L irrigation de la betterave à sucre au Maroc : comparaison des systèmes à économies d eau. Mme Naima BOUCH, COSUMAR

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L irrigation de la betterave à sucre au Maroc : comparaison des systèmes à économies d eau. Mme Naima BOUCH, COSUMAR"

Transcription

1 L irrigation de la betterave à sucre au Maroc : comparaison des systèmes à économies d eau Mme Naima BOUCH, COSUMAR 05 Juin 2013

2 Plan 1. Problématique des ressources en eau au Maroc 2. Programme National d Economie d Eau d Irrigation 3. Comparaison des systèmes d irrigation sur la culture de la betterave à sucre 4. Suivi pilotage de l irrigation localisée chez les betteraviers. 5. Orientations futures

3 Contexte hydraulique inquiétant Sauvegarder le potentiel productif des périmètres Gestion efficiente, productive et durable des ressources en eau PNEEI : Programme National d Economie d Eau d Irrigation

4 PNEEI : Programme National d Economie d Eau d Irrigation Objectif global Ha en irrigation localisée sur 10 ans. Coût global 37 Milliards de DH sur 10 ans: 30 Milliards de Dirhams pour les investissements physiques (80% part de l Etat et 20%part des agriculteurs) ; 7Milliards de Dirhams pour les composantes liées à la vulgarisation, les mesures d accompagnement et les imprévus financiers et physiques.

5 Consistance du PNEEI

6 Consistance du PNEEI 5 Composantes principales Modernisation collective Modernisation individuelle Valorisation agricole Renforcement de l appui technique Mesures d accompagnement

7 PNEEI: Etat d avancement Reconversion collective ORMVA Superficie «cible» Superficie «en travaux» % Haouz % Tadla % Gharb % Doukkala % Moulouya % Loukkos % Souss Massa % Total %

8 PNEEI Etat d avancement Reconversion individuelle Objectif PNEEI Réalisation au 04/

9 Equipement des parcelles et Accompagnement des agriculteurs

10 COSUMAR : Inscription dans la politique du PNEEI Contrat programme FIMASUCRE-ETAT pour le développement de la filière sucrière: Parmi les axes prioritaires: Promotion des systèmes économes d eau d irrigation adapté aux cultures sucrières; Accompagnement des agriculteurs sur le plan technique et financier pour la mise en place des systèmes les plus économes en eau; Développement du système d irrigation adéquat Mise en place des plates-forme d essai pour l évaluation des différents systèmes d irrigation (3 ans d essais)

11 ESSAI DE COMPARAISON DES DIFFÉRENTS SYSTÈMES D IRRIGATION SUR LA CULTURE DE BETTERAVE A SUCRE DANS LE PERIMETRE DE TADLA

12 Système d irrigation de la Betterave à sucre dans le périmètre de TADLA Pivot 11% Apersion 1% G-à-G 4% Gravitaire 84%

13 Irrigation de la Betterave à sucre dans le périmètre de TADLA COSUMAR Ministère de l Agriculture Contribuer à l économie d eau et la valorisation des ressources naturelles 1. Installation d un essai expérimental au niveau de la Station Ouled Gnaou (SEHA); 2. Suivi de cas pratiques, sur le terrain, de la conduite de l irrigation de la betterave à sucre au niveau de l exploitation l ABT.

14 Méthodologie adoptée Station Ouled Gnaou (OG) Superficie Totale : 0,90 Ha Dispositif expérimental : Bloc aléatoire complet avec quatre répétitions T1 Parcelle irriguée en localisée. T2: Parcelle irriguée par aspersion. T3: Parcelle témoin irriguée en gravitaire. 0,30 Ha/Parcelle Matériel d irrigation: Aspersion : Diamètres des buses : 3,32mm * 2,4mm ; Pression-Fonctionnement : 2,5bars ; Secteur arrosé : maille carrée 12*12m dominée par 4 asperseurs. Localisée : Débit : 4L/H ; Espacement entre goutteurs : 0,40m ; Espacement entre rompe : 1m ; Pression-Fonctionnement: 1bar.

15 Méthodologie adoptée 1. Station Ouled Gnaou (OG) G-à-G Aspersion Gravitaire

16 Méthodologie adoptée 1. Station Ouled Gnaou (OG) Mesure de l uniformité d arrosage: Cas de l aspersion La mesure de l uniformité a été effectuée le 25 janvier 2012, les caractéristiques techniques de l essai sont : Espacement entre pots : 2m ; Pression de fonctionnement réelle : 2.5bars ; Vitesse moyenne du vent : 0.47m/s. Coefficient d uniformité d arrosage : 83 %. Très bonne uniformité d arrosage dans la parcelle.

17 Méthodologie adoptée 1. Station Ouled Gnaou (OG) Mesure du coefficient d uniformité : Cas de l I.L. La mesure de l uniformité a été réalisée en deux dates: le 25 janvier 2012 (stade 4 feuilles) ; le 16 mai 2012 (stade Plein grossissements de la betterave). Coefficient d uniformité d arrosage: 96% dans la première date ; 95,74% dans la deuxième date. Ces valeurs sont jugées satisfaisantes ; elles traduisent un bon fonctionnement du réseau au cours du cycle de la culture.

