Les femmes africaines se mobilisent contre le Sida

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1 Les femmes africaines se mobilisent contre le Sida Projet existant depuis 2005 et soutenu par l INPES et l ARS IledeFrance 1

2 Vision d ensemble sur le projet Origine du projet : Les communautés africaines originaires d Afrique subsaharienne vivant en France sont de plus en plus touchées par l épidémie du Sida. En effet, 1/3 des nouveaux diagnostics positifs en 2004 été faits auprès de personnes d Afrique subsaharienne, selon les données publiées par l Institut National de Veille Sanitaire. 21% des personnes dépistées séropositives en France en 2004 étaient des femmes originaires d Afrique subsaharienne. 63% des patients africains dépistés avaient atteint le stade Sida ay moment du diagnostic. Cette évolution croissante de la maladie dans la communauté africaine, surtout chez les femmes a conduit l association URACA à penser à d autres méthodes de prévention. C est pourquoi en 2005, URACA a mis en place cette action de prévention en direction des femmes africaines vivant en Ile de France car la majorité des migrants originaires d Afrique subsaharienne y vivent, et les groupements des femmes sont majoritairement situés à Paris et en grande banlieue. Objectifs généraux du projet : - sensibiliser des groupes de femmes africaines sur le VIHSida et les IST - les accompagner dans l élaboration et la mise en œuvre d actions de prévention du Sida en France et en Afrique Public concerné : Les femmes africaines qui ne se sont jamais investies dans la prévention du VIHSida Contact : Si vous souhaitez avoir plus d informations sur ce projet de prévention du Sida auprès des femmes africaines, vous pouvez contacter Aïssatou Gnabaly Animatrice de prévention à URACA aissatou.gnabaly@uraca.org 2

3 Questionnaire d évaluation SIDA avant sensibilisation 1 ère séance : Le Sida c est quoi? 2 ème séance : Les pratiques de prévention Année 1 SENSIBILISATION 3 ème séance : Echanges à partir d un outil de prévention 4 ème séance : Evaluation et approfondissement de certains aspects Questionnaire d évaluation SIDA après sensibilisation Questionnaire d évaluation IST avant sensibilisation 5 ème séance : Les IST, de quoi parleton? 6 ème séance : Echanges libres sur les IST 7 ème séance : Evaluation et approfondissement de certains aspects 8 ème séance : Quelle(s) action(s) de prévention mettre en place? Questionnaire d évaluation IST après sensibilisation ACCOMPAGNEMENT DES ANCIENS GROUPES ACCOMPAGNEMENT INDIVIDUEL DES FEMMES Année 2 SUPERVISION ET PREPARATION AU CONCOURS CONCOURS 3

4 Mobilisation Objectif de la mobilisation : Mobiliser les femmes pour participer à l ensemble du projet (sensibilisation, conduite d actions de prévention et participation au concours) Après avoir sensibilisé les leaders des tontines, l animatrice de prévention rencontre le groupe pour présenter de façon plus concrète l action et pour leur donner envie de s impliquer. Pour cela, l animatrice développe un argumentaire en expliquant que la majorité des personnes atteintes du VIHSida sont des personnes africaines en donnant des statistiques françaises et que pour cela, il est important de participer à la prévention dans leur communauté. Cette 1 ère étape dans le projet permet déjà de toucher du doigt les représentations que les femmes ont du VIHSida. En effet, elles commencent bien souvent à exposer leurs craintes à parler de la maladie ou au contraire leur conviction qu il faut agir. Cette étape de mobilisation dure environ 2 à 3 séances afin que l animatrice convainque les femmes de participer au projet. Après ces séances, certains groupes refusent de participer au projet. Dans ce cas là, l animatrice doit chercher de nouveaux groupes de femmes et recommencer la mobilisation. Cette étape est essentielle mais rien n est jamais acquis. Car même lorsque les groupes sont d accord pour s impliquer dans le projet, il arrive que les groupes éclatent au cours de l année, ou que le leader change et que ce dernier ne souhaite pas que le groupe travaille sur le VIHSida Il faut donc que l animatrice mobilise de nouveaux groupes. Une fois que le groupe a décidé de participer au projet, l animatrice de prévention distribue aux femmes mobilisées un questionnaire permettant de recueillir les représentations qu elles ont du Sida et du VIH. Ce questionnaire est ensuite analysé par l animatrice qui ajuste la sensibilisation à là où en sont les femmes dans leurs connaissances du Sida et du VIH mais aussi dans leurs représentations. 4

