AIDE-MÉMOIRE POUR LES EXPLOITANTS SUR LA PRÉVENTION DANS LES RÉSIDENCES PRIVÉES POUR AÎNÉS

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "AIDE-MÉMOIRE POUR LES EXPLOITANTS SUR LA PRÉVENTION DANS LES RÉSIDENCES PRIVÉES POUR AÎNÉS"

Transcription

1 Article 17 : AIDE-MÉMOIRE POUR LES EXPLOITANTS SUR LA PRÉVENTION DANS LES RÉSIDENCES PRIVÉES POUR AÎNÉS EXIGENCES DU RÈGLEMENT SUR LES CONDITIONS D OBTENTION D UN CERTIFICAT DE CONFORMITÉ ET LES NORMES D EXPLOITATION D UNE RÉSIDENCE PRIVÉE POUR AÎNÉS Procédures en cas de danger pour la vie et l intégrité d un résident, de décès d un résident, d absence inexpliquée d un résident et d avertissement de chaleur accablante. Article 18 : Application des mesures recommandées par le Guide de prévention des infections dans les résidences privées pour aînés publié par la Direction générale de la santé publique du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS). Article 19 : Attestation de la prise de connaissance des éléments cités aux articles 17 et 18. Article 23 : Maîtrise par les préposés de la compétence «savoir appliquer les pratiques de base pour prévenir les infections et la contamination» acquise par la formation ou reconnue par équivalence de formation ou d expérience. Article 29 : Garantie des tiers que les personnes référées ont la maîtrise des compétences exigées dont celle précitée. Article 50 : Respect des autres lois et règlements afin de ne pas mettre en danger la santé et la sécurité des résidents. GUIDE DE PRÉVENTION DES INFECTIONS DANS LES RÉSIDENCES PRIVÉES POUR AÎNÉS BUT DES EXIGENCES INSCRITES AUX ARTICLES 18 & 19 Assurer la sécurité des résidents et du personnel en prévenant les infections et en réduisant la contamination par l application de procédures reconnues dans diverses situations. MESURES PRISES PAR LE MSSS EN MATIÈRE DE PRÉVENTION ET DE CONTRÔLE DES INFECTIONS 1. Publication du Guide de prévention des infections dans les résidences privées pour aînés. 2. Obligation dans le règlement de faire connaître et de recourir à ce guide dans les activités d exploitation (articles 18 & 19). 3. Demande aux commissions scolaires (CS) d élaborer et de diffuser une formation basée sur ce guide pour les préposés de résidence privée pour aînés : a. énoncé de la compétence : savoir appliquer les pratiques de base pour prévenir les infections et la contamination (article 23, 2.3 o ). b. éléments de compétence du programme de formation développé par la CS : i. application des pratiques de base pour prévenir et contrôler la transmission des infections; 1 de 6

2 ii. recours à des précautions additionnelles en présence de certains agents infectieux. 4. Rédaction du présent «aide-mémoire» pour informer les exploitants des résidences privées pour aînés concernant leurs responsabilités en matière de prévention et de contrôle des infections. Le Guide de prévention des infections dans les résidences privées pour aînés diffusé dans les résidences privées pour aînés par la Direction de la santé publique de chaque région est disponible en version électronique sur le site du ministère de la Santé et des Services sociaux, à l adresse : section Documentation, rubrique Publications. SOMMAIRE COMMENTÉ DU GUIDE DE PRÉVENTION DES INFECTIONS DANS LES RÉSIDENCES PRIVÉES POUR AÎNÉS Introduction Le but de la prévention et du contrôle des infections dans les résidences privées pour aînés (RPA) est d assurer un environnement sécuritaire aux résidents. En effet, la sécurité au quotidien implique plusieurs éléments comme des attitudes et des comportements individuels et de groupe qui préviennent la transmission des infections. Le fait de partager un milieu de vie avec des personnes différentes nécessite, de la part de tous, le respect de certaines règles élémentaires d hygiène. C est pourquoi, il revient À CHAQUE RESPONSABLE D UNE RPA DE CONNAITRE ET DE PRENDRE LES MESURES nécessaires pour la prévention et le contrôle des infections. Aussi, il revient aux TRAVAILLEURS, AUX RÉSIDENTS, AUX VISITEURS ET AUX PROCHES AIDANTS DE LES RESPECTER en tout temps. La prévention et le contrôle des infections dans les RPA commandent un engagement ferme des exploitants et de leur équipe de gestion. Le degré de cet engagement s évalue notamment par: la mise en place des mesures requises et la disponibilité du matériel de protection personnelle (blouse, gants, masque) pour les travailleurs, et ce, en quantité suffisante, lorsque requis; le soutien apporté aux travailleurs pour faciliter leur formation et encourager les initiatives du personnel relativement à la prévention et au contrôle des infections. Chapitre 1 Rôles et responsabilités p. 3 et suivantes Les rôles et responsabilités de l Agence de la santé et des services sociaux, du centre de santé et de services sociaux (CSSS) et de la Direction de la santé publique de l agence sont détaillés dans le guide à l intention des résidences privées pour aînés. Plus spécifiquement, les rôles et responsabilités des exploitants commande que : chaque exploitant et tous les membres de son personnel doivent connaitre et appliquer le Guide de prévention des infections dans les résidences privées pour aînés publié par le MSSS. l exploitant de la RPA doit mettre en application les consignes indiquées dans ce guide et informer les résidents, les visiteurs, les bénévoles et les proches aidants de la mise en place de celles-ci. les exploitants des RPA peuvent s adresser à l infirmière ou au médecin de la résidence, le cas échéant, ou à une infirmière du CSSS du territoire où est située la résidence. l exploitant de la RPA doit signaler à l instance désignée par les mécanismes prévus au programme régional d organisation de services, tout contexte ou toute éclosion de maladie 2 de 6

