Elles doivent être collectées de façon séparée par rapport aux eaux usées domestiques ou industrielles.

Documents pareils
Comment valoriser sa toiture plate en milieu urbain

VILLE DE SAINT-MAUR-DES-FOSSÉS MISE EN CONFORMITÉ DE L ASSAINISSEMENT INTÉRIEUR D UNE PROPRIÉTÉ

Sommaire INTRODUCTION / Le contexte général de la commune / L état des réseaux / Le diagnostic des ouvrages d épuration...

Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino

PREFECTURE DE HAUTE-SAVOIE

L eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE mai 2011

Protection de la ressource et Métiers de l Automobile. Intervention du 12 octobre 2009

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.

Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.

ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF

p. 4-5 p. 6-7 p. 8-9 p

DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N

LOGIAL - 17 LOGEMENTS - ATHIS MONS S O M M A I R E NOTICE DE SECURITE INCENDIE NOTICE ACCESSIBILITE HANDICAPES...

REGLEMENT D ASSAINISSEMENT PLUVIAL

Le Plan Départemental de l Eau

COMMUNE DE SASSENAGE

La réunion a commencée à 8h30 et s est terminée à 11h30

REGLEMENT DU SERVICE DE L'ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF. Obligations des propriétaires. Dispositions générales

CHAPITRE VII REGLEMENT DE LA ZONE UF*

PLU de BONREPOS SUR AUSSONNELLE

CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel

LA VILLE ET SON ASSAINISSEMENT. L essentiel

RRÈGLEMENT DE LA VOIRIE DÉPARTEMENTALE. Délibération de la Commission permanente 26 novembre Conseil général de la Sarthe

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON

Commune de VILLARD-SUR-DORON

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013

Installations de plomberie

Présentation du cas de la Région de Bruxelles-Capitale (RBC)

TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes

L avenir de notre ville, parlons-en. publique. Projet de. hôtel de ville. Enquête

PROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE

Fiche méthodologique pour l élaboration des PLU. Protection des captages d'alimentation en eau destinée à la consommation humaine

RÉVISION DU POS VALANT ELABORATION DU PLU D ALBERTVILLE

REGLEMENT DU SERVICE DE L'ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF. ❶ Dispositions générales

Concevoir et organiser son aire de remplissage, de lavage et de stockage des effluents

DIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR

PLAN LOCAL D'URBANISME COMMUNE DE RONCHEROLLES SUR LE VIVIER

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN

COMMUNE DE KANFEN. ZAC de Raville CAHIER DES PRESCRIPTIONS ARCHITECTURALES ET PAYSAGERES ANNEXE 3 : DU CAHIER DES CHARGES DE CESSION DE TERRAIN

Règlement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif

Des îlots de verdure. sur les TOITURES

janvier 2010 Construire en zone agricole Ce qu il faut savoir PRÉFECTURE DU RHÔNE

TITRE 3 - DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE A URBANISER (zone AU )

SOMMAIRE TITRE 1 : DISPOSITIONS GENERALES 2

Stockage et distribution de Liquides inflammables

Information de l acquéreur ou du locataire. Obligations du vendeur ou du bailleur

LOGICIEL DE MODÉLISATION INTEGRÉE 1D/2D POUR LA GESTION DES EAUX PLUVIALES ET DES EAUX USÉES. drainage. Micro Drainage

M. PATROUIX Robert M. TRYMBULAK Michael. M. RIGOLI Alain Les copropriétaires.

RESUME NON TECHNIQUE DE L ETUDE D IMPACT

DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES. Au titre de l'article L du Code de l'environnement

Réglementation et dimensionnement des séparateurs à hydrocarbures

PLAN LOCAL D URBANISME

Avis bureau Création d une zone commerciale Sainte Anne sur Brivet

Guide des autorisations d urbanisme

Eco quartier Vauban Freiburg - Allemagne

GESTION ET ASSAINISSEMENT DES EAUX PLUVIALES Q-BIC PLUS CONNECT TO BETTER Q-BIC PLUS 1. #LesRèglesOntChangé CONNECT TO BETTER CONNECT TO BETTER

Règlement du Service Public Communal de l Assainissement Commune de Vitry sur Seine 1

