L'As'Veyou Novembre - Décembre 2010 Sommaire Calendrier des activités Echos des activités NJ Week-end au Cap Gris-Nez Le saviez-vous? Les oiseaux des bois ont la bougeotte Pourquoi un nouveau Guide Ornitho? Qui fait quoi chez NJ? B onjour à tous! Vous avez sous les yeux le dernier l'as'veyou de l'année 2010 Mais ne vous inquiétez pas, votre newsletter préférée reviendra en pleine forme l'année prochaine. D'ici là, venez nombreux à la gestion à Amay et à la balade à Harchies et surtout, continuez à observer! Joyeux Noël et Bonne Année 2011 avec quelques semaines d'avance! Calendrier des activités P Samedi 13 novembre 2010 : Gestion avec Pierre Loly à Amay Responsable : Xavier Lehane (lehanexavier@yahoo.fr - 0497/12.23.33) Nous taillerons des saules sur le flanc des terrils afin de rendre le milieu plus attractif pour les pies-grièches écorcheurs, alouettes lulu, Nous avons besoin d'une dizaine de personnes minimum. Venez nombreux! La bonne humeur est garantie. Rendez-vous : 9h00 à la gare de Amay, fin vers 16h00. A emporter : pique-nique Inscription obligatoire pour le 10 novembre. Novembre/Décembre 2010, page 1
J Dimanche 5 décembre 2010 : Les marais d'harchies Responsable : Xavier Lehane (lehanexavier@yahoo.fr - 0497/12.23.33) Nous partirons à la découverte de ce site majeur pour l ornitho en Wallonie. De nombreux oiseaux viennent y passer l hiver et il n est pas rare de compter plusieurs milliers d oiseaux posés sur les étangs. Canards colvert, pilet, souchet, cygnes de Bewick et beaucoup d autres seront sûrement au rendez-vous. Et vous? Rendez-vous : 9h00 à Pommeroeul (clocher penché). Contacter le responsable pour plus d'informations. Inscription obligatoire pour le 1er décembre. Canards pilets Canards colverts Canards souchets Cygnes de Bewick Novembre/Décembre 2010, page 2
Echos des activités NJ Week-end au Cap Gris-Nez Photos de Damien, Robin et Yves-Eric Par Nicolas S ix heures et quart. Un réveil sonne. Dans le dortoir obscur, quelques paupières se soulèvent avec difficultés. Il me faut quelques secondes pour me souvenir du lieu où je me trouve. Mais pourquoi diable tente-t-on de me soustraire aux bras de Morphée avant même que ne pointe l aurore? Bon sang, mais c est bien sûr! L enthousiasme achève de me réveiller : c est une journée Natagora-Jeunes qui commence! Au programme de ce week-end, le cap Gris-Nez et ses environs. Région on ne peut plus prometteuse pour observer la migration des oiseaux. Les conditions climatiques ne sont pas entièrement de notre côté, avec un vent de sud plutôt défavorable. Mais nos espoirs sont grands malgré tout. Arnaud ne nous l a-t-il pas prédit? «En deux jours, nous devrions atteindre les 100 espèces d oiseaux». Voilà un pari qui met l eau à la bouche Dehors, il fait encore noir. Première bonne surprise : contrairement aux prédictions météos, il ne pleut pas! Armés de nos jumelles et longues-vues, et de quelques victuailles dont un pot de choco litigieux (qui inspirera à Arnaud cette phrase mémorable : «L avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt le pot de choco aussi!»), nous nous mettons en route sans tarder. Il s agit d être au rendez-vous avant les premières lueurs de l aube. Avec Robin pour guide, aussitôt dit, aussitôt fait! En face de nous, la mer, l Angleterre et les premiers oiseaux. Région explorée lors du week-end des 2 et 3 octobre 2010 Novembre/Décembre 2010, page 3