3 infectieuse dépistée dans la résidence (gastro-entérite, grippe, autre infection respiratoire, gale, etc.), et mettre en place les mesures pour prévenir la transmission. Chapitre 2 Notions de base en maladies infectieuses p. 7 et suivantes Ce chapitre définit ce qu est un micro-organisme, identifie les principaux symptômes associés à une infection et les mécanismes de transmission entre les personnes. Les bactéries sont présentes sur la peau, dans la bouche, dans le nez et la gorge, ainsi que dans l intestin. Le plus souvent, elles vivent en parfaite harmonie avec l être humain, parfois elles peuvent provoquer des infections. Une infection peut survenir si les trois éléments suivants sont réunis : 1 la présence d un micro-organisme appelé aussi agent infectieux tel une bactérie, un virus, un parasite ou un champignon; 2 la transmission du micro-organisme par : contact avec une personne, avec un environnement contaminé ou avec un véhicule commun tel un aliment contaminé; gouttelettes lors de la toux et de l éternuement ou par l air contaminé. 3 la présence d une personne réceptive ou à risque de contracter une infection appelée un hôte. Ceci explique que les mains contaminées peuvent propager 80 % des infections courantes et la transmission des infections peut être interrompue par des pratiques de base dont l hygiène fréquente des mains. L adhésion aux principes d hygiène est essentielle afin de se protéger et de protéger les autres. Ces principes sont regroupés sous l appellation des «pratiques de base» et sont traitées au chapitre 3 du guide. Des précautions additionnelles peuvent être requises et seront traitées au chapitre 4. Chapitre 3 Pratiques de base p. 13 et suivantes Les pratiques de base sont un ensemble de mesures utilisées pour réduire la transmission des infections que tous doivent utiliser, et ce, en tout temps. Ces pratiques sont des mesures simples, accessibles, applicables à peu de frais et qui doivent être utilisées tous les jours. Elles comprennent, notamment, l'hygiène des mains et l'entretien ménager au quotidien. Hygiène des mains Ce qu il faut savoir au sujet des pratiques de base, pour prévenir les infections Il s'agit de la mesure la plus importante pour prévenir les infections. Il faut s'assurer que des lavabos et du savon sont disponibles, ainsi que des solutions hydroalcooliques pour la désinfection des mains. L'hygiène des mains doit être appliquée par le personnel, les résidents et les visiteurs. Hygiène respiratoire Les personnes présentant une infection respiratoire, tant le personnel que les visiteurs, doivent éviter de se présenter à la résidence. Si ce n'est pas possible, il faut se tenir à deux mètres des autres personnes ou porter un masque. L'hygiène respiratoire, c'est se couvrir la bouche avec un mouchoir quand on tousse ou qu'on éternue, jeter le mouchoir après usage, puis se laver les mains. 3 de 6

4 En l'absence de mouchoirs, on peut tousser ou éternuer dans le pli de son coude, puis se laver les mains. Le matériel (masque, papier mouchoir) doit donc être disponible dans la résidence. Une politique qui informe le personnel sur ce qu'il a à faire s'il présente des symptômes devrait également être disponible. Équipement de protection Des gants, des masques et des blouses de protection peuvent être requis pour certaines infections, comme la grippe ou la gastro-entérite (précautions additionnelles mentionnées au chapitre 4). Quelquefois, des lunettes de protection peuvent aussi être recommandées. Tous les détails sont disponibles dans le guide (chapitre 3, p. 17 à 19). Il importe de s'assurer que les équipements nécessaires sont disponibles et que les précautions additionnelles sont prises. En aucun cas, une admission ne devrait être refusée parce que le résident est porteur d'une bactérie (chapitre 1, p. 5). Produits et articles pour les soins d'hygiène personnelle des résidents En général, chaque résident doit disposer de ses propres produits comme les lotions, savons, brosses à dents, coupe-ongles, rasoirs, etc. Si dans certains cas exceptionnels l'équipement est partagé, il doit être désinfecté avant d'être utilisé pour une autre personne. La literie et la lingerie doivent être manipulées de la bonne manière pour éviter la transmission des microbes (p. 19 à 21). Préparation des repas La manipulation des aliments, les surfaces de préparation des repas, ainsi que l'équipement de cuisine sont des sources importantes de transmission des microbes. Les personnes âgées sont plus vulnérables à ces infections et il est essentiel d'utiliser les bonnes pratiques pour éviter la contamination des aliments. De plus, des aliments contaminés peuvent infecter de nombreuses personnes en même temps. Le ministère de l Agriculture, des Pêcheries et de l Alimentation du Québec, mieux connu sous l appellation MAPAQ, offre des outils à cet effet. Des mesures particulières s'appliquent aux travailleurs qui manipulent des aliments. En plus d'une hygiène des mains rigoureuse, ils ne devraient pas être assignés à la préparation ou au service des repas s ils présentent de la diarrhée ou des infections cutanées aux mains, aux avant-bras ou au visage (p. 23 et 24). Matériel et équipement de soins Plusieurs équipements devraient être à l'usage exclusif du résident. Ils doivent être maintenus dans un état de propreté constant. Les équipements partagés (comme le bain, le levier hydraulique, etc.) doivent être nettoyés et désinfectés entre chaque résident. Des recommandations existent également pour les appareils d'hydrothérapie (p. 25). Objets piquants et tranchants Ils doivent être jetés de manière sécuritaire, généralement dans une boîte rigide biorisques. On peut s'informer auprès de son CSSS pour les modalités locales. Ne jamais jeter de ces objets dans les ordures ménagères ou dans les toilettes. 4 de 6

