Numéro du Projet LIFE : LIFE05ENV/F/000082
|
|
- Damien Simon
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Numéro du Projet LIFE : LIFE05ENV/F/ Amélioration des performances du séchage des Tuiles et Briques par récupération de la chaleur latente de condensation de l eau afin de réduire les émissions de Gaz à Effet de Serre - Responsible du projet: Patrick PERRIN Téléphone: Organisation: CTMNC, 17 rue Letellier PARIS Partenaire : CERIC - PARIS Date de démarrage: 01/11/2005 Date de fin 21/12/2007 (arrêt anticipé)
2 Résumé : Le C.T.M.N.C., en partenariat avec le CERIC, est subventionné par l organisme environnemental Life Environment pour étudier le procédé de séchage co-courant sur les produits de terre cuite. Ce procédé doit réduire les consommations d énergie en récupérant la chaleur latente des effluents du séchoir Dans le cadre de ce projet, le C.T.M.N.C., en partenariat avec l ENSCI, a conçu une enceinte climatique pour simuler, à l échelle laboratoire, le séchage co-courant de produits de terre cuite. Au lieu de faire évoluer l atmosphère en fonction de la distance parcourue dans le séchoir, elle varie en fonction du temps écoulé. Cette enceinte climatique, régulée en température et en humidité relative, est installée dans l un des laboratoires du C.T.M.N.C. Elle mesure le retrait linéaire, la perte de masse du produit et la vitesse d air dans l enceinte. La phase de validation du procédé est terminée. 1. enceinte climatique instrumentée Afin d'étudier la faisabilité du séchage en co-courant par l'utilisation d'air saturé en humidité, il était nécessaire de simuler ce séchage à l échelle laboratoire avant son industrialisation. Pour cela, il a fallu développer un prototype d enceinte climatique capable d atteindre cet objectif, c est-à-dire de réguler une atmosphère dans les conditions spécifiées précédemment de façon très précise Description générale du prototype La conception d un prototype est souvent délicate et le choix du fournisseur est déterminant. Dans notre cas, le choix était plutôt restreint puisque seulement trois fournisseurs étaient capables de concevoir une telle machine (Figure 1). C est avec l entreprise BIA Climatic que nous avons élaboré le cahier des charges (ANNEXE IV) servant à la fabrication de machine. la Figure 1: Prototype d enceinte climatique du C.TM.N.C. 2
3 Résultats obtenus Perte de masse de l'argile 1 perte de masse en % de la masse sèche 20% 15% 10% 5% T=95 et HR=85 T=95 et HR=85 T=95 et HR=85 T=95 et HR=80 T=95 et HR=80 T=95 et HR=20 T=95 et HR=20 T=90 et HR=80 T=90 et HR=70 T=90 et HR=60 T=90 et HR=40 T=90 et HR=40 T=90 et HR=20 T=90 et HR=20 0% temps en heures Figure 2 La Figure 2 représente les pertes de masse des échantillons d argile 1 dans les conditions de température et d humidité relative indiquées. Les échantillons des argiles 1 et 2 atteignent des pourcentages d humidité résiduelle proches des pourcentages industriels et sèchent sans défauts apparents. De plus, le temps de séchage de ces argiles dans ces conditions est comparable à leur temps de séchage en usine (courbes de retrait et de perte de masse des deux argiles, ANNEXE V)., la partie «Labo» concerne les essais présentés ci-dessus et la partie «Usine» reprend les résultats obtenus par le fabricant. Retrait Perte de masse Argile 1 Argile 2 Labo : retrait fini en moins de 5 h (1,5 à 5 h) pour tous les essais sauf à 90 C/(90, 85 et 80 % d HR) et à 95 C/90 % d HR (entre 8 et 10 h). Usine : retrait effectué en moins de 5 h. Labo : masse stabilisée après 5 à 10 h de séchage pour tous les essais pour des humidités résiduelles de 1,5 à 5,8 % sur sec. Usine : 7 h de séchage pour une humidité résiduelle de 3 %. Labo : retrait fini en moins de 5 h (1,5 à 5 h) pour tous les essais sauf pour ceux effectués à 90 C/80 % d HR (8 h 30). Usine : retrait effectué après 12 h de séchage. Labo : masse stabilisée en moins de 9 h avec une humidité résiduelle de 2 à 5,5 % pour tous les essais sauf à (95 et 90 C)/80 d HR (6,5 et 8,5 %). Usine : séchage en 15 h avec une 3
4 humidité résiduelle de 3 %. Etat de surface Labo : aucune fissure apparente Labo : aucune fissure apparente Tableau 1 : Bilan expérimental de la première étape de la phase de validation Bilan de la deuxième campagne d essais Hormis un temps de séchage en conditions co-courant un peu plus long qu en conditions industrielles pour l argile 1, les essais montrent que les deux procédés de séchage permettent d obtenir des produits aux propriétés similaires (Tableau 2). Argile et type de séchage Argile 1 ind Argile 1 Co-C Argile 2 ind Argile 2 Co-C Retrait Temps Séchage Eau résiduelle Temps Flexion 3 points (MPa) Gel Perte Etat de masse Porosité ouverte en cuit 4,5% 6h 3,0% 7h Cmoy=4,4 OK 0,1% 9,2% 4,5% 9h 2,5% 16h Cmoy=4,1 OK 0,1% 8,8% 3,1% 11h 3,0% 15h Cmoy=6,0 OK 0,1% 34,0% 3,0% 8h 3,5% 15h Cmoy=5,7 OK 0,1% 35,7% Tableau 2 : Bilan des propriétés des produits en comparant les deux modes de séchage 4
