Chap. 3: Atomes polyélectroniques
|
|
- Caroline Boisvert
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chap. 3: Atomes polyélectroniques I) Configurations électroniques Chaque état d'un système atomique est décrit par une fonction d'onde qui traduit "le comportement ondulatoire" des électrons et permet de calculer les grandeurs physiques quantifiées (énergie, moment angulaire,...) qui sont associées à leur mouvement. En fait, chaque électron est décrit par une fonction d'onde Ψ (x, y, z, t), solution de l'équation de Schrödinger, qui dépend du temps et de la position de l électron 925: l équation de Schrödinger : Hψ = Eψ Ces fonctions d onde définissent les orbitales atomiques. Ces orbitales caractérisent un état possible pour un électron du système à chaque instant t. Cette résolution passe par l utilisation d un repère sphérique Chacune de ces orbitales est caractérisée par une série de nombres, appelés nombres quantiques
2 Les nombres quantiques État d électron caractérisé par 4 nombres quantiques : ) n : nombre quantique principal : niveau d énergie 2) l : nombre quantique secondaire : lié à l aplatissement ± important (forme elliptique) des orbites de niveau n 3) m ou m l : nombre quantique magnétique : orientation du plan de l orbite 4) s : nombre quantique de spin : sens d orientation de l électron Organisation électronique d un atome quelconque : modèle quantique ) n : variable indépendante : n Tous les électrons ayant la même valeur de n appartiennent à la même couche électronique n = (couche K) ; n = 2 (couche L) ; n = 3 (couche M) 2) l : l n - (n valeurs) Tous les électrons ayant la même valeur de l appartiennent à la même sous couche électronique l = : sous couche s l = : sous couche p l = 2 : sous couche d l = 3 : sous couche f
3 En fonction de n : n = l = une sous couche s uniquement n = 2 l = une sous couche s l = une sous couche p n = 3 l = une sous couche s l = une sous couche p l = 2 une sous couche d etc.. Symbole pour un électron : n = 4 et l = : 4p 3) m : - l m + l (2l + valeurs) Les électrons ayant les mêmes valeurs de n, l et m sont dans la même orbitale atomique représentée par une case quantique En fonction de l : l = m = l = m = -,, l = 2 m = -2, -,,, 2 seule case quantique seule orbitale s 3 cases quantiques 3 orbitales p 5 cases quantiques 5 orbitales d n, l et m définissent une orbitale donnée l = 3 m = -3, -2, -,,, 2, 3 7 cases quantiques 7 orbitales f
4 Règle de HUND : Les orbitales (cases) d une sous-couche ont le même niveau d énergie. Pas de sous niveaux par case quantique ou orbitale atomique Les 7 cases ont même énergie 4) s : nombre de spin : variable indépendante s = ±/2 Principe de Pauli : 2 électrons ne peuvent avoir leurs quatre nombres quantiques identiques 2 électrons de spin différent (appariés) par orbitale (ou par cas) au maximum Dans une couche n : 2 n 2 électrons au maximum
5 Bilan Pour une couche n : orbitale 4 orbitales n 2 cases 9 orbitales 2 n 2 électrons au maximum 6 orbitales
6 Expressions mathématiques des orbitales atomiques de l hydrogène
7 Forme des orbitales atomiques
8 Établissement de la configuration électronique d un atome Suivant Z Détermination du nombre d électrons Remplissage progressif des orbitales (cases) par niveaux d énergie croissants Suivant n : puis 2 puis 3 etc. Suivant l : s puis p puis d puis f etc. Remplissage des cases quantiques en respectant les règles de Hund et de Pauli Règle de multiplicité : Dans une sous couche, les électrons occupent les orbitales de même énergie avec des spins identiques (ou parallèles) avant de se placer avec des spins contraires C : Z = 6 s 2 2s 2 2p 2 P : Z = 5 s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 3 Cl : Z = 7 s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 5
9 Règle de Klechkowski Attention : Inversion des niveaux au delà de Z = 8 Pour le retrouver sans l apprendre Exceptions : couches (n+)s 2 nd 4 devient (n+)s nd 5 (couche a moitie pleine plus stable) et couches (n+)s 2 nd 9 devient (n+)s nd (couche totalement pleine plus stable)
10 Exemples de configurations électroniques Fe : Z = 26 s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 6 4s 2 3d 6 Ge : Z = 32 s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 6 4s 2 3d 4p 2 Cu : Z = 29 (exception pour le remplissage) s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 6 4s 3d Configuration électronique d un cation Attention : l électron partant est l électron de la couche électronique la plus en périphérie (de plus grand n) : TJS ECRIRE LA CONFIGURATION DE L ATOME AVANT CELLE DE L ION Fe 2+ : Z = électrons s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 6 4s 3d 6 Et non 4s 2 3d 4!!