5 Le guide explique quoi faire en cas de piqûre accidentelle (p. 25). Vaccination C'est une mesure très efficace et très sécuritaire pour le personnel et les résidents. Tous devraient être à jour dans leur vaccination et se faire vacciner annuellement contre la grippe. On peut consulter un vaccinateur qui œuvre dans la résidence (médecin ou infirmière) ou le CSSS pour des renseignements complémentaires. Le Protocole d'immunisation du Québec est la source première de référence en matière de vaccination au Québec. Une nouvelle édition du Protocole est disponible en ligne depuis le 23 mai. Entretien ménager Il est essentiel de s'assurer que l'entretien ménager est fait régulièrement et de la bonne manière pour prévenir les infections. Certaines activités doivent être faites quotidiennement et avec les bons produits, notamment les surfaces qui sont touchées à répétition (robinets, poignées de porte, interrupteurs, etc.). Le personnel affecté à l'entretien ménager doit bien comprendre les étapes, (nettoyer avant de désinfecter) et être en mesure d'utiliser le bon produit selon la dilution recommandée par le fabricant. La fréquence de nettoyage et de désinfection doit être augmentée dans certaines circonstances pour éviter la propagation de microbes dans la résidence, comme par exemple lors d'une éclosion de gastro-entérite. Des détails sont disponibles dans le guide, y compris comment nettoyer des déversements de liquides biologiques dont le sang (p. 26 et suivantes et au chapitre 4 en fonction des agents infectieux spécifiques). Animaux Ils peuvent transmettre des maladies et les mesures à prendre sont disponibles dans le guide à la page 28. Éducation des visiteurs, du personnel et des visiteurs Les membres du personnel doivent connaître et appliquer les pratiques de base et les précautions additionnelles pour prévenir et contrôler les infections. Les résidents et les visiteurs doivent être informés des mesures à prendre, dans la mesure du possible. Les pratiques de base s appliquent en tout temps et avec chaque personne, sans égard à sa condition de santé tel que déjà mentionné. Aussi, il importe que les travailleurs aient accès en tout temps au matériel requis tel que les savons, masque, gants ou autre selon les situations. Chapitre 4 Maladies infectieuses et précautions additionnelles p. 29 et suivantes Ce chapitre décrit les infections les plus souvent rencontrées chez les personnes âgées comme la grippe, la gastro-entérite, le zona et qui peuvent nécessiter la prise de mesures additionnelles pour limiter la transmission. Les précautions additionnelles sont des mesures qui s'ajoutent aux pratiques de base lors de situations particulières. Il y a trois grands types de précautions additionnelles : les précautions de contact (par exemple pour une infection qui cause de la diarrhée ou une contamination de la peau), les précautions en présence de gouttelettes (par exemple pour les maladies respiratoires comme la grippe) et 5 de 6

6 les précautions aériennes. Il serait très rare d'avoir à mettre en œuvre des précautions aériennes dans une RPA (tuberculose, rougeole ou maladie respiratoire lors d'une procédure qui cause des aérosols [intubation, bronchoscopie]). Les mesures à prendre pour les précautions additionnelles sont détaillées dans la section du guide qui traite des maladies fréquentes, et ce, pour chaque agent infectieux particulier (chapitre 4, p. 29 et suivantes). De plus, l éclosion d une maladie infectieuse doit être signalée aux responsables de la santé publique de la région. Il est donc important de se familiariser avec l information présentée au chapitre 4 et de connaître les situations où l on doit informer le CSSS ou la personne responsable à la direction de la santé publique et ce, tel que déterminé dans le protocole d entente signé avec le CSSS de la région où est située la résidence privée pour aînés. Liste des annexes Informations complémentaires p. 71 et suivantes Les annexes présentent des références, des consignes à respecter ou des outils à utiliser lors de certaines situations et concernent, notamment, les aspects suivants : 1. Travaux de construction et de rénovation dans les résidences privées pour aînés 2. Qualité de l air intérieur 3. Entreposage et manipulation des aliments 4. Entretien des humidificateurs portatifs et des refroidisseurs d eau 5. Affiches sur les précautions additionnelles à mettre en place pour limiter la transmission de certaines infections 6. Techniques d hygiène des mains 7. Port du masque protecteur Hygiène respiratoire 8. Liste d activités nécessitant le port des gants Ouvrages de référence : QUÉBEC (2013), Règlement sur les conditions d obtention d un certificat de conformité et les normes d exploitation d une résidence privée pour aînés, chapitre S-4.2, r. 5.01, à jour au 1 er mai 2013, [Québec], Éditeur officiel du Québec. MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX (2012), Guide de prévention des infections dans les résidences privées pour aînés, Québec, ministère de la Santé et des Services sociaux, 120 p. Rédaction en collaboration : Direction générale de la santé publique et Direction générale des services sociaux Ministère de la Santé et des Services sociaux Mai de 6