5 2. Bilan énergétique du procédé de séchage Extraire tout ou partie d un solvant d un matériau est énergétiquement coûteux. Le séchage thermique consomme 2,5 MJ (chaleur latente de vaporisation) pour évaporer un kilogramme d eau. Les séchoirs traditionnels peuvent utiliser jusqu à trois fois cette quantité d énergie. Le coût du séchage des produits de terre cuite est évalué à GJ d énergie primaire soit environ 15 % de l énergie industrielle consommée en Europe (source : ADEME) Principe du séchage contre-courant Deux types de séchoirs sont généralement observés dans la profession : les séchoirs à chambre (où les produits sont statiques) et les séchoirs tunnels (où les produits sont mobiles). Concernant les tuiles et briques, le séchoir tunnel est plus couramment utilisé et fonctionne généralement en contre-courant (Figure 3). De l'air chaud et sec (entre 100 et 110 C) est introduit sur les produits qui sortent du séchoir. A ce stade du séchage, les produits ont une teneur faible en eau (2 à 3 %) et peuvent, donc, supporter un air avec un pouvoir séchant assez important. L air, circulant dans le sens opposé aux produits, fournit aux produits la chaleur nécessaire à l'évaporation du liquide et entraîne la vapeur formée. Son humidité relative augmente et sa température diminue jusqu à son extraction. L air de sortie est à 40 C avec 85 % d humidité relative et rencontre les produits à l entrée du séchoir, la teneur en eau des produits avoisine 20 % de la masse sèche. En début de séchage, le produit ne peut pas supporter un pouvoir séchant (notion décrivant la capacité de l air à absorber de la vapeur d eau) de l air trop important au risque d observer un phénomène de croûtage, entraînant des gradients importants d humidité et de température dans le matériau. Air chaud Circulation d air Air humide Sortie des wagons Entrée des wagons Figure 3 : Schéma d un séchoir tunnel fonctionnant à contre-courant L air introduit est chauffé par des brûleurs alimentés en gaz naturel ou en GPL. Les produits sont disposés sur des wagons (ou balancelles ou châssis) comportant plusieurs étages et sont transportés de l entrée du séchoir à la sortie par ces mêmes wagons. Si le flux d évaporation entre l air et le produit est considéré constant, alors les variations d énergie de l air et du produit peuvent être schématisées par la Figure 4. 5
6 Energie τ 0 Air τ fin τ fin φ = C te Produit τ 0 Distance parcourue dans le tunnel Figure 4 : Evolution de l énergie de l air et du produit dans un tunnel fonctionnant à contre-courant 2.2. Principe du séchage co-courant Le séchage co-courant, contrairement au contre-courant, n est pas encore utilisé dans la fabrication des produits de terre cuite. La ci-dessous montre le principe d un séchoir tunnel à cocourant. La courbe correspond à un système similaire à celui du contre-courant mais, cette fois-ci, l air et les produits circulent dans le même sens. Les produits humides à l entrée du séchoir reçoivent un air à fort pouvoir séchant, puis celui-ci se charge en humidité tout en continuant à être chauffé jusqu à sa sortie par l autre extrémité du séchoir. Ce système pourrait fonctionner pour sécher des matières premières, car elles peuvent supporter un air à fort pouvoir séchant sans se détériorer. Ce n est pas le cas des produits argileux pour lesquels le séchage est une phase délicate. T entrée =40 C e entrée =70% échangeurs Air chaud et humide Circulation d air Air très chaud et humide T 1 =95 C e 1 =80% Entrée des wagons e produit =20% e produit =2% Sortie des wagons Figure 5 : Schéma d un séchoir tunnel fonctionnant à co-courant Des échangeurs (ou pompe à chaleur) récupèreront la chaleur latente de condensation de l eau contenue dans l air dont l humidité absolue est très élevée (0,77 kg d eau/kg d air sec associé (ASA) à 95 C et 80 % d humidité relative) et permettront ainsi de chauffer progressivement le produit lors de son entrée dans le séchoir. 6
7 2.3. Bilan énergétique Gain d'énergie thermique t = 10h ; r = 0.8 t = 10h ; r = 0.7 t = 10h ; r = 0.6 t = 10h ; r = 0.5 t = 5h ; r = 0.8 t = 5h ; r = 0.7 t = 5h ; r = 0.6 t = 5h ; r = 0.5 flux pour r = 0.8 flux pour r = 0.7 flux pour r = 0.6 flux pour r = Gain en % Flux échangeur en Watts Température sortie séchoir en C Figure 6 : Gain d énergie thermique et flux dans l échangeur en fonction de la température de fin de cycle Pour conclure, le gain d énergie est donc limité par le flux de l échangeur, par contre le flux d énergie dans l échangeur peut être optimisé en revoyant à la hausse les surfaces d échange entre les deux fluides (par exemple en envisageant une surface ondulée ou encore des ailettes). 7
