La mobilité résidentielle et sociale des ménages qui quittent les quartiers Politique de la Ville

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1 Agence d urbanisme pour le développement de l agglomération lyonnaise Observatoire partenarial Cohésion sociale et territoriale Mai 2013 La mobilité résidentielle et sociale des ménages qui quittent les quartiers Politique de la Ville Enquête habitants Cahier n 5 Sommaire Rappel de la problématique... 2 A quel moment partir? Une étape du cycle de vie... 3 Pourquoi partir? La quête de nouvelles conditions de vie... 5 Ce qui rend possible le départ? Les ressources mobilisées... 8 En guise de conclusion... 9 La démarche Fresque murale place de la Paix à Pierre-Bénite - Cité de la Création

2 Rappel de la problématique Au plan national, la mobilité résidentielle est plus faible en ZUS que dans les unités urbaines (données INSEE, 2006)*. Ce constat est confirmé dans l agglomération lyonnaise pour les locataires du parc locatif social public : en 2009, la mobilité dans le parc HLM est de 8,3% dans les quartiers Cucs de priorité 1, contre 9,3% dans l agglomération lyonnaise. Cette plus faible mobilité résidentielle des habitants des quartiers Politique de la Ville s explique à la fois par leurs faibles ressources**, alors que le coût du foncier et des loyers dans le secteur privé ne cesse d augmenter, et la difficulté à obtenir un logement par mutation dans le logement social. De plus, depuis 2005, la baisse de la mobilité dans l ensemble du parc HLM de l agglomération lyonnaise a été fortement lié à l impact des démolitions dans les 12 sites en renouvellement urbain (près de ménages relogés selon les principes de la charte du relogement d agglomération signée en 2006). L enquête qualitative réalisée auprès d une vingtaine de ménages a analysé les flux en partance de ces quartiers : quels sont les habitants qui quittent le logement occupé en ZUS? après combien d années passées dans ce logement? Pour quelles raisons? Dans quel quartier (ou commune) partent-ils et dans quel type de logement? Une partie des habitants de logements sociaux quitte leur logement pour en occuper un autre à nouveau situé en Zus (dans le même quartier, un autre quartier de la même commune, une autre commune). Le maintien en ZUS n est pas simplement le résultat de contraintes : l attachement au lieu intervient indéniablement dans la décision de continuer à vivre dans le même environnement résidentiel. Ces quartiers ne représentent pas une voie sans issue dont il n est pas possible de partir. Une autre partie des habitants de logements sociaux quitte les quartiers Zus pour un logement en location (HLM, locatif privé) ou pour accéder à la propriété dans un autre quartier hors ZUS de la commune ou de l agglomération. L analyse de ces départs permet également de déterminer quel est l impact des politiques urbaines sur le projet résidentiel des habitants et, le saisissant mieux, de favoriser à la fois une plus grande fluidité des mobilités et de meilleures conditions de vie aux habitants de ces quartiers. Ainsi, l étude des mobilités résidentielles, et ce qu elles révèlent des conditions sociales sous-jacentes, donne accès à une meilleure connaissance des processus à l œuvre dans les quartiers ZUS. Toutefois, malgré ces blocages, une partie des habitants des zones urbaines sensibles quitte leur logement et part vivre dans un autre quartier, hors ZUS pour certains. Les résultats de l enquête-test, réalisée en 2012, permettent de disposer de quelques pistes d analyse. * ZUS France métropolitaine «Ainsi dans les ZUS, 35,4 % des personnes n habitaient pas le même logement cinq ans avant, contre 37,4 % dans les unités urbaines englobantes» in La population des zones urbaines sensibles, Insee Première, n 1328, Décembre 2010, p 3. ** Rappelons que le revenu annuel moyen de la population des Zus s élève à 56 % de celui de leur unité urbaine en La part des ménages fiscaux non imposés en Zus (54 %) demeure beaucoup plus importante qu ailleurs (38 % en France métropolitaine). [voir revenus_des_habitants.pdf]. De même le revenu médian des habitants