B et C : faux c est l inverse entre croissance interstitielle et appositionnelle D-faux, c est du collagène de type II

Documents pareils
TUTORAT UE spé MCF CORRECTION Concours

Cavité buccale et système dentaire

Manuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes

LE LARYNX VUE ANTERIEURE DU LARYNX : Décembre 2007 Sources Étudiantes. Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes

La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale,

TUTORAT UE Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013

Concours d Internat et de Résidanat

PREVALENCE DES INCLUSIONS ET RETENTIONS DENTAIRES DANS UNE POPULATION NOIRE SENEGALAISE. THESE DE 2 EME CYCLE. PRESENTEE ET SOUTENUE PAR MARYAM SARR

Item 35 : Développement buccodentaire et anomalies

La fonction respiratoire

PROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales

Consolidation osseuse et biotechnologies État des lieux. Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY

Il faut avant de détailler ces différentes. Lésions. infra osseuses. Stratégie de traitement. Parodontologie. Gepi. Gepi

Recherche alphabétique : A-B-C-D-E-F-G-I-M-O-P-R-S-T

l implantologie basale

LA DENTISTERIE PÉDIATRIQUE

I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture

Articulations du coude et de l avant-bras

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE

Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement.

La filtration glomérulaire et sa régulation

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY

Décrite dès les années 1970, à ce jour, Les hypominéralisations molaires-incisives. Diagnostic et prise en charge adaptée. Odontologie pédiatrique

Dr E. CHEVRET UE Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

FAQ CLEARFIL SE BOND. Pagina 1 van 5

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline

Le cliché thoracique

PROTHESES PIEZOGRAPHIQUES

Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes.

Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D)

Médecine Pharmacie Dentaire Sage-femme ANNÉE UNIVERSIT AIRE

2.4 Représentation graphique, tableau de Karnaugh

Un mainteneur d espace est traditionnellement. Du maintien à la gestion de l espace. Odontologie pédiatrique. gestion de l espace.

Dents et Résines.

Fonctions non ventilatoires

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek

La science derrière Sonicare AirFloss

NOMENCLATURE DES ACTES PROFESSIONNELS DES CHIRURGIENS-DENTISTES DE MONACO

Os Hyoïde. Cartilage thyroïde. Cartilage Cricoïde. Cartilage Trachéal. S ouvre à la déglutition et à l expiration

Les gencives et la santé générale. Qu est-ce qu une maladie des gencives? d autres types de problèmes de santé ou en causer de nouveaux.

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie

Des molécules hydrophobes dans l eau

Plan de travail INTRODUCTION

Positionnement de l implant

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques

AC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2" !

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.

lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés

Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021

1S Modèles de rédaction Enoncés

La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques

sur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière

Athénée Royal d Evere

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire

CATALOGUE OEIL DENTAIRE 2015 : CHIRURGIE MUCO-GINGIVALE

TRAVAUX PRATIQUESDE BIOCHIMIE L1

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages

Sommaire. II. La physiopathologie des pertes de substance osseuse 18

L imagerie dentaire 3 D.

IFT1215 Introduction aux systèmes informatiques

La CCAM pour l activité bucco-dentaire. Cahier d exercices. au quotidien, quelques exemples

1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux La physiologie neuro-musculaire :

LE TRAVAIL SUR ÉCRAN DANS LA BRANCHE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS

Cancers de l hypopharynx

Mieux informé sur la maladie de reflux

La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes?