8 Conclusion Le projet LIFE-DIDEM a pour objectif de définir la faisabilité du séchage co-courant sur les produits de terre cuite pour réduire les consommations d énergie en récupérant la chaleur latente de l eau d évaporation des effluents récupérer l eau de condensation. Pour cela, un prototype d enceinte climatique instrumentée a été conçue en partenariat avec les constructeurs et implantée au sein du CTMNC, coordinateur de ce projet. Cette étape, qui n aurait pu s effectuer sans une étude approfondie du mécanisme de séchage des terres cuites, a été rythmée par deux premiers temps forts : d une part, la conception de l enceinte permettant l écriture d un cahier des charges respectant les exigences du CTMNC et, d autre part, le choix d une instrumentation nécessaire à la validation du procédé testé. Cet équipement a permis d effectuer une campagne d essais comparant les propriétés d échantillons argileux séchés avec le procédé industriel avec d autres séchés en simulant un cycle co-courant. Les résultats obtenus en terme de flexion 3 points sur échantillons secs, résistance au gel sur échantillons cuits et porosité ouverte sur échantillons cuits se sont avérés équivalents, que les échantillons aient été séchés avec l un ou l autre procédé. De plus, le bilan énergétique prouve qu un gain peut être effectué. En effet, ce nouveau type de séchoir permet d envisager une consommation d énergie maximale équivalant à la moitié de celle d un séchoir performant traditionnel. Cette conclusion est d autant plus satisfaisante que, aujourd hui encore, très peu de séchoirs industriels sont équipés d un système de récupération d énergie, quel qu il soit. Ce gain pourrait être amélioré en augmentant la surface d échange de la double paroi du séchoir. 8
9 ANNEXE VI : phase de validation en laboratoire Séchage des produits à une température avoisinant 100 C Retrait de l'argile 1 retrait en % de la longueur sèche 5.0% 4.5% 4.0% 3.5% 3.0% 2.5% 2.0% 1.5% 1.0% 0.5% T=95 C et HR=90% T=95 C et HR=85% T=95 C et HR=80% T=95 C et HR=20% T=90 C et HR=90% T=90 C et HR=80% T=90 C et HR=70% T=90 C et HR=40% T=90 C et HR=20% T=95 C et HR=85% T=95 C et HR=85% T=95 C et HR=80% T=95 C et HR=20% T=90 C et HR=85% T=90 C et HR=80% T=90 C et HR=60% T=90 C et HR=40% T=90 C et HR=20% 0.0% temps en heures Figure 7 Perte de masse de l'argile 1 perte de masse en % de la masse sèche 20% 15% 10% 5% T=95 et HR=85 T=95 et HR=85 T=95 et HR=85 T=95 et HR=80 T=95 et HR=80 T=95 et HR=20 T=95 et HR=20 T=90 et HR=80 T=90 et HR=70 T=90 et HR=60 T=90 et HR=40 T=90 et HR=40 T=90 et HR=20 T=90 et HR=20 0% temps en heures Figure 8 9
10 Retrait de l' argile 2 retrait en % de la longueur sèche 5.0% 4.5% 4.0% 3.5% 3.0% 2.5% 2.0% 1.5% 1.0% 0.5% 0.0% T=95 et HR=80 T=95 et HR=70 T=95 et HR=60 T=95 et HR=20 T=90 et HR=80 T=90 et HR=70 T=90 et HR=60 T=90 et HR=40 T=90 et HR= temps en heures Figure 9 Perte de masse de l'argile 2 perte de masse en % de la masse sèche 25% 20% 15% 10% 5% T=95 et HR=80 T=95 et HR=70 T=95 et HR=60 T=95 et HR=20 T=90 et HR=80 T=90 et HR=70 T=90 et HR=60 T=90 et HR=40 T=90 et HR=20 T=90 et HR=80 0% temps en heures Figure 10 10
11 Résumé : Le C.T.M.N.C., en partenariat avec le CERIC, est subventionné par l organisme environnemental Life Environment pour étudier le procédé de séchage co-courant sur les produits de terre cuite. Ce procédé est testé dans l espoir de réduire les consommations d énergie et les émissions de gaz nocifs pour l environnement s il remplace le séchage à contre-courant, actuellement utilisé par les tuileries et briqueteries françaises. Dans le cadre de ce projet, le C.T.M.N.C., en partenariat avec l ENSCI, a conçu une enceinte climatique pour simuler, à l échelle laboratoire, le séchage co-courant de produits de terre cuite. Au lieu de faire évoluer l atmosphère en fonction de la distance parcourue dans le séchoir, elle varie en fonction du temps écoulé. Cette enceinte climatique, régulée en température et en humidité relative, est installée dans l un des laboratoires du C.T.M.N.C. Elle mesure le retrait linéaire, la perte de masse du produit et la vitesse d air dans l enceinte. De plus, une caméra numérique prend des photos du produit pendant le séchage à travers un hublot chauffé afin d observer les fissures éventuelles qui peuvent apparaître à sa surface. La phase de validation du procédé a commencé par une caractérisation de mélanges argileux provenant de différents sites industriels. Leurs propriétés ont pu être comparées après leurs avoir fait subir deux modes de séchage, industriel et co-courant. La validation s est à la fois basée sur les résultats de ces tests ainsi que sur un bilan énergétique simulant les dépenses des deux procédés à l échelle industrielle. 11
ÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009
ÉJECTEURS CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS 1 ÉJECTEURS INTRODUCTION Les éjecteurs sont activés par la chaleur perdue ou la chaleur provenant de sources renouvelables. Ils sont actionnés directement
Plus en détailLA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE
Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer
Plus en détailMaison Modèle BIG BOX Altersmith
Maison Modèle BIG BOX Altersmith SOLUTIONS D ENVELOPPE & DE SYSTÈMES PERFORMANCES RT 2005 & LABELS I. Présentation de la maison BIG BOX - T3...2 II. Enveloppes...3 1. Présentation de l enveloppe...3 2.
