Dossier de presse Musée du Compagnonnage 8, rue Nationale - 37000 TOURS Tel : 02 47 21 62 20 Fax : 02 47 21 68 90 courriel : museecompagnonnage@ville-tours.fr M. Laurent Bastard Site Internet : www.museecompagnonnage.fr 1
SOMMAIRE Le musée de la "belle ouvrage" p. 4 et 5 Comment visiter le musée du Compagnonnage? p. 7 et 8 Qu'est ce que le Compagnonnage? p. 10 et 11 Les animations p. 13 et 14 Pour les jeunes publics p. 16 et 17 Les publications du musée p. 19 à 21 La boutique p. 23 2
LE MUSÉE DE LA «BELLE OUVRAGE» 3
LE MUSÉE DE LA «BELLE OUVRAGE» Une ancienne abbaye Le musée du Compagnonnage a été aménagé en 1968 dans les dépendances de l ancienne abbaye bénédictine de Saint-Julien (XIIème siècle). Ce cadre splendide, restauré après la guerre, comprend 600 mètres carrés d exposition en deux salles. La salle principale constituait autrefois le dortoir des moines. Elle impressionne par sa haute charpente entièrement couverte de bardeaux de châtaignier, à la façon d une coque de navire renversé. Sous le musée, se trouvent d autres espaces, dont la belle salle capitulaire, où se réunissaient jadis en «chapitre» les moines de l abbaye. Aujourd hui, le musée y organise des conférences et des expositions. Chefs-d œuvre, images, outils Ces lieux sont dédiés à la «belle ouvrage» des Compagnons du Tour de France. Des centaines d objets et de documents sont réunis ici pour faire connaître et aimer l histoire, les légendes, les traditions et les métiers des Compagnons. Plus de 400 chefs-d œuvre sont rassemblés. Les uns sont des chefsd œuvre «de réception» et sont destinés à prouver que le candidat au titre de Compagnon maîtrise les techniques de son métier. D autres sont des œuvres collectives, de grandes dimensions, destinées à affirmer le savoir-faire d une association. D autres encore résultent de défis entre sociétés rivales ou bien de défis à soi-même, à la recherche de la difficulté et de la perfection. 4
Plusieurs centaines d autres pièces montrent au visiteur la richesse du patrimoine compagnonnique. Les traditions sont évoquées par les belles cannes et les rubans (appelés «couleurs»), les gourdes en faïence, les attributs symboliques, les insignes, bannières, drapeaux, etc. L iconographie, très riche, rassemble des lithographies aux thèmes symboliques, des huiles sur toile et des dessins aquarellés de scènes de «conduites» (cortèges), qui constuent de splendides témoignages d art populaire. Près de 300 outils, enfin, illustrent les métiers exercés par les compagnons : varlopes, marteaux, couteaux, tenailles, compas, ciseaux, équerres, etc, etc Un musée municipal Le musée du Compagnonnage est l un des musées de la Ville de Tours. Il a le statut de «Musée de France». Ses collections sont en partie municipales, d autres pièces étant placées en dépôt par les trois associations de Compagnons qui sont : l Association Ouvrière des Compagnons du Devoir, la Fédération Compagnonnique des Métiers du Bâtiment et l Union Compagnonnique. D autres musées lui ont également confié certaines pièces. Il intègre régulièrement de nouveaux objets et documents donnés par des particuliers, amis ou descendants de Compagnons. 5
COMMENT VISITER LE MUSÉE DU COMPAGNONNAGE? 6
COMMENT VISITER LE MUSÉE DU COMPAGNONNAGE? D où venez-vous? Par l autoroute A 10? : empruntez la sortie 21 (Tours Centre), tournez à droite, contournez le rond-point situé en bord de Loire, longez la Loire à votre droite en direction du centre-ville, sur l avenue André-Malraux. Vous passerez devant le pont Mirabeau (à droite), le château de Tours (à gauche), le pont de fil (à droite) et la bibliothèque municipale (à droite). Si vous venez du sud de Tours, suivez les panneaux «Cœur de Ville», en vous dirigeant vers la Loire. Si vous êtes venu par le train, en sortant de la gare, dirigez-vous vers la place Jean-Jaurès et l Hôtel de Ville, puis remontez la rue Nationale. Le musée est situé entre l église Saint- Julien et le pont Wilson sur la Loire (20 mn à pied environ). Où stationner? Deux parkings (payants) à proximité du musée : le parking Prosper-Mérimée, situé derrière l église Saint-Julien (accès rue Colbert et rue Voltaire) et le parking souterrain Anatole-France (accès place Anatole-France). Pour les bus, un emplacement leur est réservé face à la bibliothèque,avenue André Malraux. 7
