Le volcanisme. Introduction : On note au tableau les expressions, mots associés au volcanisme. Et on discute sur la pertinence de chacun!
|
|
- Louis Marion
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le volcanisme Introduction : On note au tableau les expressions, mots associés au volcanisme. Et on discute sur la pertinence de chacun! Problème : Qu est ce que le volcanisme? I. Les éruptions volcaniques A. Les deux grands types de volcanisme Activité 1 : Vidéo sur les deux types de volcanisme (E=m6) K7 jeulin ou pierron? Oral Prise de notes sur la vidéo au brouillon. Mise en commun des résultats : De quels volcanismes parle-t on? - Effusif - Explosif Quelles sont les caractéristiques de ces deux volcanismes? Volcanisme Effusif Explosif Lave Fluide Pâteuse Matériaux émis Coulées cendres Quel est le volcanisme le plus dangereux? Volcanisme explosif Pourquoi dans le cas d un volcanisme explosif, on observe une explosion? Qu est ce qui explose? Le magma remonte en surface et bouche l entrée de la cheminée. Comme la lave est pâteuse, le gaz est enfermé par cette lave, la pression monte et il se produit une explosion. Explication par le professeur : La différence entre une lave fluide et pâteuse est la teneur en silice : Si la lave contient beaucoup de silice, la lave sera visqueuse. Si la lave contient peu de silice, elle sera fluide. Une éruption volcanique est une arrivée en surface d un magma, c'est-à-dire de la roche en fusion (Température de 700 C à 1200 C) venant de l intérieur de la Terre. Quand le magma est pauvre en silice, il est fluide et les gaz peuvent s échapper facilement. L éruption est calme ave des coulées et quelques projections. C est une éruption effusive. Quand le magma est riche en silice, il est visqueux et les gaz ne peuvent pas s échapper. La pression de ces gaz monte jusqu à l explosion. L éruption est alors violente avec des nuées ardentes et des panaches de cendres. C est une éruption explosive.
2 Distribution d un schéma : Replacer effusif et explosif Effusif Explosif Exercice : Dessiner un volcan vu en coupe et discuter de la pertinence des dessins. Les dessins sont placés sous la flex-cam et projetés à la TV, les élèves discutent des dessins, pourquoi telle ou telle chose est juste et pourquoi elles sont fausses Problème : comment fonctionne un volcan? B. Description d un volcan Voir livre doc. a p.118 (Bordas) Comment monte le magma? Par les failles Qu y a t il avant la première éruption? Rien Comment se forme le volcan? Lave refroidit, couche de roche. Un volcan se construit par l accumulation de produits volcaniques. Le magma vient d une profondeur de plusieurs dizaines de kilomètres et a séjourné dans une chambre magmatique ou un réservoir magmatique. Il remonte en surface par des failles et sort de la cheminée. Bombes, projections Cratère Cône volcanique Coulée Cheminée Chambre magmatique superficielle Faille Chambre magmatique profonde
3 II. Etude d une roche volcanique : le basalte Quand la lave refroidit, elle durcit et donne naissance à une roche volcanique. La plus fréquente d entre elles (90%) est le basalte. A. Description Activité 2 : Description d un morceau de basalte par oral avec les élèves. Description des cristaux : Cristaux verts/jaunes : olivine (olive!) Cristaux noirs : pyroxène. C est une roche sombre, lourde ave quelques cristaux visibles à l œil nu (pyroxène, olivine). Problème : Comment faire pour en savoir plus sur le basalte? On utilise une loupe, un microscope. Explication utilisation du microscope (rappels) : Explication rapide de la lumière polarisée Utilisation de la flex-cam Présence de cristaux qui changent de couleur quand on tourne la platine : cristaux (olivine, pyroxène) Présence de cristaux qui ne changent pas de couleur quand on tourne la platine : verre ( = pâte microlithique) Problème : Comment obtenir des gros cristaux et des petits cristaux? Activité 3 : Manipulation : - Appareil de chauffage - Vanilline - Lame - Lamelle - Glaçon - Flex-cam pour le prof! 1. Brancher l appareil de chauffage à déposer une pointe de couteau de vanilline sur la lame, recouvrir de la lamelle et déposer le tout sur l appareil de chauffage. 3. Dés que la vanilline est fondue, saisir la lame et la déposer sur la platine du microscope et observer. 4. déposer une seconde fois la lame sur l appareil de chauffage afin que la vanilline refonde. 5. Une fois fondue, saisir la lame et la déposer sur le glaçon pendant 1 à 2 minutes 6. Observer de nouveau au microscope, que constatez-vous? Interprétation : Qu est que cela veut dire? Lors d un refroidissement rapide, on obtient de petits cristaux car ils n ont pas le temps de grossir. Lors d un refroidissement lent, on obtient de gros cristaux car ils ont le temps de grossir.
