Carnet d Instruction Militaire Document de formation aux bases du combat Milsim appliquées à Arma

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Carnet d Instruction Militaire Document de formation aux bases du combat Milsim appliquées à Arma"

Transcription

1 Carnet d Instruction Militaire Document de formation aux bases du combat Milsim appliquées à Arma Version 1.0 du 10/01/2020

2 INTRODUCTION 4 PARTIE 1 - UN SOLDAT, DES SPÉCIALITÉS 5 Les spécialistes orientés support 5 Les spécialistes orientés matériel et explosifs 5 Les spécialistes orientés engagement longue distance 6 Les spécialistes orientés liaison et information 6 PARTIE 2 - ORGANISATION 7 Le groupe de commandement 8 Les groupes d assaut 8 Les groupes d appui 9 L appui blindé 9 L appui aérien 9 Les groupes de soutien 9 Le soutien motorisé 9 Le soutien furtif 10 PARTIE 3 - AGIR 11 Actes réflexes et actes élémentaires 11 Actes élémentaires 11 Actes réflexes 12 Les différents types de tirs et leurs utilisations - simplifié 13 Tirs de précision 13 Tirs de combat 13 Investir un bâtiment 14 Entrée en crochet 14 Entrée croisée 15 Progresser dans un couloir 17 PARTIE 4 - RÉAGIR 18 En cas de prise de feu - infanterie 18 En cas de prise de feu - véhicule de transport 18 En cas de blessé 19 En cas de blessé conscient 19 En cas de blessé inconscient 20 En cas d encadrant à terre 20 En cas d entrée dans un champs de mines 21 PARTIE 5 - LES COMMUNICATIONS 22 Compte Rendu et Désignation de Cible 22 Les Réseaux Radio 24 Définition de la procédure radiotéléphonique 24 Composition d un message 24 Ouverture d un réseau et contrôle radio 25 2

3 Fréquences communes employées au B.A.R. 26 Termes de procédure 26 Rappel Alphabet phonétique 27 Schéma d un réseau Haut dirigé 27 Définitions 28 PARTIE 6 - LES DÉPLACEMENTS 29 Les formations 29 Les modes de progression 32 Les techniques d action 34 PARTIE 7 - LES VÉHICULES 37 Véhicules terrestres 37 Les convois en mouvement 37 Les convois à l arrêt 38 La progression avec des véhicules 40 Véhicules aériens 40 Embarquement et débarquement 40 Règles à bord 41 Parachutage 41 CONCLUSION 43 3

4 INTRODUCTION Le Carnet d Instruction Militaire est un guide que nous, les fondateurs du B.A.R., avons conçu à partir de notre savoir-faire en matière de Milsim. Il contient beaucoup de vocabulaire et de procédures employés lors de nos opérations afin d assurer leur bonne exécution. Bien que le CIM puisse paraître complexe au premier abord, il est en réalité facile à mettre en application sur le terrain. Nous ne vous demandons bien évidemment pas de l apprendre par coeur (hormis pour les encadrants), mais rien qu une lecture de temps en temps vous permettra de mieux comprendre le déroulement des actions et procédures employées sur le front. C est de toute façon à l usage que vous réussirez à faire de l application de son contenu un automatisme. Pour établir ce document, nous nous sommes inspirés de différents Traités Toutes Armes (TTA, notamment le 150, Titre IV Combat Proterre) en vigueur dans l armée française, ainsi que de sources telles que le Manuel d Emploi de la Section d Infanterie (INF 202), et des Techniques d Action Immédiates (TAI). Toutes les illustrations utilisées ont été créées par nous-même. Nous espérons que vous apprécierez votre lecture et que ce guide saura vous servir pour perfectionner votre niveau de jeu lors de nos opérations. A bientôt en jeu. Aven, Barjo, Bobx, Lewitt, Nespose. 4

5 PARTIE 1 - UN SOLDAT, DES SPÉCIALITÉS Le simple soldat est nommé grenadier-voltigeur (GV). Classiquement, il sera équipé d un fusil d assaut sur lequel un lance-grenade pourra éventuellement être monté. Il pourra également être équipé d un lance-roquette simple (différent de l équipement du spécialiste AC/AA). 1. Les spécialistes orientés support L auxiliaire sanitaire (Auxsan) a le rôle de personnel soignant. En jeu, il est le seul élément à même de relever un soldat inconscient. Bien que devant faire davantage preuve de prudence que les autres soldats, il n en reste pas moins un combattant qui participe aux engagements. Le Tireur Appui Direct (TAD) est un soldat doté d un Fusil Mitrailleur (FM) léger (en assaut) ou lourd (en appui). Son rôle est d utiliser sa puissance de feu pour apporter, comme son nom l indique, un appui (ou une interdiction) lors de manoeuvres, d effectuer des tirs de suppression pour fixer l ennemi, et plus largement de contribuer à la supériorité du feu lors des engagements. Ces deux premières spécialités sont généralement rassemblées au sein des équipes Bravo, plus en retrait au niveau de l action et dont le rôle est davantage le soutien que l assaut. 2. Les spécialistes orientés matériel et explosifs Le sapeur démineur ou ingénieur de combat est un soldat spécialisé à rôle multiple. Il est tout d abord en charge de la pose d engin explosif (mine antipersonnel ou anti-véhicule, charge explosive) et du déminage de ces mêmes engins. C est également le spécialiste apte à réparer et ravitailler les véhicules et à créer des brèches dans des enceintes grillagées. Le spécialiste AC/AA est compétent dans l utilisation de tous les types de lanceurs anti-chars ou anti-aérien. Il maîtrise les différents modes de guidage/verrouillage, l utilisation des divers optiques, et sait quelle munition utiliser en fonction de la cible à neutraliser. Il est primordial dans l élimination de menaces véhiculées majeures. 5

6 3. Les spécialistes orientés engagement longue distance Le tireur de précision (TP) est un combattant d appui armé d un fusil de précision dont le rôle est de neutraliser des cibles précises (autres TP, position armée fixe) représentant une menace directe pour la progression des groupes d assaut dont il peut faire partie. Sa portée pratique est de 100 à 900m. Quand le rôle du TAD est généralement d apporter un tir de suppression, le TP doit quant à lui tirer pour tuer. Le tireur d élite (TE) est, à la différence du TP, nettement éloigné de la section d assaut. Ainsi isolé, il se doit d être particulièrement prévoyant et donc attentif à ce que sa dotation en équipement lui permette d assurer son autonomie. Il reste néanmoins toujours accompagné en binôme d un spotter chargé de lui donner les informations de tirs. Le TE est équipé d un fusil à verrou, sa distance d engagement minimale est de 900m et maximale de 2500m (en jeu). Sa capacité à rester camouflé est déterminante pour le bon accomplissement de sa mission d élimination de cibles prioritaires. 4. Les spécialistes orientés liaison et information L opérateur radio (OPR) est le spécialiste en charge des communications avec les groupes de supports (aérien notamment) afin d orienter leurs missions en lien avec les besoins et positions des troupes au sol. Il organise en collaboration avec les pilotes les appuis et soutiens nécessaires. L'opérateur drone est l élément en charge du pilotage des véhicules non-habités terrestres et/ou aériens à des fins logistique, de reconnaissance ou d appui en fonction de l appareil utilisé. Ces deux derniers opérateurs sont généralement rattachés au groupe de commandement (GRIZZLI) afin d avoir une proximité directe avec le chef de section qui organise le déploiement stratégique global de l opération. 6

7 PARTIE 2 - ORGANISATION La structure du Bataillon d Action Rapide s articule autour de groupes aux rôles spécifiques. Il peut s agir de groupes d assaut, de commandement, d appui ou de soutien. Tous ces groupes rassemblés constituent ce que l on appelle une section, commandée précisément par un Chef de Section (CDS). De la même manière, chaque groupe est encadré par un Chef de Groupe (CDG). Enfin, les groupes d assaut sont constitués de deux équipes, encadrées à leur tour par des Chefs d Équipe (CDE). L ensemble du cadre hiérarchique peut ainsi se représenter à l aide du schéma suivant : 7

8 1. Le groupe de commandement Le groupe de commandement du B.A.R. se nomme GRIZZLI. Il est composé à minima du CDS, pouvant être accompagné de 4 autres personnels spécialisés. Ceux-ci peuvent être des TAD équipés en FM lourd, des AUXSAN, des TP équipés en fusil de précision, et des combattants équipés en AC/AA (Anti-Char/Anti-Air). Le groupe peut également accueillir un sapeur ou un opérateur drone ou radio. De part sa constitution, GRIZZLI peut donc également remplir, en plus du commandement, des missions variés d appui lourd, de soutien et de reconnaissance. 2. Les groupes d assaut Les indicatifs de nos quatre groupes d assaut sont BLEU, ROUGE, JAUNE et VERT. BLEU est notre groupe d assaut principal et ROUGE notre groupe d assaut secondaire. Les deux autres groupes ne sont mis en place qu en cas de nombre de participants suffisamment conséquent pour compléter les autres groupes au préalable. Chacun de ces groupes est constitué de deux équipes coordonnées par un CDG. Au cours d une opération, le CDG peut alternativement être plus proches d une équipe que de l autre. De manière général, il est l élément faisant le lien entre les deux équipes. Les équipes constituant les groupes sont: - ALPHA, qui est un t rinôme de choc constitué de GV pouvant être équipés en lanceur AC (Anti-Char) léger, parfois d un sapeur à la place de l un des deux GV, et enfin le CDE lui-même. On parle ici du CDE BRAVO, qui est un trinôme d appui. Celui-ci est constitué la plupart du temps d un AUXSAN, d un TAD (ou parfois d un TP) et du CDE. On parle ici du CDE 600. Au total, le groupe d assaut est donc classiquement constitué de 7 personnels, encadrement compris. Les membres d une même équipe doivent toujours s assurer de rester à une proximité suffisante pour être à portée de vue et de voix les uns des autres. Il est d ailleurs indispensable de communiquer en permanence, ne serait-ce qu en transmettant les ordres, pour s assurer que ses équipiers sont toujours debout. 8

9 3. Les groupes d appui a. L appui blindé Le groupe de cavalerie mécanisée se nomme SCORPION. Composé d unités blindées, il apporte un appui lourd aux groupes d assaut, mais peut également mener ses propres missions de protection de secteur et de destruction des unités blindées ennemies. Malgré sa puissance de feu et son blindage, les unités de SCORPION restent des cibles fragiles et prioritaires pour l ennemi. Elles doivent donc opérer à distance, ou en proximité directe des groupes d assaut, notamment en situation urbaine. b. L appui aérien Notre groupe d appui aérien se nomme FAUCON. Ce groupe peut aussi bien être composé d hélicoptères de combat que d avions de chasse en fonction des opérations. Les hélicoptères accueillent, pour un grand nombre d entre eux, deux membres d équipage (pilote et tireur) quand les avions n accueillent qu un seul personnel (pilote). Le CDG de FAUCON (le pilote dans le cas d un équipage hélicoptère) est en liaison constante avec l opérateur radio pour coordonner ses actions avec celles des équipes au sol. 4. Les groupes de soutien a. Le soutien motorisé ATLAS est notre groupe de soutien motorisé. Il opère des missions variées telles que : - le transport héliporté (insertion et récupération des troupes) - la logistique (livraison des réapprovisionnements), - la reconnaissance à l aide de drones, - l appui feu par l usage d artillerie. 9

