La gestion écologique des bords de routes départementales

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Transcription:

Objectif zéro pesticide Journée technique du mardi 5 novembre 2013 La gestion écologique des bords de routes départementales Conseil Général de l Isère Fabienne Gaillard direction des mobilités - service action territoriale Chargée de missions développement durable et modernisation de l entretien routier

Politiques départementales : abandon de Agenda 21: l usage des phytosanitaires (1) Eco-conditionnalité des aides départementales, pour l investissement sur la voierie communale Action éco-exemplarité : «Route écologique : limiter les impacts sur l environnement»

Politiques départementales : abandon de l usage des phytosanitaires (2) Plan de prévention des déchets : Accompagner les collectivités dans la réduction des tonnages de déchets verts. Moyens = formations à la gestion raisonnée et alternatives aux phytosanitaires Travail en cours à l échelle régionale, en partenariat avec les chambres consulaires : conditionner l accès des professionnels aux déchèteries publiques. Condition = participation à formation sur 0-phyto/paillage/broyage/compostage

La gestion des routes départementales en Isère Environ 5000 km de routes départementales depuis la décentralisation en 2007 => 10000 km d accotements routiers à entretenir, dont environ 70% enherbés hors agglomération Egalement 3300 ouvrages (ponts, tunnels, murs de soutènement) Organisation : 13 territoires, environ 40 CER (centres d entretien routier), 500 agents dans la filière routes

La gestion écologique des routes au CG de l Isère : petit historique (1) Une prise de conscience en début de siècle Problème émergeant des allergies à l ambroisie Alerte sur les méfaits des pesticides 2003-2004 : les débuts du fauchage raisonné. Un fauchage moins intensif, essentiellement pour lutter contre les espèces invasives et l érosion des talus routiers, conséquences inattendues d une relative «sur-qualité».

La gestion écologique des routes au CG de l Isère : petit historique (2) 2005-2008 : évolutions disparates par initiatives individuelles. Décentralisation, territorialisation, révolution culturelle en matière d environnement et de développement durable, tout contribue à intensifier mais disperser les approches. Depuis 2009 : vers une politique de gestion raisonnée. Construction et formalisation d une politique globale, inspirée des pratiques vertueuses déjà en place et guidée par des impératifs écologiques, sociaux et économiques.

Vers l abandon des phytosanitaires : quelques repères Fin des années 90 : Entre 3500 et 5000 litres de produit utilisés annuellement pour l entretien des routes nationales et départementales iséroises par la DDE. Premiers recensements et orientations vers la réduction des quantités vers 2000 Consignes écrites de limitation de l utilisation en 2003 Objectif d abandon total mis en perspective vers 2009-2010 Recensement réalisé en 2011 : environ 150 litres utilisés pour l ensemble de l entretien des RD, ouvrages compris.

Vers l abandon durable des phytosanitaires Aller plus loin ce n est pas seulement réduire encore les volumes consommés, c est : Pérenniser l entretien avec des méthodes alternatives fiables et économiquement viables Pérenniser l acceptabilité pour les agents et le public Pérenniser notre patrimoine d ouvrages sans l aide des «phytos» Pour les points actuellement «incontournables», optimiser les applications (pourcentage très significatif répandu inutilement)

La gestion raisonnée au CG de l Isère Les freins La crise économique qui freine les investissements en faveur du développement durable La culture «routes», un héritage par toujours très écologique Des usagers et riverains qui restent pour partie à convaincre Le déficit d alternative technique solide dans certains domaines L organisation : 13 territoires défendant une part d autodétermination (également moteur!) Les disparités géographiques qui suscitent une différenciation importante (également moteur!)

La gestion raisonnée au CG de l Isère Les moteurs Une volonté politique marquée : agenda 21, éco-conditionnalité, L organisation : un service développement durable actif au sein des directions centrales, et désormais des «gestionnaires d espace» détachés en territoires et intégrés aux SA. Le sens de l histoire : évolution culturelle en faveur d une activité plus durable, générant une attente des usagers ainsi que la forte mobilisation de certains acteurs en internes. et l esprit des lois : le législateur avance sur les thématiques de l entretien et l emploi de produits chimiques.

La gestion raisonnée au CG de l Isère

La gestion raisonnée au CG de l Isère Les acquis Dynamique enclenchée vers la généralisation Fauchage raisonné : fréquence et largeur de coupe Lutte contre les espèces invasives Zéro-phyto : abandon progressif des herbicides en entretien routier Débroussaillage différé Saler mieux, saler moins Broyage et gestion des déchets verts

La voie de la planification Pourquoi des «plans d entretien des dépendances vertes (PEDV)»? Une démarche pour organiser les moyens par anticipation. Une démarche pour organiser les moyens dans le respect du cadre politique et technique prédéfini. Une démarche pour guider les équipes. Une démarche pour dialoguer avec les directions centrales.

Une planification «comme au bon vieux temps» La planification de l entretien des dépendances vertes, discipline «vieille comme la DDE», n est pourtant pas morte avec elle. De nombreux territoires y travaillent toujours chaque année. Enjeux aujourd hui : Redonner un cadre à cette planification, mais sur le fond et non sur la forme Systématiser la réalisation annuelle de ce plan, pour tous les territoires Les services des territoires restent maîtres de leur organisation Un outil support pour les bilans et contrôles de gestion

Pourquoi la formation? La voie de la formation Une démarche complémentaire à l écriture de notre politique : catalogue des prestations. Une démarche de généralisation à l échelle départementale Une démarche pour expliquer et «finir de convaincre». Une démarche nécessaire pour diffuser efficacement l action auprès de tous les acteurs de l entretien routier. Une démarche d intégration de la gestion raisonnée aux prestations quotidiennes d entretien routier.

