Texte de Gil Emprin. 1. Le temps des certitudes années 80

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Texte de Gil Emprin. 1. Le temps des certitudes 1945- années 80"

Transcription

1 Rencontre sur site à Annecy La Seconde Guerre mondiale: regards croisés sur les mises en récit Résistance, support de récits et d'études locales à caractère historique. Quelles représentations transmises? Intervention de Gil Emprin Mercredi 24 octobre 2012 Texte de Gil Emprin L'objet de l'intervention est d'essayer de faire une chrono-typologie des écrits sur la Haute-Savoie des années 40-45, et de voir si elle correspond à des rythmes et des contenus qu'on a pu voir à l'échelle de départements voisins ou de la France. 1. Le temps des certitudes années 80 Dans le contexte de l'après-guerre, la construction d'une mémoire positive de ces années «où les Français ne s'aimaient pas...» est apparue comme une nécessité nationale. On se rappelle comment le discours de de Gaulle à l'hôtel de ville lance une lecture mémorielle sélective alors que des balles sifflent encore autour de lui : Paris brisé... libéré par son peuple, avec le concours des armées de la France, de la France toute entière, c'est à dire de la France qui se bat, c'est à dire de la seule France, de la vraie France, de la France éternelle». Exit Vichy «nul et non avenu», et les collaborationnistes dont quelques figures emblématiques seront fusillées (Laval, Darnand, Brasillach). On peut chercher et trouver des similitudes en Haute-Savoie, «libérée par elle-même» et fusillant des miliciens à chaud comme pour tourner la page d'une époque où les Haut-Savoyards non plus «ne s'aimaient pas» Les écrits immédiats La Résistance étant plurielle, la mémoire l'était aussi : les premiers écrits très précoces furent de l'histoire-mémoire immédiate écrite par ses acteurs, avec le souci conscient ou non de positionner ou figer des images et des récits -donc des analyses à chaud, en forme de plaidoyer pro-domo. Phénomène important et nouveau de la Résistance, les résistants de la première heure avaient souvent conscience de faire la grande Histoire pendant qu'ils agissaient (Voir Pierre Brossolette cité et expliqué par Laurent Douzou dans la Résistance, une histoire périlleuse) D'abord, des mémoires de groupes : -l'armée, qui à travers la plume du capitaine Jean Monnet «du maquis au 27ème BCA 1944» souligne la place des militaires dans les FFI ; les rescapés de Glières, déjà formés en association avec le livre «Glières première bataille de la Résistance» 1946, et les communistes «RI3 FTP de Haute-Savoie» (ANACR). Les 3 groupes ont intérêt à fixer leur rôle dans la Résistance. Glières pour donner du sens à la tragédie de mars 1944 et entretenir «l'esprit du Plateau» ; les communistes pour mettre en avant leur rôle dans la libération et consolider leur réinsertion dans la nation après le désastreux Pacte germano-soviétique d'août 1939 que les dirigeants du Parti avaient cautionné ; les militaires enfin pour faire oublier le désastre de juin 40 et leur engagement le plus souvent tardif dans la Résistance. Evidemment, les mémoires étaient rivales et les polémiques vives, sur fond de retour à la démocratie, et donc aux campagnes électorales: le PC attribuait aux militaires la tactique du réduit montagnard et la «trahison» de Londres et Alger (idem sur le Vercors) et l'attentisme supposé des autres, l'association des rescapés des Glières soulignait l'harmonie patriotique, «l'esprit des Glières», et l'armée s'appuyait sur ses héros (Valette d'osia) et martyrs (Morel) et soulignait la nécessité du professionnalisme au maquis.

2 Pierre Golliet, l'auteur principal du livre des Glières montre dans la préface une belle lucidité sur la construction de la mémoire et du mythe, et en tire des précautions méthodologiques : «Hâtons nous de fixer les faits et les attitudes avant que leur force de symbole ne les ait élargis jusqu à leur faire illustrer la vérité de toute vraie résistance. Bientôt il sera trop tard. L épopée du maquis des Glières aura émergé de la trame ordinaire de l Histoire ; elle s étirera vers les hauteurs et se transfigurera en légende. On ne pourra plus en réajuster les traits». Des mémoires d'acteurs : La période d'après guerre voit aussi la parution de livres ou brochures de témoignages, hommages d'acteurs à des amis disparus au combat (Paul Viret sur Pierre Lamy, inspecteur du travail, homme de l'ombre de la lutte contre la Relève et le STO), «le sacrifice du matin» (Bénouville) ou des éclairages sur des épisodes (le même Viret sur l'affaire de Menthon) ou le témoignage de l'abbé Truffy sur la vallée de Thônes, dans une atmosphère polémique anticommuniste de bataille de clocher sur fond de guerre froide. Nous sommes en Mais dans les années 50 tous ces acteurs vont vivre leur vie d'homme et délaisser un peu le champ de la mémoire et de l'histoire Les années 60 : les études «extérieures» évoquent la Haute-Savoie sans centrer leur propos sur le département : 1- sur les réseaux (Goussard 1962), sur le SOE (Michaël Foot 1968), sur la Milice (Delperrier de Bayac 69) 2- une forme particulière mais très populaire : les montagnards de la nuit de Frison Roche, roman transparent où on peut reconnaître les personnages comme Morel ou Bulle et aborder des problèmes d'historiens (les rivalités FTP/AS, le poids des chefs...) 1.3. Pendant ce temps, Glières est un mythe national -dès le début de l'épisode historique, Radio Londres par la voix de Maurice Schumann a érigé Glières en symbole, puis en mythe. C'est aussi une bataille de récits entre Radio Londres qui installe Glières comme un bastion de France libérée avec des expressions comme «ramener Bir Hakeim en France», ou assimilant la Haute-Savoie à la Grèce et la Yougoslavie, et Radio Paris, où Philippe Henriot dénonce les terroristes à la solde de Moscou. Après guerre, conforté par 3 visites de de Gaulle, la présence de ministres aux commémorations de 45,46,48...), les discours commémoratifs fixent le récit mythique (mais le mythe part du réel!) de Glières comme une France unie en miniature : militaires catholiques, communistes, Haut-Savoyards et volontaires venus de l'extérieur, Espagnols républicains... Tout cela est vrai, mais partiel : à froid, dans l'analyse de Glières, c'est surtout le tragique qui domine : une guerre civile entre résistants et miliciens, la mort de Tom Morel tué par un Français, le drame de la chasse à l'homme qui a suivi la dispersion... On ne s'attardera pas sur François Musard qui en 1965 relance le mythe sous la forme d'un livre largement inspiré du livre fondateur de 1946, mais mis à la sauce épique, où l'on évoque plume au vent l'attaque de (au moins trois fois le nombre réel) Allemands comme "une marée humaine qui déferle inexorablement, sans se soucier de ses propres pertes...avec une lenteur calculée de machine». Plus sérieusement, le discours public sur les Glières est alimenté par la mémoire commémorative, dont la dimension reste autant locale que nationale : le discours de Malraux en 1973 pour l'inauguration du monument de Gilioli, les anniversaires en 10, occasion de publications. Aucun universitaire ne s'est frotté à l'objet, pas plus que les correspondants du