18 Méthodologie adoptée 2. Suivi de l irrigation : Exploitation ABT Deux parcelles ont fait l objet de suivi à savoir : La première parcelle : une superficie de 3.84 hectares équipée en localisée; La seconde parcelle : une superficie de 3.92 hectares équipée par aspersion (longueur de 320 m et largeur de 120 m). G-à-G Aspersion Dispositif expérimental : Bloc aléatoire complet avec trois répétitions

19 Conduite technique au niveau de l exploitation ABT Itinéraire technique : Idem OG ; Semis de Saison en 21 Octobre : Irrigation Localisée ; Semis Tardif en 05 Décembre : Aspersion.

20 Résultats de l essai : Efficience Agronomique Racines Sucre Site d essai Technique d irrigation Consommation m3/ha Rdt (t/ha) Rich. (%) Effici. agro. Kg/m3 Rdt (t/ha) Effici. Kg/m3 Ouled Gnaou ABT Localisée Aspersion gravitaire Localisée *** Aspersion

21 Résultats de l essai : Evaluation Economique OULED GNAOU ABT Localisée Aspersion Gravitaire Localisée Aspersion Total des charges Total de production Marge bénéficiaire (Dh/ha) Volume d eau d irrigation m3/ha Valeur de production Dh/m *** Valeur ajoutée Dh/m

22 a. Le système d irrigation localisé reste le plus productif pour les exploitations à haute niveau de technicité suivi du système aspersif b. le système aspersif est plus favorable pour la culture de la Betterave à sucre. permette une meilleure maitrise technique pour la culture de la Betterave à sucre. Recommandations Reconduire les mêmes essais sur les techniques d irrigations ; Chercher le train technique le plus optimale pour une meilleure utilisation de l irrigation G-à-G ; Programme de formation continue pour le pilotage d irrigation aussi bien au G-à-G que l aspersif ; Accompagnement et Appui Conseil auprès des agriculteurs. Suivi-Pilotage de l irrigation localisée auprès des betteraviers durant la campagne 2012/2013

23 SUIVI DU PILOTAGE DE L IRRIGATION LOCALISEE CHEZ LES BETTERAVIERS

24 Objectifs Calcul du débit réel & apport en eau d irrigation en m3/ha ; Calcul du coefficient d uniformité Diagnostic sur la maitrise de l irrigation localisée par les différents betteraviers.

25 Méthodologie adoptée Définir le plan d irrigation de chaque exploitation ; Identifier et caractériser le secteur d irrigation à étudier ; Calcul du débit réel des goutteurs ; Calcul du coefficient d uniformité ; Suivi et calcul des apports en eau à l hectare (secteur étudié).

26 Débit à l hectare Exploitation CDA ZONE MATRICULE SUP. (Ha) Débit réel (m3/h/ha) Débit Théorique (m3/h/ha) ,00 38, ,00 65,77 84, ,00 69,46 71, A 1,00 19,52 34,72 Différence significative entre les débits réels des exploitations étudiées et ceux théoriques.

27 Coefficient d uniformité Exploitation CDA ZONE MATRICULE SUP. (Ha) Coefficient d uniformité (%) ,00 86% ,00 85% ,00 94,5% A 1,00 93% Une bonne uniformité entre les goutteurs de chaque exploitation.

28 Apport en eau d irrigation Exploitation SUP. (Ha) Débit réel (m3/h/ha) Nombre d irrigation Dose en heures Apport en eau (m3/ha) Date- Cumul 1 1,00 38, ,40 AU 18/04/13 2 1,00 65, ,24 Fin cycle (DL) 3 1,00 69, ,80 AU 18/04/13 4 1,00 19, ,04 Fin cycle (DL) Les betteraviers ayant réalisés la dernière livraison (DL) betterave ont dépassé un cumul moyen d eau de 6000m3/Ha malgré les fortes précipitations marquée cette année 2012/2013 : 362,45 mm.

29 Résultats Exploitation DATE SEMIS DL DATE-DL Cycle BAS ROT P.BRUT IMP POL Apport en eau (m3/ha ) RDT (T/Ha) 1 16/10/ ,92 6,12 16, , /10/ /05/ ,06 7,31 16, ,24 92, /09/ /05/ ,20 5,71 20, ,04 39, /09/ ,80 DL : Dernière livraison ; RDT : Rendement ; POL : Polarisation ; IMP : Impuretés ; P.BRUT : Poids Brut ; P.NET : Poids Net.

30 Constats Mauvaise exploitation du matériel installé ; Absence de débouchages des rampes et portes rampes ; Déficience de la gestion quotidienne de l irrigation et manque des outils pour le pilotage de l irrigation ; Mauvaise préparation de la solution mère lors de la fertigation ; Absence de filtration des fertilisants ce qui peut provoquer un problème de colmatage précisément lors de l utilisation du sulfate de potasse (K3SO4) moyennement soluble (sulfate).