Les formations prévues Dans le cadre du plan de formation en cours de validité, dans la «filière route» Formation «métier» sur l entretien des dépendances, avec intégration des enjeux et politiques en matière d environnement Séance de présentation aux encadrants en 2013, par anticipation aux formations agents Formations aux agents au printemps 2014.

La gestion raisonnée au CG de l Isère Les «succès différés» Encore en chantier technique ou à accepter culturellement. Fauchage raisonné : hauteur et finesse de coupe Débroussaillage tardif : après mi-octobre en plaines Désherbage alternatif : thermique, brossage mécanique Valorisation des déchets verts Jachères fleuries et gestion différenciée de parcelles Plantations : arbres en chandelle, haies anti-congères, haies de guidage pour la faune,

La voie de l expérimentation Pourquoi l expérimentation? Une démarche peu dispendieuse : moyens, coût. Une démarche par défaut : quand les instances techniques de référence n offrent pas de réponse éprouvée. Une démarche de proximité : trouver et/ou tester les solutions AVEC les acteurs de l entretien routier, sur le terrain. Une démarche autodidacte : Elaborer des solutions et en même temps se les approprier. Une démarche généralisable : Tester et évaluer à échelle restreinte avant de généraliser à échelle départementale

La coupe haute Base théorique : Fauchage raisonné -> hauteur de coupe > 8 cm (jusqu à 15cm). Note d information SETRA (sept 2009) «Fauchez mieux, le fauchage raisonné» : fort enjeu de la coupe haute et appel à l adaptation du matériel en ce sens. Le matériel courant et ses limites : Réglage maxi des équipements courants : 8-10 cm. Donc changement de pratique : possible dans une certaine mesure, mais pas au-delà de 10 cm.

Expérimentation coupe haute «Aller plus haut!...» Au-delà de 10 cm, investissement incontournable sur de nouveaux matériels. Questions : pour quels bénéfices? Ecologique? Economique? Ergonomique?... Enjeu : Evaluer par une étude amont le bénéfice global de l investissement Une expérimentation est menée depuis 2011 sur le nord-isère avec le groupe TACTIL de NOREMAT

Premiers résultats Réduction importante des projections : en 2 ans, aucune casse de pare-brise à déplorer sur les circuits «TACTIL». Ergonomie améliorée : Confort d utilisation globalement satisfaisant, pas ou peu de vibrations pour l utilisateur Baisse de consommation de carburant : de l ordre de 10%, ce qui est important mais à comparer néanmoins aux 20% annoncés par le constructeur. Rendement supérieur aux groupes classiques : oui mais non encore chiffré précisément. Vitesse d avancement équivalente mais plus régulière. Puissance moindre nécessaire : oui, à mettre en regard des consommations en baisse Moindre usure des pièces : remplacement des fléaux beaucoup moins fréquent, d où une économie globale malgré le prix unitaire des fléaux Moindre bruit : a priori oui car moins de chocs et moins de puissance mais pas de mesures réalisées.

Expérimentation brosse mécanique «Sans les phytos, quel salut?...» Recherche de techniques alternatives fiables et à rendement, dans le cadre de l abandon du recours aux produits phytosanitaires. Enjeu : Evaluer par des essais in situ l efficacité, la manœuvrabilité, la dangerosité des brosses mécaniques Essais menés sur TOI avec MULAG.

La voie de l évaluation Pourquoi évaluer écologiquement la gestion raisonnée? Une démarche nécessaire pour crédibiliser l approche raisonnée. Une démarche pour jauger et faire la part des choses. Une démarche de proximité : analyser les actions mises en place AVEC les acteurs de l entretien routier, sur le terrain.

Evaluation écologique par Avenir Evaluer le bénéfice écologique de la coupe haute et également la vitesse de repousse : Depuis 2011 Dans le cadre de l expérimentation «coupe haute» menée sur THR avec le groupe TACTIL de NOREMAT Mise en place de quadras et suivi de terrain par AVENIR Suivi à long terme nécessaire vis-à-vis de la flore : 3 à 5 ans estimés nécessaires pour analyser l impact de la fauche sur les strates herbacées Evaluation de la vitesse de repousse

Evaluation écologique par Avenir

Evaluation écologique par Gentiana Evaluer le bénéfice écologique apporté par la gestion raisonnée : Sur 2013 2014 2015 Dans le cadre de l accord de partenariat CG38 / GENTIANA En cohérence avec le plan départemental pour la biodiversité Suivi de terrain par GENTIANA et mise en place d indicateurs Participation des territoires, pour définir les portions de RD intéressantes à suivre et, le cas échéant, détailler les techniques employées par les SA pour l entretien des dépendances

Evaluation écologique par Gentiana Territoires lieux de cette évaluation, avec plus spécifiquement des thématiques respectives : TPA : gestion de la problématique de l ambroisie, zones urbanisées ou non + débroussaillage tardif TVC : adaptation de la gestion raisonnée aux secteurs à forte croissance rendant problématique le passage 1 seule fois par an TGR : forte différentiation de la gestion pour fortes disparités de niveau de service, de géométrie, d altitude TAG : évaluation des choix opérés pour la saison 2012 et évolutions

Merci de votre attention