RAPPORT ANTHROPOMETRIQUE
|
|
- Mathieu Beaudin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 REPUBLIQUE DU CONGO Unité* Travail* Progrès RAPPORT ANTHROPOMETRIQUE (Projet) Rédigé par GNIMI Christophe, Nutritionniste Et KIBANGOU Hugues Saturnin, Statisticien
2 Table des matières RESUME ANALYTIQUE... 2 INTRODUCTION... 3 APERÇU METHODOLOGIQUE ECHANTILLONNAGE VARIABLES MESUREES VARIABLES ANTHROPOMETRIQUES VARIABLES DE SANTE ET NUTRITION INDICATEURS DE MESURES DE L ETAT NUTRITIONNEL DES ENFANTS TRAITEMENT DES DONNEES... 7 DIFFICULTES RENCONTREES ET LIMITES DE L ENQUETE... 7 RESULTATS DE L ETUDE... 8 I. ETAT NUTRITIONNEL DES ENFANTS... 8 I.1. DONNEES GLOBALES... 8 I.2. DONNEES PAR DEPARTEMENT I.2.1. DESCRIPTIF DE L ECHANTILLON I.2.2. ETAT NUTRITIONNEL DES ENFANTS DE 6 59 MOIS I PREVALENCE DE LA MALNUTRITION AIGUE PREVALENCE DE LA MALNUTRITION AIGUE A L AIDE DU PERIMETRE BRACHIAL I MALNUTRITION CHRONIQUE OU RETARD DE CROISSANCE I INSUFFISANCE PONDERALE II. ETAT SANITAIRE DES ENFANTS II.1. MORBIDITE DES ENFANTS II.2 DISPONIBILITE DE LA NOURRITURE DANS LE MENAGE II.3. NUTRITION DES ENFANTS II.4. SUPPLEMENTATION EN VITAMINE A DISCUSSION CONCLUSION ANNEXES
3 RESUME ANALYTIQUE Les mesures anthropométriques ont été effectuées sur les enfants de moins de 5 ans des trois départements suivant: le département des Plateaux, le département de Brazzaville et le département de la Lékoumou. Sur un total de 714 enfants mesurés, seule 683 enfants soit 95,66% des enfants ont les données anthropométriques valides sur trois variables clés pour l analyse de l état nutritionnel des enfants à savoir l âge (en mois), le poids (en kg) et la taille (en cm). Cela se justifie par le fait que certaines mesures sur l âge, le poids ou la taille des enfants étaient quasiment erronés. Ainsi, le logiciel lui-même a pu exclure les mesures incohérentes pour chacune des variables. En outre, la prévalence de la Malnutrition Chronique Globale (MCG) est de 20,03% pour l ensemble des trois départements contre 24% en 2011(EDS-C 2011). Elle est de 31,5% dans la Lékoumou, 23,8% dans les plateaux et 11,9% à Brazzaville. Globalement, on constate que les indicateurs ont légèrement baissés par rapport à l Enquête Démographique et de Santé de la République du Congo (EDSC-2011). En effet, la prévalence de la malnutrition Chronique Globale était de 38,6% dans la Lékoumou, 18,9% à Brazzaville et 36,1% dans les plateaux. L insuffisance pondérale quant à elle présente dans l ensemble un taux de 10,8%, soit 7% en forme modérée et 3,8% en forme sévère. Par ailleurs la malnutrition chronique est de 20,3%, soit 11,1% en forme modérée et 9,2% en forme sévère. Enfin, la malnutrition aigue est de 8,4%, soit 3,9% en forme modérée et 4,5% en forme sévère. Ainsi, on constate d une part que quelleque soit la forme de la malnutrition, les enfants de sexe féminin sont les plus touchés à la malnutrition sévère, et d autres part, les enfants de sexe masculin sont les plus touchés à la malnutrition modérée. La prévalence de la Malnutrition Chronique Modéré augmentent à mesure que l âge augmente alors que la malnutrition aigue modérée fait le sens contraire. En effet, à la naissance, la malnutrition chronique est inexistante jusqu à 5 mois. Elle s accroit à mésure que l âge augmente passant de 2,1% entre (6-11) mois à 18,2% entre (36 et 47) mois. Cependant, la malnutrition aigue modérée signe d un amaigrissement donne un z-score de 12,5% à la naissance et décroit à mesure que l âge augmente. L insuffisance pondérale quant à elle évolue en dent de scie depuis la naissance jusqu à 59 mois. Par ailleurs, 92% des enfants de 0 à 5 mois ont été allaité au lait maternel pendant la journé qui précède l enquête, afin de garantir la bonne santé. Cependant, 39% des enfants quelque soit l âge et le sexe ont été malades pendant les deux dernières semaines précedant l enquête. Parmi eux, seul 49% des enfants ont été conduit à l hôpital pour recevoir les soins de santé adéquat. Les résultats montrent que 50,7% des parents n ont pas pu conduire les enfants à l hôpital. Parmi eux, 45,5% ont déclarés que la maladie de l enfant n était pas grave, 100,0% n ont pas pu conduire les enfants à l hôpital par manque des moyens financiers et 97,4% ont eu recours à d autres solutions, généralement l automédication ou le recours aux médicaments traditionnels. Enfin, 32% des enfants quel que soit l âge et le sexe n ont pas reçu une supplémentation en vitamine A au cours des six derniers mois précédent l enquête, ce qui n est pas sans conséquence sur la capacité de ces derniers à lutter contre les maladies et augmenter le risque de mortalité. 2
4 INTRODUCTION L anthropométrie est la mesure du corps humain. Les mesures anthropométriques sont utilisées pour évaluer l état nutritionnel des individus et des groupes de population, mais aussi comme critères d éligibilité pour les programmes d aide alimentaire. Les mesures anthropométriques communes sont la taille, le poids et le périmètre brachial (PB). Certaines mesures sont présentées sous forme d indices, notamment la taille pour âge (TPA), le poids pour âge(ppa), le poids pour taille (PPT), le PB pour âge et l indice de masse corporelle(imc) pour âge. Chaque indice est enregistré comme un z-score (mesuré en «écart-type ET) qui décrit dans quelle mesure et dans quelle direction la mesure anthropométrique d un individu dévie de la moyenne pour son sexe selon les normes de l OMS de 2006 en matière de croissance des enfants. Les mesures PB sont comparées aux limites recommandées qui s appliquent à tous les enfants âgés de 6 à 59 mois. Un enfant peut souffrir de malnutrition aiguë parce qu il n a pas eu une alimentation adéquate en quantité et en qualité depuis quelques semaines, parce qu il a été très malade et ne s est pas suffisamment alimenté faute d appétit, ou parce qu il n a pas bien assimilé sa nourriture à cause d une diarrhée chronique. C est pourquoi, dans le cadre de l évaluation de la sécurité alimentaire dans ce présent rapport, nous essayerons de déterminer si la malnutrition résulte d une maladie, du manque de nourriture dans le ménage ou d une carence en vitamine A. Aussi, une analyse comparative sera-telle effectuée avec les statistiques de l Enquête Démographique et de Santé (EDS-C) réalisée en
5 APERÇU METHODOLOGIQUE 1. ECHANTILLONNAGE L évaluation de l état nutritionnel des enfants de moins de 0 à 59 mois a été effectuée par une enquête par sondage de deux degrés. Au premier degré, un échantillon de 30 Zones de Dénombrements (ZD) a été tiré sans remise dans chacun des trois départements sélectionnés à savoir, la Lékoumou, les Plateaux et Brazzaville. Au deuxième degré, un nombre variable de ménages a été tiré à l intérieur de la ZD selon le département, soit neuf (9) ménages pour les Plateaux et la Lékoumou et quatre (4) ménages à Brazzaville. De ce fait, tous les enfants de 0 à 59 mois membres de ménage ont été enquêtés. Les données ainsi obtenues ont été collectées sur un questionnaire particulier à la section 11 Nutrition subdivisée en deux sous-sections à savoir, la sous-section mesure anthropométrique et la sous-section santé et nutrition. 2. VARIABLES MESUREES 2.1 VARIABLES ANTHROPOMETRIQUES Afin d évaluer l état nutritionnel des enfants de moins de 0 à 59 mois, les mesures ont été effectuées selon les variables suivantes : Age en mois : L âge de l enfant était déterminé à partir de la date de naissance relevée dans une pièce d état civil, carnet de vaccination, carnet de santé ou donnée par les parents. En l absence de ces documents, l âge a été estimé avec l aide de la mère à partir des autres enfants nés au cours de la même période, présents dans le ménage ou dans l environnement immédiat de l enfant. Le sexe : le sexe de l enfant était demandé et enregistré dans le questionnaire ; Poids : Le poids des enfants a été mesuré selon les procédures standardisées avec une balance. La balance a été posée sur une surface dure et plane et les enfants ont été mesurés nus. Les enfants de moins de 24 mois ou ceux qui ne pouvaient pas se tenir debout tout seul ont été pesés grâce à la fonction «double pesée» de la balance. Taille : La mesure de la taille a été effectuée selon les procédures standardisées à l aide de toises. Les enfants de moins de 24 mois ont été mesurés en position couchée (longueur) et ceux de 2 mois et plus ont été mesurés en position debout (taille). Périmètre Brachial (PB) : Le Périmètre Brachial a été mesuré sur le bras gauche à l aide d un ruban PB, à mi-hauteur entre l épaule et le coude. Le bras devait pendre et être décontracté au moment de la lecture de la mesure. Le PB a été mesuré en millimètres et au millimètre près. La mesure a été effectuée chez tous les enfants de 0 à 59 mois. 2.2 VARIABLES DE SANTE ET NUTRITION Œdèmes : Les œdèmes bilatéraux ont été recherchés systématiquement. La recherche consiste à appliquer avec les deux pouces une pression de 3 secondes sur le dessus des deux pieds de l enfant. Si l empreinte du doigt formait un godet sur le dessus des deux pieds, les œdèmes étaient considérés comme présents. Si l enfant présentait un œdème sur un seul pied, il n était pas enregistré comme ayant des œdèmes bilatéraux et donc nutritionnels. Ainsi, Pour être considérés comme signes de malnutrition, ils doivent être bilatéraux et symétriques. Couverture de supplémentation en vitamine A : On demandait de même à la mère si l enfant a reçu une supplémentation en vitaminea les six(6) derniers mois. La vitamine A et le fer jouent un rôle 4
