Stéphane Beaulieu. L avenir de la formation universitaire en psychologie. Marie Girard-Hurtubise

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1 CHRONIQUE ENTREVUE Stéphane Beaulieu L avenir de la formation universitaire en psychologie Marie Girard-Hurtubise À l instar d autres universités québécoises, le département de psychologie de l Université de Sherbrooke n offre plus de programme de maîtrise proposant maintenant aux étudiant-es un programme de doctorat professionnel (D.Ps.). La revue Interactions a fait appel à l Ordre des psychologues du Québec afin de réfléchir sur les changements en cours dans la formation universitaire menant à la profession de psychologue. La revue Interactions s est entretenue avec M. Stéphane Beaulieu, Secrétaire général de l Ordre des psychologues du Québec. Après avoir œuvré comme psychologue dans le milieu communautaire, auprès d entreprises privées ainsi qu en pratique privée, M. Beaulieu occupe maintenant les fonctions de Secrétaire général de l Ordre. Son travail l amène à se pencher sur la question de l admission des membres et de leur formation préalable. Nous avons consacré cette entrevue à la formation universitaire en psychologie, particulièrement au passage de la maîtrise au doctorat comme diplôme menant à la profession de psychologue ainsi qu à la mise sur pied de programme de doctorat professionnel. M. G..-H. Une personne désirant devenir psychologue doit détenir un diplôme de maîtrise. L Ordre des psychologues du Québec a demandé à l Office des professions de hausser la formation universitaire au niveau du 3 ème cycle. Qu est-ce qui amène ce passage de la maîtrise au doctorat? S. L. Autant l Ordre des psychologues que les universités en sont arrivés, il y a quelques années, à la conclusion qu il fallait hausser les critères de formation pour devenir psychologue. En fait, la norme

2 118 Chronique entrevue d admission actuelle à l Ordre est toujours la maîtrise. Cela n a pas encore changé. En septembre 2000, le Bureau de l Ordre a voté en faveur du passage de la maîtrise au doctorat. Les membres de l Ordre avaient été consultés par sondage à ce sujet et s étaient positionnés en faveur du passage au doctorat. L Ordre a alors fait une recommandation à l Office des professions afin que le doctorat soit exigé. L Office des professions est actuellement en consultation auprès des autres Ordres professionnels afin d obtenir leur avis concernant cette proposition. M. G..-H. Est-ce que les psychologues ayant une maîtrise sont suffisamment formés pour accomplir leurs tâches? S. L. Ce n est pas parce que nous pensons qu il faut hausser les critères d admission pour les nouveaux psychologues, que les psychologues actuellement en exercice sont incompétents. Il est très important de mentionner qu il s agit d une hausse des critères de formation initiale. On parle donc de l étudiant qui sort de l université et qui s apprête à intégrer le marché du travail. On ne parle pas des psychologues qui sont déjà en exercice, qui ont acquis de l expérience et qui se sont très souvent dotés de formation continue, post-universitaire. Les détenteurs de maîtrise sont compétents et des clients les consultent tous les jours et s en disent très satisfaits. La psychologie est une science qui a évolué et qui s est complexifiée; la formation de base devait s adapter. M. G..-H. Qu est-ce qui a amené l Ordre à recommander la hausse des critères d admission? S. L. Il y a trois facteurs qui nous ont amenés à faire une telle recommandation. Premièrement, il y a les jeunes diplômés qui disaient ne pas se sentir suffisamment formés. Certains étudiants qui sortaient avec des maîtrises avaient vu un ou deux clients dans leur formation pratique. Dans ce contexte, plusieurs étudiants affirmaient manquer de formation. Dans les années 90, trois études ont été menées dans lesquelles on questionnait les étudiants finissants de différentes facultés universitaires. Les finissants en psychologie étaient parmi ceux qui affirmaient se sentir les moins bien préparés pour exercer leur profession.

3 Stéphane Lebeau 119 Deuxièmement, la majorité des psychologues se dotent d une formation post-universitaire, en privée, auprès de différents groupes ou organisations. Plusieurs ont même complété une scolarité de doctorat afin de se doter d une formation supplémentaire. L Ordre ne s inscrit pas contre une telle formation post-universitaire et la recommande même. Il s agit d une tradition chez les psychologues que cette notion de mentorat et de supervision. Par contre, ce type de formation, bien que la majorité d entre elles aient été d une grande qualité, n était accréditée par aucune institution universitaire. Le troisième facteur concerne l évolution des savoirs et des connaissances. On assiste à une évolution au niveau des pratiques, au niveau des besoins de la clientèle. Le rôle du psychologue s est, dès lors, diversifié. Pour former un psychologue autonome dans sa pratique aujourd hui, ce qui s offrait il y a 20 ans n est donc plus suffisant. La diversification des pratiques, la complexification des problématiques à traiter et les différents rôles que les psychologues sont appelés à remplir dans les organismes publics et privés nécessitent davantage de formation. Alors, pourquoi le passage de la maîtrise au doctorat? Si on veut ajouter des crédits de cours et de formation pratique, il faut passer au niveau du doctorat, le niveau maîtrise étant saturé. À ce niveau, il y a une question de financement des universités par le Ministère de l éducation. M. G..-H. Quel impact aura ce changement sur la pratique de la psychologie? S. L. Le jeune psychologue va arriver mieux préparé à la pratique autonome de la psychologie sur le marché du travail. Le psychologue aura été initié à différents types de clientèle et à des problématiques complexes. M. G..-H. Quelle est la réaction des employeurs potentiels face au passage de la maîtrise au doctorat? S. L. Vous savez, la volonté des universités et de l Ordre n est pas toujours au diapason de la volonté des employeurs. Pour le Ministère de la Santé et des services sociaux, par exemple, la question de la hausse des critères pose un problème. Leur préoccupation est à

