Professeur : Monsieur Jean-Louis MARCHAND. CHAPITRE I : Introduction CHAPITRE II : Les études de marché... 4 ) ( * *!+ ' + '& & & & & & +,,!

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Professeur : Monsieur Jean-Louis MARCHAND. CHAPITRE I : Introduction... 1. CHAPITRE II : Les études de marché... 4 ) ( * *!+ ' + '& & & & & & +,,!"

Transcription

1 ECOLE INDUSTRIELLE ET COMMERCIALE DE WAVRE (EICW) Enseignement supérieur économique / Graduat en Marketing Niveau 1 (Année académique ) Notes du cours : Marketing et gestion commercial Professeur : Monsieur Jean-Louis MARCHAND CHAPITRE I : Introduction... 1! " #! $ % %!! CHAPITRE II : Les études de marché... 4 '!( ) ( * *!+ ' + ' +,,!,, CHAPITRE III : La politique de produits / %..! 0! ( $ / 2 % $ "% 3!,,.. +. %.!

2 CHAPITRE I : Introduction 1. SURVOL DES ORGINIES DU MARKETING Toute la période précédant la grande révolution industrielle qui commence à partir du 18 ième siècle mais dont le développement se fera ressentir essentiellement à partir du 19 ième, se base essentiellement sur le troc ou le commerce de produits "généraux" sans buts de marketing au sens où nous l entendons aujourd hui. L apparition de la production en masse avec les améliorations de la productivité va entraîner la nécessité de trouver de nouveaux débouchés. C est dans le courant du 19 ième siècle que l on recense les premières pratiques de marketing. Le premier réflexe étant l envie de fidéliser le client par des moyens simples tels la création d une marque, d un emballage reconnaissable. Le but étant que si le consommateur apprécie un produit, il puisse le reconnaître. Toute l évolution des pratiques de marketing ne se fera ressentir réellement qu au milieu du 20 ième siècle dans les années 60. Les consommateurs, sollicités par de multiples producteurs, deviennent une ressource rare pour l entreprise. Apparaît donc la nécessité de s adapter aux désirs des consommateurs. La recherche marketing précède la production. Dans le courant des années 70, l économie bascule dans une période de crise qui laisse apparaître plus que jamais la société duale dans laquelle nous distinguons le riche du pauvre. Le consommateur de part la crise voit son pouvoir d achat diminuer, signifiant donc une production moindre et un taux de chômage en hausse. Notons par exemple à cette époque la naissance des magasins Aldi cible voulue des citoyens de basse ou moyenne classe. Les processus de production se rationalisent et les méthodes de gestion se modifient permettant au Marketing de revenir en premier plan dans des secteurs alors jusque là nullement liés au Marketing. La comptabilité de l entreprise s associant par exemple avec le secteur marketing pour proposer un système d achat à crédit ou attirant ainsi une clientèle de tous bord et permettant au plus faibles revenus d échelonner le paiement de leurs achats. Le but du marketing devient alors avant tout de rendre l entreprise flexible, c est-à-dire de lui permettre de s adapter au marché en le suivant. L entreprise ne peut pas se permettre de rester fixée sur son idée de départ, elle doit évoluer. Le marketing couvre maintenant tous les secteurs de la production et des services pour créer et innover. Une entreprise qui veut se développer se doit de suivre et d interroger sa clientèle. 2. L ÉVOLUTION DU CONCEPT MAKETING 2.1. L optique produit Une entreprise se préoccupe d élaborer des produits de qualité à un prix intéressant, elle doit donc améliorer son système de production. Un acheteur achète en fonction des qualités et du goût. Exemple : Prenons l exemple de la marque Alpha Roméo. Arrivée dans les années 1996, il faut constater la mauvaise santé de ce groupe automobile et puis soudainement un changement va se produire. Un designer connu va permettre la naissance de la nouvelle 156, voiture superbe d apparence qui va permettre à ce constructeur d augmenter sensiblement sa production et donc son chiffre d affaire. Cette voiture n étant pourtant pas spécialement un modèle de fiabilité. Le client va donc acheter son véhicule pour l image que celui-ci va lui donner et donc pour l effet général que le dit client va pouvoir répandre autour de lui L optique vente L entreprise investit dans l organisation efficace d un système de vente pour attirer et convertir les clients. La satisfaction du consommateur en devient bien souvent secondaire. Exemple : Prenons l exemple du vendeur ambulant qui pousse bien souvent le client par divers moyens trop souvent méprisables à acheter son produit. Prenons la technique de la vente basée sur le témoignage affectif, procédé honteux qui consiste à inviter à une soirée de gens, de leur faire partager un situation personnel difficile et de les amadouer à acheter un produit définit pour vous permettre de résoudre votre soit disant problème. On rencontre bien souvent dans l optique de vente la vision de forcer le client à acheter ce qui est contraire au marketing.

3 2.3. L otique marketing L entreprise tire ses bénéfices de la satisfaction des désirs exprimés par un groupe défini de clients. Divers outils permette de sonder la dite clientèle de manière fiable existent bien entendu, nous l apprendrons plus loin L otique du marketing global Optique du marketing global ou société étant plus basé sur des sujets qui "touchent" Exemple : Clip anto-drogue, phosphate dans les lessives, 3. LES PILIERS DU MARKETING 3.1. Orientation vers le client Définition des besoins que l entreprise entend satisfaire, définition des groupes cibles, étude du consommateur, avantages différentiels par rapports aux produits concurrents. - Qu est-ce que je veux faire dans mon entreprise? - Pour qui vais-je le faire? (définition des groupes cibles) - Que désire la clientèle que je vise? (utilisation des avantages différentiels) - Quels profits puis-je en retirer? 3.2. Le marketing intégré Il s agit de revoir toutes les politiques en fonction du client (production, délais de paiement, transport, ). Il est illusoire de penser que l on peut réaliser n importe quel produit de n importe quelle manière et s assurer une pleine réussite Segmenter et déterminer une cible Pour s assurer un bon chiffre d affaire, il convient d avoir un bon produit. Comme nous l avons vu dans le point précédent, il importe d intégrer le marketing dans notre production. Il s agit donc de définir une cible. Pour ce faire plusieurs étapes sont indispensables : - Il faut diviser le marché en segments (répertorier les gens suivants des critères tels que les goûts, les lieux ou sur base de variables économiques) ; - La cible se basera sur les segments choisis. Le but sera alors de créer le produit qui défini le mieux les besoins de cette cible. Autre avantage, il devient possible de quantifier et donc de prévoir un chiffre d affaire. Exemple : Une entrepreneuse rwandaise décide de se lancer dans le commerce du lait dans son pays. Cependant, elle veut s adresser essentiellement à l armée ainsi qu aux entreprises civiles et privées. Essayons de représenter fictivement la délimitation de la cible : Considérons les effectifs suivants : L armée : personnes Les entreprises publiques : personnes Les entreprises privées : personnes La cible est donc de personnes. Effectuons dès lors un sondage sur 1% de cette cible en sondant personnes de l armée, personnes travaillant dans les entreprises publiques et enfin personnes dans les entreprises privées. Ces personnes interrogées me garantissent pour mon projet un achat de par an. Je peux donc estimer mon chiffre d affaire aux alentours de Il est donc TRES IMPORTANT de segmenter puis de quantifier la cible pour estimer le chiffre d affaire.

