Quelques réflexions introductives sur le rôle de la confiance dans le travail collaboratif
|
|
- Céline Larocque
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Quelques réflexions introductives sur le rôle de la confiance dans le travail collaboratif Laurent KARSENTY CRTD-CNAM (Paris) ErgoManagement (Toulouse)
2 Plan de la présentation 1. Définition et conceptualisation générale 2. Exemple illustrant le rôle de la confiance au travail : des relèves de poste défaillantes 3. Conclusion et questions de recherche 2
3 Plusieurs objets de confiance Confiance en soi Confiance en l autre Confiance en l organisation Confiance dans le système technique Qu est-ce que ces notions ont en commun? 3
4 Définitions Etymol. du latin cum : avec et fidere : fier Se fier à, (se) confier, confidence Fiancé Fidélité, fiabilité La confiance : «sentiment de sérénité qui émane de la relation à un acteur (organisation, groupe, individu) à qui l on confie certains de ses intérêts en espérant qu il en prendra bien soin» Faire confiance : «acte consistant à confier certains de ses intérêts à un acteur dont les caractéristiques attribuées permettent d espérer qu il en prendra bien soin» 4
5 Que «confie-t-on» aux autres dans le cadre d un travail collaboratif? 1. Des conditions de réussite de ses missions J espère qu on n aura pas trop de complications avec ce malade. Préviens-moi dès que ses paramètres te semblent anormaux. Pourvu que la météo ne se dégrade pas trop car on serait obligé de détourner beaucoup d avions. Je préviens les pilotes pour qu ils s y préparent. 5
6 Que «confie-t-on» aux autres dans le cadre d un travail collaboratif? 2. Le sens de son travail QUI Enjeux identitaires : image de bon professionnel, responsabilités, Enjeux relationnels : travailler au sein de bonnes relations, être bien dirigé et soutenu, pouvoir apprendre des autres, POURQUOI Sens du travail COMMENT AVEC QUI Enjeux opérationnels : atteindre ses objectifs dans de bonnes conditions, préserver santé et sécurité, Enjeux motivationnels : fierté de son travail, développer des compétences, évoluer, obtenir une rémunération adaptée, 6
7 Travail collaboratif : interdépendances, incertitude et confiance La réalisation d un travail collaboratif repose sur des relations d interdépendance Un certain niveau d incertitude est associé à toute situation d interdépendance La confiance est une ressource nécessaire pour agir avec les autres malgré cette incertitude Pari, prise de risque Mais la confiance ne se décrète pas! Exige certaines conditions pour croire que l autre «prendra bien soin» de nos intérêts 7
8 8
9 La relève de poste dans un atelier de l industrie aéronautique (Karsenty, 2011) Partant Arrivant Travail en 2x8 Demande initiale : améliorer les pratiques de transmission de consignes 9
10 La relève de poste dans l atelier Effectivement peu de transmission de consignes Pas de recouvrement horaire Nécessité de passer par le mode écrit, mais difficultés ressenties par les opérateurs 10
11 Des relations de travail dégradées Un réel problème de manque de confiance Nombreuses expressions d insatisfaction liées à cette situation Des histoires, des cultures métiers et des niveaux d expérience différents dans l atelier Craintes exprimées à l égard des intentions et des compétences de l autre Des décisions managériales incomprises ou critiquées Des valeurs jugées différentes, sentiment de ne pas être reconnu 11
12 Impact du manque de confiance Absence de transmission de consignes (peu fréquent) Rupture de la continuité du travail à réaliser Plus souvent : restriction des consignes à l information factuelle minimale Absence de tout conseil ou alerte sur les opérations à venir, pas d information dépassant le cadre strict du travail à réaliser Perte de conscience partagée de la situation Absence d anticipation de problèmes futurs possibles Frein au développement de l expertise 12
13 Impact du manque de confiance Pour certains, repli derrière l écrit Protection contre une éventuelle mise en cause de sa responsabilité Pour d autres, à l inverse, rejet du mode écrit Crainte d une exploitation non prévue de l information rapportée Lien avec une certaine méfiance vis-à-vis du management en place Des «stratégies de défense» (Dejours, 1998) rompant les liens du collectif 13