Trois formules de visite : Les tarifs 2014 : - la visite libre du musée (pour les personnes venues individuellement). Durée : de 1 heure à beaucoup plus. - Une introduction à la visite d une durée d environ 30 minutes, suivie d une libre découverte des collections. Cette formule s adresse aux groupes (plus de 10 personnes). Elle permet une bonne approche du Compagnonnage en évoquant - les métiers qui le composent, le tour de France, le chef-d œuvre, la réception, les «couleurs», etc. et en abordant les origines légendaires, l histoire et l organisation actuelle du Compagnonnage. - Des compléments d information sont disponibles dans le musée sous forme de fiches et le personnel se tient à la disposition du public pour le renseigner. La durée totale de la visite est d environ 1 h 30. Réservation nécessaire. - Individuels : 5,30 ; - Groupes : 3,70 ; - Visite guidée complète : 5,30 - Enfants de plus de 12 ans, étudiants, personnes de plus de 65 ans : 3,70 - Enfants de moins de 12 ans ; personnes en recherche d emploi (carte) : gratuit - Enseignants : 3,70 - Carte multivisites : permet la visite du Musée du Compagnonnage, du Musée des Vins de Touraine, du Musée des Beaux-Arts, du Muséum d Histoire naturelle, du Musée Saint- Martin, du Centre de Création Contemporaine, durant un an. Tarif : 8 - Carte de fidélité : valable un an, elle permet de visiter le musée du Compagnonnage autant de fois que vous le souhaitez, d assister aux conférences, aux visites thématiques et aux expositions. Tarif : 9 - Une visite guidée complète. Précédée d une introduction à la visite, cette formule permet ensuite une découverte approfondie des chefs-d œuvre et des autres pièces exposées. Réservation nécessaire. Cette visite dépend de la disponibilité du conservateur et s adresse de préférence à de petits groupes (pas plus de 25 personnes). Durée : au minimum 1 h 30. 8
QU EST-CE QUE LE COMPAGNONNAGE? 9
QU EST-CE QUE LE COMPAGNONNAGE? Le Compagnonnage est un ensemble d associations d ouvriers des métiers de l artisanat. Elles concernent près de trente métiers différents. Métiers du bâtiment (charpentiers, tailleurs de pierre, maçons, couvreurs, menuisiers, serruriers, plâtriers, peintres) ; métiers de la métallurgie (maréchaux-ferrants, forgerons, carrossiers, mécaniciens, chaudronniers) ; métiers du cuir (selliers-bourreliers, cordonniers-bottiers, maroquiniers, tapissiers) ; métiers de l alimentation (boulangers, pâtissiers, cuisiniers) et bien d autres encore. Quel est le but du Compagnonnage? : assurer la formation professionnelle et morale des jeunes après l appren-tissage. Comment? par le voyage ou «tour de France», qui dure trois à sept ans ou plus, et au cours duquel le compagnon travaille de ville en ville, dans différentes entreprises. Il y découvre de nouvelles techniques. Ses séjours de 6 mois ou 1 an sont aussi pour lui l occasion de rencontrer d autres compagnons et ouvriers, d autres employeurs, d autres conditions de travail, tout en enrichissant sa culture en découvrant le patrimoine des régions ou des pays où il séjourne. Durant son tour de France (qui peut aussi devenir un tour d Europe), il suit des cours professionnels, notamment de «Trait» (ou géométrie descriptive), l une des disciplines des métiers du bâtiment. Il est hébergé à la Maison des compagnons. Il en existe dans la plupart des grandes villes, dans toutes les régions de France, et quelquesunes en Allemagne, Belgique, Suisse, Pays-Bas. Le siège local de sa société était autrefois une auberge où les compagnons se réunissaient, pre- 10
