ASNIERES SUB PLONGEE Section apnée. Cours N1 Apnée 20/11/2012 JY Corre
|
|
- Blanche Blanchard
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ASNIERES SUB PLONGEE Section apnée Cours N1 Apnée 20/11/2012 JY Corre 1
2 Sommaire 1 Notion de physique 2 Les principaux dangers et leur prévention a) Les barotraumatismes b) La syncope c) Autres 3 Notion de réglementation Autres cours 1 Biologie et environnement le 27/11 2 Matériel (facultatif) le 5/02 2
3 1> Notion de physique La notion de pression La pression (P) est une force (F) appliquée sur une surface (S) L unité de mesure est le Bar Les différentes pressions 1) Pression atmosphérique -> poids de l air à la surface de la terre : 1 bar au niveau de la mer 2) Pression hydrostatique ou pression relative -> poids de l eau : 1 bar tous les 10 mètres On la ressent par exemple au niveau des oreilles durant la descente. 3) La pression absolue = pression atmosphérique + pression hydrostatique 3
4 1> Notion de physique Calcul de pression : La pression = Profondeur en m / 10 + pression Atmosphérique 4
5 1> Notion de physique Variation de la pression en fonction de la profondeur : Variation % 100 % 50 % 33 % 25 % La variation de pression est plus forte dans les 10 premiers mètres 5
6 1> Notion de physique La notion de flottabilité Poussée d Archimède = tout corps plongé dans un liquide est soumis à une force verticale orientée vers le haut et égale au poids du volume de liquide déplacé. Plus le volume est important, plus la poussée d Archimède est importante Ramène tout corps immergé à la surface P Arch. P réel La poussée d Archimède 6
7 1> Notion de physique Question : Exemples d éléments influant sur notre flottabilité? Combinaison / épaisseur Poumons vides / pleins Morphologie Matériel en particulier le lest (ceinture de plomb) Salinité de l eau 7
8 1> Notion de physique La notion de compressibilité des gaz Loi de Mariotte A volume et à température constants, si la pression du gaz augmente le volume du gaz diminue (et inversement) Exemple d un ballon que l on immerge à différentes profondeurs : Profondeur - Pression 0 m -1 bar 10 m - 2 bars 20 m - 3 bars 30 m - 4 bars 8
9 1> Notion de physique Question : Exemples d éléments chez l apnéiste subissant un changement de volume sous l effet de la pression? Combinaison Flottabilité Vitesse de descente : la combinaison se comprime => + on descend + on «coule» Vitesse de remontée : la combinaison se dilatent => remontée facilitée Masque Barotraumatismes Organisme (poumons, sinus...) Barotraumatismes Flottabilité 9
10 1> Notion de physique Une impression d objets plus gros de 33 % : un objet de 3 m paraît en faire 4 m. Une impression d objets plus près de 25 % : un objet à 4m paraît se trouver à 3 m. Absorption des couleurs : elles disparaissent en descendant (rouge / orange / jaune / vert / bleu) Sons : 4 x plus rapide que air => on entend mieux et plus loin mais l origine est dure à déterminer. 10
11 2.a Les risques - Barotraumatismes Barotraumatismes = accidents dus aux effets de la pression sur les gaz. (cf Loi de Mariotte) s appliquent à toutes les cavités du corps contenant de l air, mais aussi au masque Plaquage de masque Lors de la descente : Pression comprime le masque => jupe s écrase => dépression dans le masque => aspiration des tissus du visage (yeux, sinus) => douleur Prévention : il suffit de souffler régulièrement par le nez lors de la descente Masque à l équilibre Masque à la descente Masque à la descente si on continue Equilibre des pressions La jupe s écrase La jupe ne peut plus s écraser : l œil est aspiré 11
12 2.a Les risques - Barotraumatismes Accident des oreilles A la descente : Pression sur les tympans => gène => douleur =>léson du tympan. Prévention : équilibrer les oreilles durant la descente avant de ressentir une gène soit grâce à la manœuvre de Valsalva, soit en déglutissant. Ne pas faire de Valsalva à la remontée. Oreille normale Descente Remontée Equilibre des pressions Déformation du tympan (douleur) Equilibre des pressions automatique 12