31 Recommandation Encourager la formation et l encadrement des agriculteurs et fils d agriculteurs dans certains aspects d irrigation, tels que : La maintenance de la station de filtration et réseau d irrigation localisée La conduite de l irrigation ; Le mode de contrôle et vérification d une installation d irrigation localisée.

32 Orientations futures Chercher le train technique le plus optimale pour une meilleure utilisation de l irrigation G-à-G ; Développement du système d irrigation aspersif à couverture totale adapté à la culture de la betterave à sucre; Défense des subventions auprès de l Etat pour promouvoir le système d irrigation aspersif à couverture totale; Accompagnement des agriculteurs dans le cadre du projet d agrégation pour le développement des systèmes d irrigation économes en eau et adaptés aux cultures sucrières.

CONCEPTION PARTICIPATIVE D UN PROJET COLLECTIF D IRRIGATION LOCALISÉE DANS LE PÉRIMÈTRE DE PMH FOUM EL ANCER (BÉNI MELLAL)

CONCEPTION PARTICIPATIVE D UN PROJET COLLECTIF D IRRIGATION LOCALISÉE DANS LE PÉRIMÈTRE DE PMH FOUM EL ANCER (BÉNI MELLAL) CONCEPTION PARTICIPATIVE D UN PROJET COLLECTIF D IRRIGATION LOCALISÉE DANS LE PÉRIMÈTRE DE PMH FOUM EL ANCER (BÉNI MELLAL) M. KUPER, A. HAMMANI ET B. JAOUADI FIGURE 51 Atelier de restitution du projet

Plus en détail

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008 Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel

Plus en détail

Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires?

Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Louis Robert, agronome, M. Sc. Conseiller régional en grandes cultures Même s ils ne sont pas nouveaux sur le marché, les engrais de démarrage liquides

Plus en détail

Présenté par : Dr Asmae Nouira. Novembre Hanoi -2007. Journées Scientifiques Inter-Réseaux AUF

Présenté par : Dr Asmae Nouira. Novembre Hanoi -2007. Journées Scientifiques Inter-Réseaux AUF Efficacité du semis direct à contrer l érosion hydrique en milieu agricole : mise en évidence à l'aide des techniques de radioéléments, de modélisation et de mesures aux champs (MAROC-CANADA) Présenté

Plus en détail

GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS

GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS GESTION ET VALORISATION DES CENDRES DE CHAUFFERIES BOIS Stockage et Epandage Etude réalisée pour le compte de l ADEME par : SOLAGRO : M. Christian COUTURIER AQUASOL : M. Thierry BRASSET Coordination technique

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET SESSION 2011 France métropolitaine BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE ÉPREUVE N 2 DU PREMIER GROUPE ÉPREUVE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Option : Génie des équipements agricoles Durée : 3 heures 30 Matériel(s)

Plus en détail

SITUATION DE L AGRICULTURE MAROCAINE

SITUATION DE L AGRICULTURE MAROCAINE LE CONSEIL AGRICOLE : UNE NOUVELLE STRATÉGIE DE SERVICE POUR LES AGRICULTEURS DOSSIER ROYAUME DU MAROC SITUATION DE L AGRICULTURE MAROCAINE N 9 Novembre 2011 SITUATION DE L AGRICULTURE MAROCAINE N 9 Novembre

Plus en détail

R y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009

R y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009 Royaume du Maroc PLAN MAROC VERT Mai 2009 ENJEUX Enjeux économiques Contribue pour 19 % du PIB national 15% production 4% Agro industrie Rôle capital dans la stabilité macro économique Enjeux sociaux Emploie

Plus en détail

Guide de la documentation parcellaire

Guide de la documentation parcellaire Guide de la documentation parcellaire Agrar-Office AgroWIN Agrar-Office AgroWIN 0 200 m 0 200 m 40% 30% 20% 10% 0% Statistik gespeichert am 26.09.2007 Mittelwert 69,43 % 25% 20% 15% 10% 5% 0% Legende [%]

Plus en détail

Contexte : Objectif : Expérimentation :

Contexte : Objectif : Expérimentation : Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote

Plus en détail

janvier 2004- janvier 2006 335 millions Euro (Prêt BAD : 215 millions Euros ; Don CE : 120 millions Euros)

janvier 2004- janvier 2006 335 millions Euro (Prêt BAD : 215 millions Euros ; Don CE : 120 millions Euros) Portefeuille de projet MAROC I. PROJETS RÉCEMMENT ACHEVÉS Prêt de Politique de Développement du secteur de l eau Banque Mondiale Mai 2007 décembre 2007 Assistance technique au Projet d Amélioration de

Plus en détail

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :

Plus en détail

Micro-irrigation à Madagascar

Micro-irrigation à Madagascar P R AVSF - J. Mas A X IS LES EXPÉRIENCES I N N O VA N T E S D AV S F PAYS Madagascar TITRE DU PROJET SCAMPIS Développement des Systèmes de Micro-irrigation BÉNÉFICIAIRES DIRECTS Plus de 10 000 familles

