Campagne 2012 de Lutte pour l élimination des violences envers les femmes

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Transcription:

Campagne 2012 de Lutte pour l élimination des violences envers les femmes 19 Novembre au 1 er décembre 2012-1 -

sommaire LES VIOLENCES SEXUELLES, DISONS NON! p. 3 VIOLENCES SEXUELLES : D ABORD ENVERS LES FEMMES p. 4 élements STATISTIQUES p. 5 LA RéPONSE DE L ETAT p. 6 PROGRAMME de la campagne p. 7 Les supports de la campagne p. 8 Les partenaires de la campagne p. 9 contacts presse p. 9 annexe - Ce que change la nouvelle loi sur le harcèlement sexuel p. 10-2 -

LES VIOLENCES SEXUELLES, DISONS NON! Depuis douze ans maintenant, la campagne pour l élimination des violences envers les femmes est devenue un moment important de la vie de la collectivité martiniquaise. Historiquement à l initiative des militantes de l'ufm, en 2000 cette campagne représente dorénavant le moment où la société s interroge sur l état des relations entre ses hommes et ses femmes. Poser la question des violences envers les femmes et encore plus la question des violences sexuelles envers les femmes, nous renvoie à notre intimité (notre façon d aborder la relation à l autre, notre façon d aborder notre sexualité, notre façon d élever nos enfants ), dans le cadre d une environnement culturel. C est cet environnement culturel que le comité d organisation de la campagne a choisi d explorer cette année pour mettre en lumière les éléments qui favorisent la reproduction de ces violences. La banalisation des stéréotypes sexistes est bien présente dans notre quotidien, par le biais notamment : des chansons que nous écoutons ; de la publicité qui nous invite à consommer ; des proverbes qui structurent notre imaginaire seront la cible de la campagne. Il s agit d alerter la population sur le fait que l acceptation passive de ces représentations est le point de départ des violences sexuelles. La campagne n oubliera évidemment pas les victimes de ces violences, ces femmes dont l isolement matériel et psychologique est exploité par leur bourreau. L écho de notre engagement à faire changer les choses doit leur parvenir, et c est pourquoi nous renforçons nos actions en direction du monde artistique, du monde sportif et du monde syndical. Toutes ces personnes qui par leur engagement quotidien dans la société, en sont les acteurs et les actrices. - 3 -

VIOLENCES SEXUELLES : D ABORD ENVERS LES FEMMES Les violences sexuelles seront au centre de la campagne 2012 pour l élimination pour l élimination des violences envers les Femmes, dans le cadre d un cycle de trois ans entamé en 2011 : Elles peuvent être : des viols, des agressions sexuelles, des atteintes sexuelles avec ou sans circonstances aggravantes, du harcèlement sexuel au travail, des mutilations génitales. Elles peuvent s exercer dans : l espace public, le milieu familial, dans des institutions, dans le couple, au travail mais aussi dans le cadre de conflits armés, de violences d états (torture). Elles peuvent être commises par des étrangers, des proches, des personnes connues, des personnes ayant autorité par un seul agresseur ou plusieurs. Elles peuvent être uniques, multiples ou répétées. Ces dernières, bien que concernant l ensemble de la population, concernent très majoritairement les femmes. Les auteurs quand à eux sont le plus souvent des hommes. Ainsi, l exploitation des chiffres de la police et de la gendarmerie en Martinique pour l année 2010, nous apprenait que sur les 410 faits de violences sexuelles ayant fait l objet d un dépôt de plainte, 97% des victimes était des femmes, tandis que 97% des auteurs étaient des hommes. Ces violences s intègrent donc dans la problématique générale des violences faites aux femmes et se situent dans un continuum de violences subies par les victimes. - 4 -

élements STATISTIQUES L enquête «Genre et violences interpersonnelles en Martinique» réalisée en 2009, représente la ressource statistique la plus fiable, en notre possession pour chiffrer ce type de violences dans le département. Elle portait sur une population âgée de 18 à 59 ans. Elle a établi à 6 000 minimum, le nombre de femmes majeures, victimes de rapports forcés ou de tentative de rapports forcés dans la sphère intime (mari, ami ) sur une année. L enquête montre que ces femmes ont commencé à subir des violences de ce type alors qu elles étaient mineures (90% des cas). Le nombre de victimes mineures, non estimé dans l enquête est probablement très important. Les chiffres de la gendarmerie en 2012, montrent en tout cas un nombre sensiblement plus important de victimes mineures, que de victimes majeures ayant porté plainte pour des faits de violences sexuelles. En zone gendarmerie, au 30 octobre 2012, 60% des 122 victimes de violences sexuelles étaient des mineures dont 80% de femmes. - 5 -