13 2.a Les risques - Barotraumatismes Accident des sinus Les sinus sont des cavités osseuses en communication avec les fosses nasales. Les sinus s équilibrent naturellement Mais en cas de rhume, un bouchon peut se former au niveau du conduit de communication, empêchant l air d entrer ou sortir des sinus et créer par surpression ou dépression une lésion de la paroi des sinus Génère douleur au front / machoires Cet accident peut survenir à la descente comme à la montée Prévention : ne pas plonger enrhumé 13
14 2.a Les risques - Barotraumatismes La surpression pulmonaire est possible en apnée Causes Situation due à une respiration d air comprimé non évacué Au cours de la remontée, l air se dilate dans les alvéoles pulmonaires. S il ne peut s échapper, les parois alvéolaires se distendent puis se déchirent Symptômes et conséquences : État de choc (pouls rapide, pâleur, extrémités refroidies) Effraction pulmonaire (douleur thoracique, troubles ventilatoires ou cardiaques, toux avec du sang, voie rauque) Signes neurologiques par embolie cérébrale (troubles du comportement, maux de tête, nausées, inconscience) Prévention Ne jamais respirer de l air au fond pendant une apnée En cas de sauvetage, ne pas donner d air à un apnéiste Attention danger 14
15 2.b Les risques La syncope C est une perte de connaissance, sans arrêt cardiaque En fin d apnée le besoin d oxygène est intense Le premier organe à réagir au manque éventuel d oxygène est le cerveau : il se débranche et provoque alors une syncope. La syncope arrive donc préférentiellement proche de la surface 15
16 2.b Les risques La syncope L hyperventilation C est une ventilation forcée et à fréquence élevée (plus de 3 pour 30 secondes) Réduction du taux de CO ² dans le sang (sans pour autant augmenter notablement le taux d O 2 ). Le réflexe de respiration est basé sur le taux de CO 2 dissous dans le sang. le système d'alarme du corps est faussé Si le taux d'o ² est trop bas dans l'organisme : Syncope Pratique dangereuse à proscrire 16
17 2.b Les risques La prévention Signes pré-syncopaux ressentis par l apnéiste AVANT - Étourdissements - Étoiles dans les yeux - Picotements (extrémités) - Lourdeurs dans les jambes - Contractions du diaphragme - Aisance (bien être ou performances inhabituelles) PENDANT - Conscience sans possibilité de réaction musculaire - Relâchement du tonus musculaire Prévention Ne pas attendre l apparition de ces signes pour terminer l apnée. Soigner la fin de l apnée. Ne pas oublier que l air ré-inspiré n agit pas immédiatement (acheminement de l oxygène jusqu au cerveau) 17
18 2.b Les risques La prévention Signes pré-syncopaux visibles par les autres - Arrêt du palmage - Lâcher de bulles - Tremblements, frissons («Samba») - Gestes incohérents, ou absence de mouvements, ou crispation - Changement de rythme ou de direction - Regard inhabituel (vide ou paniqué) - Lèvres cyanosées. - Pas de reprise de la ventilation La Samba C est une série de convulsions incontrôlables du corps sans perte de connaissance et s apparentant à une danse..d où ce nom C est l étape ultime avant la syncope Prévention N1 : donner l alerte et prévenir l encadrant > N1 : intervention (Rifaa) 18
19 2.c Les risques Autres dangers Causes Prévention Hypothermie : chute brutale de la température du corps Hypoglycémie : chute du taux de sucre Issu cours CD78 19
20 2.c Les risques La prévention Les 10 règles d or de l apnée 1. Ne jamais faire d apnée tout seul : avoir la notion de binôme (celui-ci doit avoir au moins le même niveau) 2. Proscrire l hyperventilation au départ et terminer par une sortie propre et maîtrisée 3. Toujours annoncer l exercice avant le départ et le respecter : "Dire ce que l'on fait et faire ce que l on dit" 4. Être attentif aux signes indicateurs de syncope ou de Samba pour soi et les autres : avoir la notion de binôme 5. Acquérir les gestes de sauvetage (Rifaa à partir du N2) 20