4 4. L IMPORTANCE DE L INNOVATION Il est important de savoir que l innovation permet bien souvent le monopole. Prenons l exemple bien connu de la Renaud Espace, célèbre modèle automobile français. Lors de la sortie du modèle, le constructeur français est alors le seul à proposer sur le marché un monospace pouvant transporter jusqu à 7 personnes. Il a pu de se fait le proposer à un prix relativement élevé que le consommateur attiré par la nouveauté à accepté de payer, ce qui permettra de rentabiliser rapidement l investissement effectué sur le nouveau produit. Les années passant, la concurrence se rendant compte de cette possibilité de marché viendra s implanter en proposant d autres modèles et faisant ainsi diminuer les prix, entre temps l amortissement effectué, Renaud restera Leader (il est toujours à l heure actuelle) et s harmonisera au niveau de ses prix. Bien joué! 5. LES DEFINITIONS DU MARKETING Le marketing : est l adaptation permanente et systématique de la production à la consommation. Nous l avons vu précédemment, il est très important d intégrer le marketing à tous les niveaux. Nous le retrouvons depuis quelques années au sein de la comptabilité (aide au paiement, crédits à la consommation) Le marketing management : se fonde essentiellement sur la conception d une offre en terme de besoins (exprimés par les consommateurs) et la coordination du produit, du prix, de la communication et de la distribution pour provoquer une réaction efficace. Le marketing management est donc basé sur les besoins du consommateur Exemple : on ne va pas passer une annonce de vente pour une petite maison ouvrière de Charleroi dans la revue "l événement", revue de luxe adressée à un public fortuné Le marketing mix : se définit comme l ensemble des variables dont l entreprise dispose pour influencer le marché cible (Les 4 P) - Product : politique de produit - Price : politique de prix - Promotion : La communication (pub, relations publiques) - Place : la distribution Chaque "P" est un ensemble d instruments à utiliser à condition d avoir une bonne connaissance préalable des publics et des marchés. Ce sont les "études de marchés" qui le permettront. 6. LA DIFFICULTÉ DE BIEN CIBLER Sujet de notre travail : vous êtes menuisiers, élaborez un projet de produit et déterminez la clientèle à cibler. Choix du produit : conception de meubles pour bateaux sur mesure Notre cible : constructeurs de bateaux et particuliers propriétaires d un bateau Outil de cible : association des constructeurs de bateaux, registre portuaires, Analyse professorale : cible bien déterminée. Cependant, il n est pas toujours évident de déterminer une cible. Prenons l exemple du groupe qui a travaillé sur le travail du cuir. Leur idée était de créer des mallettes en cuir de luxe pour ordinateurs portables, leur cible étant les gens aisés. Posons-nous la question comment déterminer une liste des gens aisés? Cela s avère difficile même si certains lieux tel un club de golf regorge de ce genre de clientèle, nous avons là une cible plus difficile à déterminer.

5 Il existe plusieurs types d études de marchés : CHAPITRE II : Les études de marchés - Les études documentaires (analyse du marché sur base de documents existants) - Les études qualitatives (analyse explicative des comportements des consommateurs) - Les études quantitatives (mesure des comportements des consommateurs) 1. LES ÉTUDES DOCUMENTAIRES 1.1. Les sources internes à l entreprise La comptabilité analytique Nous connaissons par notre cours de comptabilité générale les deux grandes parties de la comptabilité : - Le bilan : photographie des avoirs et des dettes de l entreprise - Le compte de résultat : analyse des charges et produits, permet de déterminer si l entreprise est en situation de perte ou de profit. Parallèlement à la comptabilité classique un entreprise a tout intérêt de tenir un comptabilité analytique qui se spécialise dans l analyse des charges et produits pour 1 article donné. La comptabilité analytique est très utile pour l analyse marketing car elle permet d analyser les frais et les revenus pour les différents produits ou services que la société propose. Ainsi, on peut cibler facilement un problème, savoir s il fait réviser les coûts d un produit donné voire de l abandonner. En quelque sorte, la comptabilité analytique divise l entreprise en plusieurs petites entreprises. Rappelons que pour redresser un produit, l entreprise possède des outils résumés dans les 4P Les enquêtes systématiques auprès de la clientèle Certaines entreprise sonde régulièrement leurs clients pour connaître leur avis et opinions sur des points précis. Ces petites enquêtes peuvent servir dans les études de marché documentaires Les tableaux propres à l entreprise Analyse d un carnet de commande et facture C est facile d analyser une entreprise qui "touche" tout de suite ce qu elle vend. Il est par contre beaucoup moins aisé d analyser une entreprise qui travaille avec un carnet de commande et qui ne "touchera" ses factures que 4 ou 5 mois plus tard! L avantage d un carnet de commande est de pouvoir en cas "d écroulement" du nombre des commandes prévoir. Pour nous aider à mieux comprendre, analysons un carnet de commande datant de 1942 (annexe 1) A gauche, les commandes subdivisées en secteurs régis par date. On constate une comparaison avec l année précédente. A droite les factures : étape finale. Le but étant de déterminer ce qu il reste dans le carnet de commande de l entreprise. Nous constatons aussi que certaines commandes sont annulées en cours de parcours. Analyse d autres documents pages 20 à 22 du syllabus. Le graphique des tableaux annuels mobiles (MAT : Moving Annual Total) Ce graphique permet d analyser une année complète. Si les factures augmentent mais que les commandes diminuent on peut prévoir la diminution des factures et agir à temps. Le graphique si après est connu sous son le nom officiel de Moving Annual Total (MAT) ou cumul mobile annuel. Il se base donc sur l analyse du carnet de commande.

6 Considérons les données suivantes : Mois de l année Commandes Factures Client Commandes Factures Client Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août 4 3 Septembre 3 3 Octobre 4 2 Novembre 4 5 Décembre 5 5 Pour concevoir un graphique MAT il faut impérativement une année de base qui servira comme point de départ pour la seconde. Dans le tableau ci-dessus nous avons donc une année complète qui graphiquement représente une courbe ridicule sans cesse croissante et sans aucun intérêt pour l analyse que nous voulons faire. Les chiffres indiqués ci-dessus concernent une entreprise qui a comme objectif annuel le chiffre d affaires de 40 millions. Notre graphique va nous montrer si nous sommes dans le sillage de notre objectif. Nous voyons pour les 6 premiers mois de la deuxième année que la courbe ne redescend pas sous la barre des 40 millions, notre objectif est donc atteint pour les 6 premiers mois. La conception du graphique Nous effectuons le cumul des commandes de mois en mois pour la première année, cela nous mène au mois de décembre à un chiffre de 43 millions. Par la suite nos prenons toujours le chiffre de cumul du mois précédent auquel nous ajoutons le nombre de commande du mois soustrait du nombre de commande du même mois de l année précédente. Par exemple pour Janvier nous prenons 43 millions (décembre) additionné de 3 commandes (Janvier actuel) soustrait de 2 commandes (Janvier de l année d avant) et nous obtenons 43 millions. $ Moving Annual Total (MAT) $ $ $ $ Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet #45

7 1.2. Les sources externes à l entreprise - INS Institut National des Statistiques (Belgique) / INSEE (France) - Organismes internationaux : CEE, OBCDE, ONU, BI, ministères, chambre de commerce, fédération professionnelle, les banques (bulletins périodiques), les assurances, 2. LES ÉTUDES QUALITATIVES OU ÉTUDES DE MOTIVATION Elles visent à comprendre et expliquer le comportement des consommateurs face aux produits de l entreprise et face aux produits concurrents. Grâce à des techniques non directives les études qualitatives sollicitent l information de la part de l interlocuteur. Le but est d expliquer le succès d un produit, quelles sont les qualités qui font que vous venez chez moi? (Couleur, design, l image qu il renvoi, ) Eventuellement, on essaye de confier ces études à des psychologues L entretien individuel Il s agit d entretiens individuels, en petit nombre (une trentaine) menés par des psychologues qui après avoir lancé le thème, tâchent de se faire oublier. Il ne s agit pas d un entretien structuré La discussion de groupe C est l adaptation de la technique de l entretien libre à un ensemble de personne (environ 10). On bénéficie d un choc d idées qui n existerait pas en situation d entretien individuel. Exemple : voici quelques années Fiat a effectué des études qualitatives. Tout d abord, certaines images et sujet sans aucune importance avec la marque était proposée pour débat de manière à lancer une mise à l aise générale dans le groupe. Par la suite l enquête s affinait sur les qualités de FIAT et de ses concurrents par la même occasion autour d un débat structuré et des questions précises. Dans ces deux techniques d études qualitatives, l échantillon sera raisonné, c est-à-dire qu il essaie de prendre en compte la structure de la population, sans plus. Il ressort de ces entretiens les motivations telles que sécurité, confort, prestige, ces entretiens permettent entre autres aussi une analyse de l image de la marque d un produit ou d une entreprise, l analyse du processus d achat. 3. LES ÉTUDES QUANTITATIVES Les études quantitatives sont utilisées quand il s agit de quantifier les attitudes des consommateurs le plus souvent relevées par une étude qualitative. Le but des études qualitative est de rechercher ce que les gens veulent (quel couleur, quel prix, ), il s agit d interroger un échantillon (importance de bien cibler) ou de réitérer éventuellement sur plusieurs autres échantillons. Ces études répondent à la question "combien?". Il existe différents types d études quantitatives : - Les enquêtes "ad hoc" et les enquêtes omnibus (intercalent des questions relatives à plusieurs produits dans un but économique) - Les enquêtes ponctuelle ou permanente (exemple : l audimat) 3.1. Les méthodes de recueil des données Une méthode pour lancer un produit, serait de segmenter un marché de manière géographique, sur les goûts des gens voire des sur base de variables économiques (revenus) Suite à cela, on cible l un ou l autre des segments qui deviendront nos cibles privilégiées. Sur ces cibles ont effectuerai un recueil de données au moyen d enquêtes : interview individuel, par téléphone, par correspondance,