4 Dans le basalte : Le verre, témoigne lui d un refroidissement rapide. Si on compare cette roche avec une roche plutonique (granite), on constate qu il y a de nombreux cristaux et de gros cristaux, donc cette roche s est refroidit lentement. Au microscope, on distingue deux parties dans un basalte : - Une partie constituée de cristaux dont la plupart sont microscopiques. On les appelle les microlithes. - Une partie non cristallisée qu on appelle le verre. Observation : Obsidienne Ponce Petite manipulation : pierre ponce déposer dans un bocal plein d eau : une roche qui flotte! De quoi est constituée la pierre ponce? Roche volcanique constituée de lave qui a emprisonné beaucoup de gaz! Comment cette roche se forme? Il faut une lave très pâteuse qui va enfermer le gaz L obsidienne et la pierre ponce sont deux roches vitreuses car elles sont essentielles constituées de verre, on observe aucun cristal! A quel type de volcanisme appartient cette roche? Volcanisme explosif car la lave est pâteuse! B. Les différents basaltes Activité 4 : Etude des différents basaltes
5 Qu est ce qu on peut dire de ce tableau? Quelle conclusion peut-on tirer? Plus la vitesse de refroidissement est lente, plus il y a de cristaux et plus ils sont gros et moins il y a de verre. Les cristaux obtenus à partir d une lave basaltique dépendent de la vitesse de refroidissement de cette lave : plus cette vitesse est lente, plus les cristaux ont le temps de se former, ils seront donc plus gros et plus nombreux et il y aura moins de verre. Quand la vitesse de refroidissement est très rapide, les cristaux n ont pas le temps de se former et on obtient une roche qui ne contient que du verre et qu on appelle une roche vitreuse (ex : obsidienne, pierre ponce). Résumer par oral et écrire sur le cahier : Les roches volcaniques obtenues dépendent de quoi?
6 La roche volcanique obtenue à partir d une lave dépend de sa composition chimique et de la vitesse de refroidissement de la lave. Comment savoir si une roche est volcanique ou pas? - si elle contient du verre volcanique - la taille des cristaux volcanique (petits cristaux) Non volcanique (gros cristaux) refroidissement lent, mais où se forme de telles roches? Toutes les roches volcaniques contiennent du verre et des microlithes et se sont les seules à en contenir! Remarque : Quand le magma refroidit en profondeur, il refroidit très lentement et donne une roche entièrement cristallisée, c est une roche plutonique. III. Localisation des volcans Etude d une carte de la répartition des volcans dans le monde Les principales zones volcaniques sont : - Autour du Pacifique avec des volcans explosifs - Le long des dorsales océaniques avec des volcans effusifs. En France il existe aussi des volcans, lesquels? Volcans d Auvergne Photographies du Puy de Pariou et du Puy de Dôme Qu est ce qui prouve qu il s agit de volcans? - Cratère (seulement pour le Pariou) - Roche (si elle possède du verre, il s agit d un volcan) Lire le texte p. 120 Volcanisme d Auvergne : effusif et explosif IV. Surveiller et prévoir K7 : Prévoir les volcans (prise de notes) Comment prévoir les éruptions les éruptions volcaniques? - Gonflement volcans - inclinaison pente volcans - Distance bord cratère - nombre de séismes - Température élevée On tente de prévoir les éruptions en surveillant les volcans grâce à : - Des mesures de la déformation du sol - Des mesures de la température - Des enregistrements des petites secousses sismiques, Tous ces phénomènes étant liés à la montée du magma.