21 2.c Les risques La prévention Les 10 règles d or de l apnée 6. Toujours garder un contact visuel avec son binôme en étant à portée immédiate afin de l assister rapidement 7. S'assurer de sa bonne forme physique et notamment ORL (ne jamais forcer sur les oreilles ou sinus) 8. Bien maîtriser une performance avant de tenter de l améliorer (la répétition valide la performance) en étant capable de l effectuer à la demande 9. Laisser le temps à l organisme de s habituer à un temps, une distance ou une profondeur avant d aller plus loin. Ne pas "forcer" mais "s'entraîner pour progresser (pas de recordite ) 10. En Apnée rien est acquis, tout se travaille 21
22 3> La réglementation Vos prérogatives N1 Autonomie dans espace proche (6 mètres de profondeur) sous la responsabilité au minimum d un initiateur - Entraîneur d apnée (C1). En milieu naturel, seuls les niveaux 1 majeurs peuvent évoluer en autonomie. Un N1 peut pratiquer l apnée sous toutes ses formes avec un encadrant d apnée qualifié 22
23 3> La réglementation Encadrants Apnée e C1 à C4 MILIEU ARTIFICIEL ou MILIEU NATUREL 23
24 3> La réglementation Vos compétences N1 24
25 3> La réglementation 25
26 3> La réglementation 26
27 3> La réglementation 27
28 3> La réglementation Créé éée e en 1948 à Marseille (la FFESSM est l'une des plus anciennes fédérations f au monde) Membre fondateur en 1959 de la Confédération Mondiale des Activités Subaquatiques (CMAS) Statut d association d «Loi 1901» La Fédération F Française aise d Etudes d et de Sports Sous-Marins en quelques chiffres Sous la tutelle du Ministre chargé des Sports, la FFESSM reçoit délégation d pour organiser les compétitions sportives Environ licenciés s en 2010 ( pour l Ilel Ile-De-France) clubs associatifs et structures commerciales agréé éés 14 commissions nationales dont l apnl apnée 17 Comités s Régionaux R (Métropole et Outremer) dont «Ile de France Picardie»
29 3> La réglementation F.F.E.S.S.M. : Cursus Apnée
30 3> La réglementation LA LICENCE FFESSM Obligatoire pour la pratique de l apnée au sein d une association ou d une structure commerciale Elle donne droit : A une assurance en responsabilité civile (RC): vous êtes couvert pour les dommages causés à autrui pas pour les dommages personnels (une assurance individuelle accident est proposée et fortement recommandée). Elle vaut assurance en RC pour la pêche sous-marine. Elle permet de pratiquer les activités de la FFESSM et de passer les brevets fédéraux. Elle implique le respect de la réglementation imposée par la FFESSM. Elle est valable 15 mois : du 15 septembre au 31 décembre de l année suivante. 30
F.F.E.S.S.S.M. Commission Nationale d Apnée Manuel de formation APNEISTE NIVEAU 2
APNEISTE NIVEAU 2 1. ORGANISATION GENERALE - Les sessions de Niveau 2 sont organisées à l échelon du club ou des structures commerciales agréées, en formation continue ou sous la forme d un examen ponctuel.
Plus en détailF.F.E.S.S.S.M. Commission Nationale d Apnée Manuel de formation APNEISTE NIVEAU 1
APNEISTE NIVEAU 1 1. ORGANISATION GENERALE - Les sessions de Niveau 1 sont organisées à l échelon du club ou des structures commerciales agréées, en formation continue ou sous la forme d un examen ponctuel.
Plus en détail1. Les barotraumatismes
Dans le cadre de votre formation niveau 3 de plongeur subaquatique, nous allons traiter les accidents de plongée. Pourquoi commencer par ce cours? Ce n est pas pour vous faire peur, mais plutôt pour vous
Plus en détailNotions physiques Niveau 2
14 novembre 2011 Contenu 1. Les pressions Les différentes pressions 2. La loi de Mariotte (Autonomie en air) 2.1. Principes 2.2. Applications à la plongée 3. Le théorème d Archimède (Flottabilité) 3.1.