8 3.2. Le choix de l échantillon Il est très important de construire un échantillon représentatif de la cible. La taille de l échantillon dépend du degré de précision attendu, voire du budget ou du problème à analyser. Il ne dépend en aucun cas de la taille de l univers concerné La méthode d échantillonnage Les méthodes probabilistes où chaque unité doit avoir la même chance de participer sont difficiles à pratiquer. Elles permettent seul le calcul des marges d erreur. Les méthodes empiriques sont les plus couramment utilisées car moins coûteuses et néanmoins très fiables. Les interviewés sont choisis de façon à représenter, en pourcentage, les mêmes caractéristiques que la population L élaboration du questionnaire On peut établir un questionnaire avec plusieurs types de questions : - Questions fermées (dont la réponse sera oui ou non) - Questions ouvertes (dont la réponse consiste en un avis de l interviewé) - Questions à choix multiples - Questions filtres (placée au début de l interview elles permettent d éliminer d entrer de jeux, les personnes qui ne nous intéressent pas) - Question classement (d accord, pas d accord, pas du tout d accord. Question avec un choix de gradation proposé) 4. L UTILISATION DES ÉTUDES DE MARCHÉ Le but d une étude de marché sera donc de lancer un produit ou de le rectifier, dans le but de se rapprocher du consommateur. Concernant le produit Conception et lancement de produits nouveaux ainsi que redéfinition de produits existants pour mieux les ajuster aux attentes des consommateurs (étude de positionnement et de segmentation des marchés) Concernant le prix Test d acceptabilité du prix Concernant la distribution Sélectionner ou créer les canaux distribution et les points de vente les plus performants Concernant la communication Choix des thèmes, pré-test et post-tests de compréhension d annonce, audience des médias, mesures d efficacité de la publicité.

9 CHAPITRE III : La politique de produits 1. INTRODUCTION Il est très important de ne pas limiter la notion de produit aux seuls objets physiques. L élément clé du produit est le service qu il rend. Le produit est ce qui est offert sur le marché de façon à être acquis, consommé ou remarqué. L offre de biens est devenue aujourd hui presque indissociable de l offre de services (formation, documentation, service après vente, garantie, ) Trois composantes se distinguent dans les produits : la composante utilitaire, de communication et la composante imaginaire. - Utilitaire : regroupe tout ce que l objet peut réaliser sans l intervention de la société ou de l imaginaire du consommateur. - Communication : les facteurs d intégration vont imposer à l individu un mode de consommation en fonction du groupe auquel il appartient ou veut appartenir. Pour avoir son identité propre, l individu va rechercher des produits personnalités - Imaginaire : elle fait appel à la disposition psychologique profonde des individus d exploiter ce "fétichisme" des objets qui deviennent le support de véritables "rêves éveillés". 2. LA CLASSIFICATION DES PRODUITS 2.1. Les produits de consommation et industriels Les produits de consommation et les produits industriels qui diffèrent essentiellement au niveau du comportement de l acheteur (aptitudes, motifs, habitudes et modes de décision). Le marketing n en sera bien évidemment pas le même Les produits durables, non durables et les services Il y a des produits difficiles à changer tel la farine (produit basic) : on en achète et cela ne reflète par l image. Cependant, en règle générale, tous les produits y compris les produits basics essayent de dégager une image en insistant sur l utilité et les utilisations que l on peut en tirer (exemple : le développement du savon sur les 50 dernières années on est passé de la simple brique de savon a des centaines de catégories différentes avec plusieurs goût, plusieurs aspects, ) 2.3. Les produits jaunes, oranges et rouges Cette méthode se base sur quatre critères d évaluation : a) le rythme de remplacement du produit b) la marge brute (différence entre prix de vente et prix de revient) c) les services rendus par le produit d) le temps de recherche investi par le consommateur pour se procurer le produit Pour les produits jaunes : A est faible, B, C, D son élevés (exemple : une maison) Pour les produits oranges : valeur moyenne pour les 4 critères (exemple : une voiture, une TV, un frigo) Pour les produits rouges : A est élevé, B, C, D sont faibles (exemple : tout produit vite remplacé)

10 3. LE CYCLE DE VIE DU PRODUIT En marketing, le concept de cycle de vie sert surtout de cadre d analyse à l élaboration de stratégies adaptées aux différentes phases de l évaluation des ventes du produit La phase de lancement Dans la phase de lancement, le produit doit dominer quelques difficultés techniques, son prix est généralement élevé (niveau de production, amortissement des frais de recherches, attrait du neuf), la communication publicitaire est importante pour faire connaître le produit, présence également de nombreuses promotions. La distribution est lente au départ (élargissement progressif parmi les grandes surfaces, détaillants et magasins spécialisés) La phase de croissance C est en général dans cette phase que l on note l apparition d une concurrence. Le produit doit donc être amélioré pour conserver une avance sur la dite concurrence. Le prix à tendance à baisser légèrement (économies d échelle), la publicité est axée sur les caractéristiques distinctes du produit avec tentatives de fidélisation des consommateurs (politique de marque) et but d en convaincre des nouveaux. La distribution est élargie à d autres types de points de vente La phase de maturité saturation Les ventes peuvent continuer à augmenter quelque peu avant que les consommateurs ne se dirigent vers d autres produits ou substitutifs. Le produit peut faire l objet de modifications soit minimes soit pratiquement totales. Une étude de marché peut aussi entraîner à ce moment un repositionnement du produit. La compétition étant très forte on note beaucoup de ristournes et rabais. La communication reste intense avec de nombreuses actions promotionnelles. Les distributeurs sont soignés pour rester en bonne position dans l assortiment face aux concurrents. C est à ce stade que le produit est le plus rentable, d où l importance de la stratégie adéquate pour prolonger cette phase de vie La phase de déclin Les ventes diminuent. Au niveau du produit, seules une ou deux versions sont maintenues, le prix diminue (arme compétitive par excellence), la communication se réduit au minimum, la distribution aussi se réduit. Cette période peut être dangereuse pour l entreprise (nuire à son image de marque, coût de maintenance trop élevé, temps à passer trop important, ) 3.5. Conclusion Ces différentes phases permettent de dégager les trois grandes politiques de produits que peut mener une entreprise : - Les politiques de nouveaux produits ; - La politique de modification de produits ; - La politique d abandon d un produit