Plus en détail

ANNEXE 1-A UNOPS BUREAU DES SERVICES D APPUI AUX PROJETS DES NATIONS UNIES INDICATEURS DES PERFORMANCES DU PROJET

ANNEXE 1-A UNOPS BUREAU DES SERVICES D APPUI AUX PROJETS DES NATIONS UNIES INDICATEURS DES PERFORMANCES DU PROJET ANNEXE 1-A UNOPS A. ETAT D EXECUTION DES RECOMMANDATIONS DE LA MISSION DE SUPERVISION DU MOIS DE SECTION II : RECOMMA NDATIONS DE LA MISSION N. ET ACTIONS ENTREPRISES PAR LE PROJET RECOMMANDATIONS SITUATION

Plus en détail

EVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE

EVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL EVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT AGRICOLE Evaluation

Plus en détail

Ak k a Ai t El Mekki. E c o l e n a t i o n a l e d A g r i c u l t u r e d e M e k n e s

Ak k a Ai t El Mekki. E c o l e n a t i o n a l e d A g r i c u l t u r e d e M e k n e s Les Monographies du CIHEAM Edition 2008 L agriculture, l agro-alimentaire, la pêche et le développement rural Ak k a Ai t El Mekki E c o l e n a t i o n a l e d A g r i c u l t u r e d e M e k n e s Cette

Plus en détail

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;

Plus en détail

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au

Plus en détail

Expert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc

Expert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société

Plus en détail

STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE

STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient

Plus en détail

ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC

ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC Ministère Chargé du Commerce Extérieur ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC Présentation du secteur agroalimentaire (IAA) Le secteur des industries agroalimentaires

Plus en détail

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008

Plus en détail

Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage

Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage Romain LEGERE- Arvalis(station de la Jaillière Collaboration Bruno Couilleau-CA44 (Ferme de Derval) Techniques agronomiques innovantes

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

Planification des superficies de légumes nécessaires

Planification des superficies de légumes nécessaires MODULE 3 CHAPITRE 3 Planification des superficies de légumes nécessaires SOMMAIRE 1. Rendements 1 1.1 Rendements moyens des légumes 2 1.2 Évaluation des rendements 4 2. Choix de l espacement entre les

Plus en détail

La gestion intégrée des produits résiduaires organiques de la micro-régionouest de la Réunion Etat d avancement du projet

La gestion intégrée des produits résiduaires organiques de la micro-régionouest de la Réunion Etat d avancement du projet La gestion intégrée des produits résiduaires organiques de la micro-régionouest de la Réunion Etat d avancement du projet T. Wassenaar, J. Queste, J.M. Paillat Assemblée Générale du RMT Fertilisation &

Plus en détail

Fiche Technique. sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre. (Solanum tuberosum L.) au Cameroon

Fiche Technique. sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre. (Solanum tuberosum L.) au Cameroon Fiche Technique sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre (Solanum tuberosum L.) au Cameroon I. JUSTIFICATION La pomme de terre est une culture importante qui participe à la sécurité alimentaire

Plus en détail

Les 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française

Les 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement

Plus en détail

Ce document a été numérisé par le CRDP de Bordeaux pour la

Ce document a été numérisé par le CRDP de Bordeaux pour la Ce document a été numérisé par le CRDP de Bordeaux pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel. Campagne 212 Ce fichier numérique ne peut être reproduit, représenté, adapté

Plus en détail

L Assurance agricole au Sénégal

L Assurance agricole au Sénégal COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système

Plus en détail

La culture de la fraise à jours neutres

La culture de la fraise à jours neutres La culture de la fraise à jours neutres INTRODUCTION : Introduite en 1985 par l'université Laval à titre d'essai, la culture de la fraise à jour neutre est restée une production marginale au Québec. Le

Plus en détail

Projet Nador West Med

Projet Nador West Med ROYAUME DU MAROC Projet Nador West Med NOTE DE PRESENTATION SOMMAIRE Mai 2014 Sommaire EXECUTIVE SUMMARY 3 PARTIE I - PRESENTATION GENERALE DU PROJET NWM 5 1. Positionnement stratégique du Projet 2. Composantes

Plus en détail

PRESENTATION DU PROGRAMME ET DU CAHIER DE CHARGES DE L AGRO INVESTISSEUR

PRESENTATION DU PROGRAMME ET DU CAHIER DE CHARGES DE L AGRO INVESTISSEUR CRÉDIT IDA N 4151-SE - DON ACDI N TF058319 Mise en valeur de 2500 ha dans la zone du Delta du Fleuve Sénégal PRESENTATION DU PROGRAMME ET DU CAHIER DE CHARGES DE L AGRO INVESTISSEUR Ce programme est réalisé

Plus en détail

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de

Plus en détail

La gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques

La gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques La gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques Par Philippe PARENT Institution des Wateringues Par Philippe PARENT Institution

Plus en détail

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso

Adaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les

Plus en détail

Bien choisir sa variété de maïs ensilage

Bien choisir sa variété de maïs ensilage Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention

Plus en détail

Perspectives d applications de la télédétection en grandes culture à court et moyen terme dans le Sud-Ouest

Perspectives d applications de la télédétection en grandes culture à court et moyen terme dans le Sud-Ouest Perspectives d applications de la télédétection en grandes culture à court et moyen terme dans le Sud-Ouest Jean-François DEJOUX CESBIO & Luc CHAMPOLIVIER CETIOM Télédétection en agriculture : nouveau

