2-A. Tectonique des plaques et géologie appliquée. 2-B. Nourrir l humanité



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2-A. Tectonique des plaques et géologie appliquée 2-B. Nourrir l humanité

Objectif : Montrer que la tectonique des plaques présente un intérêt appliqué Forme un contexte explicatif de la présence de ressource exploitable 2 possibilités dans le BO : Tectonique des plaques et recherche d hydrocarbures Tectonique des plaques et ressource locale

Tectonique des plaques et recherche d hydrocarbures Montrer que la tectonique globale peut expliquer les conditions de formation d hydrocarbures Permet d orienter les recherches Notions qui constituent la suite de la seconde et qui montrent qu en seconde on peut se limiter à l aspect biomasse. Tectonique des plaques et ressource locale Montrer que la tectonique globale peut expliquer les conditions de formation de cette ressource Définition de ressource : «Ce qu'offre le milieu naturel et qui est susceptible d'être exploité» Possibilités d objet d étude multiple : Pétrole, potasse, carrière (construction, statuaire ), mines, gravières Sortie sur le terrain, utilisation de la lithothèque

2-A. Tectonique des plaques et géologie appliquée 2-B. Nourrir l humanité

Prolonge l approche globale de l agriculture en 2de Prolonge ce qui est fait en HG (nourrir les hommes, eau ressource essentielle, enjeu énergétique) Objectifs : -comprendre la conception, l organisation et le fonctionnement d un agrosystème - impacts écologiques différents selon les agrosystèmes -pratiques alimentaires individuelles et problématiques de gestion de l environnement

Écosystème naturel = biotope + biocénose Un écosystème géré par l Homme : l agrosystème : biomasse exportée pour l alimentation humaine implique des flux de matières (eau, sels minéraux, CO 2 et d énergie( soleil, énergies fossiles) A QUANTIFIER nécessité de rendements d où apport d intrants(engrais, produits phytosanitaires ) mais impacts importants de ces intrants sur l environnement et la santé, impacts de l agriculture sur ressources naturelles (eau, sols) des pratiques culturales qui concilient «la nécessaire production et la gestion durable de l environnement»

connaissances Écosystème naturel= biotope+biocénose Chaines et réseaux alimentaires Un écosystème géré par l Homme : l agrosystème : -biomasse exportée pour l alimentation humaine -implique des flux de matières (eau, sels minéraux, CO2 )et d énergie( soleil, énergies fossiles) -nécessité de rendements d où apport d intrants(engrais, produits phytosanitaires ) -mais impacts importants de ces intrants sur l environnement et la santé, impacts de l agriculture sur ressources naturelles( eau, sols) -nécessité de pratiques culturales qui concilient agrosystème et gestion durable de l environnement (local) Activités proposées Étude d un seul exemple (DOCS) Étude d un exemple (docs) Flux à quantifier : -docs -culture de lentilles d eau de graines( blés, lentilles) avec ou sans engrais, engrais à différentes concentrations: pesées http://www.eges.arvalisinstitutduvegetal.fr : bilan énergétique d une culture en GES ( gaz à effet de serre) Synthèse 2006 des bilans PLANETE - l'ademe schéma bilan agrosystème Logiciels simulation culture spiruline : SPIRPACF,SPITFIX Étude d un ex. association blé/légumineuses Réflexion sur dilemme : productivité/développement durable

Ecosystème naturel : pyramide de productivité : pertes de matière par respiration + déchets organiques d un niveau trophique à l autre Diminution du flux d énergie d un niveau trophique à l autre Elevage : Le rendement dépend de la place du produit dans la pyramide de productivité Consommation de viande ou d un produit végétal = impact écologique différent

connaissances Activités proposées -dans écosystème naturel : pyramide de productivité : pertes de matière par respiration + déchets organiques d un niveau trophique à l autre Diminution du flux d énergie d un niveau trophique à l autre -élevage : le rendement dépend de la place du produit dans la pyramide de productivité BILAN : pour obtenir une même quantité d énergie alimentaire, la production de viande nécessite plus d énergie solaire et de surface cultivable www.edumedia-sciences.com/fr/a685- pyramides-ecologiques : animations flash avec pyramides de productivité,des énergies, des toxines À comparer avec rendement production végétale ( DOCS) Développer esprit critique Consommation de viande ou d un produit végétal = impact écologique différent