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel

Projet d habitat urbain groupé, écologique et auto-promu, dans le Grand Nancy

CONTEXTE ADMINISTRATIF

Commune de Saint-Etienne-de-Crossey (Isère) CAHIER DES PRESCRIPTIONS SPECIALES

SOMMAIRE. 1 Le contexte et les objectifs 1-1 Les enjeux environnementaux 1-2 La démarche locale 1-3 Les principes retenus

Assainissement non collectif et SPANC : Questions d'ordre réglementaire

Le financement du projet

P.L.U. de SURESNES approuvé par DCM du 26 septembre 2013 PLAN LOCAL D'URBANISME. Pièce n 4.1 R E G L E M E N T D E Z O N E S

PARTICIPATION POUR VOIE ET RESEAUX

CHAPITRE 5 Dispositions applicables aux usages habitations

EPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON BOURG EN BRESSE Tel :

Sommaire Page 3 : Chapitre 1er - Dispositions générales

S O M M A I R E. Objet du Marché ARTICLE 1. Pièces constitutives du marché ARTICLE 2. Programme d'étude ARTICLE 3. Délais d exécution ARTICLE 4

Assainissement des campings janvier 2011

LOCALITÉ DE CLEMENCY ZONES CENTRALES -TYPE 12

1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T

Commune de Saint-Denis

APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc.

CONVENTION DE PORTAGE FONCIER

RISQUES MAJEURS. Notice d information sur la prévention des risques majeurs À NIORT. Toutes les informations sur

Ingénierie et action foncière. Janvier 2014

Taxes (annuelles) Dépenses/Énergie (annuelles) Évaluation (municipale) Pièce(s) et Espace(s) additionnel(s) No Centris (En vigueur)

Lutte contre l étalement urbain

ÉTUDES SUR L EAU N 86 MODALITÉS TECHNIQUES DU CONTRÔLE DES INSTALLATIONS D ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF DES HABITATIONS INDIVIDUELLES

acceptée Cadastre acceptée Zonage Nbre pièces 9 Nbre chambres 3+0 Nbre salles de bains + salles d'eau 4+1

Direction de l'urbanisme. Foire Aux Questions. Service Urbanisme

accessibilité des maisons individuelles neuves

CONSOLIDATION OFFICIEUSE

3 974 $ (2015) 864 $ (2015)

Oui (2007) 2e étage. Publiée reg. foncier du Qc Oui ( ) $ (2015) 0 $ (2014)

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut

SOMMAIRE 1. CONSIDERATIONS GENERALES... 3

Expertise vénale Expertise d'un bâtiment existant avant et après travaux

Classement des locaux en fonction de l exposition à l humidité des parois et nomenclature des supports pour revêtements muraux intérieurs

ASHRAE Montréal STM Construction du centre de transport Stinson. 16 mars 2015

Commune d Aillevillers et Lyaumont CC du Val de Semouse

LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC

PLAN LOCAL D URBANISME 4. REGLEMENT

SECAL CPAUP. Cahier de prescriptions architecturales, urbaines et paysagères

ACCESSOIRES ET TEMPORAIRES AUTORISÉS DANS LES COURS ET LES MARGES

Transcription:

Objet : Les eaux pluviales (ou eaux de ruissellement) sont celles qui proviennent des précipitations atmosphériques ainsi que celles provenant des eaux d arrosage ou de lavage des voies, cours et jardins. Elles doivent être collectées de façon séparée par rapport aux eaux usées domestiques ou industrielles. Textes de référence : Art. L2333-97 du CGCT 1 : «La gestion des eaux pluviales urbaines correspondant à la collecte, au transport, au stockage et au traitement des eaux pluviales urbaines constitue un service administratif des communes [ ]. Ce service est désigné sous la dénomination de service de gestion des eaux pluviales urbaines». Article 640 du Code Civil : «Les fonds inférieurs sont assujettis envers ceux qui sont plus élevés à recevoir les eaux qui en découlent naturellement sans que la main de l'homme y ait contribué. Le propriétaire inférieur ne peut point élever de digue qui empêche cet écoulement. Le propriétaire supérieur ne peut rien faire qui aggrave la servitude du fonds inférieur.» Article 641 du Code Civil : «Tout propriétaire a le droit d'user et de disposer des eaux pluviales qui tombent sur son fonds.» Art. R214-1 du Code de l environnement : Nomenclature des opérations soumises à autorisation (A) ou déclaration (D), rubrique 2.1.5.0. «Rejet d'eaux pluviales dans les eaux douces superficielles ou sur le sol ou dans le sous-sol, la surface totale du projet, augmentée de la surface correspondant à la partie du bassin naturel dont les écoulements sont interceptés par le projet, étant : 1 Supérieure ou égale à 20 ha (A) ; 2 Supérieure à 1 ha mais inférieure à 20 ha (D).» Responsabilité du propriétaire Au titre du Code Civil et de la Loi sur l eau, le propriétaire est responsable des eaux de pluie qui tombent sur son fond, et de leur rejet. L entretien, les réparations et le renouvellement de l ensemble des dispositifs de gestion des eaux de pluie sont à la charge du propriétaire. Il appartiendra au propriétaire de se prémunir, par des dispositifs qu il jugera appropriés, des conséquences de l apparition d un phénomène pluvieux de période de retour supérieure à celle fixée. Dans les zones ne pouvant être ouverte à l urbanisation qu au travers d une opération d aménagement portant sur l ensemble du tènement foncier de la zone considérée (OAP), une solution de gestion unique sera réalisée à l échelle de la zone. 1 Code Général des Collectivités Territoriales

