Dossier technique. L humidité dans l habitation. Inno vision Technology Chaux. Nuits-Saint-Georges. (Siège social) 12 Place des Marronniers

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1 Dossier technique L humidité dans l habitation Inno vision Technology (Siège social) 12 Place des Marronniers Chaux Nuits-Saint-Georges

2 Une vision novatrice et technologique du traitement de l humidité. Inno vision Technology Adresse : 12 Place des Marronniers Chaux NUIT-SAINT-GEORGES Tel met à votre disposition avec sur tout le territoire national 30 années d expérience avec une équipe de professionnels expérimentés, spécialisés dans le traitement de l humidité des murs

3 Sommaire I. L humidité : une vraie problématique avec des conséquences multiples... 4 L humidité dans les murs et les sols provoque de graves conséquences sur la santé, sur l habitation et sur vos dépenses... 4 a) L apparence... 5 b) La structure... 5 c) Vos dépenses... 5 II. D où vient l humidité... 6 Qu est-ce que la capillarité... 6 III. Conséquences de l humidité dans les murs IV. Comment reconnaitre les différents types d humidité Différents cas de remontées capillaires par les murs et les sols : V. Diagnostic Pour faire un bon diagnostic : Eléments permettant d affiner le diagnostic VI. Diagnostiquer les remontées capillaires VII. Les différentes techniques utilisées pour combattre l humidité VIII. Le procédé Murasec : un brevet international Page 3

4 I. L humidité : une vraie problématique avec des conséquences multiples Elle peut entrainer d irréversibles dégradations sur l habitation, de lourdes pertes financières et de sérieux problèmes de santé (il est désormais établi que les maladies respiratoires comme l asthme, la rhinite ou la bronchite touchent plus de huit fois sur dix les personnes vivant dans une habitation trop humide). Ce dossier recense les conséquences de l humidité sur la vie quotidienne et présente les principaux procédés existants pour traiter l assèchement des murs, depuis ceux traitant les symptômes jusqu aux procédés traitant la source du problème. L humidité dans les murs et les sols provoque de graves conséquences sur la santé, sur l habitation et sur vos dépenses 1) La santé, l humidité dans les murs ou les sols a pour conséquence systématique une augmentation du taux hygrométrique de l air. (Cette humidité ambiante provoque une mauvaise odeur persistante caractéristique) C est justement cette humidité ambiante profonde qui est la source de sérieux problèmes de santé. Rhumatismes, arthrose, prolifération d acariens, asthme, allergies, affections respiratoires. L humidité est très souvent le facteur déclenchant et amplificateur. Page 4

5 2) L habitation, l eau présente dans le mur provoque des effets sur son apparence et sur sa structure : a) L apparence - Revêtements de sols déformés (moquettes, parquet, ) - Revêtements des murs (cloques sous la peinture, décollement des papiers peints, ) - Apparition de salpêtre - effritement des murs, des enduits - boiseries attaquées par les champignons (mérules) - moisissures attaquant même les vêtements ou les chaussures b) La structure La structure même de l habitation peut même être touchée : éclatement des murs par l effet du gel, désagrégation des fondations minées par la corrosion, etc c) Vos dépenses Les consommations de chauffage peuvent augmenter de 20% (les matériaux humides augmentent fortement leur conductibilité thermique (jusqu à 37 fois plus)). Page 5

6 II. D où vient l humidité La structure de la construction et l environnement sont déterminants : - l âge de la construction et la nature des matériaux : les méthodes de construction et les matériaux utilisés en fonction des périodes sont des indicateurs forts - le lieu géographique et l environnement : proximité d une nappe phréatique, ru souterrain, pente du terrain et structure du sol - Qu est-ce que la capillarité Si l on plonge un tube en verre de faible diamètre dans un récipient contenant de l eau, contrairement aux lois hydrostatiques, l eau s élève dans le tube. Le phénomène de capillarité est une conséquence de l existence d une tension électrique superficielle se créant à la surface, séparant le liquide et le solide. Page 6