6 essentiel dans le fonctionnement du système immunitaire et leur carence entraine, chez les enfants, un affaiblissement de leurs capacités de résistance pour lutter contre les maladies et augmente leur risque de mortalité. La supplémentation en vitamine A est réalisée à travers les campagnes de traitement préventif de masse. D après le protocole national, la supplémentation en vitamine est administrée aux enfants à partir de 6 mois et devrait être intégrée dans les activités préventives de routine des structures de soins de santé. Des questions complémentaires sur l allaitement maternel et alimentation de complément ont été posés. En effet, le manque d accès à la nourriture n est pas la seule cause de la malnutrition. Les habitudes alimentaires constituent également l un des facteurs déterminants de l état nutritionnel des enfants. Par ailleurs, l allaitement exclusif est un facteur déterminant de l état nutritionnel de l enfant, car le lait maternel alimente l enfant en anticorps d origine immunitaire de la mère et tous les éléments nutritifs nécessaires pendant les six premiers mois de sa vie. Par conséquent, il évite les carences nutritionnelles et limite l apparition de la diarrhée et d autres maladies. 3. INDICATEURS DE MESURES DE L ETAT NUTRITIONNEL DES ENFANTS L état nutritionnel de l enfant peut être évalué au moyen d indices anthropométriques calculés à partir de l âge et des mesures de la taille et du poids. Les indices nutritionnels sont calculés et interprétés par comparaison à une population de référence selon les normes de l OMS. Ainsi, ces indices anthropométriques permettent de repérer les cas de malnutrition. L ACF INTERNATIONAL définit la malnutrition comme étant une condition physiologique anormale découlant d une alimentation déséquilibrée, en quantité, en qualité, ou les deux à la fois. On distingue trois types de malnutrition : la malnutrition chronique, la malnutrition aiguë, et les carences en micronutriments. Ces trois types se rencontrent souvent chez les mêmes personnes, et ne sont pas mutuellement exclusifs. La malnutrition aiguë, ou émaciation (wasting), reflète la situation nutritionnelle d un enfant à un moment donné, et est due à un apport alimentaire insuffisant ou à des problèmes d absorption. Il en résulte soit un indice poids pour taille inférieur à la moyenne, soit la présence d œdèmes nutritionnels bilatéraux, soit les deux. Il existe deux différents degrés de malnutrition aiguë : la malnutrition aiguë modérée, qui peut dégénérer en malnutrition aiguë sévère. La malnutrition aiguë sévère est liée à un risque de mortalité très élevé si elle n est pas traitée immédiatement. La malnutrition chronique, ou retard de croissance (stunting), entraine un retard de croissance et est due à des carences nutritionnelles chroniques de faibles proportions. Elle peut aussi être le résultat d une exposition répétée aux infections ou de conditions de vie inadéquates, qui entravent la croissance de l enfant. Sa conséquence est un indice taille/âge inférieur à la moyenne. Les carences en micronutriments sont le signe d un apport insuffisant ou de la malabsorption de vitamines et minéraux, et sont diagnostiquées aux moyens de symptômes spécifiques. 5
7 Les indicateurs de l état nutritionnel analysés dans cette étude sont : Le rapport poids/âge ou poids pour âge: couramment utilisé; un poids faible indique un régime alimentaire inadapté (temporaire ou habituel). Cependant, cela peut aussi refléter une maladie récente (diarrhée). Cet indice rend compte d une malnutrition globale (insuffisance pondérale). Le rapport taille/âge ou taille pour âge : l alimentation a un effet moins immédiat sur la taille. Une petite taille par rapport à l âge indique donc que le régime alimentaire habituel n est pas adéquat. Cet indice rend compte d une malnutrition chronique (retard de croissance). Le rapport poids/taille ou poids pour taille : un faible rapport poids/taille évoque une baisse récente de l apport alimentaire. Cet indice rend compte d une malnutrition aiguë (émaciation). Le périmètre brachial (PBr): lors d une enquête de terrain, on peut être confronté à l absence de précision de l âge et de mesure de la taille. La mesure du périmètre brachial est alors utilisée. L amaigrissement dû à un régime alimentaire inadéquat engendre une diminution du tour de bras. La mesure du périmètre brachial s est effectué dans des conditions précises, le bras de l enfant doit pendre souplement, le long du corps, et les muscles ne doivent pas être bandés (les vêtements serrés doivent être retirés). On a mesuré le tour de bras à mi-hauteur entre le coude et l épaule. Encadré n 1 : Normes de l OMS 2006 Source : OMS (2006) 6
8 4. TRAITEMENT DES DONNEES Les données sur la nutrition ont été saisies dans une plate-forme conçue à cet effet en utilisant le logiciel CSPro version 5.0. Afin d assurer la qualité des données de nutrition, une double saisie et vérification exhaustive ont été effectuées conjointement par un expert nutritionniste du ministère de la Santé et de la Population et par un expert statisticien de l Institut National de la Statistique. Les logiciels Nutrisurvey ou ENA (Emergency Nutrition Assessment) et WHO Anthro ont été utilisés pour produire d une part les indicateurs sur les mesures anthropométriques et d autres part le logiciel SPSS pour les indicateurs de santé et nutrition. DIFFICULTES RENCONTREES ET LIMITES DE L ENQUETE L enquête s est déroulée au cours d une période de 12 jours ouvrables allant du 7 au 22 octobre Cette période est relativement courte pour couvrir tous les enfants éligibles des ménages échantillons. En effet, la section démographie présente 936 enfants de moins de cinq(5) ans dans l ensemble des ménages échantillons des trois départements choisis pour l étude, en particulier, Brazzaville, Plateaux et Lékoumou. Cependant, seules 714 enfants, soit 76,28% des enfants de 0 à 59 mois ont pu être enquêtées dans l ensemble. Cela se justifie par le fait qu une seule personne par équipe était responsabilisée à pouvoir mesurer et remplir le questionnaire sur la partie Nutrition, car les autres membres du groupe n avaient pas reçus la formation correspondante aux mesures anthropométriques des enfants. C est ainsi que lorsque le chef d équipe n était pas formé sur les mesures anthropométriques, il ne pouvait pas contrôler la véracité des données y relatives. Tableau 1 : Couverture de l enquête par département Département Démographie Anthropométrie Pourcentage Lékoumou ,79% Plateaux ,25% Brazzaville ,35% Total général ,28% Sur un total de 714 enfants mesurés, on compte 683 enfants soit 95,66% des enfants qui ont les données anthropométriques valides sur trois variables clés pour l analyse de l état nutritionnel des enfants à savoir l âge (en mois), le poids (en kg) et la taille (en cm). Cela se justifie par le fait que certaines mesures sur l âge, le poids ou la taille des enfants étaient quasiment erronés. Cela est dû par les mesures effectuées par les autres membres de l équipe qui n avaient reçu aucune instruction pour le remplissage du questionnaire à la partie nutrition. Tableau 2 : Validité des mesures Anthropométriques par département Départements Anthropométrie Anthropométrie Valide Pourcentage De Validité Lékoumou ,96% Plateaux ,40% Brazzaville ,13% Total général ,66% 7