Service évaluation des actes professionnels

Fonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI

L exercice à la retraite. Dr. Bich-Han Nguyen Résidente II, Physiatrie Université de Montréal

Collection Soins infirmiers

biocer - système d implant dentaire

Fluorescence de la substance dentaire dure et des matériaux d obturation

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement

A B C Eau Eau savonneuse Eau + détergent

Dossier thématique. de la Fondation de l'avenir THERAPIE CELLULAIRE SOMMAIRE. B - Cellules fonctionnelles, précurseurs et cellules souches

D.E.SU. «Parodontologie en Pratique Clinique» ( )

POINT DE CONTACT ET LIMITE CERVICO-PROXIMALE DES RESTAURATIONS OCCLUSO-PROXIMALES A L AMALGAME Evaluation clinique

BRUNO SAINT HUBERT FRANCAIS

INTERVENTIONS INAMI au 1 er janvier 2014

Mythe : Le chien est un omnivore. C'est faux!!

Option sémiologie orthopédique Cours n 1 du 06/03/08 Dr Hannouche D. Ronéotypé par : Angela Tan et Métrey Tiv GENERALITES SUR LES FRACTURES

Ligne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs

... 5 OBJECTIF TERMINAL Objectif intermédiaire 1.1 Caractériser les quatre classes d os... 7

Département de chirurgie dentaire Service de parodontologie Dr ZAGHEZ M. Polycopies de parodontologie

Centre desoins Dentaires 1/5

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée

Acides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques

Présentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste

Item 201. Évaluation de la gravité et recherche des complications précoces chez un traumatisé crânio facial : fracture du rocher.

Le contexte de la profession en santé dentaire publique...5

Application à l astrophysique ACTIVITE

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Transcription:

Correction conférence n 2 spécialité Odontologie Formation du squelette cranio-facial : 1-croissance du cartilage A-le tissu mésenchymateux est richement vascularisé avec beaucoup de collagène I et de chondroblastes B-la croissance appositionnelle se fait par division des chondrocytes à l intérieur du cartilage C-la croissance interstitielle se fait par division des chondroblates du périchondre et la différenciation en chondrocytes D-la matrice cartilagineuse est constituée d eau, de collagène IV et d agregan B et C : faux c est l inverse entre croissance interstitielle et appositionnelle D-faux, c est du collagène de type II 2-mécanisme d ossification endochondrale A-la vascularisation apporte des ostéoclastes qui vont résorber le cartilage calcifié B-comme la transition cartilage-os le périchondre sera remplacé par le périoste C-l ossification suit une direction centrifuge D-le stade de différenciation terminale des chondrocytes correspondant au stade hypertrophique A : faux chondroclastes = cellules géantes multinuclées, proches des ostéoclastes C : vrai débute au centre et s étend à la périphérie 3-les os de la base du crâne ou synchondrose A-la synchondrose a un rôle important dans la croissance de la base du crâne mais pas dans la croissance de la face B-les synchondroses vont disparaitre à différentes périodes de la vie C-les chondrocytes hypertrophiques sont plus proches de la synchondrose que les chondrocytes prolifératifs D-les synchondroses sont les sutures de la base du crâne A-faux : comme rôle important dans la croissance de la base du crâne alors par conséquent rôle important sur la croissance de la face C-faux dans l ordre : os endochondral-chondrocytes hypertrophique-chondrocytes prolifératifssynchondrose (en miroir) 4-ossification de la mandibule A-l ossification de la mandibule se fait en dehors du cartilage de Meckel B-dans la gouttière osseuse vont se développer les germes dentaires et à l extérieur de la gouttière va se développer le nerf mandibulaire C-la partie postérieure du cartilage de Meckel donne par ossification membraneuse 2 osselets de l oreille moyenne D-le corps et la branche de la mandibule se développe par ossification membraneuse B-faux : le nerf mandibulaire va se trouver aussi dans la gouttière C-faux : par ossification endochondrale 5-le follicule dentaire A-le follicule est un sac de tissu épithélial lâche B-le follicule est destiné à l élaboration du ligament alvéolo-dentaire, du cément et de l os C-si on retire la ½ coronaire du sac folliculaire il y a résorption osseuse D-si on retire la ½ basale du sac il y a résorption osseuse