7 En fonction de la perméabilité des matériaux utilisés lors de la construction d un mur d une maison bâtie sur une nappe phréatique, l eau remontera dans le mur de la même façon que l eau dans le tube de l expérience. Ceci démontre que la nature des matériaux qui constituent les murs porteurs va avoir une importance dans ce phénomène de remontée d eau. Pour simplifier, nous pouvons classer ces matériaux en deux types différents : 1) ceux offrant une très faible perméabilité à l eau : granit, marbre, basalte. 2) Ceux offrant le moins de résistance au passage de l eau : calcaire tendre, grès, mortier de plâtre et de manière générale, tous les matériaux perméables et légers. Les premiers sont de bons conducteurs thermiques, pas les seconds. Il s agit donc de déterminer la perméabilité et la porométrie des matériaux. La porosité est une notion assez connue : il s agit du rapport du volume des vides au volume total. Un simple regard sur le matériau permet d en définir la nature. Les vides peuvent se présenter bout à bout ou être séparés les uns des autres. Si ces cavités se rejoignent, elles forment un ensemble de canaux où l eau pourra s infiltrer. Si au contraire elles ne communiquent pas entre elles, l eau ne pourra pénétrer dans le matériau. D où l importance de connaitre le rapport des pores ouverts et leurs dimensions : c est ce que l on appelle la porométrie. Elle détermine directement la capacité du matériau à absorber plus ou moins d eau. Plus le matériau aura des pores ouverts fins, plus son pouvoir absorbant sera grand. C est la raison pour laquelle les matériaux utilisés pour la réalisation d un mur vont réagir plus ou moins en présence d eau. C est la norme NF B qui en définit le coefficient de capillarité. Page 7

8 Porosité des différents matériaux - Béton, de 10 à 27 % - Brique, de 18 à 26 % - Calcaire, de 1 à 45 % - Enduit, de 20 à 35 % Matériau sec : perméabilité moyenne de 35,4 % avec une contrainte de rupture de 124,46 bars Matériau saturé : perméabilité moyenne de 36 %, avec une contrainte de rupture de 55 bars, soit 55 kg/cm2 Lorsqu un mur est revêtu d un enduit, leur porométrie est souvent différente. Le niveau d humidité de l enduit apparait différent de celui du mur imprégné d eau. Il faut en tenir compte lors des prises de mesures d humidité. Plus le matériau est perméable, plus l assèchement sera rapide et sa fin dépendra de l équilibre hygrométrique entre le mur et la pièce. Page 8

9 Dans un matériau gorgé d eau, la vitesse de l évaporation de l eau se fera en fonction de l hygrométrie interne et externe. Différence d humidité entre le mur et le parement Exemple : La capacité d un matériau comme le mortier de chaux naturelle est trois fois supérieur à celui d un mortier ciment, matériau imperméable qui ralentira d autant la durée d assèchement sur plusieurs mois. Celle-ci prend fin lorsque l équilibre entre l hygrométrie du mur et celle de la pièce est atteint. La situation de la construction aura aussi un rôle à jouer, car il faut savoir qu un mur ensoleillé s évapore 3 fois plus vite qu un mur à l ombre. Tenir compte également du vent et de l hygrométrie extérieure. Page 9

10 Conclusion pratique : du début du traitement à la fin de l assèchement, un temps assez long peut s écouler en fonction de l ensemble des éléments que nous venons de voir. Aussi, deux précautions sont à prendre : - Aérer le local, - Ne pas mettre de papier ou de peinture tant que l assèchement n est pas définitivement atteint - Utiliser éventuellement un assécheur d air ou déshumidificateur. Page 10

11 III. Conséquences de l humidité dans les murs Les dégradations entrainées par l humidité dans le matériau avec le temps sont physiques, chimiques et biologiques. 1) Augmentation de l épaisseur du mur L augmentation du taux d humidité du matériau est liée à l augmentation de son volume et inversement. Les briques, constituées d argile, sont très sensibles à ce phénomène. Infiltration provoquée par les intempéries 2) Fragilisation du matériau La pression intérieure que subit le matériau sous l action de l eau se fragilise. L eau tend à sortir du matériau, ajoutant une pression qui s additionne aux contraintes exercées initialement sur lui. Conséquences sur la pierre : elle souffre de desquamation lors de l attaque de l humidité dans son milieu. Cela peut apparaitre sur les parements lors de pénétrations latérales, ou en bas du mur pour les remontées capillaires. Page 11