10 b. Le soutien furtif ZULU est notre cellule formée d un binôme TE (Tireur d Élite). Son rôle principal est de fournir des informations aux CDS (Chef de Section) via des actions de reconnaissances sur le terrain. En raison de son équipement, la cellule est également capable de traiter des cibles prioritaires sur de longues distances. De part son rôle et l obligation de rester furtif, ZULU se situera toujours éloigné du reste de la section. 10

11 PARTIE 3 - AGIR 1. Actes réflexes et actes élémentaires a. Actes élémentaires Tout combattant, quelque soit son rôle, se doit de maîtriser 3 d actes élémentaires: - Se déplacer, qui s appuie sur les actes réflexes (détaillés plus loin) : - s Orienter, pour savoir où aller; - Progresser, pour définir par où et comment y aller; - Observer, pour garder connaissance aussi bien de ce qu il y a sur les avants que sur les côtés et s assurer de ne pas marcher sur un piège; - Tirer, en cas de riposte nécessaire; - Garder la liaison, pour ne perdre personne lors du déplacement (notamment autre que colonne); - Rendre compte, si une cible est repérée pendant la progression. - Se poster en choisissant un point VITAL. C est-à-dire, qu il permette de - V oir en restant soi-même I nvisible, de T irer tout en étant à l A bris, et enfin de conserver la L iaison avec l encadrement/le commandement. - Utiliser son arme en préparant son tir (appréciation de la distance, sécurité enlevé, munition chargée, secteur de tir et points dangereux identifiés), en effectuant le tir (début et arrêt sur ordre ou sur initiative si autorisation) selon le cadre de la mission de tir (précisé plus loin), et en effectuant un compte-rendu de tir. 11

12 b. Actes réflexes Pour être plus précis, les actes élémentaires s appuient eux-mêmes sur 11 actes réflexes. Bien que pouvant paraître évidents, il est indispensable de les avoirs à l esprit et d en faire des automatismes, quelque soit le cadre de combat. Il s agit des actes suivants: - P rogresser: au-delà de mettre un pied devant l autre, il s agit surtout de savoir adapter en fonction de la situation son mode de progression (marche, marche rapide, course, accroupi, allongé) et sa posture (arme levée, baissée, en visée). - se P rotéger: parce que c est toujours plus simple que vous restiez debout plutôt que de venir vous ramasser. Pensez à utiliser tous les couverts possibles pour masquer votre position et vous abriter, aussi bien des hostiles au sol que aériens le cas échéant. - G arder la liaison: au sein des trinômes notamment, il s agit de rester à portée de vue et de voix de vos coéquipiers, et de régulièrement vous assurer qu ils sont tous debout. - A pprécier une distance: pour anticiper les déplacements, mais également pour évaluer si une cible est à portée de tir. Aidez-vous de repères connus (classiquement un stade de foot ~100m). La carte peut vous aider. Lorsque vous zoomez sur celle-ci, le quadrillage noir fin représente 100 mètres entre chaque ligne. - R endre compte: tel que vu dans la partie 3. Communication (NVAD). - D ésigner un objectif: tel que vu dans la partie 3. Communication (DDRO) - C ommuniquer: à la voix ou par radio selon la procédure vue dans la partie 3. Communication (Composition d un message). Bien que possible avec les ACE, nous n utilisons pas la communication par geste dans nos opérations. - s O rienter : tel qu indiqué dans la partie 3. Communication, il est possible pour déterminer une direction d utiliser les points cardinaux (Nord, Sud, Est, Ouest), le cadran horaire (avant = midi, arrière = 6h, droite=3h, gauche=9h) et l azimut (Nord =0, Est=90, Sud=180, Ouest=270 ). - se C amoufler: en utilisant le relief, la végétation, les structures solides et les différences de luminosité. - O bserver: en respectant son secteur de surveillance et en identifiant des points de repères (éléments facilement repérables) et points dangereux (zone de dissimulation et progression potentielle pour l ennemi). - T irer: en adaptant le mode et volume de tir à la situation ainsi qu à la mission. Pour vous aider à mémoriser ces actes, pensez au terme mnémotechnique PP GARD COCOT. 12

13 2. Les différents types de tirs et leurs utilisations - simplifié Sur ordre d un CDE ou directement du CDG, un combattant pourra ouvrir le feu sur une ou plusieurs cibles, mais pas nécessairement dans un but d élimination. En effet, bien que cela ne semble pas évident au premier abord, une arme ne sert pas qu à tuer mais également à remplir différentes missions de tir. Voici une liste (simplifiée) des différents types de tirs accompagnés d'exemples qui peuvent être demandé à un combattant. a. Tirs de précision Détruire : mettre définitivement hors d usage ou hors de combat, selon qu il s agit de matériels ou d une formation (personnel). Concrètement, il s'agit de tirer pour tuer, voir d aller jusqu à l explosion pour un véhicule. Neutraliser : mettre l ennemi hors d état d agir efficacement pendant un temps déterminé (surtout anti-matériel) Cette action vise à être moins longue que la destruction d un ennemi, mais également plus économe en munitions, pour un véhicule on aura tendance à tirer sur les roues plutôt que de le détruire. b. Tirs de combat Le tir de suppression (fixer) : Exercer sur l ennemi une pression suffisante pour lui interdire tout mouvement ou tout redéploiement de dispositif. On fera un feu soutenu sur l ennemi pour lui interdir toutes actions. Tir de saturation : Tirer un grand nombre de projectiles dans un secteur donné. Le but est de rendre un secteur invivable ou impénétrable par l ennemi. Ces deux derniers types de tirs sont communément appelés la boule de feu, ils ont pour but de saturer une zone ennemie par un feu allié dans un but bien précis. (souvent le repli ou la destruction) En revanche, une boule de feu est une action risquée, car elle fait utiliser toute la dotation de munitions en une seule fois et pour une seule mission. 13

14 3. Investir un bâtiment Le combat en milieu confiné, autrement appelé Close Quarter Battle (CQB) étant de plus en plus prépondérant dans les conflits actuels, il est indispensable de maîtriser un minimum de manoeuvre pour investir et se déplacer dans un bâtiment. Ainsi, pour pénétrer dans un bâtiment ou dans une pièce, il existe deux manières principales d entrer, avec de légères variantes. Il s agit de l entrée en crochet et de l entrée croisée. Le choix de la méthode à adopter dépend de la configuration de la pièce à investir, sous réserve qu elle soit connue soit par un plan du bâtiment à disposition ou soit par une fenêtre permettant d avoir un regard sur l intérieur de la pièce à pénétrer. En l absence de cette information, l encadrant indiquera la méthode à adopter. a. Entrée en crochet Entrée en crochet avec toute l équipe du même côté de l ouverture 14

15 Entrée en crochet avec l équipe de part et d autre de l ouverture Comme on peut le voir dans les deux schémas ci-dessus, l entrée en crochet consiste pour le premier élément à suivre directement le mur sur lequel il est appuyé. Dans la version où l équipe est réunie du même côté de l ouverture, le deuxième élément effectuera pour sa part une diagonale afin d avoir en surveillance le secteur opposé de la pièce investie. S il le deuxième élément est, à l inverse, de l autre côté de l ouverture, il effectuera un mouvement en miroir de celui effectué par le premier élément. Dans tous les cas, le troisième élément prendra en surveillance le secteur directement face à la porte. b. Entrée croisée Entrée croisée avec toute l équipe du même côté de l ouverture 15

16 Entrée croisée avec l équipe de part et d autre de l ouverture Dans le cas d une entrée croisée, on peut voir que cette fois-ci le premier élément part directement en direction du coin opposé à sa position par rapport à l ouverture. Le deuxième élément fera, quant à lui, soit un crochet s il est du même côté que le premier élément, soit une diagonale également s il est de l autre côté de l ouverture. Le troisième élément continue de prendre le secteur face à l ouverture. Quelque soit la méthode d ouverture retenue, plusieurs points sont à retenir: - La manoeuvre doit être rapide et fluide. De l intensité de cette dernière dépendra la survie de l ensemble des soldats. - Les éléments ne se placeront de part et d autres de l ouverture que s il s agit d une porte fermée. L intérêt d avoir des éléments de chaque côté de l ouverture est de contribuer à la fluidité de la manoeuvre. - Chaque élément prendra en secteur de tir la direction strictement opposée à celui qui le précède. Ainsi, même si la méthode d entrée envisagée n est pas respecté par le premier élément, les éléments suivants devront automatiquement s adapter. - Les angles de pièces situés dans le prolongement des murs sur lesquels est appuyé le dispositif doivent être nettoyés en premier avant de revenir progressivement (mais rapidement) vers le centre de la pièce, en respectant toujours son secteur de tir. - Il ne faut jamais rester dans l encadrement ou sur le pas de la porte, même en cas d ennemi repéré directement en face de l ouverture. Une fois la manoeuvre initiée, il est nécessaire de poursuivre le mouvement jusqu au bout. 16

17 - Avant d entrer dans une pièce, il est possible de lancer une grenade dans cette dernière pour neutraliser ou au moins étourdir les hostiles présents. Toutefois, cela ne se fera que sur ordre du CDE, et ne devra jamais se faire si une présence autre que hostile est possible (civil, otage, VIP,...). c. Progresser dans un couloir Dans le cadre d une progression dans un couloir, il sera important de maximiser la puissance de feu sur les avants. Ainsi, dans la mesure du possible, deux éléments progresseront de façon simultanée en se tenant de part et d autre du couloir. Ils prendront en secteur de surveillance le côté du couloir opposé à leur position (je suis à gauche du couloir, je surveille à droite, et inversement). Progression dans un couloir à 3 et 4 éléments Comme on peut le voir ci-dessus, en cas de 3ème élément dans le dispositif (équipe trinôme classique), celui-ci prendra en surveillance l arrière de la progression en restant à couvert derrière l un des deux éléments de tête. En cas de 4ème élément (équipe + CDG par exemple), celui-ci se positionnera au milieu du couloir, légèrement en retrait des deux premiers et surveillera directement l avant de la progression. 17

