École de Gestion Telfer Université d Ottawa École Nationale d Ingénieurs de Metz «Le Pouvoir d Exceller» Janvier-Février 2014 N 4 L E MBA T ELFER EST CONSIDÉRÉ PARMI LES MEILLEURS PROGRAMMES EN GESTION GÉNÉRALE D AMÉRIQUE DU N ORD Eduniversal vient d accorder quatre étoiles (le score le plus élevé) et la 11 ème place en Amérique du Nord au programme de MBA Telfer dans son classement international 2013-2014 des Masters en gestion générale. Cet accomplissement confirme l habileté de l École Telfer à offrir un programme de calibre international qui couvre toutes les disciplines nécessaires pour développer le pouvoir d exceller. Source : http://www.best-masters.com/ranking-master-general-management-in-northamerica.html C ONFÉRENCE «LE XXIÈME SIÈCLE SERA CELUI DE L INGÉNIEUR- MANAGER» - 19 FÉVRIER 2014 À 18H, À L ENIM Le MBA Telfer à Metz Master en Administration des Affaires Programme Executive MBA pour cadres: L excellence des méthodes de gestion nord-américaines Un quart des ingénieurs occupent aujourd hui des fonctions managériales. Cette tendance semble s intensifier avec l émergence d une forte demande d ingénieurs capables d appréhender toute la technicité de leur métier, et dans le même temps, de pratiquer les méthodes managériales comme des professionnels du domaine. Nombre de ces ingénieurs-managers se disent mal préparés à opérer des choix, à s intégrer dans une organisation et à considérer les enjeux industriels et économiques d une entreprise. L évolution inéluctable vers cette double compétence soulève un questionnement d actualité : Quel ingénieur pour le XXIème siècle? Dans le cadre de cette problématique, Pierre CHEVRIER, directeur de l Enim, et Alain DOUCET, doyen adjoint de l École de gestion Telfer, organisent la conférence «Le XXIème siècle sera celui de l ingénieur-manager», suivie d un Networking Event, le mercredi 19 février 2014 à 18h, à l ENIM. Programme disponible et inscription obligatoire à info.mba@enim.fr
C OMPORTEMENT ORGANISATIONNEL ET G ESTION DES RESSOURCES HUMAINES JANVIER 2014 Silvia Bonaccio est le quatrième professeur à avoir dispensé ses enseignements dans le cadre du programme de MBA Telfer à Metz. Docteur en psychologie industrielle et organisationnelle, elle est experte sur la réception et la prestation de conseils au cours de la prise de décision. Sa recherche porte sur les facteurs qui favorisent les échanges productifs relatifs aux conseils, tels que les caractéristiques des conseillers, des preneurs de décision, et de la façon dont les conseils sont formulés. Le professeur Bonaccio examine également les conséquences de prendre, ou ne pas prendre, conseil. Elle s intéresse aussi aux différences individuelles ayant trait à l embauche de personnel. Plus particulièrement, elle vérifie l influence des différences individuelles non cognitives sur le processus d évaluation ainsi que sur les résultats. Elle est actuellement la coordonnatrice des programmes à la Société canadienne de psychologie industrielle et organisationnelle. Auparavant, elle a été présidente de la division de comportement industriel et évaluatrice pour la division CO de l'association des sciences administratives du Canada. Ses cours présentent aussi bien les concepts de base nécessaires à la compréhension des relations humaines, que les aspects opérationnels et stratégiques de la gestion des ressources humaines. Ils s appuient sur l examen des défis auxquels font face les organisations actuelles en ce touche à la gestion de leur personnel dans un contexte international. I NFORMATION COMPTABLE ET DÉCISION FÉVRIER 2014 Sylvain Durocher sera le cinquième intervenant du programme de MBA Telfer à Metz. Détenteur d'un doctorat portant sur la participation des utilisateurs des états financiers à l'activité de normalisation comptable canadienne, il est membre de l'ordre des comptables professionnels agréés du Québec et de l'institut des comptables agréés de l'ontario. Il a travaillé à titre de vérificateur dans un cabinet d'experts-comptables avant d'entreprendre sa carrière universitaire en 1988. Il s'est joint à l'école de gestion Telfer en 2006 et s est vu décerné l année suivante le prix du professeur de l'année par les étudiants francophones du MBA. Les travaux du professeur Durocher portent sur la normalisation comptable qu'il étudie en s'inspirant de la théorie des organisations et du comportement organisationnel. Il s'intéresse notamment à la participation des parties prenantes à l'activité de normalisation comptable, et à la gestion de la légitimité par les organismes de normalisation. Le rôle de son cours est de traiter de la comptabilité comme source d'information aux décideurs de l'entreprise. Le cours adopte une vision élargie de la comptabilité qui couvre une grande variété d'informations de nature financière et économique, nationale et internationale. Cette orientation permettra aux étudiants de comprendre le rôle que peut jouer l information comptable auprès des décideurs internes et externes. L É COLE DE GESTION T ELFER REPRÉSENTÉE LORS D UNE COMPÉTITION INTERNATIONALE Ayant su se démarquer lors de l étape de sélection, deux étudiants ont représenté l École Telfer à la plus importante compétition de Business Plans au Canada : la «Queen s Entrepreneurs Competition» (QEC) pour y présenter leur start-up : Cigbins. Maintenant à sa 26 ème édition, cette compétition annuelle rassemble les jeunes entrepreneurs les plus brillants du monde entier pour rivaliser devant des leaders internationaux du monde des affaires. La QEC est bien connue internationalement et le New York Times la décrit comme l une des compétitions de Business Plans les plus anciennes et les plus célèbres du monde.