12 Elle subit une attaque de l acide sulfurique originaire de l air ambiant (en ville) et de l eau mélangée au carbonaté de calcium qu elle contient, le tout aboutissant à une dégradation importante en surface sur quelques centimètres d épaisseur, dégradation constituée de sulfate hydraté de calcium, appelé gypse, pouvant aboutir à un décroutement. Apparaissent également des dégradations du mortier jointant les pierres entre elles lorsque celui-ci est trop riche en liant hydraulique. L humidité peut également développer, sur certaines pierres calcaires ou briques, des attaques d origine biologique et participer à la destruction des bois. Le mur plus épais protège davantage contre les intempéries 3) Sensibilité thermique Les briques et les pierres dont la perméabilité dépasse deux tiers éclatent à l intérieur sous l action du gel. En effet, celui-ci dilate les pores remplis d eau. Ceci se manifeste sous forme de fissures, ébrèchements dans les angles, décroutement par plaques, écaillement et enfin, éclatement de la brique ou de la pierre entière. Page 12

13 4) Transmetteur thermique Les matériaux humides augmentent fortement leur conductibilité thermique. L eau contenue dans les pores initialement vides transmet les écarts thermiques que ceux-ci subissent. Un matériau humide peut voir sa conductibilité augmenter jusqu à 37 fois. L eau, en migrant à travers le mur, déplace avec elle des éléments solides (TH) et plus particulièrement des sels originaires du sol ou du mur même, les crypto-efflorescences, qui vont finir leur cheminement à travers le mur par une évaporation en surface. Différents types de crypto-efflorescences apparaissent dans le mur : - Les nitrates de sodium, potassium ou calcium, originaires du sol, soit des déchets organiques, soit des nappes phréatiques polluées - Les sulfates de sodium et de magnésium, originaires des constituants du mur Dans le cas d efflorescences migrant à travers des remontées capillaires, celles-ci délimiteront par une ligne horizontale la zone humide de la zone sèche. Les murs constitués d éléments ferreux prendront une coloration jaunâtre. Ceci pourra parfois aider à affiner son diagnostic. La corrosion subie alors pourra entrainer des dégradations avec le temps, à l extérieur même du bâtiment. Les parements fissurés laisseront passer l eau qui dans le temps laissera aussi des traces. Lorsque la construction est récente, la recherche des causes de l humidité sera plus rapide et facile. Lorsque la bâtisse est ancienne, cela se complique. 5) Conséquences biologiques Bactéries et champignons. Page 13

14 IV. Comment reconnaitre les différents types d humidité Il peut arriver que l origine de l humidité dans les murs soit plus complexe à déterminer. Aussi, la précision et la rigueur de votre analyse technique vous permettront d en différencier les cas qui se présentent avec plus de clarté pour votre raisonnement. 1) Remontées capillaires Elles se situent à la base de la construction à partir de la fondation, quelques fois jusqu au sommet du mur. Elles se présentent de façon uniforme et permanente par une ligne horizontale plus ou moins visible. Une mesure de croissance du taux d humidité de bas en haut permet de les identifier. Muni d un appareil détecteur d humidité, mesurer à la base du mur puis à 40 cm au dessus et ainsi du suite. Si les pourcentages sont décroissants, il s agit de remontées capillaires. 2) Infiltrations latérales Elles sont situées dans les caves et les rez-de-jardin. Elles peuvent augmenter avec les précipitations et se trouvent sur tous les murs en contact avec la terre ou les roches extérieures. Une mesure constante du taux d humidité permet de les identifier. Les mesures d humidité doivent être espacées de 40 à 50 cm en hauteur et de 1 m latéralement. Si les mesures sont constantes ou très proches, il s agit d infiltrations latérales. 3) Condensation Elle se situe à tous les niveaux de la construction. Un simple constat de l hygrométrie et de la mauvaise aération explique la présence d humidité vers le haut du mur et au plafond, généralement plus importante en milieu fermé ou mal aéré. 4) Généralités Un mur maitre ayant des remontées capillaires transmettra son humidité aux cloisons juxtaposées, pouvant donner dans un premier temps l impression que toutes les pièces ont des remontées capillaires. Page 14