Plus en détailSécheurs par adsorption à régénération par chaleur
Sécheurs par adsorption à régénération par chaleur Des Systèmes Complets Innovants Pourquoi l air comprimé sec et propre est-il important? Dans la majorité des industries, l air comprimé est un fluide
Plus en détailA apposer sur tout produit mis sur le marché européen. A la fois un symbole, une déclaration et une attestation de conformité à une Directive
Le marquage proprement dit A apposer sur tout produit mis sur le marché européen A la fois un symbole, une déclaration et une attestation de conformité à une Directive N est pas une marque de qualité Obligatoire!
Plus en détailLe séchage des ateliers :
Le séchage des ateliers : Quelles technologies et quels coûts énergétiques? Jacques GUILPART- MF Conseil j. guilpart@mfconseil.fr 06 43 44 66 28 www.mfconseil.fr Adam TCHAÏKOWSKI, Dessica a.tchaikowski@dessica.fr
Plus en détailSTI2D : Enseignements Technologiques Transversaux
STI2D : Enseignements Technologiques Transversaux Activité : Etude des transfert énergétiques dans la cafetière Nespresso Problématique : On calcule la puissance électrique consommée, on détermine l énergie
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailSynthèse N 6. Les unités du boisénergie
Mémento aquitain du bois énergie Synthèse N 6 Synthèse bibliographique Les unités du boisénergie Octobre 2013 2 Les unités du bois-énergie Objectifs : Connaître les unités du bois énergie. Clarifier les
Plus en détailCompte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation
4 6 8 2 4 8 22 26 3 34 38 42 46 5 54 58 62 66 7 74 78 83 89 96 8 44 Bertin Morgan Compte rendu de LA37 B, TP numéro. Les essais effectués par le laboratoire des ponts et chaussés nous ont fournis la température
Plus en détailALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX
ALFÉA HYBRID BAS NOX POMPE À CHALEUR HYBRIDE AVEC APPOINT FIOUL INTÉGRÉ HAUTE TEMPÉRATURE 80 C DÉPART D EAU JUSQU À 60 C EN THERMODYNAMIQUE SOLUTION RÉNOVATION EN REMPLACEMENT DE CHAUDIÈRE FAITES CONNAISSANCE
Plus en détailRéduire sa consommation d énergie dans les entreprises industrielles
Martina Kost Réduire sa consommation d énergie dans les entreprises industrielles B4E 80 rue Voltaire BP 17 93121 La Courneuve cedex Joseph Irani www.b4e.fr Tél: 01.48.36.04.10 Fax: 01.48.36.08.65 Réduire
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailLe partenaire de votre innovation technologique
w w w.. s y n e r r v v i a i a. f. r f r Quelques chiffres Création en 2002 Association loi 1901 20 salariés 17 Ingénieurs et techniciens experts dans leurs domaines et présents dans les centres de compétences
Plus en détailStockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique
Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université
Plus en détailÉnergie décentralisée : La micro-cogénération
Énergie décentralisée : La micro-cogénération Solution énergétique pour le résidentiel et le tertiaire Jean-Paul ONANA, Chargé d activités projet PRODÉLEC PRODuction et gestion de la production d ÉLECtricité
Plus en détailAdhésif structural pour le collage de renforts
Notice Produit Edition 18/07/2014 Numéro 3022 Version N 2014-253 N identification : 020206040010000001 Adhésif structural pour le collage de renforts Description est une colle structurale thixotrope à
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détailApplication du Règlement Européen des Produits de Construction (RPC) à des produits de terre cuite
Application du Règlement Européen des Produits de Construction (RPC) à des produits de terre cuite Mars 2013 Introduction Objectifs de ce livret A compter du 1 er juillet 2013, le marquage CE des produits
Plus en détailSe raccorder à un réseau de chaleur
L habitat COMPRENDRE Se raccorder à un réseau de chaleur Le chauffage urbain peut-il être un moyen de diminuer la facture énergétique? Édition : décembre 2013 Pourquoi pas le raccordement À UN RÉSEAU DE
Plus en détailRéseau de chaleur Cantagrelh. Commune d Onet-le-Château
Réseau de chaleur Cantagrelh Commune d Onet-le-Château Maître d ouvrage : Mairie d Onet-le-château 12, rue des Coquelicots BP 5-12850 Onet le Château Télécopie : 05 65 78 00 91 - www.onet-le-chateau.fr
Plus en détailLE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.
LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que
Plus en détail2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid
Chapitre Les bétons courants.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid.7.1 - Le bétonnage par temps chaud 3 Granulats Les conditions climatiques lors de la mise en œuvre ont une grande influence sur
Plus en détailQU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?
QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation
Plus en détailLYCEE TECHNIQUE PIERRE EMILE MARTIN - 18 026 BOURGES ETUDE D UN TRAITEMENT DE SURFACE
TP. TET LYCEE TECHNIQUE PIERRE EMILE MARTIN - 18 026 BOURGES GENIE ELECTROTECHNIQUE Durée : 3 heures Tp relais statique 10-11 RELAIS STATIQUE S.T.I. Pré-requis : Laboratoire des systèmes Cours sur les
Plus en détailAPPEL à MANIFESTATIONS D INTERET (AMI) INVESTISSEMENTS D AVENIR EDITION 2010
Direction des Investissements d Avenir Direction Villes et Territoires Durables Service Bâtiment Direction Recherche et Prospective Service Recherche et Technologies avancées APPEL à MANIFESTATIONS D INTERET
Plus en détailEtude de faisabilité
Etude de faisabilité Modèle de cahier des charges pour chaufferie dédiée Ce modèle de cahier des charges d étude de faisabilité a été réalisé dans le cadre de la Mission Régionale Bois-Energie Il est un
Plus en détailWhitepaper. La solution parfaite pour la mise en température d un réacteur. Système de régulation. Réacteur. de température
Whitepaper Mettre en température économiquement La solution parfaite pour la mise en température d un réacteur La mise en température de réacteur dans les laboratoires et les unités pilotes de l industrie
Plus en détailLES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP
LES CONTRATS D ENTRETIEN ET D EXPLOITATION DE CHAUFFAGE J-M R. D-BTP 2006 1 Généralités Terminologie Les solutions pour le client Les marchés La prestation L évaluation des postes Les entreprises Durée
Plus en détailFiche de lecture du projet de fin d étude
GENIE CLIMATIQUE ET ENERGETIQUE Fiche de lecture du projet de fin d étude Analyse du phénomène de condensation sur l aluminium Par Marine SIRE Tuteurs : J.C. SICK Manager du Kawneer Innovation Center &
Plus en détailEnergie solaire www.euroclima.fr
Chaudières françaises fabriquées en Alsace depuis 1973 Energie solaire www.euroclima.fr E U R O C L i M A Un système complet La clé de l efficience solaire réside dans l association et l optimisation des
Plus en détailBienvenue Helpdesk Chauffage PEB 03/10/2013 1
Bienvenue Helpdesk Chauffage PEB 03/10/2013 1 La réglementation Chauffage PEB en Région de Bruxelles Capitale: aujourd hui et demain Helpdesk Chauffage PEB /EPB Verwarming 03/10/2013 2 Agenda Introduction
Plus en détailRécapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13
Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif du l audit énergétique de RANTIGNY 1 Sommaire I. Introduction... 3 II. Visite du site... 4
Plus en détailLa relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable.
111 39 240 1812 906 La relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable. La relève de chaudière, qu est ce que c est? On parle de relève de chaudière lorsqu on installe une pompe à
Plus en détailFermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme
* Fermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme Le programme, lancé en 2009** et coordonné par FCBA, a pour objet d affiner les connaissances sur le comportement au séisme des habitats
Plus en détailBabcock Wanson. Bienvenue. L expertise thermique au service de l environnement dans l industrie
Babcock Wanson Bienvenue L expertise thermique au service de l environnement dans l industrie BABCOCK WANSON INTERNATIONAL L expertise thermique au service de l environnement dans l industrie Le Groupe
Plus en détailCofely Services et la condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014
Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014 Condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Cofely Services Le choix de la condensation biomasse Fonctionnement
Plus en détailLOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1. Construire vert ne devrait pas être un casse-tête
LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1 Construire vert ne devrait pas être un casse-tête LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 2 6/4/08 11:53 AM Page 2 LOG 8869 Residential
Plus en détailPar: Michel Morin, coordonnateur à l énergie et à l entretien. Président du comité d énergie régional LLL.