3 Comité d'histoire de la Seconde guerre mondiale, qui ont plutôt choisi d'autres thèmes, mais de manière confidentielle : le récit des Glières a écrasé l'histoire de la Haute-Savoie des années noires masquant d'autres aspects de la Résistance : si le département a été mis par Vichy en «état de siège», ce n'est pas à cause de Glières, mais des sabotages ferroviaires, et les coup de mains des maquis L'historicisation par un acteur-historien C'est Jean-Louis Crémieux Brilhac, acteur-historien «de l'extérieur» qui, en 1975, place enfin Glières en perspective, dans le cadre de la bataille d'opinion, de la guerre psychologique (la propagande) et souligne le rôle de Londres-Alger. L auteur montre, documents à l appui, comment «entre Glières, Annecy et Londres, on dirait que chacun a surestimé la capacité d action des autres». Quelques formules développent : «après avoir mérité une profusion d armes grâce à six semaines de siège et aux rapports publicitaires destiné à la BBC, ils (les maquisards des Glières) se trouvaient prisonniers de ces armes» ou encore «mythe développé jour après jour par la radio de Londres». Au fond, en confondant soutien à la Résistance et propagande, Londres - et singulièrement Cantinier et Maurice Schumann - n ont-ils pas mis en péril les maquisards des Glières, les condamnant à «se montrer dignes» du mythe construit? En montrant comment tous les acteurs (Glières, Annecy, Londres) ont participé à la montée en puissance du mythe, Crémieux-Brilhac l a décrypté, expliqué, sans pour autant détruire le symbole ni dévaloriser les acteurs. En revanche, il a relativisé le poids réel de Glières dans la quasi guerre civile du printemps 1944 qui s'ajoute à la lutte pour la libération de Haute-Savoie. L'association des Glières a publié cet article de Crémieux-Brilhac, commenté par Jacques Golliet, la «plume» de l'association. Le symbole de Glières en est resté néanmoins solide car il a été un élément unificateur en temps de guerre froide : les anciens FTP sont restés membres de l'association des rescapés et Constant Paisant, un de leurs principaux témoins souligne que ils sont restés sur plateau contre l'avis des responsables FTP. 2. Le temps des révisions et de la multiplication des formes du récit Les progrès de la recherche Les nouvelles problématiques posées par des chercheurs anglo-saxons au début des années 70 (Robert Paxton sur Vichy et Roderick Kedward sur les maquis) puis le Suisse Philippe Burrin sur l'opinion, ont entraîné un renouveau de l'historiographie française (Voir les travaux de l'institut d'histoire du Temps Présent sur «Vichy et les Français» sur fond de remise en cause de mythes et de pieux mensonges anciens qui dominaient dans l'opinion: Pétain le bouclier, mais aussi la France unanime résistante et la puissance des maquis). Le renouveau de l'historiographie nationale a aussi touché les départements savoyards. 2.2 Les études universitaires : en l'absence d'université en Haute-Savoie, les études dans les années 90 ont été menées sous la direction de Christian Sorrel à Chambéry, et Durand, Garrier à Lyon. On évite toujours le sujet Glières mais de nombreux mémoires de maîtrise riches mais peu lus sur l'économie et vie quotidienne sous Vichy (1992), sur le Vuache (1998), la presse de la libération, le journal la Croix de Savoie pendant la guerre (1995), le clergé haut-savoyard (1995), l'opinion et les représentations mentales (1999), la frontière suisse et les passages (1994), les Italiens en HS de 1940 à 1943 (1998), de la libération à la normalisation (44-45) (1994). Toutes ces études, malheureusement peu connues, devraient pouvoir donner des angles de vue sur le département un peu moins centrés sur les maquis, et singulièrement sur les Glières. Les études hyper locales soit par des sociétés savantes (Salévienne, Amis du Val de Thônes, académie chablaisienne), soit des études autoéditées (sur St Gingolph 94, la tragédie de St Eustache 2003, le Chablais (1998)).

4 2.3 Les biographies (Camille Folliet par Hiacynthe Vulliez en 2001), Tom Morel par son guide et confesseur André Ravier (1990), un mémoire de maîtrise en 1996 et puis Gemline en Le dernier n'apporte à vrai dire que peu de choses, à part l'espoir d'un succès de librairie. 2.4 Les autobiographies (Constant Paisant, qui affirme dans le titre sa double appartenance historique et aussi mémorielle («Combattant des Glières, j'étais franc-tireur et partisan» 1994) et Valette d'osia «42 ans de vie militaire» ( ) 2.5 Une tentative de synthèse par Pierre Mouthon en 1993, «Haute-Savoie 40-44» dans un livre parfois confus mais extrêmement rigoureux sur les faits et capable de recul, de comparaisons, de mises en perspective, y compris sur Glières. 2.6 L'inclassable Michel Germain : Il est tout à la fois : auteur prolifique de tous types de livres, analyses historiques, chroniques, romans, conseiller de films, mais aussi militant de la mémoire. De 1985 à 1993, 6 livres avec des titres forts, au delà du marketing de l'éditeur : les maquis de l'espoir, le sang de la barbarie en lettres gothiques, les barbelés de la honte... Michel Germain est un peu le Henri Noguères de la Haute Savoie. Le type du récit, c'est la chronique, basée sur le témoignage, un style journalistique comme celui de Paul Dreyfus sur le Vercors d'où le recours aux dialogues reconstitués, qui peuvent heurter l'universitaire, mais une érudition qui impressionne. Un spécialiste, qui sait plus de choses que tout le monde réuni. Beau succès de librairie, son travail colossal de collecte de témoignages, de photographies et d étude des archives départementales et locales a sauvé de l oubli quantité de faits précis, d épisodes de la vie quotidienne sous l occupation. Complété par son étude sur la Milice en Haute-Savoie, son œuvre, qui ne prétend pas être une synthèse problématique, a satisfait la curiosité et fait œuvre de reconnaissance pour nombre de résistants de l ombre et constituera au delà un instrument de travail pour de jeunes chercheurs. Ses livres ont les défauts de leur qualité : l'excès des témoignages et de la passion militante, qui rendent parfois fragile le propos. Tellement spécialiste, il est un peu devenu l'historien officiel de la Haute-Savoie, chargé notamment d'écrire le livre du Cinquantenaire anniversaire de Glières en Livre préfacé par Louis Jourdan, président fondateur de l association, - et co-auteur du livre de il est une autre manière d écrire l histoire-mémoire, moins problématisée que celle du livre de 1946, destinée plus clairement à l édification des foules, comme en témoignent la reprise des formules de Malraux en sous-titre : «une grande et simple histoire», ou en page intérieure «L Epopée héroïque et sublime». Succès de librairie (3 éditions, plus de exemplaires), il symbolise l'importance du rôle de l'association des rescapés dans l'écriture de l'histoire de 1946 à la passion, c'est aussi son engagement. Germain écrit aussi pour promouvoir des valeurs. Ainsi il parle au préfet de l'époque, s'engage par le vocabulaire...écrit des mémoriaux... cela a au moins l'avantage de la clarté des intentions. Au lecteur de prendre du recul... Trop de mémoire, pas assez de remise en cause, la Résistance devient dans les années 90 un terrain de polémiques histoire-mémoire. Phénomène global et national, avec le film «Le chagrin et la pitié», avec les «affaires» Marchais, Mitterrand, Papon, le serpent de mer Hardy-Moulin c'est le temps des mythes brisés et des polémiques. Dans cette atmosphère de remise en cause des témoignages comme source d'histoire «officielle», le journaliste américain Paul Abrahams a écrit un livre sur la Haute-Savoie curieusement titré «la Haute-Savoie contre elle-même», car elle évoque davantage l'évolution de l'opinion que les fractures locales. Traduit en 2006, mais achevé 15 ans avant, c'est enfin un livre qui s'appuie sur