15 Différents cas de remontées capillaires par les murs et les sols : - Eau de pluie ou arrosage sol et façade - Nappe phréatique (la plus répandue) sol - Contact avec la terre sols et côtés - Rupture de canalisation enterrée, défaut d étanchéité du regard collecteur d eau de pluie, d égout ou fosse d évacuation - Déversement des eaux de voierie contre le bâtiment - Défaut d étanchéité des fondations, arrosage intensif à proximité - Absence de fondations - Dégradation des matériaux ayant plus de mal à évacuer l eau qu auparavant La nature du sol sur lequel est construite la maison aura une grande importance, selon la capacité à évacuer ou non l eau stockée sous la maison. Page 15

16 V. Diagnostic Pour faire un bon diagnostic : - Ne jamais écarter une hypothèse trop rapidement - Tenir compte de l influence de la saison sur l évolution du mal (précipitations, soleil, vent ) - Voir si les dégradations ont augmenté dans le temps avec des arrivées d eau plus importantes, ou si le matériau résiste moins. Le diagnostic est très important. De sa qualité dépend la nature et l efficacité de l intervention à venir. Il est nécessaire de tenir compte de : 1. L emplacement du bâtiment concerné 2. La nature du terrain, le niveau du sol, l environnement immédiat 3. L historique de la dégradation 4. L importance réelle des dégâts 5. Les remèdes éventuels apportés au fur et à mesure. Eléments permettant d affiner le diagnostic 1) A l intérieur du bâtiment a) Niveau inférieur (cave, rez-de jardin ) - Ligne continue à la base du mur, périodiquement durant l année : voir les évacuations d eau, canalisations, drains - Ligne discontinue toute l année à la base du mur dans des matériaux hétérogènes : nous pouvons conclure à une remontée capillaire. Prendre des mesures d humidité de bas en haut. Page 16

17 - L humidité est visible sur l ensemble général du mur, celui-ci étant bâti contre la terre, ou un remblai : on peut conclure à une infiltration latérale. - Ligne d humidité continue toute l année à la base du mur : phénomène de remontée capillaire. - Mur où les apparitions d humidité sont liées à la saison : infiltration d eau de pluie. - Mur où l humidité est accidentelle : voir les canalisations passant par le mur à son niveau supérieur, ainsi que les fuites. - Ligne d humidité continue et à mi-hauteur, correspondant à la profondeur de l enterrement du mur contre le remblai : phénomène d infiltration latérale. - L humidité est cantonnée plutôt vers le haut du mur et le plafond, de façon permanente : phénomène de condensation (pas d aération, pont thermique ) - L humidité est cantonnée dans le plafond, de façon permanente ou intermittente : infiltration par des pluies ou canalisations (à vérifier selon la nature et la situation de la construction). b) Niveau rez-de-chaussée - Présence d humidité sur les parois du mur, principalement vers le haut et le plafond, de façon intermittente, dans un local sans aération (pont thermique) : phénomène de condensation. - Présence d eau dans le mur matérialisée par une ligne discontinue, ou par des taches, de façon permanente : humidité accidentelle, voir les canalisations. - Ligne d humidité se manifestant de la base du mur continuellement, l ensemble du mur ayant laissé apparaitre une décroissance de bas en haut, de façon permanente : nous pouvons conclure à une remontée capillaire. - Présence d humidité permanente au sol, dans le cas où il n y a pas de cave : remontée capillaire. Page 17