4 120 Chronique entrevue l effet qu il y aura une pénurie de psychologues à court terme. À ce sujet, l Ordre est conscient de la position du Ministère et effectue actuellement ses propres recherches. Pour l instant, nous ne prévoyons pas de pénurie. Les premiers résultats de notre analyse en cours nous donnent deux éléments de réponse. Nous assistons présentement, en effet, à une baisse transitoire des nouveaux diplômés. Sur les bases actuarielles estimées pour les 10 à 20 prochaines années, et ce, incluant les départs à la retraite, nous ne prévoyons pas de pénurie de psychologues. M. G..-H. Que répondez-vous aux étudiant-es qui s exaspèrent ou se découragent du fait de devoir consacrer deux ou trois années d étude de plus que leurs prédécesseurs afin d obtenir un diplôme menant à la profession de psychologue? S. L. Je les comprends. Ils vont avoir une formation supérieure et de qualité, mais je comprends que ça puisse les désoler, les décourager, les fâcher. Vous savez, depuis les années 60-70, nous sommes passés de la licence, a une maîtrise d un an puis, à une maîtrise de deux ans. C était les normes d accès à la profession et à chaque fois notre règlement changeait. Maintenant, c est le doctorat. M. G..-H. Mais cette fois-ci, on assiste à un changement qui hausse de façon significative le nombre d années de formation et donc, par le fait même, l ampleur des coûts que les étudiant-es ont à assumer. S. L. Tout à fait et je crois qu il est légitime de se questionner sur l impact que des études de longue durée peuvent avoir sur les jeunes souhaitant accéder à la profession. Les programmes de doctorat professionnel, de type D.Ps., peuvent représenter une alternative intéressante. Ces programmes sont plus courts que les Ph.D. recherche-intervention. À mon avis, si on offre un profil recherche-intervention, on forme un très bon clinicien, mais on a consacré beaucoup d heures et d énergie au volet recherche. Les doctorats professionnels risquent de devenir des programmes populaires puisque la majorité des étudiants qui s inscrivent en psychologie le font pour pratiquer la profession. M. G..-H. Depuis quelques années, certaines universités québécoises ont justement mis sur pied des programmes de doctorat professionnel

5 Stéphane Lebeau 121 (D.Ps.). Qu est-ce qui explique l arrivée d une formation professionnelle de troisième cycle dans le champ de la psychologie là où s offrait uniquement des programmes de doctorat plus classique, de type Ph.D. (option recherche ou recherche-intervention)? S. L. C est une décision conjointe entre l Ordre et les universités. Il y a eu une collaboration entre les deux instances. L Ordre obtient la garantie d une formation accrue. Dans ses critères d agrément universitaire, l Ordre requiert une formation pratique. Nous sommes un Ordre professionnel donc nous privilégions un doctorat professionnel, sans dénigrer aucunement la recherche fondamentale. Le Bureau de l Ordre a voté clairement pour un doctorat professionnel de troisième cycle. M. G..-H. Quelles différences pourrons-nous observer dans la pratique d un psychologue ayant complété un doctorat professionnel (D.Ps.) par rapport à un autre ayant complété un doctorat de type Ph.D.? S. L. Mentionnons d abord que les étudiants qui ont suivi un profil recherche ne deviennent pas membres de l Ordre parce qu ils ne rencontrent pas les critères de la formation pratique. Ils peuvent devenir professeurs ou chercheurs. Le profil recherche-intervention est un profil hybride. C est un profil qui a permis aux universités de maintenir leur volet recherche en satisfaisant les exigences des étudiant-es qui, eux, voulaient faire de la pratique. Ce profil produit des cliniciens. Ces gens-là sont des futurs praticiens qui, avec la recherche, ont un beau bagage. La recherche amène une façon de voir les choses et cela peut les aider au niveau de leur travail en clinique, de l interprétation des données, etc. Quant au doctorat professionnel, je crois qu il permettra de former des cliniciens compétents. Il y a également un volet de recherche à l intérieur de cette formation. Ces cliniciens sauront comment interpréter des données de recherche. Dans tous les domaines aujourd hui, cette compétence est incontournable. M. G..-H. Quels conseils donnez-vous à une personne faisant face à ces trois options de formation, soit le doctorat professionnel, le doctorat de type Ph.D. option recherche ou option recherche-intervention?

6 122 Chronique entrevue S. L. Si on veut devenir praticien, il faut faire un Ph.D. recherche-intervention ou un D.Ps. Ce sont nos critères d admission à l Ordre des psychologues. On est là pour accréditer des professionnels, c est donc la logique des choses. Pour ce qui est du choix entre un Ph.D. recherche-intervention ou un D.Ps., il faut bien comprendre que pour l instant l Ordre ne fait pas de différence. Il peut s agir d un Ph.D. recherche-intervention ou un D.Ps. Les étudiants sont devant une gamme de programmes universitaires et ils doivent magasiner. Avec le temps, la demande des étudiants va peut-être inciter les universités à développer des programmes de doctorat professionnel de type D.Ps. M. G..-H. Que nous réserve l avenir en regard de la formation en psychologie? S. L. En terme de formation initiale pour devenir psychologue, les changements en cours au niveau universitaire devraient répondre aux besoins de la psychologie d aujourd hui et de demain. Les psychologues sont appelés à œuvrer à différents niveaux dans les organisations que ce soit au niveau de l évaluation des clientèles, de l élaboration de programmes d intervention, du travail interdisciplinaire ou de la gestion d équipes de travail, la formation initiale de base doit contribuer à former un professionnel apte à relever les défis qui s offrent à lui.

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