GM- Support de l'information génétique ; structure et fonction du génome. Support de l'information génétique ; structure et fonction du génome

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "GM- Support de l'information génétique ; structure et fonction du génome. Support de l'information génétique ; structure et fonction du génome"

Transcription

1 Mercredi 9 octobre ABECASSIS Anna L2 GM Pr Beroud 16 pages Support de l'information génétique ; structure et fonction du génome Plan A. Des gènes aux protéines I. Structure de l'adn II. Structure des gènes III. Expression des gènes : transcription et traduction IV. Régulation de l'expression des gènes 1. Différents niveaux de régulation 2. Epigénétique 3. Empreinte génomique parentale B. Le projet génome humain 1. De la structure d'adn à la séquence du génome humain en 50 ans 2. Informations issues du projet a)structure b) Variabilité La génomique désigne tout ce qui concerne le génome. De la même manière, on peut utiliser le suffixe -omique pour désigner le tout concernant un sujet : - Transcriptomique (tous les transcrits) ; - Protéomique (toutes les protéines) ; - Métabolomique (tous les métabolismes) ; - Lipidomique (tout ce qui concerne les lipides)... etc A. Des gènes aux protéines L information génétique est contenue dans l ADN : il existe plusieurs molécules d ADN dans une cellule humaine, elles sont localisées soit dans le noyau (chromosomes), soit dans les mitochondries (ADN circulaire). Dans les mitochondries, la molécule d ADN circulaire est de de pb et a été séquencée en Les molécules d ADN nucléaire sont hyper compactées en chromosomes pendant la division cellulaire (métaphase). Sur le schéma ci dessous, on peut voir les différents degrés de compaction de la chromatine, on remarque que plus elle est compactée (moins elle est longue) et plus elle est large (c'est logique). 1/16

2 Le génome nucléaire est fragmenté en 23 paires de chromosomes. Taille 3109 pb Partie codante 3x107 pb (1%) à gènes La chromatine est constituée par un assemblage de l ADN avec des protéines histones. 8 histones sont nécessaires pour former un nucléosome. L ADN s enroule autour des nucléosomes en formant une structure en collier de perles (ᴓ11nm). L'histone H1 permet l association des nucléosomes entre eux, leur compaction en fibre de chromatine de 30 nm de diamètre. C'est l'unité de base de la chromatine. On distingue l'hétérochromatine, dense et compactée (gènes inactifs et régions intergéniques) de l'euchromatine, décondensée, qui contient les gènes actifs. 2/16

3 I. Structure de l'adn Le support de l'information génétique est l'adn. Le 25 avril 1953 paraît dans 'Nature' "A Structure for Deoxyribose Nucleic Acid" grâce à Crick, Watson et Franklin. L'ADN peut être : copié au travers des générations cellulaires successives : réplication ; traduit en protéines : transcription en ARN puis traduction en protéines ; réparé en cas de besoin : réparation. Le support des gènes : l ADN II. Structure des gènes Un gène est défini comme l unité d hérédité. C'est une unité élémentaire d ADN capable de se reproduire (réplication), susceptible de mutation et capable de transmettre un message héréditaire. Le gène permet la synthèse de 0, 1 ou plusieurs ARN et donc protéines. Chez les eucaryotes les gènes sont morcelés: - exons et introns transcrits ; - séquences régulatrices non transcrites 3/16

4 Noter le site d'initiation de la transcription et le codon d'initiation de la traduction sur l'exon 1 Le promoteur : Localisé en 5' du premier exon c'est à dire en amont. Il est impliqué dans la transcription d'un gène en ARNm, il est reconnu par des facteurs de transcription, il est composé des éléments suivants : TATA box (TATA AAA) en -35 à -20 Initiator en +1 CAAT Box en -200 à -70 GC Box en -200 à 70 A chaque région du promoteur correspond un facteur de transcription, par exemple pour la TATA box le facteur de transcription est TBP (Tata Binding Protein). Le promoteur de l'il2 : 4/16

5 Les séquences régulatrices * Enhancers : éléments de régulation positive localisés le plus souvent en amont des gènes. * Silencers : éléments de régulation négative qui interagissent avec des répresseurs. * Eléments mixtes enhancers/silencers : leur fonction dépend du ligand protéique ; la même protéine peut jouer le rôle de enhancer ou silencer selon le ligand. Éléments E box (CACGTC) liaison du dimère Max - Myc = enhancer liaison du dimère Max - Mad = silencer 5/16

6 L'épissage des introns : 6/16

7 Il est dit alternatif. Généralement un intron commence par GT ou GU et finit par AG. Un intron possède un site donneur d'épissage (en fin de l'exon 1 et début de l'intron) et un site accepteur d'épissage (en fin d'intron et début d'exon 2), ainsi qu'un point de branchement. L'élément clé du point de branchement est une adénine (A). L'épissage est un mécanisme complexe, réalisé grâce au splicéosome qui existe uniquement chez les eucaryotes. La snrnp U1 reconnaît spécifiquement le signal du site donneur tandis que la snrnp U2 reconnaît le point de branchement : U1 et U2 se rapprochent et forment une boucle. Les 2 exons se rapprochent physiquement. Ensuite interviennent U4, U5, U6, et des réactions chimiques brisent les liens ; il s'agit de deux trans estérifications. 7/16

