rejoignez-nous! Les communes s engagent pour sauver des vies

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Transcription:

rejoignez-nous! Les communes s engagent pour sauver des vies

www.associationrmcbfm.org Association RMC/BFM - 12, rue d Oradour-Sur-Glane 75015 Paris Isabelle Weill, Présidente + 33 (0)1 71 19 13 84 Jennifer Palmer (France) + 33 (0)1 71 19 14 60 Isabelle Le Roi (International) + 33 (0)1 71 19 36 96 «Nous sommes convaincus que les collectivités locales, et au premier rang les communes, ont un rôle décisif à jouer. Pour les inciter encore davantage à agir, nous avons décidé de créer un Label «Ma Commune a du Cœur». Il s agit, à travers cette initiative, de reconnaître, de valoriser et de récompenser les communes les plus mobilisées sur cet enjeu de santé publique afin de créer une émulation positive entre-elles.» Isabelle Weill Présidente de l Association RMC / BFM

lutter contre l arrêt cardiaque Installer des défibrillateurs Ma commune a du cœur valoriser les bonnes pratiques locales améliorer l apprentissage des gestes qui sauvent Les communes s engagent...

... Pour sauver des vies à l origine de ce projet, deux constats... > Le décès de plus de 40 000 personnes d un arrêt cardiaque extrahospitalier chaque année en France. > Le faible taux de survie des victimes (5,3% contre 40% à Amsterdam). Une conviction Il est possible de faire mieux et de sauver chaque année plusieurs milliers de vies, si l ensemble des acteurs publics et privés se mobilisent.

état des lieux En premier lieu, il s agit de recenser l existant et de connaître précisément le nombre d appareils installés dans la commune, les lieux et les modalités. état des dispositifs existants En premier lieu, il s agit de recenser l existant et de connaître précisément le nombre d appareils installés dans la commune, les lieux et les modalités. Ainsi, il est essentiel de distinguer les appareils confiés à des associations telles qu un club de sport de ceux qui sont intégrés ou scellés à un bâtiment public (mairie, annexe, gymnase, école ). Par ailleurs, parmi ces dernières catégories, il convient également d opérer une distinction entre les appareils installés à l intérieur du bâtiment, dont l accessibilité dépend des heures d ouverture du bien public, de ceux situés à l extérieur et accessibles 24h/24, 7j/7. S ajoute à ce recensement exhaustif la vérification du bon état de fonctionnement des appareils (contrats de maintenance...). En second lieu, il convient de connaître les actions d information menées auprès des habitants et L installation des appareils doit être rationnelle et correspondre en particulier aux lieux à risques ainsi qu aux délais d intervention des secours. les supports utilisés à cet effet : brochure dédiée, magazine municipal, TV et radios locales Il convient également de connaître les éléments de signalétique utilisés par la commune pour informer la population de la présence d un appareil. De même, les formations mises en œuvre à l initiative de la commune sont prises en compte lorsqu elles existent. Analyse des risques Chaque commune est unique dans sa topographie, ses équipements et services publics, son architecture, ses habitants De ces caractéristiques et spécificités découlent des risques particuliers. Ainsi, la présence d une gare ferroviaire, d installations sportives sont des éléments à prendre en compte. Il apparaît en effet que certains lieux sont plus accidentogènes que d autres. L installation des appareils doit être rationnelle et correspondre en particulier aux lieux à risques ainsi qu aux délais d intervention des secours.

engagement et mise en œuvre Formalisation de l engagement de la commune La commune doit formaliser son engagement et matérialiser sa volonté d agir en matière de lutte contre la mort subite. Dans ce cadre, le simple vote d un vœu en conseil municipal par exemple permet de caractériser la volonté de s engager. Autorités et instances dédiées L implication de l ensemble des parties prenantes est un élément essentiel, parce qu elle permet de fédérer autour du projet. En interne à la commune, il s agit d impliquer les élus et le management. En externe, il s agit en priorité de la participation : - des professionnels des secours : sapeurs-pompiers, Samu, urgentistes ; - des professionnels de santé : médecins, pharmaciens Mais aussi du tissu associatif de la commune: associations sportives, d entraide, de voisinage élaboration et promotion des plans d actions La définition d un plan d action est un élément constitutif de l engagement d une commune. Il permet de jeter un regard prospectif pour envisager l évolution de la situation locale, en fonction de l évaluation du risque. Selon les spécificités locales et les objectifs définis, le plan d action doit lister les axes prioritaires d intervention assortis d un calendrier d exécution. Il comporte un ensemble d items parmi lesquels figurent nécessairement: - Les actions de sensibilisation et formation : cela passe par des opérations de communication générale destinées au grand public, qu il s agisse de brochures, d affichages urbain, de spots TV ou radio, internet Il s agit également des opérations menées sur le terrain pour favoriser l apprentissage des gestes de premiers secours sur le modèle des actions mises en œuvre par l Association RMC/BFM dans le cadre du Sauvetage Tour par exemple (www.sauvetagetour. fr) De manière générale, ces opérations permettent de banaliser l appareil, de présenter les gestes à faire en cas d urgence et de rappeler qu il s agit d un acte citoyen. - Les initiatives mises en œuvre pour informer ou sensibiliser l ensemble du personnel de la commune. Quelle que soit la taille de la commune, il est important, dans un souci d exemplarité et d implication des équipes, que les agents soient formés aux gestes qui sauvent. - Le programme d installation de défibrillateurs qui permet de mettre en perspective le maillage territorial et l accessibilité des appareils. Il est indispensable de prévoir une signalétique basée sur la signalétique européenne afin de faciliter l identification des appareils. Dans le même esprit, il convient de renseigner les bases de données existantes concernant les lieux d implantation des appareils pour faciliter le développement des outils de géolocalisation comme l application «Arrêt cardiaque» développée par l Association RMC/BFM qui recense déjà plus de 25 000 appareils.