naient pension, suivaient leurs cours. L aubergiste se nommait «la Mère», car elle se devait d accueillir les compagnons comme ses propres enfants. La fonction de mère ou de dame-hôtesse existe toujours chez les compagnons d aujourd hui. Les compagnonnages de métiers sont des sociétés de type initiatique : on n y est admis qu après avoir répondu à des critères professionnels et moraux et avoir satisfait à des épreuves au cours d un rituel de «passage». La connaissance du métier est vérifiée par la réalisation d un «chef-d œuvre» (maquette ou tout autre objet) et le titre de compagnon est conféré lors d une cérémonie (la «réception»). Le nouveau compagnon peut désormais porter sa canne, ses «couleurs» (rubans colorés ou écharpe) et il reçoit un surnom («Picard la Fidélité», «Bordelais la Constance», «Ile de France la Liberté», «Tourangeau l Ami du Trait», etc ). La légende fait remonter la fondation du Compagnonnage à la construction du temple de Salomon mais, historiquement, il n apparaît qu au 15 ème siècle. Il est jusqu au milieu du 19 ème siècle une institution de défense des ouvriers et apparaît dès lors comme un ancêtre des syndicats et des sociétés de secours mutuels. Après 1850, avec la naissance de l industrie et l évolution des mentalités, les effectifs des compagnons diminuent. Les rivalités internes s apaisent à la même époque sous l influence d Agricol Perdiguier, compagnon menuisier du Devoir de Liberté (1805-1875), dont la vie et les écrits inspirèrent à George Sand le roman «Le Compagnon du tour de France» (1841). Il existe actuellement trois mouvements compagnonniques : l Association Ouvrière des Compagnons du Tour de France, la Fédération Compagnonnique des Métiers du Bâtiment et l Union Compagnonnique. Leur histoire, leur implantation géographique, leurs traditions et leurs métiers ne sont pas tous identiques, mais leurs membres sont tous des «compagnons du tour de France». Leur nombre est d environ 12 000. 11
LES ANIMATIONS 12
LES ANIMATIONS DU MUSÉE Tout au long de l année, le musée propose des manifestations pour répondre aux attentes des différents publics. Des expositions. Elles sont organisées en juillet et en août et sont présentées dans la belle salle capitulaire (accès par le parvis de l église Saint-Julien et la cour du musée). L entrée est gratuite. Voici les thèmes des plus récentes : Exposition été 2007 : le pain des Compagnons boulangers. 2012 : " L imprimeur a bon caractère " 2013 : "Transports " Des visites guidées thématiques. Elles ont lieu en automne et en hiver et permettent de découvrir les collections du musée sous un angle différent. Un autre regard est porté sur un métier, un rite, un compagnon, à travers le commentaire des chefs-d œuvre, des images et des outils et la lecture d extraits de chansons, de Mémoires de compagnons ou d ouvrages techniques. Quelques thèmes : «Le marteau», «Vis, boulons, épingles», «L eau et les compagnons du tour de France», «Le vin et les compagnons du tour de France», «Tonneaux, barriques et foudres», «Analyse de la lithographie Le Génie du Compagnonnage faisant le tour du Globe», «Les chefsd œuvre des compagnons serruriers», «Lecture d Agricol Perdiguier», «L odeur des métiers», «Le compagnonnage et les femmes», etc Tarif 2014 : 5,30 Exposition été 2008 : L'ordre règne chez les maçons 13
Des conférences. Elles sont données au printemps, dans la salle capitulaire. Depuis 1998, plus de quarante sujets ont été traités. Les conférenciers développent, en les illustrant, les aspects variés et souvent méconnus de l histoire des compagnonnages et des techniques. Parmi quelques-uns des thèmes abordés : «Les chansons de métiers», par J.-M. Moine ; «Les Bons Cousins charbonniers», par L. Bastard ; «La naissance du fer» et «La fonte au coke», par J. Corbion ; «Le compas : outil, instrument, symbole», par L. Royer ; «1845 : la grande grève des compagnons charpentiers», par L. Bastard ; «Les origines de l Union compagnonnique», par J. Philippon ; «Les surnoms des compagnons Gavots», par D. Patoux ; «L ancien compagnonnage germanique des tailleurs de pierre», par J.- M. Mathonière ; «Les compagnons tanneurs-corroyeurs», par L. Bastard ; «Maréchal-ferrant, un métier d aujourd hui», par J. Mopin ; «Les couleurs des compagnons du Devoir», par R. Lambert ; «L affaire de la serrure de Marseille», par L. Bastard ; «Les compagnons cuisiniers», par J. Philippon ; etc Tarif 2014 : 3,70 exposition 2010 : Le compas dans l oeil Printemps des poètes 2011 14