5 des archives, mais exclusivement celles de Vichy sans les critiquer suffisamment. L' écriture journalistique, comme une série d'articles avec peu de synthèse, des répétitions, des contradictions donne une impression de confusion. Son étude met en lumière toutefois l'impact des conditions de la vie quotidienne (ravitaillement, prix agricoles, marché noir...) sur l'évolution de l'opinion. 3. Glières en questions : une source malheureusement devenue inépuisable types d'ouvrages : -les études locales issues des acteurs, (le 1er livre), de leurs proches (le site d'alain Cerri, Alain Delotel, les articles de Jacques Golliet dans la revue Messages de l'association des rescapés, devenue «Association des Glières»). -les «filons» éditoriaux; Musard, Pierre Vial, Gméline, redites pour faire du tirage, si possible avec caution de l'association. Depuis 1990, des remises en cause polémiques sur fond de «campanilisme» : on juge que Glières a envahi les médias, étouffant la connaissance /reconnaissance d'autres groupes (les Espagnols), régions résistantes de Haute-Savoie. (Amoudruz : ce n'est pas la première bataille...on a oublié ou négligé de véritables héros...) 3.2 Plusieurs sujets de polémique sur la lecture historique des faits : Glières pour quoi faire? Maquis silo/ terrain de parachutage, puis citadelle... Qui a une part de responsabilité dans la tragédie? la faute à Londres? À Cantinier? Aux locaux? 3.3 Plus récemment on casse le mythe de la grande bataille: - C'est le combat depuis 25 ans de Claude Barbier, dont les conférences ont été autant d' événements polémiques, d'excès de langage en comptes-rendus de presse à gros titres. En revanche, sa thèse universitaire soutenue récemment est en fait bien plus intéressante et riche sur la Haute-Savoie que ces vaines polémiques. Une édition «grand public» de synthèse sera la bienvenue, pour sortir par le haut. - parallèlement et progressivement, Alain Delotel, Alain Cerri, à travers leurs publications et leur site internet, tout en évoquant la mémoire de leurs pères, ont révisé la nature et la chronologie des événements, notamment de Monthiévret, pour en venir au fait que l'attaque allemande du 26 mars était en fait une reconnaissance poussée, préparatoire à une attaque massive. Cette attaque n'a pas eu lieu, l'ordre de dispersion ayant été donné sagement pendant la nuit par le capitaine Anjot. Cette vision des choses a été admise, intégrée par l'association, et sa plume Jacques Golliet, comme en témoigne le site de l'association. Alors, allons-nous vers une sortie du mythe, en douceur? Ce n'est pas certain, car les polémiques restent hargneuses sur fond de rivalité de mémoires (Carrier-Amoudruz) avec des arguments d'hyper-critique (sur les horaires, les lieux à 10 mètres...) mais aussi le risque de construction d'un contre-mythe, le balancier de la mémoire qui jetterait le bébé des valeurs de la résistance avec l'eau du mythe de la grande bataille, que plus personne ne défend. Le livre de Musard date de 1965 et le livre «officiel» de Michel Germain date... de 20 ans. Glières n'a pas fini de faire symbole et polémique mémorielle avec l'instrumentalisation en 2007 du lieu et du symbole patriotique et unitaire par un candidat à l'élection présidentielle et la réponse d'une association Citoyens Résistants d'hier et d'aujourd'hui patronnée par de grands résistants comme Raymond Aubrac et Stéphane Hessel sous la forme d'un meeting annuel aux Glières pour rappeler une autre vision de l'héritage de la Résistance, celui du programme du

6 Conseil national de la Résistance. Le problème de fond réside dans le fait que la plupart des participants à ces polémiques locales considèrent Glières comme un événement, un phénomène hors sol. Or il faut l'intégrer dans l'histoire de la Haute-Savoie, des maquis, de la sociologie maquisarde, de l'état de siège, de Londres et Alger... De même, et inversement, la polémique nationale sur l'usage mémoriel des Glières ignore l'histoire locale... On pourrait se rappeler qu'on fait de l'histoire et que le recul, la mise à distance sont nécessaires pour mieux se rapprocher d'une lecture vraie des choses. Glières en sortira différent. Le symbole de l'unité dans la diversité restera. Gil Emprin Professeur agrégé d'histoire et responsable du service éducatif du MRDI (Musée de la Résistance et de la Déportation de l'isère).

De l Etat français à la IVème République (1940-1946)

De l Etat français à la IVème République (1940-1946) De l Etat français à la IVème République (1940-1946) Introduction : Présentation de la défaite : -En juin 1940, la chute de la IIIème République (1875-1940) accompagne la déroute militaire. -Le 10 juillet

Plus en détail

TROISIEME PARTIE LA FRANCE DE 1945 A NOS JOURS. Bilan et mémoires de la seconde guerre mondiale

TROISIEME PARTIE LA FRANCE DE 1945 A NOS JOURS. Bilan et mémoires de la seconde guerre mondiale TROISIEME PARTIE LA FRANCE DE 1945 A NOS JOURS Bilan et mémoires de la seconde guerre mondiale Qu est-ce que ce film nous apprend sur l évolution de la mémoire de la Seconde Guerre mondiale en France?

Plus en détail

«En avant les p tits gars» Chanté Par Fragson. 1913. Mais que chantait-on en Décembre 1913, à quelques mois du déclenchement de la grande tragédie?

«En avant les p tits gars» Chanté Par Fragson. 1913. Mais que chantait-on en Décembre 1913, à quelques mois du déclenchement de la grande tragédie? «En avant les p tits gars» Chanté Par Fragson. 1913. Mais que chantait-on en Décembre 1913, à quelques mois du déclenchement de la grande tragédie? Paroles : «En avant les p tits gars». Fragson. 1913.

Plus en détail

Propension moyenne et marginale

Propension moyenne et marginale Propension moyenne et marginale Les ménages utilisent leur revenu soit pour consommer (tout de suite), soit pour épargner (et consommer plus tard). On appelle propension moyenne à consommer (PMC) la part

Plus en détail

C était la guerre des tranchées

C était la guerre des tranchées C était la guerre des tranchées Jacques Tardi Format 23,2 x 30,5 cm 128 pages C et album consacré, comme son titre l indique, à la vie dans les tranchées pendant la Première Guerre mondiale est constitué

Plus en détail

Exposition Camps d internement du Limousin (1940-1944)

Exposition Camps d internement du Limousin (1940-1944) COMMUNIQUE DE PRESSE Exposition Camps d internement du Limousin (1940-1944) Du 11 mars au 20 avril 2013 au musée Edmond-Michelet Destinés à l origine à regrouper les étrangers «indésirables», les camps

Plus en détail

Histoire Leçon 15 La marche vers la guerre ( 1938 / 1939) Dates : 1936 : remilitarisation de la Rhénanie 1938 : Anschluss de l Autriche