8 8/16

9 La queue poly A : Elle protège l'arnm des dégradations. Elle est située en 3'. Le signal de fin de transcription est également situé en 3'. Les gènes ont une structure et une longueur variables. Exemple : le gène de la titine possède 363 exons et son ADNc pdb le gène de Ubl4 possède 4 exons et son ADNc pdb Rappel : ADNc = copie de l'arnm mature Si on compare la structure des gènes entre les espèces : la taille des exons est conservée la taille des introns est variable 9/16

10 III. Expression des gènes : transcription et traduction Attention, un gène ne code pas forcément pour une protéine. Il existe des gènes : uniques codant pour une protéine unique ; uniques codant pour plusieurs protéines (grâce à l'épissage alternatif) ; codant pour des ARN non traduits en protéines (ARN non codant) ; dispersés codant pour plusieurs protéines (familles et superfamilles de gènes) : soit en cluster, proches les unes des autres sur un même chromosome, soit sur différents chromosomes pour coder une protéine proche cas particuliers des gènes ribosomaux (ARNr) ; gènes ne codant pour aucune protéine, ni aucun ARN : on parle de pseudogènes, gènes un jour dupliqués et la pression de sélection force la cellule à maintenir au moins un double des 2 copies actif pour survivre. La transcription : C'est un processus dynamique continu, car il y a épissage pendant la transcription. La maturation nécessite en plus le capping et la polyadénylation. * Le capping : Il se déroule en 3 étapes : une RNA triphosphatase hydrolyse le phosphate du triphosphate terminal de l'arn laissant un ARN terminé par une terminaison diphosphate et un Pi une RNA guanyltransférase assure le transfert de GMP sur l'extrémité 5' diphosphate de l'arn. Une RNA méthyltransférase transfère le méthyl d'une S-adénosyl-méthionine sur le chapeau. Concernant la transcription : - la séquence du gène est sur le brin sens, - l'arn polymérase synthétise l'arnm par complémentarité au brin antisens, - au final, l'arnm comporte la séquence du gène. La traduction : Le passage de la molécule d'arnm à la protéine fait intervenir le code génétique. En effet, la séquence nucléotidique dans l'adn spécifie l'ordre des acides aminés (aa) dans la protéine. Codon : séquence de 3 bases correspondant à 1 aa. Le code génétique est dégénéré (redondant), non ambigu. AUG est un codon d'initiation de la traduction alors que TAA, TAG, et TGA sont des codons STOP. 10/16

11 IV. Régulation de l'expression des gènes Il existe gènes mais protéines différentes. On explique cela par les phénomènes de régulation de l'expression. 1. Différents niveaux de régulation Niveau chromatinien, ex:compaction de la chromatine ; Niveau transcriptionnel, ex : effet des facteurs de transcription ; Niveau post transcriptionnel, ex : modulation de la demi vie des messagers ; Niveau traductionnel, ex : modification de facteurs d'initiation de la traduction ; Niveau post traductionnel, ex : glycosylation, méthylation. Ces niveaux de régulation interviennent au niveau de la séquence (contrairement à l'épigénétique). 2. Epigénétique Ensemble des modifications de l'expression des gènes sans altération des séquences nucléotidiques, réversibles et transmissibles d'une génération à l'autre. Ces mécanismes régulent l'équilibre entre gènes actifs et inactifs. Les principaux mécanismes sont : Le code des histones (niveau chromatinien): en effet lors de modifications biochimiques des histones le degré de compaction de la chromatine change. Or, on sait que seule la chromatine décondensée correspond à une activation de la transcription. La méthylation de l'adn (niveau chromatinien) : elle est impliquée dans des phénomènes tels que la compaction de l'adn, l'inactivation de l'expression des gènes, l'inactivation du chromosome X, et dans le phénomène d'empreinte génomique parentale. Action de certains ARN non codants 3. Empreinte génomique parentale C'est la non équivalence d'expression de certains gènes selon l'origine parentale. En effet pour la majorité des gènes, la copie d'origine maternelle et la copie d'origine paternelle sont exprimés, mais pour certains gènes, seul l'allèle maternel/paternel est exprimé. 11/16

12 B. Le projet génome humain 1. De la structure d'adn à la séquence du génome humain en 50 ans Le séquençage du génome humain a pour objectif de répondre aux questions suivantes : - Le génome humain est plus complexe que celui des procaryotes, quelle est sa composition? - Contient-il plus de gènes que celui des autres espèces? - Comment expliquer les différences de niveau d évolution? - Plus une espèce est évoluée, plus elle a de gènes? - Identifier les gènes responsables des maladies génétiques - Placer les gènes sur les différents chromosomes Le séquençage du génome humain est le plus grand projet scientifique mondial lancé en 88/89 et Human Genome Project démarre en 90. Capacités de séquençage : en 1975, nucléotides/semaines en 1986, / jour en 1998, / jour Cartographie les cartes génétiques sont des cartes relatives où les distances sont exprimées en centimorgan (cm). 1 cm= 1% de recombinaison les cartes physiques sont des cartes absolues, plus précises que les cartes relatives, où les distances sont exprimées en pdb. Kilobases (kb)=1000pb Mégabases (Mb)=1000kb Chez l'homme, 1 cm= 1 Mb environ. 12/16