A-faux c est du tissu conjonctif C-la dent va évoluer D-la dent n évolue pas 6-les molécules de l éruption : A-une souris TGF-/- aura des dents qui feront leur éruption sur l arcade B-dans le cas d une molaire mandibulaire l injection de CSF-1 doit se faire 3 jours après la naissance pour être efficace C-quand injection de CSF-1 chez le rat normal cela n aura aucun effet D-le MCP-1 et le CSF-1 n ont pas les mêmes effets mais ont des effets complémentaires A : vrai car la souris a quand même l EGF qui a le même effet que le TGF, redondance. TGF et EGF ont le même récepteur B : vrai notion de fenêtre thérapeutique C : faux cela va provoquer une accélération de l éruption si on est dans la fenêtre thérapeutique D : faux ils ont le même effet 7-éruption A-la denture temporaire constituée de 20 dents contient incisives, canines, prémolaire et molaires B-lorsque les dents percent il y a des modifications cellulaires pendant 1 à 2 mois C- après éruption l épithélium adamantin réduit devient l épithélium de jonction D-après éruption les améloblastes réduits deviennent plates et perpendiculaires à la surface de l émail A-pas de prémolaires. (Préciser la différence entre dentition et denture) B-faux : pendant 1 ou 2 ans D-faux : parallèle à la surface de l émail 8-A. La neurulation participe à l élaboration des cellules permettant la formation du squelette cranio-facial. B. Seuls les CCN crâniales sont à l origine de certains éléments du squelette cranio-facial.(chodroblastes, ostéoblastes, cellules dentaires comme cémentablastes et odontoblastes) C. Le mésoderme primitif se divise en deux bandes. Il ya 3 bandes le mésoderme paraxial ou somitique, le mésoderme intermédiaire et celui latérale qui se dédoublera en 2 feuillets) D. Le 25 ème jour, le tube neural se renfle en trois vésicules (prosencéphale, mésencéphale et rhombencéphale) Réponse : ABD 9-A. Les CCN du 2 ème arc n expriment pas le gène HOX B. Les cellules issues du rhombomère 3 meurent par apoptose. C. Les CCN participant à la formation des structures cranio-faciales correspondant à un domaine qui s étend du prosencéphale jusqu au 1 er rhombomère n exprime pas le gène HOX. (2 ème rhombomère) D. La mise en place du squelette cranio facial est sous le contrôle génétique des gènes non HOX (dit HOX négatif).= gènes divergents tels que des gènes des familles Msx et Dlx Réponse :BD L Amélogénèse 10-A. L amélogénèse comprend la synthèse, la sécrétion des molécules de la matrice de l émail, la minéralisation puis la maturation de celui-ci. B. L émail est avasculaire, non innervé et contient des cellules. acellulaire