18 c) Niveau supérieur Nous pouvons appliquer le même principe d analyse que pour le rez-de-chaussée, mais en sachant que l origine des phénomènes évoqués précédemment est souvent plus immédiat et plus simple à déceler, mettant en cause plus souvent des problèmes d infiltrations. 2) A l extérieur du bâtiment - Ligne humide permanente à la base du mur, correspondant à une même hauteur sur le parement intérieur : remontée capillaire - Ligne d humidité discontinue périodiquement à la base du mur : origine accidentelle mettant en cause l état de la construction (absence de gouttière ). - Ligne humide discontinue permanente à la base du mur, les matériaux de construction étant hétérogènes : remontée capillaire (après avoir écarté le cas de figure précédent). - Auréoles ou efflorescences à différentes hauteurs du mur, durant la saison des pluies, ne mettant pas en cause la construction : infiltration de la pluie. Surélévation du terrain postérieure à la construction Page 18

19 Influence de la nappe phréatique sur les fondations Page 19

20 Conséquences des pluies sur les murs (infiltrations) Page 20

21 Conséquences des pluies sur les murs (projections) Page 21

22 VI. Diagnostiquer les remontées capillaires Le diagnostic du phénomène de remontées capillaires est beaucoup plus simple que ce que nous pouvons généralement lire ou entendre. Certes, le phénomène peut avoir quelques points communs avec d autres causes d humidité qu il faut savoir écarter mais en répondant à des questions clés et en procédant à des mesures en suivant un protocole simple, il est assez aisé de faire un diagnostic clair et précis pour un spécialiste du domaine. On utilise généralement un appareil portable qui mesure l humidité du parement par résistivité et capacité. La résistivité électrique d un matériau étant inversement proportionnelle à sa teneur en humidité. Limite de ce type d appareil La nature de l eau et la concentration des sels contenus dans l eau du mur peuvent influencer la mesure. En effet, le mur sera plus ou moins chargé en acides et sels suivant les endroits où seront prises les mesures, faisant apparaitre des différences entre elles de l ordre de 10 à 15 %, la conductibilité de l eau variant en ces différents points de mesure. Si cela peut être suffisant pour faire un diagnostic, il peut être nécessaire dans certains cas d utiliser des mesures plus précises. La seule technique satisfaisante, est alors le carottage avec analyse ultérieure des prélèvements en laboratoire. Connaissant les variations des mesures prises, on peut alors déterminer le type d humidité devant lequel on se trouve. Un hygromètre peut être nécessaire pour affiner son analyse. Page 22

23 VII. Les différentes techniques utilisées pour combattre l humidité 1) L électrophorèse C est le déplacement de particules chargées en solution ou en émulsion sous l effet d un champ magnétique. L électrophorèse, dans une matière poreuse, se comporte comme une association de tubes capillaires dans lesquels se produisent des phénomènes secondaires (électro-osmose et échauffement par effet de JOULE) Ce n est pas un ménisque mais une zone entière qui se déplace. Les particules en suspension dans un liquide portent une charge électrique dont le signe et la grandeur dépendent de la nature chimique du milieu liquide où ils évoluent. Cette charge provient de la fixation, par la particule, d ions dus généralement à une dissociation électrolytique partielle du liquide. La charge égale est de signe opposé, portée par des ions qui forment un nuage diffus autour d elle. Sous l influence du champ, les ions fixés par les particules entrainent celles-ci vers l électrode de charge opposée à la leur. Les particules sont ralenties dans leur mouvement par les ions compensateurs mobiles qui s accumulent devant elles et entrainent le liquide dans un mouvement en sens inverse, avant de se disperser derrière elles. Malgré la différence de dimension et de charge des particules et des ions, ceux-ci ont, comme nous venons de le voir, une mobilité voisine. La raison en est que les particules colloïdales ont des dimensions très supérieures à celles des ions et une charge beaucoup plus grande. Aussi, le premier facteur (dimension) diminue la mobilité électrophorésique et le second (charge) l augmente, les deux se compensent pour donner une mobilité voisine de celle des ions dans l électrolyse décrite plus haut. L humidité qui provient du sol se propage à travers le matériau par des phénomènes d électro-osmose et d électrophorèse. Elle est amplifiée par la différence de potentiel à l intérieur du mur. Cet ensemble de facteurs va créer un effet de pile constant dans le mur. Page 23