Plus en détail

STRATEGIE DE GESTION DES RISQUES DANS LE SECTEUR AGRICOLE

STRATEGIE DE GESTION DES RISQUES DANS LE SECTEUR AGRICOLE Royaume du Maroc Ministère de l Agriculture et de la Pêche Maritime STRATEGIE DE GESTION DES RISQUES DANS LE SECTEUR AGRICOLE Congrès International sur l Assurance et la Réassurance des Risques Agricoles

Plus en détail

PACTE VERT. Une banque au cœur de Maroc Vert

PACTE VERT. Une banque au cœur de Maroc Vert PACTE VERT Une banque au cœur de Maroc Vert CULTIVONS VOTRE COMPÉTITIVITÉ UNE PRIORITÉ NATIONALE ACCOMPAGNÉE PAR LE GROUPE ATTIJARIWAFA BANK Le secteur agricole marocain s est vu assigner une place prioritaire

Plus en détail

Moyens de production. Engrais

Moyens de production. Engrais Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement

Plus en détail

SEMER DES IDÉES RÉCOLTER LE SUCCÈS

SEMER DES IDÉES RÉCOLTER LE SUCCÈS SEMER DES IDÉES RÉCOLTER LE SUCCÈS ME Spécialiste et leader de l électronique embarquée et de l agriculture de précision Précurseur et accompagnateur DES VALEURS FAMILIALES À LA BASE D UN PARTENARIAT RÉUSSI

Plus en détail

CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole

CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie

Plus en détail

EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS

EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS MARTIN S. *, DELAHAYE F. ** Bureau d études E3C 2 rue Léon Patoux CS 50001 51664 REIMS CEDEX * Mr Stéphane MARTIN, Directeur

Plus en détail

FICHE RESUME DE L ETUDE DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE

FICHE RESUME DE L ETUDE DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE FICHE RESUME DE L ETUDE DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE 2 2011 Beatriz Cerezo Monje Rosalva Espino Ramírez Cristina Silvera Roig 1. INTRODUCTION Le Maroc est un pays de tradition agricole et rurale, et dispose

Plus en détail

ETUDES DEPF. Performances et compétitivité des exportations des filières phares du secteur agroalimentaire marocain.

ETUDES DEPF. Performances et compétitivité des exportations des filières phares du secteur agroalimentaire marocain. ETUDES DEPF 1 Performances et compétitivité des exportations des filières phares du secteur agroalimentaire marocain Royaume du Maroc Direction des Etudes et des Prévisions Financières Performances et

Plus en détail

La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque.

La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque. La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque. Cette action de diffusion est cofinancée par l Union européenne avec les Fonds Européen Agricole pour le Développement

Plus en détail

Registre des Délibérations du 18 mars 2015 Conseil Municipal de la commune de LES PILLES. Nombre de membres afférents au Conseil Municipal : 11

Registre des Délibérations du 18 mars 2015 Conseil Municipal de la commune de LES PILLES. Nombre de membres afférents au Conseil Municipal : 11 Séance du 18 mars 2015 Nombre de membres afférents au Conseil Municipal : 11 En exercice : 11 Présents : 10 Votants : 10 Date de convocation : 13 mars 2015 L an deux mille quinze et le 18 mars 2015 le

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE

FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE 2 I- JUSTIFICATION La consommation de la pastèque est en nette expansion en réponse à une forte demande nationale et régionale ; Cependant la production

Plus en détail

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse

Plus en détail

Pour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie

Pour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie Conférence de presse Arvalis, Cetiom, InVivo AgroSolutions Paris, le 25 octobre 2013 Pour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie 1- Pourquoi un partenariat?

Plus en détail

DOSSIER D INFORMATION

DOSSIER D INFORMATION DOSSIER D INFORMATION PRESSE SOMMAIRE TECNOMA 2- Entreprise Champenoise créée en 1952 2- De TECNOMA au groupe EXEL Industries 3 - De la conception à la production 4 & 5- Des domaines d application variés

Plus en détail

La région Nord-Pas-de-Calais

La région Nord-Pas-de-Calais La région Nord-Pas-de-Calais A Quelle est l identité de ma région? Quelles sont ses activités? 1 La région Nord-Pas-de-Calais en France 1 2 Les chiffres-clés de la région Nord-Pas-de-Calais Nord-Pas-de-Calais

Plus en détail

Diagnostic de la stabilité des peuplements à l aide des données de l IFN

Diagnostic de la stabilité des peuplements à l aide des données de l IFN GIP Ecofor Diagnostic de la stabilité des peuplements à l aide des données de l IFN P. Riou-Nivert (IDF) avec J.-C. Hervé (Engref/IFN), B. Piton (Engref), T. Belouard, J.-P. Renaud, C. Cluzeau, A. Colin

Plus en détail

TCS, strip-till et semis direct

TCS, strip-till et semis direct Témoignage dethierry Lesvigne Polyculture Elevage Bovin Lait La Bernaudie 24 480 ALLES- SUR-DORDOGNE Depuis 2008, Thierry Lesvigne a choisi repenser l ensemble de son système agronomique et a arrêté définitivement

Plus en détail

PRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS. Avril 2011

PRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS. Avril 2011 PRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS Avril 2011 1 Mise en place d un cadre législatif et réglementaire L instauration par la Loi 15-02 de: l obligation d exercice des activités portuaires dans

Plus en détail

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement

Plus en détail

Quelles sont les principales formules utiles pour l étude de cas de vente?