11 4. LE PORTEFEUILLE DE PRODUITS C est l ensemble de tous les produits de l entreprise. Les produits vont être reclassés selon les différents niveaux. L article : produit qui a une désignation distincte dans la liste des produits La gamme : produits étroitement liés entre eux car ils satisfont une même catégorie de besoins, destinés à une même catégorie de clients, sont dans la même zone de prix, Le portefeuille : ou product mix est l ensemble de tous les produits offerts à la vente par une entreprise 5. OPTIMALISATION DU PORTEFEUILLE DE PRODUITS Au niveau de l article, une politique de produit se traduit par la modification, la création ou l abandon d articles. Dans une gamme, on décide de l élargissement ou de la réduction. Tous les produits d une gamme ne jouent pas le même rôle (rôle d attraction, de leader, ) Exemple : les produits "Delvaux" (sac de luxe ; cible femme de 50 ans assez riche) ont sorti une marque secondaire moins prestigieuse appelée "Deux". La démarche a pour but de différencier sa clientèle et d attirer des plus jeunes. Dans un cas comme celui là il faut faire attention de bien cibler. Au niveau du mix : décision quant aux marchés sur lesquels l entreprise doit ou non être présente, décision aussi visant à équilibrer le mix en produits répartis dans toutes les phases de vie. Il s agit de prévoir un renouvellement des produits pour garder une certaine rentabilité (un produit en déclin doit être composé par un autre en croissance dans un portefeuille) Le profit : effort sur les produits les plus rentables La stabilité : l accent est mis sur les produits qui assurent des ventes stables La croissance : l effort se porte sur les produits permettant d accroître les parts de marché ou de se développer sur des nouveaux marchés. Il est souhaitable pour l entreprise de gérer son portefeuille de produits de manière à ce que les produits actuels puissent financer le lancement de la croissance de produits nouveaux et ainsi assurer la rentabilité actuelle et future de l entreprise. 6. LA STRATÉGIE PRODUIT - MARCHÉ C est l idée selon laquelle un produit doit être envisagé en fonction du marché. Le produit n étant pas uniquement constitué par des caractéristiques d ordre physique mais aussi par des caractéristiques d ordre psychologique. Un même produit peut donc être perçu de façon très différente suivant les consommateurs (définition de segments) d en choisir un ou plusieurs (choix des cibles) et de concevoir ses produits par rapport à eux (positionnement des produits) La segmentation La segmentation est la recherche des catégories de consommateurs présentant un ensemble de besoins homogènes (caractéristiques identiques). Les méthodes de segmentations sont : - La méthode séparatiste : séparation de la population en fonction de critères géographiques ou socio démographiques (exemple : les comptes jeunes dans les banques) - La méthode agrégative : constitution de groupes en fonction de leurs similitudes de comportement (dans un tableau par exemple placer d un côté les catégories de personnes : jeunes, isolés, vieux, mariés, de l autre le pourcentage de population qu il représente et dans une troisième colonne le pourcentage réel de consommation que ce groupe. Une population de 28% qui ne consomme que 15,6 constitue un mauvais return, car l effort effectué pour 28 ne rapportera que 15,6)

12 Remarques Pour qu un segment soit utilisable, il faut qu on puisse le toucher, qu il soit mesurable et qu il soit stable dans le temps. Une bonne segmentation permet d adapter au mieux la politique de marketing en fonction du profil des consommateurs mais elle présente des désavantages (diminution ou disparition d économie, d échelle, hausse des coûts de production et de stockage) Il n est en effet pas possible d adapter un unique produit pour tous les consommateurs. Une diversification de la production n est pas nécessairement une segmentation. Elle peut ne viser qu à satisfaire les goûts du même consommateur avec plusieurs variantes. Un concept intelligent est l idée d un produit sur lequel suivant ses goûts, le consommateur adapte des options (comme pour les voitures). Un produit qui s adapte à un grand nombre d individu coûte bien souvent trop cher, le système des options permet donc au consommateur de répartir son budget dans des options qui lui conviennent Le ciblage Après segmentation du marché, l entreprise doit encore choisir les segments qu elle souhaite viser. Le choix se fait en fonction de la rentabilité attendue et des objectifs de l entreprise Le positionnement C est une tentative de différenciation du produit par rapport à la concurrence basée soit sur les caractéristiques du produit et/ou sur son image. Il s agira donc d être le préféré de notre cible (marketing stratégique) Conclusion Les décisions de segmentation et de positionnement sont fortement liées et expriment la stratégie de l entreprise face à son marché et à sa concurrence. L utilisation d une carte perceptuelle est très pratique pour estimer notre position dans le marché et l avis du consommateur, de notre cible à notre égard. 7. LA POLITIQUE DE MARQUE La marque est un nom, un symbole, un dessin ou toute combinaison de ces éléments servant à identifier les produits d une entreprise et à les différencier de ceux de ses concurrents. La marque comprend souvent un nom et un emblème. Elle sert de moyen d identification mais est aussi un outil essentiel de segmentation des marchés. Souvent au sein d une entreprise on aura telle marque pour un segment, telle autre pour un autre Exemple : les sacs Delvaux destinés aux adultes aisés en général de plus de 35 ans et la marque Deux destinés aux plus jeunes un peu moins chère Les stratégies de marques Le responsable doit décider d apposer ou non une marque sur les produits de l entreprise en tenant compte des coûts inhérents à ce choix. Cette marque peut-être celle de l entreprise ou celle du distributeur ou les deux. Une fois le choix de marque effectué, l entreprise peut pratiquer différentes stratégies : - L extension de la marque (se servir de la marque existante pour lancer un produit modifié ou complémentaire) - Une stratégie de marques multiples (se créer de propres marques concurrentes : attention cependant au danger du cannibalisme au sein d une même actionnariat)

13 8. LES PRINCIPALES POLITIQUES DE PRODUITS Le lancement, la modification ou l abandon de produits La politique de nouveaux produits Il s agit souvent de l extension ou de la modification de produits existants (exemple : le GSM). Néanmoins, s agissant de produits vraiment neufs, l entreprise pourra procéder par étapes : - Définition du concept de produit (voir ses caractéristiques et les avantages qu il peut apporter à un groupe d utilisateur) Exemple : La Jaguar X-Type est prévu pour madame car elle reconnaissable à coup sur, elle a un grand coffre. - L étude de faisabilité technique (par un ingénieur) - L étude économique (analyse des coûts) - L élaboration d une stratégie marketing (marketing mix + marque et conditionnement les 4P) - Les tests de marchés sur un marché réduit, 8.2. La politique de modification de produits Il faut que le produit puisse être amélioré, que cette amélioration soit perceptible aux yeux d un nombre suffisamment important de consommateurs. L entreprise peut aussi être amenée à diminuer la publicité d un produit ce qui exigera un effort particulier pour ne pas perdre l image de marque de l entreprise. Remarque : L entreprise peut aussi modifier les caractéristiques du produit (plus d avantages) ou son style (augmentation de l attrait esthétique) Exemple : dans des séries de voitures en fin de vie, on change les options 8.3. La politique d abandon du produit La seule raison de maintenir un produit faible est qu il contribue aux ventes d autres produits de l entreprise ou qu il complète une gamme de produits.

Etude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise

Etude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise Etude de marché Selon l Agence Pour la Création d Entreprise (APCE), 70% des cas de défaillance ont pour origine la mauvaise qualité des études de marché, que celles-ci soient mal réalisées ou de manière

Plus en détail

INTRODUCTION GENERALE AU MARKETING

INTRODUCTION GENERALE AU MARKETING INTRODUCTION GENERALE AU MARKETING 1. La notion de marché 2. La définition du Marketing et du Marketing - Mix 3. Les fonctions de l entreprise 4. La stratégie push ( fonction de production ) 5. La stratégie

Plus en détail

DEMARCHE MARKETING MODULE : Aouichaoui Moez BTS : Conseiller d apprentissage. moez.aouichaoui@atfp.tn. Démarche Marketing

DEMARCHE MARKETING MODULE : Aouichaoui Moez BTS : Conseiller d apprentissage. moez.aouichaoui@atfp.tn. Démarche Marketing 2012/2013 Démarche Marketing MODULE : BTS : DEMARCHE MARKETING Aouichaoui Moez Conseiller d apprentissage moez.aouichaoui@atfp.tn - Janvier 2014 www.logistiquetn.me.ma, Tunis Aouichaoui Moez 1 Plan N.B

Plus en détail

MARKETING MIX. Politique Produit. Les composantes d un produit POLITIQUE PRODUIT

MARKETING MIX. Politique Produit. Les composantes d un produit POLITIQUE PRODUIT MARKETING MIX POLITIQUE PRODUIT Sandrine Monfort Politique Produit! Les composantes d un produit! Les classifications produit! Lancement produit! Politique de gamme! Politique de marque Les composantes

Plus en détail

Formation PME Etude de marché

Formation PME Etude de marché Formation PME Etude de marché Fit for Business (PME)? Pour plus de détails sur les cycles de formation PME et sur les business-tools, aller sous www.banquecoop.ch/business L étude de marché ou étude marketing

Plus en détail

INTRODUCTION AU MARKETING

INTRODUCTION AU MARKETING INTRODUCTION AU MARKETING L avènement du marketing Le marketing est une fonction dont l aboutissement est le résultat d un long processus de développement de l entreprise. Phases principales identifient

Plus en détail

Notre stratégie de développement porte ses fruits

Notre stratégie de développement porte ses fruits Newsletter 2009/1 Editorial Notre stratégie de développement porte ses fruits Une fois encore, les clients de Win se déclarent particulièrement satisfaits des services offerts par notre entreprise et de