POUR LES JEUNES PUBLICS 15
POUR LES JEUNES PUBLICS Les ateliers pédagogiques. Ils s adressent aux groupes scolaires, aux enfants des centres de loisirs ou à tout groupe d enfants (plus de 10, sur réservation). Ces ateliers constituent une découverte du Compagnonnage et des métiers à travers les collections du musée puis sont suivis d activités d initiation aux techniques. Pour les enfants des classes maternelles : «La maison de bois» est une découverte du bois et de la construction d une charpente par le toucher et le dessin. Pour les enfants des classes élémentaires : «Quoi à qui?» est organisé autour des symboles et des attributs des métiers ; «La musique de l outil» est construit autour de la reconnaissance des sons d un atelier de maréchal-ferrant. Pour les enfants des cours moyens et des collèges : «La lumière de l histoire» permet de découvrir la technique du vitrail ; «Sa Majesté Tours» est un rallye au cœur de la ville médiévale ; «Tout cuir» permet de mieux connaître le matériau cuir et de s initier à la maroquinerie. Depuis 2012 : Atelier : la maison de briques, Construire les murs comme un vrai maçon pour comprendre le principe de quinconce. 16
Pour tous : «Visite et questionnaire» : découverte du musée, observation, questions et réponses. Tarifs : 2,20 à 3,00. Durée et composition des groupes variables selon les ateliers. Les visites ludiques : Dès 2014 : Des ateliers ouverts à tous : Mise en place d ateliers pour enfants de 8-12 ans le mercredi et les vacances scolaires : «Fabrique ta canne de compagnon!» et «Contes des métiers» Mise en place d un nouveau jeudécouverte pour les vacances scolaires, en remplacement du «Compagnon errant» La «Muséo-enfants» : 14 petites portes illustrées par le dessinateur tourangeau Jean-Jack Martin sont placées à hauteur des yeux des enfants. Elles s ouvrent sur de courts textes et des images en couleur. Les enfants découvrent ainsi, à leur rythme, et avec humour, la vie des compagnons du tour de France. «Sur la piste des Compagnons» Ce jeu de piste est fondé sur l observation des pièces exposées. Il permet une agréable découverte pour les enfants munis de la fiche-jeu. Deux niveaux sont proposés. Ce jeu est disponible en permanence. Le Compagnon errant». Durant l été et les vacances scolaires, un compagnon en tenue d autrefois, canne en main, chapeau enrubanné sur la tête, erre dans les allées du musée à la recherche de son métier. Il a perdu la mémoire! A l aide d un carnet de route, les enfants doivent observer les indices qui vont leur permettre de savoir s il s agit d un charpentier, d un tailleur de pierre, d un pâtissier, etc (cinq métiers différents). «Cherchez l intrus» est un jeu d observation proposé durant les vacances d hiver. Des objets insolites, anachroniques ou ordinaires sont dispersés dans les vitrines, mais présentés avec une bonne dose d humour comme s il s agissait de pièces de musée! Il s agit de les découvrir à l aide d un questionnaire. Les adultes participent comme les plus jeunes et se laissent souvent tromper! Tous les participants à ces jeux sont récompensés. «Le Tour de France des Compagnons» A l aide de son carnet de route, l'enfant voyage à travers le musée à la découverte de l artisanat et apprend les «ficelles du métier». Depuis 2013 : Dès 3 ans les enfants sont invités à venir jouer au musée, à l'aide de gommettes il pourra lui aussi répondre à quelques questions. Ainsi les plus jeunes participent aussi à la visite. 17
LES PUBLICATIONS DU MUSÉE 18