Source : http://business.lesechos.fr/directions-ressources-humaines/dossiers/mba-carriere/le-mba-un-accelerateur-decarriere-59689.php L E MBA, UN ACCÉLÉRATEUR DE CARRIÈRE Quand un cadre entreprend à mi-carrière un MBA, il témoigne de sa volonté d acquérir des compétences transversales, de quoi favoriser son évolution professionnelle ou créer son entreprise. Un sésame, le MBA? Une ressource additionnelle en tout cas, qui débouche pour la moitié des diplômés sur une promotion dans les douze mois suivant leur sortie. Rare et élitiste il y a encore vingt ans, le MBA a longtemps été gage de promotion et de bond salarial. Qu en est-il aujourd hui? Le titre est quasiment devenu un standard international en management, au point de compter 74% de diplômés en plus en 10 ans. P ASSER DE SPÉCIALISTE À GÉNÉRALISTE «Deuxième souffle» ou «bol d air académique» pour tous, la formation reste un accélérateur de carrière pour certains, pour d autres elle favorise une évolution transversale ou donne des «idées» à ceux qui veulent créer leur entreprise. Si le parcours, les réalisations et les expériences restent les témoins majeurs pour un poste, il ne fait pas de doute qu un MBA contribue à passer d un état de spécialiste à celui de généraliste. Le MBA doit aider à «franchir le plafond de verre», passer du fonctionnel à l opérationnel et avoir accès au niveau de langue du Comex. Après un parcours de quinze ans en France, Javier, ingénieur mexicain de 42 ans, souhaite donner de la cohérence à un parcours diversifié. Clarisse, 43 ans, DRH dans l'agroalimentaire, veut «monter en compétences» pour être «une meilleure membre du Codir». Quant à Hugues, directeur des achats d'une grosse PME, il compte grâce à son MBA figurer sur un plan de succession et prendre la relève du PDG. Il a d'ores déjà l'appui de l'actionnaire. «J'ai vu des gens transformés par leur MBA», témoigne Denis Marcadet, fondateur du cabinet Vendôme Associés, qui parle d'«un déclencheur d'identité». B IEN CHOISIR SON MBA «Vous allez devoir beaucoup travailler. Plus encore que vous ne l'imaginez.» Les candidats à un MBA au format Executive sont avertis. A 39 ans en moyenne et quinze ans d'expérience professionnelle, ils ont choisi de venir les soirs ou week-end, une ou deux fois par mois pendant plus d'un an ; et prévoient de partir en séminaire de spécialisation à l'étranger. Les formules et les formats proposés aux cadres en activité pour suivre un programme MBA sont nombreux : au candidat de trouver ce qui lui convient le mieux. Le terme MBA n'est pas protégé et «chaque école peut y mettre ce qu'elle veut», rappelle la responsable de la formation continue de l'université Paris-Dauphine, où certains des programmes MBA ont été doublés par un master. Seuls les classements mondiaux éclairent sur la reconnaissance internationale de la formation et de l'école. F ORMER LES MANAGERS AU DÉVELOPPEMENT DU BUSINESS Que fait-on dans un MBA? Des case studies! Ces études de cas en groupe sont un élément clé de la pédagogie du programme. «Nous fonctionnions comme un Comex», racontent avec fierté les anciens. Outre ces travaux, les tranches de vie collectives sont basées sur un mix métiers et nationalités, même si les promotions part-time sont moins multiculturelles que celles des MBA classiques. Ces dernières années, les établissements ont beaucoup misé sur le «savoir-être» et le leadership des managers. «Il y a dix ans, les entreprises voulaient de la création de valeur à tout prix», explique Bernard Garrette, qui dirige le programme MBA à HEC. «Aujourd'hui, elles veulent des managers qui soient capables de leur amener de la croissance et de développer certains marchés.» De quoi continuer à livrer des cours fondamentaux d'exception dispensés par des professeurs de haut niveau et issus du monde des affaires.