de ces quartiers ZUS est sensiblement plus faible que dans les autres unités urbaines. Dans les quartiers en Zus de l agglomération lyonnaise, le revenu médian est deux à trois fois inférieur à celui du reste de l agglomération lyonnaise (1 624 /mois en 2009), par exemple : 698 /mois aux Minguettes. Comment évolue la mobilité dans le parc HLM des quartiers politique de la ville de l agglomération lyonnaise? Evolution du taux de mobilité dans le parc HLM 11,1% 8,9% Agglomération 8,3% 8,9% 9,5% 9,3% 9,1% 8,2% 8,3% 8,3% Total quartiers priorité Evolution des taux d entrées et de sorties (moyenne des 4 GPV) En 2009, la mobilité résidentielle dans le parc HLM est plus faible dans les quartiers Cucs de priorité 1 que dans l agglomération lyonnaise (8,3 % contre 9,3 %). La diminution des relogements à la suite des démolitions dans les sites en renouvellement urbain semble avoir généré une stabilité de la mobilité dans l agglomération en Dans les quatre sites en Grand Projet de Ville (GPV), Vaulx-en-Velin, Les Minguettes, La Duchère à Lyon et Rillieuxla-Pape Ville nouvelle, après une forte baisse de la mobilité entre 1999 et 2006, la mobilité se stabilise les trois dernières années ( ). En 2009, les taux de sorties du parc HLM restent plus élevés que les taux d entrées en raison des dernières opérations de démolition. La remise en location de logements gelés pour travaux peut aussi expliquer la hausse des taux d entrées. 15% 14% 13% 12% 11% 10% 9% Taux de sorties 8% 7% 6% Taux d entrées 5% I La mobilité résidentielle et sociale des ménages qui quittent les quartiers Politique de la Ville - Cahier n 5

3 A quel moment partir? Une étape du cycle de vie La majorité des ménages quitte les quartiers de la politique de la ville Sur un total de 18 ménages, 12 ménages ont quitté le quartier Cucs ou ZUS dont 8 sont restés dans l agglomération lyonnaise. Parmi ces 12 ménages sortants, 4 ont effectué une mutation dans le parc HLM, 4 ont emménagé dans un logement locatif privé, 3 ont accédé à la propriété et 1 est hébergé. Parmi les 6 ménages qui sont restés en quartiers Cucs/Zus, 2 d entre eux ont changé de quartier et ont accédé à la propriété, les 4 autres ont effectué une mutation interne dans le parc HLM au sein du même quartier ou pour un autre quartier Cucs. Le futur logement : statut d occupation et lieu de résidence Futur statut d occupation Quartier Cucs ou ZUS dans l agglomération lyonnaise Futur lieu de résidence dans l agglomération lyonnaise Hors quartiers Cucs et Zus hors de l agglomération Locataire HLM Locataire secteur privé Accédant à la propriété Hébergé Total Total Total Source : Résultats de l enquête Collège coopératif Rhône-Alpes Trois catégories de ménages ont été distinguées : les jeunes ménages ; les familles ; les retraités. Elles combinent à la fois des variables d âge, de taille des ménages et de situation familiale. Une étape du cycle de vie De manière générale, les différentes étapes du cycle de vie sont propices aux changements résidentiels (emménager dans le premier logement autonome, se mettre en couple, naissance des enfants, etc.). La dédite d un logement HLM permet de retrouver ces principales étapes. Dans le cas des jeunes ménages (3 entretiens), le projet de déménagement correspond au projet d une mise en couple et se déroule le plus souvent en dehors des quartiers Politique de la Ville, tout en demeurant locataires (HLM, privé) ou hébergés. M. Arnaud, 32 ans, célibataire, de nationalité française, né en Picardie, quitte un quartier Cucs pour une maison en location dans le secteur privé M. Arnaud est arrivé à Lyon à 21 ans, avec un bac + 2 en informatique en poche, seul et sans ressources après avoir rompu avec sa famille qui vit en Picardie. Après six mois d errance en tant que SDF, puis six mois en foyer, il occupera deux logements HLM en Cucs pendant 3 ans puis 6 ans. Il a su utiliser son passage dans ces quartiers comme tremplin pour poursuivre ses études en cours du soir et obtenir un niveau Bac + 4. Il occupe aujourd hui un poste d analysteprogrammeur-développeur dans une entreprise de la grande banlieue de Lyon. Ce