7 Contrôle :
L E BILAN DES ACTIVITÉS
L E BILAN DES ACTIVITÉS Activité 1 Des volcans en éruption Mots-clés Il existe deux types d éruptions volcaniques : les éruptions explosives, caractérisées par des explosions plus ou moins importantes,
Plus en détailCHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE
1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES
Plus en détailLa fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?
La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est
Plus en détailChapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux
Chapitre 6 : coloniser de nouveaux milieux Comment font les végétaux pour s installer dans un nouveau milieu alors qu ils ne peuvent pas se déplacer? I/ L installation des végétaux dans un nouveau milieu
Plus en détailSciences de la vie et de la Terre
Sciences de la vie et de la Terre Thème 2 B Enjeux planétaires contemporains - La plante domestiquée Table des matières 1 : La plante cultivée : le Maïs...Erreur! Signet non défini. 2 : Les variétés de
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailSéquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?
Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailLa structure du texte explicatif (sec. 3)
Phase de questionnement (Pourquoi?) : (environ 40 à 50 mots) prépare le lecteur et elle fournit une vision globale de ce dont il va être question dans le texte. Sujet amené Historique Actuelle L idée générale
Plus en détailProjet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H
Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des
Plus en détailThème Le domaine continental et sa dynamique
Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels
Plus en détailNotions physiques Niveau 2
14 novembre 2011 Contenu 1. Les pressions Les différentes pressions 2. La loi de Mariotte (Autonomie en air) 2.1. Principes 2.2. Applications à la plongée 3. Le théorème d Archimède (Flottabilité) 3.1.
Plus en détailPoser un carrelage mural
Thierry Gallauziaux - David Fedullo Poser un carrelage mural Deuxième édition 2012 Groupe Eyrolles, 2012, 978-2-212-13490-2 Poser un carrelage mural Le carrelage est un revêtement de sol ou mural indémodable.
Plus en détailChapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème
Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes Mais, que dois-je savoir? Pour rattraper un cours manquant, retrouve-le sur le site du collège dans la rubrique «enseignements» : http://colleges.acrouen.fr/courbet/spipuser/
Plus en détailLa vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août
La vie des étoiles La vie des étoiles Mardi 7 août A l échelle d une ou plusieurs vies humaines, les étoiles, que l on retrouve toujours à la même place dans le ciel, au fil des saisons ; nous paraissent
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailFormation appliquée aux missions d'expertises sinistres PLAN DE FORMATION
mail: d2geo@yahoo.fr Page 1/6 PLAN DE FORMATION Formation réalisée en deux partie distinctes Durée totale de la formation 2 jours Présentation Cette première partie est enseignée en trois modules: a) Notions
Plus en détailVisite de la cité des Sciences et de l industrie.
Nom :. Prénom :. Classe :. Visite de la cité des Sciences et de l industrie. Organisation de la journée. Heure Groupe 1 Groupe 2 Groupe 3 Groupe 4 Groupe 5 Groupe 6 8h30 Départ de la gare Arrivée à la
Plus en détailChapitre 5 Mesures géophysiques
Chapitre 5 Mesures géophysiques Plan 5.1 Introduction 5.2 Sismique réfraction 5.3 Prospection électrique 5.4 Radar géologique 5.1 Introduction Pour tous les projets de construction connaissance préalable
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailIFUCOME Sciences et Technologie en Cycle 3 6 0
IFUCOME Sciences et Technologie en Cycle 3 6 0 La fusion gourmande... ou comment fondre de plaisir! Quitterions-nous le domaine des sciences pour une nouvelle rubrique culinaire? Ce serait, pour le moins,
Plus en détailPrincipe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.