13 2. Informations issues du projet HGP a)structure b) Variabilité Le génome humain est composé de millions de nucléotides. Les régions riches en gènes sont les régions riches en nucléotides G et C. Les régions pauvres en gènes sont riches en A et T. Ces différentes régions peuvent être également visualisées comme des bandes claires ou sombres sur les chromosomes métaphasiques (banding). bandes G : riches en AT, pauvres en gènes bandes R : riches en GC, riches en gènes 13/16

14 Les chromosomes étant classés par taille, le chromosome 1 contient le plus grand nombre de gènes estimés soit environ 3000 alors que le chromosome Y en a le moins (231). Le nombre total de gènes se situe entre et La taille moyenne d'un gène est de bases et 9 exons, mais la taille varie beaucoup (gène de la dystrophine=2,4 millions bp) 99,9% de la séquence est identique entre deux personnes. Il existe donc 0,1% de différences soit 3,5 millions de différences par génome. Plus de 50% des gènes ont une fonction inconnue. Le HGP a permis la création de bases de données de séquence et d'annotations, le séquençage de nombreux organismes (animaux et même Néanderthal). Aujourd'hui nous sommes face à une nouvelle ère, celle de la médecine personnalisée. Alors que pour le HGP, on avait séquencé le génome humain pour 3 milliards de dollars on peut maintenant utiliser des séquenceurs à haut débit qui fonctionnent en une semaine pour dollars (seulement...) mais l'analyse des données reste difficile. Conclusion : - Le génome humain est séquencé et séquençable. - «ère post génomique» - interaction des -omes (transcriptome, protéome, etc) - le génome permet de mieux comprendre la diversité des êtres vivants (non expliqué par le seul nombre des gènes) - Médecine : bases génétiques des maladies causales (monofactorielles) ou à effet modificateur (prédisposition génétique) 14/16

15 15/16

16 16/16

Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles

Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles http://perso.univ-rennes1.fr/serge.hardy/ utilisateur : biochimie mot de passe : 2007 L'ARNm, simple intermédiaire entre le

Plus en détail

Contrôle de l'expression génétique :

Contrôle de l'expression génétique : Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles L'ARNm, simple intermédiaire entre le génome et les protéines? gène protéine L'ARNm, simple intermédiaire entre le génome et

Plus en détail

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés

Plus en détail

Module 5 La maturation de l ARN et le contrôle post-transcriptionnel chez les eucaryotes

Module 5 La maturation de l ARN et le contrôle post-transcriptionnel chez les eucaryotes Module 5 La maturation de l ARN et le contrôle post-transcriptionnel chez les eucaryotes Où trouver l'information complémentaire? MCB -11, GVII-5, 22, 23. La maturation des ARNm chez les eucaryotes Les

Plus en détail

VI- Expression du génome

VI- Expression du génome VI- Expression du génome VI-1.- EXPRESSION DU GÉNOME- PRINCIPES GÉNÉRAUX DOGME CENTRAL Les gènes et l information génétique sont conservés sous forme d acides nucléiques La perpétuation à l identique de

Plus en détail

Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015

Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne

Plus en détail

Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire

Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Cours 3 : Python, les conditions

Cours 3 : Python, les conditions Cours 3 : Python, les conditions Conditions Permet d'exécuter des ordres dans certaines conditions : if condition1: code exécuté si condition1 est vraie code exécuté si condition1 est vraie... elif condition2:

Plus en détail

TD de Biochimie 4 : Coloration.

TD de Biochimie 4 : Coloration. TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne

ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une

Plus en détail

Université d Evry-Val d Essonne Ecole Doctorale des Génomes Aux Organismes. Thèse

Université d Evry-Val d Essonne Ecole Doctorale des Génomes Aux Organismes. Thèse Université d Evry-Val d Essonne Ecole Doctorale des Génomes Aux Organismes Thèse Présentée pour obtenir le grade de Docteur en sciences de l université d Evry-Val d Essonne Spécialité Bioinformatique par

Plus en détail

CATALOGUE DES PRESTATIONS DE LA

CATALOGUE DES PRESTATIONS DE LA 1/23 La plate-forme Biopuces et Séquençage de Strasbourg est équipée des technologies Affymetrix et Agilent pour l étude du transcriptome et du génome sur puces à ADN. SOMMAIRE ANALYSE TRANSCRIPTIONNELLE...