logement social lui a permis aussi de faire des économies, dans le but d acheter un bien, plus tard, pour se rassurer et pour «ne pas tomber dans les travers du début». Son projet de déménagement actuel s est fait avec sa compagne, de nationalité roumaine qu il connaît depuis trois ans. Cette dernière, également informaticienne, vit en France depuis 12 ans. Après trois ans où chacun avait son appartement, le couple aspire aujourd hui à vivre ensemble et à sortir de Lyon pour habiter à la campagne. Ils emménagent dans une maison en location dans un lotissement autour d un village du Nord-Ouest de l agglomération lyonnaise. La mobilité résidentielle et sociale des ménages qui quittent les quartiers Politique de la Ville - Cahier n 5 I 3

4 Fresque murale place de la Paix à Pierre-Bénite Cité de la Création M. et Mme Sega, la trentaine, un enfant, responsable commercial dans la restauration passe d un logement HLM en Zus à un logement HLM (1% patronal) dans un quartier plus central. M. Séga, 30 ans, habite un T2, 46m² sans balcon. Il y vit avec sa femme, 27 ans et sa fille, 9 mois. Son logement se situe sur un quartier Cucs (catégorie1). L arrivée du bébé pousse ce couple Sénégalais à chercher un appartement plus spacieux dans un quartier tranquille. Il trouve un logement locatif social par le biais du 1% patronal dans un quartier plus proche du centre de l agglomération. C est son choix. Il ne part pas du logement locatif public. Il rejoint un autre bailleur social qui lui propose une construction neuve. Dans les familles (10 entretiens), deux types de motifs incitent au départ : l arrivée des enfants qui dispose, d une part, à prendre un logement plus grand, d autre part, à choisir un environnement moins dégradé, dans lequel les problèmes sécuritaires apparaissent absents. D autres motifs sont également évoqués : une nouvelle mise en union après un divorce ou une séparation, le changement d école en primaire, à l entrée du collège ou du lycée. Dans la majorité des cas, ces familles quittent les quartiers Politique de la Ville, tout en continuant pour certaines à être locataires d un logement social. Les autres accèdent à la propriété ou, moins fréquemment, louent dans le secteur privé en collectif pour accéder à un logement plus proche du centre de l agglomération ou une maison individuelle dans une commune de deuxième couronne. L espace (T3 au lieu d un T2), le confort (du parquet dans les chambres), le projet de pouvoir installer une cuisine intégrée le séduisent. Sa situation financière qui s est améliorée depuis quatre ans rend ce projet réalisable. A ce jour, le salaire de monsieur (responsable commercial dans une chaîne de restauration) constitue le principal revenu du ménage. Mme Séga, ayant suivi des études dans la même orientation, pense chercher du travail sous peu. Cette perspective ouvre l horizon de ce couple vers un projet futur, d accès à la propriété. La sécurité résidentielle pour leur fille, dans sa future vie d étudiante, est un élément moteur de mobilité sociale : «Elle ne sera pas dans la galère des étudiants comme on connaît!» Parmi les retraités (5 entretiens), le déménagement se fait soit en dehors des quartiers ZUS et en privilégiant le secteur privé ou l accession à la propriété (une personne va occuper sa résidence secondaire). Soit, il est souvent motivé par des raisons de santé, leur projet étant d obtenir un logement plus adapté (étages inférieurs, accessibilité), les personnes déménagent alors au sein du même quartier. Mme Rose, 60 ans, nationalité française, née en Martinique, divorcée, mère de 3 enfants majeurs, vit seule. Métier : auxiliaire de vie, entrecoupé par des périodes de RMI, depuis 2005 en invalidité. Mme Rose occupe depuis 10 ans un T3, au dizième étage d une tour d un quartier en Zus. Elle a recherché un autre logement en raison de ses difficultés à se déplacer du fait de sa maladie, associées au fait que l ascenseur est très souvent en panne. Aidée par l assistante sociale de l hôpital, elle obtient, après plusieurs demandes, un appartement dans le même immeuble, au premier étage, ayant eu connaissance