements ayant participé à l enquête, 29 ont rempli le champ permettant de connaître le département. 11 sont situés en Charente-Maritime (soit 38 %), 7 dans les Deux-Sèvres (soit 24 %), 6 dans la Vienne (21 %), et 5 en Charente (17 %). Pour trois d entre eux, la localisation n est pas possible Statut de l établissement 21 établissements sont publics, soit plus de 65 % des 32 établissements ayant répondu. 4 établissements sont privés à but non lucratif et 7 sont privés à but lucratif. Graphique 5 : Répartition des établissements ayant répondu selon le département et le statut (effectifs) Privé lucratif Privé non lucratif Public Charente Charente-Maritime Deux-Sèvres Vienne 2. ACCUEIL ET PRISE EN CHARGE 2.1. Capacité d accueil Nombre de places installées En moyenne, les 32 établissements offrent un peu moins de 94 places installées. Pour le quart des établissements les plus petits, le nombre moyen de places est d un Moyenne 93,8 peu plus de 50, tandis que pour le quart des établissements les plus Médiane 79,5 importants, le nombre de places est en moyenne de 106. La médiane 1 er quartile 49,5 est située à 80 places. 3 ème quartile 105,5 Aucune différence significative n est mise en évidence selon le statut de l établissement (public, privé à but lucratif ou non lucratif). ORS Poitou-Charentes 10

11 Nombre de places d accueil temporaire installées En moyenne, les 30 établissements ayant répondu offrent un peu plus de 5 places en accueil temporaire. La moitié des établissements disposent d au moins 4 Moyenne 5,1 places d accueil temporaire. Le maximum observé est de 16 places et Médiane 4 le minimum est de 1. Le quart des établissements les mieux dotés en 1 er quartile 2 possède 5, tandis que le quart le moins bien doté en propose 2. Un 3 ème quartile 5 établissement ne dispose que de places d accueil de jour : cet établissement est public et dispose de trois places. Aucune différence significative n est mise en évidence selon le statut de l établissement (public, privé à but lucratif ou non lucratif). Nombre de jours d ouverture des accueils de jour En 2008, le nombre de jours d ouverture des accueils de jour était en moyenne de 204. Le minimum est de 0 jour (1 établissement) et le maximum de 371 (1 établissement). La moitié des établissements déclare au moins 217 jours pour l ensemble des places d accueil de jour. Il semble que la question ait été mal comprise dans certains cas et qu une confusion ait eu lieu entre le nombre de jours d ouverture et le nombre de jours d accueil réalisés dans l année. Moyenne Médiane 1 er quartile 3 ème quartile 203, Aucune différence significative n est mise en évidence selon le statut de l établissement (public, privé à but lucratif ou non lucratif). Aucune corrélation linéaire n a été mise en évidence entre le nombre de jours d ouverture et le nombre de places installées ou le nombre de places d accueil de jours. Sur 32 établissements, l accueil de jour est ouvert le samedi dans 1 établissement, 6 d entre eux sont ouverts le samedi et le dimanche. Les autres 25 établissements ne sont ouverts ni le samedi, ni le dimanche Occupation et nombre de personnes accueillies Occupation En 2008, le taux d occupation moyen déclaré par les 27 établissements ayant répondu est de 40 %. Pour la moitié de ces établissements, ce taux s élève à au moins 36 %. Moyenne 40,4 La valeur maximum est 99 % (1 établissement). Les valeurs les plus Médiane 36 fréquemment déclarées sont 0 % (2 établissements), 34 % (2 1 er quartile 20 établissements) et 50 % (2 établissements). Pour un quart des 3 ème quartile 66 établissements, le taux d occupation déclaré ne dépasse pas 20 %. Pour un dernier quart, il est au moins de 66 %. Aucune différence significative n est mise en évidence selon le statut de l établissement (public, privé à but lucratif ou non lucratif). ORS Poitou-Charentes 11

12 Nombre de personnes accueillies Dans les 29 établissements ayant répondu, le nombre moyen de personnes prises en charge à l année en accueil de jour est un peu inférieur à 10, et va de 0 à 64. Pour la moitié des établissements, ce nombre s élève à 5. Pour un quart il est inférieur ou égal à 2, et pour un autre quart il est supérieur ou égal à 13. Des différences ont été observées Moyenne 9,9 selon le statut de l établissement : les établissements publics en Médiane 5 reçoivent en moyenne 9 par an contre plus de 23 dans les 1 er quartile 2 établissements privés à but non lucratif, qui en reçoivent également plus que les établissements privés à but lucratif (un peu plus de 4 personnes par an). 3 ème quartile 13 Une faible corrélation a été observée entre le nombre de personnes prises en charge en accueil de jours et le nombre de jours d ouverture des accueils de jour : plus il est élevé, plus le nombre de personnes prises en charge dans ce cadre est important. Ces interprétations sont à prendre avec précaution, les effectifs et les coefficients de corrélations n étant pas importants. Seuls 20 établissements ont précisé le nombre de personnes accueillies atteintes d une maladie neuro dégénérative. Ce nombre va de 0 à 60, avec une moyenne Moyenne 8,4 située à un peu plus de 8. La moitié d entre eux en a accueillies au Médiane 3,5 moins 3,5 en Un quart en a accueillies jusqu à 2 et un autre 1 er quartile 2 quart au moins 10. Aucune différence n est observée selon le statut 3 ème quartile 10,5 de l établissement. 17 établissements ont reçu uniquement des personnes atteintes de maladies neuro dégénératives : 13 établissements publics, 1 établissement privé à but non lucratif et 3 établissements privés à but lucratif. Une corrélation de très faible intensité est observée entre le nombre de personnes atteintes d une maladie neuro dégénérative et le nombre total de places installées. Des corrélations un peu moins faibles sont observées avec le nombre de jours d ouverture des accueils de jour et avec le taux d occupation. Dans les deux cas, les corrélations sont positives, c est-à-dire que plus le nombre de personnes accueillies est important, plus le nombre de jours d ouverture et le taux d occupation sont importants. Refus de demandes d accueil de jour Un quart des établissements a dû refuser des demandes d accueil de jour (8 établissements sur 32). La raison plus fréquemment citée est le profil de la personne : 6 établissements sur 8. La deuxième raison citée est l absence de places disponibles (3 établissements). 2 établissements réalisent des travaux, 1 établissement mentionne une durée de séjour inadéquate, et un autre le manque de personnel. L analyse en fonction du nombre de places d accueil de jour installés, ou en fonction du nombre de jours d ouverture des accueils ne met en évidence aucune différence significative par rapport au fait d avoir ou non refusé des demandes d hébergement temporaire. Ni le statut privé ou public, ni le taux d occupation ne semble jouer de rôle. ORS Poitou-Charentes 12