Opérations concernées : Toute construction, toute zone imperméable nouvellement créée (terrasse, véranda, toiture, voirie, parking), d une surface active 2 supérieure ou égale à 50 m² doit être équipée d un dispositif de gestion des eaux pluviales qui assure : - Leur collecte - Leur infiltration dans le sol lorsque celui-ci le permet et/ou leur rejet au milieu naturel superficiel ou au réseau public d eaux pluviales après rétention Règles de gestion des eaux pluviales Infiltration à la parcelle L infiltration doit être la première solution recherchée pour l évacuation des eaux pluviales recueillies sur la parcelle. L infiltration est cependant à proscrire si : - l hydromorphie du site n est pas adaptée : toit de nappe phréatique situé à moins d un mètre de profondeur ; - le site se situe en secteur de protection des champs captants (sauf avis favorable de l hydrogéologue agrée par la Préfecture) ; - le site se situe en secteur règlementé par le PPR 3 Il revient au pétitionnaire de démontrer les possibilités d infiltration de la parcelle. Il est notamment reconnu qu une perméabilité inférieure à K = 5.10-6 m/s n est pas suffisante pour infiltrer la totalité des eaux de ruissellement. Le coefficient de perméabilité est à minorer de ½ dans le dimensionnement du dispositif de rétention / infiltration La surface d infiltration à prendre en compte est : - Si un ouvrage de décantation est présent en amont du système de rétention-infiltration alors la surface infiltrante est égale à la somme des surfaces des parois latérales et du fond de l ouvrage - En l absence de système en amont de la rétention-infiltration, la surface infiltrante est égale à la surface des parois latérale seulement, du fait du possible colmatage rapide du fond. Si l infiltration est insuffisante, le volume d eaux pluviales restant sera dirigé de préférence vers le milieu naturel, ou vers le réseau public de collecte. De manière générale, le débit de pointe rejeté après aménagement doit être inférieur ou égal au débit de pointe «naturel» généré par le terrain avant son aménagement, pour un évènement pluvieux de même période de retour. Un ouvrage de rétention peut donc être à prévoir, avec une limitation de débit en sortie. 2 La surface active de ruissellement (Sa en m²) d un aménagement complet représente le produit de la surface totale du bassin versant (S en m²) par son coefficient d apport (Ca, sans unité) : Sa = Ca global x S ; 3 Plan de Prévention des Risques