18 PARTIE 4 - RÉAGIR 1. En cas de prise de feu - infanterie En cas de prise de feu par une menace ennemie (on parle de TIC pour Troops in Contact ), tous les éléments devront directement réagir par des tirs en direction de l ennemi pour chercher à obtenir un effet de suppression sur ce dernier. Dans le même temps, il est nécessaire d identifier une position pour se mettre à couvert. Une fois le couvert pris, le feu pourra reprendre en effectuant cette fois des tirs de destruction. On appelle cette procédure réflexe l effet RIPOSTE POSTE RIPOSTE. Elle doit être mise en place immédiatement au début d un TIC sans qu aucun chef ne l ordonne. À la suite de cela, le CDG pourra réagir de trois manières : - Tenir la position (si cette dernière est favorable) - Ordonner une rupture de contact en déroulé (si la position n est pas favorable) - Ordonner un feu et mouvement (déplacement + tir) si la menace ennemie est trop importante 2. En cas de prise de feu - véhicule de transport 3 éléments sont à prendre en considération dans la réaction à adopter lorsqu un véhicule est pris à partie au cours d un convoi: - la menace : connaît-on sa direction et sa puissance? Quel est le degré d urgence? - le véhicule : quelle est sa puissance moteur, sa puissance de feu et la résistance de son blindage? - l environnement : où se situe la meilleure zone pour se mettre à couvert? Un danger (mine, ennemis, ) peut-il se situer en dehors de l axe de progression initialement prévu? En fonction de ces différentes informations, le conducteur devra décider de la réaction à adopter. Celui-ci étant responsable de la sécurité de son véhicule et de ses occupants, la décision lui reviendra quant à la conduite à tenir. Compte-tenu des éléments ci-dessus, il décidera donc s il doit reculer ou bien continuer l avancée sur les avants ou dévier de sa trajectoire pour trouver un couvert, hors contre-ordre immédiat. Il est donc indispensable que le conducteur soit constamment attentif à l ensemble de son environnement afin d anticiper au maximum les zones lui permettant de mettre le véhicule en sûreté. 18

19 De leur côté, tous les personnels tireurs (armement fixe monté ou par ouverture de toit) devront riposter en direction de la menace pour opérer un effet de suppression. Une fois le couvert pris, le CDG pourra procéder à l ensemble des personnels non-tireurs tels qu évoqué dans en début de partie 5.1.b Les convois à l arrêt. 3. En cas de blessé Lors du déroulement de toute opération, il est fortement probable qu un soldat se retrouve blessé que ce soit par balle, à cause d une explosion, d une chute ou tout autre chose et, dans le pire des cas, il peut également tomber en état d inconscience. La réaction à avoir n est évidemment pas la même face à un soldat blessé ou inconscient. a. En cas de blessé conscient Le soldat commence par se mettre à couvert AVANT de signaler à son CDE qu il a besoin de soin pour que celui-ci transmette l information au CDG. Ce dernier organisera la formation en fonction de la menace pour permettre au soldat blessé de rejoindre l Auxsan. Selon la nature des blessures (comme aux jambes) et du terrain, l Auxsan pourra se déplacer directement jusqu au blessé, sous réserve que cela ne l expose pas de façon à un risque trop important. Il faut garder en tête que tous les soldats disposent d un minimum d équipement de soin sur eux (bandages et morphine), ce dont il devra s assurer avant le départ en mission. Avant d appeler l Auxsan, il pourra donc éventuellement procéder lui-même à ses soins s ils ne sont pas trop importants. Pour vous soigner, appuyer sur la touche H en ne visant aucun joueur pour accéder à votre menu médical. Vous pouvez également passer votre interface ACE personnel en cliquant sur ctrl + windows. Lorsque vous vous soignez vous-même, assurez-vous surtout d arrêter les saignements en cliquant sur la partie du corps qui saigne (en rouge plus ou moins foncé), puis sur bandage. Les douleurs peuvent être calmées plus rapidement à l aide de morphine (à injecter dans un bras ou une jambe). 19

20 b. En cas de blessé inconscient Le CDG doit être informé qu un (ou plusieurs) soldat est inconscient, cette information provenant idéalement d un CDE (Chef d équipe) ou directement des soldats si la situation l exige (si plus de CDE). Une fois le CDG informé de la situation, on procède comme il suit : Le CDG désigne un soldat comme élément de récupération, ce dernier sera chargé de transporter les blessés inconscient à l abri. Le groupe devra effectuer des tirs de suppression pour empêcher la menace ennemi d agir, avant d envoyer des fumigènes entre les ennemis et les hommes à terre. le contact visuel étant rompu grâce aux fumigènes, le CDG peut ordonner à son élément de récupération d aller chercher le (ou les) soldat inconscient en indiquant la zone sécurisée ou les déposer. ATTENTION: L Auxsan ne doit jamais être l'élément de récupération car il serait alors beaucoup trop exposé au danger. Son rôle sera davantage de participer à la suppression. Il est également possible que vous passiez par un état d inconscience temporaire avant de vous réveiller. Gardez bien en tête également que lorsque vous êtes inconscient, les autres joueurs ne peuvent plus vous entendre. 4. En cas d encadrant à terre Si un CDG est inconscient, l information devra être transmise le plus rapidement possible au CDS ( GRIZZLI ). Pour ce faire, un CDE se verra transmettre la gestion du groupe temporairement jusqu à ce que son CDG soit de retour. Cela veut dire qu il devra dans un premier temps ce connecter à la fréquence radio du commandement pour contacter GRIZZLI afin de lui annoncer la situation et dans un deuxième temps être capable de commander le groupe. Une fois la communication établie, il sera important d apporter un certain nombre d informations au CDS pour l aider dans sa prise de décision. On l informera ainsi du nombre de blessés (et leur rôle s il s agit des encadrants et/ou de l Auxsan), de la provenance des tirs et du nombre estimé d ennemi (si possible). Dans l attente de la réponse du CDS, l élément ayant repris l encadrement devra rapidement réfléchir à la stratégie à mettre en oeuvre: faut-il tenir la position ou faut-il opérer un repli? S il y a repli, quel sera la destination et l itinéraire? Les blessés peuvent-ils être ramassés ou le risque est trop important/trop peu de personnel est disponible pour porter les blessés? Des renforts sont-ils nécessaires (un Auxsan par exemple)? Une fois la stratégie envisagée, celle-ci est proposée au CDS pour validation de la manoeuvre et demande de renforts si nécessaire. Dès la réponse du CDS obtenu, il sera 20

21 alors temps d initier le mouvement s il y a lieu, ou de poursuivre la riposte si la position est maintenue. En cas de repli, il faudra penser à avertir à nouveau le CDS pour qu il soit à jour de la situation. Pour éviter la confusion et les erreurs, la transmission de l encadrement du groupe suit le schéma suivant : - CDG à terre = CDE 600 prend le commandement - CDG + CDE 600 à terre = CDE 300 prend le commandement - CDG + CDE CDE 300 à terre = l AUXSAN prend le commandement Notez qu à ce moment-là, si l AUXSAN tombe à son tour, ce sera au joueur se sentant le plus capable de prendre en charge l encadrement des éléments restants. À plus petite échelle, si un CDE est à terre, l un de ses exécutants devra se connecter à la fréquence radio du groupe pour communiquer rapidement l information à son CDG. 5. En cas d entrée dans un champs de mines Les champs de mines peuvent être véritablement dévastateur, c est pourquoi il convient au maximum de les éviter. Néanmoins, si vous apprenez qu il y a présence d un champs de mines sur votre itinéraire, le SAPEUR qui est l élément pouvant être équipé d un détecteur de mines sera alors très utile pour éviter de déclencher l une d elle. Il devra à ce titre prendre la tête du dispositif avant d entrer dans le champs de mine pour s assurer de détecter la position de ces dernières afin de les désamorcer ou d établir l itinéraire permettant de les contourner. Nous invitons les joueurs désireux de savoir comment désamorcer des mines de prendre connaissance de la FSE Sapeur. Pour sortir d un champ de mines, il faut en priorité que tout le monde stoppe sa progression dès que la présence de mine a été signalée, une fois tous à l'arrêt, le CDG ordonne un repli, la formation fait marche arrière, les premiers deviennent donc les derniers. Chaque soldat marchera alors exactement dans les traces de celui qui le précède et un espacement d au moins 20 mètres sera respecté. 21

22 PARTIE 5 - LES COMMUNICATIONS 1. Compte Rendu et Désignation de Cible Afin de rendre compte à son chef direct, à tous les échelons qu il soit, il existe une trame afin d être le plus précis et le plus exact possible dans son récit. Il est en effet primordial de savoir effectuer correctement ce que l on appelle une désignation de cible, c est à dire ce que je vois, où je le vois, en somme. Tout combattant sans exception (y compris les encadrants) se doivent de connaître les deux formules qui suivent, complémentaires entre elles : - DDRO (Direction, Distance, Repère, Objectif) - Direction : il s'agit de la direction vers laquelle regarder. Vous pouvez l exprimer de 3 manières différentes, à savoir en point cardinal (Nord, Sud etc), en cadran horaire ou en azimut. Attention cependant dans le cas de ce dernier, il est relatif à votre propre position. Il est donc formellement interdit et totalement inutile de donner une direction par radio, en utilisant un azimut. Partez d un principe simple : à partir du moment où vous êtes obligé de parler à la radio avec votre destinataire, l utilisation d azimut devient caduque. - Distance : la distance qui vous sépare de l objet/personnel (pax)/objectif que vous désignez. Si vous n êtes pas équipé d un télémètre, essayez d évaluer les distances avec des repères connus, par exemple 1 stade de foot = 100m. - Repère : afin de donner la possibilité d'identifier rapidement ce que vous désignez, il est utile de préciser un repère remarquable, comme par exemple une maison rouge dans un pâté de maisons blanches, ou un gros rocher esseulé au beau milieu d une plaine verte, ou encore une église, une route etc - Objectif : c est l objet de votre désignation, un pax, un char etc afin d être le plus précis possible et d apporter un maximum d information, vous devez décomposer votre objectif avec l acronyme ci-après, le NVAD. - NVAD (Nature, Volume, Attitude, Direction) - Nature : de quoi s agit-il? infanterie? blindé? installation militaire? etc - Volume : pax esseulé? groupe/section? une division entière? - Attitude : sont-ils alerté ou au contraire sont-ils nonchalant? 22

23 - Direction : sont-ils en position statique ou en mouvement? quel vecteur de déplacement? et à quelle vitesse? Ici, le DDRO est correct, mais le NVAD (intégré dans le O ) est incomplet un DDRO complet + NVAD complet 23

24 2. Les Réseaux Radio L utilisation du matériel radiotéléphonique est l un des aspects les plus importants sur un champ de bataille, car il permet, notamment, d acheminer des informations comme du renseignement ou des ordres. Cependant, si l utilisation de ce matériel ne suit pas les procédures adéquates, cela peut devenir un élément perturbateur, et peut créer par exemple de la confusion au sein de l appareil de combat, ce qu il faut bien entendu à tout prix éviter. Dans un premier temps, il est utile de préciser (ou de rappeler) que l utilisation des réseaux de communication pour les exécutants ne doit quasiment pas exister, sauf cas exceptionnels. En effet, l exécutant étant intégré dans une équipe de combat (trinôme), elle-même intégrée dans un groupe de combat, il doit toujours rester à portée de voix avec son chef d équipe. A partir du moment où l utilisation d une radio devient nécessaire pour lui, c est qu il est trop éloigné de son CDE, situation étant anormale. Dans une situation normale, l usage de la radio est donc réservé aux divers encadrants. a. Définition de la procédure radiotéléphonique La procédure radiotéléphonique a pour but de fixer la forme et la succession des différentes parties d une conversation ou d un message, devant être acheminé par moyen de transmission. Les règles de procédure visent à conserver l exactitude du texte à transmettre, à favoriser la rapidité de la transmission, et à favoriser la clarté et la compréhension des messages. L inobservation de ces règles, toute divergence ou fantaisie sont à proscrire car elles créent inévitablement de la confusion, elles réduisent l efficacité et la rapidité des messages, et elles peuvent amener à l échec de la mission. b. Composition d un message Un message qui doit être transmis par des moyens de radiocommunication doit être structuré, afin de rendre la transmission rapide, fluide et claire. C est LE principe de base à respecter en tout temps sur un réseau dirigé et employant la procédure standard. La structure de la communication se décompose ainsi: - L appel : la communication débute toujours par un appel, qui contient l indicatif du destinataire, puis de l expéditeur. Remarquez que le destinataire est toujours mentionné en 1er, afin d attirer son attention pour qu il soit immédiatement à l écoute de la transmission. 24