C. Les dimensions de la maille élémentaire de l émail sont inférieures à 1 nm. D. L émail est la structure la plus minéralisée de l organisme. Réponse :ACD 11-A. L améloblaste pré sécréteur est une cellule post mitotique. B. L amélogénèse est synchronisé avec la dentinogénèse. C. La différenciation des améloblastes débute à la future jonction émail/dentine où une couche de dentine a déjà été synthétisée. D. La différenciation des améloblastes pré sécréteurs s accompagne de la dégradation de la membrane basale. Préciser que ce phénomène est permis par les odontoblastes avec ses vésicules contenant des métalloprotéases et les améloblastes pré sécréteurs terminent la dégradation. Réponse :ABCD 12-A. La phase de maturation de l émail comprend 3 processus. 2 processus : l élimination des nanosphères des amélogénines et l arrivée d ione de Ca et de phosphate. B. La modulation correspond à l alternance de 2 aspects cellulaires plissé et lisse. C. L émail mature ne contient pas d eau mais possède du collagène. Pas de collagéne ni de protéine. D. L épithélium réduit de l émail correspond à la couche papillaire et les améloblastes de protection. Réponse :BD 13-La dentine : (A,C) A : La dentine est un tissu minéralisé à 70%. B : Le principal cristal rencontré est de l hydroxyapatite de formule Ca10(PO4)2(OH)6. (Faux. Ca10(PO4)6(OH)2 ) C : Sa formation comprend les stades de synthèse/sécrétion, maturation et minéralisation. D : Contient quelques tubules allant de l interface pulpe-dentine jusqu à la jonction émail-dentine. (Faux. Tous les tubules ont ce trajet. La dentine contient des dizaines de milliers de tubules) 14-Différenciation des odontoblastes : (E) A : La première étape est la polarisation des cellules situées à la périphérie de la papille ecto-mésenchymateuse. (Faux p10. Arrêt de la prolifération cellulaire à la périphérie de la papille ecto-mésenchymateuse, sous l EDI). B : Les cellules sont appelées pré-odontoblastes dès qu elles s accrochent par leur membrane plasmique aux fibrilles d ancrage présentes sur la face épithéliale de la membrane basale. (Faux p10. Face ectomésenchymateuse) C : Un odontoblaste est une cellule polarisée secrétant par son pôle basal. (Faux p11. Pôle apical) D : Le prolongement odontoblastique contient des organites de synthèse, un abondant cytosquelette et selon le stade des vésicules de sécrétion et/ou d endocytose. (Faux p14. Pas d organites de synthèse) 15-Régulation de la différenciation odontoblastique : (B,C) A : Le facteur TGFβ1 est produit par la membrane basale. (Faux. Produit par les cellules de l EDI juste avant et pendant la polarisation odontoblastique) B : Les récepteurs du TGFβ1 sont situés à la surface des cellules ecto-mésenchymateuses périphériques avant et au moment de leur polarisation. (Vrai p30) C : La fibronectine est située dans les fibrilles d ancrage de la membrane basale. (Vrai p28) D : C est l association dans la membrane basale du TGFβ1 et de la fibronectine qui permet la polarisation puis l activation fonctionnelle de la cellule ecto-mésenchymateuse en odontoblaste. (Faux. C est l association TGFβ1+ fibronectine qui sont reconnus par les récepteurs spécifiques à la surface des cellules ectomésenchymateuses alors appelées pré-odontoblastes) 16-Composition de la matrice dentinaire : (C,D)