LA RéPONSE DE L ETAT Cette problématique a des conséquences connues en matière de santé publique les plus destructrices qui soient : Santé physique ; Santé mentale. Elle représente de plus un enjeu majeur pour la cohésion sociale : Coût économique ; Développement de la délinquance ; Echec scolaire. La réponse de l état se décline : Au niveau national Plan interministériel 2011-2013 de lutte contre les violences faites aux Femmes. Le plan interministériel, promeut une approche transversale de la problématique des violences faites aux femmes, notamment en désignant : le public scolaire, les travailleurs sociaux, et le grand public comme chacune des cibles spécifiques des actions de prévention. Le plan désigne également les violences sexuelles comme une cible prioritaire. Campagne nationale 2012 : «Harcèlement sexuel : désormais la loi vous protège». Au niveau régional Le Dispositif «OBJECTIF EGALITE», impulsé par la DRDFE à intégré cet impératif de transversalité, et propose aux institutionnels et aux associations du département, un cadre opérationnel permettant une coordination rationnelle de la prévention des violences sexistes. Ce dispositif s inscrit dans la dynamique des politiques publiques en action dans le département (cohésion sociale, politique de la ville, Plan Régional de Santé Publique), et a été financé en 2012, par :Acsé, FIPD,DRDFE,,CAF,ARS,CUCS de Fort de France, Région. Le dispositif regroupe les associations suivantes en 2012 : UFM, ALEFPA- ROSANNIE SOLEIL, AADPAS, KONBIT. C est dans ce cadre organisationnel, coordonné par l Association KONBIT que se déroule la campagne, sous l égide de la DRDFE. - 6 -

PROGRAMME de la campagne Lundi 19 novembre Préfecture de la Région Martinique, Fort-de-France 10h30 : Presentation de la Campagne à la Presse - le Préfet de Région «Que dit la nouvelle loi relative au harcèlement sexuel?» - le Procureur de la République Mercredi 21 novembre Union des Femmes de la Martinique, 17 rue Lamartine à Fort-de-France 18h00 : Vernissage exposition «Notre société au quotidien Analyse et décryptage» 18h30 : Rencontre-débat UFM «Et si on en parlait» autour du thème : «Hypersexualisation, pub sexistes, vidéos dégradantes, quel impact sur les violences? Analyse et décryptage» Théâtre Forum sur les violences sexistes et sexuelles Samedi 24 novembre Fort-de-France et le Lamentin de 8h00 à 12h00 : Caravane d information/ prévention UFM Dimanche 25 novembre - Journée Internationale pour l élimination des violences envers les femmes Semi Marathon International de la ville de Fort de France Action de mobilisation du monde sportif En amont du S.M.I. : campagne de sensibilisation des sportifs (club, ligues, particuliers) à l action mise en place pour le 25 Novembre : journée internationale pour l élimination des violences envers les Femmes. Animations dans le cadre du 25 novembre ÇÇOpération «Disons non aux violences sexuelles en 1 001 couleurs» ÇÇAnimation d un stand sur le village du semi du 22 au 25/11/12 ÇÇAnimation théâtrale à l attention des spectateurs et des spectatrices durant l attente des premiers arrivés - 7 -

PROGRAMME de la campagne (suite) Mercredi 28 novembre La Maison des syndicats de Fort-de-France de 9h00 à 12h00 Rencontre-débat UFM «Et si on en parlait» autour du thème : «Violences faites aux femmes, harcèlement sexuel au travail : que dit la nouvelle loi?» Théâtre Forum sur les violences sexistes et sexuelles en milieu du travail. Vendredi 30 novembre Le Lorrain de 8h00 à 12h00 : Action de sensibilisation Grand-public Animation des places publiques, grâce au concept du théâtre forum, adapté à des publics non captifs sur le thème des violences sexistes et sexuelles. Distribution de la documentation de la campagne. Samedi 1 er décembre Le François de 8h00 à 12h00 : Action de sensibilisation Grand-Public Animation des places publiques, grâce au concept du théâtre forum, adapté à des publics non captifs, sur le thème des violences sexistes et sexuelles. Distribution de la documentation de la campagne. Les supports de la campagne 10 000 dépliants sur le thème de la campagne ; Le réseau d affichage 8m 2 du 15 au 22 novembre ; Le réseau numérique Full Wiew (PLV dynamiques) sur l ensemble de la Martinique ; 2 kakémonos sur le thème de la campagne ; 400 affiches sur le thème de la campagne. - 8 -

Les supports de la campagne (suite) 1 000 flyers pour le semi-marathon ; Le théâtre forum (outil didactique et interactif) ; 1 spot TV et 1 spot Radio ; Actions UFM : ÇÇ Réalisation de 300 tee-shirts ; ÇÇ Réalisation d une exposition «Notre société au quotidien Analyse et décryptage» en 2 exemplaires ; ÇÇ équipe d interventions prévention. Les partenaires de la campagne Les partenaires institutionnels PREFECTURE, DRDFE, REGION MARTINIQUE, CAF, CUCS, ACSE Les partenaires associatifs KONBIT, AADEPAS, ALEFPA ROSANNIE SOLEIL, UNION DES FEMMES DE LA MARTINIQUE Autres partenaires VILLE DE FORT-DE-FRANCE, VILLE DU LAMENTIN, VILLE DU FRANçOIS, VILLE DU LORRAIN contacts presse Délégation Régionale aux Droits des Femmes et à l égalité 05 96 39 49 95 Union des Femmes de la Martinique 17 rue Lamartine, Fort-de-France Bureau : 05 96 71 26 26 Association KONBIT Nathalie BOUCHER : 06 96 09 55 66 Charles Damazie-Edmond : 06 96 31 91 50-9 -

annexe Ce que change la nouvelle loi sur le harcèlement sexuel - 10 -