11 Electrons de cœur et de valence (derniere couche electronique occupée) C : Z = 6 s 2 2s 2 2p 2 Cl : Z = 7 s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 5 Zn : Z = 3 s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 6 4s 2 3d Zn : Z = 3 s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 6 3d 4s 2 Ge : Z = 32 s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 6 3d 4p 2 4s 2
12 II) Tableau périodique de Mendeleïev (869) Construction Classement en fonction de la configuration électronique : chaque période correspond à une couche électronique (2 cases) ( cases) Pour un groupe (colonne) considéré, les éléments ont la même couche électronique externe (électrons de valence) : Périodicité des propriétés physico-chimiques des éléments Pour une période donnée, les éléments ont la même couche électronique interne (électrons de cœur)
13 BLOC s Métaux BLOC d Métaux de transition BLOC p Non métaux BLOC f Terres rares Plus de 2/3 des éléments sont des métaux!!!!
14 Alcalins Alcalino-terreux Halogènes Gaz rares Numérotation colonnes à 8
15 Notation de Lewis des atomes Système de notation des électrons de valence, essentiellement valable pour les éléments des blocs s et p électron non apparié :. doublet d'électrons : H : Z = C : Z = 6 s H.. C O : Z = 8 P : Z = 5 Cl : Z = 7 s 2 2s 2 2p 2. O. s 2 2s 2 2p 4 s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 3 s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p 5. P.. Cl.
16 Evolution des propriétés L électronégativité ( χ ) : première formulation de Linus Pauling : aptitude d'un atome, dans une molécule, à attirer la densité électronique de valence. En fait, il s agit d une grandeur relative qui détermine l aptitude d un atome à attirer à lui le doublet électronique qui l associe à un autre atome Tendance à gagner des électrons (χ grand) : propriété oxydante Tendance à perdre des électrons (χ faible) : propriété réductrice Evolution sur le tableau périodique Hormis les gaz rares C'est la valeur de la différence d'électronégativités entre deux éléments qui permet d'apprécier l'amplitude du transfert de charge lorsqu'ils forment une liaison chimique (ionicité de la liaison)
17 Energie d ionisation (ou potentiel d ionisation) : énergie à fournir pour arracher un électron à un atome ou à un ion à l état gazeux dans son état fondamental X (g) X + (g) + e Ainsi, l'énergie de ère ionisation est l'énergie minimale nécessaire pour former le cation mono-chargé, c'est-à-dire "arracher" à l'atome l'électron le moins lié (dernier électron de la configuration électronique). Evolution sur le tableau périodique Evolution similaire à L électronégativité
18 On peut poursuivre le processus d'ionisation en arrachant à l'atome successivement les électrons les moins liés et en créant ainsi des ions 2 fois chargés, 3 fois chargés,... dans leur état fondamental : Attention : l évolution des potentiel de 2 ème, 3 ème oxydation ne peut pas se prévoir sur le tableau périodique mais dépend de la configuration électronique du cation formé lors de la première ionisation Affinité électronique : Energie minimale nécessaire pour arracher un électron à l anion d un élément X - EF X EF + e - Evolution similaire à L électronégativité et au potentiel de première ionisation Le rayon atomique : Le rayon atomique représente le rayon des OA de valence Evolution inverse à L électronégativité et au potentiel de première ionisation