A : Les 2 sites principaux de sécrétion des constituants de la prédentine sont le corps de l odontoblaste et le prolongement de l odontoblaste. (Faux p33. Base du prolongement qui est à proximité du corps et extrémité du prolongement) B : Le collagène composé de 2 chaines α1 et d 1 chaine α2 compose 85% de la matrice dentinaire. (Faux. Ce collagène de type I dit «classique» compose 85% du collagène de type I. Les 15% restants du collagène de type I sont composés par le collagène trimère α1. Le collagène type I (classique et trimère) compose 85% de la matrice dentinaire) C : Dans la matrice dentinaire, on retrouve aussi du collagène de type V et de type VI. (Vrai p34. Le V en association avec le I. Le VI près du corps cellulaire odontoblastique) D : On retrouve également des protéines non-collagéniques, parmi lesquelles les plus abondantes sont celles de la famille des SIBLINGs. (Vrai p39) 17-Composition de la matrice dentinaire : (D) A : Les SIBLINGs sont présentes dans l os et la dentine en quantité quasi identique. Elles sont très phosphorylées ce qui leur confère un caractère basique. (Faux p40. Quantité très différentes. Caractère acide) B : La sialophosphoprotéine dentinaire ou DSPP est une protéine active. (Faux. Inactive) C : La DSPP est à l origine de la phosphoprotéine dentinaire, de la sialoprotéine dentinaire et de la protéine-gla matricielle. (Faux p42. protéine-gla matricielle est une protéine non-collagénique n appartenant pas aux SIBLINGs. La 3ème protéine issue de la DSPP est la glycoprotéine dentinaire) D : La DSPP n est pas présente dans la prédentine, ni dans la dentine. (Vrai p42. Protéine clivée juste après sa synthèse) 18-Minéralisation de la matrice dentinaire : (A,B) A : Les ions calcium et phosphore s associent pour former tout d abord des phosphates tricalciques puis des phosphates octocalciques puis de l hydroxyapatite. (Vrai p50) B : Le calcium pénètre dans les odontoblastes par un transport actif soit par des vésicules d endocytose, soit par des canaux calciques. (Vrai p 51) C : Les annexines permettent au calcium de se déplacer dans le cytoplasme de la cellule. (Faux. C est les protéines de liaison du calcium. Les annexines sont dans la membrane cellulaire) D : Le seul rôle des vésicules matricielles est de transporter le calcium au sein de la cellule. (Faux p52. Il y a aussi et surtout la formation d hydroxyapatite dans la vésicule) 19-Pathologies héréditaires de la dentine : (A,C,D) A : 5 pathologies héréditaires principales se rencontrent classées en 2 catégories : les dentinogenèses imparfaites et les dysplasies dentinaires. (Vrai p56) B : Ces pathologies affectent exclusivement la dentine. (Faux. Pas DGI de type I qui est une manifestation dentinaire de l ostéogénèse imparfaite) C : Les dentinogenèses imparfaites (DGI) de type II et III sont dues à une mutation du gène de la DSPP. (Vrai p58) D : Cliniquement les DGI peuvent se caractériser par une disparition progressive de l émail. (Vrai p60) La dentinogenèse Aspects morphologiques et régulation de l odontogenèse 20-Concernant l épithélium odontogène : (B,C) A : Il commence à se former le 28ème jour. (Faux ; 30ème jour p4) B : Une partie de cet épithélium provient du bourgeon nasal. (Vrai p5) C : Un épithélium odontogène continu peut s observer vers le 38ème jour. (Vrai p5) D : Cet épithélium odontogène continu est formé par la fusion de 2 épithélia au maxillaire et de 2 épithélia à la mandibule. (Faux p5. 4 épithélia au max : 2 venant du bourgeon maxillaire, 2 venant du bourgeon nasal. 2 épithélia à la mandibule émanant de la partie supérieure du procès mandibulaire). 21-Evolution de l épithélium odontogène : (A,B,C) A : L épithélium odontogène va proliférer et se dédoubler menant à la formation de 2 lames épithéliales : la lame vestibulaire et la lame dentaire. (Vrai p8)