14 Quelques solutions définies collectivement Mesures organisationnelles pour réduire les écarts de savoir et savoir-faire Formalisme poussé Recrutement, programme d intégration, tutorat, Dossier des «bonnes pratiques» Constitution d équipes par affinités, si possible Réunions de partage d expérience Classeur avec fiches de consignes semiformalisées Absence de formalisme Confiance réciproque = > communication basée sur une volonté «naturelle» et l esprit d entre-aide Méfiance => Communication basée uniquement sur une prescription Compréhension non garantie 14
15 Conclusions La performance collective et la satisfaction au travail découlent en partie de la confiance La confiance ne se décrète pas Chacun a le choix d entrer en relation avec autrui ou, au moins, des modalités par lesquelles être en relation avec autrui La confiance est dynamique La confiance acquise doit être entretenue Confiance Autres ressources personnelles Environnement de travail Une confiance dégradée peut être restaurée jusqu à un certain point Compétences Travail efficace et sûr Règles de coordination verticale et horizontale 15
16 Un modèle de la confiance au travail ou plusieurs? De manière générale, besoin d approfondir la modélisation de la confiance au travail Ex. Quelles relations entre confiance en soi, confiance en l autre et confiance dans l organisation? Confiance située vs. confiance généralisée Des besoins de confiance différents selon la nature des postes, des tâches, des situations (Dupont, 2010) La nature de la dépendance à l autre change en fonction de nombreux paramètres Degré d aversion au risque Risques effectivement présents dans la situation Cadre organisationnel contraignant les comportements «à risque» 16
17 Pour aller plus loin Et aussi Zand D. (1972). Trust and Managerial Problem Solving. Administrative Science Quarterly, 17(2), Mayer, R. C., Davis J. H. & Schoorman F.D. (1995). An integrative model of organizational trust. Academy of management review, 20(3), Kramer R. M. (1999). Trust and Distrust in organizations: Emerging Perspectives, Enduring Questions. Annual Review of Psychology, 50, Costa, A. C. (2001). The role of trust for the functioning of teams in organisations. European journal of work and organizational psychology, 10(3), Nooteboom B., & Six F. (2003). The Trust Process in Organizations. Empirical Studies of the Determinants and the Process of Trust Development. Cheltenham: UK: Edward Elgar. Ogien, A., & Quéré, L. (Eds.). (2006). Les moments de la confiance. Connaissance, affects et engagements. Paris: Economica. 17
PRACA : 5 principes pour réussir à instaurer un management par la confiance
PRACA : 5 principes pour réussir à instaurer un management par la confiance Laurent KARSENTY CRTD-CNAM (Paris) ErgoManagement (Toulouse) www.ergomanagement.fr Plan de la présentation 1. Qu appelle-t-on
Plus en détailM2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailBAROMÈTRE EMPLOI VAGUE 2
BAROMÈTRE EMPLOI VAGUE 2 Juillet 2014 CONTACT TADDEO 137, rue de l Université 75007 Paris Méthodologie Enquête réalisée par TNS Sofres, en ligne auprès d un échantillon de 502 cadres du secteur privé,
Plus en détailBTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR
BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR Vous êtes tuteur d un étudiant en BTS management des unités commerciales. Ce guide vous est destiné : il facilite votre préparation de l arrivée du
Plus en détailCustomer feedback management Management de la satisfaction client
Customer feedback management Management de la satisfaction client La meilleure des publicités est un client satisfait. Vos clients les plus mécontents sont votre plus grande source d'enseignement. Bill
Plus en détail«Sicredi améliore la gestion de ses services informatiques grâce à CA Service Assurance»
Success story «Sicredi améliore la gestion de ses services informatiques grâce à CA Service Assurance» PROFIL DU CLIENT Secteur : services financiers Entreprise : Sicredi Activité Sicredi est l un des
Plus en détailFidéliser = Développer l expérience employés. Lucie Morin Professeure
Fidéliser = Développer l expérience employés Lucie Morin Professeure Sommet 18 juin 2015 Fidéliser les employés, c'est la même chose que fidéliser les clients : on doit offrir un bon service après-vente!
Plus en détailChambre de métiers et de l artisanat de la Haute-Garonne LIVRET DU MAITRE D APPRENTISSAGE. Les clés pour réussir votre mission
Chambre de métiers et de l artisanat de la Haute-Garonne LIVRET DU MAITRE D APPRENTISSAGE Les clés pour réussir votre mission 2 L APPRENTISSAGE, UN PARCOURS «GAGNANT - GAGNANT» Côté entreprise : C est
Plus en détailL approche processus c est quoi?