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire

Plus en détail

EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD

EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections

Plus en détail

Soins d'hygiène corporelle de l'adulte : Aide à la toilette partielle au lavabo et au lit du visage et des mains

Soins d'hygiène corporelle de l'adulte : Aide à la toilette partielle au lavabo et au lit du visage et des mains Soins Soins d'hygiène corporelle de l'adulte : Aide à la toilette partielle au lavabo et au lit du visage et des mains LP Louis Blériot 2 BAC Pro ASSP Situation professionnelle Situation n 6 Fonction Compétence

Plus en détail

COLLABORATEURS CLINIQUES

COLLABORATEURS CLINIQUES CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE QUÉBEC CONCEPTION Véronique Roberge, Infirmière clinicienne COLLABORATEURS CLINIQUES Céline Bergeron, Infirmière clinicienne spécialisée Sylvie Côté, Assistante infirmière

Plus en détail

PROCÉDURE. Code : PR-DSI-000-31

PROCÉDURE. Code : PR-DSI-000-31 Code : PR-DSI-000-31 PROCÉDURE Instance responsable : Direction des soins infirmiers Approuvée par : Diane Benoit Présentée et adoptée au comité de direction le : 16 janvier 2013 Entrée en vigueur le :

Plus en détail

OSIRIS GRIPPE A H1N1

OSIRIS GRIPPE A H1N1 REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE État-major opérationnel OSIRIS OSIRIS INFORMATION ÉTAT-MAJOR OPÉRATIONNEL POLICE Genève, le 13 mai 2009 Rapport mensuel Avis de précaution Message urgent GRIPPE A H1N1 Recommandations

Plus en détail

gale - Brochure d information -

gale - Brochure d information - gale La - Brochure d information - Qu est-ce que la gale? La gale est une infection de la peau causée par un parasite. Celui-ci creuse un petit tunnel (sillon) dans la partie superficielle de la peau et

Plus en détail

Restauration d entreprise

Restauration d entreprise A s s o c i a t i o n d e s R e s p o n s a b l e s d e S e r v i c e s G é n é r a u x F a c i l i t i e s M a n a g e r s A s s o c i a t i o n Restauration d entreprise L article R. 4228-19 du Code

Plus en détail

BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA

BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA INSTRUCTIONS À L ATTENTION DE L ANIMATEUR La boite à images pour la prévention de la FHVE (La Fièvre Ebola est une maladie épidémique, contagieuse

Plus en détail

STOP à la Transmission des microorganismes!

STOP à la Transmission des microorganismes! STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions

Plus en détail

Gestion de la crise sanitaire grippe A

Gestion de la crise sanitaire grippe A Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe

Plus en détail

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins

Plus en détail

RÈGLES D'HYGIÈNE EN CUISINE

RÈGLES D'HYGIÈNE EN CUISINE RÈGLES D'HYGIÈNE EN CUISINE Directives pour: Economes Cuistots Personnel auxiliaire cuisine Personnel auxiliaire d'entretien par Luk Wullaert Federaal Agentschap voor de Veiligheid van de Voedselketen

Plus en détail

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France? 53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées

Plus en détail

POURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS

POURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS

Plus en détail

HUMI-BLOCK - TOUPRET

HUMI-BLOCK - TOUPRET FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET

Plus en détail

Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola

Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Août 2014 l enfance aux enfants Organisation mondiale de la Santé 2014 Tous droits réservés. Les appellations employées dans la présente

Plus en détail

1 Organiser et gérer. son poste de travail

1 Organiser et gérer. son poste de travail 1 Organiser et gérer son poste de travail r é f é r e n t i e l Modes de contamination (contamination initiale) Hygiène du personnel Prévention des risques professionnels Situation Dès son arrivée dans

Plus en détail

FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL

FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL LE GOUVERNEMENT DU GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG Direction de la Santé FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL Un plan d hygiène permet de garantir la propreté du personnel et éviter toutes contaminations

Plus en détail

C. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.

C. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM

Plus en détail

Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant)

Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant) Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant) 3 mai 2009, 15 h HNE Sur cette page : Que dois-je faire si je contracte ce nouveau virus et que

Plus en détail

Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde

Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Le Conseil Général ménage votre santé! Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Sommaire 1. Pourquoi créer ce cahier pratique du nettoyage écologique?