Histoire Leçon 15 La marche vers la guerre ( 1938 / 1939) Dates : 1936 : remilitarisation de la Rhénanie 1938 : Anschluss de l Autriche Histoire Leçon 15 La marche vers la guerre ( 1938 / 1939) 1936 : remilitarisation de la Rhénanie 1938 : Anschluss de l Autriche Septembre 1939 : début de la deuxième guerre mondiale Anschluss : annexion

Plus en détail

ASSEMBLEE GENERALE EXTRA-ORDINAIRE

ASSEMBLEE GENERALE EXTRA-ORDINAIRE ASSEMBLEE GENERALE EXTRA-ORDINAIRE ORDRE DU JOUR Présentation du projet de nouveaux statuts et de règlement intérieur de l association Vote des résolutions relatives aux nouveaux statuts REFONTE DES STATUTS

Plus en détail

Formulaire de candidature Bachelor Soins Infirmiers Sion

Formulaire de candidature Bachelor Soins Infirmiers Sion Formulaire de candidature Bachelor Soins Infirmiers Sion Inscription pour la rentrée de septembre 20.. Photo Je m inscris pour la formation ordinaire, à plein temps, en 3 ans Je suis intéressé-e par une

Plus en détail

1er sept. 1939 Les troupes allemandes... C'est le début de la Seconde Guerre mondiale.

1er sept. 1939 Les troupes allemandes... C'est le début de la Seconde Guerre mondiale. Le contexte historique : la France pendant la Seconde Guerre mondiale Complétez la chronologie suivante. Vous pouvez vous référer au site http://www.e-chronologie.org/monde/ww2.php 1er sept. 1939 Les troupes

Plus en détail

Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition

Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition 09-0749 1 WHO/EMP/MAR/2009.3 Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition Synthèse des résultats des études publiées entre 1990 et 2006 Organisation

Plus en détail

NOUVEAU TEST DE PLACEMENT. Niveau A1

NOUVEAU TEST DE PLACEMENT. Niveau A1 NOUVEAU TEST DE PLACEMENT Compréhension écrite et structure de la langue Pour chaque question, choisissez la bonne réponse parmi les lettres A, B, C et D. Ne répondez pas au hasard ; passez à la question

Plus en détail

50e anniversaire des indépendances africaines et malgache

50e anniversaire des indépendances africaines et malgache 50e anniversaire des indépendances africaines et malgache 1960-2010 29 Hommage aux anciens combattants africains et malgaches Dans le cadre des célébrations officielles du cinquantième anniversaire des

Plus en détail

Patrimoines. La pierre angulaire d'une planification financière solide une gestion des dettes judicieuse

Patrimoines. La pierre angulaire d'une planification financière solide une gestion des dettes judicieuse Patrimoines La pierre angulaire d'une planification financière solide une gestion des dettes judicieuse Il y a deux ans, David emménage dans une autre ville. Il meuble sa nouvelle maison et règle plusieurs

Plus en détail

COMMUNE DE LOMBERS FAUCARDAGE DES VOIES COMMUNALES ET CHEMINS RURAUX CAHIER DES CHARGES SIMPLIFIE MERCREDI 23 AVRIL 2014 A 15 HEURES

COMMUNE DE LOMBERS FAUCARDAGE DES VOIES COMMUNALES ET CHEMINS RURAUX CAHIER DES CHARGES SIMPLIFIE MERCREDI 23 AVRIL 2014 A 15 HEURES COMMUNE DE LOMBERS MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX A PROCEDURE ADAPTEE POUVOIR ADJUDICATEUR COMMUNE DE LOMBERS OBJET DU MARCHE FAUCARDAGE DES VOIES COMMUNALES ET CHEMINS RURAUX DOSSIER DE CONSULTATION DES ENTREPRISES

Plus en détail

RESPONSABLE DU DEVELOPPEMENT COMMERCIAL IMPORT EXPORT

RESPONSABLE DU DEVELOPPEMENT COMMERCIAL IMPORT EXPORT RESPONSABLE DU DEVELOPPEMENT COMMERCIAL IMPORT EXPORT Titre enregistré au Répertoire National des Certifications Professionnelles de niveau II délivré par Université Catholique de l Ouest IPLV (J.O du

Plus en détail

... LES JEUNES DANS LA RÉSISTANCE EN PARCOURANT LE MUSÉE... GUIDE DE VISITE INTRODUCTION AU MUSÉE

... LES JEUNES DANS LA RÉSISTANCE EN PARCOURANT LE MUSÉE... GUIDE DE VISITE INTRODUCTION AU MUSÉE EN PARCOURANT LE MUSÉE... OCCUPATION RÉSISTANCE DÉPORTATION LIBÉRATION GUERRE1939-1945 GUIDE DE VISITE INTRODUCTION AU MUSÉE Créé à la demande de la municipalité de Besançon avec le soutien de l'ensemble

Plus en détail

DYNAMIQUE DE GROUPE et EFFICACITE COLLECTIVE

DYNAMIQUE DE GROUPE et EFFICACITE COLLECTIVE DYNAMIQUE DE GROUPE et EFFICACITE COLLECTIVE CONTENU Journée 1 matin : Communication et efficacité de travail de groupe. - Approche de la communication en groupe et de ses effets sur les modes de participation,

Plus en détail

Remise de l Ordre National du Mérite à M. David LASFARGUE (Résidence de France 7 novembre 2014) ----------

Remise de l Ordre National du Mérite à M. David LASFARGUE (Résidence de France 7 novembre 2014) ---------- Remise de l Ordre National du Mérite à M. David LASFARGUE (Résidence de France 7 novembre 2014) ---------- Cher David Lasfargue, Mesdames, Messieurs, C est toujours un honneur et un plaisir pour un Ambassadeur

Plus en détail

CHARTE INTERNATIONALE SUR LA CONSERVATION ET LA RESTAURATION DES MONUMENTS ET DES SITES (CHARTE DE VENISE 1964)

CHARTE INTERNATIONALE SUR LA CONSERVATION ET LA RESTAURATION DES MONUMENTS ET DES SITES (CHARTE DE VENISE 1964) CHARTE INTERNATIONALE SUR LA CONSERVATION ET LA RESTAURATION DES MONUMENTS ET DES SITES (CHARTE DE VENISE 1964) IIe Congrès international des architectes et des techniciens des monuments historiques, Venise,

Plus en détail

LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION

LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION DES NOMBRES par Jean-Luc BREGEON professeur formateur à l IUFM d Auvergne LE PROBLÈME DE LA REPRÉSENTATION DES NOMBRES On ne conçoit pas un premier enseignement

Plus en détail

Le nouvel IN RS Notes pour l'allocution prononcée par M. Pierre Lucier, président de l'université du Québec, à l'occasion de la remise des nouvelles lettres patentes de l'institut national de la recherche

Plus en détail

INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN

INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN I - Données Générales INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN Rivalités entre réhabilitation, restauration et rénovation Au cours des dernières années, d'importantes études ont été entreprises dans les quartiers

Plus en détail

«Longtemps, j ai pris ma plume pour une épée : à présent, je connais notre impuissance.»