B : La lame dentaire sera à l origine des futures arcades dentaires maxillaires et mandibulaires. (Vrai p8) C : Les placodes dentaires se développent à partir de la lame dentaire. Ces placodes sont au nombre de 10 par arcade et donneront plus tard les dents déciduales. (Vrai p8) D : Les modifications morphologiques des placodes dentaires sont décrites chronologiquement par les stades bourgeon, cloche puis cupule. (Faux p9. Cupule puis cloche) 22-Concernant les stades de chaque placode : (C) A : C est à partir du stade cloche que la masse épithéliale de chaque placode dentaire prend le nom «d organe de l émail». (Faux p13. Stade cupule) B : La disparition du NEP (nœud de l émail primaire) se rencontre au stade cupule jeune. (Faux p14. Toujours présent à ce stade disparait au stade cupule âgée) C : Le stade cupule âgée est, entre autre, caractérisé par une entrée hydrique dans les cellules de remplissage, ce qui va les dissocier et leur donner une forme étoilée. D : Au stade cupule jeune, apparaissent l EDE (épithélium dentaire externe) et l EDI (épithélium dentaire interne), une vascularisation, une innervation, une organisation cellulaire périphérique, le sac folliculaire. (Faux p13 et 14. Oui sauf que pas d innervation à ce stade, n apparait qu au stade cupule âgée) 23-Stade cloche : (E) A : Une 4ème couche cellulaire «le stratum intermedium» s intercale entre l EDE et le réticulum étoilé. (Faux. Entre EDE et RE) B : Les nœuds de l émail secondaires apparaissent à ce stade et les cellules de l EDI qui continuent de s allonger préfigurent les futurs odontoblastes. (Faux. EDI -> améloblastes) C : La gaine de Hertwig sera à l origine du ligament parodontal. (Faux. Gaine de H. = juxtaposition EDE et EDI s enfonce dans l ecto-mésenchyme et donnera la formation radiculaire. Le ligament proviendra du sac folliculaire) D : C est au stade cloche que se forme la lame dentaire secondaire responsable des germes des dents permanentes. Il se forme une lame dentaire secondaire par lame dentaire primaire sauf pour la lame dentaire primaire de la première molaire temporaire. (Faux p16. 2ème molaire temporaire qui en donne 4) 24-Etude analytique de l odontogenèse : (B,C,D) A : La condensation cellulaire mésenchymateuse est due à un phénomène de prolifération cellulaire, de migration cellulaire et d une diminution locale de la synthèse matricielle. (Faux p23. Pas de prolifération cellulaire) B : La formation des germes dentaires est précédée par la migration des cellules des crêtes neurales. C : Les placodes dentaires proviennent d un dialogue entre un épithélium et un ecto-mésenchyme c'est-à-dire un mésenchyme où des CCN ont migré. D : Chaque dent est l expression d une signalétique moléculaire site-spécifique permettant l expression d un ensemble d homéogènes non-hox spécifique à chacune des dents. (Vrai. Phrase résumant toutes les diapos 35 à 40) 25-Etude analytique de l odontogenèse : (D) A : La modification de la prolifération cellulaire de l épithélium odontogène est due aux plaques équatoriales qui se placent perpendiculairement à la membrane basale. (Faux p22. Parallèlement) B : Les CCN sont pré-spécifiées (c'est-à-dire spécifiées avant migration). (Faux p31. Elles ne sont pas préspécifiées cf. expérience de dissociation/réassociation) C : Le développement de l organe dentaire peut se faire entre n importe quelle CCN et n importe quel épithélium. (Faux p28. Il faut que les CCN soient face à un épithélium compétent) D : Le premier arc pharyngé est régionalisé à partir de E9. (Vrai p31/32. Cad les parties rostrale et caudale ne présentent pas le même potentiel en terme de formation dentaire) 26-Identité dentaire : (A) A : Les CCN ayant migré dans le premier arc subissent une instruction moléculaire dépendante du site. Les CCN vont alors exprimer les combinatoires d homéogènes, ceci va déterminer l identité dentaire. (Vrai p54) B : Les gènes responsables du développement du premier arc pharyngé sont de type non-hox ou divergents et proviennent des rhombomères 2 et 3. (Faux. Rhombomères 1 et 2)