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR

Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage

Plus en détail

STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE

STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE FACULTÉ DE MÉDECINE FACULTÉ DE CHIRURGIE DENTAIRE Université de Strasbourg STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE JUILLET ou AOUT ou SEPTEMBRE 2012

Plus en détail

Protection du personnel

Protection du personnel PROTOCOLE POUR L EVACUATION DES EXCRETAS PAR LES ENTREPRISES DE VIDANGE/NETTOYAGE ET LES ONG s (Version 1.0, 23 décembre 2010) Sommaire I. Objectifs du protocole II. Protection du personnel III. Aspects

Plus en détail

Restauration collective. quelques aspects réglementaires

Restauration collective. quelques aspects réglementaires Restauration collective quelques aspects réglementaires JL Fumery Marseille, 17 mai 2005 1 La restauration collective n est pas vraiment un concept nouveau de la préhistoire au moyen-âge quelles que soient

Plus en détail

LA VACCINATION PROFESSIONNELLE

LA VACCINATION PROFESSIONNELLE F I C H E P R E V E N T I O N N 1 1 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LA VACCINATION PROFESSIONNELLE INTRODUCTION La vaccination en milieu professionnel a un intérêt individuel dans le sens où elle protège

Plus en détail

LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION. La méthode HACCP. olet 1 : Informations générales

LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION. La méthode HACCP. olet 1 : Informations générales LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION La méthode HACCP olet 1 : Informations générales 1 Textes 2 Réseau 3 Formations obligatoires 4 Offres de formations Année : 2005-2006 1 Textes (Extraits) J.O n 247 du

Plus en détail

Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires

Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires Applicable au 1 er janvier 2006 Objectif : Etablit les règles générales en matière d hygiène, est directement applicable

Plus en détail

A.T.S.E.M. -Note de service n 91-065 du 11 mars 1991 (BO no 1 2 du 21 mars 1991)

A.T.S.E.M. -Note de service n 91-065 du 11 mars 1991 (BO no 1 2 du 21 mars 1991) A.T.S.E.M. Le statut très particulier des ATSEM conduit les directrices(teurs) des écoles maternelles à travailler en étroite collaboration avec le service du personnel des communes. En effet, les ATSEM

Plus en détail

Offre de formation. itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux. https://inscription.cnfpt.

Offre de formation. itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux. https://inscription.cnfpt. 2015 Offre de formation itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux Inscription en ligne aux stages https://inscription.cnfpt.fr/ Délégation régionale Basse-Normandie

Plus en détail

LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION

LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION La méthode HACCP olet 3 : Ressource documentaire 1 Exemples de protocoles (A1 à A5) 2 Exemples de fiches de contrôle (B1 à B4) Année : 2005-2006 A - 1 PROTOCOLE DE FABRICATION

Plus en détail

La transformation des petits fruits et l'inspection des aliments. Présenté par Sylvie Bujold inspectrice des aliments, chef d équipe 2013-10-30

La transformation des petits fruits et l'inspection des aliments. Présenté par Sylvie Bujold inspectrice des aliments, chef d équipe 2013-10-30 La transformation des petits fruits et l'inspection des aliments Présenté par Sylvie Bujold inspectrice des aliments, chef d équipe 2013-10-30 Plan de présentation Cadre légal Types et catégories de permis

Plus en détail

Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème

Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes Mais, que dois-je savoir? Pour rattraper un cours manquant, retrouve-le sur le site du collège dans la rubrique «enseignements» : http://colleges.acrouen.fr/courbet/spipuser/

Plus en détail

Pandémie : pas de fermetures de classes Évaluation de la situation au 13 novembre 2009

Pandémie : pas de fermetures de classes Évaluation de la situation au 13 novembre 2009 Erziehungsdirektion des Kantons Bern Direction de l'instruction publique du canton de Berne Amt für Kindergarten, Volksschule und Beratung Office de l'enseignement préscolaire et obligatoire, du conseil

Plus en détail

4. Comment la maladie est-elle transmise à l homme? 2. Les composantes des soins de santé primaires : 1. Qu est-ce que l Initiative de Bamako (IB)?

4. Comment la maladie est-elle transmise à l homme? 2. Les composantes des soins de santé primaires : 1. Qu est-ce que l Initiative de Bamako (IB)? GENERALITES SUR : SANTE et MALADIE SOINS de SANTE PRIMAIRES (SSP) INITIATIVE de BAMAKO (IB) Objectifs généraux Au terme de ce module de formation, les participants devraient être capables de: Comprendre

Plus en détail

Votre bébé a besoin de soins spéciaux

Votre bébé a besoin de soins spéciaux Votre bébé a besoin de soins spéciaux Ce guide se veut un document de référence afin de favoriser une meilleure compréhension de tous les aspects entourant la venue d un enfant prématuré ou malade. Il

Plus en détail

H A C C P. Hazard Analysis, Critical Control Point. Analyse des dangers, maîtrise des points critiques. Programme de formations.