Très vite, c est l émerveillement qui nous gagne. En face de nous, le festival a commencé. Les mouettes et goélands sont innombrables et plantent le décor ornithologique. La première montée d adrénaline survient dix minutes à peine après notre arrivée, avec le survol d une aigrette garzette. Très vite, les premiers labbes sont repérés. Ceux-ci harcèlent les laridés sans relâche, lesquels sont contraints de régurgiter leurs proies à l oiseau racketteur. Fascinant spectacle! Les cormorans sont nombreux, les fous de Bassan également. Les voir plonger sans cesse, la tête la première dans les flots force l admiration. Leurs efforts ne sont pas toujours récompensés Les yeux rivés dans les longues-vues, Robin, Arnaud, Nicolas et Damien nous font partager leurs observations. C est un défilé incessant d oiseaux de toutes sortes : puffins et alcidés retiennent particulièrement l attention. Plus proches de nous, les sternes caugek et pierregarins virevoltent dans les airs. Un peu plus tard, c est une guiffette noire qui vient parader devant nous. Et que dire du cormoran huppé qui nous survole quelques instants plus tard? Je ne sais plus où donner de la tête! Pour moi qui découvre les oiseaux marins, c est presque trop mais les membres de Natagora-Jeunes qui m entourent sont loin d être avares en explications et conseils d identification, et je me sens progresser à vue d œil! Un enthousiasme bon enfant gagne le groupe, à la vue d une espèce inattendue. Je vous le donne en mille : «Regardez! Regardez! Un canard colvert!» Je ne peux que l entr apercevoir, malheureusement. Zut, aurais-je raté l observation du jour? Parmi les labbes, sternes et autres laridés, je reste dubitatif Et croyez le ou ne le croyez pas la journée ne fait que commencer! Après un dîner arrivé à point nommé merci aux ravitailleurs! l après-midi est consacrée à l intérieur du pays. Nous observons dans les champs, linottes mélodieuses, alouettes des champs, bruants jaunes, pinsons à profusion. Et voici un hochequeue quel joli surnom pour la bergeronnette grise! Le groupe comporte des athlètes complets, aguerris à la reconnaissance visuelle aussi bien qu auditive. Je reste coi devant les performances de Robin et d Arnaud pour ne citer qu eux! La journée s écoule ainsi à une vitesse époustouflante. Et la liste des espèces observées s allonge sans cesse, pour notre plus grand plaisir à tous. La journée finira en apothéose avec l observation d un Hibou GrandDuc! Robin donnera de sa personne pour aller le photographier au plus près, et nous reviendra un peu déconfit de la qualité de ses photos. De l avis unanime, il n a pourtant pas à en rougir! Yves-Eric, quant à lui, photographie la joyeuse bande d ornitho que nous sommes autant que les oiseaux, pour fixer à jamais le souvenir de cette journée Hibou Grand-Duc Au soir, nous nous couchons tôt. J ai déjà hâte du lendemain. A nouveau, nous nous levons avant l aube. Le front soucieux d Arnaud nous rappelle notre objectif : les 100 espèces! Son honneur est en jeu, la journée tiendra-t-elle ses promesses? Elle les tiendra! La matinée de sea-watching sera un peu moins chargée en oiseaux, mais le concours d ornithologues locaux nous permettra d identifier avec certitude les différents labbes, pour la plus grande joie des plus expérimentés d entre-nous. C est ainsi que labbes pomarins et labbes à longue-queue sont identifiés formellement parmi les nombreux labbes parasites. Pour ma part, je profite du spectacle et des nombreuses explications qui me sont accordées sans Novembre/Décembre 2010, page 4
réserves. J aurai appris plus en deux jours qu en dix années d observations solitaires. Merci à tous! Labbe parasite Cette fois-ci, nous n attendons pas la fin de la matinée pour quitter notre observatoire. Nous avons encore plusieurs lieux à visiter à l intérieur du pays! Nos pérégrinations nous mènent notamment à Dunkerke. Non loin de la digue, nous partons en chasse de deux oiseaux rares, qui nous viennent du Grand Nord. Je n ose pas trop y croire, mais j ai vu tellement de merveilles ce weekend, que je m attends à tout. Homme de peu de foi que je suis! Avec Robin pour guide, aussitôt dit, aussitôt vu! Mais c est Yves-Eric qui repérera le premier d entre-eux. Je vois son bras muet se lève. Je claque des doigts pour attirer l attention du reste de la troupe et braque mes jumelles dans la direction idoine. Au sommet d un rocher, se dresse un petit passereau. Je retiens ma respiration : ma première