du départ du locataire. Ce déménagement constitue une amélioration en termes de mobilité physique, mais Madame Rose n est pas complètement satisfaite car le nouvel appartement ne dispose pas d un balcon et elle ne peut donc pas exercer sa passion, cultiver ses plantes. Par ailleurs elle se plaint de l humidité et du manque d isolation thermique de son nouvel appartement. (Mme Rose, 60 ans, nationalité française, née en Martinique, divorcée, mère de 3 enfants majeurs, vit seule. Métier : auxiliaire de vie, entrecoupé par des périodes de RMI, depuis 2005 en invalidité). Le futur statut d occupation selon la catégorie de ménages Catégorie de ménages Locataire HLM Locataire secteur privé Accédant à la propriété Hébergé Jeune ménage Famille Retraité Total Total Source : Résultats de l enquête Collège coopératif Rhône-Alpes 4 I La mobilité résidentielle et sociale des ménages qui quittent les quartiers Politique de la Ville - Cahier n 5

5 Pourquoi partir? La quête de nouvelles conditions de vie La recherche d un cadre résidentiel plus tranquille Dans le cas des jeunes ménages et des familles, le déménagement s inscrit le plus souvent dans le projet d obtenir de meilleures conditions de vie : - un logement plus adapté à l évolution de la taille des ménages, c est-à-dire un logement plus grand, permettant à chaque enfant d avoir sa chambre, - dans un cadre résidentiel plus agréable avec moins de problèmes de voisinage, d insécurité, de dégradations des biens matériels ; renvoyant à ce qui est habituellement qualifié de sentiment d insécurité, voire à des expériences particulières d agression. Pour les retraités, l amélioration des conditions de vie correspond principalement au projet d avoir un lieu de vie plus paisible pour leurs «vieux jours», qui peut offrir comme autre avantage d être plus proche de leurs enfants. Quand ils restent dans le même quartier, l accès à un logement qui procure un plus grand confort de vie (logement en rez-dechaussée, avec ascenseur ) est lui aussi assimilé à une amélioration des conditions de vie. Le souhait de changer d école La scolarisation des enfants apparaît aussi comme un moment capital, incitant ces familles à rechercher un cadre moins marqué par les difficultés. Elles craignent en effet que l environnement du logement HLM en ZUS nuise à la qualité de la scolarité de leurs enfants, leurs possibilités d orientation, et plus largement d épanouissement. Monsieur Gilles, la quarantaine, français, séparé, un fils de 15 ans, quitte un logement locatif social en quartier Zus (durée d occupation : 10 ans) pour un autre logement social dans l Ouest lyonnais avec sa nouvelle compagne. Diplôme : CAP de boucher, mais exerce le métier de découpeur sur commande numérique M. Gilles a toujours vécu dans ce quartier Zus où il occupe depuis 10 ans un T3 de 77 m². «L appartement en lui-même : très bien! Au niveau de la superficie, de grandes chambres. Toute l après-midi, j avais le soleil. Très bien exposé. Pour ça, on a rien à dire. [ ] On était excessivement bien chauffé. [ ] Avec tout ce qu on a à disposition [ ], l espace vert qu on a est quand même énorme! Ils s rendent pas compte, les gens, d la chance qu ils ont». Depuis quelques années, il subit des troubles de voisinage, notamment «la voisine Akila, Anis, la trentaine, français de parents immigrés d Algérie, famille de 3 enfants qui quitte un logement HLM en quartier Cucs (durée d occupation : 7 ans) pour un logement locatif privé dans un quartier du centre de l agglomération* Les deux conjoints de ce couple travaillent en CDI et occupent un emploi classé parmi les professions intermédiaires (obtenu après un diplôme bac +5). A l arrivée de leur troisième enfant, ils devaient impérativement trouver un logement plus grand. Plusieurs propositions leur ont été faites par le bailleur qu ils ont toutes refusées en raison du contexte résidentiel, les décidant à partir dans le secteur privé. «Au début [lors de l entrée dans leur premier logement] on n était pas très conscient de l importance de l environnement [ ] de l image que l on dégage par que j avais, à 2 H 30 du matin, tout