L A FORMATION DES MANAGERS DES FONCTIONS «SUPPORT» : UN ENJEU STRATÉGIQUE POUR LES ENTREPRISES Source : http://www.journaldunet.com/management/expert/56409/la-formation-des-managers-des-fonctions--support----unenjeu-strategique-pour-les-entreprises.shtml Les managers des fonctions supports ne sont pas les mieux lotis dans l'accès à la formation. Une situation sur laquelle il devient urgent d'agir pour accroître la performance des organisations et des équipes au travail. Les entreprises connaissent un développement important des missions transversales, mais parallèlement elles investissent peu dans la formation des managers de la fonction «support». L'explication trouve sa source dans le fait que les entreprises «équipent» prioritairement les gros bataillons (production, commercial), ce qui fait que les managers des fonctions «support» (informatique, ressources humaines, marketing, contrôle de gestion,...) sont rarement impliqués dans des formations. Les managers d'une fonction support évoquent plus fréquemment leur appartenance à un métier qu'à une direction de l'entreprise. Ils exercent une fonction sans se reconnaître de statut particulier, sinon celui d'être cadre avant d être membre de l encadrement. Cette fonction a un faible niveau de reconnaissance si elle n'est pas rattachée à la direction, et son influence est quasi inexistante sur les orientations stratégiques. Chaque direction construit dans le domaine du pilotage sa manière de fonctionner à travers les besoins de son métier. Les supports que sont les fiches de fonction ou le référentiel des compétences sont rarement pris en compte dans le management quotidien. Cette situation pose problème lorsqu'il s'agit d'envisager ultérieurement une reconversion professionnelle. Le développement des compétences des managers de la fonction «support» s'impose comme un enjeu RH car il n'y aura pas de transversalité efficace sans que ces acteurs y soient pour quelque chose. La formation est une clé de voûte qui doit permettre de professionnaliser ces managers transversaux, mais il est tout aussi vital de les intégrer dans la communauté des managers. 7 RÉSOLUTIONS POUR MIEUX GÉRER SA VIE PROFESSIONNELLE Mieux s organiser, s affirmer, demander des formations Autant de chantiers à mettre en œuvre en début d année pour améliorer son quotidien. Seule précaution : se fixer des objectifs réalisables pour mieux les tenir, mettre en place de petits changements qui en amèneront de plus amples l année suivante. L idée étant que ces petites choses qui améliorent le quotidien s inscrivent dans la durée. Voici quelques exemples très concrets : Ranger son bureau, au réel comme au virtuel, pour gagner en efficacité et en sérénité S organiser : planifier ses tâches pour visualiser et hiérarchiser ses priorités S affirmer en proposant une solution constructive Se valoriser : cibler ses compétences en s individualisant et en donnant du relief à sa personnalité Demander des formations pour faciliter son travail au quotidien ou évoluer Faire un point avec son supérieur : fixer une feuille de route, échanger dans un esprit constructif Soigner ses relations extérieures en étant actif sur les réseaux et dans une démarche proactive
C OMMENT S INSPIRER D UN DIRIGEANT- BÂTISSEUR Visionner son témoignage sur http://www.dailymotion.com/video/x18nb3v_dinin-comment-etre-avec-les-autres-quand-onest-patron_news Alain Dinin, le dirigeant de Nexity, ne se voit pas comme un grand patron, mais plutôt comme le capitaine d'une grosse PME qu'il a contribué à faire naître et grandir. Sachant que notre vision dépend de là où l'on se trouve, son positionnement au même niveau que ses équipes directes ou sur le terrain lui permet de déceler des opportunités difficiles à voir «d'en haut». Bâtisseur, il se différencie par sa capacité à «créer des ponts» : entre le passé et le futur, les sphères dirigeantes et le terrain, le rationnel et l'intuitif, l'entrepreneur et le «système», ses responsabilités et les prises de risque. Son mode de fonctionnement lui permet d'aller au contact des gens et de leurs idées, de repartir de zéro, de parier sur ses intuitions et de saisir des opportunités pour construire un succès collectif. Il sait s'inspirer de ses intuitions tout en remettant du rationnel au cœur de sa réflexion, et les associer à une pensée cartésienne quand celle-ci atteint ses limites. Avec un