Par: Michel Morin, coordonnateur à l énergie et à l entretien. Président du comité d énergie régional LLL. Pierre Lefrancois, B.ing., consultant en gestion d énergie. Plan de la présentation La commission
Plus en détailLAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL
LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL Economisons notre énergie et sauvons la planète Présentation générale 2013 PRESENTATION I. Principes de fonctionnement d une ampoule basse
Plus en détailQuelques chiffres clés de l énergie et de l environnement
Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement GSE 2011-2012 I.1 Que représente : - 1 kcal en kj? : 1 kcal = 4,187 kj - 1 frigorie (fg) en kcal? : 1 fg = 1 kcal - 1 thermie (th) en kcal? : 1
Plus en détailVARIO 200 / 200ZR LE FOUR À CÉRAMIQUE DOTÉ D UNE TECHNOLOGIE DE CUISSON RÉVOLUTIONNAIRE. www.zubler.de
FR VARIO 200 / 200ZR LE FOUR À CÉRAMIQUE DOTÉ D UNE TECHNOLOGIE DE CUISSON RÉVOLUTIONNAIRE www.zubler.de Made in Germany Précision, innovation, pérennité et haute qualité. De telles valeurs sont pour nous
Plus en détailUne conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique
Economies d'énergies dans les procédés agro-alimentaires : l'optimisation coût/qualité, un équilibre pas si facile à maîtriser Une conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique
Plus en détailEvaluation des émissions
Evaluation des émissions de gaz à effet de serre générées par les activités de la Bourse de l Immobilier 28 Avenue thiers 33100 BORDEAUX Tél : 05 57 77 17 77 - Fax : 05 56 40 58 63 www.bourse-immobilier.fr
Plus en détailGENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE
Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3
Plus en détailLe triac en commutation : Commande des relais statiques : Princ ipe électronique
LES RELAIS STATIQUES (SOLID STATE RELAY : SSR) Princ ipe électronique Les relais statiques sont des contacteurs qui se ferment électroniquement, par une simple commande en appliquant une tension continue
Plus en détailEquipement d un forage d eau potable
Equipement d un d eau potable Mise en situation La Société des Sources de Soultzmatt est une Société d Economie Mixte (SEM) dont l activité est l extraction et l embouteillage d eau de source en vue de
Plus en détailStyrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement.
Styrodur C, un XPS exempt de CFC, HCFC et HFC. De l air, tout simplement. Ecologique, tout simplement. Isolation thermique plus qu une simple protection de l environnement Une isolation thermique optimale
Plus en détailCalculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide
Calculs Computional fluide dynamiques (CFD) des serres à membrane de Van der Heide J.B. Campen Wageningen UR Glastuinbouw, Wageningen xxx 2007 Rapport xxx 2007 Wageningen, Wageningen UR Glastuinbouw Tous
Plus en détailJ O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E
J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E De l estimation des besoins / critères et exemple Février 2012 Présentation : Jérôme DIOT Directeur Technique EGIS Centre Ouest 1 Sommaire Conception
Plus en détailAutomobile & Mécanique agricole. Sources CNIDEP, IBGE
Automobile & Mécanique agricole Sources CNIDEP, IBGE I. Etapes de la fabrication (ou du service) et procédés utilisés L essentiel de l activité d une carrosserie consiste à réparer puis à remettre en peinture
Plus en détailModule 3 : L électricité
Sciences 9 e année Nom : Classe : Module 3 : L électricité Partie 1 : Électricité statique et courant électrique (chapitre 7 et début du chapitre 8) 1. L électrostatique a. Les charges et les décharges
Plus en détailÉmissions de gaz à effet de serre (GES) pour le chauffage, la production d eau chaude sanitaire et le refroidissement
SDH - SARL n 23 Avenue Gambetta 17100 Saintes Tél. : 05 46 97 61 34 - Fax : 05 46 97 26 30 N SIREN : 504 761 248 Compagnie d assurance : Generali Assurances n AL169975 Diagnostic de performance énergétique
Plus en détailDu Thermostat à l ordinateur climatique. Vincent Aubret Hortimax
Du Thermostat à l ordinateur climatique Vincent Aubret Hortimax 1 Introduction 2 Régulateurs de type thermostat Applications : Idéal pour la régulation simplifiée de type Tunnels, Hall Alarme haute et
Plus en détailAIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES
Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation
Plus en détailDe tout temps le chauffage fit partie des préoccupations de
C.I.02 Niv.2 ACTIVITÉ N 7 Choix de solution technique Chauffer son logement Quel solution de chauffage choisir? De tout temps le chauffage fit partie des préoccupations de l homme. En plus d être une façon
Plus en détailLA PUISSANCE DES MOTEURS. Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile?
LA PUISSANCE DES MOTEURS Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile? Chaque modèle y est décliné en plusieurs versions, les différences portant essentiellement sur la puissance
Plus en détailLE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation:
1 www.cetime.ind.tn LE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation: met à votre disposition des compétences et des moyens techniques pour vous assister dans vos démarches d innovation et d
Plus en détailDIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE TERTIAIRE
DATE : 14/02/2011 N AFFAIRE : 003387/2255629/1/1 ANNEE DE CONSTRUCTION : NON COMMUNIQUE SURFACE UTILE : 489.44 TYPE DE BATIMENT : IMMEUBLE D HABITATION + BUREAUX TYPE D ACTIVITES : ADMINISTRATION - BUREAUX
Plus en détail2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://
2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation
Plus en détailÉconomie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante
Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante Juillet 2011/White paper par Christophe Borlein membre de l AFF et de l IIF-IIR Make the most of your energy Sommaire Avant-propos
Plus en détailQue nous enseigne la base de données PAE?