Source : Campbell - Biologie 7 ème Edition

Le défi de nourrir toute l humanité : (reprise 2de) Constat : population mondiale croissante d où augmentation de la demande alimentaire Limites à l échelle de la planète cultivable: eau, sol, énergies fossiles Agir localement, penser globalement (développement durable) Par l évolution des pratiques agricoles (amélioration génétique des végétaux, agroforesterie, agriculture bio ) Par l évolution des pratiques alimentaires : privilégier origines locales/mondiales, privilégier produits végétaux/animaux BILAN : montrer l importance sur l environnement : - des choix individuels alimentaires répétés à l échelle d une population -des choix collectifs de pratiques agricoles

connaissances Activités proposées 1) Le défi de nourrir toute l humanité : (reprise 2de) Constat : population mondiale croissante d où augmentation de la demande alimentaire Limites à l échelle de la planète cultivable: eau, sol, énergies fossiles 2)Agir localement, penser globalement (développement durable) Comment concilier agriculture pour les besoins de chacun/préservation des ressources indispensables à production : - Par l évolution des pratiques agricoles(amélioration génétiques des végétaux, agroforesterie,agriculture bio ) -Par l évolution des pratiques alimentaires : privilégier origines locales/mondiales, privilégier produits végétaux/animaux http://eduterre.inrp.fr/eduterreusages/sol/sol_et_eau/eau-et-sol Outil SIG( convergence avec histgéo) Pistes de réflexion à travers quelques exemples Étude de bilans carbones, bilans énergétiques, impacts sur biodiversité BILAN : montrer l importance sur l environnement : - des choix individuels alimentaires répétés à l échelle d une population -des choix collectifs de pratiques agricoles

www.edumedia-sciences.com/fr/a685-pyramidesecologiques : animations flash avec pyramides de productivité,des énergies, des toxines http://eduterre.inrp.fr/eduterre-usages/sol/sol_et_eau/eauet-sol Outil SIG( convergence avec hist-géo) http://www.eges.arvalisinstitutduvegetal.fr : bilan énergétique d une culture en GES ( gaz à effet de serre) Synthèse 2006 des bilans PLANETE - l'ademe schéma bilan agrosystème Logiciels simulation culture spiruline : SPIRPACF, SPITFIX

3-A. Féminin/Masculin 3-B. Variation génétique et santé 3-C. De l œil au cerveau : quelques aspects de la vision

NOUVEAU,à simplifier par rapport à la Terminale S Acquis du collège :transformations de la puberté, fonctionnement continu des organes reproducteurs masculins, cycles chez la femme, contraception Objectifs : dans une optique d éducation à la santé, aider l élève à la prise en charge responsable de sa vie sexuelle «Si l identité sexuelle et les rôles sexuels dans la société avec leurs stéréotypes appartiennent à la sphère publique, l orientation sexuelle fait partie elle, de la sphère privée. Cette distinction conduit à porter l attention sur les phénomènes biologiques concernés»

Phénotypes féminin et masculin : des différences - anatomiques: rappels collège - physiologiques : production de spz et testostérone par les testicules/ fonctionnement cyclique ovaire( ovocyte, œstrogène, progest.) et utérus - chromosomiques Mise en place et fonctionnalité des appareils sexuels a) pendant la vie embryonnaire - différenciation des gonades : gène SRY(protéine TDF HS ) - différenciation des voies génitales : AMH, testostérone b) Dernière étape la puberté : - mise en place des caractères sexuels secondaires - fonctionnalité des appareils reproducteurs/ relation ovaires utérus

Contrôle du fonctionnement des appareils reproducteurs : relations hypothalamus( GnRH)/hypophyse(LH, FSH)/ gonades chez l homme : RA négative chez la femme: déclenchement ovulation+ RA négative et positive sécrétions pulsatiles HS Ne pas procréer : pilules contraceptives féminines et masculines contraception d urgence autres méthodes contraceptives dont l intérêt est de protéger des IST (préservatif) Une assistance à la procréation : des causes variées d infertilité comprendre le principe des techniques de procréation médicalement assistée (FIVETE, ICSI) et leur cadre éthique

connaissances 1)Contrôle du fonctionnement des appareils reproducteurs : - relations hypothalamus( GnRH)/hypophyse(LH, FSH) -chez l homme : contrôle du fonctionnement des testicules + RA négative - chez la femme: contrôle du fonctionnement des ovaires (déclanchement ovulation)+ RA négatives et positives Activités proposées Réalisation de schémas fonctionnels à partir d exp. Ne pas tout démontrer!!(vocabulaire du système de régulation HS) 2)Ne pas procréer : -pilules contraceptives féminines et masculines -contraception d urgence - autres méthodes contraceptives dont l intérêt est de protéger des IST (préservatif) étude de docs ou vidéos 3)Une assistance à la procréation : -des causes variées d infertilité -comprendre le principe des techniques de procréation médicalement assistée (FIVETE, ICSI) et leur cadre éthique étude de docs ou vidéos