9 Par ailleurs, le taux de non réponse est relativement important pour la quasi-totalité des variables de la Santé et Nutrition. On constate que (20) individus n ont pas répondus aux questions de cette soussection, à cause du fait que certains enfants ont été enquêtés en l absence de leurs parents. Ce constat a été effectué dans le département de la Lékoumou (6 individus), les Plateaux (10 individus) ainsi qu à Brazzaville (4 individus). Le périmètre brachial est la circonférence du milieu du bras. Cette mesure a été effectuée pour déterminer si un nombre important des enfants de 6 à 59 mois des trois départements choisis souffrent de la malnutrition aiguë. Cependant, lorsque le PB est inférieur aux normes, on ne peut pas connaître pour autant la cause de la malnutrition. Ainsi, il a été a été difficile de déterminer si celle-ci résulte d une maladie, du manque de nourriture dans la famille, d une diarrhée chronique ou de toute autres causes. RESULTATS DE L ETUDE I. ETAT NUTRITIONNEL DES ENFANTS I.1. DONNEES GLOBALES Les mesures anthropométriques ont été effectuées sur les enfants de moins de 5 ans des trois départements suivant: le département des Plateaux, le département de Brazzaville et le département de la Lékoumou. Sur un total de 714 enfants mesurés, seule 683 enfants soit 95,66% des enfants ont les données anthropométriques valides sur trois variables clés pour l analyse de l état nutritionnel des enfants à savoir l âge (en mois), le poids (en kg) et la taille (en cm). Cela se justifie par le fait que certaines mesures sur l âge, le poids ou la taille des enfants étaient quasiment erronés. Ainsi, le logiciel lui-même a pu exclure les mesures incohérentes pour chacune des variables. En outre, la prévalence de la Malnutrition Chronique Globale (MCG) est de 20,03% pour l ensemble des trois départements contre 24% en 2011(EDS-C 2011). Elle est de 31,5% dans la Lékoumou, 23,8% dans les plateaux et 11,9% à Brazzaville. Globalement, on constate que les indicateurs ont légèrement baissés par rapport à l Enquête Démographique et de Santé de la République du Congo (EDSC-2011). En effet, la prévalence de la malnutrition Chronique Globale était de 38,6% dans la Lékoumou, 18,9% à Brazzaville et 36,1% dans les plateaux. Tableau n 1 : Prévalence de la malnutrition par sexe Masculin Féminin Ensemble (n=310) (n=373) (n=683) Insuffisance Pondérale (%) Globale (< -2ET) 11 10,7 10,8 Modérée ((< -2ET) - (< -3ET)) 7,8 6,4 7 Sévère (< -3ET) 3,2 4,3 3,8 Malnutrition Chronique (%) Globale (< -2ET) 21 19,8 20,3 Modérée ((< -2ET) - (< -3ET)) 12,8 9,7 11,1 Sévère (< -3ET) 8,2 10,1 9,2 Malnutrition aigüe (%) Globale (< -2ET) 7,6 9,2 8,4 Modérée ((< -2ET) - (< -3ET)) 4,7 3,3 3,9 Sévère (< -3ET) 2,9 5,9 4,5 8
10 pourcentage des z-score Les résultats du tableau ci-dessus montrent que pour l ensemble de trois départements enquêtés l insuffisance pondérale est de 10,8%, soit 7% en forme modérée et 3,8% en forme sévère. Par ailleurs la malnutrition chronique est de 20,3%, soit 11,1% en forme modérée et 9,2% en forme sévère. Enfin, la malnutrition aigue est de 8,4%, soit 3,9% en forme modérée et 4,5% en forme sévère. Ainsi, on constate d une part que quelleque soit la forme de la malnutrition, les enfants de sexe féminin sont les plus touchés à la malnutrition sévère, et d autres part, les enfants de sexe masculin sont les plus touchés à la malnutrition modérée. La prévalence des cas modérés de la malnutrition (indicateurs dont les z-score sont compris entre < -3ET et < -2ET) sont globalement présenté dans la figure ci-dessous pour l ensemble des trois départements. Etat Nutritionnel des Enfants par groupe d'âge (cas modérés) Insuffisance Pondérale Malnutrition Chronique Malnutrition aigue ,2 12,5 9,1 8,9 8,1 12,4 9,5 9,1 9,5 5,3 4,9 3,5 3,7 3,1 3,8 2,1 3 0 (0-5) (6-11) (12-23) (24-35) (36-47) (48-59) Groupe d'âge en mois Les données révèlent que les cas de Malnutrition Chronique Modéré augmentent à mesure que l âge augmente alors que la malnutrition aigue modérée fait le sens contraire. En effet, à la naissance, la malnutrition chronique est inexistante jusqu à 5 mois. Elle s accroit à mésure que l âge augmente passant de 2,1% entre (6-11) mois à 18,2% entre (36 et 47) mois. Cependant, la malnutrition aigue modérée signe d un amaigrissement donne un z-score de 12,5% à la naissance et décroit à mesure que l âge augmente. L insuffisance pondérale quant à elle évolue en dent de scie depuis la naissance jusqu à 59 mois. L état nutritionel de l enfant peut être évalué par la mesure du périmètre Brachial, définit comme étant la circonférence du milieu du bras. Cette circonférence, s atrophie progressivement après une période trouble de l état de santé des jeunes enfants. Le tableau 3 ci-dessous présente les statistiques sur la malnutrition aigüe des enfants de 6 à 59 mois par le périmètre Brachial. Les résultats permettent de constater que dans l ensemble des départements, 4% des enfants souffrent de la malnutrition aigue globale, composée de la malnutrition aigue sévère et de la malnutrition aigue modérée. 9
11 Tableau 3 : Malnutrition aigüe des enfants de 6 à 59 mois par le périmètre Brachiale. Etat nutritionnel Malnutrition aigüe sévère Ruban coloré PB en centimètres (cm) Résultats (nombre d'enfants par sexe) Féminin Masculin Total général Rouge Moins de 11 cm Malnutrition aigüe modérée Orange 11-12,4 cm Malnutrition aigüe légère ou absence Egal ou supérieur à Jaune Vert de malnutrition 12,5 cm aigue Total général Ainsi, les 96% des enfants composés plus des filles (54%) que des garçons (46%) sont entre une absence totale de malnutrition aigüe, soit une malnutrition aigüe légère. I.2. DONNEES PAR DEPARTEMENT I.2.1. DESCRIPTIF DE L ECHANTILLON Tranche d'âge Garçon s Brazzaville Plateaux Lékoumou Filles ratio (G/F) Garçon s Filles ratio (G/F) Garçon s Filles ratio (G/F) < , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,7 Total , , ,8 Dans l ensemble, le sex- ratio de l échantillon est conforme à la norme (intervalle de 0,7 à 1,2) selon le logiciel ENA. Cependant, certaines tranches d âge montrent remarquablement une sousreprésentation des garçons par rapport aux filles. 10
12 I.2.2. ETAT NUTRITIONNEL DES ENFANTS DE 6 59 MOIS I PREVALENCE DE LA MALNUTRITION AIGUE Le tableau 3 présente les statistiques sur la prévalence de la malnutrition aigüe globale, de la malnutrition aigüe modérée et de la malnutrition aigüe sévère selon l indice Poids pour taille exprimé en z-scores selon les références OMS 2006 et par sexe chez les enfants âgés de 6 à 59 mois. Ces statistiques montrent qu à Brazzaville 8,1% des enfants de 6 à 59 mois sont touchés par la malnutrition aigüe globale (MAG), 3,9% par la malnutrition aigüe modérée (MAM) et 4,2% par la malnutrition aigüe sévère (MAS). Selon le sexe, on constate que 6,8% de garçons sont touchés par la MAG contre 9,3% de filles, 2,3% par la MAS contre 6,0% pour les filles. Aucun cas d œdème nutritionnel n était relevé. Tableau 3 : Prévalence de la malnutrition aigüe globale, de la malnutrition aigüe modérée et de la malnutrition aigüe sévère selon l indice Poids pour taille exprimé en z-scores selon les références OMS 2006 et par sexe chez les enfants âgés de 6 à 59 mois. Département et sexe Effectif (n) Prévalence de la malnutrition aigüe globale (<-2 z- score avec/ou œdème) Prévalence de la malnutrition aigüe modérée (<-2 z-score et >=-3 z-score, pas d œdème) Prévalence de la malnutrition aigüe sévère (<-3 z-score avec /sans œdème) Brazzaville 283 (23) 8.1% ( C.I.) (11) 3.9% ( C.I.) (12) 4.2% ( C.I.) Garçons 132 (9) 6.8% ( C.I.) (6) 4.5% ( C.I.) (3) 2.3% ( C.I.) Filles 151 (14) 9.3% ( C.I.) (5) 3.3% ( C.I.) (9) 6.0% ( C.I.) Plateaux 168 ( 10) 6.0% ( C.I.) ( 7) 4.2% ( C.I.) ( 3) 1.8% ( C.I.) Garçons 71 ( 3) 4.2% ( C.I.) ( 3) 4.2% ( C.I.) ( 0) 0.0% ( C.I.) Filles 97 ( 7) 7.2% ( C.I.) ( 4) 4.1% ( C.I.) ( 3) 3.1% ( C.I.) Lékoumou 163 (11) 6.7% ( C.I.) (7) 4.3% ( C.I.) (4) 2.5% ( C.I.) Garçons 74 (5) 6.8% ( C.I.) (4) 5.4% ( C.I.) (1) 1.4% ( C.I.) Filles 89 (6) 6.7% ( C.I.) (3) 3.4% ( C.I.) (3) 3.4% ( C.I.) Ensemble 638 Dans les Plateaux par contre les taux sont plus bas, avec 6,0% des enfants du même groupe d âge sont touchés par la malnutrition aigüe globale (MAG), 4,2% par la malnutrition aigüe modérée (MAM) et 11