13 Dans plus de 90 % (28 établissements sur 30 répondants) des établissements, les personnes âgées peuvent réserver ou programmer à l avance un accueil de jour Motifs d hébergement Graphique 6 : Principaux motifs d entrée en accueil de jour (%) Répit à l'aidant 100 Familiarisation avant institutionnalisation 69 Activité occupationnelle à visée Absence ponctuelle aidant ou conjoint Indisponibilité de l'aidant dans l'urgence 31 48,3 44,8 Pour la totalité des établissements, le motif d entrée le plus fréquemment cité est le répit à l aidant, puis le sas permettant la familiarisation avant une institutionnalisation permanente de la personne âgée. Parmi les structures ayant cité ce dernier motif (70 % des structures), le taux d occupation est en moyenne plus élevé que parmi les structures ne l ayant pas cité (51,4 % contre 18,6 %) Orientation D après les établissements, c est la famille qui semble orienter le plus fréquemment les personnes âgées vers l accueil de jour, puis le CLIC, et le médecin généraliste. Cependant, il est à noter que les deux tiers des structures déclarent que le CLIC/réseau gérontologique ou l équipe APA orientent «jamais» ou «rarement» vers les places d accueil de jour. Graphique 7 : Qui oriente vers l hébergement temporaire? (effectifs) Famille Médecin généraliste Jamais Rarement Souvent CLIC Consultation mémoire Médecin spécialiste 10 7 Equipe évaluation APA Etablissement sanitaire Aucune différence n est mise en évidence ni selon le statut de l établissement, ni selon le nombre de places en accueil de jour de l établissement. En revanche il diffère parfois selon celui qui oriente. Ainsi, lorsque la consultation mémoire oriente souvent dans l établissement, son taux d occupation est en moyenne de 16,5 % contre moins de 3 % lorsque la consultation mémoire n oriente jamais. De même, lorsque le médecin spécialiste oriente souvent, le taux est en moyenne de 13 % contre 5 % lorsqu il n oriente jamais. ORS Poitou-Charentes 13

14 2.5. Conditions d accueil Sur les 31 établissements ayant renseigné la question, 22 structures (plus de 70 %) ont une équipe dédiée à l accompagnement des personnes prises en charge en accueil de jour. Aucune différence n est mise en évidence ni selon le statut de l établissement, ni selon le taux d occupation ou le nombre de places d accueil de jour. Dans 27 établissements sur 30, soit 90 % d entre eux, les personnes âgées signent un contrat de séjour. Fréquence des séances d accueil de jour Pour la moitié des établissements, la part des personnes accueillies au moins 2 fois dans la semaine est au moins de 60 %. Pour un quart d entre eux, cette proportion ne dépasse pas 40 %, et pour un autre quart, elle est au moins égale à 71 %. Pour la moitié des établissements, la part des personnes accueillies 1 fois dans la semaine est au moins de 30 %. Pour un quart d entre eux, cette proportion ne dépasse pas 25 %, et pour un autre quart, elle est au moins égale à 50 %. Pour la moitié des établissements, aucune personne n est accueillie moins d une fois dans la semaine. Pour un quart d entre eux, cette proportion est au moins de 10 %. Une minorité d établissements constate une saisonnalité des demandes d accueil de jour (4 établissements sur 29). Parmi ces 4 établissements, les demandes les plus fréquentes ont lieu en été pour 2 structures (sur les 18 ayant constaté une saisonnalité), en période hivernale pour 3 d entre elles, et en période de vacances scolaires pour 1 d entre eux (plusieurs réponses étaient possibles) Communication Une communication spécifique relative à l accueil de jour (plaquette d information, rubrique Internet) est mise en place dans 20 établissements sur les 29 ayant répondu à la question, soit une proportion de près de 70 %. C est dans les établissements à but non lucratif (établissements publics et privés à but non lucratif) que la mise en place d une communication spécifique est la plus fréquente : ils sont plus de 80 % dans ce cas (18 établissements sur 22) contre moins de 30 % (2 sur 7). Cette proportion est presque 2 fois supérieure à ce qui est observé pour l hébergement temporaire. ORS Poitou-Charentes 14

15 2.7. Profil des patients Niveau de dépendance Le GIR (Groupe Iso-Ressource) est un indice permettant de mesurer individuellement la dépendance par l intermédiaire de la grille AGGIR. L échelle va de 1 (très dépendant) à 6 (Pas de dépendance). Peu d établissements ont renseigné à la fois le GIR moyen de l établissement et celui de l unité d accueil de jour : ils sont environ un tiers dans ce cas, soit 11 établissement sur 32. Parmi eux, plus de 60 % (7 établissements) déclarent un GIR moyen moins important chez les personnes reçues en accueil de jour, tandis que moins de 30 % (3 établissements) déclarent une dépendance plus importante de ces dernières. Age moyen des personnes prises en charge Dans les 28 structures ayant répondu, l âge moyen des patients en EHPAD est d environ 84,5 ans, et est compris entre 74 et 90 ans. L âge moyen le plus fréquent calculé par les établissements est de 85 ans. L âge moyen des personnes en accueil de jour est de 80,1 ans. L âge moyen le plus fréquent est 80 ans, avec un minimum situé à 68 ans et un maximum à 87 ans. L âge moyen des personnes reçues en accueil de jour est un peu moins élevé que chez les personnes accueillies en hébergement temporaire (environ 2 ans de moins) L âge moyen en EHPAD et en accueil de jour ne diffèrent ni selon le statut de l établissement ni selon le taux d occupation. Mise en place de transports spécifiques pour les personnes en accueil de jour Plus d un tiers des établissements (11 sur 30 répondants) ont mis en place un transport spécifique pour les personnes en accueil de jour. Dans ce cas, soit les transports sont assurés par la structure elle-même, soit une convention est passée avec un partenaire extérieur (MSA, Groupement pour l Insertion de Personnes Handicapées Physiques, taxi ou autre prestataire). Pour ces établissements, dans 80 % des cas, ce transport a facilité la fréquentation de l accueil de jour. Moyens disponibles pour l accueil de jour Pour 21 établissements, soit presque 70 % d entre eux, un local de repos est disponible, sans différence significative ni selon le statut, ni selon le taux d occupation ou la capacité d accueil, ou le nombre de personnes reçues en accueil de jour. 25 établissements sur 30 (plus de 80 %) disposent d un local d animation au sein de l accueil de jour. Aucune différence n a été mise en évidence selon le statut de l établissement. 18 établissements sur 32 (56 %) ont une animation spécifique pour les personnes fréquentant l accueil de jour. ils sont plus de 70 % dans ce cas parmi les établissements publics contre moins de 30 % dans les établissements privés. ORS Poitou-Charentes 15