«La sensation de plaisir est liée en particulier à l activation de zones cérébrales appartenant aux circuits de la récompense» dopamine HS Comportement humain influencé par le contexte socioculturel

connaissances 1)Différences phénotypes féminins/masculins : = identité sexuelle biologique -anatomiques -physiologiques : production de spz et testostérone par les testicules/ fonctionnement cyclique ovaire( ovocyte, œstrogène, progest.) et utérus -chromosomiques (acquisition)au cours de la fécondation) Activités proposées Dissections comparatives appareils génitaux souris mâles et femelles Observation microscopiques : CT testicule, ovaire, utérus 2)Mise en place et fonctionnalité des appareils sexuels a)pendant la vie embryonnaire -différenciation des gonades : gène SRY(protéine TDF HS ) -différenciation des voies génitales : AMH, testostérone b)dernière étape la puberté : -mise en place des caractères sexuels secondaires -fonctionnalité des appareils reproducteurs/ relation ovaires utérus 3)Sexualité et bases biologiques du plaisir : -activité sexuelle liée au plaisir -cette sensation est liée en particulier à l activation de zones de l encéphale appartenant aux circuits de la récompense, en relation avec tous les sens, sous l influence de différents facteurs liés aux émotions et à la société ( dopamine HS) distinguer ce qui relève de la biologie, du domaine de la vie privée(orientation et pratiques sexuelles)et prise de conscience de l influence de la société. Étude de docs et construction de schémas fonctionnels Passer très peu de temps Très bref, avec tact, par le biais de textes littéraires ou œuvres d art

Ce que veut faire le programme c'est : - montrer que ce qui détermine que l'on devient mâle ou femelle est d'ordre strictement biologique et déterminé - montrer que devenir homme ou femme ne se réduit pas à devenir mâle ou femelle - montrer que devenir homme ou femme repose sur un déterminisme partiellement biologique (même si ses mécanismes ne sont pas étudiés en détail) mais que ce déterminisme biologique est complété par d'autres déterminismes (dont on constate l'existence mais que l'on n'étudie pas puisqu'ils sortent du champ scientifique) : influence du milieu et de l'histoire personnelle (même chose pour presque n'importe quelle dimension du phénotype). En deux mots, il s'agit de montrer que la connaissance des mécanismes biologiques est nécessaire mais non suffisante pour comprendre comment on devient homme ou femme. Le professeur de svt s'arrête au constat de l'insuffisance, mais n'étudie pas ce qui est non biologique. Il s'agit donc, justement, de montrer que la sexualité humaine ne se réduit pas à une sexualité animale au sens courant. On peut tenir le même raisonnement à propos du plaisir - le plaisir est une affaire cérébrale (récompense) - dans le cadre d'une activité sexuelle il est déclenché par cette activité - mais le caractère cérébral fait que le ressenti ne dépend évidemment pas uniquement du geste (ce pourquoi justement, des agressions ne procurent aucun plaisir).

3-A. Féminin/Masculin 3-B. Variation génétique et santé 3-C. De l œil au cerveau : quelques aspects de la vision

Dans l introduction : «on insiste sur le fait qu en général, le développement d une maladie ou la mise en place d un phénotype dépend de l interaction complexe entre le génotype et l histoire personnelle.» (à mettre en relation avec la dernière partie du thème 1-A)

Une partie qui permet de réinvestir des notions qui ont été bâties dans le thème 1

Etudier une seule maladie génétique : la mucoviscidose ou une autre maladie autosomale Mise en relation du phénotype macroscopique avec la modification d une protéine Etude d un arbre généalogique pour évaluer le risque Action sur les paramètres du milieu pour limiter les symptômes Un espoir : la thérapie génétique qui n est pas simple à mettre en œuvre et donne des résultats décevants dans le cas de la mucoviscidose

Existence de gènes dont certains allèles prédisposent au développement d une maladie (à étudier à partir d un exemple: maladies cardiovasculaires, diabète de type 2) Relever le rôle des facteurs environnementaux (mode de vie, milieu) notion de plurifactorialité (gènes de prédisposition + facteurs de l environnement) la détermination des causes d une maladie s appuie sur des données épidémiologiques

http://webetab.ac-bordeaux.fr/pedagogie/svt/res- Peda/Prog-Lyc/prem-S/Bio- Phys/Glycemie/Ducamp/Index/htm Permet de traiter des données avec un tableur

Des modifications du génome peuvent être à l origine de cancers (faire le lien avec les mutations étudiées dans la partie I-A) Certains virus peuvent aussi être liés à la cancérisation Identifier des mesures de prévention possibles - étudier un seul cas de cancer - faire comprendre la complexité de la cancérisation (= exemple de variabilité génétique) - il ne s agit pas d un cours sur le cancer

Lien entre mutations dans les populations bactériennes et apparition de résistance aux antibiotiques L utilisation d antibiotiques conduit à la sélection de formes résistantes (évoquer la sélection naturelle étudiée en 2de) - Ne pas effectuer de manipulations sur les bactéries et les antibiotiques - Possibilité de modéliser un antibiogramme sur: http://acces.inrp.fr/acces/ressources/sante/reponseimmunitaire/ressources/biodyn/antibiogramme