LES PUBLICATIONS DU MUSÉE DU COMPAGNONNAGE LE GUIDE DU MUSÉE DU COMPAGNONNAGE. En 64 pages abondamment illustrées en couleur et en N & B, ce petit livre de format 21 x 25 cm aborde l histoire du musée, les origines légendaires du Compagnonnage, son histoire, les sociétés similaires, l organisation contemporaine du Compagnonnage, le tour de France, la cayenne, le Devoir et le travail. Puis il accompagne le visiteur à travers les métiers du Compagnonnage présentés dans le musée : les boulangers, pâtissiers, cuisiniers, les cordiers, les bourreliersselliers, les cordonniers, les tisseurs, les maréchaux-ferrants, les serruriers, les couvreurs, les menuisiers, les tonneliers, les charrons, les sabotiers, les tailleurs de pierre, maçons et plâtriers, les charpentiers et les métiers disparus. Prix public : 12 GESTES DE MÉTIERS Photographies de Martine Doron. Avant-propos de Laurent Bastard. Vingt portraits d artisans au travail, où le geste et l outil façonnent la matière. Les photographies en noir et blanc restituent les contrastes du métal, du cuir, du bois et nous offrent un autre regard sur le couvreur, le cuisinier, le tapissier, le relieur, le carrossier, le soudeur, le maçon Prix public : 5 19
FRAGMENTS D HISTOIRE DU COMPAGNONNAGE Sous ce titre sont publiées les conférences données chaque année au musée, depuis 1998, sur des sujets d histoire compagnonnique et d histoire des techniques. Chaque recueil de format 21 x 30 cm, sous belle couverture en couleur, comprend 112 à 152 pages abondamment illustrées en N & B. Les documents reproduits sont souvent peu connus ou totalement inédits. Sommaire du N 1 (conférences 1998) : Roland Bechmann : Villard de Honnecourt et la pensée technique au XIIIème siècle ; Laurent Bastard : Jacques-Louis Ménétra, un Compagnon vitrier au XVIIIème siècle ; L. Bastard : Les tailleurs de pierre, un compagnonnage méconnu ; Pierre Urien : Quand Martin Nadaud maniait la truelle (1830-1849), conditions de vie des maçons migrants ; Jean Briquet : Agricol Perdiguier dit «Avignonnais la Vertu» (1805-1875) ; Jean Philippon : Aux origines de l Union Compagnonnique ; Christian Chenault : Roger Lecotté et le Compagnonnage ; Marie Maguelone Moreau : Pierre Louis et la renaissance des Gavots ; François Icher : La permanence du Compagnonnage au XXème siècle. Sommaire du n 2 (conférences 1999): Laurent Bastard : Jean-François Piron, «Vendôme la Clef des Cœurs», chansonnier du Compagnonnage (1796-1841) ; Madame Jacob, Mère des Compagnons boulangers du Devoir de la ville de Tours (1796-1863) ; Balzac et le Compagnonnage : «Ferragus, chef des Dévorants» (1833) ; Hubert Jam : Une figure originale du Compagnonnage : Pierre Petit, peintre de la douce France et Compagnon vitrier des Devoirs Unis (1910-1985). Sommaire du n 3 (conférences 2000) : Claude Bonétat : Gustave Eiffel et son œuvre ; Laurent Bastard : Le Compagnonnage et l Eglise au XVIIème siècle : des relations difficiles ; Albert Bernet (1883-1962) : un singulier Compagnon tailleur de pierre. Sommaire du n 4 (conférences 2001): Laurent Bastard : Les Bons Cousins charbonniers et les Bons Compagnons fendeurs (le métier, les associations) ; Jacques Corbion : La naissance du fer et de la fonte ; Jean Philippon : L arbre des rites compagnonniques ; Lionel Royer : Le compas : instrument, outil, symbole. Sommaire du n 5 (conférences 2002): Laurent Bastard : Les origines du Ralliement des Compagnons du Devoir ; Jean-Michel Mathonière : L ancien compagnonnage germanique des tailleurs de pierre ; Jacques Corbion : La fonte au coke ; Jean Philippon : La canne des Compagnons. Sommaire du n 6 (conférences 2003): Laurent Bastard : Les saints patrons des métiers du Compagnonnage ; les Compagnons tisseurs-ferrandiniers du Devoir ; Joël Puisais : Les Compagnons Passants plâtriers du Devoir ; Jean-Marie Moine : Les chansons ouvrières, compagnonniques et syndicales du XIXème siècle. Sommaire du n 7 (conférences 2004): Laurent Bastard : Les Compagnons tanneurs-corroyeurs du Devoir ; Daniel Patoux : Les surnoms des Compagnons Gavots aux 18 ème et 19 ème siècle ; Jean- Marie Moine : Les chansons de métiers ; Jean Mopin : Le maréchal-ferrant au 20 ème siècle ; René Lambert : La Sainte-Baume, haut-lieu du Compagnonnage du Devoir ; Jean Philippon : Les images des Compagnons du 19 ème siècle.(numéro exceptionnel de 224 pages) Prix public : 22 + port Sommaire du n 8 (conférences 2005): Aspects de la mort chez les Compagnons du Tour de France par Laurent Bastard. Le cheval et la pierre de Chauvigny et des environs par René Pothet Images de Perdiguier par Laurent Bastard Les loisirs dans le Compagnonnage au XIX ème siècle par Jean-Marie Moine Des métiers traditionnels du Compagnonnage aux cent métiers de l'union Compagnonnique par Jean Philippon. 20