Principe de fonctionnement de la façade active Lucido K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.doc 0. Préambule Le présent document est élaboré dans le but
Plus en détailNotions de base sur l énergie solaire photovoltaïque
I- Présentation Notions de base sur l énergie solaire photovoltaïque L énergie solaire photovoltaïque est une forme d énergie renouvelable. Elle permet de produire de l électricité par transformation d
Plus en détailAGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS
AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS CONCOURS EXTERNE ÉPREUVES D ADMISSION session 2010 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE-OPTION DU SECTEUR A CANDIDATS DES SECTEURS B ET C
Plus en détailVII Escaliers et rampes
VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son
Plus en détail- Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants - Lecture de textes documentaires
Titre de l atelier : Les vers de terre Domaines d activité Les êtres vivants dans leur environnement, rôle et place des êtres vivants Lecture de textes documentaires Motsclés Vers de terre Vie du sol Compétences
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détailFORMATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ETOILE
Comment une étoile évolue-t-elle? Comment observe-t-on l'évolution des étoiles? Quelques chiffres (âges approximatifs) : Soleil : 5 milliards d'années Les Pléiades : environ 100 millions d'années FORMATION
Plus en détailENCASTREZ UN EVIER ET POSEZ UN MITIGEUR A DOUCHETTE
ENCASTREZ UN EVIER ET POSEZ UN MITIGEUR A DOUCHETTE ETAPE 1 LE PLAN DE TRAVAIL 1.a Repères Repères Mettez en place provisoirement le plan de travail et tracez au crayon effaçable deux repères qui correspondent
Plus en détailSIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE
SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE Denis DEFAUCHY Gilles REGNIER Patrice PEYRE Amine AMMAR Pièces FALCON - Dassault Aviation 1 Présentation
Plus en détailMISSION DE L ENTREPRISE. Fabriquer grâce à son savoir faire, des produits en acier, aluminium et polymères pour les vendre sur le marché mondial
Bureau/presentation corpo/presentation goldcorp/powerpoint minautor AOUT 2013 MISSION DE L ENTREPRISE Fabriquer grâce à son savoir faire, des produits en acier, aluminium et polymères pour les vendre sur
Plus en détailPagaie rouge. Lieu de pratique Plan d eau calme ou piscine comprenant un parcours sur deux buts (terrain 36 mètres par 20 mètres).
Compétences Compétences générales Naviguer avec vitesse et précision (performance) en s engageant et en prenant des informations pertinentes dans un contexte très complexe et incertain de déplacement,
Plus en détailLe chauffage, épisode 2 : plomberie
Le chauffage, épisode 2 : plomberie tomtom, le 19 mars 2010 à 14:47 Si vous avez bien tout suivi l'article précédent, nous voilà donc partis dans la conception et la réalisation d'un chauffage central.