«Longtemps, j ai pris ma plume pour une épée : à présent, je connais notre impuissance.» Métonymie : image désuète de l instrument servant à écrire. Représentation traditionnelle et glorieuse du travail de l écrivain. Allusion à une époque révolue. Idée de durée, de permanence. edoublée dans

Plus en détail

Chap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement

Chap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement Chap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement Chanson : Nuit et brouillard de Jean Ferrat http://www.youtube.com/watch?v=94yoxycqo6s

Plus en détail

* Nom : * Lien avec la production : * Numéro de téléphone (le jour) : * Numéro de téléphone (en soirée) : * Courriel :

* Nom : * Lien avec la production : * Numéro de téléphone (le jour) : * Numéro de téléphone (en soirée) : * Courriel : MEILLEUR LONG MÉTRAGE Ce prix reconnaît le meilleur long métrage dans son ensemble. Les soumissions seront évaluées selon les critères suivants : transmission des émotions, personnages et distribution,

Plus en détail

AIDE-MÉMOIRE POUR L ÉLABORATION D UN PLAN DE COMMUNICATION

AIDE-MÉMOIRE POUR L ÉLABORATION D UN PLAN DE COMMUNICATION AIDE-MÉMOIRE POUR L ÉLABORATION D UN PLAN DE COMMUNICATION Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Benoît Tremblay Conseiller en gestion Collaborateurs : MM. Paul Bleau,

Plus en détail

Cent huitième session. Rome, 10 14 octobre 2011 FINANCEMENT DES ÉVALUATIONS - MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DU CONSEIL

Cent huitième session. Rome, 10 14 octobre 2011 FINANCEMENT DES ÉVALUATIONS - MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DU CONSEIL Août 2011 F COMITÉ DU PROGRAMME Cent huitième session Rome, 10 14 octobre 2011 FINANCEMENT DES ÉVALUATIONS - MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DU CONSEIL Résumé Le présent document fait suite à une demande formulée

Plus en détail

Dans nos classes. La Résistance et la Déportation dans les manuels. Classe de troisième. Les leçons : Collection. Auteurs (sous la direction de)

Dans nos classes. La Résistance et la Déportation dans les manuels. Classe de troisième. Les leçons : Collection. Auteurs (sous la direction de) Dans nos classes La Résistance et la Déportation dans les manuels Classe de troisième Les leçons : Belin, avril 2003. Eric Chaudron, Remy Knafou. Leçons La 2 guerre mondiale. * Les grandes phases de la

Plus en détail

TopLexis. Copywriting storytelling - stratégie de contenus

TopLexis. Copywriting storytelling - stratégie de contenus TopLexis Copywriting storytelling - stratégie de contenus La stratégie de contenus vise à produire des contenus (rédactionnels, visuels ) et une communication générale adaptés à votre cible en vue de l

Plus en détail

DOCUMENT L HISTOIRE DE L ÉDUCATION EN FRANCE

DOCUMENT L HISTOIRE DE L ÉDUCATION EN FRANCE 209 DOCUMENT L HISTOIRE DE L ÉDUCATION EN FRANCE Pierre Caspard Service d Histoire de l Éducation, France. En février 2013, Antoine Prost a reçu des mains du ministre de l Éducation nationale français,

Plus en détail

DIPLOMES UNIVERSITAIRES

DIPLOMES UNIVERSITAIRES ALEXANDRE DESRAMEAUX MAÎTRE DE CONFERENCES EN DROIT PUBLIC (depuis 2009) Titulaire du Certificat d Aptitude à la Profession d Avocat (CAPA) DIPLOMES UNIVERSITAIRES 2006 Doctorat en droit de l Université

Plus en détail

CENTRE DES ARCHIVES DU MONDE DU TRAVAIL. FONDS ROBERT SERRURIER, Militant du Mouvement de libération ouvrière, puis Culture et Liberté

CENTRE DES ARCHIVES DU MONDE DU TRAVAIL. FONDS ROBERT SERRURIER, Militant du Mouvement de libération ouvrière, puis Culture et Liberté CENTRE DES ARCHIVES DU MONDE DU TRAVAIL FONDS ROBERT SERRURIER, Militant du Mouvement de libération ouvrière, puis Culture et Liberté 2000 054 Introduction Activités militant, éducation populaire, politique,

Plus en détail

MICROSTAGE COM602 Département des lettres et communications. Automne 2015 (10 juin 2015)

MICROSTAGE COM602 Département des lettres et communications. Automne 2015 (10 juin 2015) MICROSTAGE COM602 Département des lettres et communications Automne 2015 (10 juin 2015) Table des matières Centre culturel de l Ude S / Série Arrière cours Publicité et promotion... 3 Centre culturel de

Plus en détail

Ce document a été mis en ligne par le Canopé de l académie de Montpellier pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel.

Ce document a été mis en ligne par le Canopé de l académie de Montpellier pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel. Ce document a été mis en ligne par le Canopé de l académie de Montpellier pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel. Ce fichier numérique ne peut être reproduit, représenté,

Plus en détail

Maître Eventail, Les mains qui fleurissent

Maître Eventail, Les mains qui fleurissent Contact : Ghislain Foulon shintai@live.fr Tél.: +33 (0)6.82.887.60.36. Comité des Fêtes CRS 53 MARSEI CHICHE Eric 71 AVENUE CLAUDE MONET 13014 MARSEILLE comite.des.fetes.crs53@gmail.com 0664712294 Maître

Plus en détail

Formation Storytelling par l image Partie 1 L importance du visuel + Pinterest

Formation Storytelling par l image Partie 1 L importance du visuel + Pinterest Formation Storytelling par l image Partie 1 L importance du visuel + Pinterest [ Agenda ] 1. Qu est-ce que le storytelling? 2. L importance de la photo et de la vidéo aujourd hui 3. Le potentiel de Pinterest

Plus en détail

S Y M B O L O N - P R O F I L

S Y M B O L O N - P R O F I L S Y M B O L O N - P R O F I L Lorsque l invisible devient visible Nous empruntons de nouveaux chemins ensemble avec vous Développement de personnalité avec la méthode Symbolon L association de la psychologie

Plus en détail

LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES

LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES Tout à l heure, le Président de la République m a demandé, avec le Premier ministre, de vous apporter un certain nombre d éléments sur le contexte dans

Plus en détail

Par: Bridget Clarke et Kathlyn Pascua

Par: Bridget Clarke et Kathlyn Pascua Par: Bridget Clarke et Kathlyn Pascua Anna Gavalda Née le 9 décembre 1970 à Boulogne- Billancourt Professeur de français Écrit pour le magazine de mode, Elle Bibliographie Nouvelles Je voudrais que quelqu

Plus en détail

Volet thématique «Prévention des crises et consolidation de la paix»

Volet thématique «Prévention des crises et consolidation de la paix» Volet thématique «Prévention des crises et consolidation de la paix» Résumé des résultats clés et réalisations Problématique Prévention des crises et consolidation de la paix : les défis Quelque 1,5 milliard

Plus en détail

OUVERTURE DE VACANCE

OUVERTURE DE VACANCE U N I V E R S I T É L I B R E D E B R U X E L L E S, U N I V E R S I T É D ' E U R O P E Réf. : CA 19.04.10/IV.27 PHILO Bruxelles, le 20 avril 2010. OUVERTURE DE VACANCE L Université Libre de Bruxelles

Plus en détail

LibQual+ à l'ubo : une enquête de satisfaction des usagers en bibliothèque du 16 mars au 4 avril 2009

LibQual+ à l'ubo : une enquête de satisfaction des usagers en bibliothèque du 16 mars au 4 avril 2009 LibQual+ à l'ubo : une enquête de satisfaction des usagers en bibliothèque du 16 mars au 4 avril 2009 Présentation Une enquête d'origine américaine et de portée internationale «LibQual+» est une enquête