16 2.8. Difficultés rencontrées 9 établissements sur 25 ont rencontré des difficultés dans la mise en œuvre de l accueil de jour. Parmi eux, 5 établissements évoquent les difficultés liées au transport (coût, éloignement géographique) 4, 5 mettent en avant des problèmes liés aux moyens matériels et humains (manque de personnel, configuration des bâtiments ). Les autres difficultés pointées sont la diffusion de l information, le fait que les familles n étaient pas convaincues au départ par cette possibilité d accueil de jour, et enfin, la difficulté d intégrer l accueil de jour dans le plan d aide APA. 3. CONDITIONS DE PRISE EN CHARGE DE LA MALADIE D ALZHEIMER 3.1. Places d accueil de jour spécifiquement dédiées Le nombre de places d accueil de jour dédiées spécifiquement aux personnes atteintes de la maladie d Alzheimer ou de troubles apparentés va de 1 à 16. Pour la moitié Moyenne 5,5 des établissements, au moins 4 places sont dédiées. Elles sont en Médiane 4 moyenne de 5,5. Le quart des établissements les mieux dotés dédie au moins 5,5 places, et 10 % en disposent de 15 à 16. Le quart des établissements les moins bien dotés en dispose de 3 au plus. 1 er quartile 3 ème quartile 3 5,5 Selon leur déclaration, 25 établissements sur 32 n auraient que des places d accueil de jour spécifiquement dédiées à la maladie d Alzheimer. Cependant, le nombre de personnes reçues en accueil de jour est équivalent au nombre de malades d Alzheimer reçus pour 18 établissements sur 32 seulement. Dans certains établissements, les places d accueil pour les personnes malades d Alzheimer seraient utilisées pour d autres motifs. La présence ou non de places d accueil de jour dédiées à la maladie d Alzheimer ne semble lié ni au nombre de places installés, ni au nombre de places d accueil de jour installés. Elle n est pas liée non plus au statut de l établissement. Selon les résultats des analyses complémentaires, le nombre de places d accueil de jour spécifiquement dédiées à la maladie d Alzheimer et troubles apparentés est faiblement corrélé au nombre de jours d ouverture des places d accueil de jour ainsi qu au taux d occupation. En revanche, aucune corrélation n est mise en évidence ni avec le nombre de places installées, ni avec le nombre de places d accueil de jour. 4 Concernant les transports, deux décrets de 2007 instaurent un forfait journalier applicable au nombre de places autorisées pour la prise en charge des frais de transports des personnes bénéficiant d un accueil de jour. ORS Poitou-Charentes 16

17 3.2. Prises en charge de la maladie d Alzheimer Nombre de personnes Le nombre de personnes atteintes de la maladie d Alzheimer reçues en accueil de jour varie de 1 (1 établissement sur 25) à 539 (1 établissement). La moyenne observée Moyenne 33,1 est située à un peu plus de 33. En 2008, la moitié des établissements Médiane 7 a pris en charge 7 personnes atteintes de la maladie. Un quart en a pris en charge au plus 3, et un dernier quart en a reçu au moins 14. En excluant l établissement ayant déclaré avoir reçu 539 malades 1 er quartile 3 ème quartile 3 14 d Alzheimer en accueil de jour (erreur ou mauvaise compréhension de la question?), la moyenne observée se situe à 12 et la médiane à 7. Parmi les établissements ayant des places d accueil de jour spécifiquement dédiées à la maladie d Alzheimer ayant renseigné la question (22 établissements), le nombre moyen de personnes prises en charge est un peu supérieur à 36. La médiane est située à 6. Un quart en a pris en charge au plus 3, et un dernier quart en a pris au moins 14. Seuls 3 établissements ne dédient pas spécifiquement de places d accueil de jour pour la maladie d Alzheimer pour une moyenne de 11 personnes reçues en accueil de jour. Les différences observées entre ces deux groupes d établissements ne sont pas significatives. De faibles corrélations ont été observées entre le nombre de personnes atteintes de la maladie reçues en accueil de jour et le nombre de places d accueil de jour installés au sein de l établissement, ainsi qu avec le taux d occupation 2008 et le nombre de jours d ouverture des places d accueil de jour. Nombre de journées réalisées Le nombre de journées réalisées en accueil de jour en 2008 pour les personnes atteintes de la maladie d Alzheimer ou de troubles apparentés dépasse 481. Ce nombre varie de 2 (1 établissement sur 24) à (1 établissement). La moitié d entre eux en a réalisées au moins 291. Des corrélations ont été mises en évidence entre, d une part, le Moyenne Médiane 1 er quartile 3 ème quartile 481,1 291,5 117,5 554,5 nombre de journées et d autre part, le nombre total de places installées, le nombre de jours d ouverture des accueils de jour, et le taux d occupation. Mise en place d une organisation spécifique Sur les 28 établissements ayant répondu, 21 (75 %) ont mis en place une organisation spécifique pour les places dédiées à l accueil de jour des personnes atteintes de la maladie d Alzheimer ou de troubles apparentés. Cette proportion est plus importante dans les établissements publics et privés à but non lucratif que dans les établissements privés à but lucratif : 85,7 % contre 42,9 %. ORS Poitou-Charentes 17

18 Parmi les 7 établissements n ayant pas mis en place d organisation spécifique, seul un établissement a déclaré n avoir reçu aucun patient atteint de la maladie d Alzheimer dans l année 2008, dans le cadre de l accueil de jour. ORS Poitou-Charentes 18

19 HERBERGEMENT TEMPORAIRE 1. DESCRIPTION DE L ECHANTILLON 1.1. Département de l établissement Sur les 39 établissements ayant participé à l enquête, 16 sont situés dans la Vienne, 8 dans les Deux- Sèvres, 8 autres en Charente-Maritime, et 4 sont situés en Charente. Pour trois d entre eux, la localisation n a pas été renseignée Statut de l établissement 23 établissements sont publics, soit une majorité des 39 établissements ayant répondu. 11 établissements sont privés à but lucratif et 5 sont privés à but non lucratif. Graphique 1 : Répartition des établissements ayant répondu selon le département et le statut (effectifs) Privé lucratif Privé non lucratif Public Charente Charente-Maritime Deux-Sèvres Vienne 2. ACCUEIL ET PRISE EN CHARGE 2.1. Capacité d accueil Nombre de places installées En moyenne, les 39 établissements offrent un peu plus de 85 places installées (hébergement temporaire et hébergement permanent). Pour le quart des Moyenne 85,2 établissements les plus petits, le nombre moyen de places est de 46, Médiane 72 tandis que pour le quart des établissements les plus importants, le nombre de places est en moyenne de 103. La médiane est située à 72 places. 1 er quartile 3 ème quartile Aucune différence significative n est mise en évidence selon le statut de l établissement (public, privé à but lucratif ou non lucratif). ORS Poitou-Charentes 19