H A C C P. Hazard Analysis, Critical Control Point. Analyse des dangers, maîtrise des points critiques. Programme de formations. H A C C P Hazard Analysis, Critical Control Point Analyse des dangers, maîtrise des points critiques Objectifs : L'HACCP est une norme de mise en œuvre destinée à évaluer les dangers, et, mettre en place

Plus en détail

COMMUNE DE GRESY-SUR-AIX

COMMUNE DE GRESY-SUR-AIX COMMUNE DE GRESY-SUR-AIX Marché public pour la restauration scolaire (du 01/09/2015 au dernier jour précédent la rentrée scolaire 2016, renouvelable une fois) Date et heure limite de réception des offres

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

Décrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous.

Décrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous. DEMARCHE HACCP EN CUISINE CENTRALE Alimentation GROSJEAN L, Vénissieux Juin 2010 Objectif La démarche HACCP (de l'américain Hazard Analysis Critical Control Point) est une méthode préventive visant à maîtriser

Plus en détail

Une pandémie d influenza...

Une pandémie d influenza... Une pandémie d influenza... Que feriez-vous avec seulement le 2/3 de vos effectifs? Ordre du jour Pandémie influenza Dr. Lucie-Andrée Roy, Santé publique Annick Bouchard, M.Sc.Env., Centre de sécurité

Plus en détail

CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES

CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES Compétence du socle : Compétence 6 : Les compétences sociales et civiques. Contribution attendue : Utiliser un produit chimique

Plus en détail

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier

Plus en détail

POLITIQUE DE BIOSÉCURITÉ

POLITIQUE DE BIOSÉCURITÉ Date d entrée en vigueur: Mai 2006 Remplace/amende: VRS-52/s/o Origine: Vice-rectorat aux services Numéro de référence: VPS-52 DÉFINITION Une substance biologique dangereuse se définit comme un organisme

Plus en détail

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses INTRODUCTION H.A.C.C.P. ou A.R.M.P.C. L Analyse des risques et maîtrise des points critique La nouvelle réglementation en matière d hygiène (ar. 09 mai 1995 et ar. 29 septembre 1997) oblige les responsables

Plus en détail

Désinfectez et dites adieu aux microbes et aux infections

Désinfectez et dites adieu aux microbes et aux infections Désinfectez et dites adieu aux microbes et aux infections P armi les activités régulières d un service de garde, il y a la désinfection des jouets 1. La technique que vous utilisez est-elle efficace? Les

Plus en détail

PROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES

PROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES PROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES Janvier 2009 TABLE DES MATIÈRES Page Préambule 3 1. Dotation en personnel 4 1.1 Compétences du personnel 4 1.2 Fonctions

Plus en détail

Mesures préventives suggérées afin d éviter une infestation dans l établissement

Mesures préventives suggérées afin d éviter une infestation dans l établissement MESURES DE PRÉVENTION POUR LES ÉTABLISSEMENTS OFFRANT DE L HÉBERGEMENT Les travailleurs œuvrant dans les établissements de santé ou communautaire offrant de l hébergement sont susceptibles d être confrontés

Plus en détail

FORMULAIRE D AUTO-EVALUATION POUR PATIENTS SLA

FORMULAIRE D AUTO-EVALUATION POUR PATIENTS SLA 1 FORMULAIRE D AUTO-EVALUATION POUR PATIENTS SLA Afin de donner un bon aperçu de mes possibilités et mes limitations à la DG Personnes handicapés, je coche ce que je peux faire ou ne plus faire. Ci-dessous

Plus en détail

ENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX

ENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX ENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX Bionettoyage REGARD A., LYON Juillet 2010 Il n'eiste pas " la technique", mais plusieurs techniques qui seront élaborées sous forme de mode opératoire en tenant compte des

Plus en détail

NOTICE : INFORMATION DE L'UTILISATEUR. DAKTOZIN 2,5 mg/150 mg pommade Nitrate de miconazole et oxyde de zinc

NOTICE : INFORMATION DE L'UTILISATEUR. DAKTOZIN 2,5 mg/150 mg pommade Nitrate de miconazole et oxyde de zinc NOTICE : INFORMATION DE L'UTILISATEUR DAKTOZIN 2,5 mg/150 mg pommade Nitrate de miconazole et oxyde de zinc Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des

Plus en détail

FICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS

FICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS 01. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIÉTÉ Nom commercial Code produit Usage envisagé LAMB97201 A UTILISER COMME INSECTICIDE UNIQUEMENT Le produit doit être utilisé conformément à l'étiquette Apparence

Plus en détail

Vulcano Pièges Fourmis

Vulcano Pièges Fourmis FDS Conforme au règlement 1907/2006/CE et 1272/2008/CE 16-12-10- Page 1/5 FICHES DE DONNEES DE SECURITE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Produit : Utilisation : Fournisseur : Vulcano Pièges

Plus en détail

ENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES

ENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES 1 ENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES A. NETTOYAGE COURANT Il est effectué: en dernier lieu, Idéalement ½ heure minimum après la réfection du lit. en

Plus en détail

Entretien des différents locaux

Entretien des différents locaux Fiche Pratique Entretien des différents locau Il n'eiste pas " la technique", mais plusieurs techniques qui seront élaborées sous forme de mode opératoire en tenant compte des contraintes du contete. Cependant,

Plus en détail

REHABILITATION DE LA FRICHE INDUSTRIELLE DE L ESTAQUE. Surveillance médico-professionnelle des entreprises intervenantes