Plus en détail

NetObserver Europe. Parmi les principaux enseignements, nous retiendrons notamment que :

NetObserver Europe. Parmi les principaux enseignements, nous retiendrons notamment que : NetObserver Europe TOUT SAVOIR SUR LES INTERNAUTES Communiqué de presse Paris, Mars 2008 Enseignements de la 16 ème vague de l étude NetObserver Europe : Des différences sensibles entre générations d internautes

Plus en détail

GRAP. dans l émergence d entreprises d économie sociale en Estrie

GRAP. dans l émergence d entreprises d économie sociale en Estrie dans l émergence d entreprises d économie sociale en Estrie Illustration de deux cas d entreprises tirés de la recherche du Groupe régional d activités partenariales en économie sociale de l Estrie (GRAP-Estrie)

Plus en détail

Alain Souchon : Et si en plus y'a personne

Alain Souchon : Et si en plus y'a personne Alain Souchon : Et si en plus y'a personne Paroles et musique : Alain Souchon et Laurent Voulzy Virgin / Emi Thèmes La religion, La guerre, Le fanatisme religieux. Objectifs Objectifs communicatifs : Exprimer

Plus en détail

Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence

Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Gwenole Fortin To cite this version: Gwenole Fortin. Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence. 2006.

Plus en détail

L'EPS à l'école primaire aucune modification des programmes

L'EPS à l'école primaire aucune modification des programmes L'EPS à l'école primaire aucune modification des programmes Les 3 objectifs sont poursuivis aussi bien à l'école maternelle, qu'à l école primaire MATERNELLE * Favoriser la construction des actions motrices

Plus en détail

RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE

RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE , chemin de la côte Saint-Antoine Westmount, Québec, HY H7 Téléphone () 96-70 RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE À TRANSMETTRE AU PARENTS Année scolaire 0-0 Document adapté par Tammy

Plus en détail

Permettez à un jeune de consolider sa formation professionnelle à l international dans le domaine de l humanitaire, +

Permettez à un jeune de consolider sa formation professionnelle à l international dans le domaine de l humanitaire, + Valorisez votre entreprise en devenant mécène pour orphelins sida international! Michel JONASZ «Le temps de la solidarité est venu. Il n est plus possible de croire que l on peut vivre heureux sans se

Plus en détail

Nomenclatures 2008 NAF rév. 2 - CPF rév. 2. Section M Division 73

Nomenclatures 2008 NAF rév. 2 - CPF rév. 2. Section M Division 73 Nomenclatures 2008 NAF rév. 2 - CPF rév. 2 Section M Division 73 73 PUBLICITÉ ET ÉTUDES DE MARCHÉ Cette division comprend la création de campagnes publicitaires et la diffusion de la publicité ainsi créée

Plus en détail

AGNÈS BIHL, Elle et lui (2 14)

AGNÈS BIHL, Elle et lui (2 14) (2 14) PAROLES {Refrain :} Elle et lui, c est le jour et la nuit C est le sucre et le sel, lui et elle Il est fromage elle est dessert 1 Il est sauvage elle est solaire Il est poker elle est tarot Il est

Plus en détail

ANALYSE QUALITATIVE RESTREINTE

ANALYSE QUALITATIVE RESTREINTE Uniquement disponible sur le site web du CELV: http//www.ecml.at Document de référence 3: ANALYSE QUALITATIVE RESTREINTE Objet et méthode: Nous avons voulu comprendre au-delà des réponses au questionnaire

Plus en détail

La Fondation Société Générale pour la solidarité

La Fondation Société Générale pour la solidarité La Fondation Société Générale pour la solidarité F O N D A T I O N P O U R L A S O L I D A R I T É La Fondation d entreprise Société Générale pour la Solidarité Elle intervient en faveur de l insertion

Plus en détail

2 ANNÉES intensives pour un Bachelor (BAC + 3) en management

2 ANNÉES intensives pour un Bachelor (BAC + 3) en management 2 ANNÉES intensives pour un Bachelor (BAC + 3) en management Double-diplôme INSEEC BACHELOR/FACulté DE PHARMACIE Bachelor en Management Un double-diplôme inseec bachelor / faculté de pharmacie CAleNDRieR

Plus en détail

Chapitre 2 : La structure en escalier ARISE

Chapitre 2 : La structure en escalier ARISE Chapitre 2 : La structure en escalier ARISE La structure ARISE fut à l origine mise en place dans un but pédagogique de manière à enseigner l art de la Séduction avec un outil pédagogique simple et efficace.

Plus en détail

Une autre façon de vivre à Lyon BBC. Bâtiment Basse Consommation

Une autre façon de vivre à Lyon BBC. Bâtiment Basse Consommation Une autre façon de vivre à Lyon BBC Bâtiment Basse Consommation 1 7 2-1 7 6 r u e d e S a i n t - C y r L Y O N 9 e Vivre à Lyon comme à la campagne Situé à l ouest de la Saône, à la lisière de Saint-Didier

Plus en détail

Le test s'est déroulé en trois étapes successives

Le test s'est déroulé en trois étapes successives TEST SUR LES BASES BIBLIOGRAPHIQUES Rapport* du bureau Marcel van Dijk L'étude qui suit présente les résultats du test quantitatif et qualitatif de 5 bases bibliographiques disponibles en France : BNOPALE

Plus en détail

NOTRE PERE JESUS ME PARLE DE SON PERE. idees-cate

NOTRE PERE JESUS ME PARLE DE SON PERE. idees-cate NOTRE PERE JESUS ME PARLE DE SON PERE idees-cate 16 1 L'EVANGILE DE SAINT LUC: LE FILS PRODIGUE. Luc 15,11-24 TU AS TERMINE LE LIVRET. PEUX-TU DIRE MAINTENANT, QUI EST LE PERE POUR TOI? Un Père partage

Plus en détail

= Assemblée Générale du 27 Avril 2014, à Nancy = =======================

= Assemblée Générale du 27 Avril 2014, à Nancy = ======================= = Assemblée Générale du 27 Avril 2014, à Nancy = ======================= 09h45 : Ouverture de l Assemblée Générale, par Madame la Présidente Marie Lise ROCHOY. Elle souhaite la bienvenue à toute les personnes

Plus en détail

Master Etudes françaises et francophones

Master Etudes françaises et francophones Master Etudes françaises et francophones 1. modèle scientifique et profilage des contenus de la filière / Présentation et spécificités de la filière Les études romanes à Leipzig sont considérées comme

Plus en détail

PREMIERE RUBRIQUE : VOTRE ETAT CIVIL, PRECIS ET COMPLET

PREMIERE RUBRIQUE : VOTRE ETAT CIVIL, PRECIS ET COMPLET PREMIERE RUBRIQUE : VOTRE ETAT CIVIL, PRECIS ET COMPLET Cette première partie comporte les renseignements personnels de base dont l employeur a besoin pour vous joindre. 9 informations peuvent y figurer

Plus en détail

El condor SPECIAL Montélimar 06 2012

El condor SPECIAL Montélimar 06 2012 El condor SPECIAL Montélimar 06 2012 Le petit journal illustré de l AERO-CLUB ROYANS-VERCORS Rédacteur en chef : Henri LAGASSE. Collaborateur : Jean-Paul DROUOT. Aéro-Club du Royans-Vercors. Champlong.