Plus en détailBREVET 2 * Principes physiques régissant la plongée. Première partie
BREVET 2 * Principes physiques régissant la plongée Première partie Objectifs de ce cours: 1. Introduction à la formation du 2* 2. Comprendre les lois fondamentales régissant : la flottabilité (Archimède)
Plus en détailLivret de Certification Plongeur niveau 1
Livret de Certification Plongeur niveau 1 Supervised Diver 20m ISO 24801-1 Nom du stagiaire : Nom de la structure :.. Tampon PLONGEUR NIVEAU 1 Supervised Diver 20m ISO 24801-1 I DÉFINITION DU NIVEAU Plongeur
Plus en détailComment faire passer un message
Comment faire passer un message 1 Les Outils Pédagogiques Un cours en salle Le tableau Le rétroprojecteur Le matériel à présenter Un cours dans l eau La démonstration La découverte, les jeux L ardoise
Plus en détailF.M.A.S. COMITE TECHNIQUE NATIONAL MANUEL du MONITEUR PLONGEUR 1 ETOILE
PLONGEUR 1 ETOILE ORGANISATION GENERALE - Les sessions de plongeur 1 étoile sont organisées à l échelon du club, en formation continue ou sous forme d un examen ponctuel. - L acquisition de chacune des
Plus en détailLivret de formation Niveau 1
Livret de formation Niveau 1 1 Bienvenue au RC Arras Subaquatique! Ce livret a été rédigé par l équipe d encadrement afin de vous accompagner lors de votre formation niveau 1. Il se compose de trois parties
Plus en détailRÉGLEMENTATION LE DIRECTEUR DE PLONGÉE (DP)
F I C H E DIRECTION DE PLONGÉE, ORGANISATION ET RÉGLEMENTATION FICHE N RÉGLEMENTATION LE DIRECTEUR DE PLONGÉE (DP) POUR PLUS DE DÉTAILS, voir la fiche n 116 sur l organisation des plongées. 46. Rôle et
Plus en détailCours théorique Plongée Niveau 1
Cours théorique Plongée Niveau 1 Les parties encadrées en gras sont à bien connaître, ainsi que le paragraphe "déroulement d'une plongée et consignes de sécurité" Introduction La plongée est un sport technique
Plus en détailLivret de Certification. Plongeur Niveau 2 ISO 24801-2
Livret de Certification Plongeur Niveau 2 ISO 24801-2 Nom du stagiaire : Nom de la structure :.. Tampon PLONGEUR NIVEAU 2 CMAS** / NF-EN 14153-2 / ISO 24801-2 I DÉFINITION DU NIVEAU Plongeur confirmé qui
Plus en détailF.F.E.S.S.M. Commission Technique Nationale Manuel du Moniteur PLONGEUR NIVEAU I
PLONGEUR NIVEAU I ORGANISATION GENERALE - Les sessions de plongeur de Niveau I sont organisées à l échelon des clubs ou des structures commerciales agréées, en formation continue ou sous la forme d un
Plus en détailEléments de théorie du niveau 1. Emmanuel BERNIER
Eléments de théorie du niveau 1 Emmanuel BERNIER Mars 2001 Table des matières 1 Présentation du niveau 1... 3 2 La flottabilité... 4 3 Les effets de la pression de l'eau... 5 3.1 La pression... 5 3.2 La
Plus en détailLa technique en 7 étapes. Déroulement du mouvement. ASTA Association Suisse de Tir à l Arc. Conseil des entraîneurs
Déroulement du mouvement 1. Position Position des pieds Jambes Hanches Buste Tête 2. Bras d arc Main d arc Point de pression Coude Bras de l arc Epaule 3. Bras de corde Prise de corde Position des doigts
Plus en détailLe Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.
Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,
Plus en détailBASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE
BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE І) INTRODUCTION II) BASES PHYSIOLOGIQUES III) PRINCIPES GENERAUX DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE IV) ENTRAINEMENT DANS LES DIFFERENTES FILIERES V) LA PLANIFICATION
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailRéglementation. Organisation de la plongée
Réglementation Organisation de la plongée Préparation du Niveau 3 Dominique STEINMETZ Janvier 2014 Des prérogatives, des droits, des obligations En tant que niveau 3 vous aurez de nouvelles prérogatives
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailChapitre 2 : Respiration, santé et environnement.
Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble
Plus en détailFormation IE1,IE2 Janvier 2014
Formation IE1,IE2 Janvier 2014 D après les cours de la CDY78 et de la CRA côte d azur L association loi 1901 Création d un club PLAN Le licencié. La licence. Le certificat médical. Les assurances individuelles
Plus en détailCARDIOLOGIE LA MÉDICATION POUR L'INSUFFISANCE CARDIAQUE
CARDIOLOGIE LA MÉDICATION POUR L'INSUFFISANCE CARDIAQUE La médication est importante, elle aidera à améliorer le travail du cœur et à éliminer le surplus d'eau. Il est important de prendre la médication
Plus en détailSéquence maladie: insuffisance cardiaque. Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI
Séquence maladie: insuffisance cardiaque Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI Janvier 2012 Finalité de l atelier: Présentation de la séance Cette séance a pour buts de vous permettre
Plus en détailLa fonction respiratoire
La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur
Plus en détailRèglementation : Notion de Responsabilité
Question 1 09REG-RE-4-02(1) 1) En terme d obligation, qu est ce qu une obligation de moyen? Donnez un exemple en plongée. (2 points) Le moniteur doit mettre tout en œuvre pour que la plongée se déroule
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailMémento. pour partir en montagne l été en. sécurité. www.sports.gouv.fr
Mémento pour partir en montagne l été en sécurité www.sports.gouv.fr Avant une sortie Choisissez une activité à votre mesure. Choisissez votre itinéraire en fonction de vos capacités (ne pas se surestimer,
Plus en détailDiabète de type 1: Informations destinées aux enseignants
Diabète de type 1: Informations destinées aux enseignants Le diabète chez les jeunes Le diabète de type 1 est une maladie très difficile à affronter, surtout quand on est jeune. Malheureusement, si quelque
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailConsignes de sécurité Manipulation du dioxyde de carbone CO 2
Consignes de sécurité Manipulation du dioxyde de carbone CO 2 Le dioxyde de carbone Le dioxyde de carbone est un gaz incolore, quasiment inodore et insipide. Il est donc pratiquement indétectable par les
Plus en détailLoin de mes yeux. Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière
Loin de mes yeux Chaque personne apprivoise la mort à sa façon, ce qui apporte à cette dernière expérience une dimension unique. Voici un guide tout simple, une carte routière pour vous montrer les chemins
Plus en détailQu est-ce que la fibrillation auriculaire? (FA)
Qu est-ce que la fibrillation auriculaire? (FA) Qu est-ce que la fibrillation auriculaire? La fibrillation auriculaire (FA) est le trouble du rythme le plus répandu. Certains signaux du cœur deviennent
Plus en détailVous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à
Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une
Plus en détailComprendre la mort cérébrale
Comprendre la mort cérébrale Imprimeur de la Reine pour l Ontario, 2010. Adaptation et reproduction autorisées. 1 Comprendre la mort cérébrale Il est difficile d imaginer une expérience plus douloureuse
Plus en détailCertaines situations de trafic peuvent-elles provoquer un risque accru d hypoglycémie?
P a g e 1 Comment savoir que vous présentez une hypoglycémie? La plupart des personnes diabétiques sentent rapidement lorsque leur taux de glycémie est trop bas (inférieur à 60 mg/dl). Les premiers symptômes
Plus en détailExamen de Guide de palanquée ANMP
Examen de Guide de palanquée ANMP (Brevet de plongeur niveau 4) Epreuves et Critères techniques L organisation générale du niveau 4 ANMP est définie dans la fiche info N A07 «Organisation d une formation
Plus en détailLA VIE APRES VOTRE INFARCTUS
Hôpital Privé d Antony LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS Livret d information Hôpital Privé d Antony - OPC/KINE/268 Page 1 sur 5 Intervenants Rédigé par : C.DUPUY M.CERISIER Masseur Kinésithérapeute Masseur
Plus en détailPréparation Physique CPLM Gabriel Currat 1/7
1/7 Avant la compétition Détends-toi, le soir avant la compétition, avec de la relaxation (voir fiche en annexe) Le matin mange un petit déjeuner équilibré: Fruits, Laitage, Pain ou céréales (ex: crème
Plus en détailinformations pratiques
COLLECTIVITÉS LOCALES Arrêt cardiaque informations pratiques avec le soutien de Arrêt cardiaque I Informations pratiques I 1 2 I L arrêt cardiaque L arrêt cardiaque est la première cause de mortalité des
Plus en détailMinistère de l intérieur, de l outre-mer et des collectivités territoriales
! Ministère de l intérieur, de l outre-mer et des collectivités territoriales Recommanda)ons DE LA DIRECTION DE LA SÉCURITÉ CIVILE relatives!!! à l initiation du grand public à la prise en charge de l
Plus en détailpour travailler? Des solutions existent! Parlez-en avec votre délégué Centrale Générale de la FGTB.