Plus en détail

Biomarqueurs en Cancérologie

Biomarqueurs en Cancérologie Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines

Plus en détail

Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre

Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre Chaque enfant qui naît hérite de 10 à 30 nouvelles mutations ponctuelles. L essentiel des ces mutations sont heureusement des variations neutres de séquence

Plus en détail

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule

Plus en détail

I. La levure Saccharomyces cerevisiae: mode de vie

I. La levure Saccharomyces cerevisiae: mode de vie LES LEVURES UE «levures» -5 avril: généralités (MN Simon) -6 avril: analyse génétique (MN Simon) -6 avril: Cycle cellulaire I: la réplication (E. bailly) -7 avril: Cycle cellulaire II: la mitose (E. Bailly)

Plus en détail

Mise en place d une solution automatique de stockage et de visualisation de données de capture des interactions chromatiniennes à l échelle génomique

Mise en place d une solution automatique de stockage et de visualisation de données de capture des interactions chromatiniennes à l échelle génomique Rapport de stage de deuxième année de DUT Génie Biologique option Bioinformatique Mise en place d une solution automatique de stockage et de visualisation de données de capture des interactions chromatiniennes

Plus en détail

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes

Plus en détail

De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)

De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression

Plus en détail

Séquence 2. L expression du patrimoine génétique. Sommaire

Séquence 2. L expression du patrimoine génétique. Sommaire Séquence 2 L expression du patrimoine génétique Sommaire 1. La synthèse des protéines 2. Phénotypes, génotypes et environnement Synthèse de la séquence 2 Exercices de la séquence 2 Glossaire des séquences

Plus en détail

Université de Montréal. Développement d outils pour l analyse de données de ChIP-seq et l identification des facteurs de transcription

Université de Montréal. Développement d outils pour l analyse de données de ChIP-seq et l identification des facteurs de transcription Université de Montréal Développement d outils pour l analyse de données de ChIP-seq et l identification des facteurs de transcription par Eloi Mercier Département de bioinformatique Faculté de médecine

Plus en détail

INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE

INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Partie 1, Chapitre 4 INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Constat : à l'exception des jumeaux, chaque individu est unique. Ses caractères héréditaires dependent des info génétiques (allèles) portées

Plus en détail

MYRIAD. l ADN isolé n est à présent plus brevetable!

MYRIAD. l ADN isolé n est à présent plus brevetable! MYRIAD La Cour Suprême des Etats-Unis revient sur plus de 30 ans de pratique : l ADN isolé n est à présent plus brevetable! Mauvaise passe pour les inventions en biotechnologies sur le territoire américain.

Plus en détail

Big data et sciences du Vivant L'exemple du séquençage haut débit

Big data et sciences du Vivant L'exemple du séquençage haut débit Big data et sciences du Vivant L'exemple du séquençage haut débit C. Gaspin, C. Hoede, C. Klopp, D. Laborie, J. Mariette, C. Noirot, MS. Trotard bioinfo@genopole.toulouse.inra.fr INRA - MIAT - Plate-forme

Plus en détail

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut

Plus en détail

Univers Vivant Révision. Notions STE

Univers Vivant Révision. Notions STE Univers Vivant Révision Notions STE Chap. 13) L Écologie 1) a) Qu est-ce que l empreinte écologique? L empreinte écologique correspond à la surface terrestre et aquatique totale nécessaire à un individu,

Plus en détail

Génomique Comparative et intégrative

Génomique Comparative et intégrative Génomique Comparative et intégrative Introduction : Le big data : on peut traiter des données massives à présent, l'objectif à présent est d'éviter les transferts de données trop longs. On a tout à portée

Plus en détail

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire

Plus en détail

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:

Plus en détail

UE : GENE 2208. Responsable : Enseignant : ECUE 1. Enseignant : ECUE 2. Dr COULIBALY Foungotin Hamidou

UE : GENE 2208. Responsable : Enseignant : ECUE 1. Enseignant : ECUE 2. Dr COULIBALY Foungotin Hamidou UE : GENE 2208 Responsable : Enseignant : ECUE 1 Enseignant : ECUE 2 Dr COULIBALY Foungotin Hamidou Spécialités : Génétique Humaine Biologie de la Procréation Cytogénétique Spermiologie Essais Cliniques

Plus en détail

Master de Bioinformatique et Biologie des Systèmes Toulouse http://m2pbioinfo.biotoul.fr Responsable : Pr. Gwennaele Fichant

Master de Bioinformatique et Biologie des Systèmes Toulouse http://m2pbioinfo.biotoul.fr Responsable : Pr. Gwennaele Fichant Master de Bioinformatique et Biologie des Systèmes Toulouse http://m2pbioinfo.biotoul.fr Responsable : Pr. Gwennaele Fichant Parcours: Master 1 : Bioinformatique et biologie des Systèmes dans le Master

Plus en détail

Les outils de génétique moléculaire Les techniques liées aux acides nucléiques

Les outils de génétique moléculaire Les techniques liées aux acides nucléiques Les outils de génétique moléculaire Les techniques liées aux acides nucléiques Sommaire Preparation des acides nucléiques Extraction / purification Les enzymes agissant sur les acides nucléiques Les enzymes

Plus en détail

Détection des duplications en tandem au niveau nucléique à l'aide de la théorie des flots

Détection des duplications en tandem au niveau nucléique à l'aide de la théorie des flots Université Toulouse 3 Paul Sabatier(UT3 Paul Sabatier) Informatique Spécialité Bioinformatique Eric AUDEMARD lundi 28 novembre 2011 Détection des duplications en tandem au niveau nucléique à l'aide de