25 - La conversation : il s agit de la partie essentielle de la communication. Pour une bonne compréhension mutuelle, les acteurs de la transmission doivent strictement observer les règles suivantes : Savoir quoi dire, en préparant AVANT de parler à la radio les éléments de la conversation. Comment le dire, être précis ET concis, articuler correctement. - Le final : doit obligatoirement figurer à la fin de chaque transmission. Lui seul permet le fonctionnement en alternat. Il se compose, suivant les cas, des termes de procédure suivants : - PARLEZ : fin de la transmission, en attente d une réponse. - ATTENDEZ : la transmission est stoppée quelques secondes, la communication reste ouverte, personne ne peut prendre la parole sur la fréquence en attendant. - ATTENDEZ TERMINER : la transmission est stoppée plus de quelques secondes, la communication est donc fermée et la fréquence est libérée. - TERMINER : fin de la transmission, aucune réponse attendue ou demandée, fin de la communication générale, la fréquence est ainsi libérée. Afin de faciliter la compréhension des explications, utilisons cet exemple de transmission simple : GRIZZLY : BLEU de GRIZZLY, effectuez un bond de 100m sur vos avants, parlez - L appel est BLEU de GRIZZLY - La conversation correspond à effectuez un bond de 100m sur vos avants. - Le final est donc parlez, l expéditeur attend donc une réponse du destinataire. c. Ouverture d un réseau et contrôle radio Afin d utiliser les radios, il est nécessaire de régler les fréquences à utiliser au cours de l opération. Pour saisir ces fréquences, vous devez ouvrir votre radio avec Ctrl + P pour la courte portée, et avec Alt + P pour la longue portée, puis vous entrez votre fréquence, et enfin validez en cliquant sur le bouton FREQ de la radio. Afin de vérifier que vous avez bien réglé votre fréquence, et afin de confirmer à votre encadrant que vous êtes entré sur cette fréquence, vous devez effectuer un contrôle radio avec ce dernier. Pour cela, vous devez décrire la force (volume) et la lisibilité (qualité) de la réception. - Pour décrire la force : fort, assez fort, faible, très faible - Pour décrire la lisibilité : clair, lisible, déformé, avec interférence 25

26 Exemple : - BLEU de GRIZZLY, contrôle radio, parlez - GRIZZLY de BLEU, fort et clair, parlez - BLEU de GRIZZLY, terminer. Réseaux Haut : d. Fréquences communes employées au B.A.R. - Commandement : 40 - Sol / Air : 50 - Sol / Sol : 60 Réseaux Bas : - Groupe : 100 (Bleu), 200 (Rouge), 300 (Jaune), 400 (Vert) - Équipe : reprendre la plage de son groupe, et y ajouter 30 pour Alpha, 60 pour Bravo (exemple pour Bleu Bravo = = 160) e. Termes de procédure 26

27 f. Rappel Alphabet phonétique g. Schéma d un réseau Haut dirigé 27

28 h. Définitions 28

29 PARTIE 6 - LES DÉPLACEMENTS Pour cette partie, il faut bien garder à l esprit ce qui apparaît finalement en ligne de fond dans les parties précédentes, à savoir que le soldat fait partie d un ensemble plus grand et n agit donc pas de façon individuelle. L ensemble de ses déplacements doivent ainsi se coordonner avec le reste de son équipe, de son groupe et de la section, sous l autorité des encadrants qui régissent ces différentes strates. Il n y a donc pas de loup solitaire qui décide de partir seul en reconnaissance de sa propre initiative, qui s arrête pour fouiller un corps ou qui part en arrière pour se réapprovisionner. De manière générale, l organisation des déplacements et les réflexes de chaque combattant doivent contribuer à préserver autant que possible la furtivité du dispositif. La furtivité est en effet la clé permettant de conserver l initiative des actions sur l ennemi. Chaque soldat devra donc être vigilant à utiliser les éléments du décor pour dissimuler sa position (végétation, relief, bâtiment, ), à limiter les bruits qu il produit (moteur de véhicule, coup de feu inopiné, volume des discussions orales, ) et utiliser son équipement avec prudence (par exemple: une lampe-torche de nuit se repère vite et un ennemi équipé de JVN verra vos faisceaux laser). 1. Les formations Les déplacements des équipes et groupes sont réalisés en respectant des formations bien définies et qui sont au nombre de 4: - La ligne : formation à utiliser lors des assauts, du franchissement de route, ainsi que dans l approche de crêtes et de lisières. Cette formation permet à la fois d être moins vulnérable aux tirs venant de face, mais également de mieux exploiter la puissance de feu du groupe en direction de cette menace. En milieu urbain, la ligne sera également utilisée pour opérer un franchissement rapide d un axe par l ensemble du dispositif. 29

30 - La colonne : formation permettant un déplacement rapide et à utiliser lorsque les conditions de visibilité sont mauvaises (brouillard, luminosité faible) ou pour suivre un chemin. Dans un contexte urbain, le groupe pourra être séparé en deux colonnes constituées de chaque équipe et progressant en quinconce de façon synchronisée afin que les deux équipes puissent s apporter un appui mutuel. Colonne simple Double colonne en quinconce 30

31 - La colonne décalée ou échelon : cette formation permet une progression vers l avant, tout en répartissant la puissance de feu sur un côté de la colonne où se situe une menace potentielle, en dégageant les lignes de feux de chaque élément de la colonne. Echelon gauche Echelon droit - Le chevron ou delta: cette formation est utilisée quand, au cours de la progression, le danger se situe aussi bien sur l avant que sur les côtés. Exemple de formation en chevron Bien que représentées à l échelle d une équipe dans les schémas ci-dessus, ces formations s appliquent également à l échelle groupe. Le CDG précise alors la place de chaque équipe dans le dispositif ainsi que sa propre position à l intérieur de celui-ci. Les formations à appliquer sont communiquées par les encadrants (CDG et CDE), mais reste néanmoins dictées par le terrain et plus largement le contexte. 31

32 En plus de la formation, l encadrant précise également l allure (ou ambiance) du déplacement: - ambiance rapidité pour un déplacement à allure soutenue en effectuant de grands bonds - ambiance sûreté pour un déplacement à allure réduite avec des bonds plus courts et des pauses plus fréquentes L encadrant pourra de plus préciser si le déplacement doit s effectuer arme levée ou arme baissée. 2. Les modes de progression Lors de traversées de zones dégagées ou d ouvertures en zone urbaine, l équipe (ou le groupe) pourra employer deux modes de progression : - Le tiroir: mode de progression plus lent et sans dépassement. Chaque élément va effectuer la traversée à tour de rôle avant d être rejoint par le reste du dispositif. Une manière de se représenter cette progression est de considérer que le premier élément ouvre le tiroir et le dernier élément referme le tiroir une fois que l ensemble s est regroupé au point à atteindre. Le tiroir est utilisé quand le niveau de danger et de connaissance du terrain oblige à une progression plus lente et plus sécurisée. Progression en tiroir de couvert en couvert Lorsque la progression s effectue à l échelle du groupe, le CDG peut demander l envoi d un binôme éclaireur qui sera ensuite rejoint en bloc par l ensemble restant du groupe. - Le perroquet: mode de progression plus rapide avec dépassement. Il est utilisé dans les situations où le risque est maîtrisé et permet une progression rapide, ou à l inverse dans le cadre des progressions en milieu urbain où le mouvement doit rester constant et fluide. 32

33 Schéma d une progression en perroquet de couvert en couvert Dans un contexte urbain, quand une zone est ouverte sur l un des côtés de la progression (intersection, angle de bâtiment, rupture entre deux murs, ), l élément de tête devra annoncer cette ouverture et faire un contrôle prudent de ce qui s y trouve. Si aucune menace n est à signaler, il annoncera alors R.A.S! pour que le reste des éléments poursuivent la progression tandis qu il restera lui-même en couverture avant de traverser à son tour. En cas de présence hostile, il agira selon les règles d engagement prévues. Application du perroquet dans un milieu urbain On peut voir dans le schéma ci-dessus que l ouverture à traverser et les midi (avant de la progression) sont toujours sous surveillance d un élément. Ici, 2 garde les midis tout le long 33

34 du mouvement, et l ouverture est d abord gardé par 1, puis par 3 afin que 1 puisse rejoindre le reste de l équipe. Il faut également noter que le premier élément à traverser laisse suffisamment de place derrière lui pour que les éléments suivants puissent se mettre à couvert. Le dernier personnel à traverser l ouverture doit se signaler auprès du personnel en couverture en indiquant Dernier! à celui-ci lorsqu il passe à son niveau. Dans le schéma, 3 dira Dernier en passant au niveau de 1, et 1 dira Dernier à son tour en passant au niveau de Les techniques d action Les techniques d action sont des manoeuvres pouvant être déployées dans le cadre d engagement avec l ennemi. Nous allons nous intéresser à trois techniques en particulier pouvant être utilisées dans des environnements obligeant à une progression en colonne (urbain, sentier forestier avec végétation particulièrement dense). Il s agit du tube avant, du tube arrière. et du tube latéral. - Le tube avant: il s agit d une manoeuvre en réaction à une menace ennemie présente sur les avants. On parle ici de manoeuvre offensive car le but est de continuer la progression en enfonçant la ligne ennemie pour l obliger à reculer, ou au moins à se mettre à couvert, en maintenant un feu nourri dans sa direction. Le tube avant est utilisé quand le fait de reculer ou de se mettre soi-même à couvert ne sont plus des options (par exemple: traversée d un pont). Déroulement du tube avant 34

35 Le schéma ci-dessus représente le déroulement de la manoeuvre. Ici, tout en avançant, l élément 1 vide son chargeur en direction de l ennemi. Une fois son chargeur vide, il se décale sur le côté (ici la gauche) dans ce que l on va appeler le couloir de mouvement, s arrête, abaisse son profil (à genoux) et recharge son arme tandis que le reste de la colonne progresse sur l avant dans le couloir de feu cette fois en continuant d ouvrir le feu. L élément 2 tire environ une dizaine de coup avant de se décaler à son tour. L action se répète ainsi jusqu à ce que le franchissement soit entièrement complété et que l ensemble puisse se remettre à couvert. - Le tube arrière: il s agit cette fois d une manoeuvre dite défensive, toujours en réaction à un ennemi présent sur les avants de la progression. Cette manoeuvre est utilisée quand le repli est possible et qu il n est pas nécessaire d aller chercher directement le contact avec l ennemi. Le but sera néanmoins, comme pour le tube avant, d obliger l ennemi à se mettre à couvert pendant que l ensemble effectue la manoeuvre. Déroulement du tube arrière Dans le déroulé ci-dessus, l élément 1 vide dans un premier temps son chargeur en direction de l ennemi. Puis il se décale sur la gauche, fait demi-tour pour emprunter le couloir de mouvement tout en rechargeant et va se placer à l arrière de la colonne tandis que l élément 2 tir à son tour en direction de l ennemi en restant dans le couloir de feu avant d effectuer le même mouvement que le premier élément. Pendant que les éléments en tête de colonne effectuent leur mouvement, ceux en queue de colonne peuvent commencer à lancer des fumigènes sur les avants afin de masquer la progression. - Tube latéral: cette manoeuvre peut être mise en place quand la menace ne vient cette fois plus de l avant, mais du côté de la colonne. Lors de la prise de feu, chaque élément va ainsi pivoter à 90 vers la menace afin de créer une ligne qui lui fait face. Le tube latéral va ainsi permettre le repli (ou la poursuite de la progression selon le 35