Plus en détailSéquence 5. Modéliser la surface de la Terre : frontières et déplacement des plaques lithosphériques
Séquence 5 Modéliser la surface de la Terre : frontières et déplacement des plaques lithosphériques Sommaire 1. Le recyclage de la lithosphère océanique 2. Le premier modèle de la tectonique des plaques
Plus en détailA B C Eau Eau savonneuse Eau + détergent
1L : Physique et chimie dans la cuisine Chapitre.3 : Chimie et lavage I. Les savons et les détergents synthétiques 1. Propriétés détergentes des savons Le savon est un détergent naturel, les détergents
Plus en détailDéfauts dan les sachets souples état date stérilisables en autoclave nouveau 31/05/2002 Caractérisation et classification
chapitre page 7 Index CHAPITRE 7 CATÉGORIES DES DÉFAUTS 7.1 Abrasion 7.2 Cloque 7.3 Canal de fuite 7.4 Joint comprimé (ou séparation des couches dans la zone de scellage) 7.5 Joint contaminé 7.6 Joint
Plus en détailPLATEFORME MÉTIER DÉDIÉE À LA PERFORMANCE DES INSTALLATIONS DE PRODUCTION
PLATEFORME MÉTIER DÉDIÉE À LA PERFORMANCE DES INSTALLATIONS DE PRODUCTION KEOPS Automation Espace Performance 2B, rue du Professeur Jean Rouxel BP 30747 44481 CARQUEFOU Cedex Tel. +33 (0)2 28 232 555 -
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailTravailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale
ACADEMIE DE GRENOBLE Géographie Programme de Troisième, partie II, thème 1 LES ESPACES PRODUCTIFS Travailler avec le site INA Rhône-Alpes ou l intérêt d une approche locale alexandre.bouineau@ac-grenoble.fr
Plus en détail5-1/4" 5-1/4" 5/8" 2-1/2" 3/4" Ligne A. Figure 1. Ligne B. Ligne C. Entaille 1-1/2" Figure 2
Ligne A Ray Catcher Sprint Deluxe Power Pak Guide de l étudiant Matériaux Vous aurez besoin des items ci-dessous pour créer votre voiture solaire. Donc, avant de débuter, prenez le temps de voir si tout
Plus en détailChapitre 2 : Respiration, santé et environnement.
Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailTravaux d adaptation du logement pour les personnes âgées
Fiche pratique Personnes âgées Travaux d adaptation du logement pour les personnes âgées Accéder à son logement - utiliser les escaliers - prendre l ascenseur - accéder aux équipements Profiter de son
Plus en détailENTRETIEN DES SOLS VITRIFIÉS
ENTRETIEN DES SOLS VITRIFIÉS Le mortier de finition Ad Lucem est un revêtement poreux à base de ciment. Le vitrificateur professionnel Ad Lucem forme un film très résistant qui le protège des tâches, des
Plus en détailQuel avenir pour l énergie énergie nucléaire?
Quel avenir pour lénergie l énergie nucléaire? Origine de l énergie nucléaire État critique du réacteur Utilité des neutrons retardés Quel avenir pour le nucléiare? 2 Composant des centrales nucléaires
Plus en détailPhénomènes dangereux et modélisation des effets
Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE
Plus en détailSéquence 1. Le domaine continental et sa dynamique : caractéristiques et évolution de la lithosphère continentale. Sommaire. Chapitre 1.
Séquence 1 Le domaine continental et sa dynamique : caractéristiques et évolution de la lithosphère continentale Objectifs Cette séquence permettra de caractériser la croûte continentale du point de vue
Plus en détailFauteuil dentaire monté vers le haut, Modèle CARE-22
Fauteuil dentaire monté vers le haut, Modèle CARE-22 Fauteuil dentaire monté vers le haut, Modèle CARE-22 Réf. SOC-RYS-301017 Caractéristique : Système d exploitation à main monté vers le haut, design
Plus en détailTP N 1 : ÉLECTRISATION PAR FROTTEMENT
TP N 1 : ÉLECTRISATION PAR FROTTEMENT Introduction : Certaines substances, lorsqu on les frotte, sont susceptibles de provoquer des phénomènes surprenants : attraction de petits corps légers par une règle
Plus en détailD.I.C.R.I.M. DOCUMENT D INFORMATIONS COMMUNAL SUR LES RISQUES MAJEURS LES BONS REFLEXES EN CAS DE RISQUES MAJEURS
D.I.C.R.I.M. DOCUMENT D INFORMATIONS COMMUNAL SUR LES RISQUES MAJEURS LES BONS REFLEXES EN CAS DE RISQUES MAJEURS Les incendies de forêts ou les inondations sont les principaux risques majeurs qui peuvent
Plus en détailCONTENU MISE EN PLACE. 1. Placez le plateau de jeu au centre de la table.