Quelles sont les principales formules utiles pour l étude de cas de vente? Quelles sont les principales formules utiles pour l étude de cas de vente? Approvisionnement et gestion des stocks : des quantités vendues dans un Du stock initial, final et des livraisons, des commandes

Plus en détail

La campagne 2004/05 a vu des livraisons globalement stables:

La campagne 2004/05 a vu des livraisons globalement stables: Conférence de presse UNIFA - 23 septembre 2005 Sommaire Le marché des engrais : campagne 2004-2005 La hausse des prix de l énergie pèse sur la nouvelle campagne Le contexte réglementaire : la nouvelle

Plus en détail

Action 5.1.1 : Mettre en place des outils d accompagnement technico-économique en matière de pratiques culturales

Action 5.1.1 : Mettre en place des outils d accompagnement technico-économique en matière de pratiques culturales Orientation stratégique n 5 : Innover pour amélior er la productivité des exploitations Objectif opérationnel 5.1 : acquérir des références technico-économiques sur des techniques alternatives Action 5.1.1

Plus en détail

BILAN HYDRIQUE ET BESOIN D IRRIGATION DE LA CEREALICULTURE EN REGION SEMI-ARIDE.

BILAN HYDRIQUE ET BESOIN D IRRIGATION DE LA CEREALICULTURE EN REGION SEMI-ARIDE. Résumé Des travaux de recherches combinant les précipitations annuelles et les températures, classent la zone d étude dans le climat méditerranéen de l étage semi-aride (Seltzer, 1949; Emberger, 1955).

Plus en détail

Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation

Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation Calcul des pertes de pression et dimensionnement des conduits de ventilation Applications résidentielles Christophe Delmotte, ir Laboratoire Qualité de l Air et Ventilation CSTC - Centre Scientifique et

Plus en détail

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales

Plus en détail

La couverture des risques agricoles

La couverture des risques agricoles PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture

Plus en détail

ROYAUME DU MAROC AGENCE DU BASSIN HYDRAULIQUE DU LOUKKOS

ROYAUME DU MAROC AGENCE DU BASSIN HYDRAULIQUE DU LOUKKOS ROYAUME DU MAROC AGENCE DU BASSIN HYDRAULIQUE DU LOUKKOS Plan de Communication Opérationnel de l Agence du Bassin Hydraulique du Loukkos 1 PLAN 1. Analyse de l environnement 2. l environnement externe

Plus en détail

Méthodes d irrigation en milieu aride

Méthodes d irrigation en milieu aride Projet d Eau 2012 Tuteur : Nadia Saiyouri Méthodes d irrigation en milieu aride BARBISAN Nicola De SEVIN Hugo GABARROT François Le GAC Thibaut RYSAK Quentin ULLMANN Coralie Sommaire Introduction... 4 I

Plus en détail

[Signature]Essais réalisés en collaboration entre les Chambres d'agriculture de Bretagne, les fédérations de Cuma et Arvalis Institut du végétal.

[Signature]Essais réalisés en collaboration entre les Chambres d'agriculture de Bretagne, les fédérations de Cuma et Arvalis Institut du végétal. [Titre]Semis de maïs : 3 semoirs à l'épreuve de la vitesse [Commentaires sur la mise en forme : Le tableau des caractéristiques des matériels avec les photos des semoirs doit être placé en première page.

Plus en détail

Eléments pour un choix du mode de gestion du service public de transport. Synthèse de l étude menée par le cabinet Trans I.

Eléments pour un choix du mode de gestion du service public de transport. Synthèse de l étude menée par le cabinet Trans I. Eléments pour un choix du mode de gestion du service public de transport Synthèse de l étude menée par le cabinet Trans I.D et proposition Le contexte Une absence de concurrence «réelle» lors de la procédure

Plus en détail

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe

Plus en détail

Livret de formules. Calcul Professionnel Boulangère-Pâtissière-Confiseuse AFP Boulanger-Pâtissier-Confiseur AFP

Livret de formules. Calcul Professionnel Boulangère-Pâtissière-Confiseuse AFP Boulanger-Pâtissier-Confiseur AFP Version 2: 13.11.2014 Livret de formules Calcul Professionnel Boulangère-Pâtissière-Confiseuse AFP Boulanger-Pâtissier-Confiseur AFP Economie d entreprise Boulangère-Pâtissière-Confiseuse CFC Boulanger-Pâtissier-Confiseur

Plus en détail

THÉÂTRE DU BEAUVAISIS

THÉÂTRE DU BEAUVAISIS THÉÂTRE DU BEAUVAISIS THÉÂTRE DU BEAUVAISIS Un peu d histoire Enquête publique : le cadre Le dossier Déroulement de l enquête Avis et conclusions du CE Après remise du rapport Octobre 2014 : où en est-on?