36 plus adéquat) en faisant en sorte que l ensemble des éléments produisent une boule de feu en direction de l ennemi. Déroulement du tube latéral à gauche avec contact à gauche Dans le cas du déroulé ci-dessus, la colonne est prise à partie sur la gauche. L ensemble des éléments pivote donc en direction de la menace pour créer une ligne et fait en sorte de laisser un espace derrière celle-ci pour créer le couloir de mouvement. Chaque élément va ensuite décrocher à tour de rôle pour passer derrière la ligne et aller se positionner à l extrémité opposée pendant que les éléments restant maintiennent le feu. Lors de son déplacement, le personnel recharge et signale à l élément après lui de décrocher à son tour. Plus encore que pour les modes de progression présentés précédemment, la fluidité est le maître mot lors de la réalisation des tubes afin de limiter au maximum l exposition au risque. Cette fluidité ne peut s obtenir que par la répétition lors d entraînements dédiés. Également, en condition réelle, les soldats peuvent taper sur le dos ou le casque de leur collègue pour signaler le moment où ils doivent décrocher où quand eux-mêmes décrochent (en fonction du mouvement en cours). Dans Arma, bien que l interaction soit possible avec ACE, elle casse la dynamique du mouvement, peut provoquer un miss-click, et n est pas forcément tout à fait notable pour celui qui reçoit la tape sur l épaule dans le feu de l action. C est pourquoi de manière générale, et en particulier dans ce type de déroulement qui demande une grande fluidité, nous n utilisons pas cette interaction et tout doit bien être signalé à la voix. Il faut enfin prendre en considération que le déroulement du tube provoque une consommation importante de munitions. Il est donc nécessaire de le mettre en application de façon raisonnée et le CDG devra rapidement faire un contrôle Personnel Armement Matériel (PAM) une fois la situation revenue au calme. 36

37 PARTIE 7 - LES VÉHICULES 1. Véhicules terrestres Tout comme les fantassins, les véhicules se déplacent en formation qu on peut appeler également convoi. En embarquant dans un véhicule, chaque personnel exécutant annoncera qu il est embarqué. Une fois que tous les membres d une équipe/d un groupe seront embarqué, le CDE/CDG indiquera à son supérieur que son ensemble est verrouillé. a. Les convois en mouvement Le CDS donne un ordre de déplacement ainsi qu une distance d espacement (appréciée par celui-ci en fonction de la zone à traverser) à respecter entre chaque véhicule. Cet espacement sert à éviter que l ensemble de la section soit prise dans une embuscade ou que plusieurs véhicules soient impactés par la même explosion de mine le cas échéant. Dans un convoi en formation normale, l espacement sera identique entre chaque véhicule. Dans un convoi en formation de patrouille, le véhicule de queue sera plus éloigné du reste de la section. 37

38 Dans un convoi en formation éclairée, le véhicule de tête sera plus éloigné du reste de la section. Dans tous les cas, si le véhicule le permet, les personnels embarqués surveilleront l horizon depuis les ouvertures/périscopes. En cas de contact hostile, on notera que seul l armement du véhicule a besoin d être exposé à l ennemi. Le conducteur coopérera avec son tireur pour mettre à couvert la plus grande partie possible de son véhicule tout en permettant à l armement de continuer à avoir une ligne de vue sur l ennemi, ce que l on appelle une position de défilade (ou hull-down en anglais que l on traduirait en châssis masqué). b. Les convois à l arrêt L'arrêt de la section peut être de courte ou longue durée. Dans tous les cas la section devient particulièrement vulnérable. La réaction à avoir sera alors de procéder à un débarquement de l ensemble des personnels non-tireurs, sous réserve de l ordre donné par l encadrant. L infanterie se mettra immédiatement à couvert à proximité du véhicule, mais suffisamment loin pour éviter d être pris dans l explosion de ce dernier le cas échéant. Si aucun couvert n est disponible, on prendra le véhicule comme couverture (sous la coque, derrière une roue ou une portière, etc ). 38

39 Lors d un arrêt court le conducteur postera son véhicule de manière à dégager la voie, permettre un nouveau départ rapide et si possible le dissimuler aux vues ennemies. Lors d un arrêt long, les engins sortent de l itinéraire. Le CDS postera les véhicules selon l environnement, de manière écartée et camouflée, prêts à repartir dans les meilleures conditions. Dans tous les cas, les formations les plus utilisées lors d un arrêt sont : - l épi, où les véhicules se placent alternativement de chaque côté de la route à un angle léger. Chaque véhicule choisi ainsi le côté opposé au véhicule de devant. - La croix, où les véhicules se placeront face à quatre directions opposées. Le CDS pourra réassigner un véhicule d un côté à un autre si nécessaire. 39

40 c. La progression avec des véhicules Chars, VCI (Véhicule de Combat d Infanterie), voiture blindée Les véhicules sont des démultiplicateurs de force impressionnants au sein d un appareil de combat. Ils sont cependant fragiles face aux explosifs et nombreuses armes antichar présentes sur les champs de bataille. Il est donc important pour l infanterie de leur apporter du renseignement, surtout en combat rapproché où ils sont les plus vulnérables, ainsi qu une protection contre l infanterie ennemie. Les véhicules en retour apporteront leur appui sous forme de tirs directs, de couvert mobile, de fumigènes, etc L onde de choc du tir d un blindé est mortelle, ne restez pas à proximité immédiate d un char d assaut allié! 2. Véhicules aériens a. Embarquement et débarquement Si l'hélicoptère dispose d une hélice de queue, il est impératif que la section approche l appareil par l avant. Si l appareil dispose d hélices sur les ailes, la section approchera alors par la queue ou les flancs arrières de l appareil. Tandis que la section embarque ou débarque, sur ordre du CDS, les personnels devront couvrir l appareil : - soit en se postant de chaque côté des portes ou de la soute dans la forme d une pointe inversée, les personnels embarquants décrochant des extrémités en passant dans l entonnoir ainsi formé. 40

INF 202 MANUEL D'EMPLOI DE LA SECTION D'INFANTERIE. Approuvé le : 18 juin 1999 Edition 1999 Sous le n 5382/EAI/CETEI

INF 202 MANUEL D'EMPLOI DE LA SECTION D'INFANTERIE. Approuvé le : 18 juin 1999 Edition 1999 Sous le n 5382/EAI/CETEI INF 202 MANUEL D'EMPLOI DE LA SECTION D'INFANTERIE Approuvé le : 18 juin 1999 Edition 1999 Sous le n 5382/EAI/CETEI SOMMAIRE AVANT PROPOS 1 Partie LE COMBAT DU FANTASSIN ET DU TRINOME. Chapitre 1 - Le

Plus en détail

IDENTIFIER LES TEMPS DE JEU NE PAS PERDRE LE BALLON

IDENTIFIER LES TEMPS DE JEU NE PAS PERDRE LE BALLON BENJAMINS IDENTIFIER LES TEMPS DE JEU N TACHE SITUATION N 1 Objectif Avancer pour conserver-progresser ou pour déséquilibrer But Marquer Règles Interdit de défendre dans la zone défensive tant que le ballon

Plus en détail

La téléassistance en questions

La téléassistance en questions 8 La téléassistance en questions Il y a une coupure de courant, qu est-ce que je fais? Vous ne faites rien. Une batterie de secours de plusieurs heures est incluse dans le transmetteur. Vous pouvez éventuellement

Plus en détail

TOP 1 ARI ET INVESTIGATION. ARI et investigation

TOP 1 ARI ET INVESTIGATION. ARI et investigation ARI ET INVESTIGATION Le binôme. 2 Sommaire Rôle du binôme (grand volume). Rôle de l équipier. Rôle du chef d équipe. La progression du binôme. 3 Rôle du binôme (grand volume) RAPPEL : 1 binôme = 1 mission

Plus en détail

CONSTRUCTION DE LA CIBLE

CONSTRUCTION DE LA CIBLE CONSTRUCTION DE LA CIBLE TACHES Jeux sur cibles fixes N 1 Remplir sa maison Posséder les plus de ballon que l adversaire. Au signal de l éducateur, chaque joueur part en course chercher un ballon dans

Plus en détail

L Essentiel des Règles de jeu du GN Version 2014-finale

L Essentiel des Règles de jeu du GN Version 2014-finale L Essentiel des Règles de jeu du GN Version 2014-finale Ceci est un résumé. Pour le détail des règles, reportez vous au document complet. NOTA : Nous avons souhaité une simplification radicale des règles

Plus en détail

Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits

Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits Contexte Les crues ont parfois des effets dévastateurs sur la vie humaine, les infrastructures, l économie, les espèces sauvages

Plus en détail

Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)

Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances

Plus en détail

KAYAK DE MER NIVEAU I

KAYAK DE MER NIVEAU I KAYAK DE MER NIVEAU I Objectif du cours Associer plaisir et sécurité lors d une journée d initiation. Donner au kayakiste novice ou sans expérience les connaissances théoriques et pratiques de base pour

Plus en détail

Tutoriel Prise en Main de la Plateforme MetaTrader 4. Mise à jour : 7/09/2009 1.6

Tutoriel Prise en Main de la Plateforme MetaTrader 4. Mise à jour : 7/09/2009 1.6 Tutoriel Prise en Main de la Plateforme MetaTrader 4 Mise à jour : 7/09/2009 1.6 Ce tutoriel de prise en main permet d utiliser les principales fonctionnalités de MetaTrader. La plateforme MetaTrader utilise

Plus en détail

OUTILS DE GESTION ET D EVALUATION AU POSTE : Collecte/réparation/vente d électroménager. Assistant(e) secrétaire commercial(e)

OUTILS DE GESTION ET D EVALUATION AU POSTE : Collecte/réparation/vente d électroménager. Assistant(e) secrétaire commercial(e) OUTILS DE GESTION ET D EVALUATION AU POSTE : Collecte/réparation/vente d électroménager Assistant(e) secrétaire commercial(e) Référentiel d activités+analyse d activités Référentiel de compétences Référentiel

Plus en détail

Equipe EPS 68 L athlétisme à l école primaire Page 56 sur 109

Equipe EPS 68 L athlétisme à l école primaire Page 56 sur 109 Equipe EPS 68 L athlétisme à l école primaire Page 56 sur 109 LANCER EN ROTATION lancer d anneaux FONDAMENTAUX Tenir l engin en pronation (paume vers le bas) Lancer avec tout le corps Les lancers en rotation