Plus en détail

Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année)

Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Equipe pédagogique Université Bordeaux-1 Didier Morin, Michel Moenner, Sophie North, Gérard Tramu et IJsbrand Kramer Contact : i.kramer@iecb.u-bordeaux.fr

Plus en détail

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert

Plus en détail

Etude du réseau transcriptionnel du gène Xist, acteur principal de l inactivation du chromosome X

Etude du réseau transcriptionnel du gène Xist, acteur principal de l inactivation du chromosome X Etude du réseau transcriptionnel du gène Xist, acteur principal de l inactivation du chromosome X Andrew Oldfield To cite this version: Andrew Oldfield. Etude du réseau transcriptionnel du gène Xist, acteur

Plus en détail

2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP)

2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP) 2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP) 2.1 Introduction 2.2 Signal 2.3 Support de transmission 2.4 Adaptation du signal aux supports de transmission 2.5 Accès WAN 2.1 Introduction Introduction Rôle

Plus en détail

présentée DEVANT L UNIVERSITÉ DE RENNES 1 pour obtenir le grade de : DOCTEUR DE L UNIVERSITÉ DE RENNES 1 PAR Emilie GUÉRIN TITRE DE LA THÈSE :

présentée DEVANT L UNIVERSITÉ DE RENNES 1 pour obtenir le grade de : DOCTEUR DE L UNIVERSITÉ DE RENNES 1 PAR Emilie GUÉRIN TITRE DE LA THÈSE : N Ordre de la Thèse 3282 THÈSE présentée DEVANT L UNIVERSITÉ DE RENNES 1 pour obtenir le grade de : DOCTEUR DE L UNIVERSITÉ DE RENNES 1 Mention : BIOLOGIE PAR Emilie GUÉRIN Équipe d accueil : École Doctorale

Plus en détail

La Création de Valeur Durable des Constructeurs Automobiles

La Création de Valeur Durable des Constructeurs Automobiles La Création de Valeur Durable des Constructeurs Automobiles Une analyse des performances durables des constructeurs automobiles au niveau mondial RÉSUMÉ ET RÉSULTATS CLÉS www.sustainablevalue.com Auteurs

Plus en détail

ANTIVIRAUX ET INTERFERONS LES ANTIVIRAUX

ANTIVIRAUX ET INTERFERONS LES ANTIVIRAUX ANTIVIRAUX ET INTERFERONS LES ANTIVIRAUX La thérapeutique antivirale progresse avec lenteur car elle s'attaque à des micro-organismes ne se multipliant qu'à l'intérieur des cellules vivantes dont ils détournent

Plus en détail

grande simple microscope microscope inventé années 1825. biologie = cellule) et (logos de plus en Anglais. Utilise un La microscopie, 1665,

grande simple microscope microscope inventé années 1825. biologie = cellule) et (logos de plus en Anglais. Utilise un La microscopie, 1665, Cours de Biologie Cellulaire Présentés par Mr CHELLI A. FSNV 2012/ /2013 CHAPITRE I : INTRODUCTION A LA BIOLOGIE CELLULAIRE A- Introduction et définitionn de la biologie cellulaire : Il était difficile

Plus en détail

Introduc)on à Ensembl/ Biomart : Par)e pra)que

Introduc)on à Ensembl/ Biomart : Par)e pra)que Introduc)on à Ensembl/ Biomart : Par)e pra)que Stéphanie Le Gras Jean Muller NAVIGUER DANS ENSEMBL : PARTIE PRATIQUE 2 Naviga)on dans Ensembl : Pra)que Exercice 1 1.a. Quelle est la version de l assemblage

Plus en détail

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production

Plus en détail

Conception et construction des ouvrages gaz. Club de la Performance Immobilière

Conception et construction des ouvrages gaz. Club de la Performance Immobilière Conception et construction des ouvrages gaz Club de la Performance Immobilière Novembre 2014 RT2012 et arrêté 2 Aout 77 Arrêté du 26 octobre 2010 relatif aux caractéristiques thermiques et aux exigences

Plus en détail

ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE

ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée

Plus en détail

Rapport Scientifique Seine-Aval 3

Rapport Scientifique Seine-Aval 3 Rapport Scientifique Seine-Aval 3 Séminaire Seine-Aval 2008 Fiches de synthèse des propositions SA4 THEME 3 : TABLEAU DE BORD ET INDICATEURS OPERATIONNELS PUCES A ADN CHEZ MYTILUS EDULIS - 2005 - Danger

Plus en détail

UE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd

UE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd UE 503 L3 MIAGE Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique A. Belaïd abelaid@loria.fr http://www.loria.fr/~abelaid/ Année Universitaire 2011/2012 2 Le Modèle OSI La couche physique ou le

Plus en détail

Semestre 2 Spécialité «Analyse in silico des complexes macromolécules biologiques-médicaments»

Semestre 2 Spécialité «Analyse in silico des complexes macromolécules biologiques-médicaments» Master In silico Drug Design Semestre 2 Spécialité «Analyse in silico des complexes macromolécules biologiques-médicaments» 30NU01IS INITIATION A LA PROGRAMMATION (6 ECTS) Responsables : D. MESTIVIER,