L approche processus c est quoi? D après FD X50-176 Management des processus (2005) AC X50-178 Management des processus, Bonnes pratiques et retours d expérience (2002) Introduction Termes et définitions
Plus en détailArchitecture pragmatique pour la gestion du cycle de vie des applications (ALM)
Architecture pragmatique pour la gestion du cycle de vie des applications (ALM) Concepts Agile appliqués à l architecture et à la conception Jean-Louis Maréchaux jl.marechaux@ca.ibm.com Jean-Louis Maréchaux
Plus en détailNormes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes. En vigueur à compter du 1 er janvier 2014
Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes En vigueur à compter du 1 er janvier 2014 Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes En vigueur à compter du 1 er
Plus en détailSondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire -
Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire - Juin 2009 1 Objectifs Réalisée par CROP pour le compte de l Association québécoise d établissements
Plus en détail«PRATICIEN DU CHANGEMENT & PROFESSIONNEL DE LA RELATION»
«PRATICIEN DU CHANGEMENT & PROFESSIONNEL DE LA RELATION» PROMO 7 La formation au coaching QUI SOMMES-NOUS? Nous sommes des coachs professionnels, hommes et femmes, témoins et acteurs de l évolution des
Plus en détailNotre modèle d engagement
Notre modèle d engagement 1. EVALUER L évaluation des compétences que vous souhaitez améliorer implique un vrai échange entre nos deux équipes, et une étude plus approfondie des écarts et des actions préalablement
Plus en détailESAT Ateliers d'apprivoisement de la tablette tactile
ESAT Ateliers d'apprivoisement de la tablette tactile Dans un objectif d appropriation des technologies numériques par les travailleurs d ESAT, j ai choisi de réaliser des ateliers d apprivoisement de
Plus en détailIl/Elle assiste le chef d entreprise dans la gestion au quotidien de l entreprise.
FICHE MÉTIER ASSISTANT(E) ADMINISTRATIF(VE) POLYVALENTE CHARCUTIER-TRAITEUR Il/Elle assiste le chef d entreprise dans la gestion au quotidien de l entreprise. Que doit-il savoir-faire? Réaliser le secrétariat
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC
METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente
Plus en détailRésultats de l enquête Sport & Entreprise. mars 2009
Résultats de l enquête Sport & Entreprise mars 2009 I. LE CONTEXTE DE L ENQUETE : LES RELATIONS SPORT / ENTREPRISE Une brève histoire des liens sport / entreprise La domination du modèle industriel paternaliste
Plus en détaille réseau des systèmes locaux de déclaration des erreurs
> Critical Incident Reporting & Reacting NETwork le réseau des systèmes locaux de déclaration des erreurs www.patientensicherheit.ch www.cirrnet.ch Objectifs est le réseau des systèmes locaux de déclaration
Plus en détailMANAGER POUR LA PREMIÈRE FOIS
Frédéric Crépin MANAGER POUR LA PREMIÈRE FOIS, 2004. ISBN : 2-7081-3140-0 5 Chapitre 1 idées reçues sur les managers et le management au quotidien Idée reçue n 1 : managers et salariés doivent avoir les
Plus en détailCohésion d Equipe - Team Building
Public concerné : Cadres et cadres supérieurs. Cohésion d Equipe - Team Building Objectifs : Comprendre les mécanismes de fonctionnement d une équipe. Comprendre les rôles de chacun et le rôle de l encadreur.
Plus en détailStress et Management Droits et devoirs du manager. Inter- Entreprises
Management motivationnel Stress et Management Droits et devoirs du manager CATALOGUE Formations Inter- Entreprises Cabinet de Conseil et de Formation en Motivation et Développement de la Performance CRECI
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATION POUR LES CABINETS D AVOCATS
2009 CATALOGUE DE FORMATION POUR LES CABINETS D AVOCATS SE DISTINGUER PAR LES COMPETENCES Signe Distinctif accompagne les cabinets d avocats pour développer de nouvelles compétences professionnelles indispensables
Plus en détailAgile Learning Comment faire face aux changements organisationnels? Une étude internationale réalisée par Lumesse
Comment faire face aux changements organisationnels? Une étude internationale réalisée par Lumesse Introduction Le monde du travail est plus que familier avec la notion de changement. Synonyme d innovation
Plus en détailDoes it pay to improve Corporate Governance? An empirical analysis of European Equities
Does it pay to improve Corporate Governance? An empirical analysis of European Equities Joseph GAWER NATIXIS Asset Management Université Paris Dauphine joseph.gawer@am.natixis.com Association Française
Plus en détailLE SAVIEZ-VOUS 1) LA C.S.C.A.