TM Pour voir une vidéo explicative du jeu, visitez www.stratusgames.com INTRODUCTION BUT DU JEU Les habitants des villages entourant un volcan dormant vivaient heureux et en paix jusqu au jour où BADABOUM
Plus en détailDocument unique d évaluation des risques professionnels
Document unique d évaluation des risques professionnels La loi n 91-1414 du 31 décembre 1991 (article L.230-2 du Code du travail), demande au chef d établissement de prendre toutes les mesures nécessaires
Plus en détailLes héros du recyclage. Livret de contrôle. Recycling. Heroes
Les héros du recyclage Livret de contrôle Recycling Heroes Je suis un héros du recyclage Nom: Prénom: Classe: Mon héros du recyclage favori: Qu est-ce que c est qu un héros? Un héros est serviable et s
Plus en détailService Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09
CAISSE RÉGIONALE D ASSURANCE MALADIE RHÔNE -ALPES Service Prévention des Risques Professionnels 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 FT 1022 OCTOBRE
Plus en détailGOOGLE EARTH Quelques méthodes d utilisation et pistes d activités
GOOGLE EARTH Quelques méthodes d utilisation et pistes d activités Google Earth est un logiciel, permettant une visualisation de la Terre (et d autres astres!) avec un assemblage de photographies aériennes
Plus en détailSEANCE 1 : Ecole L OMNIPRESENCE DE L ELECTRICITE DANS NOTRE VIE.
PARCOURS 3 : Electricité Domaine : Circuits électriques alimentés par des piles. Règles de sécurité, dangers de l électricité. Ouverture vers d autres disciplines : Français / Mathématiques / Arts Visuels.
Plus en détailPhysique, chapitre 8 : La tension alternative
Physique, chapitre 8 : La tension alternative 1. La tension alternative 1.1 Différence entre une tension continue et une tension alternative Une tension est dite continue quand sa valeur ne change pas.
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailA. Énergie nucléaire 1. Fission nucléaire 2. Fusion nucléaire 3. La centrale nucléaire
Énergie Table des A. Énergie 1. 2. 3. La centrale Énergie Table des Pour ce chapitre du cours il vous faut à peu près 90 minutes. A la fin de ce chapitre, vous pouvez : -distinguer entre fission et fusion.
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailLa soudure à l arc. électrique. Jean-Claude Guichard. Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11913-5
La soudure à l arc électrique Jean-Claude Guichard Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11913-5 INITIATION À LA SOUDURE 14 1-PRINCIPES DE BASE.............................. 16 LA SOUDABILITÉ DES ACIERS.........................................
Plus en détailELECTRICIEN. Liste des domaines étudiés Listes des produits Liste des produits avec nom d usage. automobile Amiante amiante
Répertoire des activités de travail exposant aux cancérogènes GISCOP93 Université Paris 13 (Bobigny) electricienv2 Page 1 sur 9 ELECTRICIEN Liste des domaines étudiés Listes des produits Liste des produits
Plus en détailCOLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles
COLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles Rappel : Organisation de la collecte des déchets sur le secteur de SAINT-BRIEUC
Plus en détailNEIGE ET FEU VULCANO LIPARI STROMBOLI ETNA. 8 Jours
NEIGE ET FEU VULCANO LIPARI STROMBOLI ETNA 8 Jours Voir Stromboli à une période de l année où règne le calme dans les petites ruelles du village de San Vincenzo est un rare privilège. Les habitants seront
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailSOYETTE, LE PETIT VER A SOIE
SOYETTE, LE PETIT VER A SOIE Le tout petit œuf. La toute petite chenille Le tout petit œuf vu à la loupe Il était une fois un tout petit œuf, pondu là. Un tout petit œuf, petit comme un grain de poussière.