Que nous enseigne la base de données PAE? Séminaire auditeurs PAE 8 juin 2009 Nicolas Heijmans, ir Division Energie et Climat CSTC - Centre Scientifique et Technique de la Construction 00/00/2006 Contenu
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailINNOCOLD Institut Technologique du Froid. Contexte Chronologie Présentation Enjeux industriels Atouts Les partenaires
INNOCOLD Institut Technologique du Froid Contexte Chronologie Présentation Enjeux industriels Atouts Les partenaires 2 3 4 Un projet structurant Matériaux INNOCOLD, Institut Technologique du Froid Sécurité
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailCAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie
CAHIER DES CHARGES Etude de faisabilité : Version septembre 2011 Chaufferie bois Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie Direction Régionale Ile de France Page 1/8 SOMMAIRE A.- OBJECTIFS
Plus en détailIncitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne
Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailDocument Technique d Application DURGO
Document Technique d Application Référence Avis Technique14/10-1528 Clapet équilibreur de pression Évacuation des eaux usées Foul drainage from buildings Hausablußeitungen DURGO Relevant de la norme NF
Plus en détailEau chaude à partir de demain plus qu il n en faut
SYSTEME DE VENTILATION A CONDUIT UNIQUE Eau chaude à partir de demain plus qu il n en faut LIMODOR-Plus se charge de couvrir vos besoins quotidiens en eau chaude LIMODOR-PLUS La ventilation confort au
Plus en détailRéduction de la consommation énergétique des datacenter : optimisation du conditionnement d air, influence de. l architecture
Réduction de la consommation énergétique des datacenter : optimisation du conditionnement d air, influence de Orange Labs l architecture David Nörtershäuser, Recherche & Développement Stéphane Le Masson,
Plus en détailI. Définitions et exigences
I. Définitions et exigences Classes d indicateurs chimiques [1] Stérilisation : synthèse des normes ayant trait Exigences générales : Chaque indicateur doit porter un marquage clair mentionnant le type
Plus en détailRéussir son installation domotique et multimédia
La maison communicante Réussir son installation domotique et multimédia François-Xavier Jeuland Avec la contribution de Olivier Salvatori 2 e édition Groupe Eyrolles, 2005, 2008, ISBN : 978-2-212-12153-7
Plus en détailAlfa Laval échangeurs de chaleur spiralés. La solution à tous les besoins de transfert de chaleur
Alfa Laval échangeurs de chaleur spiralés La solution à tous les besoins de transfert de chaleur L idée des échangeurs de chaleur spiralés n est pas nouvelle, mais Alfa Laval en a amélioré sa conception.
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailProjet de raccordement au réseau de transport de gaz naturel EXPRESSION PRELIMINAIRE DE BESOIN SITE :..
Projet de raccordement au réseau de transport de gaz naturel EXPRESSION PRELIMINAIRE DE BESOIN SITE :.. Document type : expression préliminaire de besoin client final Version / Révision Date de publication
Plus en détailLa Filtration et le Traitement de l Air dans l Industrie Nucléaire.
Le Traitement de l Air dans l Industrie Nucléaire La Filtration et le Traitement de l Air dans l Industrie Nucléaire. Protéger l environnement des hommes et des lieux, Contribuer à la sécurité des interventions
Plus en détailPremier principe : bilans d énergie
MPSI - Thermodynamique - Premier principe : bilans d énergie page 1/5 Premier principe : bilans d énergie Table des matières 1 De la mécanique à la thermodynamique : formes d énergie et échanges d énergie
Plus en détailCENTRE HOSPITALIER DE PERIGUEUX CHAUFFERIE BIOMASSE -
CENTRE HOSPITALIER DE PERIGUEUX CHAUFFERIE BIOMASSE - Définition des enjeux - Disposer à la fin des grosses opérations de construction en cours (Tranche 1 et 2 du Plan Directeur MCO-Plateau Technique/Pôle
Plus en détailSécheuses. Sécheuses SECHEUSE, SR/E-10 857,00 955,00. 12,43 NO 3x10+T - 63 A 4x4+T - 32 A 64,00
SECHEUSE, SR/E-1 15111 Longueur Profondeur Hauteur 785, 88, 857, 955, 1.665, 1.84, 17, 2, 1,12 1,55 12,43 NO 3x1+T - 63 A 4x4+T - 32 A SECHEUSE, SR/E-1 Capacité: 8,4. (Rap. 1:25) - 1,5 (Rap.1:2) Temporisateur
Plus en détailFiche de données de Sécurité
Page: 1/6 ETIQUETTE DU PRODUIT ETIQUETAGE (d'usage ou CE): Concerné Phrases de risque : Conseils de prudence : F+ Extrêmement inflammable R-12 Extrêmement inflammable. S-2 Conserver hors de la portée des
Plus en détailDe l intérêt du combustible bois pour le séchage de maïs. La nouvelle génération de centrales thermiques
De l intérêt du combustible bois pour le séchage de maïs La nouvelle génération de centrales thermiques I. Quelques principes pour faire des économies La température de l air L épaisseur du grain Le refroidissement
Plus en détailde faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.