Plus en détail

Chapitre I : Introduction

Chapitre I : Introduction Chapitre I : Introduction 1.1) Problématique A partir des années soixante, l environnement des entreprises a connu une mutation capitale, sans précédant historique dans le climat des affaires. Ces changements

Plus en détail

LES NOUVEAUX PARADIGMES DU MARKETING

LES NOUVEAUX PARADIGMES DU MARKETING Table des matières Master Recherche Management, Logistique et Stratégie Jean-Louis Moulins I. LA DEMARCHE MARKETING : CONTENU ET EVOLUTION 1. Le Protomarketing 2. Le Marketing Vente ou Marketing Commercial

Plus en détail

La marque : clé du succès de la stratégie commerciale dans un marché global

La marque : clé du succès de la stratégie commerciale dans un marché global La marque : clé du succès de la stratégie commerciale dans un marché global Historique Les marques existent depuis les premiers échanges commerciaux et servaient essentiellement à authentifier l origine

Plus en détail

ECOLE DES HAUTES ETUDES COMMERCIALES CORRIGÉ TYPE DE L EXAMEN

ECOLE DES HAUTES ETUDES COMMERCIALES CORRIGÉ TYPE DE L EXAMEN ECOLE DES HAUTES ETUDES COMMERCIALES Module : Marketing Fondamental Niveau : 1 ère Année Master Enseignant : KHERRI Abdenacer Date : 13/04/2015 Site web : www.mf-ehec.jimdo.com Durée : 1 heure 30 minutes

Plus en détail

La distribution et le marketing numériques

La distribution et le marketing numériques La distribution et le marketing numériques E-commerce : un développement solide L e-commerce transforme la manière avec laquelle les clients ont accès et achètent leurs produits. Avec, en point d orgue,

Plus en détail

SYNTHÈSE DOSSIER 1 Introduction à la prospection

SYNTHÈSE DOSSIER 1 Introduction à la prospection SYNTHÈSE DOSSIER 1 Introduction à la prospection La prospection est une activité indispensable pour développer le nombre de clients, mais aussi pour contrecarrer la perte de clients actuels. Elle coûte

Plus en détail

Chap 3 : La connaissance du client. I. Les fondements de la connaissance du client. Les principales évolutions sont résumées dans le tableau suivant :

Chap 3 : La connaissance du client. I. Les fondements de la connaissance du client. Les principales évolutions sont résumées dans le tableau suivant : Chap 3 : La connaissance du client I. Les fondements de la connaissance du client A. D une société de consommation à une société de consommateurs Depuis les années 1980, les mutations sociales ont eu d

Plus en détail

Plan de commercialisation

Plan de commercialisation Plan de commercialisation Plan de commercialisation Organigramme VAliDATiON Du POSiTiONNEMENT ET DE la MiSSiON STrATÉGiES MArKETiNG MESSAGE PuBliciTÉ relations PuBliQuES PrOMOTiONS radio AcTiViTÉS SOciAlES

Plus en détail

Réussir son affiliation

Réussir son affiliation David Sitbon Étienne Naël Réussir son affiliation Comment gagner de l argent avec Internet, 2012 ISBN : 978-2-212-55350-5 1 Comprendre que tout est marketing de rentrer dans le détail, il nous a semblé

Plus en détail

LE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL. Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel

LE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL. Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel LE MARKETING DU CINEMA et de l AUDIOVISUEL Présentation du Marketing appliqué au cinéma & à l audiovisuel Sommaire PRESENTATION GENERALE DU MARKETING: Qu est-ce que le Marketing? Introduction et définition

Plus en détail

L analyse de la gestion de la clientèle

L analyse de la gestion de la clientèle chapitre 1 - La connaissance du client * Techniques utilisées : observation, recherche documentaire, études de cas, études qualitatives (entretiens de groupes ou individuels, tests projectifs, analyses

Plus en détail

Les principales difficultés rencontrées par les P.M.E. sont : «La prospection et le recouvrement des créances» Petit déjeuner du 26 juin 2012

Les principales difficultés rencontrées par les P.M.E. sont : «La prospection et le recouvrement des créances» Petit déjeuner du 26 juin 2012 Les principales difficultés rencontrées par les P.M.E. sont : «La prospection et le recouvrement des créances» Petit déjeuner du 26 juin 2012 Tour de table d une dizaine d indépendants et gérants de P.M.E.

Plus en détail

GESTION DE LA RELATION CLIENT (CRM) Etat actuel et perspectives du marché suisse en 2002

GESTION DE LA RELATION CLIENT (CRM) Etat actuel et perspectives du marché suisse en 2002 GESTION DE LA RELATION CLIENT (CRM) Etat actuel et perspectives du marché suisse en 2002 CONSULTING KPMG Consulting SA La «gestion de la relation client» (ou, en anglais, Customer Relationship Management,

Plus en détail

SYNERGIE Associés Confidentiel Reproduction interdite sans autorisation préalable Page 1 de 44

SYNERGIE Associés Confidentiel Reproduction interdite sans autorisation préalable Page 1 de 44 SYNERGIE Associés Confidentiel Reproduction interdite sans autorisation préalable Page 1 de 44 Le CRM (GRC) est la clef de votre succès Les Principes généraux de la Gestion de la Relation Clients Confidentiel

Plus en détail

PROPOSITION D ETUDE ETUDE DU MARCHE BELGE DES SEMINAIRES ET CONFERENCES

PROPOSITION D ETUDE ETUDE DU MARCHE BELGE DES SEMINAIRES ET CONFERENCES PROPOSITION D ETUDE ETUDE DU MARCHE BELGE DES SEMINAIRES ET CONFERENCES MAI 2007 TABLE DE MATIERES 1. FICHE TECHNIQUE 3 1.1. Objet 3 1.2. Méthode 3 1.3. Questions et analyses exclusives 3 1.4. Rapport

Plus en détail

LE MARKETING DIRECT, SUPPORT DU MARKETING CLIENT

LE MARKETING DIRECT, SUPPORT DU MARKETING CLIENT 11 CHAPITRE PREMIER LE MARKETING DIRECT, SUPPORT DU MARKETING CLIENT En moins d un siècle, le marketing direct a profondément évolué. Passant de la commande traditionnelle par courrier à la multiplication

Plus en détail

QU EST-CE QUE LE DECISIONNEL?

QU EST-CE QUE LE DECISIONNEL? La plupart des entreprises disposent d une masse considérable d informations sur leurs clients, leurs produits, leurs ventes Toutefois ces données sont cloisonnées par les applications utilisées ou parce

Plus en détail

1. Les types d enquêtes

1. Les types d enquêtes La conduite d une enquête par questionnaire La conception d un questionnaire ne doit pas être réalisée de façon hasardeuse. Elle suit une méthodologie stricte qui permet d atteindre des résultats utilisables

Plus en détail

Jour 1. Origines et évolution du marketing

Jour 1. Origines et évolution du marketing Jour 1 Origines et évolution du marketing Origines et évolution du marketing Jour 1 Cette journée est consacrée à la présentation de la discipline au travers de trois sous-thèmes : l histoire du marketing,

Plus en détail

Grégory Bressolles L E-MARKETING

Grégory Bressolles L E-MARKETING Grégory Bressolles L E-MARKETING Conseiller éditorial : Christian Pinson Dunod, Paris, 2012 ISBN 978-2-10-057045-4 SOMMAIRE Avant-propos 5 CHAPITRE 1 Qu est-ce que l e-marketing? I COMMENT INTERNET A-T-IL

Plus en détail

Chapitre 1 Comprendre l évolution du marketing

Chapitre 1 Comprendre l évolution du marketing Chapitre 1 Comprendre l évolution du marketing Ce que vous allez apprendre Définir le marketing et comprendre son rôle Comprendre les différentes évolutions du marketing Comprendre les nouveaux enjeux

Plus en détail

bpce assurances L ESSENTIEL 2012

bpce assurances L ESSENTIEL 2012 bpce assurances L ESSENTIEL 2012 I ÉDITO Pierre Garcin Président du conseil d administration Paul Kerangueven Directeur général Sommaire Faits marquants ÉDITO p. 1 à propos de BPCE Assurances p. 2 l assurance

Plus en détail

Gestion et animation de sites web. Synthèse

Gestion et animation de sites web. Synthèse A l usage exclusif des sociétés interrogées en ligne dans le cadre de l étude Gestion et animation de sites web Les métiers, les budgets, les projets L étude de référence Effectifs Budgets Chantiers et

Plus en détail

Comment réussir son projet de Master Data Management?