20 Nombre de lits d hébergement temporaire installés En moyenne, les 39 établissements offrent un peu plus de 3 lits d hébergement temporaire installés. La moitié des établissements disposent d au moins 2 lits Moyenne 3,3 d hébergement temporaire. Le maximum observé est 15 lits et le Médiane 2 minimum 1 lit. 1 er quartile 2 Aucune différence significative n est mise en évidence selon le statut de l établissement (public, privé à but lucratif ou non lucratif). 3 ème quartile 4 Nombre de jours d ouverture des lits d hébergement temporaire En 2008, le nombre de jours d ouverture de lits d hébergement temporaire était en moyenne de 357,2 par établissement. Le minimum est de 0 jour (2 établissements) Moyenne 357,2 et le maximum de 732 (1 établissement). La moitié des établissements Médiane 365 déclarent au moins 365 jours d ouverture pour l ensemble de leurs lits d hébergement temporaire. Il semble que la question ait été mal comprise dans certains cas et qu une confusion ait eu lieu entre le 1 er quartile 3 ème quartile nombre de jours d ouverture et le nombre de jours d hébergement réalisés dans l année. Aucune différence significative n est mise en évidence selon le statut de l établissement (public, privé à but lucratif ou non lucratif) Occupation En 2008, le taux d occupation moyen déclaré par les 34 établissements ayant répondu est de 53 %. Pour la moitié de ces établissements, ce taux s élève à au moins 57,5 Moyenne 53,0 %. La valeur maximum est 100 % (2 établissements). La valeur la plus Médiane 57,5 fréquemment déclarée est 0 % (4 établissements). Pour un quart des établissements, le taux d occupation déclaré est 25 %. Pour un dernier quart, il est de 85 %. Aucune différence significative n est mise en 1 er quartile 3 ème quartile évidence selon le statut de l établissement (public, privé à but lucratif ou non lucratif). Les taux d occupation déclarés sont faibles. Ceci pose la question de la connaissance de cette offre d hébergement temporaire par les personnes âgées et leurs aidants, mais également par les professionnels de la prise en charge. Par ailleurs, la diversité des taux d occupation interroge sur les pratiques des établissements en matière de programmation et de communication sur ces places. Plus de la moitié des établissements ont cependant dû refuser des demandes d hébergement temporaire (22 établissements). La raison plus fréquemment citée est le manque de places disponibles : plus de 85 % sont dans ce cas, soit 19 établissements. Le profil de la personne est la deuxième raison citée avec plus de 45 % de réponses (10 établissements). Enfin, l inadéquation de la durée du séjour est une raison de refus pour 3 établissements (soit moins de 15 %). L analyse en fonction du nombre de lits d hébergement temporaire installés, ou en fonction du nombre de jours d ouverture des lits ne met en évidence aucune différence significative par rapport ORS Poitou-Charentes 20

Bilan de l activité d accueil de jour et d hébergement temporaire en direction des personnes âgées dépendantes en 2010

Bilan de l activité d accueil de jour et d hébergement temporaire en direction des personnes âgées dépendantes en 2010 Bilan de l activité d accueil de jour et d hébergement temporaire en direction des personnes âgées dépendantes en 2010 Le suivi de l activité des établissements ayant une activité d accueil de jour et

Plus en détail

DOSSIER D INSCRIPTION

DOSSIER D INSCRIPTION HÉBERGEMENT EN ÉTABLISSEMENT D ACCUEIL POUR PERSONNES ÂGÉES DOSSIER D INSCRIPTION Vous envisagez de vous inscrire dans un établissement d accueil pour personnes âgées. Afin de faciliter vos démarches,

Plus en détail

Les différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire

Les différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire Les différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire E.H.P.A.D E.H.P.A.D (Etablissement d hébergement pour personnes agées dépendantes) Un

Plus en détail

Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires. Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française

Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires. Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française Prévenir - Soigner - Accompagner Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires Qui est la Mutualité Française?

Plus en détail

«Politique des ARS pour les seniors»

«Politique des ARS pour les seniors» «Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service

Plus en détail

sociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT)

sociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT) Le Ministre de la Santé, de la Famille Et des personnes Handicapées A Mesdames et Messieurs les Préfets de région Direction régionales des affaires sanitaires et sociales Mesdames et Messieurs les Préfets

Plus en détail

2O14 LIVRET D ACCUEIL DES RESIDENTS. EHPAD Les Savarounes, 1 rue du Roc Blanc 63400 CHAMALIERES Tel : 04.73.31.76.00 Fax : 04.73.31.76.

2O14 LIVRET D ACCUEIL DES RESIDENTS. EHPAD Les Savarounes, 1 rue du Roc Blanc 63400 CHAMALIERES Tel : 04.73.31.76.00 Fax : 04.73.31.76. 2O14 IVRET D ACCUEI DES RESIDENTS EHPAD es Savarounes, 1 rue du Roc Blanc 63400 CHAMAIERES Tel : 04.73.31.76.00 Fax : 04.73.31.76.01 lessavarounes@wanadoo.fr Bienvenue e plus grand bien qu on puisse faire

Plus en détail

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Agence d urbanisme de la région nantaise AURAN - 88.07 n Le nombre de seniors dans l Agglomération nantaise progresse et plus particulièrement

Plus en détail

SOMMAIRE I.DUREE DU SEJOUR

SOMMAIRE I.DUREE DU SEJOUR 1 SOMMAIRE I.DUREE DU SEJOUR II.PRESTATIONS ASSUREES PAR L ETABLISSEMENT 2.1 description du logement et du mobilier fourni par l établissement 2.2 restauration 2.3 le linge et son entretien 2.4 animation

Plus en détail

dernier avis d imposition du foyer ; justificatifs des ressources des 3 derniers mois du foyer ; factures acquittées. Aide unique.

dernier avis d imposition du foyer ; justificatifs des ressources des 3 derniers mois du foyer ; factures acquittées. Aide unique. Placement en établissement médicalisé ou spécialisé Cette aide permet de faire face à la charge financière importante que représente le placement en établissement spécialisé de l adhérent ou de l ayant

Plus en détail

Un de vos proches ou vous-même avez été diagnostiqué malade d Alzheimer, ce guide peut vous aider

Un de vos proches ou vous-même avez été diagnostiqué malade d Alzheimer, ce guide peut vous aider Guide d aide à l orientation des malades et des familles Un de vos proches ou vous-même avez été diagnostiqué malade d Alzheimer, ce guide peut vous aider La maladie d Alzheimer et les maladies apparentées

Plus en détail

SYNTHÈSE. En 2012, la province Sud compte 16 700 personnes. Le maintien à domicile : solution privilégiée des personnes âgées

SYNTHÈSE. En 2012, la province Sud compte 16 700 personnes. Le maintien à domicile : solution privilégiée des personnes âgées SYNTHÈSE BP 823-98845 Nouméa Nouvelle-Calédonie (687) 27 54 81 isee@isee.nc www.isee.nc Directeur de la publication Alexandre Gautier Conception et réalisation Département publications Synthèse N 3 Édition

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

ANNUAIRE SANTE. Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires

ANNUAIRE SANTE. Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires ANNUAIRE SANTE Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires IREPS : Instance Régionale d Education et de Promotion de la Santé Poitou-Charentes (4 antennes

Plus en détail

1. Procédure d admission

1. Procédure d admission Direction générale de l action sociale SD2/SD3 Document de travail MESURE 18 : HEBERGEMENT DES MALADES JEUNES ADMISSION D UNE PERSONNE AGEE DE MOINS DE 60 ANS DANS UN ETABLISSEMENT POUR PERSONNES HANDICAPEES