19 III) Calcul de rayons atomiques La modélisation d'un atome multiélectronique et l'interprétation des grandeurs physiques qui le caractérisent sont beaucoup plus complexes que pour le système hydrogénoïde. Ceci est dû au fait que chaque électron est soumis aux interactions répulsives de tous les autres, et en particulier, à l effet d écran induit par les électrons situés entre le noyau et l électron que l on considère. On peut considérer que cette densité de charge d'écran produit le même effet qu'une certaine charge ponctuelle négative qui serait située à la position du noyau. Ceci revient à affecter au noyau une charge effective Z*, inférieure à Z, c'est-à-dire un nombre de charge inférieur à Z Règles de Slater : chaque électron est considéré comme indépendant des autres à condition de remplacer la charge du noyau Z par une charge effective Z* (ou Z eff ) Approximation de Slater r = a n 2 / Z * a = 52,9 pm (Rayon de Bohr) Détermination de Z * = charge nucléaire effective (CNE) Z* varie selon l e - considéré : c'est une fonction de n et l (donc de la sous couche) Z * = Z - Σ σ Cste d écran
20 Tables de SLATER : Coefficients d écran de Slater Etat de l e - faisant écran électron étudié s 2s 2p 3s 3p 3d 4s 4p 4d 4f s 2s 2p 3s 3p 3d 4s 4p 4d 4f,3,85,35,85,35,85, Les e - d un groupe situé à droite du groupe de l e - étudié ne contribuent pas à la constante d écran
21 Exemples de calcul de constantes d écran et de Z* Application : cas du germanium (Z=32) Ge : s 2, 2s 2, 2p 6, 3s 2, 3p 6, 3d, 4s 2, 4p 2 σ s = x,3 =.3 Z* (s) = 3,69 σ 2s,2p = (7x,35)+(2x,85) = 4,5 Z* (2s,2p) = 27,85 σ 3s,3p = (7x,35)+(8x,85)+(2x) =,25 Z* (3s,3p) = 2,75 σ 3d = (9x,35)+(8x) = 2,5 Z* (3d) =,85 σ 4s,4p = (3x,35)+(8x,85)+(x) = 26,35 Z* (4s,4p) = 5,65 Plus l électron est éloigné du noyau, plus la charge nucléaire effective est faible (et éloignée du numéro atomique)
22 Rayon des ions atomiques Cation : la perte d'un électron diminue l'effet des répulsions interélectroniques et augmente donc la charge effective subie par les électrons. Le cortège électronique "se resserre" autour du noyau. Le rayon du cation est donc plus faible que celui de l'atome neutre Na : 9 pm et Na + 2 pm K : 238 pm et K + 38 pm Anion : inversement, le rayon de l'anion est plus grand que celui de l'atome neutre car l électron supplémentaire va augmenter les répulsions entre électrons F : 62 pm et F - : 33 pm Cl : 2 pm et Cl - : 8 pm BILAN : r cat < r atome < r anion Cation Atome Anion Les calculs de rayon des ions sont les mêmes que ceux des atomes Attention : ) l évolution des rayons des atomes sur le tableau périodique ne concerne pas les ions 2) on ne peut pas comparer les tailles d un cation d un élément avec l atome d un autre élément ou encore avec l anion d un autre élément sans les calculer
23 IV) Calcul de l énergie d un atome L énergie d un e - dans l état n, l est égale à : E n,l = -3,6. (Z* 2 /n 2 ) en ev L énergie de l atome est égale à : E TOT = Σ E n, Exemple : calcul de l énergie du Lithium dans son état fondamental Li : Z=3 : s 2 2s E TOT = 2.E s +.E 2s E = 2-3,6 ((3 -.3)/) 2-3,6 ((3-2.85)/2) 2 E = - 96,82 5,746 = -22,57 ev Détermination du premier potentiel d'ionisation : il n'est pas directement égal à l'opposé de l'énergie de l'électron, mais à la différence entre les énergies totales de l'ion et de l'atome : E ionis = E totale (ion) E totale (atome)
24 Exemple : Calcul du premier potentiel d ionisation de l aluminium Al : Z=3 : 3 électrons : s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p Al s 2 2s 2 2p 6 3s 2 3p Al + (2 électrons) s 2 2s 2 2p 6 3s 2 E Al = Σ E n,l = 2 E s + 8 E 2s2p + 3 E 3s3p = X + 3 E 3s3p E Al+ = Σ E n,l = 2 E s + 8 E 2s2p + 2 E 3s3p = X + 2 E 3s3p E Al = X + 3 E 3s3p = X + 3 (-3.6 ( ) 2 /3 2 ) E Al = X 55,53 ev E Al + = X + 2 E 3s3p = X + 2 (-3.6 ( ) 2 /3 2 ) E Al + = X 44,8 ev E = E Al + E Al = 44, =.73 ev