suivi et évaluation Le suivi et l évaluation visent à s assurer de la mise en œuvre effective des engagements pris par la commune. Mesure Des indicateurs de suivi peuvent être mis en place pour mesurer les progrès réalisés par la commune. Il peut s agir d indicateurs mesurant : le taux de couverture - rapport entre le nombre total d appareils installés et la population ; - rapport entre le nombre d appareils installés accessibles et la population. le taux de survie pour évaluer, sur la base de l évaluation initiale du risque, les progrès réalisés par la commune. le taux de formation - rapport entre le nombre total de personnes formés et le nombre d habitants ; - rapport entre le nombre de personnel formé et le nombre total de personnel de la commune ; - pourcentage d associations locales sensibilisées ; -... Le suivi du Label donne lieu à l attribution de. Les communes les plus exemplaires peuvent avoir jusqu à. Le nombre de vise à motiver les communes et à les inciter à poursuivre leurs efforts. l association RMC/BFM agit pour mobiliser les communes et généraliser l installation de défibrillateurs dans les lieux recevant du public Plus de 40 000 personnes meurent chaque année en France d un arrêt cardiaque. Le taux de survie des victimes d arrêt cardiaque est de 5,3% en France. À Amsterdam, il atteint 40%. et sauver encore plus de victimes d arrêt cardiaque

le comité d experts Rôle du Comité d experts «Maires de France, Chaque jour, 110 personnes meurent d un arrêt cardiaque dans notre pays, Grâce à votre mobilisation, le nombre de vies sauvées a doublé en 4 ans, Ensemble, allons plus loin! Continuons le combat pour sauver des vies! Installez des défibrillateur dans vos communes, formez vos habitants aux gestes qui sauvent et rejoignez-nous pour obtenir le label Ma Commune a du Cœur.» Les membres du comité d experts - Le Comité d expert accompagne l Association RMC/BFM dans la mise en œuvre du Label. - Il est sollicité sur le processus de labellisation proposé par l Association RMC/BFM et Les membres du comité d experts apporte son expertise en matière de santé publique, de premiers secours et de gestion des collectivités locales. Il formule des préconisations et recommandations. - Le Comité est informé de l état d avancement du projet et la liste des villes proposées au Label lui est soumise avant toute cérémonie de remise du Label. Vanik Berberian, Président de l association des Maires ruraux de France Michel Destot, Président de l Association des Maires de Grandes Villes de France Docteur Marc Giroud, Président de Samu de France Docteur Patrick Hertgen, Vice-président chargé du secours à personnes et du service de santé et de secours médical, Fédération Nationale des Sapeurs-Pompiers de France Professeur Xavier Jouven, épidémiologiste (Hôpital Européen Georges Pompidou, Inserm) Docteur Jean-Jacques Monsuez, Cardiologue (Hôpitaux universitaires de Paris Seine Saint-Denis) Christian Pierret, Président de la Fédération des Villes moyennes Arnaud Robinet, Député de la Marne Patricia Schillinger, Sénatrice du Haut-Rhin Isabelle Weill, Présidente de l Association RMC/BFM

des résultats concrets Sous l égide de son comité scientifique (composé des professeurs Pierre Carli, Xavier Jouven, Alexandre Mignon et du docteur Jean-Jacques Monsuez), l Association RMC/BFM s est fixée comme premiers objectifs la généralisation raisonnée des défibrillateurs cardiaques dans les lieux accueillant du public et l amélioration de la formation de la population aux gestes de premiers secours. 120 000 défibrillateurs installés en France en 2013 contre 5 000 en 2008. 2 200 vies sauvées en 2013 contre 1 100 en 2008. 5,3% de taux de survie en 2013 contre 2,7% en 2008. 800 000 jeunes désormais formés chaque année à l utilisation du défibrillateur et aux gestes de premiers secours à l occasion de la Journée Défense et Citoyenneté (JDC). 500 000 téléchargements de l application «Arrêt cardiaque» pour agir le plus rapidement possible en situation d urgence en maîtrisant les gestes qui sauvent et en localisant le défibrillateur le plus proche. 41 000 défibrillateurs recensés dans la base de données de l application. 18 000 bons samaritains bénévoles inscrits dans l application pour intervenir à proximité de leur situation géographique en cas d accident et ainsi augmenter le taux de survie de la victime en attendant l arrivée des secours. 65 000 personnes sensibilisées au massage cardiaque

rejoignez-nous! 2013 Médaille du prix de l application médicale grand public des Entretiens de Bichat 2013. www.macommuenaducoeur.org Association RMC/BFM - 12, rue d Oradour-Sur-Glane 75015 Paris ANDROID APP ON Isabelle Weill, Présidente + 33 (0)1 71 19 13 84 Jennifer Palmer (France) + 33 (0)1 71 19 14 60 Isabelle Le Roi (International) + 33 (0)1 71 19 36 96

www.associationrmcbfm.org Association RMC/BFM - 12, rue d Oradour-Sur-Glane 75015 Paris Isabelle Weill, Présidente + 33 (0)1 71 19 13 84 Jennifer Palmer (France) + 33 (0)1 71 19 14 60 Isabelle Le Roi (International) + 33 (0)1 71 19 36 96 Réalisée par l agence Fluide