Comment réussir son projet de Master Data Management? Comment réussir son projet MDM? Table des matières Comment réussir son projet de Master Data Management?...... 2 Un marché en croissance..... 2 Les démarches qui réussissent... 2 A quels projets métiers

Plus en détail

MODÈLE CROP DE CALIBRATION DES PANELS WEB

MODÈLE CROP DE CALIBRATION DES PANELS WEB MODÈLE CROP DE CALIBRATION DES PANELS WEB 550, RUE SHERBROOKE OUEST MONTRÉAL (QUÉBEC) H3A 1B9 BUREAU 900 TOUR EST T 514 849-8086, POSTE 3064 WWW.CROP.CA Le Protocole CROP de calibration des panels en ligne

Plus en détail

Mobile & achats à la demande. Comment le marketing à la performance permet-il aux mobiles d influencer le parcours d achat. tradedoubler.

Mobile & achats à la demande. Comment le marketing à la performance permet-il aux mobiles d influencer le parcours d achat. tradedoubler. Mobile & achats à la demande Comment le marketing à la performance permet-il aux mobiles d influencer le parcours d achat tradedoubler.com En Europe, les canaux mobiles de marketing à la performance transforment

Plus en détail

Protection des renseignements personnels, publicité ciblée et médias sociaux : Ampleur du problème : certaines observations déconcertantes

Protection des renseignements personnels, publicité ciblée et médias sociaux : Ampleur du problème : certaines observations déconcertantes Protection des renseignements personnels, publicité ciblée et médias sociaux : Ampleur du problème : certaines observations déconcertantes Avner Levin * * Professeur agrégé et directeur, Privacy and Cyber

Plus en détail

DES EXEMPLES DE PROJETS PRESENTES EN PDUC

DES EXEMPLES DE PROJETS PRESENTES EN PDUC Type d UC Outils du diagnostic Problématique Projet Magasin spécialisé dans la vente de produits pour l équitation Observation Analyse du compte de résultat Enquête clientèle Etude de concurrence Perte

Plus en détail

LES CLES D UNE BONNE STRATEGIE A L EXPORT

LES CLES D UNE BONNE STRATEGIE A L EXPORT LES CLES D UNE BONNE STRATEGIE A L EXPORT CCI TOURAINE, pour le Colloque Techniloire, le 09/07/2009 Une bonne stratégie à l export ne s improvise pas CCI TOURAINE, pour le Colloque Techniloire, le 09/07/2009

Plus en détail

L évaluation de la performance de la communication media

L évaluation de la performance de la communication media L évaluation de la performance de la communication media Pascal ROOS Enseignant en BTS Management des Unités Commerciales Lycée Edmond Rostand, Saint Ouen l Aumône (95) «Je sais qu un dollar de publicité

Plus en détail

BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMERIQUE

BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMERIQUE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMERIQUE Chaire Économie numérique de Paris-Dauphine Réalisé par Médiamétrie Première édition - 4 e trimestre 2011 Un nouvel outil : Initié par la chaire Économie numérique de

Plus en détail

LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING

LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Michel Coutu, F. Adm.A., CMC Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications

Plus en détail

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ ET DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS 1. Introduction Placer la «bonne personne au bon endroit» représente

Plus en détail

FOTO - L OMNIBUS MENSUEL DE CROP LE NOUVEAU CROP-EXPRESS

FOTO - L OMNIBUS MENSUEL DE CROP LE NOUVEAU CROP-EXPRESS FOTO - L OMNIBUS MENSUEL DE CROP LE NOUVEAU CROP-EXPRESS 550, RUE SHERBROOKE OUEST MONTRÉAL (QUÉBEC) H3A 1B9 BUREAU 900 TOUR EST T 514 849-8086, POSTE 3064 Réflexions méthodologiques Depuis des années,

Plus en détail

Cours de Leadership G.Zara «LEADERSHIP»

Cours de Leadership G.Zara «LEADERSHIP» «LEADERSHIP» Est-il possible de DÉVELOPPER LES COMPÉTENCES DE LEADERSHIP? PROGRAMME DU COURS 1. Introduction 2. Les fondamentaux du Leadership 3. Valeurs, attitudes et comportements 4. Les 10 devoirs du

Plus en détail

Nobody s Unpredictable

Nobody s Unpredictable Connaissance qu a le public de la Banque du Canada (Comparaison des résultats de l enquête téléphonique et de l enquête en ligne) Enquête de décembre 2010 commandée par la Banque du Canada Nobody s Unpredictable

Plus en détail

Bientôt plus d'1 Français sur 10 client d'une banque en ligne.

Bientôt plus d'1 Français sur 10 client d'une banque en ligne. www.audirep.fr Bientôt plus d'1 Français sur 10 client d'une banque en ligne. Restitution des résultats d une étude menée par internet sur un échantillon de 1 001 personnes représentatives de la population

Plus en détail

Créer son entreprise - 2012. Marketing. Les bases Les premières démarches. GENILEM www.genilem.ch

Créer son entreprise - 2012. Marketing. Les bases Les premières démarches. GENILEM www.genilem.ch Créer son entreprise - 2012 Marketing Les bases Les premières démarches 1 Créer son entreprise - 2012 A la fin du cours, vous serez en mesure de savoir ce qu est le marketing vous poser les bonnes questions

Plus en détail

Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs?

Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? En ces temps de crise économique et de crise des dettes souveraines (ou publiques), tous les hommes politiques de gauche comme de droite

Plus en détail

Notions de marketing en restauration. Présentées par Katia Velayos et Jocelyn Grivaud

Notions de marketing en restauration. Présentées par Katia Velayos et Jocelyn Grivaud Notions de marketing en restauration Présentées par Katia Velayos et Jocelyn Grivaud Introduction Formation sur le marketing appliqué aux futurs métiers de nos élèves. L objectif est de vous aider dans

Plus en détail

MANUEL DU BLENDED LEARNING

MANUEL DU BLENDED LEARNING MANUEL DU BLENDED LEARNING ÉDITION 2014 www.360learning.com SOMMAIRE Définition... 4 Pourquoi proposer du Blended Learning à ses clients... 5 Les phases du Blended Learning... 7 9 arguments pour vendre

Plus en détail

CHAPITRE 4 GESTION COMMERCIALE

CHAPITRE 4 GESTION COMMERCIALE CHAPITRE 4 GESTION COMMERCIALE EXERCICE 1 ENONCE 1) Présentez les principales caractéristiques de la phase de lancement. 2) Présentez les différents types de rémunération d un vendeur. 3) Citez les différents

Plus en détail

LE MARKETING : INTRODUCTION. Dominique Roux, IUT de Sceaux Membre du PESOR

LE MARKETING : INTRODUCTION. Dominique Roux, IUT de Sceaux Membre du PESOR LE MARKETING : INTRODUCTION Dominique Roux, IUT de Sceaux Membre du PESOR INTRODUCTION AU MARKETING Définitions Champs d application Démarche et mise en oeuvre Evolution et extensions du champ Définitions

Plus en détail

Guide méthodologique de mise en place d une enquête de satisfaction

Guide méthodologique de mise en place d une enquête de satisfaction Guide méthodologique de mise en place d une enquête de satisfaction Dans ce guide, vous trouverez 4 étapes qui vous permettront de réaliser, pas à pas, votre enquête de satisfaction. Ce guide : Contient

Plus en détail

MAÎTRISE DES ACHATS D INVESTISSEMENTS

MAÎTRISE DES ACHATS D INVESTISSEMENTS MAÎTRISE DES ACHATS D INVESTISSEMENTS Une enquête auprès des DAF et dirigeants de l industrie en France Paris, le 20 octobre 2010 Olaf de Hemmer International Business Manager Purchasing Department 16,

Plus en détail

Marketing Management, 11 e éd.