Plus en détail

DIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR

DIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR COMMUNE DE LA VALLA EN GIER Le Bourg 42131 La Valla-en-Gier DIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR Rapport de Phase III Juin 2012 ICA ENVIRONNEMENT 6 Rue Emile Noirot - 42300

Plus en détail

Informations techniques sur la culture de l ananas

Informations techniques sur la culture de l ananas Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant

Plus en détail

Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance

Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance Au sens des fiches de définition des indicateurs de performance : 1. Parties prenantes Autorité organisatrice

Plus en détail

PAC. ce qui change. vraiment

PAC. ce qui change. vraiment PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne

Plus en détail

Terre&Nature, c est chaque jeudi plus de 110 000 lecteurs fidèles par nature.

Terre&Nature, c est chaque jeudi plus de 110 000 lecteurs fidèles par nature. Tarifs 2014 Terre&Nature, c est chaque jeudi plus de 110 000 lecteurs fidèles par nature. Xavier Duquaine Rédacteur en chef Chaque semaine, offrez-vous une place au cœur de la nature dans notre hebdomadaire!

Plus en détail

Dimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant

Dimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant Dimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant I Présentation I.1 La roue autonome Ez-Wheel SAS est une entreprise française de technologie innovante fondée en 2009.

Plus en détail

Grilles acoustiques. Type NL 6/6/F/2

Grilles acoustiques. Type NL 6/6/F/2 Grilles acoustiques Type NL //F/ Sommaire Description Description Exécutions Dimensions et poids Constructions modulaires Options Installation 5 Données techniques, type NL Données techniques type, NL

Plus en détail

Bancs publics. Problématiques traitées : FICHE

Bancs publics. Problématiques traitées : FICHE Bancs publics Pour un piéton dont les ressources de mobilité sont limitées, le banc public n est pas uniquement un lieu de détente, mais il lui sert également à retrouver des forces pour poursuivre son

Plus en détail

Session d accompagnement de la rénovation du BTSA GEMEAU Bordeaux, mai 2011. Atelier n 4. Formation en milieu professionnel EPREUVE E7- SPV/SPS

Session d accompagnement de la rénovation du BTSA GEMEAU Bordeaux, mai 2011. Atelier n 4. Formation en milieu professionnel EPREUVE E7- SPV/SPS Session d accompagnement de la rénovation du BTSA GEMEAU Bordeaux, mai 2011 Atelier n 4 Formation en milieu professionnel EPREUVE E7- SPV/SPS L épreuve 7 permet d évaluer la capacité intégrative 10 du

Plus en détail

Avis bureau Création d une zone commerciale Sainte Anne sur Brivet

Avis bureau Création d une zone commerciale Sainte Anne sur Brivet Déplacement et agrandissement de la zone commerciale de Pont Château. 30ha Le projet et le SAGE Qualité des milieux Article 1 protection des zones humides Article 2 niveau de compensation Article 5 création

Plus en détail

Présentation du nouveau programme de remboursement de taxes foncières. novembre 2014

Présentation du nouveau programme de remboursement de taxes foncières. novembre 2014 Présentation du nouveau programme de remboursement de taxes foncières novembre 2014 Progamme de remboursement de taxes foncières 1. Contexte général; 2. Résumé de l ancien programme; 3. Présentation du

Plus en détail

BANK AL-ÂMAL INSTITUTION DEDIEE AU FINANCEMENT DES INVESTISSEMENTS DES MRE

BANK AL-ÂMAL INSTITUTION DEDIEE AU FINANCEMENT DES INVESTISSEMENTS DES MRE BANK AL-ÂMAL INSTITUTION DEDIEE AU FINANCEMENT DES INVESTISSEMENTS DES MRE Financement des projets de création d entreprises innovantes au Maroc par les expatriés marocains.-paris-23 mai 2006 Sommaire

Plus en détail

SEMINAIRE SUR LES RISQUES AGRICOLES POTENTIEL AGRICOLE ASSURABLE ET PERSPECTIVES D EVOLUTION

SEMINAIRE SUR LES RISQUES AGRICOLES POTENTIEL AGRICOLE ASSURABLE ET PERSPECTIVES D EVOLUTION REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMNET RURAL SEMINAIRE SUR LES RISQUES AGRICOLES POTENTIEL AGRICOLE ASSURABLE ET PERSPECTIVES D EVOLUTION Communication

Plus en détail

1 - Le catalogue d états prêts à l emploi p.2

1 - Le catalogue d états prêts à l emploi p.2 Nouveau Sage 100 Gestion Commerciale Edition Pilotée Plus simple, plus riche, plus métier! Sage 100 Gestion Commerciale Edition Pilotée est la solution de référence pour vous accompagner dans votre gestion

Plus en détail

Un lieu Foncière Terre de Liens pour approvisionner la cantine de Barjac (Gard)

Un lieu Foncière Terre de Liens pour approvisionner la cantine de Barjac (Gard) Un lieu Foncière Terre de Liens pour approvisionner la cantine de Barjac (Gard) FICHES 01 Expériences Depuis quelques années, grâce à l engagement de la mairie, la cantine scolaire de Barjac compose ses