24 2) Procédés d électro-osmose et d électro-osmose phorèse a) L électro-osmose passive (procédé ERNST) L anode est constituée par un ruban de cuivre scellé dans la maçonnerie, alors que la cathode est constituée par un métal moins noble (magnésium), les deux électrodes étant reliées par un conducteur isolé. On réalise aussi une pile électrique en utilisant des métaux différents pour les conducteurs du mur d une part, et pour la prise de terre d autre part. Dans ce cas, la méthode va stopper le champ électrique créé par la remontée d eau à travers les capillaires. Les électrodes insérées dans le mur étant reliées à une prise de terre au pied du mur, le courant électrique qui le parcourt de bas en haut transporte au passage les molécules d eau. Mais la faiblesse de ce procédé repose sur la terre qui peut offrir une résistance trop élevée, ou la présence éventuelle dans le bâtiment de nombreux appareils électriques qui provoque des courants dits «vagabonds» susceptibles d inverser la polarité des barres, courants qui sont à l origine d échecs de ces procédés. De même, le déplacement des véhicules (faits d un grand nombre de pièces d acier, dont certaines aimantées) dans le champ magnétique terrestre produit inévitablement des courants induits (dits de Foucault) qui engendrent à leur tour des champs magnétiques variables. Les déformations occasionnées lors de la constitution de la planète au niveau de l écorce terrestre ont provoqué des fractures créant également des désordres magnétiques, en changeant le sens initial des polarités des couches et des croûtes déplacées. b) L électro-osmose active Le même principe que précédemment est utilisé, mais cette fois pour stopper la remontée d eau à travers le mur. Une source de courant est à interposer entre le mur et le sol. Pour être durable, ce procédé nécessite des sondes de fort diamètre (au moins 12 mm) dans un matériau de qualité (inox) pour supporter les phénomènes physiques, chimiques et électriques. La prise de terre se compose le plus souvent de plusieurs barres dont la longueur et l espacement doivent être déterminés en fonction des caractéristiques du mur à assécher, de la résistance du sol et de la profondeur de la nappe phréatique : ensemble de paramètres pas toujours faciles à appréhender, ceux-ci pouvant être gravement perturbés par une trop grande résistance, par des courants vagabonds et la présence de sels hygroscopiques. Page 24

25 L électro-osmose seule présente de nombreuses limites car elle n est pas adaptée à toutes les situations et n a qu une action limitée. Cette méthode ne «soigne» pas le mur qui nécessite un traitement permanent avec ce procédé, en effet, bien que la réaction chimique et électrique dépose des sels minéraux dans les réseaux capillaires, la quantité est évidemment bien insuffisante pour créer un réel barrage à l intérieur du mur. c) L électro-osmose phorèse Même procédé actif que précédemment, mais cette fois, le courant électrique aide au déplacement des particules, ce qui facilitera l obturation des capillaires avec les mêmes conséquences que précédemment. d) Divers Il existe également un procédé qui utiliserait les courants telluriques pour contrarier la remontée d eau dans le mur, sans aucun contact direct avec celui-ci. Connaissant la faiblesse de ces courants souterrains et l importance des intensités enregistrées dans les murs par les remontées capillaires, cette méthode, si intéressante soit-elle, laisse peu d espoir quant aux résultats. 3) Techniques de dessiccation La dessiccation consiste à intercaler dans le mur à traiter, et sur toute sa section, un matériau imperméable sous forme de feuilles ou de plaques. a) Pose d une membrane d étanchéité La membrane étanche est placée mètre après mètre dans une saignée horizontale réalisée dans le bas de la maçonnerie. La pose d une membrane d étanchéité exige d avoir accès des deux côtés du mur. Cette technique, qui est la plus coûteuse, peut occasionner des dommages esthétiques importants. De plus, elle ne s applique pas aux murs épais, aux maçonneries instables, aux murs en moellons ou aux murs creux. Page 25