Plus en détail

J.9. Annexe DOSSIER D ENQUÊTE PRÉALABLE À LA DÉCLARATION D UTILITÉ PUBLIQUE

J.9. Annexe DOSSIER D ENQUÊTE PRÉALABLE À LA DÉCLARATION D UTILITÉ PUBLIQUE LIGNE 16 : NOISY CHAMPS < > SAINT-DENIS PLEYEL (LIGNE ROUGE) LIGNE 17 : LE BOURGET RER < > SAINT-DENIS PLEYEL (LIGNE ROUGE) LIGNE 14 : MAIRIE DE SAINT-OUEN < > SAINT-DENIS PLEYEL (LIGNE BLEUE) DOSSIER

Plus en détail

La téléphonie via Internet..(VoIP) Une solution économique et versatile

La téléphonie via Internet..(VoIP) Une solution économique et versatile Skype-1, Atelier 116 Pour débutant La téléphonie via Internet..(VoIP) Une solution économique et versatile Titulaire: Michel Bédard (revj-avril-2013) Plan du cours (Skype-1) Possibilités multiples de SKYPE

Plus en détail

PASS ARAN. Maison du Valier - Gite Eylie 9 h 25 mn Dénivelée +1642m -1582 m

PASS ARAN. Maison du Valier - Gite Eylie 9 h 25 mn Dénivelée +1642m -1582 m PASS ARAN Maison du Valier - Gite Eylie 9 h 25 mn Dénivelée +1642m -1582 m Maison du Valier 950m 0h Tél 05 61 01 01 01 Suivre vers le Nord le GR 10 (balisage rouge et blanc) qui remonte au parking pour

Plus en détail

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service

Plus en détail

Miraboat. Système alarme autonome pour bateaux

Miraboat. Système alarme autonome pour bateaux Miraboat Système alarme autonome pour bateaux CATALOGUE 2013 INTRODUCTION 1 UN SYSTÈME ALARME DANS UN BATEAU, POURQUOI, COMMENT. Chaque année, les vols et dégradations dans les bateaux de plaisance sont

Plus en détail

Art. 8, al. 3 OCR Routes à plusieurs voies, circulation à la file 3

Art. 8, al. 3 OCR Routes à plusieurs voies, circulation à la file 3 Règles et situations exceptionnelles Dépasser par la droite? Ravaldo Guerrini (Texte et graphiques) Dépasser par la droite, c est quoi finalement? Quand peut-on ou non devancer ou dépasser par la droite?

Plus en détail

Service Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09

Service Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 CAISSE RÉGIONALE D ASSURANCE MALADIE RHÔNE -ALPES Service Prévention des Risques Professionnels 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 FT 1022 OCTOBRE

Plus en détail

La hernie discale Votre dos au jour le jour...

La hernie discale Votre dos au jour le jour... La hernie discale Votre dos au jour le jour... Votre dos est fragile. Ce document va vous aider à le préserver au jour le jour. Si vous venez de vous faire opérer, certaines activités vous sont déconseillées

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL

FICHE TECHNIQUE : SANTE ET SECURTE AU TRAVAIL SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Mesurer et prévenir les risques professionnels Liés aux conditions générales de travail, les risques professionnels font peser sur les salariés la menace d une altération de

Plus en détail

QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE

QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE Le premier contact avec vos élèves est déterminant, il y a de nombreux éléments à prendre en compte pour le réussir. Un professeur doit

Plus en détail

Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I.

Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I. Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés Le Code du Travail R 232-1-13: La signalisation relative à la sécurité et à la santé au travail doit être conforme à des modalités déterminés par

Plus en détail

HA2000 RTC Transmetteur téléphonique

HA2000 RTC Transmetteur téléphonique HA2000 RTC Transmetteur téléphonique Manuel d installation & d utilisation SOMMAIRE I. GENERALITES...2 1) CONTENU DU KIT...2 2) IDENTIFICATION...2 3) ALIMENTATION...3 4) CONNEXION A LA LIGNE TELEPHONIQUE...4

Plus en détail

2004 2014 : un risque a chassé l autre

2004 2014 : un risque a chassé l autre 2004 2014 : un risque a chassé l autre En 10 ans, le profil des conducteurs français a évolué, leur rapport à la conduite aussi. Pour autant le poids des bons et mauvais conducteurs est resté stable, de

Plus en détail

La mécanique sous le capot

La mécanique sous le capot La mécanique sous le capot L ergonomie Comment éviter et diminuer les TMS aux membres supérieurs Pourquoi vos articulations vous font-elles souffrir? De nombreux travailleurs souffrent de troubles musculo-squelettiques

Plus en détail

Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée

Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement

Plus en détail

DOCUMENTATION POINT FACTURE

DOCUMENTATION POINT FACTURE DOCUMENTATION POINT FACTURE Documentation Point Facture Page 1 sur 30 Introduction Description des fonctionnalités Prise en charge de périphérique de saisie & imprimante Configuration matérielle minimum

Plus en détail

RANGEMENT ET NETTOYAGE EFFICACE DU CLOS DU SART

RANGEMENT ET NETTOYAGE EFFICACE DU CLOS DU SART RANGEMENT ET NETTOYAGE EFFICACE DU CLOS DU SART Toute anomalie, détérioration ou problème de propreté à votre arrivée devra être signalé avant votre activité dans la salle afin qu il n y ait pas de malentendu

Plus en détail

en s entraînant avec le Stability Trainer Votre guide professionnel d entrainement journalier

en s entraînant avec le Stability Trainer Votre guide professionnel d entrainement journalier En forme, en s entraînant avec le Stability Trainer Votre guide professionnel d entrainement journalier DEMANDEZ L O R I G I N A L www.thera-band.de Contenance Introduction...2 Le Stability-Trainer...3

Plus en détail

SYSTÈMES DE ROQUETTES À INDUCTION Lance-roquettes Roquettes. www.tda-armements.com

SYSTÈMES DE ROQUETTES À INDUCTION Lance-roquettes Roquettes. www.tda-armements.com SYSTÈMES DE ROQUETTES À INDUCTION Lance-roquettes Roquettes www.tda-armements.com Intégration : un précieux savoir-faire Dialogue avec les roquettes Conforme à toutes les normes OTAN Intégré sur LH10 ELLIPSE

Plus en détail

En savoir plus? www.securite-routiere.gouv.fr

En savoir plus? www.securite-routiere.gouv.fr En savoir plus? www.securite-routiere.gouv.fr twitter.com/routeplussure Délégation à la sécurité et à la circulation routières Place des Degrés Tour Pascal B 92055 LA Défense Cedex DSCR - AVRIL 2013 -

Plus en détail

Formation analyse des accidents du travail avec l arbre des causes

Formation analyse des accidents du travail avec l arbre des causes Formation analyse des accidents du travail avec l arbre des causes Rappel: définitions Accident: - événement soudain Permet de distinguer l accident de la maladie, et en particulier de la maladie professionnelle

Plus en détail

Manuel d utilisation DeveryLoc

Manuel d utilisation DeveryLoc Manuel d utilisation DeveryLoc Page 1/37 Version Numéro de la version Date de modification Modification apporté Version v.1 Le 1 juillet 2004 Version v.2 Le 1 Juin 2006 Page 2/37 SOMMAIRE 1. SE CONNECTER

Plus en détail

Jeu de tirs et passes L artilleur

Jeu de tirs et passes L artilleur Livret de jeux L'artilleur La queue du scorpion Le ballon couloir La balle aux chasseurs Qui attrape? Les contrebandiers Les petits paquets La queue du diable Le tunnel ballon Le relais abattre les quilles

Plus en détail

ACTIVTE N 2 CONTRAT D ACTIVITE NIVEAU 6 ème Objets techniques Matériaux Energies Evolution objets techniques Réalisation T.I.C DECOUVERTE DU POSTE INFORMATIQUE PRESENTATION DE L ACTIVITE Cette activité

Plus en détail

SECURITE - Quelques règles - Ce document est vivant, chacun peut proposer des améliorations en accord avec le Road Marshal. Doc001-3A Page 1/16

SECURITE - Quelques règles - Ce document est vivant, chacun peut proposer des améliorations en accord avec le Road Marshal. Doc001-3A Page 1/16 SECURITE - Quelques règles - Ce document est vivant, chacun peut proposer des améliorations en accord avec le Road Marshal. Doc001-3A Page 1/16 La rubrique des Safety Officers Les signes à connaître Le

Plus en détail

Mieux vivre avec votre écran

Mieux vivre avec votre écran Mieux vivre avec votre écran Ajustez le poste de travail La position la plus confortable pour la lecture de l écran et la frappe sur clavier est celle qui permet le respect des principes suivants : A.

Plus en détail

Arbitrer. LE FUTSAL.quelques éléments de compréhension

Arbitrer. LE FUTSAL.quelques éléments de compréhension Arbitrer Un exercice complexe que ce livret du jeune arbitre essaie de rendre abordable et simple. Il contient : - des éléments de compréhension du futsal (esprit du jeu, sens général du règlement) - 10

Plus en détail

LE MOT DU PRESIDENT DU CNSV. Ce livret de Bord appartient à : Nom :.. Prénom :.. Classe :.. Adresse :.. Tel :..

LE MOT DU PRESIDENT DU CNSV. Ce livret de Bord appartient à : Nom :.. Prénom :.. Classe :.. Adresse :.. Tel :.. PHOTO LE MOT DU PRESIDENT DU CNSV Nous avons le plaisir de vous accueillir au Club Nautique des Salles sur Verdon pour vous faire découvrir et vous proposer un apprentissage des activités nautiques. Ce

Plus en détail

Rédiger pour le web. Objet : Quelques conseils pour faciliter la rédaction de contenu à diffusion web

Rédiger pour le web. Objet : Quelques conseils pour faciliter la rédaction de contenu à diffusion web Rédiger pour le web Objet : Quelques conseils pour faciliter la rédaction de contenu à diffusion web Sommaire 1. Rédiger des contenus... 2 Lire à l écran : une lecture contraignante... 2 Ecrire des phrases

Plus en détail

MIEUX VIVRE AVEC SON HEMIPLEGIE

MIEUX VIVRE AVEC SON HEMIPLEGIE Comment aider un hémiplégique COMMENT AIDER UNE PERSONNE HÉMIPLÉGIQUE... - La sortie du lit - Le transfert - Au fauteuil - La marche en deux temps Chaque personne a gardé des capacités et des possibilités

Plus en détail

RACCOURCIS CLAVIERS. DEFINITION : Une «combinaison de touches» est un appui simultané sur plusieurs touches.

RACCOURCIS CLAVIERS. DEFINITION : Une «combinaison de touches» est un appui simultané sur plusieurs touches. S Vous n aimez pas la souris Les raccourcis clavier sont là pour vous faciliter la vie! INTRODUCTION : Vous avez du mal à vous habituer à la manipulation de la souris Des solutions existent : les raccourcis

Plus en détail

Prendre le bus. Un outil pédagogique pour utiliser le bus à destination des personnes âgées

Prendre le bus. Un outil pédagogique pour utiliser le bus à destination des personnes âgées Prendre le bus Un outil pédagogique pour utiliser le bus à destination des personnes âgées Les étapes de votre parcours 1 Vous préparez votre voyage 4 Vous montez dans le bus 2 Vous repèrez votre point

Plus en détail

Pagaie rouge. Lieu de pratique Plan d eau calme ou piscine comprenant un parcours sur deux buts (terrain 36 mètres par 20 mètres).