13 1,8% par la malnutrition aigüe sévère (MAS). Selon le sexe, on constate que 7,2% de filles sont touchés par la MAG contre 4,2% de garçons, 3,1% par la MAS contre 0,0% pour les garçons. Aucun cas d œdème nutritionnel n était relevé. Par ailleurs, dans la Lékoumou 6,7% des enfants de 6 à 59 mois sont touchés par la malnutrition aigüe globale (MAG), 4,3% par la malnutrition aigüe modérée (MAM) et 2,5% par la malnutrition aigüe sévère (MAS). Ici, les garçons sont légèrement plus touchés par la MAG avec un taux de 6,8% contre 6,7% de filles, 3,4% de cas MAS chez les filles contre 1,4% chez les garçons. PREVALENCE DE LA MALNUTRITION AIGUE A L AIDE DU PERIMETRE BRACHIAL Le périmètre brachial (PB) est l indicateur anthropométrique le plus utilisé ou le plus conseillé pour le dépistage de la malnutrition aigüe en période d urgence. Un PB < 12,5 cm indique une malnutrition aigüe modérée et un PB < 11,5 cm, une malnutrition aigüe sévère. C est un bon indicateur de risque de mortalité (PB < 11,5 cm), mais il est moins sensible que le rapport Poids/Taille pour diagnostiquer la malnutrition aiguë. Le tableau 48 ci-dessous présente la prévalence de l émaciation selon le PB. Il en résulte que la maigreur globale (sévère et modérée) touche 5,7% d enfants de 6 à 59 mois dans la Lékoumou, 3,7% dans les Plateaux et 2,5% à Brazzaville. 12
14 Tableau 4 : Répartition de l émaciation chez les enfants de 6 ă 59 mois la zone géographique Effectif (6-59 mois) Normal PB 13 % Maigreur sévère PB<11,5 cm % Maigreur modérée PB [11,5 12,4] % Risque de maigreur PB [12,5-13,4] Brazzaville ,8 0,7 1,8 9,7 Plateaux ,1 0,9 2,8 13,2 % Lékoumou ,1 2,5 3,2 6,3 I MALNUTRITION CHRONIQUE OU RETARD DE CROISSANCE La malnutrition chronique ou retard de croissance est le résultat d une taille inadéquat par rapport à l âge. Le tableau 5 présente les statistiques sur la prévalence de la malnutrition chronique globale, de la malnutrition chronique modérée et de la malnutrition chronique sévère selon l indice Taille pour Age exprime en z-scores selon les références OMS 2006 et par sexe chez les enfants âgés de 6 à 59 mois. A Brazzaville, 12,2% d enfants sont affectés par le retard de croissance global, 8,2% par le retard de croissance modéré et 4,1% par le retard de croissance sévère. Dans la population de référence, les taux de retard de croissance global et sévère ne dépassent pas respectivement 2,27% et 0,14 %. Selon le genre, le retard de croissance global touche 16,5% des enfants de sexe masculin contre 8,4% des enfants de sexe féminin. Le degré sévère du retard de croissance touche aussi plus les garçons que les filles (5,8% contre 2,6%). Dans les Plateaux, 23,8% d enfants sont affectés par le retard de croissance global, 14,9% par le retard de croissance modéré et 8,9% par le retard de croissance sévère. Dans la population de référence, les taux de retard de croissance global et sévère ne dépassent pas respectivement 2,27% et 0,14 %. Selon le sexe, le retard de croissance global touche 28,9% des filles contre 16,9% des garçons. Le degré sévère du retard de croissance touche aussi plus les filles que les garçons (14,4% contre 1,4%). Le département de la Lékoumou présente le taux de retard de croissance global les plus élevés (31,5%) chez les enfants de 6 59 mois quel que soit le sexe. Par ailleurs, 13,1% d enfants sont touchés par le retard de croissance modéré et 18,5% par le retard de croissance sévère. Dans la population de référence, les taux de retard de croissance global et sévère ne dépassent pas respectivement 2,27% et 0,14 %. Selon le sexe, le retard de croissance global touche 34,7% des garçons contre 29,2% des filles. Le degré sévère du retard de croissance touche aussi plus les garçons que les filles (19,4%contre 17,7%). 13
15 Tableau 5 : Prévalence de la malnutrition chronique globale, de la malnutrition chronique modérée et de la malnutrition chronique sévère selon l indice Taille pour Age exprime en z-scores selon les références OMS 2006 et par sexe chez les enfants âgés de 6 à 59 mois. Département Et sexe Effectif (n) Prévalence du retard de croissance global (<-2 z-score) Prévalence du retard de croissance modéré (<-2 z-score and >=-3 z- score) Prévalence du retard de croissance sévère (<-3 z-score) Brazzaville 294 (36) 12.2% ( C.I.) (24) 8.2% ( C.I.) (12) 4.1% ( C.I.) Garçons 139 (23) 16.5% ( C.I.) (15) 10.8% ( C.I.) (8) 5.8% ( C.I.) Filles 155 (13) 8.4% ( C.I.) (9) 5.8% ( C.I.) (4) 2.6% ( C.I.) Plateaux 168 (40) 23.8% ( C.I.) (25) 14.9% ( C.I.) (15) 8.9% ( C.I.) Garçons 71 (12) 16.9% ( C.I.) (11) 15.5% ( C.I.) (1) 1.4% ( C.I.) Filles 97 (28) 28.9% ( C.I.) (14) 14.4% ( C.I.) (14) 14.4% ( C.I.) Lékoumou 168 (53) 31.5% ( C.I.) (22) 13.1% ( C.I.) (31) 18.5% ( C.I.) Garçons 72 (25) 34.7% ( C.I.) (11) 15.3% ( C.I.) (14) 19.4% ( C.I.) Filles 96 (28) 29.2% ( C.I.) (11) 11.5% ( C.I.) (17) 17.7% ( C.I.) Ensemble
16 Par ailleurs, on constate que la courbe de gausse élaborée sur un ensemble de 629 enfants de moins de 5 ans, s écarte largement des normes de l OMS. Un écartement vers la gauche exprime un cas de malnutrition globale assez élevé chez l ensemble des enfants tout sexe confondu. Les données d enquête donnent un taux de 20,3% de l ensemble de la population quel que soit le département. I INSUFFISANCE PONDERALE L insuffisance pondérale est le résultat d un poids inadéquat par rapport à l âge. Les enfants touchés par ce type de malnutrition touchés à la fois par la malnutrition aigüe et par la malnutrition chronique. Le Tableau 6 présente les statistiques sur la prévalence de la malnutrition chronique globale, de l insuffisance pondérale globale, l insuffisance pondérale modérée et de l insuffisance pondérale sévère selon l indice Poids pour Age exprime en z-scores selon les références OMS 2006 et par sexe chez les enfants âgés de 6 à 59 mois. Les résultats montrent qu à Brazzaville 8,4% d enfants de 6 59 mois sont touchés par l insuffisance pondérale globale, 6,1% par l insuffisance pondérale modérée et 2,4% par l insuffisance pondérale sévère. Selon le sexe, il ressort que les garçons sont plus touchés par l insuffisance pondérale globale que les filles (9,3% contre 7,6%). 15
17 Dans les Plateaux, 8,5% d enfants sont touchés par l insuffisance pondérale globale, 7,0% par l insuffisance pondérale modérée et 1,4% par l insuffisance pondérale sévère. Selon le sexe, il ressort que les filles sont plus touchées par l insuffisance pondérale globale que les garçons (9,2% contre 7,4%). Le degré sévère du retard de croissance touche aussi plus les filles que les garçons (2,5% contre 0%). Tableau 6 : Prévalence de la malnutrition chronique globale, de l insuffisance pondérale globale, l insuffisance pondérale modérée et de l insuffisance pondérale sévère selon l indice Poids pour Age exprime en z-scores selon les références OMS 2006 et par sexe chez les enfants âgés de 6 à 59 mois. Département Et sexe Effectif (n) Insuffisance pondérale globale (<-2 z-score) Insuffisance pondérale modérée (<-2 z-score et >=-3 z-score) Insuffisance pondérale sévère (<-3 z-score) Brazzaville 297 (25) 8.4% ( C.I.) (18) 6.1% ( C.I.) (7) 2.4% ( C.I.) Garçons 140 (13) 9.3% ( C.I.) (10) 7.1% ( C.I.) (3) 2.1% ( C.I.) Filles 157 (12) 7.6% ( C.I.) (8) 5.1% ( C.I.) (4) 2.5% ( C.I.) Plateaux 213 (18) 8.5% ( C.I.) (15) 7.0% ( C.I.) (3) 1.4% ( C.I.) Garçons 94 (7) 7.4% ( C.I.) (7) 7.4% ( C.I.) (0) 0.0% ( C.I.) Filles 119 (11) 9.2% ( C.I.) (8) 6.7% ( C.I.) (3) 2.5% ( C.I.) Lékoumou 171 (24) 14.0% ( C.I.) (16) 9.4% ( C.I.) (8) 4.7% ( C.I.) Garçons 76 (12) 15.8% ( C.I.) (8) 10.5% ( C.I.) (4) 5.3% ( C.I.) Filles 95 (12) 12.6% ( C.I.) (8) 8.4% ( C.I.) (4) 4.2% ( C.I.) Ensemble