Plus en détail

CONTRAT DE SÉJOUR *** HÉBERGEMENT PERMANENT

CONTRAT DE SÉJOUR *** HÉBERGEMENT PERMANENT CONTRAT DE SÉJOUR *** HÉBERGEMENT PERMANENT Etablissement d Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes Rue du Coguen - 56920 NOYAL-PONTIVY : 02 97 38 31 62 Fax : 02 97 38 30 62 Email : mdrnoyalpontivy@yahoo.fr

Plus en détail

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et

Plus en détail

Etablissements de prise en charge des seniors

Etablissements de prise en charge des seniors Etablissements de prise en charge des seniors Claudine Fabre I. Introduction Qui est vieux? Dans le langage courant, le terme de personnes âgées sousentend un individu retraité ou > 65 ans Sous cette étiquette

Plus en détail

Des aides individuelles pour prévenir votre perte d autonomie

Des aides individuelles pour prévenir votre perte d autonomie Action Sociale I janvier 2013 I Des aides individuelles pour prévenir votre perte d autonomie Plan d actions personnalisé Aides d urgence : ARDH et ASIR Logement et cadre de vie Secours exceptionnels Le

Plus en détail

l hébergement temporaire

l hébergement temporaire Dossier technique État des lieux et préconisations sur l hébergement temporaire des personnes âgées et des personnes handicapées Octobre 2011 II Ce dossier technique rend compte de l atelier pratique organisé

Plus en détail

Droits et aides pour les aidants familiaux «Être aidant être soi» Prendre soin de soi c est prendre soin de l autre.

Droits et aides pour les aidants familiaux «Être aidant être soi» Prendre soin de soi c est prendre soin de l autre. Droits et aides pour les aidants familiaux «Être aidant être soi» Prendre soin de soi c est prendre soin de l autre. 1 Qu est-ce qu un aidant familial Une personne qui vient en aide, à titre non professionnel

Plus en détail

La Mutualité en chiffres Édition 2011

La Mutualité en chiffres Édition 2011 La Mutualité en chiffres Édition 2011 La Mutualité en chiffres Édition 2011 La Mutualité, acteur principal de la complémentaire santé page 6 Sommaire Message du directeur général de la Mutualité Française

Plus en détail

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse

Plus en détail

auremar - Fotolia.com

auremar - Fotolia.com auremar - Fotolia.com Bien vivre chez soi Différents dispositifs permettent aux seniors giffois de rester chez eux avec des repas à domicile, des aides ponctuelles comme le ménage, le repassage, les courses

Plus en détail

Observatoire des EHPAD

Observatoire des EHPAD Observatoire des EHPAD Janvier 2013 KPMG et les équipes Économie Sociale et Solidaire, Santé et Secteur Public sont heureux de vous présenter la nouvelle édition de l observatoire des EHPAD 1. Les évolutions

Plus en détail

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme

Plus en détail

La politique marseillaise en faveur des Seniors

La politique marseillaise en faveur des Seniors La politique marseillaise en faveur des Seniors Le Centre Communal d Action Sociale de la Ville de Marseille est un établissement public administratif communal. Il oriente ses actions en faveur des personnes

Plus en détail

Institut Régional du Travail Social Poitou-Charentes

Institut Régional du Travail Social Poitou-Charentes Maître/Maîtresse de Maison Modalités d inscription en situation d emploi ou demandeur d emploi Protocole d allègements ou de dispense Modalités de validation Recherche de stage pour les demandeurs d emploi

Plus en détail

RÉGLEMENT INTÉRIEUR 2015 DU RESTAURANT SCOLAIRE adopté par le conseil municipal du 9 décembre 2014

RÉGLEMENT INTÉRIEUR 2015 DU RESTAURANT SCOLAIRE adopté par le conseil municipal du 9 décembre 2014 Ville de Saint-Palais-sur-Mer Groupe scolaire Lucien Robin RÉGLEMENT INTÉRIEUR 2015 DU RESTAURANT SCOLAIRE adopté par le conseil municipal du 9 décembre 2014 Préambule Le restaurant scolaire n est pas

Plus en détail

CROIX-ROUGE FRANÇAISE Hôpital d'enfants Margency. 18, rue Roger Salengro Tél 01 34 27 42 00 95580 - MARGENCY Fax 01 34 27 45 91

CROIX-ROUGE FRANÇAISE Hôpital d'enfants Margency. 18, rue Roger Salengro Tél 01 34 27 42 00 95580 - MARGENCY Fax 01 34 27 45 91 18, rue Roger Salengro Tél 01 34 27 42 00 95580 - MARGENCY Fax 01 34 27 45 91 DOSSIER ADMINISTRATIF DU PATIENT A renvoyer à Christine ANDRIEUX 18, rue Roger Salengro 95580 MARGENCY Tél 01.34.27.42.09 Fax

Plus en détail

20 rue Georges Bachelot 49520 NOYANT-LA-GRAVOYÈRE Tél. 02 41 61 51 32 - Fax 02 41 61 67 58 e-mail : mrnoyant@wanadoo.fr

20 rue Georges Bachelot 49520 NOYANT-LA-GRAVOYÈRE Tél. 02 41 61 51 32 - Fax 02 41 61 67 58 e-mail : mrnoyant@wanadoo.fr 20 rue Georges Bachelot 49520 NOYANT-LA-GRAVOYÈRE Tél. 02 41 61 51 32 - Fax 02 41 61 67 58 e-mail : mrnoyant@wanadoo.fr Sommaire pages Un cadre agréable 3 Bienvenue Situation géographique et moyens d accès

Plus en détail

MAMI SENIORS Livret d accueil

MAMI SENIORS Livret d accueil MAMI SENIORS Livret d accueil Maison «Mami seniors» : Un espace d accueil de jour non médicalisé. C est un lieu de rencontres, d échanges et d animation au cœur de Toulon. Soucieux de cultiver le lien

Plus en détail

Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012

Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 1 er février 2008 Sommaire 10 MESURES PHARES 6 RESUME DES FINANCEMENTS 7 SYNTHESE DES FINANCEMENTS PAR MESURE 8 AXE I. AMELIORER LA QUALITE DE VIE DES

Plus en détail

Ensemble des mécanismes de prévoyance collective pour faire face aux conséquences financières des risques sociaux.

Ensemble des mécanismes de prévoyance collective pour faire face aux conséquences financières des risques sociaux. R4 = SÉCURITÉ SOCIALE, CMU, ABUS ET FRAUDES R4 = SÉCURITÉ SOCIALE, CMU, ABUS ET FRAUDES DÉFINITION : Ensemble des mécanismes de prévoyance collective pour faire face aux conséquences financières des risques

Plus en détail

Lépine Providence DOSSIER DE PRESSE

Lépine Providence DOSSIER DE PRESSE Lépine Providence L E S E N S D E L A V I E DOSSIER DE PRESSE Réunir & innover au service des personnes âgées Depuis 2010, la Ville de Versailles est titulaire du label Bien vieillir. Véritable récompense

Plus en détail

Etablissement S.A.S. / ARPADE. Services d Accueil et de Soins. - Livret d accueil -

Etablissement S.A.S. / ARPADE. Services d Accueil et de Soins. - Livret d accueil - Etablissement S.A.S. / ARPADE Services d Accueil et de Soins - Livret d accueil - Association Régionale de Prévention et d Aide face aux Dépendances et aux Exclusions Valeurs fondamentales de l Association

Plus en détail

Mission d Observation de la Biomasse

Mission d Observation de la Biomasse Les synthèses de l AREC Mission d Observation de la Biomasse ENQUETE REGIONALE SUR LES CHAUFFERIES COLLECTIVES A BOIS DECHIQUETE (Saison de chauffe 2008-2009) 2009) Chiffres clés 114 chaufferies collectives

Plus en détail

FOIRE AUX QUESTIONS. Le Conseil Général de l Oise précise qu à ce jour, aucune donnée chiffrée n est disponible pour répondre à cette question.