Pagaie rouge. Lieu de pratique Plan d eau calme ou piscine comprenant un parcours sur deux buts (terrain 36 mètres par 20 mètres). Compétences Compétences générales Naviguer avec vitesse et précision (performance) en s engageant et en prenant des informations pertinentes dans un contexte très complexe et incertain de déplacement,

Plus en détail

Collection de photos échantillons

Collection de photos échantillons Collection de photos échantillons SB-800/600 Entrez dans le monde passionnant du Système d Eclairage Créatif de Nikon avec le SB-800/600. Les numéros de page se rapportent aux explications dans le manuel

Plus en détail

Carte transmetteuse téléphonique vocale pour centrale d alarme filaire 432 77

Carte transmetteuse téléphonique vocale pour centrale d alarme filaire 432 77 Carte transmetteuse téléphonique vocale pour centrale d alarme filaire 432 77 Présentation Caractéristiques techniques Ce transmetteur téléphonique est classé TRT au sens de la norme, il est raccordable

Plus en détail

LES TOUT PREMIERS PAS

LES TOUT PREMIERS PAS DESMODO, un logiciel de gestion d idées http://www.desmodo.net/ LES TOUT PREMIERS PAS Desmodo est un logiciel (libre) qui permet, entre autre, de visualiser et de synthétiser, de manière organisée, sous

Plus en détail

Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.

Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.

Plus en détail

D.I.C.R.I.M. DOCUMENT D INFORMATIONS COMMUNAL SUR LES RISQUES MAJEURS LES BONS REFLEXES EN CAS DE RISQUES MAJEURS

D.I.C.R.I.M. DOCUMENT D INFORMATIONS COMMUNAL SUR LES RISQUES MAJEURS LES BONS REFLEXES EN CAS DE RISQUES MAJEURS D.I.C.R.I.M. DOCUMENT D INFORMATIONS COMMUNAL SUR LES RISQUES MAJEURS LES BONS REFLEXES EN CAS DE RISQUES MAJEURS Les incendies de forêts ou les inondations sont les principaux risques majeurs qui peuvent

Plus en détail

Capteur mécanique universel HF 32/2/B

Capteur mécanique universel HF 32/2/B Capteur mécanique universel HF 32/2/B Instructions matériel conforme aux directives CE d emploi et d entretien MS 32/2/B R 3/3 CONSIGNES PRIORITAIRES 2 INSTALLATION DU CAPTEUR HF 32 3 4-5 INSTALLATION

Plus en détail

Qu est-ce qu un risque majeur? graves dommages grand nombre de personnes

Qu est-ce qu un risque majeur? graves dommages grand nombre de personnes Qu est-ce qu un risque majeur? Un aléa grave d origine naturelle (inondation, tempête, séisme, ) ou technologique (barrage, transport, ) qui peut causer de graves dommages à un grand nombre de personnes,

Plus en détail

PROGRAMMATION DES ACTIVITÉS D ATHLETISME DU CYCLE 1 AU CYCLE 3

PROGRAMMATION DES ACTIVITÉS D ATHLETISME DU CYCLE 1 AU CYCLE 3 HAUTE SAVOIE PROGRAMMATION DES ACTIVITÉS D ATHLETISME DU CYCLE 1 AU CYCLE 3 Production du stage de mars 2004. ont participé en particulier à son élaboration : Françoise Déage, Caroline Fontana, Magali

Plus en détail

MANUEL UTILISATEUR DU SITE D INSCRIPTIONS FCL1.028 DGAC POUR LES CANDIDATS AUX CONTROLES DE COMPETENCES LINGUISTIQUES LANGUE ANGLAISE ORGANISES PAR LA

MANUEL UTILISATEUR DU SITE D INSCRIPTIONS FCL1.028 DGAC POUR LES CANDIDATS AUX CONTROLES DE COMPETENCES LINGUISTIQUES LANGUE ANGLAISE ORGANISES PAR LA Page : 1/15 MANUEL UTILISATEUR DU SITE D INSCRIPTIONS POUR LES CANDIDATS AUX CONTROLES DE COMPETENCES LINGUISTIQUES LANGUE ANGLAISE FCL1.028 ORGANISES PAR LA DGAC Page : 2/15 TABLE DES MATIERES 1. Principe

Plus en détail

Système d alarme sans fil GSM / SMS / RFID. www.camshop.fr

Système d alarme sans fil GSM / SMS / RFID. www.camshop.fr Système d alarme sans fil GSM / SMS / RFID Caractéristiques Panneau de contrôle Reconnait jusqu à 10 télécommandes Peut être connectée jusqu à 50 capteurs sans fil (contacts porte / fenêtre, radars ) Peut

Plus en détail

HA2000 GSM Transmetteur téléphonique

HA2000 GSM Transmetteur téléphonique HA2000 GSM Transmetteur téléphonique Manuel d installation & d utilisation SOMMAIRE I. GENERALITES...2 1) CONTENU DU KIT...2 2) IDENTIFICATION...2 3) INSERTION DE LA CARTE SIM...3 4) BORNE DE RACCORDEMENT

Plus en détail

CONVENTION DE MISE A DISPOSITION SALLES COMMUNALES EMILE ROUSSEAU

CONVENTION DE MISE A DISPOSITION SALLES COMMUNALES EMILE ROUSSEAU CONVENTION DE MISE A DISPOSITION SALLES COMMUNALES EMILE ROUSSEAU ENTRE : Monsieur le Maire, agissant es-qualité en vertu des délibérations du 25 septembre 2014 et du 24 octobre 2013, Désigné ci-après

Plus en détail

Contrôle parental NetAddictFree 8 NetAddictFree 8 - Guide d utilisation

Contrôle parental NetAddictFree 8 NetAddictFree 8 - Guide d utilisation NetAddictFree 8 - Guide d utilisation 1. La configuration... 2 1.1. Premier lancement de NetAddictFree... 2 1.2. Vous avez 1 ordinateur pour plusieurs personnes:... 3 1.3. Chaque enfant possède son propre

Plus en détail

Logiciel SuiviProspect Version Utilisateur

Logiciel SuiviProspect Version Utilisateur Logiciel SuiviProspect Version Utilisateur 1 Le logiciel SuiviProspect permet le suivi des prospects, mais aussi des clients et fournisseurs; il s agit des contacts. Le logiciel permet l envoi de courrier,

Plus en détail

(Mis à jour : 7 déc. 12)

(Mis à jour : 7 déc. 12) (Mis à jour : 7 déc. ) TABLE DES MATIÈRES. Étapes d une inscription en ligne (IEL)... 3. Page d accueil / Choisir le réseau... 4 3. Choix du tournoi... 5 4. Détails et tarifs d un tournoi... 6 5. Informations

Plus en détail

PLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE COMMUNE DE PUNAAUIA PARTIE 2: OPERATIONNELLE

PLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE COMMUNE DE PUNAAUIA PARTIE 2: OPERATIONNELLE 2011 PLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE COMMUNE DE PUNAAUIA PARTIE 2: OPERATIONNELLE SOMMAIRE SOMMAIRE 2 DECLENCHEMENT DU PCS 3.1 ROLE ET OBJECTIFS DU PLAN 3.2 MODALITES DE DECLENCHEMENT DES DIFFERENTES ALERTES

Plus en détail

«Identifier et définir le besoin en recrutement»

«Identifier et définir le besoin en recrutement» «Identifier et définir le besoin en recrutement» LES ETAPES DU RECRUTEMENT Le recrutement est une démarche structurée qui comporte plusieurs étapes aux quelles il faut attacher de l importance. La majorité

Plus en détail

MANUEL D UTILISATION - Précis Poste de Traitement d Images 1 - Déconvolution

MANUEL D UTILISATION - Précis Poste de Traitement d Images 1 - Déconvolution Service Commun de Microscopie MANUEL D UTILISATION - Précis Poste de Traitement d Images 1 - Déconvolution Version 1 Précis Février 2015 SERVICE COMMUN DE MICROSCOPIE MANUEL D UTILISATION Poste de Traitement

Plus en détail

Information au patient

Information au patient Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même

Plus en détail

Manuel d utilisation. Système d alarme sans fil avec transmetteur téléphonique. Réf. : AL-800. En cas de problèmes

Manuel d utilisation. Système d alarme sans fil avec transmetteur téléphonique. Réf. : AL-800. En cas de problèmes En cas de problèmes PHENIX apporte tous les soins nécessaires à l élaboration de ses produits. Si toutefois vous rencontriez un problème avec ce modèle, ne le retournez pas au magasin où vous l avez acheté

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES TRANSPORTS, DE L ÉQUIPEMENT, DU TOURISME ET DE LA MER Arrêté du 15 janvier 2007 portant application du décret n o 2006-1658 du 21 décembre 2006

Plus en détail

Introduction. Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas :

Introduction. Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas : Introduction Le CRM se porte-t-il si mal? Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas : «75 % de projets non aboutis» «La déception du CRM» «Le CRM : des

Plus en détail

Nouveau! Accédez directement à vos messages vocaux, sans mot de passe, en faisant le nouveau code 9 8 * à partir du téléphone

Nouveau! Accédez directement à vos messages vocaux, sans mot de passe, en faisant le nouveau code 9 8 * à partir du téléphone Nos services de messagerie vocale mettent à votre portée toute la puissance du téléphone et l innovation du Web. Ils vous permettent de gérer vos activités courantes avec le maximum d efficacité, de votre

Plus en détail

Notice d utilisation Version 1.0 Août 2003 FRANÇAIS CONSIGNES DE SECURITE ATTENTION : Pour éviter tout risque de choc électrique, ne pas ouvrir le capot de l appareil ni démonter le panneau arrière. L

Plus en détail

SYSTEME DE GESTION DES ENERGIES EWTS EMBEDDED WIRELESS TELEMETRY SYSTEM

SYSTEME DE GESTION DES ENERGIES EWTS EMBEDDED WIRELESS TELEMETRY SYSTEM SYSTEME DE GESTION DES ENERGIES EWTS EMBEDDED WIRELESS TELEMETRY SYSTEM Copyright TECH 2012 Technext - 8, avenue Saint Jean - 06400 CANNES Société - TECHNEXT France - Tel : (+ 33) 6 09 87 62 92 - Fax :

Plus en détail

Escalade durant l'e.p.s. à l'école primaire

Escalade durant l'e.p.s. à l'école primaire Escalade durant l'e.p.s. à l'école primaire Fabrice Paget B.E.E.S Escalade Tél : +336 88 31 14 72 fabrice.paget@orange.fr 1 Glossaire Effectifs Durée des séances Atelier escalade sans être encordée Traversées

Plus en détail

Méthode du commentaire de document en Histoire

Méthode du commentaire de document en Histoire Méthode du commentaire de document en Histoire I. Qu est-ce qu un commentaire de document? En quelques mots, le commentaire de texte est un exercice de critique historique, fondé sur la démarche analytique.