18 Dans la Lékoumou les résultats suivant sont observés : 14,0% d enfants sont touchés par l insuffisance pondérale globale, 9,4% par l insuffisance pondérale modérée et 4,7% par l insuffisance pondérale sévère. Selon le sexe, il ressort que les garçons sont plus touchés par l insuffisance pondérale globale que les filles (15,8% contre 12,6%). Le niveau sévère du retard de croissance touche aussi plus les garçons que les filles (5,3% contre 4,2%). II. ETAT SANITAIRE DES ENFANTS La malnutrition est un des principaux problèmes de santé qui affecte les jeunes enfants en République du Congo. Elle résulte tout autant d une alimentation inadéquate que d un environnement sanitaire déficient. Une alimentation inadéquate est souvent le résultat d une insuffisance de nourriture disponible au niveau du ménage et de pratiques alimentaires inadaptées. Les mauvaises conditions sanitaires augmentent, chez les jeunes enfants, le risque de contracter des maladies, en particulier les maladies diarrhéiques, qui affectent, à leur tour, l état nutritionnel de l enfant. Ainsi, pour atteindre un état de santé optimal, les aliments appropriés riches en vitamines et microéléments doivent être consommé par les jeunes enfants. En particulier, les fruits et légumes riches en vitamine A, de même que la viande, la volaille, le poisson ou les œufs devraient faire l objet d une consommation quotidienne afin d assurer un bon état de santé et le bien-être. Ainsi, dans la présente section, nous essayerons de déterminer si la malnutrition résulte d une maladie, du manque de nourriture dans le ménage ou d une carence en vitamine A. 17
19 II.1. MORBIDITE DES ENFANTS L enquête sur l analyse globale de la sécurité alimentaire et de la vulnérabilité des ménages au Congo a permis de connaître l état sanitaire des enfants dans l ensemble de trois départements choisis. En effet, il était demandé aux parents si l enfant a été malade pendant les deux semaines précédant l enquête. Les résultats montrent que plus d un tiers des enfants, soit 39,2%, ont été malades au cours de la période considérée, ce qui n est pas sans conséquence sur l état sanitaire des enfants, car un enfant peut souffrir de malnutrition aiguë parce qu il a été malade depuis quelques semaines. La figure ci-dessous présente les cas des jeunes enfants malades par département. On constate que la morbidité est plus élevée à Brazzaville dans les groupes d âge (10 59) mois par rapport aux autres départements. En effet, à la naissance, la morbidité est nulle pour le département de la Lékoumou et les Plateaux, alors qu elle est assez élevée à Brazzaville. Elle croît progressivement à mesure que l âge des jeunes enfants augmente Morbidité des jeunes enfants par groupe d'âge selon les départements 0 0 à 5 mois 6 à 9 mois 10 à 11 mois 12 à 23 mois 24 à 35 mois 36 à 47 mois 48 à 59 mois Lékoumou Plateaux Brazzaville Par ailleurs, on a demandé aux parents si les enfants malades ont été conduits à l hôpital, 50,7% des parents ont répondus de n avoir pas pu conduire les enfants dans un centre de santé adéquat pour recevoir les soins appropriés à cause des raisons avancées dans le tableau ci-dessous. Tableau 7 : raisons de n avoir pas conduit les enfants à l hôpital. Raisons Oui Non Total général Effectif % Effectif % Effectif % Pas grave 56 45,5% 67 54,5% ,9% Trop loin/manque de transport 1 16,7% 5 83,3% 6 2,1% pas d'argent ,0% 0 0,0% 35 12,5% Manque de confiance 0 0,0% 1 100,0% 1 0,4% Utilisation d'autres traitements 38 97,4% 1 2,6% 39 13,9% Autres 12 15,8% 64 84,2% 76 27,1% Total général ,7% ,3% ,0% 18
20 Les résultats présentés montrent que parmi les 50,7% des parents qui n ont pas pu conduire les enfants à l hôpital, 45,5% ont déclarés que la maladie de l enfant n était pas grave, 100,0% n ont pas pu conduire les enfants à l hôpital par manque des moyens financiers et 97,4% ont eu recours à d autres solutions, généralement l automédication ou le recours aux médicaments traditionnels. De ce qui précède, il ressort que l accès aux centres de santé est rendu difficile à cause du manque des moyens financiers pour acheter les produits pharmaceutiques. Ainsi, les ménages sont obligés de faire recours aux solutions alternatives comme l automédication avec les produits de bas prix vendus à la sauvette ou par la consultation des thérapeutes traditionnels. La répartition spatiale de ces ménages permet de d obtenir que parmi les 97,4% des ménages qui utilisent d autres traitements de santé, 29% sont du département de la Lékoumou, 37% du département du Plateaux et 34% dans le département de Brazzaville. II.2 DISPONIBILITE DE LA NOURRITURE DANS LE MENAGE La disponibilité alimentaire dans le ménage a été obtenue en demandant le nombre moyen de repas que les membres du ménage (enfants de 6 15 ans et adultes 16 ans et plus) ont consommés en famille la journée précédant l enquête (hier), en période de bonnes récoltes (salaire) et en période de précarité (difficile), sans tenir compte de la qualité et la quantité de la nourriture consommée. Sachant que les difficultés peuvent conduire les chefs de ménage à privilégier la consommation alimentaire des enfants de moins de 5 ans, nous considérons que si les enfants de 6 15 ans ont reçus des repas, alors les enfants de 6 à 59 mois en recevront plus. Le tableau ci-dessous présente chez les adultes comme chez les enfants, les pourcentages de ménages ayant consommés les repas en période difficile, en période de bonne récolte ou salaire et la journée précédant l enquête. Adultes Enfants 100% 80% 60% 40% 20% 0% 42% 0% 0% 58% 69% 31% 1% 78% 21% à 3 4 et plus 100% 80% 60% 40% 20% 0% 0% 56% 43% 1% 59% 40% 2% 37% 60% à 3 4 et plus salaire Hier difficile salaire Hier difficile Le graphique montre que quelle que soit la tranche d âge (adultes ou enfants), la disponibilité alimentaire pour la journée précédant l enquête (hier) est une période intermédiaire entre les périodes de précarité (difficile) et les périodes de bonnes récoltes (salaire). Les données prouvent qu en période de précarité, 56% des ménages nourrissent leurs enfants avec une alimentation résiduelle qu ils ne considèrent pas comme un repas consommé en famille. C est soit un morceau de pain ou beignet qu ils auraient acheté juste pour calmer la faim de l enfant. Cependant en période de bonnes récoltes ou de salaire, 60% des ménages nourrissent leurs enfants avec deux ou trois repas par jour. La précarité est d autant plus importante que près de quatre ménages sur dix (soit 37% des ménages) continuent à nourrir leurs enfants avec une nourriture résiduelle (entre 0 et 1 repas) même lorsqu on a reçu une rémunération ou obtenu une bonne récolte. 19
21 II.3. NUTRITION DES ENFANTS Pendant les six premiers mois après la naissance de l enfant, l allaitement exclusif est recommandé afin de le protéger contre les diverses maladies que sont la diarrhée et les autres épidémies. Les statistiques de la présente étude montrent que 96% des enfants de 0 à 6 mois sont nourris au lait maternel. Les autres enfants du même groupe d âge sont nourris au lait animal ou artificiel par l utilisation du biberon. Lorsque l on s étend sur une période de 0 à 23 mois, on remarque que le pourcentage des enfants en cours de sevrage commence à augmenter progressivement à partir du groupe d âge mois (38%) et atteint 81% dans le groupe d âge mois comme présenté dans le tableau ci-dessous. Tableau 8 : Pourcentage des enfants allaités actuellement et en cours de sevrage par âge(en mois) Age en mois Enfants allaités actuellement Enfants en cours de sevrage Total général 0 à 1 mois 100% 0% 100% 2 à 3 mois 80% 20% 100% 4 à 5 mois 100% 0% 100% 6 à 8 mois 81% 19% 100% 9 à 11 mois 90% 10% 100% 12 à 17 mois 63% 38% 100% 18 à 23 mois 19% 81% 100% La fréquence d allaitement des enfants de 0 à 6 mois est présentée dans le graphique ci-dessous. Les résultats présentés montrent que jusqu à 8 fois par jour, le pourcentage d enfants nourris au lait maternel est stable dans les regroupements des fréquences choisis. Ce pourcentage commence à augmenter jusqu à 32% à partir de 9 fois par jour. 35% 30% 25% 20% Enfants de 0 à 6 mois nourris au lait maternel par fréquence d'allaitement 15% 10% 5% 23% 23% 23% 32% 0% < 3 fois 3 à 8 fois 6 à 8 fois 9 et Plus 20