rencontre avec le bruant des neiges. Le voici qui s envole rapidement, mais nous ne le quittons pas des yeux. Autant que faire ce peut! Très vite, une partie de cache-cache dans les rochers s engage entre lui et nous. Mais s il joue les timides, c est sans doute un prétexte pour nous présenter un compatriote. Et voici, sous nos yeux ébahis, le bruant des neiges sautillant à côté d un bruant lapon! Bruant des neiges Bruant lapon Les dernières heures de la journée seront consacrées aux limicoles du littoral. Tournepierres à collier, bécasseaux sanderlings, chevaliers divers la liste est longue, et fait honneur au weekend. Pour ma part, je suis encore sous le charme de l observation des bruants... Et le décompte final se fait dans la voiture, sur le chemin du retour. Roulements de tambour 110 espèces d oiseaux observées en deux jours! Et des souvenirs plein la tête, qui ne nous donnent qu une seule envie, recommencer tout ça dès le week-end prochain Serez-vous des nôtres, à la prochaine activité de Natagora-Jeunes? Novembre/Décembre 2010, page 5
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Fou de Bassan assan Fou de B Labbe pa rasite Sterne Caugek ire Guifette no Goéland cendré Novembre/Décembre 2010, page 7
Le saviez-vous? Les oiseaux des bois ont la bougeotte Texte d'arnaud et photos de Robin L a migration de nos passereaux a débuté depuis déjà plusieurs mois. Comme chaque année, les rousserolles et fauvettes ont ouvert le bal en juillet, suivies par les bergeronnettes printanières et les pipits des arbres dès le mois d août, accompagnés fin du mois par les hirondelles Mais d autres espèces se sont cette année invitées dans le ciel. En effet, depuis la fin du mois d aout, des geais, des mésanges, des pics et même des sitelles (!) ont été observés en migration en peu partout dans le Benelux, et notamment à Ramecroix (Verviers). A Harzé aussi ce drôle de mouvement a été remarqué, comme le montrent ces chouettes photos de Robin, prises le 18 septembre 2010. Geai des chênes en passage Sitelle torchepot Mésange huppée Mésanges noires Chez les geais, le mouvement a démarré le 6 septembre à Ramecroix, avec le passage de 24 individus en 5h de suivi. Le passage s est ensuite intensifié pour atteindre des intensités maximales de 116 ind. le 12 et 118 le 18 septembre. Les oiseaux volent souvent en groupes de 2 à 17 ind., haut dans le ciel, en direction du sud-ouest. C est assez déroutant, car on n est pas vraiment habitué à les observer dans ces conditions! Le passage semble concerner plutôt la moitié est du benelux, comme le montre la carte à la page suivante. Novembre/Décembre 2010, page 8
Nombre de geais comptabilisés sur les sites de suivi de la migration entre le 1er et le 23 septembre 2010. Source : www.trektellen.nl Les mésanges ne sont pas en reste, avec 658 mésanges noires et 99 mésanges bleues comptées à Ramecroix entre le 1er et le 23 septembre. Mais les chiffres les plus hallucinants proviennent des Pays-Bas, ou par exemple 419 mésanges bleues en passage ont été comptées en seulement deux heures dans le nord de la Zélande le 23/09 (site de suivi Korendijse Slikken), ou encore plus de 1000 en 5h de suivi le 22/09 au Flévoland (site de suivi Ketelbrug/Kamperhoek)! Comme quoi l ornitho réserve bien des surprises! Ouvrons l œil! PS : toutes les observations réalisées à Ramecroix sont visibles au jour le jour à l adresse http://www.trektellen.nl/trektelling.asp?taal=3&land=2&site=0&telpost=259 Pourquoi un nouveau Guide Ornitho? Par Manu T out ornithologue qui se respecte, qu il soit débutant, amateur ou professionnel, connaît le maintenant très célèbre «Guide ornitho», écrit par des ornithologues scandinaves et britanniques. La première édition est parue en 1999 sous le nom de «Collins Bird Guide», après 15 ans de travaux. Actuellement, il s agit d un des (si pas du) meilleurs guides ornithologiques de terrain, à côté d autres célébrités («Peterson», «Jonsson», «Heinzel»). Novembre/Décembre 2010, page 9