REHABILITATION DE LA FRICHE INDUSTRIELLE DE L ESTAQUE. Surveillance médico-professionnelle des entreprises intervenantes REHABILITATION DE LA FRICHE INDUSTRIELLE DE L ESTAQUE Surveillance médico-professionnelle des entreprises intervenantes Dr BAJON-THERY Dr COURJARET Dr SURET Dr DEWITTE Dr MICHOT Surveillance médico-professionnelle

Plus en détail

Questionnaire Médical

Questionnaire Médical Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant

Plus en détail

Sommaire de la séquence 7

Sommaire de la séquence 7 Sommaire de la séquence 7 De tout temps, l Homme a été frappé par des maladies mortelles qui décimaient des populations entières lors d épidémies connues comme la peste ou le choléra. Malgré ces fléaux,

Plus en détail

Annexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité

Annexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité Référence : PT/HYG/003-C Page :Page 1 sur 15 Objet : - Permettre de dispenser des soins de qualité dans un environnement maîtrisé (garantie de propreté visuelle et bactériologique). - Eviter la propagation

Plus en détail

Résumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives

Résumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,

Plus en détail

FICHE DE DONNEE SECURITE

FICHE DE DONNEE SECURITE Degy Anti-fourmis 28/03/12 page1/6 FICHE DE DONNEE SECURITE 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PREPARATION ET DU FOURNISSEUR Désignation commerciale: DEGY ANTI-FOURMIS Utilisation de la préparation : Produit

Plus en détail

Recommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation

Recommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation Réanimation 2002 ; 11 : 250-6 2002 Éditions scientifiques et médicales Elsevier SAS. Tous droits réservés S1624069302002414/FLA RECOMMANDATIONS Recommandations des experts de la Société de réanimation

Plus en détail

Fiche résumée : AIDE À DOMICILE

Fiche résumée : AIDE À DOMICILE Fiche résumée : AIDE À DOMICILE Aide ménagère Auxiliaire de vie Auxiliaire de vie sociale Auxiliaire familiale Employé familial Assistant de vie aux familles Assistant de vie dépendance Aide aux personnes

Plus en détail

LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE

LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE Tous les jours, des milliers de Néo-Brunswickois travaillent près de produits chimiques dangereux. Même si

Plus en détail

Les risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013

Les risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013 Les risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013 Principaux risques professionnels Risques liés aux manutentions /mobilisation de personnes, lombalgie, TMS Déplacements, mobilisation de personnes

Plus en détail

FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE

FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE REFERENTIEL DE CAPACITE DE L OPERATEUR EN RESTAURATION COMMERCIALE (annexe II de l arrêté du 5 octobre 2011) Conseils d utilisation: Vous pouvez suivre la

Plus en détail

Infection par le VIH/sida et travail

Infection par le VIH/sida et travail Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage

Plus en détail

PEDICULOSES PARASITOSES. Hélène DALMAS

PEDICULOSES PARASITOSES. Hélène DALMAS PEDICULOSES PARASITOSES Hélène DALMAS Les pédiculoses (poux), la gâle sont dues à une infestation de l homme par des parasites. Ile se transmettent par contact avec une personne atteinte. Ils sont surtout

Plus en détail

Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard

Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard Guide Romand pour la prévention des infections liées aux soins 1 Préambule Ce document est destiné à tous les professionnels travaillant dans les structures

Plus en détail

Fiche de données de sécurité

Fiche de données de sécurité Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION

Plus en détail

MODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application :

MODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application : 1 / 14 Prénom / Nom Date, signature Rédacteur : Tony Jamault Vérificateur : Anthony Loussouarn Approbation : Isabelle Calard Table des matières 1 OBJECTIF DU MODE OPERATOIRE ET DOMAINE D APPLICATION...

Plus en détail

Fiche de données de sécurité Tuff-Temp Plus Temporary Crown and Bridge Material 1.0 Nom Commercial et Fabricant

Fiche de données de sécurité Tuff-Temp Plus Temporary Crown and Bridge Material 1.0 Nom Commercial et Fabricant 1.0 Nom Commercial et Fabricant 1.1 Nom commercial 1.2 1.2.2 1.2.3 Application SIC Catégorie 1.3 Fabricant PULPDENT Corporation 80 Oakland Street P.O. Box 780 Watertown, MA 02472 USA 1.4 Téléphone en cas

Plus en détail

ENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX 3.08

ENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX 3.08 ENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX 3.08 Il n'eiste pas " la technique", mais plusieurs techniques qui seront élaborées sous forme de mode opératoire en tenant compte des contraintes du contete. Cependant,

Plus en détail

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3 Nr. Article- Produit : 48785 Page: Page 1 En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032 Zürich; Tél. des Urgences: ( jour et nuit) 145 ou +41 (0)44 251 51 51.

Plus en détail

MESURES PRÉVENTIVES Pour les travailleurs qui peuvent entrer en contact avec des punaises de lit.