Variation génétique et santé: l occasion d une approche motivante à partir de problèmes de société

3-A. Féminin/Masculin 3-B. Variation génétique et santé 3-C. De l œil au cerveau : quelques aspects de la vision

Nouveauté par rapport au collège et à la 2de Optique de la vision vue en physique

De la lumière au message nerveux, rôle de l œil (2 semaines) le cristallin, lentille vivante : cellules vivantes, renouvellement de leur contenu d où transparence réfraction de la lumière et focalisation sur la rétine anomalies de forme et défauts de vision( myopie, presbytie, cataracte) Rétine et photorécepteurs : 3 types de cônes, bâtonnets rôle des photorécepteurs: selon pigment rétinien, sensibilité à la couleur ou l intensité lumineuse naissance d un message nerveux acheminé au cerveau par nerf optique Photorécepteurs et évolution (aspect génétique) : anomalies au niveau des gènes des pigments = trouble de la vision des couleurs gènes des pigments rétiniens = famille multigénique (nouveau) Comparaison de ces gènes entre différentes espèces pour placer l Homme parmi les Primates (prolongation de ce qui est vu en 2de)

connaissances 1)Le cristallin, lentille vivante : -cellule vivantes, renouvellement de leur contenu d où transparence -réfraction de la lumière et focalisation sur la rétine -anomalies de forme et défauts de vision( myopie, presbytie, cataracte) 2)Rétine et photorécepteurs : -organisation :3 types de cônes, bâtonnets - rôle des photorécepteurs: * selon pigment rétinien, sensibilité à la couleur ( opsine)/ l intensité lumineuse (rhodopsine) *naissance d un message nerveux acheminé au cerveau par nerf optique Activités proposées Observation microscopique d une coupe de rétine Taux d absorption des pigments rétiniens en fonction de la longueur d onde 3)Photorécepteurs et évolution (aspect génétique): -anomalies au niveau des gènes des pigments = trouble de la vision des couleurs (daltonisme) pour espèce humaine -gènes des pigments rétiniens issus d un même gène ancestral par duplications/mutations = famille multigénique -étude de ces gènes entre différentes espèces permet d établir liens de parenté et de placer l Homme parmi les Primates Dissection de l œil ( bœuf, thon) pour localisation du cristallin et rétine et compréhension de l organisation du cristallin ou logiciel dissection œil espace SVT acrennes http://pedagogie.actoulouse.fr/svt/serveur/lycee/perez/oeil/ acces.inrp.fr/acces/...visu/logiciel-de- visu- Logiciel anagène comparaison des gènes des opsines de primates

1) Participation de plusieurs aires cérébrales activation par formes ou mouvement(imagerie médicale http://acces.inrp.fr/acces/ressources/neurosciences/vision eduanatomist = logiciel pédagogique de visualisation d'images de neuroimagerie une image naît de l interaction entre différentes aires du cortex cérébral collaboration entre fonction visuelle et mémoire 2) Perturbation du fonctionnement des aires cérébrales : Ex. LSD : hallucinations + perturbations cérébrales graves 3) Mise en place du système cérébral impliqué dans la vision : structures cérébrales innées (héritage génétique) plasticité cérébrale qui dépend de l apprentissage après naissance(sollicitation des mêmes circuits de neurones) Importance de la plasticité dans reconnaissance d un visage ou d un mot

connaissances Activités proposées 1)Participation de plusieurs aires cérébrales -mises en évidence par l imagerie médicale : activation par formes ou mouvement une image naît de l interaction entre différentes aires du cortex cérébral -collaboration entre fonction visuelle et mémoire 2)Perturbation du fonctionnement des aires cérébrales : Ex. LSD : hallucinations + perturbations cérébrales graves 3)Mise en place du système cérébral impliqué dans la vision: la maturation des systèmes cérébraux repose sur : -structures cérébrales innées (héritage génétique) -plasticité cérébrale qui dépend de l apprentissage après naissance(sollicitation des mêmes circuits de neurones) Importance de la plasticité dans reconnaissance d un visage ou d un mot http://acces.inrp.fr/acces/ressources/neurosciences/vision EduAnatomist = logiciel pédagogique de visualisation d'images de neuroimagerie. http://pedagogie.actoulouse.fr/svt/serveur/lycee/perez/oeil/ Travail sur quelques ex. : docs

logiciel dissection œil espace SVT ac-rennes http://pedagogie.actoulouse.fr/svt/serveur/lycee/perez/oeil acces.inrp.fr/acces/...visu/logiciel-de-visu- http://acces.inrp.fr/acces/ressources/neurosciences/visi on EduAnatomist = logiciel pédagogique de visualisation d'images de neuroimagerie.