Plus en détailActivité 45 : La responsabilité de l Homme sur son environnement géologique
1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie : Géologie externe, évolution des paysages (16 heures) Notions. contenus Compétences Exemples d activités L procure à l Homme des ressources. [Thèmes : Environnement,
Plus en détailBALAIS Moteur (charbons)
BALAIS Moteur (charbons) 1/ Rôle a) Pour les machines électriques comportant des bagues (alternateur moteur asynchrone) : moteur universel Les balais doivent maintenir un contact constant avec la bague
Plus en détailMarie Lébely. Le large dans les poubelles
Marie Lébely Le large dans les poubelles Prologue «La vitesse de conduction des fibres postganglionnaires est-elle du même ordre que celle des fibres nerveuses motrices du système nerveux somatique?» C
Plus en détailJean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966
Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966 MON VISAGE A LA MANIERE DE JEAN DUBUFFET OBJECTIFS - utiliser son expérience sensorielle visuelle pour produire une œuvre picturale. - réaliser une œuvre s'inspirant
Plus en détailNouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT
COMPTE RENDU DE VISITE ECOLE CENTRALE PARIS Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT Introduction Pour la dernière journée de notre voyage d intégration, nous avons été accueillis le vendredi
Plus en détailUn volcanisme de point chaud: l île de Ténérife (Canaries). Thierry de Gouvenain novembre 2013.
Un volcanisme de point chaud: l île de Ténérife (Canaries). Thierry de Gouvenain novembre 2013. 1 Localisation géographique. C est là! 2 Sommaire. 1 Le contexte géologique. 11 Les Canaries, volcanisme
Plus en détailPropulsion COLLÈGE. 1. Le moteur vulcain. > Expositions > Niveau 0 > CENTRE DE LANCEMENT
1. Le moteur vulcain C. Expliquer le principe d action réaction aussi appelé le principe des actions réciproques qui s applique dans le moteur Vulcain. Vous pouvez-vous aider du schéma ci-dessous. A. Quels
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailComment faire passer un message
Comment faire passer un message 1 Les Outils Pédagogiques Un cours en salle Le tableau Le rétroprojecteur Le matériel à présenter Un cours dans l eau La démonstration La découverte, les jeux L ardoise
Plus en détailMETHODOLOGIE LE CAHIER EST UN OUTIL DE TRAVAIL, MIEUX IL SERA TENU, PLUS TU AURAS DE PLAISIR A L OUVRIR POUR RETRAVAILLER LE COURS
METHODOLOGIE I. Comment travailler et organiser son travail en histoire-géographie LE CAHIER EST UN OUTIL DE TRAVAIL, MIEUX IL SERA TENU, PLUS TU AURAS DE PLAISIR A L OUVRIR POUR RETRAVAILLER LE COURS
Plus en détailCours de numérisation sur Epson Perfection
Cours de numérisation sur Epson Perfection 1- Vérifiez la propreté de la vitre, placez l original sur celle-ci. À savoir, on peut numériser des transparents avec ce scanner ; il a un capteur CCD dans le
Plus en détailLES MOSAIQUES DU CREDIT AGRICOLE
LES MOSAIQUES DU CREDIT AGRICOLE Au I er siècle après Jésus-Christ, la ville romaine d Arles (photo ci-dessous) est entourée de remparts. Elle comporte de grandes rues principales appelées Cardo et Decumanus.
Plus en détailTransformations nucléaires
I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière
Plus en détailLes sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol?
Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Introduction La vie végétale et animale, telle que nous la connaissons, n'existerait pas sans la terre fertile qui forme à la
Plus en détailNiveau CEl CE2. Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus
Niveau CEl CE2 Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus INTRODUCTION: non un poisson. Le dauphin souffleur ou grand dauphin est un mammifère marin, et Comme tous les mammifères il suivantes
Plus en détailLES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES
CONGRÈS MATÉRIAUX 2014 Colloque 6 «Corrosion, vieillissement, durabilité, endommagement» LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES Une méthode non destructive pour contrôler le vieillissement et l endommagement
Plus en détailOn peut être «lourd» et agile!