MESURES PRÉVENTIVES Pour les travailleurs qui peuvent entrer en contact avec des punaises de lit. MESURES PRÉVENTIVES Pour les travailleurs qui peuvent entrer en contact avec des punaises de lit. Introduction Au cours de la dernière décennie, il y a eu une augmentation exponentielle du nombre d infestation

Plus en détail

fientes dans votre lieu de travail? Méfiez-vous!

fientes dans votre lieu de travail? Méfiez-vous! fientes Des de pigeon dans votre lieu de travail? Méfiez-vous! Des cas de maladies ont déjà été rapportés chez des travailleurs dont les lieux de travail étaient souillés par des fientes de pigeon. Apprenez

Plus en détail

Module 6 Envois de matières infectieuses réfrigérés avec de la glace carbonique

Module 6 Envois de matières infectieuses réfrigérés avec de la glace carbonique Module 6 Envois de matières infectieuses réfrigérés avec de la glace Aperçu Page 2 de 28 Emballages appropriés Marquage et étiquetage Documentation exigée Exercice: emballage en présence de glace Page

Plus en détail

Pour la création d une maison d assistants maternels

Pour la création d une maison d assistants maternels CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Mars 2011 CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Le Code de l Action Sociale et des Familles

Plus en détail

Les Infections Associées aux Soins

Les Infections Associées aux Soins Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999

Plus en détail

SECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99.

SECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99. FICHE TECHNIQUE SANTE-SECURITE Selon la règlementation (CE) n 1907/2006 Date de la modification: 07/10/14 www.restek.com SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise

Plus en détail

HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE

HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE Dr Erick KEROURIO DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS DE L ESSONNE Le cadre réglementaire LA RESTAURATION COLLECTIVE Notion de «clientèle» captive

Plus en détail

1 - PERSONNEL ET RATIO

1 - PERSONNEL ET RATIO l objet d une inspection par le ministère de la Famille et des. Il s agit d un aide-mémoire utile pour l amélioration continue de la 1 - PERSONNEL ET RATIO Ratio éducatrice/enfants de 1 pour 5 pour les

Plus en détail

COMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE

COMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE COMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE Client : JEAN CUISTOT TRAITEUR 31 RUE DE L 'OCEAN 17510 CHIVES jeancuistot.traiteur@club-internet.fr Tél. 05 46 33 64 21 Date de l'examen : 28-oct-2013 Technicien :

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe

Plus en détail

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:

Plus en détail

HABITATION LES MÉANDRES IMMEUBLE A 2291, rue des Bienfaits Québec. RÈGLEMENT D IMMEUBLE Un Toit en Réserve de Québec inc.

HABITATION LES MÉANDRES IMMEUBLE A 2291, rue des Bienfaits Québec. RÈGLEMENT D IMMEUBLE Un Toit en Réserve de Québec inc. HABITATION LES MÉANDRES IMMEUBLE A 2291, rue des Bienfaits Québec RÈGLEMENT D IMMEUBLE Un Toit en Réserve de Québec inc. 1. Entretien du logement L entretien normal du logement est aux frais de l occupant.

Plus en détail

: Raid Aérosol Fourmis Araignées Cafards

: Raid Aérosol Fourmis Araignées Cafards 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE Fiche Nom du produit Utilisation de la substance/préparation : : Insecticide Société : SC Johnson S.A.S. B.P. 30606 95004 - Cergy

Plus en détail

BRICOLAGE. Les précautions à prendre

BRICOLAGE. Les précautions à prendre BRICOLAGE Les précautions à prendre Chaque année, près de 300 000 personnes arrivent aux Urgences à la suite d un accident de bricolage et/ou de jardinage. Respecter quelques règles simples de prévention

Plus en détail

évaluation des risques professionnels

évaluation des risques professionnels évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire

Plus en détail

Conditions de réservation et Tarifs

Conditions de réservation et Tarifs LE DOMAINE DE LA FERME DE GRISIEN DESCRIPTION DES LIEUX Conditions de réservation et Tarifs Avec la réservation de la salle (le week-end) sont automatiquement compris dans la location : l office, le vestiaire,

Plus en détail

SOFTSOAP LIQUID HAND SOAP PUMP SEA MINERAL / SAVON HYDRATATANT POUR LES MAINS POMPE MINERAL MARIN

SOFTSOAP LIQUID HAND SOAP PUMP SEA MINERAL / SAVON HYDRATATANT POUR LES MAINS POMPE MINERAL MARIN SECTION 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Nom du produit : SOFTSOAP LIQUID HAND SOAP PUMP SEA MINERAL / SAVON HYDRATATANT POUR LES MAINS POMPE MINERAL MARIN Numéro de la FS 200000028817 No.-CAS

Plus en détail

L entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?

L entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel? L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

Liste de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs

Liste de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs Bureau du confinement des biorisques et de la sécurité Office of Biohazard, Containment and Safety Direction générale des sciences Science Branch 59, promenade Camelot 59 Camelot Drive Ottawa ON K1A 0Y9

Plus en détail

Fiche de données de sécurité

Fiche de données de sécurité Produit TRANSOIL 140 Page 1/6 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Non concerné 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA

Plus en détail

Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006

Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006 Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006 La prévention des AES au Centre Hospitalier Lyon Sud HCL, au travers de 2 expériences de terrain réalisées en 2005 1 Origine de la démarche : Prévention des

Plus en détail

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement

Plus en détail