9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation
Plus en détailD i a g n o s t i q u e u r I m m o b i l i e r Tél. 04 94 19 18 39 Port. 06 60 96 06 83 Fax 04 94 19 22 50
A DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE Logement (6.2) Décret n 2006-1114 du 5 septembre 2006, Décret n 2006-1147 du 14 septembre 2006, Arrêtés du 15 septembre 2006 INFORMATIONS GENERALES N de rapport
Plus en détailL expérience des Ateliers du Saupont Entreprise de Travail Adapté
L expérience des Ateliers du Saupont Entreprise de Travail Adapté Province du Luxembourg, Bertrix 2010 Projet de trigénération au bois Production simultanée de chaleur, électricité et froid UNion des entreprises
Plus en détailLe chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs
Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs 1. Bases 1.1. Fonctionnement du chauffe-eau à pompe à chaleur (CEPAC) Comme son nom l indique, un chauffe-eau pompe à chaleur
Plus en détail16 cm. 31,5 cm. Rully. 20 tuiles au m 2. Lambert Guiraud. TBF Lahera
3,5 cm cm Tuile petit moule 20 tuiles au m 2 Lambert Guiraud TBF Lahera Tu i l e P e t i t M o u l e Faible Impact tuile Environnemental Coloris : Ardoisé Caractéristiques techniques Type Double emboîtement
Plus en détailentourer les catégories E q u i p e m e n t c o n c e r n é Lieu d'implantation : Charge initiale : Kg
FICHE D'INTERVENTION sur CIRCUIT de FROID, CLIMATISATION, POMPE A CHALEUR (fixe) CONTENANT des CFC HCFC ou HFC à conserver 5 ans par l'opérateur et le détenteur suivant le Code de l'environnement articles
Plus en détailPremier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie
Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse
Plus en détailLe confort toute l année
Le confort toute l année Altherma de Daikin, c est une solution performante pour le chauffage de votre maison, mais pas seulement! C est aussi votre source d eau chaude sanitaire, ainsi que votre système
Plus en détailSéminaire: «Maitriser ses coûts de fonctionnement énergétiques»
Monitoring Energétique Gestion de sites à distance Séminaire: «Maitriser ses coûts de fonctionnement énergétiques» JP Puissant, 28 mai 2015 Jean-Pierre Puissant 0492/73 36 74 Enersolutions sprl 2011 Expertise
Plus en détailF.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B
F.I.C. n 2013/AI TH PS 01-B Fiche d interprétation et / ou complément aux référentiels Qualitel et Habitat & Environnement Objet : Rubrique AI Acoustique Intérieure Rubrique TH Niveau de consommation d
Plus en détailFormation Bâtiment Durable :
Formation Bâtiment Durable : Rénovation à haute performance énergétique: détails techniques Bruxelles Environnement LE SYSTÈME DE CHAUFFAGE ET LA PRODUCTION D EAU CHAUDE SANITAIRE François LECLERCQ et
Plus en détailYutampo La solution 100 % énergie renouvelable
Chauffe-eau thermodynamique pour le résidentiel Yutampo La solution 100 % énergie renouvelable MAISONS INDIVIDUELLES NEUVES OU À RÉNOVER YUTAMPO u Idéal pour l eau chaude sanitaire Meilleur chauffe-eau
Plus en détailSCIENCES TECHNOLOGIES
R essources MICHEL WAUTELET SCIENCES TECHNOLOGIES et SOCIÉTÉ Questions et réponses pour illustrer les cours de sciences De Boeck Introduction générale 5 Sciences, technologies, société 1. Quels sont les
Plus en détailAnalyse des coûts d investissement en méthanisation agricole. Comparaison France et Allemagne
Analyse des coûts d investissement en méthanisation agricole Comparaison France et Allemagne Février 2013 1 Le développement de la méthanisation en Bourgogne dans le Programme Energie Climat Bourgogne
Plus en détailLA MESURE AU SERVICE DE L INDUSTRIE,
M é t r o l o g i e É TALONNAGE V É RIFICATION CERTIFICATION FORMATION LA MESURE AU SERVICE DE L INDUSTRIE, DE LA RECHERCHE & DE LA SÉCURITÉ LE PROGRÈS, UNE PASSION À PARTAGER Des ré ponses pour l industrie
Plus en détailSPECIALITE «ITEC» DU BAC STI2D : «INNOVATION TECHNOLOGIQUE - ECO CONCEPTION»
SPECIALITE «ITEC» DU BAC STI2D : «INNOVATION TECHNOLOGIQUE - ECO CONCEPTION» Avant «d'eco»-concevoir, Concevoir un produit et innover, c'est : Étudier ou établir un Cahier des charges Envisager différentes
Plus en détailDéclaration d'intention pour un projet intégré de voiture électrique à batterie
INSTITUT NATIONAL DE RECHERCHE SUR LES TRANSPORTS ET LEUR SECURITE LABORATOIRE TRANSPORTS ET ENVIRONNEMENT Bron, le 6 avril 2005 J-P. Roumégoux Déclaration d'intention pour un projet intégré de voiture
Plus en détailPourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments
Thème Pourquoi isoler? Pourquoi isoler? Réduire l'usage d'énergie Economiser les frais de chauffage Protéger l'environnement Augmenter la valeur des bâtiments Les indications, illustrations, informations
Plus en détail