C : L identité dentaire est déterminée précocement, sa traduction morphologique intervient très rapidement. (Faux p55. Il existe un décalage dans le temps) D : Les gradients moléculaires de signalisation intervenant dans la détermination de l identité dentaire sont d origine ecto-mésenchymateuse. (Faux. C est l épithélium qui exprime des gradients de molécules de signalisation) 27-Molécules de signalisation et facteurs de croissance lors de l odontogenèse : (A,C) A : BMP4 ecto-mésenchymateux est responsable de la formation du nœud de l émail primaire. (Vrai p57) B : Msx1 induit BMP4 au niveau oral et au niveau de l ecto-mésenchyme. (Faux. BMP4 épith -> Msx1 ecto -> BMP4 ecto -> Lef1 ecto) C : BMP4 ecto-mésenchymateux est le facteur responsable de l inversion de l induction instructive. (Vrai. Cela permet bascule de la partie épithéliale à la partie ecto-mésenchymateuse) D : Fgf 3, 4 et 9 stimulent la prolifération cellulaire des cellules du nœud de l émail primaire. (Faux p58. Stimulation prolifération cellulaire ecto-mésenchymateuse et épithéliale et ce par diffusion dans les tissus environnants) 28-Morphologie et cinétique de formation des cuspides : (A,D) A : L acquisition d une morphologie dentaire se fait au stade cloche. B : A un endroit donné de l EDE, les cellules ne prolifèrent plus alors que d autres autour continuent leur prolifération. Ceci forme un pli. (Faux. EDI) C : La différence de taille des cuspides est due à un nombre de mitoses plus important dans l une que dans l autre. (Faux. Il n y a plus de mitoses. C est dû à un arrêt de la prolifération asynchrone) D : Il y a autant de nœuds de l émail secondaires que de futures cuspides. Formes ophtalmiques 29-A. Les préparations ophtalmiques peuvent être des préparations solides stériles. B. Le stroma est une lamelle de collagène qui est une zone très hydrophile. C. L humeur aqueuse est drainée par le canal naso-lacrymal. ( fx : le canal de schlemm le canal naso-lacrymal draine les larmes. D. La membrane de Bowman est une zone très hydrophile. (lipophile) Réponse : AB Préparations nasales 30-A. Les préparations nasales sont des préparations destinées à l administration dans les cavités nasales en vue d une action locale ou systémique. B. Les principes actifs qu elles contiennent ont si possible un effet sur les fonctions de la muqueuse nasale et de ces cils. (fx il ne faut pas d effet sur les fonctions et si possible non irritant) C. Elles sont isotoniques. D. Elles peuvent être une alternative à la voie orale. Réponse : ACD 31- A propos des préparations injectables : AB A. Elles peuvent être obtenues par émulsion B. Le solvant peut être de l eau C. Elles peuvent contenir des conservateurs antimicrobiens/ Faux : les préparations pour perfusion ne contiennent jamais de conservateurs antimicrobiens D. Elles comprennent les lyophilisats/ Faux : lyophilisats=poudre pour injection ou perfusion E. Toutes les propositions sont fausses. 32-A propos des préparations parentérales: CD

A. La limpidité est calculée par abaissement du point de congélation/ Faux : c est la pression osmotique B. Les solutions hypertoniques sont interdites/ Faux : elles sont autorisées si le volume est limité et l injection lente. Par contre, les solutions hypotoniques sont interdites C. La neutralité de la préparation n est pas obligatoire car l organisme tolère les variations de ph D. La viscosité du solvant peut être responsable de douleurs lors de l injection E. Toutes les propositions sont fausses. 33-A propos des voies et formes pulmonaires : B A. Dans un aérosol, les particules dispersées dans le gaz sont toujours à l état solide/ Faux, elles peuvent aussi etre à l état liquide B. En diminuant le diamètre aérodynamique médian en masse, on permet une plus grande progression des particules dans le tractus pulmonaire C. Pour un dépôt bronchique, une inspiration rapide par la bouche suffit/faux : l inspiration doit etre lente D. Les particules ayant un diamètre de 3,5μm diffusent dans le poumon profond /Faux : elles s arretent aux bronches et bronchioles. Les particules allant jusqu au poumon profond ont un diametre compris entre 1 et 2μm E. Toutes les propositions sont fausses. 34-A propos des formes et voies pulmonaires : BD A. Un aérosol est une préparation destinée à être convertie en vapeur/faux : ce sont des préparations liquides dispersées au moyen d inhalateurs préssurisés à valve doseuse B. La coordination «main-poumon» est importante pour la bonne prise d un aérosol C. Les préparations liquides dispensées au moyen de nébuliseur sont légèrement acides /Faux : ph=7,4, elles snt donc légèrement alcalines D. Lors de l utilisation d un nébuliseur, la chaleur risque de dégrader le principe actif E. Toutes les propositions sont fausses. Dispositifs médicaux stériles 35-Les dispositifs médicaux : (A,B) A : On les range en 4 classes selon des niveaux de risque croissants. B : La durée d utilisation du dispositif médical et son caractère invasif sont pris en compte dans la classification. C : Un dispositif ayant une durée d utilisation qualifiée de «temporaire» est destiné à être utilisé en continu pendant moins de 3 heures. (Faux. Pendant moins de 60 minutes) D : Un bistouri est un dispositif médical stérile à usage unique. (Faux. Dispositif médical stérile réutilisable. La lame est à usage unique. Réutilisable après nettoyage et stérilisation bien sûr!!) 36-Voie d abord parentérale pour dispositifs médicaux à usage individuel : (C) A : Comprend 3 dispositifs : aiguilles, cathéters et lignes de perfusion uniquement. (Faux. Egalement un 4ème : les chambres implantables) B : Une aiguille de 18G à un diamètre inférieur à une aiguille de 25G. (Faux. Plus G est grand, plus l aiguille est fine et courte) C : La pose et l utilisation de cathéters présentent des risques infectieux non-négligeables. D : La ligne de perfusion relie le récipient contenant la préparation injectable au système artériel en permettant le transfert à un débit réglable. (Faux. Système veineux) 37-le pharynx : A-c est un conduit musculo-membraneux B-il y a 2 subdivisions : le pharynx nasal et le pharynx buccal C-entre rhinopharynx et nasopharynx il y a une cloison qui est le voile du palais D-le pharynx s étend de la base du crâne à C6 B-faux il y a aussi le pharynx laryngé C-faux c est entre le rhinopharynx et l oropharynx