éditorial Traitements & Matériaux 412 Octobre - Novembre 2011 3 On peut être «lourd» et agile! La métallurgie est considérée comme une industrie «lourde», les traitements thermiques comme de «vieux» procédés,
Plus en détailProgramme-cadre et détail du programme des examens relatifs aux modules des cours de technologie, théorie professionnelle
Profil des compétences professionnelles Programme-cadre et détail du programme des examens relatifs aux modules des cours de technologie, théorie professionnelle Organisation pratique Détail du programme
Plus en détailLA PERTE DE CONSCIENCE
CES QUELQUES NOTIONS PEUVENT SAUVER DES VIES. PENSEZ Y SV D URGENCES Pompiers et service médical urgent : 100 Police : 101 L'HEMORRAGIE Comment reconnaître une hémorragie? Le sang s'écoule abondamment
Plus en détail1Abimée en partie basse mais seulement. 2Les éléments acquis sont alignés sur une table afin de
Construit dans les années 60 d un coup de crayon inspiré par l architecture nordique en vogue à l époque, la porte d entrée d origine nécessitait une restauration et une sécurisation, entrons! Texte et
Plus en détailTORDEZ LE COU À 6 IDÉES REÇUES
REÇUES TORDEZ LE COU À 6 IDÉES pour bien vieillir chez vous Bien vieillir chez soi, c est possible! Adapter son logement à ses nouveaux besoins ne nécessite pas forcément beaucoup de moyens et d investissements.
Plus en détailExposition. VLR plongée e commission photo
Exposition VLR plongée e commission photo Agenda Définitions Exposition / analogie du verre d eau (de vin?) Ouverture Vitesse Sensibilité La notion d EV Pourquoi cela ne suffit pas? Dynamique des capteurs
Plus en détailMANUEL D UTILISATION
MANUEL D UTILISATION Table des matières Sécurité du produit 3 Mesures de précautions 4 Exigences électriques 5 Dépannage 5 Caractéristiques de My Rotisserie 6 Caractéristiques de My Rotisserie 7 Diagramme
Plus en détailMesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu.
Mesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu. Auteur : Dr. Wulfran FORTIN Professeur Agrégé de Sciences Physiques TZR -
Plus en détailYwood Les Docks Libres à Marseille
Ywood Les Docks Libres à Marseille S. Bouquet 1 Ywood Les Docks Libres à Marseille Stéphane Bouquet NEXITY / YWOOD FR-Paris, Marseille 2 Ywood Les Docks Libres à Marseille S. Bouquet 5 ème Forum International
Plus en détailTâche complexe produite par l académie de Clermont-Ferrand. Mai 2012 LE TIR A L ARC. (d après une idée du collège des Portes du Midi de Maurs)
(d après une idée du collège des Portes du Midi de Maurs) Table des matières Fiche professeur... 2 Fiche élève... 5 1 Fiche professeur Niveaux et objectifs pédagogiques 5 e : introduction ou utilisation
Plus en détailSalles de bains PMR *
solutions accessibilité Salles de bains PMR * * Personne à Mobilité Réduite Bandes d éveil de vigilance Escaliers carrelés www.desvres.com solutions accessibilite EXIgENCES ET CONTRaINTES Projections d
Plus en détailL humain au cœur de l entreprise. De l identification à la gestion des Risques Professionnels
L humain au cœur de l entreprise De l identification à la gestion des Risques Professionnels Petit déjeuner Conférence du 17 Mars 2009 Sommaire 1. IDER : Identification des Dangers et Évaluation des Risques
Plus en détailAcides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6
Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline
Plus en détailDocuments sur la patrie tectonique de Madagascar Clé USB avec logiciel Audacity et base de données sismiques en ligne : Sismos à l Ecole
Laboratoire de Sciences de la Vie et de la Terre Mise à l épreuve de l idée d une dérive des continents Première S Au début du XXe siècle, les premières idées évoquant une mobilité horizontale des continents
Plus en détail