22 En outre, interviewé sur l alimentation des enfants, 81% des enfants ont été nourris avec une alimentation solide pour les groupes d âge 6 59 mois. Cependant, ces enfants n ont pas consommé une eau seine, car 87% des enfants du même groupe d âge ont consommé une eau sans bouillir, ni précautions particulières. Ce qui augmente le risque de maladie et surtout les maladies diarrhéiques qui contribuent à l émaciation ou l amaigrissement des enfants. II.4. SUPPLEMENTATION EN VITAMINE A Dans le cadre de cette étude, les mères ont été interrogées sur la supplémentation en vitamine A de leurs enfants. Les résultats, montrent que sur 694 enfants quel que soit l âge seules 473, soit 68% des enfants ont reçus une supplémentation en vitamine A. La carence d'apport en vitamine A est, le plus souvent, responsable de l'hypovitaminose A, en particulier chez le nourrisson soumis à un régime sans lait. Le tableau ci-dessous présente les statistiques des enfants n ayant pas reçus la vitamine A selon l allaitement ou non par âge. Les enfants à risque d avitaminose A sont ceux qui ne sont pas allaités. Tableau 9 : Enfants n ayant pas reçus la dose en vitamine A selon l allaitement ou non par âge Age en mois Enfant à risque d'avitaminose A Enfants à risque partiel d'avitaminose A Total général 0 à 1 mois 0% 0% 100% 2 à 3 mois 100% 0% 100% 4 à 5 mois 0% 0% 100% 6 à 8 mois 40% 60% 100% 9 à 11 mois 67% 33% 100% 12 à 17 mois 52% 48% 100% 18 à 23 mois 23% 77% 100% Les statistiques montrent qu il y a risque d avitaminose chez les enfants du groupe d âge 2 à 3 mois, 6 à 8 mois, 9 à 11 mois, 12 à 17 mois et 18 à 23 mois représentant respectivement 100%, 40%, 67%, 52% et 23 %. Les autres enfants ne sont soumis qu à un risque partiel en avitaminose A. 21
23 DISCUSSION 22
24 CONCLUSION 23
25 ANNEXES 24
26 25
27 26
28 27
MARS 2012. rapport d analyse. étude de la situation nutritionnelle des enfants vus par Médecins du Monde à Mayotte
rapport d analyse MARS 2012 rapport d analyse étude de la situation nutritionnelle des enfants vus par Médecins du Monde à Mayotte introduction w La malnutrition se définit par des apports inférieurs ou
Plus en détailRapport sur la Nutrition et la Mortalité dans la commune I de Bamako Mali du 28 mars 2011 au 12 avril 2011
Rapport sur la Nutrition et la Mortalité dans la commune I de Bamako Mali du 28 mars 2011 au 12 avril 2011 Mars-avril 2011 SOMMAIRE Résumé du rapport 1. Introduction 2. Présentation de d enquête 3. Contexte
Plus en détailProgramme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena. 28-30 avril 2015
Deuxi ème jour Premier jour Jour 0 Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena 28-30 avril 2015 Date Heure Activité Veille du forum (Hôtel KEMPINSKI) Arrivée
Plus en détailVue d ensemble de la prise en charge à base communautaire de la malnutrition aiguë (PCMA)
Vue d ensemble de la prise en charge à base communautaire de la malnutrition aiguë (PCMA) 1 Module 1. Objectifs d apprentissage Discuter de la malnutrition aiguë et des mesures à prendre en réponse Identifier
Plus en détailTEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE
TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et
Plus en détailURGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS
1. EVALUATION 2. VACCINATION ROUGEOLE 3. EAU & SANITATION 4. ALIMENTATION & NUTRITION 5. ABRIS & CAMPS 6. SOINS DE SANTE 7. MALADIES TRANSMISSIBLES 8. SANTE PUBLIQUE 9. RESSOURCES HUMAINES 10. COORDINATION
Plus en détailKayes, le 09 Avril 2013
«Rapport de Dépistage de masse dans les structures de santé de la zone d intervention du projet CRM & CRF dans les districts sanitaires de Kayes et Yélimané» «Appui à la prévention et la prise en charge
Plus en détailwww.programmeaccord.org
LA DOULEUR, JE M EN OCCUPE! NUTRITION ET DOULEUR CHRONIQUE CHRONIQUE De nos jours, l importance d adopter de saines habitudes alimentaires ne fait plus aucun doute. De plus, il est très facile d obtenir
Plus en détailANALYSE APPROFONDIE MALI
ANALYSE APPROFONDIE MALI État nutritionnel des enfants de moins de cinq ans au Mali de 1995 à 2006 Analyses approfondies des Enquêtes Démographiques et de Santé au Mali, 1995-1996, 2001 et 2006 RÉPUBLIQUE
Plus en détailPartie II Données, indicateurs et sources d information
Partie II Données, indicateurs et sources d information WFP / Name and Surname Table des matières de la Partie II 1 Introduction 45 2 Plan d analyse 46 3 Besoins d information 49 4 Informations contextuelles
Plus en détailProjet d Accueil. Entre Parent(s) et Assistant Maternel
Outil proposé par les Relais Parents Assistants Maternels des Côtes d Armor dans le cadre de leur mission d accompagnement. Ce document n a pas de valeur légale ou réglementaire. Juin 2012 Projet d Accueil
Plus en détailREPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION
REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE ET DE SECURITE ALIMENTAIRE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET
Plus en détailDeuxième Conférence internationale sur la nutrition. Rome, 19-21 novembre 2014. Document final de la Conférence: Déclaration de Rome sur la nutrition
Octobre 2014 ICN2 2014/2 Deuxième Conférence internationale sur la nutrition Rome, 19-21 novembre 2014 Document final de la Conférence: Déclaration de Rome sur la nutrition Nous félicitant de la participation
Plus en détailMise à jour des paramètres relatifs à l estimation des Besoins énergétiques minimums
MÉTHODOLOGIE DE LA FAO POUR MESURER LA PRÉVALENCE DE LA SOUS- ALIMENTATION Mise à jour des paramètres relatifs à l estimation des Besoins énergétiques minimums Division des Statistiques de la FAO Rome,
Plus en détailDocument de réflexion : Précisions et orientations sur les formes inappropriées de promotion des aliments pour nourrissons et jeunes enfants
Document de réflexion : Précisions et orientations sur les formes inappropriées de promotion des aliments pour nourrissons et jeunes enfants CONTEXTE 1. La bonne alimentation des nourrissons et des jeunes
Plus en détailEvaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire
Evaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire Date : L évaluation multisectorielle s est déroulée du 26 au 28/08/2015. Zone d évaluation : Localité
Plus en détailLe niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france
Le niveau de revenus des ménages est associé à la couverture vaccinale par le vaccin pneumocoque conjugué chez les enfants d'ile-de-france Jean-Paul Guthmann, Pierre Chauvin, Yann Le Strat, Marion Soler,
Plus en détailQui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité.
Pedro Tamacha 9 Normalement, Pedro devrait consommer 3 100 kcal/jour pour être en bonne santé et avoir une activité normale, il lui manque 800 calories. 9 Son régime alimentaire est composé de riz, pommes
Plus en détailJ'Ai TELLEMENT FAiM QUE JE POURRAiS MANGER UN ARBRE!
J'Ai TELLEMENT FAiM QUE JE POURRAiS MANGER UN ARBRE! Les liens hypertextes vers d'autres sites de l'internet ne signifient nullement que l'organisation approuve officiellement les opinions, idées, données
Plus en détailSécurité et insécurité alimentaire chez les Québécois : une analyse de la situation en lien avec leurs habitudes alimentaires
Sécurité et insécurité alimentaire chez les Québécois : une analyse de la situation en lien avec leurs habitudes alimentaires INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Sécurité et insécurité alimentaire
Plus en détailComprehensive Africa Agriculture Development Programme (CAADP) CAADP Nutrition Capacity Development Workshop for the Southern Africa Region
Comprehensive Africa Agriculture Development Programme (CAADP) CAADP Nutrition Capacity Development Workshop for the Southern Africa Region Nutrition Country Paper Comores DRAFT - VERSION FRANCAISE Septembre
Plus en détailEnquête auprès des parents
Projet Brosse à dents débutant Institut für Hygiene und Arbeitsphysiologie ETH-Zentrum, Clausiusstr. 25 8092 Zürich Adresse électronique: www_zahnbuerstenergonomie@web.ethz.ch Enquête auprès des parents
Plus en détailDéveloppement d une application pilote
Développement d une application pilote Nutri-TIC Flora Massanella Principes Cette seconde phase vise à mettre en pratique les conclusions obtenues lors de la phase A. L application web Nutri- TIC a donc
Plus en détailLes usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction
Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures
Plus en détailLES OMD EN CHIFFRES. Par Raulin Lincifort CADET INTRODUCTION
1 LES OMD EN CHIFFRES Par Raulin Lincifort CADET INTRODUCTION Faisant suite à la Déclaration du Millénaire, le bureau du PNUD en Haïti s est attelé à faire la promotion des Objectifs du Millénaire pour
Plus en détailProtéines. Pour des Canadiens actifs. De quelle quantité avez-vous besoin?