LE SAVIEZ-VOUS Etre adhérent du Sycaest, c est bien entendu bénéficier de nombreux services et prestations. Mais c est aussi participer au financement de la Chambre Syndicale des Courtiers d Assurances
Plus en détailLa confiance en soi ça se développe. Créez le rapport de confiance!
La confiance en soi ça se développe Créez le rapport de confiance! Rencontre Réseau EAF 23 septembre 2010 Esc Brest Introduction Installer son leadership, croire en ses capacités, en son produit/service,
Plus en détailS84-1 LA GRC ET LE SI (Système d Information) 841 - Qualification des données clientèle. 842 - La segmentation de la clientèle
S84-1 LA GRC ET LE SI (Système d Information) 841 - Qualification des données clientèle 842 - La segmentation de la clientèle 843 - Les actions personnalisées utilisation des procédures de consultation
Plus en détailE-monitoring : intégrer l émotionnel dans votre «balanced scorecard»
E-monitoring : intégrer l émotionnel dans votre «balanced scorecard» Par Daniel Held, Dr. Es Sc. écon. et Benoit Moransais, lic. ès Sc. écon., associés du cabinet Qualintra SA, Genève Le «balanced scorecard»
Plus en détailPeut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr
Peut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr Actualités en Médecine Gériatrique, Paris 17 juin 2015 Conflit d intérêt Remerciements au Dr O. Faraldi Une réponse triviale?
Plus en détailLES PROFESSIONNELS DE SANTE ET LE TIERS PAYANT COMPLEMENTAIRE Enquête Mut Santé/TNS Healthcare auprès de 150 pharmaciens
LES PROFESSIONNELS DE SANTE ET LE TIERS PAYANT COMPLEMENTAIRE Enquête Mut Santé/TNS Healthcare auprès de 150 pharmaciens Nouvel opérateur de la gestion du Tiers Payant Complémentaire, Mut Santé a souhaité
Plus en détailIntroduction. Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas :
Introduction Le CRM se porte-t-il si mal? Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas : «75 % de projets non aboutis» «La déception du CRM» «Le CRM : des
Plus en détail- Dossier de presse -
- Dossier de presse - Janvier 2014 Sommaire I. Valérie Moissonnier & l Institut du Selfcoaching 1. Valérie Moissonnier : son parcours et son blog RadioCoaching 2. L équipe de l Institut du Selfcoaching
Plus en détailEtude des possibilités de passerelles entre les CQP des Entreprises de l industrie pharmaceutique et les CQP des industries chimiques
Etude des possibilités de passerelles entre les CQP des Entreprises de l industrie et les CQP des industries chimiques @ COPYRIGHT LEEM - Page 1 sur 51 Sommaire 1 - Finalités des passerelles... 3 2 - Principes
Plus en détailLe 360 T&I Evaluations
Le 360 T&I Evaluations Du développement personnel à la cartographie managériale Qui sommes-nous? Options RH, un cabinet de conseil spécialisé en Management des Hommes et des Organisations Depuis 14 ans,
Plus en détailCahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré
Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants
Plus en détailRetour d expérience. Le rôle du Business Analyst chez Orange. Nadia Magarino & Christophe Dufour 29 avril 2015
Retour d expérience Le rôle du Business Analyst chez Orange Nadia Magarino & Christophe Dufour 29 avril 2015 Plus de 161 000 salariés à votre service mobile entreprises internet et fixe Plus de 161 000
Plus en détailAppendice 2. (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs
Appendice 2 (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs NOTE Dans les propositions de Texte identique, XXX désigne un qualificatif de norme
Plus en détailProspecteur de richesses humaines
Prospecteur de richesses humaines Coaching Recrutement Formation Édito Avec des centaines de missions de coaching et de recrutement à son actif, notre cabinet Lectia a acquis une maturité et un savoir-faire
Plus en détailLE PROJET D ÉTABLISSEMENT DE L ENIL DE MAMIROLLE. Réunion du 28 mars 2014