FOIRE AUX QUESTIONS. Le Conseil Général de l Oise précise qu à ce jour, aucune donnée chiffrée n est disponible pour répondre à cette question. FOIRE AUX QUESTIONS Appel à projets relatif à la création et/ou à l extension importante d un FAM (Foyer d Accueil Médicalisé) sur le département de l Oise L objet de la présente «Foire aux Questions»

Plus en détail

AIDES SOCIALES 2015 Cocher la case correspondante à l aide concernée

AIDES SOCIALES 2015 Cocher la case correspondante à l aide concernée Pour tout renseignement, contacter le Centre de la Relation Clients : Tél. 01 44 90 13 33 Fax 01 44 90 20 15 Formulaire de contact accessible sur notre site Internet www.crpcen.fr AIDES SOCIALES 2015 Cocher

Plus en détail

VENIR SE SOIGNER EN FRANCE

VENIR SE SOIGNER EN FRANCE Quel qu en soit le motif, l entrée sur le territoire français est soumise à une obligation de «visa» (sauf nationalités dispensées). Le visa «pour raison médicale» ou «sanitaire» est un visa spécialement

Plus en détail

Aide au Retour à Domicile après Hospitalisation (ARDH) Conditions

Aide au Retour à Domicile après Hospitalisation (ARDH) Conditions CARSAT Nord-Est Aide au Retour à Domicile après Hospitalisation (ARDH) Après une évaluation globale des besoins, ce dispositif permet à la personne de bénéficier de différents services afin de l accompagner

Plus en détail

Editorial. Sommaire. Vous vivez à votre domicile Vous vivez en établissement

Editorial. Sommaire. Vous vivez à votre domicile Vous vivez en établissement 2014-2015 Editorial La politique du Conseil général vise à accompagner les personnes âgées dépendantes tout au long de leur parcours, que ce soit à domicile ou en établissement. Afin d améliorer encore

Plus en détail

vous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou territoriale,

vous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou territoriale, Vous êtes un professionnel du corps médical ou des services sociaux, vous travaillez au sein d un établissement spécialisé, vous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou

Plus en détail

Formulaire de demande(s) auprès de la MDPH

Formulaire de demande(s) auprès de la MDPH Tampon dateur de la MDPH Formulaire de demande(s) auprès de la MDPH N 13788*01 A - Identification de l enfant ou de l adulte concerné par la demande Nom de naissance : Nom d épouse ou nom d usage : Prénom(s)

Plus en détail

LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999)

LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999) Délégation ANCREAI Ile-de-France CEDIAS - 5 rue Las-Cases 75007 PARIS Tél : 01 45 51 66 10 Fax : 01 44 18 01 81 E-mail : creai.idf@9online.fr Contact : Carole PEINTRE LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION

Plus en détail

Evaluation Agi Son 2005. Agi son 2005. Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées

Evaluation Agi Son 2005. Agi son 2005. Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées Agi son Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées 1 Introduction p. 3 Méthode p.4 1. Le public p.5 A. Caractéristique des personnes interrogées

Plus en détail

I. Qu est ce qu un SSIAD?

I. Qu est ce qu un SSIAD? 1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation

Plus en détail

Connaître. facultatif. le régime. de complémentaire. santé Pour les anciens salariés

Connaître. facultatif. le régime. de complémentaire. santé Pour les anciens salariés 1 Connaître le régime facultatif de complémentaire santé Pour les anciens salariés Préambule Le 12 août 2008, l Union des Caisses Nationales de Sécurité sociale et des organisations syndicales ont signé

Plus en détail

L aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009

L aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009 L aide aux aidants Aude Comberieu Psychologue clinicienne Hôpital Émile Roux Capacité de gériatrie mars 2009 Définition L aidant naturel L aidant non professionnel L aidant familial «L aidant familial

Plus en détail

La Mutualité en chiffres

La Mutualité en chiffres La Mutualité en chiffres Édition 2012 La Mutualité en chiffres Édition 2012 La Mutualité, acteur principal de la complémentaire santé page 5 La complémentaire santé dans l activité des mutuelles Les prestations

Plus en détail

«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»

«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de

Plus en détail

+ 34,7 % 1. Le budget. L Budget exécuté 2006 à 2009 de la CNSA et budget prévisionnel 2010. entre 2006 et 2009.

+ 34,7 % 1. Le budget. L Budget exécuté 2006 à 2009 de la CNSA et budget prévisionnel 2010. entre 2006 et 2009. Chiffres clés 21 Créée en 24, la CNSA contribue au financement des politiques d aide à l autonomie des personnes âgées et des personnes handicapées. Elle consacre en particulier une grande part de son

Plus en détail

Comité national d évaluation du rsa Annexes

Comité national d évaluation du rsa Annexes Comité national d évaluation du rsa Annexes Annexe 11 La mise en place du Rsa dans les caisses d allocations familiales (*) Pauline Domingo, Stéphane Donné (Cnaf) Décembre 2011 Les documents d études sont

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

Les patients en service de soins infirmiers à domicile (SSIAD)

Les patients en service de soins infirmiers à domicile (SSIAD) Les patients en service de soins infirmiers à domicile (SSIAD) Le coût de leur prise en charge et ses déterminants Sous la direction de Karine Chevreul - URC Eco IdF Les patients en service de soins infirmiers

Plus en détail

Action sociale. Nos actions dans le domaine du handicap. L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie

Action sociale. Nos actions dans le domaine du handicap. L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie Action sociale Nos actions dans le domaine du handicap L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie Assumer au quotidien une situation de handicap est difficile pour une famille

Plus en détail

Bien vieillir à domicile : accompagner les seniors

Bien vieillir à domicile : accompagner les seniors Bien vieillir à domicile : accompagner les seniors Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays. Afin d élaborer des

Plus en détail

LIVRET D'ACCUEIL. EHPAD Valle Longa 0495532200 www.vallelonga.fr 20117 Cauro

LIVRET D'ACCUEIL. EHPAD Valle Longa 0495532200 www.vallelonga.fr 20117 Cauro LIVRET D'ACCUEIL EHPAD Valle Longa 0495532200 Sialare www.vallelonga.fr 20117 Cauro LE MOT D ACCUEIL Madame, Monsieur, Nous vous souhaitons la bienvenue à la résidence Valle Longa de Cauro. Valle Longa,

Plus en détail

Sociologie des joueurs en ligne

Sociologie des joueurs en ligne Mars 2013 Sociologie des joueurs en ligne Enquête ARJEL 2012 Autorité de régulation des jeux en ligne 2 Propos introductifs à l enquête sur la sociologie des joueurs Au-delà de la publication trimestrielle

Plus en détail

L'Obésité : une épidémie?