le monde dormait, elle mettait la musique à fond». Il décide de déménager après que son fils se soit fait agresser à la sortie de l école «Mon fils, il rentrait dans mon allée pour venir m voir, il s est fait attraper par deux jeunes [silence] ils lui ont pris donc ses affaires d école, son carnet de liaison, c est gratuit quoi! Ils l ont laissé, puis allez savoir pourquoi?» A présent il quitte non sans nostalgie son quartier. Il a emménagé avec sa nouvelle compagne dans un logement social, plus petit (T3) dans une commune de l Ouest lyonnais hors Cucs /Zus. Il est plus éloigné de son travail, de ses lieux de loisirs, mais c est plus tranquille : «Ici on peut laisser sa trottinette ou son VTT en pied d immeuble sans l attacher», «les gens vous disent bonjour, vous respectent [ ]. A 17 km, on vit sur une autre planète». rapport au logement [occupé] [ ] l appartement, l environnement, c est une partie de notre identité, ça parle de nous [à propos du logement qu ils vont occuper] ça nous ressemble un peu plus [ ], les enfants vont aussi changer d école, c était un critère aussi [ ] c est le critère n 1, là on a trouvé un appartement avec une école de proximité, publique, qui nous convient, enfin qui nous ressemble». * Le mémoire, intitulé La question de l ascenseur social dans les quartiers prioritaires de l agglomération lyonnaise. Enquête-test auprès des sortants du logement social, a été réalisé par S. Epalle, P. Labalme, F. Lesueur, R.-M. Maynadier, M.-C. Scotti, étudiants préparant le Diplôme d Etat d Ingénierie Sociale. Ce travail a été encadré par N. Ponton-Frenay de l Agence d urbanisme et auquel ont été associés V. Mazoyer, directeur de Grand Lyon Habitat et E. Santelli (sociologue, Centre Max Weber, Université de Lyon). La mobilité résidentielle et sociale des ménages qui quittent les quartiers Politique de la Ville - Cahier n 5 I 5

6 Fresques du centenaire de Lyon 7e - extrait Tom Viguier - Cité de la Création Une amélioration de la situation professionnelle permet d envisager un changement résidentiel Un autre registre d explication est à rechercher du côté du statut professionnel des ménages interrogés : appartenant très majoritairement aux classes populaires (professions employés et ouvriers), le changement résidentiel représente une voie d ascension sociale. Une manière de «jouer» sur son identité sociale est de changer, d améliorer son statut résidentiel en devenant propriétaire, locataire dans le secteur privé, ou pour le moins en allant vivre dans un quartier moins dégradé. Le déménagement s apparente toujours à la quête d une amélioration subjective de ses conditions de vie. Parvenus à une étape de leur cycle de vie, ces ménages recherchent à travers leur déménagement à vivre dans un lieu (logement et/ou quartier) plus conforme à leurs attentes, aux modes de vie qu ils ont envie d avoir. Il est attendu du nouveau lieu habité qu il réponde à cette attente : être en adéquation avec leur (nouvelle) situation sociale. A contrario, on peut lire le projet de déménager comme le souci de quitter un lieu qui ne correspond plus au lieu dans lequel ils ont envie de vivre. Ceci est probablement accentué par l effet de déclassement que l on constate auprès des ménages rencontrés. Plusieurs occupent une position professionnelle en inadéquation avec le niveau de diplôme obtenu. Cela peut s expliquer par leur condition d immigrés qui, une fois sur le territoire français, n ont pu obtenir un statut professionnel équivalent à leur qualification. Notons que dans plus de la moitié des ménages, il y a au moins une personne qui a un passé migratoire (étant lui-même immigré ou étant un descendant d immigrés), provenant principalement d Europe et du Maghreb. Couple, vivant en concubinage, la quarantaine, Français d origine algérienne et italienne, deux enfants, locataires d un T3 en quartier ZUS depuis douze ans, achète un appartement neuf T4 en première couronne Est M. et Mme Stefano occupent un logement HLM T3 spacieux (100 m²) avec leurs deux enfants de 11 et 12 ans dans un quartier Zus du centre de l agglomération bien desservi par les transports