LE PROJET D ÉTABLISSEMENT DE L ENIL DE MAMIROLLE Réunion du 28 mars 2014 SOMMAIRE PARTIE 1 : Le Cadre de travail Pourquoi réaliser un Projet d Etablissement? Qu est-ce qu un Projet d Etablissement? Un
Plus en détailPROGRAMME DE FORMATION
PROGRAMME DE FORMATION BGE Provence Alpes Méditerranée ACCES CONSEIL Siège social 7 rue Gaston FLOTTE 13012 MARSEILLE Tél. : 04 91 90 88 66 Siret : 33447279200103 www.acces-conseil.com REPARTITION DU STAGE
Plus en détailGuide du Tuteur Banque et Assurance
Guide du Tuteur Banque et Assurance QU EST-CE QUE LE BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES? Il s agit d une formation en 2 ans proposée aux titulaires d un baccalauréat technologique ou général. Elle
Plus en détailDéploiement du Système d Information de Gestion- Etats des lieux et Perspectives
Secrétariat d Etat auprès du Ministère de l Énergie, des Mines, de l Eau et de l Environnement chargé de l Eau et de l Environnement Département de l Eau Déploiement du Système d Information de Gestion-
Plus en détailGUIDE DU TUTEUR ACCUEIL D UN ETUDIANT EN BTS MUC. Management des Unités Commerciales. Stage de 1ère année
GUIDE DU TUTEUR Ce guide est complété par le tuteur durant la première année de BTS. Une copie doit être fournie au professeur et à l étudiant ACCUEIL D UN ETUDIANT EN BTS MUC Management des Unités Commerciales
Plus en détailRÉFLÉCHIR AUX ENJEUX DU CRÉDIT
Activités éducatives pour les élèves de 10 à 11 ans RÉFLÉCHIR AUX ENJEUX DU CRÉDIT NIVEAU : PRIMAIRE GROUPE D ÂGE : ÉLÈVES DE 10 À 11 ANS SOMMAIRE DE L ACTIVITÉ Après avoir étudié les types de paiement,
Plus en détailStratégie de la surveillance des assurances en Suisse
Stratégie de la surveillance des assurances en Suisse 1. Base juridique...2 2. Tâches principales...2 3. Conditions d accomplissement des tâches principales...2 3.1. Culture de la responsabilité...3 3.2.
Plus en détailL EXTERNALISATION. Quels sont les enjeux stratégiques de l externalisation pour l entreprise actuellement?
L EXTERNALISATION Au sein des entreprises, l'heure est à la rationalisation des coûts. Pour parvenir à cet objectif, les stratégies sont nombreuses. Parmi elles, l externalisation est aujourd'hui considérée
Plus en détailComment va la vie en France?
Comment va la vie en France? L Initiative du vivre mieux, lancée en 2011, se concentre sur les aspects de la vie qui importent aux gens et qui ont un impact sur leur qualité de vie. L Initiative comprend
Plus en détailIntroduction. Enjeux de l intégration
Introduction «L intégration est cruciale pour L Oréal. C est elle qui permet d assurer la relève et de faire face aux défis de la mondialisation en accueillant la diversité des talents dont nous avons
Plus en détailModernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires
Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires Principaux défis et facteurs de réussite Dans le cadre de leurs plans stratégiques à long terme, les banques cherchent à tirer profit
Plus en détailLE FOREX ou marché des changes
LE FOREX ou marché des changes L essentiel sur $ Le risque est au bout du clic En partenariat avec Qu est-ce que c est? Le Forex est le marché des changes (FOReign EXchange en anglais, marché des devises).
Plus en détailBusiness Emergency Solutions. kpmg.fr
Business Emergency Solutions kpmg.fr Des situations de plus en plus complexes et délicates dans des environnements souvent dégradés Les entreprises doivent de plus en plus souvent faire face à des situations
Plus en détailCONTRAT DE CONSEILLER MAESTRIA, un concept d IBS Europe s.a.
CONTRAT DE CONSEILLER MAESTRIA, un concept d IBS Europe s.a. ENTRE : IBS Europe s.a., ayant son siège social au N 68 de la Route de Luxembourg à L-4972 Dippach, au Grand Duché de Luxembourg, ci-après désigné
Plus en détail1. Étude réalisée par l AFOPE en 2005. 2. Hellriegel D., Slocum J. W., Woodman R. W., Management des organisations, Bruxelles, De Boeck, 1992.