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6 Le Sida c est quoi? Objectif de la 1 ère séance de sensibilisation : Apporter des connaissances sur le Sida en partant des représentations qu en ont les femmes L animatrice s appuie sur les questionnaires remplis précédemment par les femmes pour adapter son discours aux représentations qu elles ont de la maladie, mais aussi aux connaissances qu elles en ont. L animatrice utilise le mode de l échange pour apporter des connaissances sur : Ce qu est le VIH Comment peuton l attraper Comment peut on l éviter? Quels sont les traitements existants? Où aller se faire dépister? Les séances de sensibilisation se font parfois dans la langue du groupe ou en français et c est un membre du groupe qui traduit aux femmes qui ne comprennent pas le français. Par ailleurs, les groupes évoluent au cours de l année. De nouvelles personnes arrivent, d autres quittent le groupe. L animatrice doit alors revenir sur des éléments de connaissances abordés lors des séances de sensibilisation. Pour cela, l animatrice s appuie sur un certain nombre d outils tels que «Le Sida c est quoi?», petit livret réalisé par URACA ou encore «Femm infos» réalisé par Aides. 6

7 Ces brochures sont ensuite distribuées aux femmes. A partir des échanges avec les femmes, l animatrice repère également les «fausses croyances» et travaille à les déconstruire : «les moustiques transmettent la maladie», «il ne faut pas manger avec quelqu un qui a le VIH», 7

8 Les pratiques de prévention Objectifs de la 2 ème séance de sensibilisation : faire connaître les pratiques de prévention du VIHSida promouvoir le préservatif féminin travailler sur les représentations quant à chacune de ces pratiques orienter vers des structures de dépistage Cette séance permet pour certaines femmes de découvrir les différents préservatifs. L animatrice ou certaines femmes font une démonstration de l utilisation du préservatif masculin. C est l occasion pour l animatrice de questionner les freins à l utilisation de ce type de préservatif. L animatrice prend un temps particulier pour présenter le préservatif féminin, que bon nombre de femmes ne connaissent pas. Elle leurs explique comment l utiliser et interrogent également leurs représentations et leurs propres pratiques : connaissezvous le préservatif féminin? L avezvous déjà utilisé? Comment le trouvezvous? Etesvous prêts à l utiliser? Pourquoi? De quoi auriez- vous besoin pour l utiliser? Si vous l avez utilisé, quelles ont été les réactions de votre con joint? Le conseilleriezvous à une autre femme?... Si certaines femmes l ont déjà utilisé dans le groupe, elles leurs demande ce qu elles en ont pensé. Bien souvent, cela est l occasion de travailler sur les freins à l utilisation du préservatif féminin : «ce n est pas facile à mettre», «ça fait du bruit», «quand on voit le préservatif féminin, ça fait peur» Enfin, l animatrice présente également le dépistage du VIHSida en expliquant comment cela se passe, en donnant des adresses où les femmes, et les hommes, peuvent aller se faire dépister. Cela permet également d aborder les freins au dépistage et notamment la crainte de savoir que l on est porteur de la maladie. C est l occasion pour l animatrice de revenir sur la question du traitement qui a été abordée précédemment. 8

9 L animatrice de prévention explique aussi ce qu est le dépistage rapide : comment ça se passe, où peuton faire ce type de dépistage, Elle évoque à nouveau le traitement et explique en quoi cela consiste, comment cela se passe, et informe les femmes qu elle peut les accompagner à faire le dépistage si elles le souhaitent. 9

10 Echanges à partir d un outil de prévention Objectifs de la 3 ème séance de sensibilisation : Travailler sur les représentations des femmes Echanger sur les pratiques des femmes Cette séance consiste à visionner un film de prévention (Moussa le taximan) ou d un petit livret (Les aventures de MaÏmouna, Madina et le VIH) pour parler avec les femmes du rapport à l autre, l autre porteur de la maladie, du rapport aux hommes, de la communication dans le couple... Après avoir visionné ou lu les outils, les femmes réagissent, échangent, disent ce qu elles pensent de ce qu elles ont vu ou lu. C est aussi un moyen de parler à nouveau avec elles de leurs représentations, de leurs pratiques 10

11 Evaluation et approfondissement Objectifs de la 4 ème séance de sensibilisation : Evaluer les effets de la participation des femmes aux séances de sensibilisation (en termes de représentations, connaissances, pratiques ) Approfondir des aspects ou préciser des éléments déjà abordés Cette séance permet à l animatrice de distribuer le même questionnaire qu au début de la sensibilisation. L analyse des questionnaires avant/après permettra d évaluer les modifications apportées par le projet. Mais cette séance permet également aux femmes de faire un retour à l animatrice sur les effets de leur participation à cette action : estce qu elles parlent plus facilement du Sida? Estce qu elles ont modifié leurs pratiques? Se sontelles fait dépister?... Cela permet ainsi à l animatrice de voir si des aspects méritent d être à nouveau travaillés. Comme les séances suivantes porteront sur les IST, l animatrice diffusera également un questionnaire de recueil des représentations et des connaissances sur les IST. Comme précédemment, cela permettra d adapter le discours à là où en sont les femmes. 11