Rétention avant rejet Les dispositifs de rétention des eaux pluviales doivent être indépendants des dispositifs de réutilisation de l eau de pluie. Le volume de l ouvrage de rétention sera calculé en utilisant la méthode des pluies avec les paramètres suivants : - Période de retour de dimensionnement et débit de fuite de l ouvrage :selon la zone concernée, le volume de rétention sera calculé d après les données pluviométriques d un orage avec une période de retour de 10, 20 ou 30 ans et le débit de fuite devra respecter les règles précisées dans le tableau suivant : Zone concernée (d après le plan de zonage des eaux pluviales) Période de retour de l épisode pluvieux considéré pour le dimensionnement Débit de fuite de l ouvrage de rétention * 1 (bassin versant de l Herbe) 30 ans 12 L/s/ha 2 (bassin versant du Miracle) 30 ans 12 L/s/ha 3 (bassin versant de Maclamod) 20 ans 15 L/s/ha 4 (bassin versant du Marais de l Ale) 30 ans 10 L/s/ha 5 (zone présentant un aléa de glissement de terrain) 10 ans 10 L/s/ha 6 (territoire rural) 10 ans 10 L/s/ha * Si le débit de fuite obtenu à partir des ratios présentés dans le tableau ci-dessus (débits spécifiques exprimés en L/s/ha) est inférieur à 2 L/s, il est ramené à cette valeur seuil de 2 L/s. - Coefficients de Montana : les coefficients de Montana à utiliser sont ceux de la station météo France de Chambéry / Aix-les-Bains (statistiques sur la période 1979-2005 pour des pluies de durée 15 minutes à 2 heures). Période de retour a b 10 ans 6.359 0.62 20 ans 7.385 0.627 30 ans 7.965 0.63 - Surface prise en compte : la surface totale de l opération sera prise en compte dans le calcul du volume de rétention ; - Coefficient d apport (assimilable au coefficient de ruissellement) : le coefficient d apport du projet sera pondéré en fonction des types de surfaces qui le composent, selon les valeurs présentées dans le tableau suivant : Type de surface Coefficient de ruissellement Voirie et toiture «classique» 0.9 Toiture végétalisée 0.8 Allée en graviers 0.6 Jardins, espaces verts, gazon (pente globale du terrain > 10%) 0.1 Jardins, espaces verts, gazon (pente globale du terrain > 10%) 0.05 Cabinet MONTMASSON Ingénieurs Conseils 3/5

Si d autres types de surfaces sont créés, un coefficient de ruissellement approprié sera proposé. Conditions du rejet Si le rejet a lieu au milieu naturel, il doit respecter les objectifs de qualité du milieu récepteur et les capacités d évacuation des cours d eau récepteurs, selon les prescriptions du gestionnaire du milieu concerné. Aucun rejet ne peut être dirigé vers le réseau d évacuation propre et exclusif à la voirie départementale. Si le rejet a lieu au réseau public de collecte des eaux pluviales, un regard visitable doit être prévu au niveau du point de raccordement. En fonction des caractéristiques de la parcelle et du réseau sur lequel aurait lieu le rejet, la Collectivité peut imposer des prescriptions techniques particulières définissant le rejet. D autre part, il appartient au pétitionnaire de mettre en place d éventuels systèmes anti-retour : la Commune ne pourra être tenue responsable des conséquences d une mise en charge du réseau public. Cas particuliers Les rejets issus des piscines (eaux de bassin) doivent être raccordés au réseau d évacuation des eaux pluviales et faire l objet d un traitement préalable de stabilisation du chlore. Les eaux provenant des siphons de sol de garage et de buanderies seront dirigées vers le réseau d eaux usées et non d eaux pluviales. La nécessité de mise en place d un dispositif particulier de pré-traitement est soumise à l appréciation de la Commune. Pour les projets supérieurs à 1 ha, si un rejet a lieu dans les eaux douces superficielles ou souterraines, il appartient au pétitionnaire de déposer un dossier au titre de la Loi sur l Eau (Rubrique 2.5.1.0 de la Nomenclature de l Article R214-1 du Code de l environnement) Documents à transmettre : Afin d apporter les justifications nécessaires à l instruction d un Permis de Construire, le pétitionnaire devra fournir à la Collectivité un dossier (une version papier et une version informatique) comportant : - Les trois plans suivants : o Un plan masse permettant de définir avec précision les différents types de surfaces qui seront imperméabilisées ; o Un plan des réseaux de collecte des eaux usées et des eaux pluviales o Un plan en coupe de l ouvrage d infiltration / rétention - Une note de calcul détaillée comprenant : o La situation géographique du projet o La définition de la surface totale du projet et le détail des différentes natures de surface qui le composent : espaces verts, toitures, enrobés, allée en graviers, etc Cabinet MONTMASSON Ingénieurs Conseils 4/5

o Les éléments de justification de la solution de gestion des eaux pluviales proposée (perméabilité du sol pour infiltration, calcul du volume de l ouvrage de rétention, etc ) Cabinet MONTMASSON Ingénieurs Conseils 5/5