Introduction 1 I n t r o d u c t i o n Créer des usines, des entreprises, des organisations, des méthodes, des produits, des services nouveaux suppose d avoir des équipes motivées, obéissant à un calendrier
Plus en détailENQUETE RH TIC Baromètre des Salaires
2011 ENQUETE RH TIC Baromètre des Salaires Note de Synthèse Présentation de l étude Réalisé par 1 SOMMAIRE Partie 1 : PRESENTATION DE L ENQUETE p. 3 Partie 2 : ENQUETE DES SALAIRE TIC : RESTITUTION DES
Plus en détailLE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION
LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION Face à une rationalisation croissante du secteur social et médico-social, accentuée par les effets de crise, comment un directeur de structure
Plus en détailRépercussions sociales de La Banque Postale
Répercussions sociales de La Banque Postale La Banque Postale RÉPERCUSSIONS SOCIALES SUR LES CITOYENS RÉPERCUSSIONS SOCIALES SUR LES PERSONNELS DE LA POSTE FRANCAISE REPERCUSSIONS SOCIALES SUR LES CITOYENS
Plus en détailINTEGRALMANAGER by EICL
by EICL Le management Humaniste Integral Manager by EICL Le coaching Humaniste 1 Cycle de formation Le management Humaniste Le management de proximité qui réconcilie éthique et performance Integral Manager
Plus en détailT : +33 1 47 38 55 00 F : +33 1 47 38 55 55 info@cms-bfl.com www.cms-bfl.com Neuilly-sur-Seine, le 14 décembre 2011
CMS Bureau Francis Lefebvre 1-3 Villa Emile Bergerat, 92522 Neuilly-sur-Seine Cedex, France T : +33 1 47 38 55 00 F : +33 1 47 38 55 55 info@cms-bfl.com www.cms-bfl.com Neuilly-sur-Seine, le 14 décembre
Plus en détailFormation de dirigeant de PME
Formation Dirigeant de PME Public : Cette formation est centrée sur le chef d entreprise ou futur chef d entreprise qui a besoin de s approprier ou de perfectionner les outils du management global d entreprise
Plus en détailSE PREPARER A GERER UNE CRISE SOCIALE... Exoteam - Déjeuner MEFPVSG - 10/04/12
... 1 ... EN REGARDANT SON COTE POSITIF! VERS UNE MEILLEURE MAITRISE DE LA PERFORMANCE SOCIALE 2 QUELLES SONT LES VERITABLES SOURCES D UN CONFLIT SOCIAL? PEUT-ON AVOIR UNE DEMARCHE PREVENTIVE? QUELLE STRATEGIE
Plus en détailwww.cma13.fr b[i iebkj_edi 9C7 ')
www.cma13.fr b[i iebkj_edi 9C7 ') Permettre à des jeunes de devenir apprentis, c est leur offrir une vraie chance de réussite professionnelle et c est apporter de la richesse à votre entreprise. La Chambre
Plus en détailPROGRAMME DE FORMATION 2015 Talent Suite
PROGRAMME DE FORMATION 2015 Talent Suite Janvier 2015 4, Rte de Lavaux CH1095 Lutry wave@piman.ch +41 21 791 61 77 www.piman.ch www.savilleconsulting.com Offre de formation continue Wave PIMAN D. Held,
Plus en détailCOMPTE RENDU D ENTRETIEN PROFESSIONNEL
Collectivité COMPTE RENDU D ENTRETIEN PROFESSIONNEL Décret n 2010-716 du 29 juin 2010 CATEGORIE B - ANNÉE.. IDENTITÉ/SITUATION ADMINISTRATIVE Nom Prénom : Date de naissance : Grade : Catégorie hiérarchique
Plus en détailOrganisation d une simulation sur un prototype logiciel workflow et GED. ImmoBiens. 1 - Description du projet de l entreprise
Organisation d une simulation sur un prototype logiciel workflow et GED ImmoBiens 1 - Description du projet de l entreprise ImmoBiens est une société gestionnaire de biens immobiliers (location et entretien)
Plus en détail5 postures pour mobiliser le don
Confiance Sollicitude Réciprocité d engagement Tirer partie de son Relance expérience relationnelle constructive 5 postures pour mobiliser le don Attention à soi Alliance : Lier sans défier Donner Recevoir
Plus en détailINTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1
LES FICHES OUTILS RESSOURCES HUMAINES L évaluation 360 Feed-back INTRODUCTION Aujourd hui les ressources humaines sont considérées par les entreprises comme un capital. La notion de «capital humain» illustre
Plus en détailObservatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA)
Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) PLACE ET RÔLE DE L ADMINISTRATION - DE LA FONCTION PUBLIQUE - DANS LA MISE EN ŒUVRE DES MISSIONS DE L ETAT ET DE LA VISION NATIONALE DE DEVELOPPEMENT
Plus en détailLE STAGE EN ENTREPRISE
LE STAGE EN ENTREPRISE 1. Le stage : un projet à part entière Le stage est un projet qui s étale sur une longue période d environ dix mois (de la recherche de l entreprise à la soutenance) avec des objectifs,
Plus en détailClément ALBRIEUX (69)
Pratique 20 : Une nouvelle identité entrepreneuriale 287 Le témoin : Clément ALBRIEUX (69) 30 collaborateurs Comment est définie et gérée l innovation dans votre cabinet? Les collaborateurs du cabinet
Plus en détailAide kinésithérapeute : une réalité?
Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée
Plus en détailCHAPITRE 1 : LES BASES DU MARCHE DES CHANGES
CHAPITRE 1 : LES BASES DU MARCHE DES CHANGES Marché des changes : techniques financières David Guerreiro david.guerreiro@univ-paris8.fr Année 2014-2015 Université Paris 8 Objectifs du cours Connaissances
Plus en détailENSEMBLE REVITALISONS NOS ORGANISATIONS. Par nos relations, nos perceptions, nos actions
ENSEMBLE REVITALISONS NOS ORGANISATIONS Par nos relations, nos perceptions, nos actions LES ENJEUX DU XXI siècle Enjeux pour lesquels nous nous mobilisons. Notre humanité vit de profondes ruptures, culturelles,
Plus en détailLes pratiques du sourcing IT en France
3 juin 2010 Les pratiques du sourcing IT en France Une enquête Solucom / Ae-SCM Conférence IBM CIO : «Optimisez vos stratégies de Sourcing» Laurent Bellefin Solucom en bref Cabinet indépendant de conseil
Plus en détailLa relation client constitue un axe progrès stratégique pour toutes les entreprises.
Relation client PME PMI attention danger! Résumé La relation client constitue un axe progrès stratégique pour toutes les entreprises. Nous essaierons de montrer, dans cet article, que la relation client
Plus en détailEDITORIAL. Développez Vos Compétences, Anticipez L Avenir! Fatima Zahra ABBADI Executive Manager
EDITORIAL Dans un contexte économique et géopolitique en transition, le Maroc se voit aujourd hui de plus en plus interpellé à relever des challenges tant nationaux qu internationaux avec des exigences
Plus en détailNotre industrie : le SERVICE
Notre industrie : le SERVICE LES METIERS DE SYLOB Depuis sa création en 1991, la SSII SYLOB exerce le double métier d éditeur et d intégrateur de solutions de gestion industrielle. C est ce choix, assumé
Plus en détailAccompagner la transformation vers l excellence opérationnelle. Olivier Gatti olivier.gatti@adis-innovation.com
Accompagner la transformation vers l excellence opérationnelle. Olivier Gatti olivier.gatti@adis-innovation.com ADIS Innovation Partner 18 ans d activité opérationnelle dans le secteur du semi-conducteur
Plus en détailChapitre 1 Comprendre l évolution du marketing
Chapitre 1 Comprendre l évolution du marketing Ce que vous allez apprendre Définir le marketing et comprendre son rôle Comprendre les différentes évolutions du marketing Comprendre les nouveaux enjeux
Plus en détailPROJET DE PARTENARIAT AVEC LA MDI BUSINESS SCHOOL D ALGER LE MASTER 2 ÈME ANNÉE MARKETING SPÉCIALITÉ MARKETING ET COMMERCE
PROJET DE PARTENARIAT AVEC LA MDI BUSINESS SCHOOL D ALGER LE MASTER 2 ÈME ANNÉE MARKETING SPÉCIALITÉ MARKETING ET COMMERCE I. Présentation générale de la formation Le Master 2 «Marketing et Commerce» est
Plus en détailLa formation comme levier de changement des pratiques
Place des pharmaciens d officine au sein du réseau Onco 94 Ouest La formation comme levier de changement des pratiques 2 ème congrès des Réseaux de cancérologie Rouen Atelier : place de la formation 3
Plus en détailLe capital-risque est-il une option viable pour financer les projets innovants en matière d énergie? Le point de vue d un entrepreneur
Clubs Mines-Energie et Mines-Finance - Le capital-risque est-il une option viable pour financer les projets innovants en matière d énergie? Le point de vue d un entrepreneur Franck Rabut - NovaWatt Président
Plus en détailPolitique de placements
Politique de placements Le 7 octobre 2010 Politique de placements Table des matières 1. La mission de la Fondation pour le développement des coopératives en Outaouais 2. Les principes de la gouvernance
Plus en détailSIMULER ET CONCEVOIR LE TRAVAIL FUTUR
SIMULER ET CONCEVOIR LE TRAVAIL FUTUR Utilisation du logigramme d activité dans un projet informatique WWW.ANACT.FR OUTILS DE SIMULATION : Logigramme d activité Utilisation du logigramme d activité dans
Plus en détailDes formations pour la prévention du stress et des performances managériales
Des formations pour la prévention du stress et des performances managériales Après dix ans de recherche, huit docteurs en Sciences Humaines ont conçu une méthode innovante au service du savoir-être et