Plusieurs éléments ont fait sa renommée dans le monde de l ornithologie. D abord, l aire couverte par le guide : le Paléarctique occidental. Celui-ci comprend (dans le guide) : l Europe (Islande et Iles britanniques jusqu à l Oural et la mer Caspienne), l Afrique du Nord (jusqu au 30e parallèle) et le Moyen-Orient (Turquie, Syrie, Liban, Jordanie, Israël-Palestine). Si les Canaries, Madère et le Sinaï ont été inclus, les Açores, le Cap-Vert, l Irak et l Iran ont, eux, été exclus. Ensuite, le nombre d informations traitées. En effet, pour chaque espèce (voire sousespèce), on retrouve la répartition, le milieu de vie, le chant, et une foule d illustrations préparant l observateur à de très nombreux cas de figures (sexe, âge, adultes, juvéniles, nuptial, internuptial, hiver, été, ), le tout illustrant les oiseaux dans leur milieu de vie (y compris certains comportements typiques ou originaux). Enfin, la présentation. Contrairement au «Peterson», le «Svensson» présente en vis-à-vis le texte, les cartes (page de gauche) et les dessins (page de droite), moyennant quelques exceptions d agencement au vu du nombre d espèces répertoriées. En dépit de tout ce qu il vient d être dit, il ne s agit pas ici de faire l éloge de ce guide et de dénigrer tous les autres. Même si le «Peterson» semble quelque peu «dépassé», il n en reste pas moins un guide pionner en la matière (première édition en 1954) et le seul à mentionner les noms vernaculaires en plusieurs langues. De plus, il mentionnait déjà certaines sousespèces comme espèces à part entière, confirmées aujourd hui. Le «Jonsson» présente des illustrations plus grandes que le «Svensson», ce qui fait qu il pèse plus lourd. En revanche, le nombre d espèces traitées est moins important. Bref, comme on peut le voir, tout en étant un guide (super) complet et excessivement bien réalisé, il n en reste pas moins un guide, avec ses qualités (que nous venons déjà de citer) et ses défauts (certaines coquilles, récemment corrigées pour la plupart). Mais revenons à notre question de départ. En 2004, les éditions Delachaux et Niestlé ont publié un «nouveau Guide ornitho», qui n avait de nouveau que la couverture. Cette année (2010), en août, rebelote, un «nouveau Guide ornitho» est publié. De gauche à droite : 1e édition (1999), 1e édition second tirage (2004), 2e édition (2010). Novembre/Décembre 2010, page 10
La différence notable est que, cette fois-ci, il s agit de la deuxième édition et non pas d un simple tirage plus récent. C est-à-dire que l on suppose que des corrections, des améliorations ont été apportées. Ce qui est le cas, comme le prouvent les 48 pages supplémentaires (10 %) et la notice d introduction concernant les espèces. Tableau comparatif des deux éditions De plus, et ça c est une grande nouveauté, le statut des oiseaux de France métropolitaine est indiqué (même si pour nous, Belges francophones, cela risque de ne pas nous être utile du moins, pas dans l immédiat). Cependant, ces petites modifications ne font pas du «Svensson» 2010 un «autre» guide. Le changement, énorme, qui le distingue désormais des autres guides de terrain, c est son organisation, c est-à-dire, la séquence des espèces. En effet, comme les auteurs le signalent dans l introduction, l ordre d apparition des espèces suit grosso modo la classification de la classe des oiseaux (Aves) telle qu elle est préconisée par les spécialistes de la systématique (classification selon l évolution des espèces et nomenclature de celles-ci). Depuis de nombreuses années, la référence en la matière est Voous (List of recent holarctic bird species, 1977). Ce dernier considère les Gaviidae (plongeons) et les Podicipedidae (grèbes) comme les oiseaux modernes les plus anciens (à l exception des ratites autruches, émeus, nandous, casoars, kiwis et des tinamous) et les Passeriformes (passereaux) comme les plus récents. Cependant, depuis