collectifs ce qui représente un avantage important pour leur vie professionnelle. Monsieur (diplômé d un CAP) travaille comme cuisinier depuis une dizaine d années avec des horaires décalés et rentre tard le soir. Ils souhaitent déménager pour plusieurs motifs : il manque une chambre : «pour que les enfants soient en autonomie car ils n ont pas du tout la même manière de fonctionner». L aménagement de la cuisine ne leur convient pas. Et ils ne souhaitent pas que les enfants continuent de grandir dans ce quartier : «je ne veux pas que les enfants restent à la maison, maintenant ils grandissent Ils ne sortent pas du tout dans le quartier et ne fréquentent pas, ils font que l école et maison». Et, le couple considère le quartier difficile à vivre, l immeuble s est dégradé et la population, le voisinage a changé : «On ne trouve pas de place pour garer la voiture le soir, c est toujours dégradant, c est toujours sale, il y a des gens qui traînent la nuit, aucun respect, pas bonjour, rien, on a rien à faire ici». Madame (diplômée d un CAP Brodeuse) a d abord travaillé dans son métier en industrie, puis depuis 3 ans dans des écoles maternelles en tant qu ATSEM. Elle obtient le CAP de petite enfance. Lorsqu elle réussit le concours d ATSEM à la Ville de Lyon, ils engagent leur projet d accession à la propriété avec l assurance que Madame a maintenant une sécurité de l emploi. Elle est satisfaite de son parcours professionnel qu elle a su adapter à la conjoncture. Compte tenu du coût des loyers, ils achètent un appartement neuf T4 de 85m² (plus petit), dans une commune de la première couronne Est, même si cela leur demande des sacrifices financiers. Ils engagent un long parcours avec les banques pour assurer le financement qu ils finissent par obtenir. Le fait de quitter le quartier est vécu comme un soulagement. 6 I La mobilité résidentielle et sociale des ménages qui quittent les quartiers Politique de la Ville - Cahier n 5

7 Le rapprochement de la famille Des ménages expriment fortement leur attachement aux valeurs familiales. La volonté d habiter à proximité de leur famille (parents ou fratrie) est quelquechose de fondamentale en termes affectifs, de solidarité et de ressources. C est d ailleurs principalement pour cette raison que des couples acceptent un premier logement provisoire, dans un quartier qu ils n ont pas choisi avec le projet d en partir rapidement. Pour ces ménages, la réussite de leur projet résidentiel permet de compenser parfois un déclassement professionnel mal vécu. M et Mme Driss, la trentaine, mariés, couple mixte : madame française (avec un père algérien), monsieur algérien, un enfant à naître, quittent un logement HLM en quartier Cucs (durée d occupation : 3 ans) pour un logement HLM neuf dans un autre quartier Zus de la même commune M. et Mme Driss (31 ans) se sont mariés il y a trois ans et ils ont accepté le logement social proposé car il était à proximité des frères et sœurs de Madame. M. et Mme étaient réticents à l idée d habiter dans ce quartier «réputé difficile». Dès son entrée dans ce logement et dans ce quartier, le couple avait donc pour projet d en partir. Cela leur a pris trois ans, au cours desquels le couple a formulé plusieurs demandes. La troisième proposition fut la bonne. Cette famille a alors concrétisé le projet d avoir un enfant. Madame ne souhaitait pas que leur enfant grandisse dans ce quartier, où elle voyait des enfants de très bas âge livrés à eux-mêmes. M. ne supportait plus le manque de place de parking pour son véhicule, notamment les jours de marché, ni les dégradations du logement et de l immeuble. Chacun aspirait à la tranquillité et au calme. C est donc avec énormément de soulagement qu ils accèdent aujourd hui à ce nouveau logement locatif social public toujours à Vaulx-en-Velin près de leur famille, mais dans un autre quartier plus agréable et dans un immeuble neuf (mi public-mi privé), sécurisé et calme. Le couple vit cette installation comme une ascension sociale, l accès à un nouveau mode de vie, même si leur nouveau logement est légèrement plus petit et plus cher. Ils occupent tous les deux un emploi qui ne correspond pas à leur formation : Madame, diplômée Bac + 3 en biologie, est chef de vente en CDI à plein temps. Monsieur travaillait dans l industrie pharmaceutique dans son pays d origine, il est actuellement ouvrier (CDI plein temps) dans une entreprise de métallerie. Il vit ce changement professionnel comme une régression par rapport à son dernier emploi. Fresques des Noirettes, Vaulx-en-Velin Cité de la Création La mobilité résidentielle et sociale des ménages qui quittent les quartiers Politique de la Ville - Cahier n 5 I 7