Plus en détailCartographie des processus et urbanisation des SI
Cartographie des processus et urbanisation des SI Définitions Exemples Accostages Référentiels Cycle Web conférence AMUE 2013 : La cartographie des processus et l urbanisation des SI jean-philippe.auzelle@univ-lorraine.fr
Plus en détailCONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI
CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses
Plus en détailRecommandations pour les entreprises qui envisagent de souscrire à des services de Cloud computing
Recommandations pour les entreprises qui envisagent de souscrire à des services de Cloud computing D un point de vue juridique, la CNIL constate que le Cloud computing soulève un certain nombre de difficultés
Plus en détailProjet d école 2014-2018. Guide méthodologique
Projet d école 2014-2018 Guide méthodologique 1 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 LES TEXTES DE REFERENCES... 4 LES ETAPES D ELABORATION DU PROJET D ECOLE... 4 ETAPE 1 : BILAN DU PROJET, DIAGNOSTIC... 5 1. LE
Plus en détailComprendre la motivation à réussir des étudiants universitaires pour mieux agir Rolland Viau Jacques Joly U. de Sherbrooke
Comprendre la motivation à réussir des étudiants universitaires pour mieux agir Rolland Viau Jacques Joly U. de Sherbrooke Résumé Ce texte a pour but, dans un premier temps, de présenter un modèle de la
Plus en détailMicro nanotechnologies et logiciel embarqué La mise à disposition de personnel
Micro nanotechnologies et logiciel embarqué La mise à disposition de personnel 3 Novembre 2009 Etat des lieux / Contexte Etat des lieux / Contexte Il existe différentes possibilités de mutualisation des
Plus en détailCatalogue de formations. Leadership & développement durable
Catalogue de formations Leadership & développement durable Table des matières La formatrice 3 L Art de prendre de bonnes décisions 4 Mieux communiquer pour mieux collaborer 5 Développer sa capacité d influence
Plus en détailLES TABLEAUX DE BORD DE COORDINATION
LES TABLEAUX DE BORD DE COORDINATION Trois constats généraux sont encore prépondérants dans bon nombre d organisations actuelles : Un fonctionnement avec une planification a priori et des constats a posteriori.
Plus en détailJOURNÉE TEAM BUILDING:
JOURNÉE TEAM BUILDING: PROPOSITION - 1/ TEAM BUILDING À CHEVAL PROPOSITION - 2/ TEAM BUILDING THEATRE 1 DEUXIEME PARTIE DE LA JOURNEE, APRES LE DEJEUNER PROPOSITION 1: TEAM BUILDING A CHEVAL Team Building
Plus en détailCapRésilience CapRésilience Développeur de Talent Process COACHING des personnes Coaching Professionnel Pour Managers, Dirigeants, et opérationnels dans l Entreprise en Entreprise 2014 Mai COACHING PROCESS
Plus en détailNOS FORMATIONS. Pour toute demande d information et inscription, contacter : Michèle LORRAIN contact@lorraine-developpement.com LORRAINE DEVELOPPEMENT
Pour toute demande d information et inscription, contacter : Michèle LORRAIN contact@lorraine-developpement.com LORRAINE DEVELOPPEMENT Centre Ariane 0 rue de Cumène 50 Neuves-Maisons NOS FORMATIONS Tél
Plus en détailSatinium CONTRAT D ASSURANCE VIE OU DE CAPITALISATION AVEC DÉLÉGATION D ARBITRAGE
Satinium CONTRAT D ASSURANCE VIE OU DE CAPITALISATION AVEC DÉLÉGATION D ARBITRAGE Afin de répondre à vos objectifs patrimoniaux, La Banque Postale vous propose Satinium, un contrat d assurance vie ou de
Plus en détailL assurance de la qualité à votre service
Atelier L assurance de la qualité à votre service Présentation de Jean-Marie Richard 24 et 25 novembre Sujets Qu est-ce que l assurance de la qualité? Initiation aux concepts de l assurance de la qualité.
Plus en détailFAIRE APPEL À UN EXPERT
FAIRE APPEL À UN EXPERT Décembre 2011 Afin d être en mesure d exercer ses missions, le comité d entreprise dispose de nombreux moyens d information, notamment par les documents que doit lui communiquer
Plus en détailLa RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur
La RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur La RSE est aujourd hui un enjeu de première importance pour les entreprises : il reflète la prise de conscience grandissante
Plus en détail