but: trancher «dans le gris», c'est-à-dire faire des choix quand la situation est complexe et peu contrastée. Autre point très important pour le dirigeant: bâtir un espace collectif mêlant respect, compréhension, complémentarité et inspiration. Il s'interroge ainsi régulièrement sur l'art et la manière de construire la meilleure équipe et la faire vivre, trouvant des éléments de réponse dans un langage commun adopté, des frontières posées, et plus largement une relation équilibrée avec son environnement. L EADERSHIP ET PERFORMANCE : QUELQUES LOIS À CONNAÎTRE POUR CERNER LES OBSTACLES À VOTRE PRODUCTIVITÉ, AMÉLIORER VOTRE ORGANISATION ET GAGNER EN EFFICACITÉ ( SAISON 2) Source : http://lentreprise.lexpress.fr/etre- efficace/cinq- lois- a- connaitre- pour- etre- efficace- au- travail- saison- 2_38122.html Pourquoi le quart d'heure de pause semble-t-il plus court que le quart d'heure de réunion? Parce que le temps est subjectif. Du coup l'individu se précipite sur ce qu'il aime faire au détriment du reste. La vie, au travail comme à la maison, échappe à la logique mathématique. Mais il existe des lois empiriques, éprouvée par des scientifiques ou des praticiens, qui devraient aider le manager à mieux gérer son temps, son énergie et son équipe. Après les 7 lois de la saison 1 (newsletter N 3), en voici 5 autres, décapantes mais utiles pour bien s'organiser selon Jean-Louis Muller, directeur chez Cegos. 1) Loi de Fraisse : «Plus l activité est captivante, plus elle paraît brève» 2) Loi de Metcalfe : «L utilité d un réseau est proportionnelle au carré de ceux qui l utilisent» ou «1+1=3» 3) Loi de l Ecclésiaste : «Il y a un moment pour tout et un temps pour chaque chose» 4) Loi de Kotter : «Les meilleurs changements commencent par des résultats immédiats» 5) Loi anti-taylor : «La chronologie des événements est trompeuse»
«AVEC LE MBA, MON HORIZON S EST ÉLARGI» - M ÉDINA D ELACOUR Source : http://business.lesechos.fr/directions-ressources-humaines/dossiers/mba-carriere/avec-le-mba-mon-horizon-s-estelargi-59690.php Mener sa carrière à cheval entre La Défense, Bradford (Angleterre) et Amersfoort (Pays- Bas), tout suivant un programme d Executive MBA? Médina Delacour assure que c'est possible. «Nous avons tous une grosse capacité de travail. On apprend à s'organiser autrement et à définir ses priorités», explique cette mère d'une fillette de 8 ans. Elle est responsable régional revenue (chiffre d'affaires) au sein du groupe Louvre Hotels depuis quatre ans, quand l'idée folle commence à lui trotter dans la tête. «J'étais amenée à discuter avec des membres du Comex et je sentais mes limites», confie-t-elle. Elle souhaite, à l'approche de la quarantaine, reprendre des études pour «garantir son employabilité». Au fil de son cursus, Médina Delacour prend conscience qu'elle se pose des questions qui «s'éloignent de son ancien cœur de compétences», qu'elle acquiert «une vision globale» et apprend surtout à «oser». Elle change, peut-être. Elle est identifiée différemment dans son entreprise, l'attention de ses interlocuteurs s'accroît et un projet transversal d'envergure lui est confié. Elle met en place une tarification évolutive de l'offre sur le réseau d'hôtels économiques ; le schéma est aujourd'hui encore en place. Depuis, elle a été nommée directrice du pricing stratégique. «Accélérez votre carrière!» : Séances d information Rentrée 2014 Dans le cadre du recrutement pour la rentrée d octobre 2014, les prochaines séances d information du MBA Telfer à Metz auront lieu les mardis 18 février et 18 mars, à 18h, à l ENIM. A cette occasion, les étudiants ayant fait leur rentrée cet automne viendront partager leurs premiers moments de ce programme d excellence. Venez découvrir les compétences à acquérir pour faire avancer une carrière! Renseignements et inscriptions : www.enim.fr/mba et info.mba@enim.fr Notre présence aux prochains Salons 2014 7 mars : StudyramaPro Paris 21 mars : Moovijob Tour DeLux Luxembourg 22 mars : QS World MBA Tour Paris Vous souhaitez nous faire part de vos questions ou de vos commentaires? Écrivez-nous à info.mba@enim.fr Ce bulletin vous a été adressé parce que vous faites partie du réseau de contacts du MBA Telfer à Metz. Si vous ne souhaitez plus recevoir ce genre de courriel, vous pouvez vous désabonner en écrivant à info.mba@enim.fr www.enim.fr/mba En partenariat avec Avec le soutien de