Plus en détail

Semis direct du maïs

Semis direct du maïs Département fédéral de l'économie DFE Station de recherche Agroscope Reckenholz-Tänikon ART Semis direct du maïs Etude comparative de différents semoirs pour semis direct Bernhard Streit Journée d information

Plus en détail

SPECIALITE : RESTAURATION À LIRE ATTENTIVEMENT AVANT DE TRAITER LE SUJET

SPECIALITE : RESTAURATION À LIRE ATTENTIVEMENT AVANT DE TRAITER LE SUJET AGENT DE MAÎTRISE TERRITORIAL Concours interne et de 3 ème voie Centre Interdépartemental de Gestion de la Grande Couronne de la Région d Île-de-France SESSION 2015 Epreuve écrite d admissibilité Vérification

Plus en détail

Programme Agroforesterie 2006/08. Groupe de Travail GT1

Programme Agroforesterie 2006/08. Groupe de Travail GT1 Mission DAR Année et N du projet : 2005 N 321 Programme Agroforesterie 2006/08 Groupe de Travail GT1 Outils d aide à la décision en agroforesterie Responsable de groupe : Christian Dupraz (INRA) R 1.2

Plus en détail

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004 Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)

Plus en détail

APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc.

APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc. APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS Gilles Rivard, ing. M. Sc. Québec 15 mars 2012 PRÉSENTATION Particularités des petits bassins

Plus en détail

LES PROGRAMMES D APPUI A LA COMPETITIVITE DES PME. Hanane SADEQ

LES PROGRAMMES D APPUI A LA COMPETITIVITE DES PME. Hanane SADEQ LES PROGRAMMES D APPUI A LA COMPETITIVITE DES PME Hanane SADEQ Date: 25-9-2013 Sommaire L APPUI AUX PME: AU CŒUR DES DIFFÉRENTES STRATÉGIES SECTORIELLES LES PROGRAMMES D APPUI A LA PME CONSISTANCE ET OBJECTIFS

Plus en détail

PARC DES EXPOSITIONS de la Porte de Versailles

PARC DES EXPOSITIONS de la Porte de Versailles PARC DES EXPOSITIONS de la Porte de Versailles I- LE PARC DES EXPOSITIONS AUJOURD HUI Bien positionné sur les classements internationaux, Paris est une destination phare du tourisme d affaires au niveau

Plus en détail

CRITERES D EXAMEN DE VARIETES EN VUE DE LEUR ADMISSION AU CATALOGUE POMMES DE TERRE (Solanum tuberosum L.) - 13/12/2013

CRITERES D EXAMEN DE VARIETES EN VUE DE LEUR ADMISSION AU CATALOGUE POMMES DE TERRE (Solanum tuberosum L.) - 13/12/2013 1/9 CRITERES D EXAMEN DE VARIETES EN VUE DE LEUR ADMISSION AU CATALOGUE POMMES DE TERRE (Solanum tuberosum L.) - 13/12/2013 I. EXAMEN DE LA DISTINCTION, L HOMOGENEITE ET DE LA STABILITE (D.H.S.). L examen

Plus en détail

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVII e Édition Règlement n o 2014-02 : Règlement sur le développement des toits verts et l agriculture urbaine PRÉSENTATION Présenté par M. Charles Marois, membre du comité exécutif,

Plus en détail

Fertiliser le maïs autrement

Fertiliser le maïs autrement Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein

Plus en détail

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions

Plus en détail

Autocontrôle et traçabilité dans la production primaire végétale

Autocontrôle et traçabilité dans la production primaire végétale Gisèle Fichefet Conseillère Vegaplan.be Le Standard GIQF : Autocontrôle et traçabilité dans la production primaire végétale Contenu Introduction Historique GIQF/Guide sectoriel Vegaplan.be Le Standard

Plus en détail

VERS UNE GESTION OPTIMALE DES RESSOURCES EN EAU. EXEMPLE DE LA TUNISIE.

VERS UNE GESTION OPTIMALE DES RESSOURCES EN EAU. EXEMPLE DE LA TUNISIE. VERS UNE GESTION OPTIMALE DES RESSOURCES EN EAU. EXEMPLE DE LA TUNISIE. Habaieb H*., Albergel J.** * Institut National Agronomique de Tunisie ** Mission IRD de Tunis RESUME La Tunisie reçoit en moyenne

Plus en détail

Les rencontres de l Agence de l eau Clermont Ferrand 10 janvier 2012. TECHNIQUES D EPURATION Dispositifs agréés Abdel LAKEL, CSTB

Les rencontres de l Agence de l eau Clermont Ferrand 10 janvier 2012. TECHNIQUES D EPURATION Dispositifs agréés Abdel LAKEL, CSTB Les rencontres de l Agence de l eau Clermont Ferrand 10 janvier 2012 TECHNIQUES D EPURATION Dispositifs agréés Abdel LAKEL, CSTB 1 Dispositifs agréés Typologie et principe Procédés à écoulement saturé

Plus en détail