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailMolécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailCHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES
CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste
Plus en détailLES ELEMENTS CHIMIQUES
LES ELEMENTS CHIMIQUES.LA CLASSIFICATION PERIODIQUE DE MENDELEÏEV En 869, le chimisme russe Dimitri Ivanovitch Mendeleïev rangea les 63 éléments chimiques connus à son époque dans un tableau. Il les disposa
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailEnseignement secondaire
Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailLES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPHILES EN SÉRIE ALIPHATIQUE S N 1 ET S N 2
Pr atem BEN ROMDANE LES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPILES EN SÉRIE ALIPATIQUE S N 1 ET S N 2 3 - LE MÉCANISME S N 2 a - Constatations expérimentales Cinétique : l'étude des réactions de substitution nucléophile
Plus en détailEXERCICES SUPPLÉMENTAIRES
Questionnaire EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES SCP 4010-2 LE NUCLÉAIRE, DE L'ÉNERGIE DANS LA MATIÈRE /263 FORME C Version corrigée: Équipe sciences LeMoyne d'iberville, septembre 2006. QUESTION 1 (5 pts) 1. La
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détailProfesseur Eva PEBAY-PEYROULA
3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailGénéralités. Chapitre 1
Chapitre 1 Généralités Les complexes des métaux de transition sont des molécules constituées d un ou de plusieurs centre(s) métallique(s) (Ti, Fe, Ni, etc.) lié(s) à un certain nombre de «ligands». Ceux-ci
Plus en détailFigure 1 : Diagramme énergétique de la photo émission. E B = hν - E C
ANALYSE XPS (ESCA) I - Principe La spectroscopie XPS (X-Ray Photoelectron Spectroscopy) ou ESCA (Electron Spectroscopy for Chemical Analysis) est basée sur la photo émission. Lors de l'irradiation par
Plus en détailThéorie des multiplets! appliquée à! la spectroscopie d ʼabsorption X!
Théorie des multiplets! appliquée à! la spectroscopie d ʼabsorption X! Marie-Anne Arrio, Amélie Juhin! Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés, Paris! 1! Rappel : défini-on des seuils
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détailCours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie
Cours d électricité Introduction Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Le terme électricité provient du grec ἤλεκτρον
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailEffets électroniques-acidité/basicité
Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détail1 ère Partie : Concepts de Base
1 ère Partie : Concepts de Base 7 8 J-89 COURS 2. Qu est ce que la Chimie? Ce chapitre ainsi que le suivant sont des rappels de concepts que vous êtes censés avoir appris en Terminale S. Néanmoins, il
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailQu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir?
exposé UE SCI, Valence Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir? Dominique Spehner Institut Fourier et Laboratoire de Physique et Modélisation des Milieux Condensés Université
Plus en détail1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.
Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailLes rayons X. Olivier Ernst
Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse
Plus en détailLaboratoire de Physique de la Matière Condensée et des Nanostructures de Lyon
Rapport sur le stage effectué du 1 er juin 2010 au 31 juillet 2010 au Laboratoire de Physique de la Matière Condensée et des Nanostructures de Lyon Génération de pseudo-potentiel atomique pour des matériaux
Plus en détailMécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE. E-MAIL : dataelouardi@yahoo.
Mécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE E-MAIL : dataelouardi@yahoo.fr Site Web : dataelouardi.jimdo.com La physique en deux mots
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailPOLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)
Plus en détailDYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES
A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailPROGRAMME DE PHYSIQUE - CHIMIE EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE
PROGRAMME DE PHYSIQUE - CHIMIE EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE Préambule Objectifs La culture scientifique et technique acquise au collège doit permettre à l élève d avoir une première représentation
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailTransformations nucléaires
I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière
Plus en détail3 Charges électriques
3 Charges électriques 3.1 Electrisation par frottement Expérience : Frottons un bâton d ébonite avec un morceau de peau de chat. Approchonsle de petits bouts de papier. On observe que les bouts de papier
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailLa physique nucléaire et ses applications
La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension
Plus en détailPhysique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,
Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détailNOTICE DOUBLE DIPLÔME
NOTICE DOUBLE DIPLÔME MINES ParisTech / HEC MINES ParisTech/ AgroParisTech Diplômes obtenus : Diplôme d ingénieur de l Ecole des Mines de Paris Diplôme de HEC Paris Ou Diplôme d ingénieur de l Ecole des
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome
PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailDM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION
Physique Chapitre 4 Masse, énergie, et transformations nucléaires DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Date :. Le 28 juin 2005, le site de Cadarache (dans les bouches du Rhône)
Plus en détailChapitre I- Le champ électrostatique. I.1.1- Phénomènes électrostatiques : notion de charge électrique
Chapitre I- Le champ électrostatique I.- Notions générales I..- Phénomènes électrostatiques : notion de charge électrique Quiconque a déjà vécu l expérience désagréable d une «décharge électrique» lors
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I. Les quanta s invitent
TABLE DES MATIÈRES AVANT-PROPOS III CHAPITRE I Les quanta s invitent I-1. L Univers est en constante évolution 2 I-2. L âge de l Univers 4 I-2.1. Le rayonnement fossile témoigne 4 I-2.2. Les amas globulaires
Plus en détailModélisation moléculaire
Modélisation moléculaire 1 Introduction La modélisation moléculaire a pour but de prévoir la structure et la réactivité des molécules ou des systèmes de molécules. Les méthodes de la modélisation moléculaire
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailLe Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.
Le Soleil Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil, une formidable centrale à Fusion Nucléaire Le Soleil a pris naissance au sein d un nuage d hydrogène de composition relative en moles
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailChapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation
Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détaila. La masse de Jeans b. Le support des nuages moléculaires -Séquence Principale (PMS)
VI. L évolution stellaire (un aperçu) 1. Les polytropes 2. L initialisation de la formation stellaire a. La masse de Jeans b. Le support des nuages moléculaires 3. La contraction pré-s -Séquence Principale
Plus en détailExamen de fin d apprentissage Télématicien / Télématicienne
Série 2006 Examen de fin d apprentissage Télématicien / Télématicienne Connaissances professionnelles écrites Connaissance des schémas Nom, Prénom Numéro du candidat Date........ Temps Auxiliaires Notation
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3
Plus en détailLa Fusion Nucléaire (Tokamak) Nicolas Carrard Jonathan Carrier Guillomet 12 novembre 2009
La Fusion Nucléaire (Tokamak) Nicolas Carrard Jonathan Carrier Guillomet 12 novembre 2009 La matière L atome Les isotopes Le plasma Plan de l exposé Réactions nucléaires La fission La fusion Le Tokamak
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailUE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd
UE 503 L3 MIAGE Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique A. Belaïd abelaid@loria.fr http://www.loria.fr/~abelaid/ Année Universitaire 2011/2012 2 Le Modèle OSI La couche physique ou le
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailChapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle
Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle 5.1 Classification Déterminer à quelle catégorie (sphérique, symétrique, asymétrique) appartiennent ces molécules : a) CH 4, b) CH 3 F, c) CH 3 D, d) SF 6, e) HCN,
Plus en détailIntroduction à l absorption X
Introduction à l absorption X Yves Joly Institut Néel, CNRS et UJF FAME+, Mai 2012 1 Définition 2 Section efficace Coefficient d absorption linéaire Faisceau monochromatique I 0 Matériau isotrope et homogène,
Plus en détailCours IV Mise en orbite
Introduction au vol spatial Cours IV Mise en orbite If you don t know where you re going, you ll probably end up somewhere else. Yogi Berra, NY Yankees catcher v1.2.8 by-sa Olivier Cleynen Introduction