Protéines Pour des Canadiens actifs De quelle quantité avez-vous besoin? 1 Protéines 101 Les protéines sont les principaux éléments fonctionnels et structuraux de toutes les cellules du corps. Chaque protéine
Plus en détailListe des auteurs et remerciements
Comparaison de deux enquêtes nationales de consommation alimentaire auprès des adolescents et des adultes Baromètre santé nutrition (22) et INCA (1998-99) : éléments de méthode et résultats - Juin 24 -
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailLa malnutrition en terre d abondance
Document d information La malnutrition en terre d abondance Principaux résultats d une étude effectuée dans la province du Kasaï-Oriental, République démocratique du Congo Introduction Pourquoi une région
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour
Plus en détailCarlo Diederich Directeur Santé&Spa. Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu
Carlo Diederich Directeur Santé&Spa Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu Mondorf Healthcare at work Nouveau service destiné aux entreprises en collaboration avec les Services de Médecine du Travail
Plus en détailDÉCISIONS À PRENDRE AVANT DE COMMENCER
CHAPITRE 2 DÉCISIONS À PRENDRE AVANT DE COMMENCER Ce chapitre s adresse aux directeurs de programme, à leurs partenaires nationaux, aux coordinateurs d enquête et au personnel technique. Il vous aidera
Plus en détailSanté Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad
Santé Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad Notre projet en 2009 Prendre soin des orphelins, des nouveaux-nés, des femmes ayant des problèmes d allaitement, des prématurés et des enfants malnutris
Plus en détailLa cohabitation des races ovines Ouled Jellal (OJ) et Beni Guil (BG) et développement de l'élevage ovin dans le système pastoral du Maroc Oriental
Mediterranean biodiversity as a tool for the sustainable development of the small ruminant sector: From traditional knowledge to innovation Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II Rabat, 16 décembre
Plus en détail3 The Millennium Development Goals: Report 2010. Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014. asdf NATIONS UNIES
3 The Millennium Development Goals: Report 2010 Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014 asdf NATIONS UNIES Le présent rapport est fondé sur un ensemble de données compilées par le Groupe
Plus en détailBESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB. Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre.
BESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre. Besoin alimentaire Allaitement maternelle : 1er jour=colostrum riche en protéines et en glucides Contient des AC Laxatif
Plus en détailUFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 TESTS PARAMÉTRIQUES
Université Paris 13 Cours de Statistiques et Econométrie I UFR de Sciences Economiques Année 2008-2009 Licence de Sciences Economiques L3 Premier semestre TESTS PARAMÉTRIQUES Remarque: les exercices 2,
Plus en détailque dois-tu savoir sur le diabète?
INVENTIV HEALTH COMMUNICATIONS - TERRE NEUVE - FRHMG00277 - Avril 2013 - Lilly - Tous droits de reproduction réservés. que dois-tu savoir sur le diabète? Lilly France 24 boulevard Vital Bouhot CS 50004-92521
Plus en détailTableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES
Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Communauté locale de la Vallée de la Missisquoi Nord MRC de Memphrémagog Ce que les chiffres
Plus en détailRenforcement et évaluation de l approche Prévention de la Malnutrition chez les enfants de moins de 2 ans (PM2A) au Burundi : Rapport initial
Renforcement et évaluation de l approche Prévention de la Malnutrition chez les enfants de moins de ans (PMA) au Burundi : Rapport initial Megan Parker Jef L Leroy Deanna Olney Jody Harris Marie Ruel Mai
Plus en détailLivret de Messages Clés
Livret de Messages Clés Le Paquet de Counseling Communautaire pour l Alimentation du Nourrisson et du Jeune Enfant (ANJE) Livret de Messages Clés Le Paquet de Counseling Communautaire pour l Alimentation
Plus en détailPRISE EN CHARGE NUTRITIONNELLE DES PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH ET LE SIDA (PVVIH)
PRISE EN CHARGE NUTRITIONNELLE DES PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH ET LE SIDA (PVVIH) Manuel de formation pour les agents de santé communautaire et les agents des soins à domicile Guide du facilitateur 2008
Plus en détailLe Régime Alimentaire. LR Health & Beauty Systems
Le Régime Alimentaire LR Health & Beauty Systems Les accessoires Le mètre La balance LR géniale LR a créé pour vous un mètre qui calcule votre indice de masse corporelle (IMC) achetez le ref Ruban BMI
Plus en détailDOSSIER DE SOINS INFIRMIERS
DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS Débuté le Terminé le. FICHE ADMINISTRATIVE PATIENT Nom Prénom Date de naissance / / Téléphone. ADRESSE...... N SS / / / / / // ENTOURAGE-PERSONNE RESSOURCE NOM QUALITE..TEL...
Plus en détailnotamment de la filière alimentaire, pour améliorer l action du PAM en matière de nutrition. Des discussions initiales ont été tenues avec des ONG
WFP! " #! "$" Nos connaissances sur la faim et la nutrition ont fortement évolué au cours des dix dernières années. Des données scientifiques récentes ont montré qu il n existe qu un créneau restreint
Plus en détail1. Informations générales
1. Informations générales Bonjour, Autre, ce questionnaire s adresse aux parents d enfants de 18 mois à 5 ans en service de garde éducatif à l'enfance (CPE, garderie). Il est divisé en 8 thèmes. Le temps
Plus en détailExercices supplémentaires sur l introduction générale à la notion de probabilité 2009-2010
Exercices supplémentaires sur l introduction générale à la notion de probabilité 2009-2010 Exercices fortement conseillés : 6, 10 et 14 1) Un groupe d étudiants est formé de 20 étudiants de première année
Plus en détailDéfinitions. Définitions sur le logement
Définitions sur le logement Logement Un logement est défini par son utilisation : c est un local séparé et indépendant utilisé pour l habitation. Il doit être séparé d autres locaux par des murs ou cloisons
Plus en détailDEVELOPPEMENT DES PREFERENCES ALIMENTAIRES
DEVELOPPEMENT DES PREFERENCES ALIMENTAIRES DURANT L ENFANCE ET L ADOLESCENCE PROFESSEUR N. RIGAL MAITRE DE CONFERENCES EN PSYCHOLOGIE DU DEVELOPPEMENT, UNIVERSITE DE PARIS 10, FRANCE rigal.n@free.fr Rôle
Plus en détailDONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT
DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement
Plus en détailRèglement intérieur de la restauration scolaire ville de TERGNIER
Règlement intérieur de la restauration scolaire ville de TERGNIER SOMMAIRE Chapitre 1 : Inscription 3 Article 1 : Organisation de la restauration scolaire... 3 Article 2 : Fréquentation. 3 Article 3 :
Plus en détailLES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999)
Délégation ANCREAI Ile-de-France CEDIAS - 5 rue Las-Cases 75007 PARIS Tél : 01 45 51 66 10 Fax : 01 44 18 01 81 E-mail : creai.idf@9online.fr Contact : Carole PEINTRE LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION
Plus en détailSONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES
Page 1 of 10 SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES Le Groupe de travail canadien sur la malnutrition (GTCM) a mené une étude à l échelle nationale de 2010 à 2013 afin de déterminer la prévalence de la malnutrition
Plus en détailL'Obésité : une épidémie?
Communiqué de presse 5 mars 2014 L'Obésité : une épidémie? Résultats de l'étude MGEN «Habitudes de vie et surpoids» 3 Français sur 4 se jugent en bonne santé, 1 sur 2 est en surpoids, 16% sont obèses 2/3
Plus en détailENQUETE DE SATISFACTION
ENQUETE DE SATISFACTION RESTAURATION SCOLAIRE Chers parents, Nous souhaitons connaître votre avis sur la restauration scolaire de vos enfants. Cette enquête a pour but d évaluer votre degré de satisfaction
Plus en détailSport et alpha ANNEXES
Sport et alpha ANNEXES Edition 2013 TABLE DES MATIERES Table des matières 1 Alimentation 2 Boire, Boire, Boire... 2 Et à l approche des «20 km de Bruxelles»? 3 Et pendant l épreuve? 3 Stretching 4 Avant
Plus en détailLes plans de menus sont fournis par le prestataire de service à la semaine et sont affichés à l entrée de la cantine.
RESTAURANT SCOLAIRE D HABERE LULLIN REGLEMENT INTERIEUR Article préliminaire La cantine scolaire n a pas de caractère obligatoire et a pour objet d assurer, dans les meilleures conditions possibles d hygiène
Plus en détailCONCEPTION ET TIRAGE DE L ÉCHANTILLON
CHAPITRE 4 CONCEPTION ET TIRAGE DE L ÉCHANTILLON Ce chapitre technique 1 s adresse principalement aux spécialistes de sondage, mais aussi au coordinateur et aux autres responsables techniques de l enquête.