Marketing Management, 11 e éd. Marketing Management, 11 e éd. Philip Kotler, Bernard Dubois & Delphine Manceau Table des matières détaillée Les innovations de cette nouvelle édition De nouveaux thèmes et une nouvelle structure De nouveaux

Plus en détail

Exemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil

Exemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil Retour au sommaire Exemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil BIM n 05-12 février 2002 Karin BARLET ; Bonnie BRUSKY Nous vous présentions en novembre dernier les outils d étude de marché

Plus en détail

Management partie 2 : Marketing

Management partie 2 : Marketing Management partie 2 : Marketing Marketing 1. L'approche marketing S'est le contexte économique qui a induit la fonction marketing. Elle est née des contraintes que rencontre l'entreprise sur son marché,

Plus en détail

DU Paris II Modèle de l économie numérique. Commerce électronique et conflits de canaux de distribution

DU Paris II Modèle de l économie numérique. Commerce électronique et conflits de canaux de distribution DU Paris II Modèle de l économie numérique Commerce électronique et conflits de canaux de distribution Introduction La notion de canaux de distribution : => réseaux de distribution propre : automobiles,

Plus en détail

POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs

POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs Séminaire CGTM Mercredi 19 mars 2008 Danielle LAPORT Sociologue Ingénieur Social Equipe de Recherche REV Université Paris XII Val-de-Marne Il me revient

Plus en détail

Évaluer les besoins en assurance collective

Évaluer les besoins en assurance collective La valeur ajoutée du conseiller auprès des PME par Gérard Bérubé Les produits collectifs se heurtent rapidement à la capacité de payer des participants. Il en résulte des arbitrages constants qui permettent

Plus en détail

PLAN. --> PDV (Promotion de ventes) et PLV (Publicité sur lieu de vente)

PLAN. --> PDV (Promotion de ventes) et PLV (Publicité sur lieu de vente) COURS N 4 : LA POLITIQUE DE DISTRIBUTION COURS DE MARKETING / Cours n 4 : La politique de distribution --> MSG / IAE --> Novembre 2005 1 --> Introduction --> Les fonctions de la distribution --> Canal

Plus en détail

MERCATIQUE «marketing»

MERCATIQUE «marketing» 1/12 MERCATIQUE «marketing» Classe terminale de la série Sciences et technologies de la gestion Spécialité «Mercatique» I. INDICATIONS GÉNÉRALES Les horaires indicatifs communiqués prennent en compte les

Plus en détail

Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise

Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise On ne peut concevoir l entreprise comme une entité isolée du milieu dans lequel elle agit. L entreprise

Plus en détail

Route d Illins 38200 Luzinay Vienne 04.74.57.05.01 06.89.23.26.82. La communication : un outil de vente ouvert à tous

Route d Illins 38200 Luzinay Vienne 04.74.57.05.01 06.89.23.26.82. La communication : un outil de vente ouvert à tous Route d Illins 38200 Luzinay Vienne 04.74.57.05.01 06.89.23.26.82 La communication : un outil de vente ouvert à tous jeudi 6 mars 2008 Go Between - Christian Fabre Plan de la présentation Pourquoi communiquer?

Plus en détail

L endettement chez les jeunes Rapport final

L endettement chez les jeunes Rapport final L endettement chez les jeunes Rapport final Résultats du sondage pour le secteur d Alma L école secondaire Séminaire Marie-Reine-du-Clergé ainsi que le Collège d Alma Remis au : Service budgétaire de Lac-

Plus en détail

«COMMENT PROSPECTER ET FIDÉLISER VOS CLIENTS GRÂCE À LA COMMUNICATION ET AU MARKETING DIRECT?»

«COMMENT PROSPECTER ET FIDÉLISER VOS CLIENTS GRÂCE À LA COMMUNICATION ET AU MARKETING DIRECT?» «COMMENT PROSPECTER ET FIDÉLISER VOS CLIENTS GRÂCE À LA COMMUNICATION ET AU MARKETING DIRECT?» Sommaire 1. Introduction : les clients, les Médias et la Publicité 2. Construire une Stratégie de Communication

Plus en détail

Circulaire du 7 juillet 2009

Circulaire du 7 juillet 2009 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l économie, de l industrie et de l emploi NOR : ECEC0907743C Circulaire du 7 juillet 2009 concernant les conditions d application de l arrêté du 31 décembre 2008 relatif

Plus en détail

E-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL

E-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL E-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL Bill Pattinson Division de la politique de l information, de l informatique et de la communication

Plus en détail

Documents mis à disposition par : www.marketing-etudiant.fr. Attention :

Documents mis à disposition par : www.marketing-etudiant.fr. Attention : Documents mis à disposition par : www.marketing-etudiant.fr Ecueils à éviter Il ne faut surtout pas sous-estimer les changements culturels dans l'organisation des entreprises. D'un côté, la technologie

Plus en détail

LE PETIT RELATION CLIENT. Les pratiques clés en 15 fiches. Nathalie Houver

LE PETIT RELATION CLIENT. Les pratiques clés en 15 fiches. Nathalie Houver LE PETIT 2014 RELATION CLIENT Les pratiques clés en 15 fiches Nathalie Houver Dunod, Paris, 2014 ISBN 978-2-10-070826-0 Table des matières LA PRÉPARATION DE LA RELATION COMMERCIALE FICHE 1 Acquérir la

Plus en détail

RACHETER OU REMBOURSER UN CREDIT

RACHETER OU REMBOURSER UN CREDIT RACHETER OU REMBOURSER UN CREDIT Faites le bon choix et appréciez le bonheur d une vie sans dette C est plus simple qu il n y parait Avertissement : Toute reproduction, intégrale ou partielle, ou toute

Plus en détail

Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions

Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions Chapitre 9 Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions Savoir utiliser son argent est un art et un art qui paie. Comme toutes les ressources, l argent peut être utilisé à bon ou

Plus en détail

Mon boss ne délègue pas

Mon boss ne délègue pas Situation 3 Mon boss ne délègue pas L importance d une rhétorique soignée Les situations de pur rapport de force Autonomie et contrôle La délégation Explication/justification La situation Pierre, notre

Plus en détail

LES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE

LES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE LES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE Michel MOUILLART Directeur Scientifique de l Observatoire de l Endettement des Ménages

Plus en détail

Schéma du plan d affaires

Schéma du plan d affaires Plan d affaires Schéma du plan d affaires SOMMAIRE EXÉCUTIF DESCRIPTION DU PROJET OBJECTIFS FORME JURIDIQUE ÉQUIPE DIRIGEANTE MARKETING PRODUCTION SOUTIEN ADMINISTRATIF ANALYSE MARCHÉ ANALYSE MARKETING

Plus en détail

Décrivez le micro-environnement de l entreprise, puis son macro-environnement.

Décrivez le micro-environnement de l entreprise, puis son macro-environnement. THÈME 1 L environnement de l entreprise EXERCICE 1 Environnement et marché Vous êtes un des leaders mondiaux sur le marché du café, vous avez su développer depuis des années de nouveaux produits pour vous

Plus en détail

Conférence 14 Internet : quelles stratégies pour l'utiliser au mieux?

Conférence 14 Internet : quelles stratégies pour l'utiliser au mieux? Conférence 14 Internet : quelles stratégies pour l'utiliser au mieux? Animateur Jean-Christophe GALEAZZI RCF Intervenants Mathieu LLORENS AT INTERNET Patrick BERNARD MILLESIMA Jean-Paul LIEUX DOLIST Marion

Plus en détail

Autoline Drive. Séduisez, convertissez et fidélisez un nombre accru de clients. www.cdkglobal.fr

Autoline Drive. Séduisez, convertissez et fidélisez un nombre accru de clients. www.cdkglobal.fr Autoline Drive Séduisez, convertissez et fidélisez un nombre accru de clients www.cdkglobal.fr Les attentes des clients révolutionnent le marché de la distribution automobile plus vite que jamais Êtes-vous

Plus en détail

[Budgets B2B] Le guide d optimisation financière. (marketing, commercial et digital)

[Budgets B2B] Le guide d optimisation financière. (marketing, commercial et digital) [Budgets B2B] Le guide d optimisation financière. (marketing, commercial et digital) Les tendances en matière de répartition des budgets. sommaire 1. Les budgets marketing sont à la hausse. 2. La part

Plus en détail

Infolettre #18 : Les graphiques avec Excel 2010

Infolettre #18 : Les graphiques avec Excel 2010 Infolettre #18 : Les graphiques avec Excel 2010 Table des matières Introduction... 1 Hourra! Le retour du double-clic... 1 Modifier le graphique... 4 Onglet Création... 4 L onglet Disposition... 7 Onglet

Plus en détail

CRM MANAGER LES SOLUTIONS POUR BOOSTER VOTRE RELATION CLIENT

CRM MANAGER LES SOLUTIONS POUR BOOSTER VOTRE RELATION CLIENT CRM MANAGER S SOLUTIONS POUR BOOSTER VOTRE RELATION CLIENT CRM MANAGER plus que jamais, un outil d actualité et de conquête Votre connaissance du et de vos clients est fondamentale pour assurer vos succès.