Plus en détailLa voiture électrique. Cliquez pour modifier le style des sous-titres du masque
La voiture électrique Cliquez pour modifier le style des sous-titres du masque I) Introduction II) Composition et Fonctionnement d une voiture électrique III) Gros plan sur les Batteries IV) Conclusion
Plus en détailLa fonction d onde et l équation de Schrödinger
Chapitre 1 La fonction d onde et l équation de Schrödinger 1.1 Introduction En physique classique, une particule est décrite par sa position r(t). L évolution de sa position (la trajectoire de la particule)
Plus en détailVie et mort des étoiles. Céline Reylé Observatoire de Besançon
Vie et mort des étoiles Céline Reylé Observatoire de Besançon Qu est-ce qu une étoile? Sphère de gaz hydrogène (¾) hélium (¼) pèse sur le centre qui est alors chauffé E. Beaudoin Sphère de gaz hydrogène
Plus en détailPlan du chapitre «Milieux diélectriques»
Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation
Plus en détailTP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie
Nom : Prénom: n groupe: TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Consignes de sécurité de base: Porter une blouse en coton, pas de nu-pieds Porter des lunettes, des gants (en fonction des espèces
Plus en détailCapacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)
apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé
Plus en détailModule d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere
Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge
Plus en détailMODELE DE PRESENTATION DU PROJET
MODELE DE PRESENTATION DU PROJET SITUATION ACTUELLE DU PROJET: Intitulé du PNR Code du Projet (Réservé à l administration) SCIENCES FONDAMENTALES Nouveau projet : Projet reformule: 1.1. Domiciliation du
Plus en détailLes Rencontres Scientifiques Colas
Les Rencontres Scientifiques Colas «L avenir du véhicule électrique» 2 juin 2009 avec Yves CHABRE Docteur ès-sciences Consultant pour véhicules électriques et Pierre MIDROUILLET Directeur Général de PVI
Plus en détailPartie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés
Molécules et matériaux organiques Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés bjectifs du chapitre Notions à connaître
Plus en détailpar Alain Bonnier, D.Sc.
par Alain Bonnier, D.Sc. 1. Avons-nous besoin d autres sources d énergie? 2. Qu est-ce que l énergie nucléaire? 3. La fusion nucléaire Des étoiles à la Terre... 4. Combien d énergie pourrait-on libérer
Plus en détailrelatif au Code international de gestion du cyanure
INSTITUT INTERNATIONAL DE GESTION DU CYANURE Définitions et sigles relatif au Code international de gestion du cyanure www.cyanidecode.org Juin 2012 Le Code international de gestion du cyanure (ci-après
Plus en détailL École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I
L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailU-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES
Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailPrincipe de fonctionnement des batteries au lithium
Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /
Plus en détailInteraction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n 2. Résonance magnétique : approche classique
PGA & SDUEE Année 008 09 Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n. Résonance magnétique : approche classique Première interprétation classique d une expérience de résonance magnétique On
Plus en détailAnimations. Liste des 114 animations et 145 vidéos présentes dans la Banque de Ressources Physique Chimie Lycée. Physique Chimie Seconde
Animations Physique Chimie Seconde Extraction de l'eugénol La nature inspire les hommes Identification de principes actifs Identification d'une espèce chimique Support de l'exercice - Colorants alimentaires
Plus en détailSECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène
SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailDM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique
DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite
Plus en détailPHYSIQUE QUANTIQUE ET STATISTIQUE PHYS-H-200
UNIVERSITÉ LIBRE DE BRUXELLES Faculté des sciences appliquées Bachelier en sciences de l ingénieur, orientation ingénieur civil Deuxième année PHYSIQUE QUANTIQUE ET STATISTIQUE PHYS-H-200 Daniel Baye revu
Plus en détailIntroduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires
Introduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires Nassiba Tabti A.E.S.S. Physique (A.E.S.S. Physique) 5 mai 2010 1 / 47 Plan de l exposé 1 La Radioactivité Découverte de la radioactivité
Plus en détailpour les canalisations de transport 14 avril 2010-1 -
Arrêté multifluide du 4 août t 2006 pour les canalisations de transport 14 avril 2010-1 - Une volonté de l administration L ancien arrêté portant règlement de sécurité des ouvrages de transport de gaz
Plus en détailde suprises en surprises
Les supraconducteurs s de suprises en surprises titute, Japan hnical Research Inst Railway Tech Julien Bobroff Laboratoire de Physique des Solides, Université Paris-Sud 11 & CNRS Bobroff 2011 Supra2011
Plus en détailSpécialité auxiliaire en prothèse dentaire du brevet d études professionnelles. ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES
ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES 51 Epreuve EP1 : ANALYSE ET COMMUNICATION TECHNOLOGIQUES UP1 Coefficient 4 Finalité et objectifs de l épreuve L épreuve vise à évaluer la capacité du candidat à mobiliser
Plus en détail