L'Obésité : une épidémie? Communiqué de presse 5 mars 2014 L'Obésité : une épidémie? Résultats de l'étude MGEN «Habitudes de vie et surpoids» 3 Français sur 4 se jugent en bonne santé, 1 sur 2 est en surpoids, 16% sont obèses 2/3

Plus en détail

PARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale

PARTIE I - Données de cadrage. Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Indicateur n 9 : Consommation de soins par habitant Sous-indicateur n 9-1 : Nombre de consultations de médecins par habitant, perspective internationale Le nombre moyen de consultations médicales par habitant

Plus en détail

GUIDE DES AIDES ET DES SERVICES AUX PERSONNES AGEES

GUIDE DES AIDES ET DES SERVICES AUX PERSONNES AGEES GUIDE DES AIDES ET DES SERVICES AUX PERSONNES AGEES PREAMBULE CE GUIDE VISE A DÉCRIRE DE FAÇON GÉNÉRALE TOUTES LES AIDES ET LES SERVICES QUI EXISTENT POUR LES PERSONNES ÂGÉES. IL EST DESTINÉ AUX PERSONNES

Plus en détail

CHAPITRE I Plan d Action et Développement 2011-2015 : l heure du bilan

CHAPITRE I Plan d Action et Développement 2011-2015 : l heure du bilan CHAPITRE I Plan d Action et Développement 2011-2015 : l heure du bilan 2 Plan d Action et Développement 2011-2015 : l heure du bilan Depuis le début des années 2000 3 domaines d actions : Les hébergements

Plus en détail

Le projet de loi relatif à l adaptation de la société au vieillissement

Le projet de loi relatif à l adaptation de la société au vieillissement Le projet de loi relatif à l adaptation de la société au vieillissement DOSSIER PRESSE Mars 2015 Contact : cab-fpa-presse@sante.gouv.fr www.social-sante.gouv.fr Introduction Le projet de loi relatif à

Plus en détail

POINT REGLEMENTAIRE - Le 15/11/2006

POINT REGLEMENTAIRE - Le 15/11/2006 POINT REGLEMENTAIRE - Le 15/11/2006 I- CMU COMPLEMENTAIRE 1) Calcul des ressources Par un jugement du 20 février 2006, la commission centrale d aide sociale a considéré que "l'allocation de base de la

Plus en détail

LE GUIDE PRATIQUE DE L APA

LE GUIDE PRATIQUE DE L APA LE GUIDE PRATIQUE DE L APA Allocation Personnalisée d Autonomie Principales règles, conseils et suggestions pour faire valoir vos droits Édition 2010-2011 www.capretraite.fr 0800 891 491 ÉDITORIAL LE GUIDE

Plus en détail

CODERPA 89 RAPPORT COMMISSION INTERNET ET COMMUNICATION. du mercredi 8 octobre 2008

CODERPA 89 RAPPORT COMMISSION INTERNET ET COMMUNICATION. du mercredi 8 octobre 2008 du mercredi 8 octobre 2008 Etaient présents : Mme BEAUCHEMIN M. DEFOSSEZ M. HUTIN M. OURCEYRE M. SAPIN. Absents : M. KRASNOPOLSKI. Mise au point sur le rapport qui sera lu au cours de la Séance Plénière

Plus en détail

Les campagnes budgétaires dans le secteur médico-social

Les campagnes budgétaires dans le secteur médico-social Les campagnes budgétaires dans le secteur médico-social 4 juin 2013 1 Déroulement des campagnes PA-PH dans un cadre préservé Progression de l ONDAM médico-social 2013 : Taux le plus élevé des sous objectifs

Plus en détail

La santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services

La santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services 1 solidaire Apporter une réponse concrète aux besoins de la population en matière de santé, selon des principes fondamentaux de solidarité et d entraide. Développer un important réseau d œuvres sanitaires

Plus en détail

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

Conseil Général du Calvados

Conseil Général du Calvados Conseil Général du Calvados Schéma départemental en faveur des personnes âgées 2011-2015 Page 1 Sommaire Sommaire 1. INTRODUCTION... 3 2. EVALUATION DU DISPOSITIF DE PRISE EN CHARGE ET D ACCOMPAGNEMENT

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE. Faire face à la perte d autonomie Épargner selon ses objectifs DÉCEMBRE 2014 GUIDE PRATIQUE / FAIRE FACE À LA PERTE D AUTONOMIE

GUIDE PRATIQUE. Faire face à la perte d autonomie Épargner selon ses objectifs DÉCEMBRE 2014 GUIDE PRATIQUE / FAIRE FACE À LA PERTE D AUTONOMIE GUIDE PRATIQUE Faire face à la perte d autonomie Épargner selon ses objectifs DÉCEMBRE 2014 03 AVANT-PROPOS 1 La perte d autonomie touche de plus en plus de personnes, en raison principalement du vieillissement

Plus en détail

Synthèse des questions-réponses

Synthèse des questions-réponses Synthèse des questions-réponses La feuille de soins, même non remplie par le PS (professionnel de santé) doit être jointe à la PM (prescription médicale) et aux factures. Signaler à la section, à l unité

Plus en détail

Calendrier des formations INTER en 2011

Calendrier des formations INTER en 2011 Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement

Plus en détail

au service de chacun!

au service de chacun! Les associations sanitaires et sociales : au service de chacun! Petite enfance Handicap Jeunes en danger Santé Personnes âgées Pauvreté, Exclusion * «L association est la convention par laquelle deux ou

Plus en détail

APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES

APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) ont pour objet d offrir aux personnes adultes handicapées un

Plus en détail

Les bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003

Les bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003 La Lettre de la DRASS N 2006-03-L Avril 2006 Les bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003 Au 31 décembre 2003, 40 000 rhônalpins sont affi liés à l assurance maladie par le dispositif

Plus en détail

1. Les comptes de dépôt et d épargne

1. Les comptes de dépôt et d épargne 1. Les comptes de dépôt et d épargne 1.1 Les comptes de dépôt 1.1.1 Le taux de possession d un compte de dépôt Le premier constat est celui d un accès important aux comptes de dépôt, quelle que soit la

Plus en détail

Nous pouvons faire beaucoup ensemble

Nous pouvons faire beaucoup ensemble Santé Prévoyance Protéger Prévenir Aider Soigner Solidariser Nous pouvons faire beaucoup ensemble Protéger Pour préserver ce bien inestimable qu est la santé En complément de la Sécurité sociale, la Mutuelle

Plus en détail

Le Guide pratique de l APA

Le Guide pratique de l APA Édition 2013-2014 Le Guide pratique de l APA l Allocation Personnalisée d Autonomie www.capretraite.fr 0800 891 491 ÉDITO Une personne âgée nécessite davantage de soins et de présence avec les années.