38-la déglutition A-elle se déroule en trois phases : buccale, pharyngienne, abdominale B-pendant la phase buccale la langue propulse les aliments vers l arrière C-pendant la phase pharyngienne le voile du palais s élève et ferme l accès aux fosses nasales D-la déglutition faut appel aux nerfs crâniens IX, VII, X, XI A-la dernière phase est la phase œsophagienne C-faux c est pendant la phase buccale D-faux ce sont les nerfs crâniens IX, X, XI, XII 39-les fascias du cou : A-ils vont compartimenter différentes structures présentes dans le cou B-il y a le fascia superficiel, moyen et profond C-la lame pré vertébrale du fait de sa situation donne une extension pour la loge viscérale D-la lame pré trachéale entoure les muscles infra-hyoïdiens C-faux c est la lame pré trachéale ou le fascia moyen 40-le muscle digastrique A-c est un muscle possédant deux ventres : antérieur et postérieur B-son origine : incisure mastoïdienne sur la face distale du processus mastoïde C-le tendon intermédiaire coulisse dans la boutonnière du tendon du ligament stylo-hyoïdien D-le ventre antérieur se termine sur la fosse digastrique du bord supérieur de la mandibule B-faux c est sur la face distale D-faux c est sur le bord inférieur de la mandibule 41-le larynx A-c est un organe important ayant un rôle dans la respiration, la phonation et la déglutition B-il est composé de nombreux cartilages : 4 principaux et de nombreux cartilages accessoires C-la muqueuse est soulevée par les cordes vocales D-le larynx fait suite à la trachée B-faux il y a 5 cartilages principaux : thyroïde, cricoïde, épiglotte, et 2 cartilages arythénoides D-faux c est l inverse : larynx puis trachée 42-les muscles du larynx : A-les muscles ont un rôle passif dans la phonation B-les muscles constricteurs de la glotte vont fermer l orifice de la glotte C-les muscles tenseurs des cordes vocales sont le crico-thyroïdien et le thyro-arythénoïdien D-les muscles intrinsèques assurent la mobilité du larynx A-faux : rôle important, constriction-dilatation de la glotte-vibration des cordes vocales D-faux : ce sont les muscles extrinsèques