26 a. Barrières mécaniques Cela consiste à enlever la bande du mur atteint par l humidité et la remplacer par un matériau hydrofuge. Cette technique est assez difficile à mettre en œuvre. b) Film de résine à la base du mur Une saignée inclinée ou horizontale est réalisée à la base du mur. Une résine liquide y est introduite, dans le cas d une saignée inclinée, un film polyane dans le cas d une saignée horizontale. L épaisseur déterminera s il est nécessaire de faire la saignée d un côté ou des 2 côtés du mur, ce qui est impossible à réaliser lorsque les murs sont trop épais ou enterrés. c) Introduction dans la construction de plaques d acier inoxydable Méthode identique à celle précédemment citée, mais saignée uniquement horizontale, légèrement au-dessus du niveau du sol. d) Barrières par carottages Même principe que précédemment. Une série de trous inclinés est pratiquée dans lesquels une résine est introduite, qui bouche l ensemble. e) Drains atmosphériques Ce sont des tubes poreux mis à la base des murs tous les 40 cm inclinés vers le bas. C est la différence hydrométrique entre l air sec et l humidité du tube et de la pièce qui assèche le mur. Les résultats n ont jamais rien donné jusqu à maintenant. Toutes les solutions envisagées ne s attaquent pas aux infiltrations latérales. Il existait jusqu à maintenant la solution du cuvelage. Mais malgré l importance de son coût et de sa mise en place, il ne protège pas le matériau atteint. 4) Les autres techniques utilisées a) Stopper la présence de l eau C est parfois possible lorsque le diagnostic aboutit à un «compte-rendu» clair. C est possible également dans le cas de fosse septique, écoulement d eau, canalisation à réparer. Mais c est impossible lorsque la construction se trouve sur une nappe phréatique. Page 26

27 b) Drainage Cela peut se faire tout autour de la construction concernée, mais reste inefficace dans le cas de remontées capillaires. Cela ne suffira pas toujours à évacuer l eau vers d autres points plus propices à l écoulement, ceci dépendant de la pente et de la nature du terrain concerné. c) Application de revêtement imperméable Cette technique est en général pratiquée par des personnes qui n ont aucune expérience de l humidité. En effet, cela aggrave systématiquement les problèmes initiaux en reportant simplement l échéance. d) Revêtements muraux Enduit étanche, papier de plomb, feuille de polyane, peinture étanche, bardage en d autres matériaux. La lutte contre les remontées d eau par les sols doit impérativement s accompagner d une action sur les murs concernés pour éviter tout débordement des remontées capillaires. e) Les cloisons intérieures La méthode consiste à élever devant le mur humide une cloison mince percée en haut et en bas d une série de trous permettant à l air de circuler, en veillant à ce que la contre-cloison soit isolée des éventuelles remontées d eau du sol. Il est aussi conseillé d aérer le mur atteint de la même façon. f) Introduction de produits hydrophobes par gravitation ou injection Ce système consiste à introduire dans les capillaires et les pores de la maçonnerie un produit hydrophobe, ou bouche pores, de façon à y créer une zone imperméable s opposant à la remontée capillaire. Cette intervention se réalise le plus près possible du niveau du sol. g) Par gravitation Le forage se fait indistinctement à l intérieur ou à l extérieur dans un joint horizontal. Les trous, distants de 20 cm, ont un diamètre de 10 à 15 mm et leur profondeur est égale aux 2/3 de l épaisseur du mur. La mise en œuvre du produit se fait par gravité à travers un régulateur de débit, ce qui limite l utilisation du système aux produits en phase aqueuse à réaction lente de type silicates ou siliconâtes. Page 27

28 Les trous sont rebouchés au mortier après pénétration des quantités de produit nécessaire (de 0,5 à 1 litre par trou) initialement versé dans les flacons réservoirs. La mise en place du produit se fait sous une pression variable suivant la compacité du matériau et le type de produit injecté. Des pressions voisines de 1 à 2 N/mm² sont utilisées pour l injection de produits du type bouche-pores (résine ou bitume). Pour les silicates alcalins et les produits hydrophobes, on se limite à des valeurs nettement plus faibles, de l ordre de 0,05 à 0,25 N/mm². Les limites supérieures de ces fourchettes de pression sont réservées aux maçonneries très compactes. Dans les milieux fins (argile, mortier, pierre, béton, etc ) où les circulations sont capillaires voire subcapillaires, l injection classique est inefficace ; en effet ; si on injecte un coulis même très peu visqueux (résine), il faudra appliquer une pression importante pour le faire pénétrer, ce qui conduit soit à des claquages généralement dangereux pour l ouvrage soit à des pertes importantes. En outre, les coulis à base de résine ont souvent un cout élevé. Page 28