Plus en détail

CIRCUIT DE LA CHATRE

CIRCUIT DE LA CHATRE CIRCUIT DE LA CHATRE L association CastelRacing Team est heureuse de vous proposer une sortie circuit à La CHATRE (à 35 km au sud de Châteauroux) le dimanche 27 février 2011. Cette journée est ouverte

Plus en détail

AMELIORER SES COMPETENCES LINGUISTIQUES les prépositions de lieu

AMELIORER SES COMPETENCES LINGUISTIQUES les prépositions de lieu AMELIORER SES COMPETENCES LINGUISTIQUES les prépositions de lieu JEUX : Jeu des paires Quelles différences? E.P.S. : - jeu Jacques a dit - Chasse au trésor - Mise en place d un parcours ÉCOUTER, MEMORISER

Plus en détail

Aide à l Utilisation du site «Mon Monitoring»

Aide à l Utilisation du site «Mon Monitoring» Aide à l Utilisation du site «Mon Monitoring» Mise à jour Aout 2013 Identifiant :... Mot de passe :.. Lorsque vous mettez les colliers aux animaux prenez garde à la petite flèche gravée (colorée en noir

Plus en détail

GUIDE DE PARTICIPATION À UNE VIDÉOCONFÉRENCE SERVICE DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DES COMMUNICATIONS

GUIDE DE PARTICIPATION À UNE VIDÉOCONFÉRENCE SERVICE DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DES COMMUNICATIONS GUIDE DE PARTICIPATION À UNE VIDÉOCONFÉRENCE SERVICE DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DES COMMUNICATIONS 2 GUIDE DE PARTICIPATION À UNE VIDÉOCONFÉRENCE FACULTÉ DE MÉDECINE ET DES SCIENCES DE LA SANTÉ

Plus en détail

Protégez-vous des risques à l'origine des Troubles Musculo-Squelettiques (TMS) Information prévention

Protégez-vous des risques à l'origine des Troubles Musculo-Squelettiques (TMS) Information prévention Information prévention agir pour votre santé au travail Vous occupez un poste de mise en rayon dans une grande ou moyenne surface? Protégez-vous des risques à l'origine des Troubles Musculo-Squelettiques

Plus en détail

Premiers Pas avec OneNote 2013

Premiers Pas avec OneNote 2013 Premiers Pas avec OneNote 2 Présentation de OneNote 3 Ouverture du logiciel OneNote 4 Sous Windows 8 4 Sous Windows 7 4 Création de l espace de travail OneNote 5 Introduction 5 Présentation des différentes

Plus en détail

Les textes et règlements

Les textes et règlements Réglementation applicable aux chapiteaux, tentes et Note : cette fiche est extraite pour l essentiel de l ouvrage «Organiser un événement artistique dans l espace public : Guide des bons usages», édité

Plus en détail

Travaux d adaptation du logement pour les personnes âgées

Travaux d adaptation du logement pour les personnes âgées Fiche pratique Personnes âgées Travaux d adaptation du logement pour les personnes âgées Accéder à son logement - utiliser les escaliers - prendre l ascenseur - accéder aux équipements Profiter de son

Plus en détail

Module d apprentissage Jeux collectifs Cycle 1. Des objectifs d apprentissage

Module d apprentissage Jeux collectifs Cycle 1. Des objectifs d apprentissage Module d apprentissage Jeux collectifs Cycle 1 Des jeux pour entrer dans l activité 1 séance par thème Une situation de référence Pour évaluer les besoins Des objectifs d apprentissage Des situations d

Plus en détail

DESCRIPTEURS NIVEAU A2 du Cadre européen commun de référence pour les langues

DESCRIPTEURS NIVEAU A2 du Cadre européen commun de référence pour les langues DESCRIPTEURS NIVEAU A2 du Cadre européen commun de référence pour les langues ACTIVITÉS DE COMMUNICATION LANGAGIÈRE ET STRATÉGIES Activités de production et stratégies PRODUCTION ORALE MONOLOGUE SUIVI

Plus en détail

ITIL V2. La gestion des incidents

ITIL V2. La gestion des incidents ITIL V2 La gestion des incidents Création : novembre 2004 Mise à jour : août 2009 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL a été réalisé en 2004 et la traduction des

Plus en détail

Guidage des piétons aux abords des chantiers

Guidage des piétons aux abords des chantiers Guidage des piétons aux abords des chantiers Indications pour les autorités compétentes et les entreprises de construction Dominik Bucheli Samuel Flükiger Adrian Halter Thomas Schweizer 1 Sommaire 1. 2.

Plus en détail

Compact, léger et sûr. Lifts de montage en alu Nacelles individuelles en alu. www.boecker-group.com 1

Compact, léger et sûr. Lifts de montage en alu Nacelles individuelles en alu. www.boecker-group.com 1 Compact, léger et sûr Lifts de montage en alu Nacelles individuelles en alu www.boecker-group.com 1 Lifts de montage en alu Böcker Toujours à jour Dès 1958, la marque Böcker est renommée pour ses monte-matériaux

Plus en détail

Bancs publics. Problématiques traitées : FICHE

Bancs publics. Problématiques traitées : FICHE Bancs publics Pour un piéton dont les ressources de mobilité sont limitées, le banc public n est pas uniquement un lieu de détente, mais il lui sert également à retrouver des forces pour poursuivre son

Plus en détail

- Les équipements. Route à accès réglementé. Autoroute

- Les équipements. Route à accès réglementé. Autoroute SECURITE ROUTIERE : QUELQUES ELEMENTS A RETENIR Pour réviser, vous pouvez vous entrainez sur le site : http://eduscol.education.fr/cid46889/preparation-auxepreuves-securite-routiere.html L ASSR est l attestation

Plus en détail

TEST D APTITUDES PHYSIQUES POUR LES TECHNIQUES AMBULANCIÈRES (TAPTA)

TEST D APTITUDES PHYSIQUES POUR LES TECHNIQUES AMBULANCIÈRES (TAPTA) TEST D APTITUDES PHYSIQUES POUR LES TECHNIQUES AMBULANCIÈRES (TAPTA) Département de kinésiologie Octobre 2004 Document préparé par François Lecot et Arthur Long 2 Tables des matières page Considérations

Plus en détail

DOMONIAL CRT 500 HF. Notice Utilisateur EKZ 0904 00C SECOM AUTOPROTECTION PILE A U SUPERVISION OUVERTURE ALARME INTRUSION ALARME TECHNIQUE

DOMONIAL CRT 500 HF. Notice Utilisateur EKZ 0904 00C SECOM AUTOPROTECTION PILE A U SUPERVISION OUVERTURE ALARME INTRUSION ALARME TECHNIQUE R Notice Utilisateur EKZ 0904 00C DOMONIAL CRT 500 HF D EF A U T M EM O IR E C O NT R O LE AUTOPROTECTION PILE SUPERVISION OUVERTURE ALARME INTRUSION ALARME TECHNIQUE LIAISON RADIO MARCHE PRESENCE SECTEUR

Plus en détail

Tutoriel. Votre site web en 30 minutes

Tutoriel. Votre site web en 30 minutes Tutoriel Votre site web en 30 minutes But du tutoriel Nous allons vous présenter comment réaliser rapidement votre site avec Web Creator Pro 6 en vous basant sur l utilisation des modèles fournis avec

Plus en détail

Dragon Naturally Speaking 13

Dragon Naturally Speaking 13 Année 2015 Dragon Naturally Speaking 13 Guide premier pas Nathalie Macé / Grégoire Duval PROJET ORDYSCAN 1 Table des matières Introduction 3 Pourquoi utiliser Dragon Naturally Speaking avec les élèves

Plus en détail

GalaXy G2 G2-20 G2-44. Guide de l Utilisateur

GalaXy G2 G2-20 G2-44. Guide de l Utilisateur GalaXy G2 G2-20 G2-44 Guide de l Utilisateur Révision Septembre 2006 Sommaire Sommaire... iii Introduction...1 La maîtrise de votre système d alarme...2 Utilisateurs... 2 Groupes...2 Claviers... 3 Badges

Plus en détail

TAP-PAR. Test d aptitudes physiques pour paramédics. Description du test

TAP-PAR. Test d aptitudes physiques pour paramédics. Description du test TAP-PAR Test d aptitudes physiques pour paramédics Description du test INTRODUCTION Le travail de paramédic nécessite une capacité physique supérieure à celle de la population moyenne. En effet, ceux-ci

Plus en détail

Le ski à l'école. Réalisé par les CPC E.P.S. de Moselle. Février 2008

Le ski à l'école. Réalisé par les CPC E.P.S. de Moselle. Février 2008 Le ski à l'école Réalisé par les CPC E.P.S. de Moselle 1 «Les Activités Physiques de Pleine Nature, par leur possibilité de réinvestissement, constituent un terrain privilégié pour la mise en œuvre de

Plus en détail

ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21

ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21 ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS NOTE D INFORMATION n 21 HYGIENE ET SÉCURITÉ JUIN 2001 Francis MINIER Inspecteur d Hygiène et de Sécurité Correspondant académique à la sécurité Tel : 02 38 79 46 64 Secrétariat

Plus en détail

SIRENE SANS FIL SOLAIRE 433MHz 30/80m SSFS = SG-1100T

SIRENE SANS FIL SOLAIRE 433MHz 30/80m SSFS = SG-1100T SIRENE SANS FIL SOLAIRE 433MHz 30/80m SSFS = SG-1100T Sirène solaire extérieure auto-alimentée sans fil avec récepteur intégré à code tournant. Boîtier polycarbonate de 3mm résistant aux intempéries, autoprotection

Plus en détail

FRANCAIS DGM1. Centrale Vigik 1 porte. N d homologation : - PS-200306-01 - MS-200306-02. Gamme: Vigik MANUEL D INSTALLATION.

FRANCAIS DGM1. Centrale Vigik 1 porte. N d homologation : - PS-200306-01 - MS-200306-02. Gamme: Vigik MANUEL D INSTALLATION. ANCAIS N d homologation : - PS-200306-01 - MS-200306-02 Gamme: Vigik MANUEL D INSTALLATION Group Products 1] PRESENTATION DU PRODUIT Conforme Mifare - ISO 14443A (système ouvert à toutes les marques de

Plus en détail

FONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX

FONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX FONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX 1. L effet d une variation du revenu. Les lois d Engel a. Conditions du raisonnement : prix et goûts inchangés, variation du revenu (statique comparative) b. Partie

Plus en détail

-'" o~ ",en -,=0. t-:%:

-' o~ ,en -,=0. t-:%: '" ~- -'" o~ ",en -,=0 t-:%: Gette brochure renferme des renseignements generaux qui ne doivent pas servir d'information precise concernant un patient particulier. Tous les enonces dans cette brochure

Plus en détail

Notice de fonctionnement DVR H264. + Méthode de Visionnage ESEENET

Notice de fonctionnement DVR H264. + Méthode de Visionnage ESEENET Notice de fonctionnement DVR H264 + Méthode de Visionnage ESEENET 1 Le point de départ de chacune des différentes configurations traitées ci-dessous sera l écran de visualisation des 4 ou 8 caméras. A

Plus en détail