les années 80-90, les avancées phénoménales dans le domaines de la phylogénie (étude de l agencement des espèces selon l évolution) et de la biologie moléculaire ont permis de réaliser des études approfondies des mécanismes d évolution et de spéciation (formation des espèces). Ainsi, celles concernant le matériel génétique des oiseaux (ADN) a engendré une remise en question de notre conception de la classification des oiseaux. C est pourquoi le nouveau Guide ornitho se base désormais sur la classification de Sibley-Ahlquist et Monroe (Phylogeny and classification of birds, 1990). Dorénavant, les ratites et tinamous sont suivis par les Anseriformes (cygnes, oies, canards) et les Galliformes (tétras, faisans, perdrix, ). Puis, viennent les anciens premiers groupes : plongeons, grèbes, jusqu aux passereaux, toujours derniers. Ce qui nous donne l arbre suivant. Novembre/Décembre 2010, page 11
Arbre phyllogénétique Source : http://guillaume.calu.pagesperso-orange.fr/ornithologie/classification_phylogenetique.jpg Il s agit là d une différence notable, qui ne fait qu annoncer les nombreuses petites différences imperceptibles de la nouvelle édition : la plupart des espèces ajoutées sont le fait de la séparation de deux sous-espèces en deux espèces distinctes, comme c est le cas au sein des Procellariiformes, Laridae ou Sylvidae. Notons également des changements dans la nomenclature scientifique chez les Laridae et les Paridae (modification du genre). A côté de ces modifications motivées par la science, il y a aussi toute une série de modifications esthétiques, avec des dessins entièrement refaits ou ajoutés : grèbes et pélicans en vol, pétrels, rapaces diurnes, goélands et mouettes, pigeons et tourterelles, rapaces nocturnes, grives et merles, fauvettes, et pies-grièches pour ne citer que ceux-là. Et puis, comme le nombre d espèces a changé, certains aménagements ont dû être réalisés quant à l organisation des pages. Ainsi, à la page 254, où l on retrouvait le Cincle plongeur, le Jaseur boréal, le Troglodyte mignon, ainsi que 2 espèces de bulbul, on retrouve maintenant (page 272 dans la nouvelle édition), le cincle, le jaseur et l Hypocolius gris. Mais où a donc disparu le troglodyte? Il se trouve page 336, avec les roitelets. Avouez que cela peut perturber. Et encore, toutes ces modifications ne sont qu un début. Parce que, toujours selon la nouvelle classification, le futur ordre des Ciconiiformes, comprenant actuellement les cigognes, devrait s enrichir des plongeons, grèbes, pétrels, pélicans, fous, cormorans, hérons, ibis, spatules, rapaces diurnes, limicoles, labbes, Laridae, Novembre/Décembre 2010, page 12
Sternidae, Alcidae, et gangas pour les espèces du paléarctique occidental. Bref, pratiquement des pages 60 à 213, à l exception des pages 124 à 131 (râles, foulques, grues et outardes). Et si l ordre des Passeriformes reste là où il est, l ordre des familles pourrait s en retrouver bouleversé avec, pour commencer, les pies-grièches et loriots, suivis d un nouveau groupe formé des mésanges, fauvettes, bulbuls, alouettes, panures et hirondelles. Puis, les turdidés et gobemouches. Enfin, les corvidés, moineaux, pipits et bergeronnettes, fringilles et bruants. Bref, la troisième édition du «Guide ornitho» ne finira sans doute pas de nous étonner. Mais, en attendant, profitons pleinement de celle-ci et habituons-nous à la nouvelle place de notre petit «troglo». Qui fait quoi chez NJ? Renseignements généraux et accueil Emmanuel Tinti - minimanu87@gmail.com Calendrier des activités Alexandre Carpentier alexandrecarpentier@live.be Trésorerie Nicolas Pierrard nicolas_pierrard@msn.com L As'Veyou Dominique Lemaigre - dominique.lemaigre@hotmail.com Activités extraordinaires Anne-Laure Geboes annelauregeboes@hotmail.com Webmestre Emeline Dehasse - emeline_dehasse@hotmail.com Le site web de NJ : http://natagorajeunes.blogspot.com/ Novembre/Décembre 2010, page 13