Plus en détail

Cours de Marketing. Focaliser l attention sur les besoins du client. Consumer marketing Business to business (B2B)

Cours de Marketing. Focaliser l attention sur les besoins du client. Consumer marketing Business to business (B2B) Cours de Marketing -> L étude du marché, stratégies pour l entrée du produit sur le marché, pour balancer la demande et l offre, étude qualitative (ex : interroger un public ciblé) et quantitative (calculer

Plus en détail

ETRE OBSEDE PAR LA PSYCHOLOGIE DE L ACHETEUR

ETRE OBSEDE PAR LA PSYCHOLOGIE DE L ACHETEUR ETRE OBSEDE PAR LA PSYCHOLOGIE DE L ACHETEUR Évolution du comportement de l acheteur Ces dix dernières années, la pression concurrentielle et (surtout) l omniscience de Google, a changé radicalement le

Plus en détail

,,ÉTUDES ET RECHERCHES SUR LA DISTRIBUTION, LA PROMOTION ET LA VALORISATION DES PRODUITS DE BOULANGERIE DANS LE MUNICIPE DE CONSTANŢA

,,ÉTUDES ET RECHERCHES SUR LA DISTRIBUTION, LA PROMOTION ET LA VALORISATION DES PRODUITS DE BOULANGERIE DANS LE MUNICIPE DE CONSTANŢA RESUMÉ Mots clés : marketing, produits alimentaires, stratégies La thèse de doctorat intitulée,,études ET RECHERCHES SUR LA DISTRIBUTION, LA PROMOTION ET LA VALORISATION DES PRODUITS DE BOULANGERIE DANS

Plus en détail

Stratégie Marketing Intégrée COMMENT ABORDER LA PERSONNALISATION DE L OFFRE ET LE ONE TO ONE?

Stratégie Marketing Intégrée COMMENT ABORDER LA PERSONNALISATION DE L OFFRE ET LE ONE TO ONE? Stratégie Marketing Intégrée COMMENT ABORDER LA PERSONNALISATION DE L OFFRE ET LE ONE TO ONE? GROUPE N 4 Péryne DESMULIER Maxime DEVIN Clément DUBOIS Julien DUTHEIL Mandy LOOSVELDT I II III INTRODUCTION

Plus en détail

Produits laitiers de ferme

Produits laitiers de ferme Produits laitiers de ferme Produits laitiers de ferme CRIOC, novembre 2008 Agenda 1. Objectifs 2. Méthodologie 3. Consommation de produits laitiers de ferme 4. Perception des produits laitiers de ferme

Plus en détail

GESTION INTÉGRALE D ENTREPRISES DE FORMATION

GESTION INTÉGRALE D ENTREPRISES DE FORMATION GESTION AVANCÉE DE DEMANDES DE RENSEIGNEMENT GESTION INTÉGRALE D ENTREPRISES DE FORMATION + PLANIFICATION + CONTRÔLE + EFFICACITÉ + RENTABLITÉ emagister-agora vous aidera dans la prise de décisions, il

Plus en détail

LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE

LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Anne LOONES Marie-Odile SIMON Août 2004 Département «Evaluation des Politiques Sociales»

Plus en détail

Tirer parti des renseignements sur les clients : leçons tirées des réalisations en matière de services bancaires au consommateur

Tirer parti des renseignements sur les clients : leçons tirées des réalisations en matière de services bancaires au consommateur La force de l engagement MD ÉTUDE TECHNIQUE Tirer parti des renseignements sur les clients : leçons tirées des réalisations en matière de services bancaires au consommateur Les entreprises de commerce

Plus en détail

CRM et GRC, la gestion de la relation client R A LLER PL US L OI

CRM et GRC, la gestion de la relation client R A LLER PL US L OI 3 R A LLER PL US L OI CRM et GRC, la gestion de la relation client Comment exploiter et déployer une solution de relation client dans votre entreprise? Les usages d une CRM Les fonctionnalités d une CRM

Plus en détail

Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve

Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve Construire un tableau de bord par Marc Maisonneuve Le tableau de bord On peut le définir comme la présentation synoptique d indicateurs relatifs au suivi d une bibliothèque, d un projet, d un service.

Plus en détail

Formation Repreneurs MODULE COMMERCIAL

Formation Repreneurs MODULE COMMERCIAL Formation Repreneurs MODULE COMMERCIAL I. Introduction Plan L objet du marketing Les étapes de la démarche commerciale Les déclencheurs d achat II. La notion de produit Les caractéristiques du produit

Plus en détail

e-commerce : Guide à l intention des Petites et Moyennes Entreprises

e-commerce : Guide à l intention des Petites et Moyennes Entreprises Livre Blanc e-commerce : Guide à l intention des Petites et Moyennes Entreprises Optimisation des opportunités en ligne pour les PME Opportunités en ligne La conjoncture n a jamais été aussi favorable

Plus en détail

Les critères de segmentation Critères Variables retenues Description Exemple Pays, région, ville, Chauffage,

Les critères de segmentation Critères Variables retenues Description Exemple Pays, région, ville, Chauffage, SYNTHÈSE DU CHAPITRE 11 : LA SEGMENTATION DE LA DEMANDE. La segmentation. La segmentation de la demande consiste à définir des groupes de clients (des segments de clientèle) ayant des comportements homogènes

Plus en détail

Le déroulement de l animation

Le déroulement de l animation 10020_GererAnimer_p076p087 Page 83 Vendredi, 12. août 2005 9:00 09 Le déroulement de l animation DOSSIER 15 Correspondance référentiel Dossier Page livre élève Compétences professionnelles Savoirs associés

Plus en détail

Des chiffres pour comprendre : les investissements dédiés à la Conquête

Des chiffres pour comprendre : les investissements dédiés à la Conquête Des chiffres pour comprendre : les investissements dédiés à la Conquête Afin de mieux comprendre les enjeux liés à la conquête, il est souhaitable de connaître l importance des dépenses réalisées en la

Plus en détail

Le profil des acheteurs à distance et en ligne

Le profil des acheteurs à distance et en ligne Le profil des acheteurs à distance et en ligne Étude réalisée pour le compte de La FEVAD, La Poste, Reed Exhibitions, CCI Grand Lille 24 octobre 2012 Synthèse de l étude - 1 LES HABITUDES DE CONSOMMATION

Plus en détail

Comment développer vos missions paie?

Comment développer vos missions paie? Comment développer vos missions paie? La performance des cabinets ne repose pas seulement sur une course à la productivité mais sur une stratégie de croissance fondée sur : Le savoir La qualité du service

Plus en détail

De ces définitions qui précèdent, Quels liens pouvons nous relever entre ces deux notions? La force de vente et la communication

De ces définitions qui précèdent, Quels liens pouvons nous relever entre ces deux notions? La force de vente et la communication De nos jours, la force de vente et la communication apparaissent comme des fers de lance de toute entreprise. En effet leur prise en compte engendre des chiffres d affaires notoires. La force de vente

Plus en détail

Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE

Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE I. La démarche mercatique globale A. Définition Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE La mercatique est l ensemble des techniques et actions ayant pour objet de prévoir, constater, stimuler, susciter ou renouveler

Plus en détail

ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002

ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002 GT015-rev octobre 2002 ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI Enquête IPSOS Novembre 1999 Contribuer à la performance de l entreprise 153 rue de Courcelles 75817 Paris cedex 17 Tél. 01 44 15 60

Plus en détail

LIVRE BLANC AMÉLIOREZ VOS PERFORMANCES MARKETING ET COMMERCIALES GRÂCE À UNE GESTION DE LEADS OPTIMISÉE

LIVRE BLANC AMÉLIOREZ VOS PERFORMANCES MARKETING ET COMMERCIALES GRÂCE À UNE GESTION DE LEADS OPTIMISÉE AMÉLIOREZ VOS PERFORMANCES MARKETING ET COMMERCIALES GRÂCE À UNE GESTION DE LEADS OPTIMISÉE 2 A PROPOS Pourquoi la gestion des leads (lead management) est-elle devenue si importante de nos jours pour les

Plus en détail