Plus en détail

L utilisation des technologies de l information et de la communication dans les campagnes électorales

L utilisation des technologies de l information et de la communication dans les campagnes électorales R É P U B L I Q U E F R A N Ç A I S E Décembre 2010 NOTE sur L utilisation des technologies de l information et de la communication dans les campagnes électorales Allemagne Espagne Italie - Pays-Bas Royaume-Uni

Plus en détail

Exposition du 23 septembre 2011 au 15 janvier 2012 aux Archives de l Aube, 131, rue Etienne Pédron à Troyes.

Exposition du 23 septembre 2011 au 15 janvier 2012 aux Archives de l Aube, 131, rue Etienne Pédron à Troyes. Exposition du 23 septembre 2011 au 15 janvier 2012 aux Archives de l Aube, 131, rue Etienne Pédron à Troyes. Dans l exposition A l Aube de la pub, retrouvez les entreprises et commerces aubois à travers

Plus en détail

DIFFUSION DE LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE PAR ELECTRICITE DE FRANCE

DIFFUSION DE LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE PAR ELECTRICITE DE FRANCE DIFFUSION DE LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE PAR ELECTRICITE DE FRANCE Dominique Renou Direction de la Communication Électricité de France (EDF), Paris La diffusion de la culture scientifique et technique

Plus en détail

À L ISIT DEVENEZ ACTEUR INTERNATIONAL!

À L ISIT DEVENEZ ACTEUR INTERNATIONAL! L ISIT, institut de management et de commu nication interculturels, créé l année de la signature du traité de Rome en 1957, forme et prépare les étudiants aux exigences imposées par les enjeux d un marché

Plus en détail

Grille de planification Expédition météo. Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10 minutes).

Grille de planification Expédition météo. Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10 minutes). Grille de planification Expédition météo Spécialiste de l atmosphère Spécialiste des vents Spécialiste des nuages Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10

Plus en détail

PERTE DE MAÎTRISE - SPIRALE CESSNA 150 C-FQZC BELLIS (ALBERTA) 16 SEPTEMBRE 1996 RAPPORT NUMÉRO A96W0178

PERTE DE MAÎTRISE - SPIRALE CESSNA 150 C-FQZC BELLIS (ALBERTA) 16 SEPTEMBRE 1996 RAPPORT NUMÉRO A96W0178 RAPPORT D=ENQUÊTE SUR ÉVÉNEMENT AÉRONAUTIQUE PERTE DE MAÎTRISE - SPIRALE CESSNA 150 C-FQZC BELLIS (ALBERTA) 16 SEPTEMBRE 1996 RAPPORT NUMÉRO A96W0178 Le Bureau de la sécurité des transports du Canada (BST)

Plus en détail

CORRIGE DU LIVRET THEMATIQUE NIVEAU SECONDAIRE

CORRIGE DU LIVRET THEMATIQUE NIVEAU SECONDAIRE LE MUR DE L ATLANTIQUE PAGES 4-5 Le Mur était constitué de blockhaus de toutes sortes : des batteries d artillerie équipées de canons, des radars, des obstacles pour défendre les plages Reportez, pour

Plus en détail

MOBILISEZ VOS COLLABORATEURS POUR UNE JOURNEE DE VOLONTARIAT SOLIDAIRE

MOBILISEZ VOS COLLABORATEURS POUR UNE JOURNEE DE VOLONTARIAT SOLIDAIRE MOBILISEZ VOS COLLABORATEURS POUR UNE JOURNEE DE VOLONTARIAT SOLIDAIRE 1 Unis-Cité vous propose de concevoir, organiser et animer des Journées d Action Solidaire pour vos salariés Fédérez vos salariés

Plus en détail

Merci de suivre les indications suivantes afin de créer votre compte membre :

Merci de suivre les indications suivantes afin de créer votre compte membre : Merci de suivre les indications suivantes afin de créer votre compte membre : La base de données a été mise à jour, toutefois si vous n arrivez pas à vous connecter ou si vous constatez une erreur dans

Plus en détail

L ÉGLISE AU MOYEN ÂGE

L ÉGLISE AU MOYEN ÂGE L ÉGLISE AU MOYEN ÂGE Compétence Comprendre l importance de l Église dans la vie des hommes au Moyen Âge. Quelle impression te donne l église dans cette photographie, par rapport aux autres constructions?

Plus en détail

«Les Relations Publiques»

«Les Relations Publiques» 46 ème session de formation Club de presse Ooredoo «Les Relations Publiques» 27 mars 2014 Présentée par M hamed BITOURI Docteur en psychologie Expert international 1 Les relations publiques (une fonction

Plus en détail

La FAFEC «Gnèna-Yèter», la «Banque» des Femmes rurales du Nord de la Côte d Ivoire

La FAFEC «Gnèna-Yèter», la «Banque» des Femmes rurales du Nord de la Côte d Ivoire La FAFEC «Gnèna-Yèter», la «Banque» des Femmes rurales du Nord de la Côte d Ivoire BIM n 136 - Mercredi 24 Octobre 2001 Bénédicte Laurent, FIDES Un BIM du mercredi qui nous vient de loin : nous avons demandé

Plus en détail

A. Le contrôle continu

A. Le contrôle continu L audit d achat est une action volontaire décidée par l entreprise avec pour objet d apprécier la qualité de l organisation de sa fonction achats et le niveau de performance de ses acheteurs. L audit achat

Plus en détail

Session pilote COLLOQUE DE CLOTURE

Session pilote COLLOQUE DE CLOTURE CHEDD Bretagne Collège des Hautes études du Développement Durable Session pilote COLLOQUE DE CLOTURE En partenariat avec «Les Tombées de la Nuit» Mardi 5 juillet 2011 de 9 heures 30 à 18 heures à Rennes

Plus en détail

Rapport d évaluation de la licence professionnelle

Rapport d évaluation de la licence professionnelle Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Management et gestion commerciale de l Université de Cergy- Pontoise - UCP Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation

Plus en détail

Observation des modalités et performances d'accès à Internet

Observation des modalités et performances d'accès à Internet Observation des modalités et performances d'accès à Internet Avant-propos La base de cette étude est constituée par les informations collectées par l'outil Cloud Observer d'iplabel (chargement des différents

Plus en détail

Ressources pour le lycée général et technologique

Ressources pour le lycée général et technologique éduscol Ressources pour le lycée général et technologique Ressources pour la classe de première générale Série littéraire (L) Travaux Personnels Encadrés Thème spécifique Représentations et réalités Ces

Plus en détail

Article. «Monument québécois à la mémoire des héros du Long-Sault» Jacques Folch-Ribas. Vie des Arts, n 50, 1968, p. 38-41.