12 Les IST, de quoi parleton? Objectifs de la 5 ème séance de sensibilisation : Apporter des connaissances sur les Infections Sexuellement Transmissibles (IST) Lors de cette séance, l animatrice aborde les aspects suivants : Ce que sont les IST Comment peuton les attraper et comment les prévenir Quels signes peuvent nous alerter que l on a attrapé une IST Les traitements possibles C est l occasion pour l animatrice de revenir sur les pratiques de prévention et d apporter certains conseils pratiques pour éviter d attraper une IST. Des supports sont parfois utilisés et distribués aux femmes comme par exemple, «Le petit livre des Infections Sexuellement Transmissibles» réalisé par l INPES. Ces outils, généralement utilisés auprès de publics jeunes, sont bien compris des femmes grâces aux dessins qui y figurent. C est à partir de ces images que les échanges ont lieu. 12

13 Echanges libres sur les IST Objectifs de la 6 ème séance de sensibilisation : Travailler sur les représentations des femmes Echanger sur les pratiques des femmes A partir d un support, les femmes échangent là aussi sur leurs pratiques de prévention des IST. 13

14 Evaluation et approfondissement Objectifs de la 7 ème séance de sensibilisation : Evaluer les effets de la participation des femmes aux séances de sensibilisation (en termes de représentations, connaissances, pratiques ) Approfondir des aspects ou préciser des éléments déjà abordés Cette séance permet à l animatrice de distribuer le même questionnaire qu au début de la sensibilisation sur les IST. L analyse des questionnaires avant/après permettra là aussi d évaluer les modifications apportées par le projet. Mais cette séance permet également aux femmes de faire un retour à l animatrice sur les effets de leur participation à cette action. Cela permet ainsi à l animatrice de voir si des aspects méritent d être à nouveaux travaillés. 14

15 Quelle(s) action(s) de prévention? Objectifs de la 8 ème séance de sensibilisation : Identifier une (ou des) action(s) de prévention du VIHSida à mettre en place Elaborer les objectifs de cette (ou ces) action(s) En effet, l ensemble du projet «Les femmes africaines se mobilisent contre le Sida» vise à sensibiliser les femmes, mais aussi à les former et à les rendre capables de mener une action de prévention de façon autonome. Le rôle de l animatrice dans cette séance doit être d amener les femmes à réfléchir au sens de l action qu elles souhaitent conduire de façon à leur faire prendre conscience de comment construire un projet à partir d une idée de départ (cette action doit répondre à quels besoins? quels sont les objectifs?). L animatrice organise parfois des rencontres entre le groupe de femmes qui réfléchit à son action et des anciens groupes qui ont déjà conduit des projets de prévention, afin d échanger leurs pratiques, de commencer à élaborer des stratégies pour mettre en place son idée d action 15

16 Supervision et préparation au concours Objectifs de la supervision et de la préparation au concours : accompagner le groupe à élaborer son projet d action accompagner le groupe à mettre en œuvre son action Le nombre de séances de supervision est variable ainsi que la durée totale. Cela peut aller de 3 à 7 séances pendant une année environ. L animatrice a pour rôle d accompagner le groupe à mener son action et pas de faire ellemême. Pour cela, elle doit apporter un certain nombre d outils permettant au groupe d élaborer son projet, dont une ficheaction qui guide les groupes dans l élaboration de leurs actions et qui leur permet d avoir des éléments d évaluation quantitatifs et qualitatifs de ces actions. L animatrice fournit également des supports de prévention si les femmes en ont besoin. Pour les groupes, préparer le concours consiste à constituer un dossier de candidature dans lequel des supports de présentation des actions conduites par le groupe doivent être fournis : une fiche d inscription la ficheaction présentée cidessus qui présente le groupe, l action conduite, les outils utilisés, les outils éventuellement construits et les aspects sur lesquels le groupe aimerait continuer de travailler. Le concours est préparé par un jury indépendant constitué de partenaires d URACA qui étudie chaque dossier et attribue un prix. Certains groupes ne souhaitent pas participer au concours. L animatrice continue donc d accompagner ces groupes dans la réalisation de leurs actions de prévention. 16