29 Produits bouchant les pores : - Les gels d acrylamides sont des composants toxiques, qui se solidifient avec l eau dans le temps, si le mélange est uniforme. La solidification dépend de la juste répartition de l eau dans le mur. - Les silicates de sodium ou de potassium sont épais et pénètrent difficilement dans le mur. Ils durcissent en contact avec le CO2. Plus le mur est épais, plus la pénétration est difficile. - Les résines époxydes sont épaisses et durcissent rapidement. Le résultat est en rapport avec ces inconvénients. - Les siliconâtes : même faiblesse que les silicates - Les silicones constituent de grosses molécules au sein d un solvant hydrophobe, rendant difficile la pénétration dans le matériau. - Les esters de silicones sont constitués de molécules plus petites, d où une pénétration plus aisée du matériau. Page 29

30 VIII. Le procédé Murasec : un brevet international Murasec combine plusieurs procédés techniques complémentaires : Pour être efficace, l électro-osmose doit pouvoir s appliquer dans le mur avec une excellente conductibilité du courant, il faut donc un nombre d électrodes adapté dont le diamètre est suffisant (14 mm) pour produire l effet désiré. Grâce au procédé Murasec d électro-injection, sous brevet international, la centrale électronique Murasec utilise un champ électrique pour véhiculer une solution ionique hydrophobe à l intérieur du matériau afin d améliorer ses caractéristiques mécaniques. L injection de la solution ionique dans les vides du matériau à traiter réduit sa perméabilité et provoque un barrage définitif à l humidité. Au fur et à mesure de l injection, la propagation du courant se fait sur une dimension plus importante par la croissance de l électrode améliorant ainsi considérablement la puissance de refoulement de l eau dans le mur et son assèchement. Les remontées capillaires sont sujettes à des variations d intensité en fonction des saisons (remontée de la nappe). Ce phénomène produit des remontées d humidité qui peuvent ralentir voire bloquer l assèchement du mur. Combinant l utilisation d électrodes inox avec solution ionique et inox/carbone, le procédé Murasec agit plus vite même dans des murs très chargés en eau. Les électrodes carbones tirent l eau à elles permettant un assèchement plus efficace et plus régulier. Le phénomène saisonnier des nappes phréatiques est lui aussi évité. Murasec est constitué d une centrale électronique fédérant sept électrodes en inox de 14 mm de diamètre (7 ou plus en fonction de la largeur de la zone à traiter) qui sont insérées dans le mur. Plus d informations sur Murasec : Page 30

31 Fiche d aide au diagnostic (Pour nous permettre de vous accompagner dans votre recherche de solution pour traiter l humidité de vos murs, renseignez cette fiche et envoyez là à Inno vision Technology 12 place des Marronniers Chaux Nuits Saint Georges) Habitation Maison individuelle Immeuble Construction Récente + de 10 ans + de 30 ans + de 50 ans + de 100 ans Murs Parpaings Briques Pierre Autres : Localisation apparente des dégâts Cave Rez-de-chaussée Etage Traces d humidité visibles à quelle hauteur : Etendue des traces d humidité en mètres linéaires :. Combien de pièces sont touchées (nombre) : Traces d humidité au plafond : Oui Non Nature des dégâts Traces d humidité Papiers décollés Moisissures Salpêtre Enduits boursoufflés Champignons Autre :.. Origine supposée Sol Murs Plafonds Autre : Observations et commentaires : Vos coordonnées : Prénom :. Nom :.. Adresse : Code postal :. Téléphone : Commune : Mail :.. Page 31

32 Inno vision Technology (Siège social) : 12 Place des Marronniers Chaux Nuits-Saint-Georges contact@murasec.fr Page 32

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