Plus en détail

chez les eucaryotes, source de diversification et de modulation de l'expression des gènes

chez les eucaryotes, source de diversification et de modulation de l'expression des gènes L'initiation de la traduction chez les eucaryotes, source de diversification et de modulation de l'expression des gènes Olivier Jean-Jean, Michel Cassan, Jean-Pierre Rousset Société Française de Génétique

Plus en détail

Tableau 1. Liste (non exhaustive) des protéines se localisant dans les P-Bodies

Tableau 1. Liste (non exhaustive) des protéines se localisant dans les P-Bodies NOM FONCTION EFFET DE L ABSENCE OU DE REFERENCES LA SUREXPRESSION SUR LES P- BODIES XRN1 exonucléase 5 3 Absence : augmente la taille et le Bashkirov et al. 1997 Shet et Parker 2003 Cougot nombre des P-bodies

Plus en détail

1 Définition et présentation. 2 Le réseau Numéris. 3 Les services. 3.1 Les services Support (Bearer service) SYNTHESE

1 Définition et présentation. 2 Le réseau Numéris. 3 Les services. 3.1 Les services Support (Bearer service) SYNTHESE 1 Définition et présentation RNIS = Réseau Numérique à Intégration de Services En Anglais = ISDN = Integrated Services Digital Network Le RNIS est une liaison autorisant une meilleure qualité que le RTC

Plus en détail

Banque Agro-Veto Session 2014 Rapport sur les concours A filière BCPST

Banque Agro-Veto Session 2014 Rapport sur les concours A filière BCPST 1 Épreuve de biologie Épreuve non prise en compte au concours PC BIO Concours Nb cand. Moyenne Ecart type Note la plus basse Note la plus haute A BIO 2158 11,94 4,10 1 20 A ENV 883 13,54 3,69 1,5 20 Ce

Plus en détail

2 C est quoi la chimie?

2 C est quoi la chimie? PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc

Plus en détail

LA TRANSMISSION DES CARACTÈRES

LA TRANSMISSION DES CARACTÈRES LA TRANSMISSION DES CARACTÈRES HÉRÉDITAIRES BIO-5065-2 GUIDE D APPRENTISSAGE BIOLOGIE Janvier 2005 Version révisée (avril 2005) 2 Ce document, produit par la Commission scolaire Marie-Victorin, reprend

Plus en détail

voies de signalisation

voies de signalisation Olivier Lascols Faculté de Médecine ierre et Marie Curie Généralités s sur les voies de signalisation 1 I. Caractérisation risation d une d voie de transduction d un d signal Exemple du Signal Mitogénique

Plus en détail

Séquence 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN

Séquence 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN Séquence 1 Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN Sommaire 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN 2. Variabilité

Plus en détail

Bulletin officiel n 29 du 19 juillet 2012 Sommaire

Bulletin officiel n 29 du 19 juillet 2012 Sommaire Bulletin officiel n 29 du 9 juillet 22 Sommaire Organisation générale Administration centrale du MN et du MSR Attributions de fonctions : modification arrêté du 5-6-22 (NOR : MNA2252A) Administration centrale

Plus en détail

Chapitre 1: Facteurs d'échelle

Chapitre 1: Facteurs d'échelle Chapitre 1: Facteurs d'échelle Des considérations générales sur la taille des objets ou des êtres vivants et leur influence sur différents paramètres, permettent d'établir simplement quelques lois ou tendances,

Plus en détail

RÉSOLUTION DE SYSTÈMES À DEUX INCONNUES

RÉSOLUTION DE SYSTÈMES À DEUX INCONNUES RÉSOLUTION DE SYSTÈMES À DEUX INCONNUES Sommaire 1 Méthodes de résolution... 3 1.1. Méthode de Substitution... 3 1.2. Méthode des combinaisons linéaires... 6 La rubrique d'aide qui suit s'attardera aux

Plus en détail

Interactions des rayonnements avec la matière

Interactions des rayonnements avec la matière UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

VADE MECUM COURRIERS ELECTRONIQUES. Comprendre, s'organiser et gérer durablement la communication électronique

VADE MECUM COURRIERS ELECTRONIQUES. Comprendre, s'organiser et gérer durablement la communication électronique VADE MECUM COURRIERS ELECTRONIQUES Comprendre, s'organiser et gérer durablement la communication électronique Page 1 / 8 Les e-mails sont devenus la base de la communication des entreprises. Beaucoup ne

Plus en détail

Le très haut débit sur le territoire du Parc des Monts d'ardèche

Le très haut débit sur le territoire du Parc des Monts d'ardèche Le très haut débit sur le territoire du Parc des Monts d'ardèche Un choix déterminant d aménagement et de développement du territoire MONTS D ARDÈCHE Pour quels usages? Un développement des usages dans

Plus en détail

Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800

Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Double faisceau avec optiques parfaitement stables. Bande passante 1,5 nm. Logiciel de navigation Jenway Flight

Plus en détail

LA A RESPIRATION CELLULAIRE

LA A RESPIRATION CELLULAIRE Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles

Plus en détail

Chapitre II La régulation de la glycémie

Chapitre II La régulation de la glycémie Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique

Plus en détail

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

Production d une protéine recombinante

Production d une protéine recombinante 99 Production d une protéine recombinante Lic. B. PIRSON Lic. J-M. SERONT ISICHt - Mons Production de la protéine recombinante GFP (Green Fluorescent Protein d Aequoria victoria) par une bactérie ( E.