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailGuide de Mesure des Indicateurs Anthropométriques
Guide de Mesure des Indicateurs Anthropométriques Bruce Cogill Mars 2003 Food and Nutrition Technical Assistance Project (FANTA) Academy for Educational Development 1825 Connecticut Ave., NW Washington,
Plus en détailL équilibre alimentaire.
L équilibre alimentaire. Une bonne nutrition est un incontestable facteur de bonne santé. Dans la médecine traditionnelle chinoise, certains aliments bien utilisés servent de remèdes pour prévenir et traiter
Plus en détailRESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR
RESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR OBJET Le restaurant scolaire est un service municipal dont le fonctionnement est assuré par des agents municipaux, sous la responsabilité du Maire. ACCES AU RESTAURANT
Plus en détailSanté et relations humaines au travail Sommes-nous prêts à être plus performants?
Santé et relations humaines au Sommes-nous prêts à être plus performants? Principaux enseignements de l enquête Mesure Management Santé chez les entrepreneurs de CroissancePlus Les traits d'identité constitutifs
Plus en détailJournée mondiale de la Santé 2015
Journée mondiale de la Santé 2015 la sécurité sanitaire des aliments VOS ALIMENTS SONT-ILS VRAIMENT SÛRS? De la ferme à l assiette, vous avez tous un rôle à jouer JOURNÉE MONDIALE DE LA SANTÉ 2015 #safefood
Plus en détailcrèche les petits lutins Exemple d une action pluridisciplinaire: Evaluation du risque TMS dans une crèche collective et familiale
crèche les petits lutins Exemple d une action pluridisciplinaire: Evaluation du risque TMS dans une crèche collective et familiale 1 Origine de la demande Crèche : Nombreuses plaintes Nombreux petits arrêts
Plus en détailLa survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation
La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation PAR Alireza MOGHADDAM TUTEUR : Guy HÉDELIN Laboratoire d Épidémiologie et de Santé publique, EA 80 Faculté de Médecine de Strasbourg
Plus en détailCharte PNNS Groupe CASINO Résultats
Charte PNNS Groupe CASINO Résultats Calendrier En 2008, Casino a signé Les une engagements charte d engagements de la charte de progrès PNNS ont nutritionnel été appréhendés du PNNS. Elle comprenait 10
Plus en détailLa mécanique sous le capot
La mécanique sous le capot L ergonomie Comment éviter et diminuer les TMS aux membres supérieurs Pourquoi vos articulations vous font-elles souffrir? De nombreux travailleurs souffrent de troubles musculo-squelettiques
Plus en détailDossier d inscription English Club Année 2015-2016
Dossier d inscription English Club Année 2015-2016.. Photo de l enfant I. Information de l élève ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------/---------/-------
Plus en détailBordeaux, le 22 mars 2010. Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992. Monsieur le Président,
Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992 Bordeaux, le 22 mars 2010 Monsieur le Président, Par lettre du 9 septembre 2008, vous avez été informé que la Chambre régionale des comptes
Plus en détailGUIDE DE L ENSEIGNANT
Au ménage! GUIDE DE L ENSEIGNANT 2010-2011 -1- Description de la situation d apprentissage Préparation Activité 1 À leur entrée en classe, les élèves découvrent quatre bouteilles sur le bureau de l enseignante
Plus en détailINSCRIPTION au RESTAURANT SCOLAIRE Année 2014 / 2015
NOM DE L ENFANT :. PRENOM DE L ENFANT : Date de Naissance :.. Sexe de l enfant: Masculin Féminin 1 Dossier à compléter par enfant. Maternelle : Elémentaire : - petite section - moyenne section.. Classe
Plus en détailAuriol : le service public de la Restauration scolaire
Auriol : le service public de la Restauration scolaire Au titre de nos valeurs communes, nous avons voulu décliner l offre de restauration en mettant l accent au plus près des enfants. Plus de 80% des
Plus en détailRésultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE Secrétariat Général PROGRAMME NATIONAL DES COMPTES NATIONAUX DE LA SANTE «PNCNS» Résultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo Pr ELOKO
Plus en détailsquelettique Importance pressentie des troubles de santé psychologique Sollicitation par les centres d urgence d
Étude chez les prépos posés s des centres d appels d d urgence : la première phase d une d démarche de prévention des troubles de santé psychologique et musculo-squelettique squelettique Présenté par Louise
Plus en détailLA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE
Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie
Plus en détailLes personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques?
Janvier 2011 Les personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques? Introduction Les soins dispensés aux patients souffrant d affections chroniques
Plus en détailGTSS GLOBAL TOBACCO SURVEILLANCE SYSTEM
GTSS GLOBAL TOBACCO SURVEILLANCE SYSTEM Questions sur le tabagisme à utiliser dans les enquêtes Sous-ensemble de questions essentielles tirées de l enquête mondiale sur le tabagisme chez les adultes (GATS)
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailEvaluation gériatrique standardisée
Evaluation gériatrique standardisée Dr Karim GALLOUJ Service de médecine gériatrique Pôle de gérontologie CH Dron Tourcoing Capacité de gérontologie Lille, le 7 décembre 2012 EGS ou Comprehensive Geriatric
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailConseils aux voyageurs
Conseils aux voyageurs Informations issues du site du Ministère des Affaires Etrangères en France : http://www.diplomatie.gouv.fr/ Entrée / Séjour : Un visa d entrée est nécessaire pour les ressortissants
Plus en détaile tic o N t u in g o L
LogiNut Notice Notice Loginut v2 sept 2013 INTRODUCTION LogiNut est un logiciel de recommandation et de suivi nutritionnel pour la gamme d aliments Virbac VetComplex. Il fonctionne via internet, est accessible
Plus en détailArticle. Bien-être économique. par Cara Williams. Décembre 2010
Composante du produit no 89-503-X au catalogue de Statistique Canada Femmes au Canada : rapport statistique fondé sur le sexe Article Bien-être économique par Cara Williams Décembre 2010 Comment obtenir
Plus en détailSPECIALITE : RESTAURATION À LIRE ATTENTIVEMENT AVANT DE TRAITER LE SUJET
AGENT DE MAÎTRISE TERRITORIAL Concours interne et de 3 ème voie Centre Interdépartemental de Gestion de la Grande Couronne de la Région d Île-de-France SESSION 2015 Epreuve écrite d admissibilité Vérification
Plus en détailRAPPORT FINAL. Étude sur la littératie financière chez les jeunes POR # 441-07
POR # 441-07 RAPPORT FINAL Étude sur la littératie financière chez les jeunes Préparé pour : L Agence de la consommation en matière financière du Canada Date du rapport : Août 2008 This report is also
Plus en détailExpertis. Étude Stress. Stress. sur le Éléments statistiques. Dr Brigitte Lanusse-Cazalé. Production : Le Laussat.
Expertis Étude Stress Stress sur le Éléments statistiques Dr Brigitte Lanusse-Cazalé Production : Le Laussat. Les réactions au stress Les phases de stress + le stress dure, + le capital d adaptation s
Plus en détailCALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING
CALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING SÉLECTION DES RISQUES PRÉVISION DES DÉFAUTS SUIVI ET CONTRÔLE Pierre-Louis GONZALEZ Différents types de
Plus en détailLe jeu «Si le monde était un village» Source : Afric Impact
Le jeu «Si le monde était un village» Source : Afric Impact Niveau / âge des participants Enfants (à partir de 12 ans), adolescents et adultes. Temps/durée d animation Environ ¼ d heure. Nombre d animateurs
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailANNEE SCOLAIRE EN COURS
La rédaction de cette circulaire de Rentrée relative au service de Restauration a été assurée par l Association des Parents d Élèves, section française (APE). Elle a été val idée par la direction du Lycée
Plus en détailPLAN NATIONAL D ACTION POUR LA NUTRITION 2012-2015
PLAN NATIONAL D ACTION POUR LA NUTRITION 2012-2015 Antananarivo Juillet 2012 SOMMAIRE RÉSUMÉ EXECUTIF... 8 I-CONTEXTE GENERAL... 1 II- SITUATION NUTRITIONNELLE A MADAGASCAR... 3 III- PROBLEMATIQUE DE LA
Plus en détailAgricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable
Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailNouveauté - Nouvelles modalités d inscription
Nouveauté - Nouvelles modalités d inscription A compter de la rentrée 2015, la commune a décidé de se doter d un nouveau système de réservation par Internet. Conformément au règlement, chaque famille qui
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailRenforcement de la Nutrition (SUN) Stratégie du mouvement [2012-2015]
Renforcement de la Nutrition (SUN) Stratégie du mouvement [2012-2015] Septembre 2012 Table des Matières SYNOPSIS... 1 A : VISION ET OBJECTIFS DU MOUVEMENT SUN... 2 B : APPROCHES STRATÉGIQUES ET OBJECTIFS...
Plus en détailvaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)
EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation
Plus en détail