Plus en détail

dans la Loire... I ACCUEILS DE JOUR

dans la Loire... I ACCUEILS DE JOUR DES PROFESSIONNELS DU CONSEIL GÉNÉRAL DE LA LOIRE proches de chez vous Roanne 31-33 rue Alexandre Raffin 42300 Roanne Autonomie 53 rue de la République 42600 Montbrison 23 rue d'arcole 42000 Montbrison

Plus en détail

Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015

Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015 Maison de l Enfance et de la Jeunesse 2 route de Keroumen 29480 Le Relecq Kerhuon 02 98.28.38.38 02.98.28.41.11 E-Mail : mej@mairie-relecq-kerhuon.fr Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans)

Plus en détail

NOTRE ACTION SOCIALE PREND SOIN DE VOUS

NOTRE ACTION SOCIALE PREND SOIN DE VOUS NOTRE ACTION SOCIALE PREND SOIN DE VOUS NOTRE ACTION SOCIALE EN QUELQUES CHIFFRES * 35 délégations régionales 218 collaborateurs dédiés, dont 154 sur le terrain 12 500 membres d associations bénévoles

Plus en détail

ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE

ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE - 30 - ANNEXE N 3 ASSISTANCE MÉDICALE (Mutuelle Assistance International, Mutuelle Assistance France) I. CONDITIONS GÉNÉRALES En cas de besoin, chaque bénéficiaire peut, 24

Plus en détail

Il vous appartient de communiquer l'ensemble de ces documents à l'assemblée délibérante dès sa plus proche réunion.

Il vous appartient de communiquer l'ensemble de ces documents à l'assemblée délibérante dès sa plus proche réunion. TOULOUSE, le 17 janvier 2014 Le Président N/Réf. : JO14 014 01 Monsieur le Président, Conformément à l'article L. 243-5 du code des juridictions financières, je vous notifie le rapport d'observations définitives

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

se renseigner, se préparer.

se renseigner, se préparer. Personnes âgées Entrer en maison de retraite : se renseigner, se préparer. Livret 2 L entrée en maison de retraite (EHPAD*) Une solution? Pour qui? Pourquoi? Pour quand? * EHPAD : établissement d Hébergement

Plus en détail

DOSSIER DE DEMANDE D ADMISSION

DOSSIER DE DEMANDE D ADMISSION EHPAD SAINT-FRANÇOIS Tél : 0262 90 87 69 Fax : 0262 90 87 52 E mail : : secdirection.mdr@asfa.re B. P. 840 97476 Saint-Denis Cedex DOSSIER DE DEMANDE D ADMISSION Etablissement d Hébergement pour Personnes

Plus en détail

SOCIALES ENQUÊTES & OBSERVATIONS. Sommaire. www.unccas.org. Les services d aide à domicile gérés par les CCAS/CIAS FEVRIER 2012 N 3

SOCIALES ENQUÊTES & OBSERVATIONS. Sommaire. www.unccas.org. Les services d aide à domicile gérés par les CCAS/CIAS FEVRIER 2012 N 3 www.unccas.org ENQUÊTES & OBSERVATIONS SOCIALES Les enquêtes de l UNCCAS FEVRIER 2012 N 3 Sommaire Page 2 Précisions méthodologiques Page 3 Principaux résultats I - Données générales Page 8 II - Données

Plus en détail

Les Quatre Saisons. Appartement gérontologique. 36 rue Trevet 93300 Aubervilliers Tél. : 01.48.39.98.64

Les Quatre Saisons. Appartement gérontologique. 36 rue Trevet 93300 Aubervilliers Tél. : 01.48.39.98.64 Livret d accueil Les Quatre Saisons Appartement gérontologique 36 rue Trevet 93300 Aubervilliers Tél. : 01.48.39.98.64 Présentation La résidence Les Quatre Saisons est un appartement d accueil, non médicalisé,

Plus en détail

Livret d accueil L ACCUEIL DE JOUR DE LA RÉSIDENCE PEN ALLE VOUS SOUHAITE LA BIENVENUE

Livret d accueil L ACCUEIL DE JOUR DE LA RÉSIDENCE PEN ALLE VOUS SOUHAITE LA BIENVENUE Résidence de Pen Allé Rue de Général Penfentenyo 29750 LOCTUDY Tel : 02.98.87.92.10 Fax :02 98 87 89 85 penalle@fondation-masse-trevidy.com Livret d accueil L ACCUEIL DE JOUR DE LA RÉSIDENCE PEN ALLE VOUS

Plus en détail

Livret. Maison. handicapées. Maison. de prestations. des personnes. départementale

Livret. Maison. handicapées. Maison. de prestations. des personnes. départementale Livret de prestations Maison départementale des personnes handicapées Vous informer, vous orienter, évaluer vos besoins, suivre vos prestations Maison départementale des personnes handicapées PYRÉNÉES-ATLANTIQUES

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE NOUVELLES GARANTIES PRÉVOYANCE

DOSSIER DE PRESSE NOUVELLES GARANTIES PRÉVOYANCE DOSSIER DE PRESSE NOUVELLES GARANTIES PRÉVOYANCE Protection ACCIDENT Protection HOSPI Capital ÉQUIPEMENT HANDICAP / DÉPENDANCE Contact presse : Stéphanie ARREGROS Responsable Communication Tél. : 01 64

Plus en détail

ARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS

ARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS ARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS Synthèse des questionnaires destinés aux établissements

Plus en détail

La Garantie Santé. Enfin une complémentaire santé qui répond à vos attentes. Mutuelle soumise aux dispositions du livre II du Code de la Mutualité,

La Garantie Santé. Enfin une complémentaire santé qui répond à vos attentes. Mutuelle soumise aux dispositions du livre II du Code de la Mutualité, Enfin une complémentaire santé qui répond à vos attentes La Garantie Santé Mutuelle soumise aux dispositions du livre II du Code de la Mutualité, immatriculée au registre national des mutuelles sous le

Plus en détail

Observatoire des EHPAD

Observatoire des EHPAD Observatoire des EHPAD Avril 2014 Édito Nous sommes heureux de vous présenter cette nouvelle édition 2014 de l observatoire des EHPAD. Il porte sur les données de 324 EHPAD s et Privés Non Lucratifs pour

Plus en détail

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL Etat du tissu associatif et bilan de l emploi du secteur non lucratif en 2013 En bref Le Centre de ressources DLA (CRDLA) du champ social, médico-social et santé poursuit son

Plus en détail

PRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN

PRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN PRESENTATION ACTION SOCIALE PREVOYANCE MICHELIN 1 1 L ACTION SOCIALE NOS VALEURS SOLIDARITÉ Valeur centrale, elle s exprime par la mise en œuvre d interventions au profit de tous ses clients : entreprises,

Plus en détail