17 Concours Objectif du concours : Valoriser les actions conduites de prévention par les groupes La journée de remise des prix est un mélange de fête, de réflexion et de reconnaissance du travail fourni. Cette fête est l un des piliers de l action car elle donne de la visibilité à tout le projet et valorise les groupes. Le concours est souvent un levier pour que les groupes de femmes s engagent dans la prévention du Sida. Le jury remet les prix à chaque groupe sélectionné. C est l occasion pour le groupe de présenter son action à d autres qui mènent des actions différentes. 4 prix sont remis en fonction du choix d jury. Tous les groupes qui participent au concours reçoivent une somme d argent plus ou moins importante et des outils de prévention. 17

18 Accompagnement des anciens groupes Objectifs de l accompagnement des anciens groupes : Poursuivre la formation des groupes sur le VIHSida Soutenir ces groupes dans la conduite de leurs actions de prévention Leur fournir des outils de prévention 5 anciens groupes sont accompagnés par l animatrice, en fonction de leurs demandes (conseils concernant l action, demande de formation, demande d outils de prévention ). L accompagnement des anciens groupes dure entre 3 à 5 séances en fonction de la demande du groupe. L animatrice peut être amenée à reprendre des éléments abordés lors de la phase de sensibilisation, mais aussi à aider le groupe à affiner ou à faire évoluer son action de prévention. 18

19 Accompagnements individuels des femmes Objectifs des accompagnements individuels : Répondre aux demandes individuelles des femmes L animatrice est souvent repérée par les femmes qui participent au projet comme étant une personne ressource en matière de santé. C est pourquoi elle est souvent sollicitée pour des rencontres individuelles avec des femmes qui ont besoin d une information, d un conseil, d une orientation, d un accompagnement ou simplement d une écoute. Lorsqu elle peut leur apporter une réponse, l animatrice le fait. Mais il arrive aussi que les demandes des femmes aillent bien audelà de la mission de l animatrice qui doit alors les orienter vers un autre interlocuteur. Un travail d accompagnement physique et mental est alors fait par l animatrice qui doit repérer la personne compétente qui pourra répondre à la demande de la femme, mais aussi rassurer cette dernière, se déplacer physiquement avec elle pour la première rencontre et tisser de nouvelles relations de confiance avec ce nouvel interlocuteur. 19

20 L évaluation conduite en 2009 a montré que l action avait des effets à plusieurs niveaux sur l acquisition de connaissances concernant : le VIHSida : «nous nous sommes formées à URACA sur les modalités des méthodes de prévention VIHSida afin de pouvoir en parler et expliquer à d autres personnes» les modes de transmission : «il y a eu des jeunes qui se sont intéressés aux modes de transmission du Sida et des filles aux préservatifs féminins» les comportements de prévention : «faire le rapport sexuel protégé et la fidélité mutuelle» les modalités de dépistage : «on a vu où sont les centres qui font le dépistage? Tous les hôpitaux font le dépistage» sur l évolution des comportements en termes : d utilisation du préservatif : «Depuis le début de l action, on utilise le préservatif, on se protège. Si l homme n accepte pas, il n a qu à partir» de pratiques du dépistage : «Moi, j ai réussi à faire dépister mon mari. Je lui ai montré mon test, il m a montré le sien» sur le développement de la communication sur le VIHSida au sein des communautés africaines, lever le tabou «On parle du Sida au sein de la communauté africaine et on lève le tabou» «On fait évoluer les représentations vis- àvis des personnes malades» 20

21 sur le rôle de relais des femmes auprès de leur entourage et de leur communauté Elles sont relais auprès de leurs familles : «Notre 1 ère action s est effectuée dans nos propres familles avec nos maris et nos enfants pour nous familiariser avec la prévention avant de la faire dehors auprès d autres» Elles sont relais auprès de leur communauté : «Dans mon milieu, il y a beaucoup de chrétiens, alors je sensibilise les parents. Pour cela, je vais leur parler et je leur distribue des préservatifs» Elles sont relais auprès de leur entourage : «Maintenant j amène des préservatifs à mes collègues de travail. Je leur parle du Sida, je dis que c est le parapluie pour se préserver» Sur l évolution de la place de la femme au sein du couple et de la famille La communication au sein du couple : «Je communique mieux avec mon compagnon. Quand il sort, je lui explique et je le préviens qu il doit utiliser le préservatif. Je lui en mets quelquesuns dans son portefeuille. Avant, je n osais pas lui dire ça. C est plus facile de communiquer et de discuter depuis le projet URACA La place de la femme et de la mère : «Nous, les femmes africaines parce que nos maris prennent plusieurs femmes, cela fait beaucoup plus de contamination. Avant, on était à leur merci, maintenant on peut se protéger sans eux. Les hommes n ont plus rien à dire, c est à nous les femmes de nous protéger» 21

22 Logo des institutions financeurs de ce travail Document réalisé par Aïssatou Gnabaly, Animatrice de prévention à URACA et Perrine Lebourdais, Consultante et formatrice à l Institut Renaudot 22

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