Sommaire du n 9 (conférences 2006) Concours et Défis chez les Compagnons d autrefois : L affaire de la serrure de Marseille par Laurent Bastard. La construction de l église d Istres par Jacques Montangon Les Compagnons cuisiniers par Jean Philippon. Le Compagnonnage des imprimeurs par Laurent Bastard. L étrange histoire " des routes de fer " Par Jean-Marie Moine. Prix public : 22 + port Sommaire du n 10 (conférences 2007) Sociétés dissidentes et pseudo- Compagnonnages par Laurent Bastard. Passage par le rite et rites de pas-sage : les fonctions sociales du Compagnonnage et leur évolution (18 ème - 20 ème siècles) par Nicolas Adell-Gombert; Les animaux à l atelierpar Laurent Bastard. Les Compagnons dans la Grande Guerre par Jean Philippon. Prix public : 22 + port Sommaire du n 11 (conférences 2008) Un grand cordonnier et poète : Pierre CAPUS dit "Albigeois l'ami des Arts" (1803-1867) par Laurent Bastard. Les métiers de la rue, de la boutique et de l'atelier par Jean-Marie moine. Les avatars de Maître Jacques par Jean- Michel Mathonière. Fours à chaux, tuileries et briqueteries en Touraine par Jacques Thomas. Le Devoir de Liberté et ses sociétés au XIX ème siècle par Jean Philippon. Auguste Tamoré (1864-1945), entrepreneur de maçonnerie à Joué-les- Tours : de la taille de pierre au béton armé par Laurent Bastard et Jean-Pierre Bourcier Victor Auclair (1866-1928), compagnon charpentier du Devoir de Liberté et architecte au Chili par Laurence Debowsky et Francine Perrin Histoire et traditions des compagnons sabotiers par Jean Philippon Sommaire du n 13(conférences 2010) L utilisation industrielle des animaux par Laurent Bastard. Heurs et malheurs du travail par Jean- Marie Moine. Le blason des Compagnons par Jean Philippon et Serge Etienne Les dernières demeures des Compagnons tourangeaux par Laurent Bastard et Pierre Graindorge. Sommaire du n 14 : Histoire de l'alliance compagnonnique tourangelle : L. Bastard Auguste Proud, un fabricant lyonnais de cannes compagnonniques : J. Philippon, R. Teulet et S. Etienne. Rites et symboles des compagnons : une construction permanente : L. Bastard. Sommaire du n 15 : Les plus belles chansons des compagnons. L. Bastard et B. Riou François Pinet, Tourangeau la rose d'amour 1817-1897, un compagnon cordonnier de venu un grand industriel par Xavier Gille. La représentation des métiers dans Tintin et Astérix par L. Bastard. Les rites et les Devoirs par Jean Philippon. Sommaire du n 12(conférences 2009) Le pèlerinage et les couleurs de Sainte- Baume : une invention au XIX e siècle? par Laurent Bastard Le quartier de Portillon, vie et mort d'un centre industriel tourangeau ( de 1789 à nos jours) par Anne-Pauline Sébille. 21
LA BOUTIQUE DU MUSÉE 22
LA BOUTIQUE DU MUSÉE DU COMPAGNONNAGE Inauguré en 2004, le nouvel espace d accueil du musée s ouvre sur la rue Nationale. Il permet aux visiteurs de se procurer de nombreux objets. Des livres : - Les collections du musée - Généralités sur le Compagnonnage - Le Compagnonnage en Val de Loire - Mémoires et biographies de Compagnons - Etudes historiques - Romans - Chansons de Compagnons - Les outils - Les métiers - L architecture et les cathédrales - La Touraine Pour les enfants : - Une bande dessinée - Des jeux d adresse et de réflexion - Des jouets - Des livres pour découvrir les métiers - Des puzzles Des posters et des cartes postales De la papeterie Des statuettes Des bijoux et des porte-clefs Des cravates Des objets décoratifs De petits sacs en cuir Etc Nouveauté : Depuis 2011 le site internet du musée permet d effectuer ses achats en ligne : www.museecompagnonnage.fr 23