Article. «Monument québécois à la mémoire des héros du Long-Sault» Jacques Folch-Ribas. Vie des Arts, n 50, 1968, p. 38-41. Article «Monument québécois à la mémoire des héros du Long-Sault» Jacques Folch-Ribas Vie des Arts, n 50, 1968, p. 38-41. Pour citer cet article, utiliser l'information suivante : http://id.erudit.org/iderudit/58250ac

Plus en détail

COMPTE RENDU OU NOTES DE LECTURE SUR LA LITTERATURE ORALE AFRICAINE

COMPTE RENDU OU NOTES DE LECTURE SUR LA LITTERATURE ORALE AFRICAINE 1 COMPTE RENDU OU NOTES DE LECTURE SUR LA LITTERATURE ORALE AFRICAINE Christiane SEYDOU : «Comment définir le genre épique? Un exemple : l épopée africaine» in JASO Journal of the Anthroplogical Society

Plus en détail

Dans ce nouveau siècle, aussi inégalitaire que le précédent mais aussi riche

Dans ce nouveau siècle, aussi inégalitaire que le précédent mais aussi riche ÉDITORIAL Pour la Corse et pour la France, une démocratie politique et sociale vraiment neuve Dans ce nouveau siècle, aussi inégalitaire que le précédent mais aussi riche de réalisations possibles, la

Plus en détail

Le graphisme et l écriture, en lien avec les apprentissages en maternelle

Le graphisme et l écriture, en lien avec les apprentissages en maternelle Le graphisme et l écriture, en lien avec les apprentissages en maternelle Conférence de Marie-Thérèse Zerbato-Poudou : Les apprentissages à l école maternelle 12 novembre 2008, St Etienne de St Geoirs

Plus en détail

Conférence de presse de présentation de la mission «création et internet» jeudi 3 septembre 2009

Conférence de presse de présentation de la mission «création et internet» jeudi 3 septembre 2009 Conférence de presse de présentation de la mission «création et internet» jeudi 3 septembre 2009 Contacts presse Cabinet du Ministre Conseillère communication et relations publiques Béatrice Mottier Tél

Plus en détail

L univers vivant De la cellule à l être humain

L univers vivant De la cellule à l être humain L univers vivant De la cellule à l être humain La cellule humaine Voir : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html Voir : http://fr.wikipedia.org/ La cellule humaine Unité de base de tous les êtres

Plus en détail

LUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT

LUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT LUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT Prix À «Mobilisons-nous L ÉCOLE : L AFFAIRE contre DE le TOUS! harcèlement» 2ème édition 2014/2015 Préambule Dans le cadre de la politique conduite pour diminuer le harcèlement

Plus en détail

MIX:GRAPHICLAB_PRO FORMATION PAO WEB MULTIMÉDIA PÔLE MIX BERGERAC EPSECO TALIS FORMATION 2012 2013

MIX:GRAPHICLAB_PRO FORMATION PAO WEB MULTIMÉDIA PÔLE MIX BERGERAC EPSECO TALIS FORMATION 2012 2013 MIX:GRAPHICLAB_PRO FORMATION PAO WEB MULTIMÉDIA PÔLE MIX BERGERAC EPSECO TALIS FORMATION 2012 2013 CQP PAO > 003 MODULES > 005 PROGRAMME > 006 INFORMATIONS PRATIQUES > 007 TECHNIQUE > 003 PRODUCTION >

Plus en détail

Il n'y a rien de plus beau qu'une clef

Il n'y a rien de plus beau qu'une clef Il n'y a rien de plus beau qu'une clef (tant qu'on ne sait pas ce qu'elle ouvre) Spectacle de contes, à partir de 12 ans. Durée 1h Synopsis Deux conteuses Une panne de voiture Un petit village vendéen

Plus en détail

Assemblée générale de l AOMF Dakar, 28 novembre 2013. Compte rendu

Assemblée générale de l AOMF Dakar, 28 novembre 2013. Compte rendu Assemblée générale de l AOMF Dakar, 28 novembre 2013 Compte rendu 1. Rapport du Président de l AOMF (voir le rapport complet joint) Consolidation du Recueil de doctrine Élargissement et renforcement de

Plus en détail

Les règles de base du poker :

Les règles de base du poker : Les règles de base du poker : LES RÈGLES DE BASE DU POKER :... 1 A propos du poker...2 Comment jouer?...3 Essayez le poker dés maintenant... 5 Le classement des cartes au poker...6 Classement des Cartes...

Plus en détail

Technologies, innovations et médias

Technologies, innovations et médias Technologies, innovations et médias Contenu D une radio locale à diffusion internationale à Prague en République tchèque à des places de parking que l on paye par téléphone portable en Estonie, un circuit

Plus en détail

Stockage ou pas stockage?

Stockage ou pas stockage? Stockage ou pas stockage? Table des matières 1- Stockage chimique?...1 2- Stockage thermique?...3 3- Stockage thermique et chimique!...4 4- Conclusion...5 La question du surplus dans les installations

Plus en détail

La presse en ligne au service de la démocratie locale. Sylvain Parasie (Latts) & Jean-Philippe Cointet (INRA Sens)

La presse en ligne au service de la démocratie locale. Sylvain Parasie (Latts) & Jean-Philippe Cointet (INRA Sens) La presse en ligne au service de la démocratie locale Sylvain Parasie (Latts) & Jean-Philippe Cointet (INRA Sens) Les sciences sociales critiques du rôle démocratique de la presse locale. Nouveaux espoirs

Plus en détail

Séminaire LIDILEM. vendredi 25 juin 2010 ET LA RECHERCHE ACTUELLE

Séminaire LIDILEM. vendredi 25 juin 2010 ET LA RECHERCHE ACTUELLE Séminaire LIDILEM vendredi 25 juin 2010 LE MÉTIER DE CHERCHEUR ET LA RECHERCHE ACTUELLE Salle Jacques Cartier Maison des Langues et des Cultures Organisatrices : Cristelle Cavalla & Françoise Raby Thierry

Plus en détail

DÉPARTEMENT DE LA LOZÈRE DÉLIBÉRATION DE LA COMMISSION PERMANENTE. RÉUNION DU 27 juin 2013 ouverte à 10h45

DÉPARTEMENT DE LA LOZÈRE DÉLIBÉRATION DE LA COMMISSION PERMANENTE. RÉUNION DU 27 juin 2013 ouverte à 10h45 Direction Générale des Services Service des Assemblées République Française DÉPARTEMENT DE LA LOZÈRE DÉLIBÉRATION DE LA COMMISSION PERMANENTE RÉUNION DU 27 juin 2013 ouverte à 10h45 Délibération n : CP_13_632

Plus en détail

Le management au Ministère de la Défense

Le management au Ministère de la Défense Ouvrage collectif piloté par le CFMD sous la direction du général Baudouin ALBANEL Le management au Ministère de la Défense, 2004 ISBN : 2-7081-3042-0 Sommaire Préface Manager : une priorité du secteur

Plus en détail

Défense & médias sociaux La perspective belge

Défense & médias sociaux La perspective belge ROLE OF SOCIAL MEDIA IN OMBUDS INSTITUTIONS FOR THE ARMED FORCES Défense & médias sociaux La perspective belge 6 ICOAF 27 octobre 2014 Lieutenant-Colonel Dominique PEETERS 1 CONTENU Introduction La Défense

Plus en détail

Le Crédit-bail mobilier dans les procédures collectives

Le Crédit-bail mobilier dans les procédures collectives Aimé Diaka Le Crédit-bail mobilier dans les procédures collectives Publibook Retrouvez notre catalogue sur le site des Éditions Publibook : http://www.publibook.com Ce texte publié par les Éditions Publibook

Plus en détail

Code de la publicité écologique

Code de la publicité écologique Code de la publicité écologique Code de la publicité écologique: Préambule Une société saine construit un avenir durable. De plus en plus, le souci de l'homme pour son environnement en constitue un élément

Plus en détail