Trop FROID pour travailler? Des solutions existent! Parlez-en avec votre délégué Centrale Générale de la FGTB. Il fait trop froid pour travailler Brrr! L hiver : les mauvaises conditions météorologiques,
Plus en détailTACHES N 1. Escalier : Taper des pieds en faisant le crocodile, souffler, immerger le visage... S asseoir au fond de l eau, tête hors de l eau
Taper des pieds en faisant le crocodile, souffler, immerger le visage... S asseoir au fond de l eau, tête hors de l eau TACHES N 1 Descendre les marches Marcher le long de la ligne S appuyer sur les deux
Plus en détailFormation Niveau 2. Réglementation concernant la protection du milieu, le matériel, les prérogatives et responsabilités du Niveau II
Formation Niveau 2 Réglementation concernant la protection du milieu, le matériel, les prérogatives et responsabilités du Niveau II SIUAPS - Piscine Universitaire - 38400 SAINT-MARTIN-D'HERES 1 Plan Rappels
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailANALYSE DU MOUVEMENT EXEMPLE : LE SQUAT
PACOUIL Christophe1 Option culturisme 2012-2013 ANALYSE DU MOUVEMENT 1. Nous étudions les articulations concernées 2. Nous analysons la mécanique 3. Nous cherchons les muscles sollicités au plan moteur,
Plus en détailOr 4 victimes sur 5 qui survivent à un arrêt cardiaque ont bénéficié de ces gestes simples pratiqués par le premier témoin.
La mort subite est la conséquence d un arrêt cardiaque et respiratoire. Elle survient soudainement chez un individu qui se livre à ses occupations habituelles : au travail, en faisant ses courses, mais
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailPréparer un 10km en 50 minutes environ
Préparer un 10km en 50 minutes environ OBJECTIF DE CET ENTRANEMENT Votre objectif est de finir un 10 km en 50 minutes. DESCRIPTION Vous courez généralement à un rythme continu, mais vous aimeriez vous
Plus en détailPro. EPN- Education Nationale Initiation grand public ACR et DAE Page - 1 -
Pro EPN- Education Nationale Initiation grand public ACR et DAE Page - 1 - SOMMAIRE Page de garde page : 1 Sommaire page : 2 Fiche pratique page : 3 Programme page : 4 Progression pédagogique pages : 6
Plus en détailL ÉLECTROCUTION Intensité Durée Perception des effets 0,5 à 1 ma. Seuil de perception suivant l'état de la peau 8 ma
TP THÈME LUMIÈRES ARTIFICIELLES 1STD2A CHAP.VI. INSTALLATION D ÉCLAIRAGE ÉLECTRIQUE SÉCURISÉE I. RISQUES D UNE ÉLECTROCUTION TP M 02 C PAGE 1 / 4 Courant Effets électriques 0,5 ma Seuil de perception -
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailRougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche
Rougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche Comment protéger vos enfants? La seule protection efficace : la vaccination R.O.R COQUELUCHE ANNUAIRE Livret élaboré en partenariat avec : Conseil Général du Loir-et-Cher
Plus en détailSADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)
SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailwww.epson.fr/pulsense www.epson.fr/runsense
www.epson.fr/pulsense www.epson.fr/runsense Faites des mouvements qui font la différence. Pulsense est le capteur d activité et de fréquence nouvelle génération. Il mesure la fréquence et l activité 24h/24,
Plus en détailSerrer les fesses du bébé contre votre corps avec le côté de votre avant-bras (celui du petit doigt)
Effectuer la mise au sein Serrer les fesses du bébé contre votre corps avec le côté de votre avant-bras (celui du petit doigt) - Ceci vous permettra de l'amener au sein en pointant le mamelon vers son
Plus en détailCOMMENT SURMONTER SON ANXIÉTÉ
COMMENT SURMONTER SON ANXIÉTÉ L ANXIÉTÉ ET LA RÉPONSE «FUITE OU LUTTE» Que signifie le terme «anxiété»? Si vous avez répondu en employant des termes tels que tendu(e), nerveux, anxieux/euse, craintif/ve,
Plus en détailLa santé par la lumière Health by light
Health by light ventes Health by light Un mot du président Cher Client, Laboratoire LEDMA est une entreprise innovatrice, consciencieuse et soucieuse d offrir des produits de haute qualité. Nos produits
Plus en détailFICHE D AVERTISSEMENT ET PRECAUTIONS D EMPLOI
Date : 21/05/2014 FICHE D AVERTISSEMENT ET PRECAUTIONS D EMPLOI Produits impliqués : Table de Verticalisation Top Niveau Réf TF1-2860 / TF1-2861 Tables fabriquées en 2012 (2860 10 12 01 et 2860 10 12 02)
Plus en détailsur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip
À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance
Plus en détailAU DELA DU TEST 3 vers les nages codifiées, le sauvetage, la natation synchronisée
AU DELA DU TEST 3 vers les nages codifiées, le sauvetage, la natation synchronisée Pour aborder ce travail, les élèves doivent avoir acquis au minimum le test N 3 départemental Possibilité de travailler
Plus en détailLe Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I.
Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés Le Code du Travail R 232-1-13: La signalisation relative à la sécurité et à la santé au travail doit être conforme à des modalités déterminés par
Plus en détailUn environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir?
Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Renseignements sur la fumée secondaire et tertiaire Qu est-ce que la fumée secondaire? La fumée secondaire est une combinaison de fumée
Plus en détailNIVEAU IV CAPACITAIRE
NIVEAU IV CAPACITAIRE ORGANISATION GENERALE L'examen du brevet de plongeur de niveau IV "capacitaire" relève de l'autorité de la commission technique régionale. Les sessions de cet examen peuvent être
Plus en détailLA PERTE DE CONSCIENCE
CES QUELQUES NOTIONS PEUVENT SAUVER DES VIES. PENSEZ Y SV D URGENCES Pompiers et service médical urgent : 100 Police : 101 L'HEMORRAGIE Comment reconnaître une hémorragie? Le sang s'écoule abondamment
Plus en détailEquipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable
Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau
Plus en détailREGLEMENT DES COMPETITIONS D APNEE
REGLEMENT DES COMPETITIONS D APNEE Ces textes sont basés sur le règlement 2008 modifié 2010 Validée en CDN de Février 2010 Liste des chapitres modifiés : Art 1.2 Ajout de la période des saisons sportives
Plus en détailRespirer l air dont vous avez besoin : Guide pratique de maîtrise et de gestion de l essoufflement
Respirer l air dont vous avez besoin : Guide pratique de maîtrise et de gestion de l essoufflement Adapté et rédigé par les infirmières en oncologie du Centre de cancérologie Juravinski : Lorraine Martelli-Reid,
Plus en détailL AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS
L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace
Plus en détailDéfibrillation et Grand Public. Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline
Défibrillation et Grand Public Méd-Cl JAN Didier Médecin chef Méd-Cne PIVERT Pascaline Quelques chiffres (1) 50 à 60 000 décès en France par mort subite dont la moitié font suite à l apparition d une tachycardie
Plus en détailLes fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org.
Les fiches repères d INTEGRANS sont réalisées par ARIS Franche-Comté dans le cadre du programme INTEGRANS. Plus d infos sur www.integrans.org. Les maladies invalidantes Repères sur l asthme généralités
Plus en détailQUICK START RF Monitor 4.3-1
QUICK START RF Monitor 4.3-1 Propos: Guide d installation et d utilisation du logiciel RF-Monitor Gold de NEWSTEO, pour LOGGERS (LOG, LGS, LGR) en mode Surveillance (Monitoring) ou Live/Enregistrement
Plus en détailCourir plus vite en améliorant sa VMA
Courir plus vite en améliorant sa VMA OBJECTIF DE CET ENTRANEMENT Pour courir plus vite, l'objectif sera d'améliorer votre VMA, ceci afin de gagner en confort dans les autres allures. En effet, en augmentant
Plus en détailLe cœur est compliqué et il est aussi un organe que travaille très fort (Heart Attack,
Le cœur est compliqué et il est aussi un organe que travaille très fort (Heart Attack, 2003), et c est la seule sorte de muscle qui peut se contracter régulièrement sans fatigue; tandis que les autres
Plus en détail2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques
2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques Les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès au Canada. Bien que leur incidence ait diminué au cours des dernières
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailBPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année...
BPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. *Bronchopneumopathie chronique obstructive. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année... Fondation
Plus en détailSavoirs de base en sécurité routière. Vitesse et mortalité
Sétra Savoirs de base en sécurité routière mars 2006 Vitesse et mortalité Avertissement : cette série de fiches est destinée à fournir une information rapide. La contrepartie est le risque d erreur et
Plus en détailKen Bell s Sommaire des Abréviations
Ken Bell s Sommaire des Abréviations AUG: CSAM: DSA: PUI: RCP: RIA: SCR: Arrêt Urgence Général CERN Safety Alarm Monitoring Défibrillateur Semi-Automatique Plan Urgence D Intervention Réanimation Cardio-Pulmonaire
Plus en détailPsychologie de la Survie. Capt. Martin Rousseau CD
Psychologie de la Survie 1 Capt. Martin Rousseau CD Objectifs: Fournir les outils essentiels pour réagir de façon optimiste lors de situation inattendue et surtout développer notre capacité à garder notre
Plus en détailSavoir se relaxer. en choisissant sa méthode. D r C h a r l y C u n g i S e r g e L i m o u s i n. www.editions-retz.com
D r C h a r l y C u n g i S e r g e L i m o u s i n Savoir se relaxer en choisissant sa méthode www.editions-retz.com 9 bis, rue Abel Hovelacque 75013 Paris Nous dédions notre ouvrage à tous les «stressés»,
Plus en détailCOMMISSION DES JEUNES ROYAL STADE WAREMMIEN FOOTBALL CLUB U.R.B.S.F.A. Matricule 190 www.rswfc.be FB: Royal Stade Waremmien
TOURNOI R.S. WAREMMIEN F.C. 1 er MAI 2015 U6, U7, U8 & U9 2 MAI 2015 U10 & U11 FESTIFOOT 1 er MAI 2015 De 10h00 à 11h30 ; 4 Terrains & 4 Défis, 1 x 8 /défi ou 2>
Plus en détail«Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA
ID: «Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA Swiss children s objectively measured physical activity Questionnaire pour les parents sur
Plus en détailLA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI
LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI? LA MÉTHAMPHÉTAMINE est un produit stupéfiant illicite, synthétisé à partir de substances chimiques, également connu sous le nom de «crystal» ou «crystalmet», «ice»,
Plus en détailRECOMMANDATIONS OFFICIELLES - DEFIBRILLATEURS AUTOMATISES EXTERNES
RECOMMANDATIONS OFFICIELLES - DEFIBRILLATEURS AUTOMATISES EXTERNES SOMMAIRE : Définitions DAE / DSA / DEA. Les accessoires recommandés. Notion de système d information pour les secours spécialisés. Les
Plus en détailDEMONSTRATION DE FONCTIONNEMENT DU DÉFIBRILLATEUR
DEMONSTRATION DE FONCTIONNEMENT DU DÉFIBRILLATEUR H e a r t S t a r t ( Philips ) Démonstration réalisée par les Docteurs Alain LIAGRE & Thierry LEDANT Membres du Conseil Syndical DOMAINE DE SAINT PIERRE
Plus en détailPRÉVENTION ET SECOURS CIVIQUES
Recommanda)ons DE LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA SÉCURITÉ CIVILE ET DE LA GESTION DES CRISES relatives à l unité d enseignement PRÉVENTION ET SECOURS CIVIQUES de niveau 1 L unité d enseignement «Prévention
Plus en détailLES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE. Comité pédagogique SAP SDIS 43
LES ACCIDENTS DUS A L ELECTRICITE Comité pédagogique SAP SDIS 43 DEFINITIONS Electrisation: manifestations physiopathologiques liées au passage du courant dans l organisme Electrocution: décès par électrisation
Plus en détailUn guide à l attention des familles et proches COMA ET ÉTATS DE CONSCIENCE ALTÉRÉE SUITE À UNE ATTEINTE CÉRÉBRALE
Un guide à l attention des familles et proches COMA ET ÉTATS DE CONSCIENCE ALTÉRÉE SUITE À UNE ATTEINTE CÉRÉBRALE Table des matières Introduction...2 Qu est-ce que la conscience?...3 Comment la conscience
Plus en détailRéglementation. [Cours différencié PN3 et PN4] Les aquanautes normands
Réglementation [Cours différencié PN3 et PN4] Les sources d information Le ministère de l'ecologie, du Développement durable et de l'energie [documents plaisance, ] http://www.developpement-durable.gouv.fr/spip.php?page=themes
Plus en détailFonctions non ventilatoires
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 11 : Fonctions non ventilatoires Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailA. ANDRO 1, C. MESTON 2, N. MORVAN 3
Chapitre 121 La ventilation non invasive (VNI) de l enfant A. ANDRO 1, C. MESTON 2, N. MORVAN 3 1. Définition La VNI se définit comme une technique destinée à augmenter la ventilation alvéolaire sans utiliser
Plus en détail1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2
EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de
Plus en détailFiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR
Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage
Plus en détail