Plus en détail

Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010

Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur

Plus en détail

Perrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6

Perrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire

Plus en détail

THESE. pour obtenir LE GRADE DE DOCTEUR. Spécialité INFORMATIQUE. Ecole Doctorale : Informatique et Information pour la Société. par Sylvain BLACHON

THESE. pour obtenir LE GRADE DE DOCTEUR. Spécialité INFORMATIQUE. Ecole Doctorale : Informatique et Information pour la Société. par Sylvain BLACHON N D'ORDRE : 2007-ISAL-0034 ANNEE 2007 THESE présentée devant L'INSTITUT NATIONAL DES SCIENCES APPLIQUEES DE LYON pour obtenir LE GRADE DE DOCTEUR Spécialité INFORMATIQUE Ecole Doctorale : Informatique

Plus en détail

University of Tokyo Graduate School of Agricultural and Life Sciences et. Kanagawa Academy of Science and Technology

University of Tokyo Graduate School of Agricultural and Life Sciences et. Kanagawa Academy of Science and Technology COMMUNIQUÉ DE PRESSE le 25 mars 2014 Une étude conjointe menée par University of Tokyo Graduate School of Agricultural and Life Sciences et Kanagawa Academy of Science and Technology suggère que le sirop

Plus en détail

Séquence 4. La nature du vivant. Sommaire. 1. L unité structurale et chimique du vivant. 2. L ADN, support de l information génétique

Séquence 4. La nature du vivant. Sommaire. 1. L unité structurale et chimique du vivant. 2. L ADN, support de l information génétique Séquence 4 La nature du vivant Sommaire 1. L unité structurale et chimique du vivant 2. L ADN, support de l information génétique 3. Synthèse de la séquence 4. Exercices Devoir autocorrectif n 2 Séquence

Plus en détail

Depuis des milliers de générations, le ver à soie est l objet d une sélection

Depuis des milliers de générations, le ver à soie est l objet d une sélection Production de soie et caractéristiques des glandes séricigènes de 13 races de ver à soie (Bombyx mori) J. M. FAYARD Laboratoire de biométvie, Dépavtement de biologie générale et appliquée Université Claude

Plus en détail

IlliS. Le ribosome bactérien : structure et fonctions SYNTHÈSE

IlliS. Le ribosome bactérien : structure et fonctions SYNTHÈSE IlliS SYNTHÈSE médecine! sciences 1989 ; 5: 662-69 Le ribosome bactérien : structure et fonctions Le ribosome est une particule ribonucléoprotéique, complexe jouant le rôle d'«unité centrale» de la synthèse

Plus en détail

MANCHE NUMERIQUE. Bilan de la couverture numérique du territoire et de la mise en concurrence

MANCHE NUMERIQUE. Bilan de la couverture numérique du territoire et de la mise en concurrence MANCHE NUMERIQUE Bilan de la couverture numérique du territoire et de la mise en concurrence 1 MANCHE NUMERIQUE Bilan de la couverture numérique du territoire et de la mise en concurrence Dès 1995, le

Plus en détail

La PCR quantitative (qpcr) et le guide de bonnes pratiques MIQE : adaptation et pertinence dans le contexte de la biologie clinique

La PCR quantitative (qpcr) et le guide de bonnes pratiques MIQE : adaptation et pertinence dans le contexte de la biologie clinique Synthèse Ann Biol Clin 2014 ; 72 (3) : 265-9 La PCR quantitative (qpcr) et le guide de bonnes pratiques MIQE : adaptation et pertinence dans le contexte de la biologie clinique Quantitative PCR (qpcr)

Plus en détail

la Fibre très haut débit d Orange arrive à Sucy

la Fibre très haut débit d Orange arrive à Sucy la Fibre très haut débit d Orange arrive à Sucy une approche ouverte avec les collectivités locales pour un aménagement harmonieux du territoire Orange est ouvert : plus de débits pour tous à des formes

Plus en détail

CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules

CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions

Plus en détail

Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype

Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chaque chromosome est en double exemplaire Donc chaque gène (situé sur son locus) est en double exemplaires : et peut être sous différente

Plus en détail

Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations

Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA «Anexplo» Service Transgenèse Catalogue des prestations 04/01/12 - Page 1 sur 8 Présentation du service de Transgenèse Le service de Transgenèse

Plus en détail

INTERNET, C'EST QUOI?

INTERNET, C'EST QUOI? INTERNET, C'EST QUOI? Internet, c'est quoi? «Internet est le réseau informatique mondial qui rend accessibles au public des services variés comme le courrier électronique, la messagerie instantanée et

Plus en détail

Séquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.

Séquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment. Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications

Plus en détail

Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques

Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique

Plus en détail

Identification de nouveaux membres dans des familles d'interleukines

Identification de nouveaux membres dans des familles d'interleukines Identification de nouveaux membres dans des familles d'interleukines Nicolas Beaume Jérôme Mickolajczak Gérard Ramstein Yannick Jacques 1ère partie : Définition de la problématique Les familles de gènes

Plus en détail

CHAPITRE 3 LES TASQ COMME PLATEFORME POUR LA CATALYSE PSEUDO-ENZYMATIQUE

CHAPITRE 3 LES TASQ COMME PLATEFORME POUR LA CATALYSE PSEUDO-ENZYMATIQUE L. Stefan Chapitre 3 CHAPITRE 3 LES TASQ COMME PLATEFORME POUR LA CATALYSE PSEUDO-ENZYMATIQUE Nous avons démontré dans le chapitre précédent que les TASQ hydrosolubles développés au cours de cette thèse

Plus en détail

Notice d utilisation de la : Pro-Ject Debut & Debut Phono SB

Notice d utilisation de la : Pro-Ject Debut & Debut Phono SB Notice d utilisation de la : Pro-Ject Debut & Debut Phono SB 11 14 11 22 2 1 3 16 17 6 15 1 4 5 8 7 9 20 21 17 9a 3a 25 33 45/78 SPEED 24 10 11 13 12 2 PRO-JECT DEBUT/DEBUT PHONO SB Descriptif du produit

Plus en détail

Introduction aux bases de données: application en biologie

Introduction aux bases de données: application en biologie Introduction aux bases de données: application en biologie D. Puthier 1 1 ERM206/Technologies Avancées pour le Génome et la Clinique, http://tagc.univ-mrs.fr/staff/puthier, puthier@tagc.univ-mrs.fr ESIL,

Plus en détail

Physiopathologie : de la Molécule à l'homme

Physiopathologie : de la Molécule à l'homme Mention Sciences du Vivant Spécialité de Master : Physiopathologie : de la Molécule à l'homme Pourquoi, comment, combien, contourner, greffer, restaurer, inhiber, suppléer Responsables : Dr Gilles Prévost

Plus en détail

Guide pour le Raccordement des Logements Neufs à la Fibre Optique. Novembre 2011

Guide pour le Raccordement des Logements Neufs à la Fibre Optique. Novembre 2011 Guide pour le Raccordement des Logements Neufs à la Fibre Optique Novembre 2011 Préambule Ce document est destiné à la Filière, c est à dire les installateurs, prescripteurs, promoteurs, opérateurs, fabricants,

Plus en détail

Une solution stockage sécurisée et distribuée au Synchrotron Soleil

Une solution stockage sécurisée et distribuée au Synchrotron Soleil Une solution stockage sécurisée et distribuée au Synchrotron Soleil Informatique Scientifique Groupe Systèmes et Réseaux Division Informatique philippe.martinez@synchrotron-soleil.fr Historique du Synchrotron

Plus en détail

POKER ET PROBABILITÉ

POKER ET PROBABILITÉ POKER ET PROBABILITÉ Le poker est un jeu de cartes où la chance intervient mais derrière la chance il y a aussi des mathématiques et plus précisément des probabilités, voici une copie d'écran d'une main

Plus en détail

Ebauche Rapport finale

Ebauche Rapport finale Ebauche Rapport finale Sommaire : 1 - Introduction au C.D.N. 2 - Définition de la problématique 3 - Etat de l'art : Présentatio de 3 Topologies streaming p2p 1) INTRODUCTION au C.D.N. La croissance rapide

Plus en détail

Les réseaux cellulaires

Les réseaux cellulaires Les réseaux cellulaires Introduction Master 2 Professionnel STIC-Informatique Module RMHD 1 Introduction Les réseaux cellulaires sont les réseaux dont l'évolution a probablement été la plus spectaculaire

Plus en détail

C est quoi un tableur?

C est quoi un tableur? C est quoi un tableur? Initiation au tableur Un Tableur c'est une grande feuille électronique, où vous pourrez travailler comme vous le feriez sur une feuille de papier, mais avec une plus grande rapidité,

Plus en détail

Modélisation et simulation du trafic. Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005

Modélisation et simulation du trafic. Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005 Modélisation et simulation du trafic Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005 Plan de la présentation! Introduction : modèles et simulations définition

Plus en détail

CULTe Le samedi 9 février2008 à 15h. Conf 1 : WIFI, les bases

CULTe Le samedi 9 février2008 à 15h. Conf 1 : WIFI, les bases CULTe Le samedi 9 février2008 à 15h Conf 1 : WIFI, les bases 1) Principes de fonctionnement (antennes, fréquences, emetteurs/recepteurs, point d'accés) a) Les grandes classes de fréquences HF, 300 Khz

Plus en détail

Présentation du modèle OSI(Open Systems Interconnection)

Présentation du modèle OSI(Open Systems Interconnection) Présentation du modèle OSI(Open Systems Interconnection) Les couches hautes: Responsables du traitement de l'information relative à la gestion des échanges entre systèmes informatiques. Couches basses:

Plus en détail