8 Ce qui rend possible le départ? Les ressources mobilisées Le niveau de revenu et un emploi stable (CDI, entrée dans la fonction publique) Si des facteurs enclenchent le projet de déménagement, certaines conditions doivent être réunies pour le rendre accessible. Dans le cadre des déménagements vers le secteur privé (4 ménages sur 18) et l accession à la propriété (5 ménages sur 18), le niveau de revenus est le principal critère. Ceci est particulièrement vérifié dans le cadre des jeunes ménages et des familles : l obtention d un CDI, l entrée dans la fonction publique ou la double activité dans le couple constituent la condition indispensable pour rendre possible la mobilité résidentielle. La fin de la précarité professionnelle et/ ou l augmentation des revenus représentent pour ces ménages la possibilité de partir : la mobilité résidentielle est bien l expression d une promotion sociale, ces ménages étant parvenus à obtenir une amélioration de leur situation économique. Dans le cas des retraités, le départ est rendu possible par la possession d un capital, sauf dans le cas des mutations internes dans le parc HLM. Couple, la trentaine, marié, français d origine algérienne, 3 enfants de moins de 6 ans, quitte un logement HLM en quartier Cucs (durée d occupation : 6 ans) pour acheter un appartement neuf dans un autre quartier Zus de la même commune Akmar, émigré d Algérie, avait un diplôme de type Bac +2 en architecture non reconnu en France. Pendant des années, il a cumulé «les petits boulots» : Il a été plongeur dans un restaurant collectif et avait débuté par trois heures de nettoyage par soir jusqu à cumuler un temps plein. Puis, petit à petit, il a fait ses preuves, il a arrêté le travail de plongeur puis le nettoyage, et maintenant il est chef d équipe. Il travaille dans la même entreprise que sa femme qui occupe également un emploi en CDI en tant que responsable d équipe de nettoyage. Aujourd hui, tous deux en CDI à temps complet, pouvant bénéficier d un prêt à taux 0% et du 1% patronal, ils décident d acheter un logement dans le cadre d un programme de construction à la Duchère. C est la promotion du mari qui permet de rendre possible le départ du logement HLM. Fresques du centenaire de Lyon 7e - extrait Tom Viguier - Cité de la Création Le rôle «moteur» de la femme Dans les entretiens, la capacité d anticipation, la projection dans l avenir sont souvent associées aux qualités de la conjointe qui s est mobilisée pour rendre possible ce départ. On constate aussi que les femmes sont souvent plus diplômées et consacrent plus de temps à la scolarité de leurs enfants. C est souvent sur elles que reposent les aspirations du foyer. Les ressources relationnelles et institutionnelles Des ressources relationnelles et institutionnelles doivent également pouvoir être mobilisées. Les premières reposent sur les liens familiaux (parents et frères et sœurs) et quelques amis proches, des voisins ou collègues de travail. Elles sont notamment très utiles pour avoir connaissance des possibilités de financement, accéder à l information quant aux logements disponibles, parfois pour être hébergé, bénéficier d un prêt d argent et, en amont, pour obtenir un emploi. Les secondes, les ressources institutionnelles, correspondent soit à une aide financière (comme dans le cas du 1% patronal), soit à l aide reçue pour réaliser les démarches administratives nécessaires à la constitution d un dossier de demande de mutation. Ce sont avant tout les assistantes sociales qui sont mentionnées comme apportant une aide décisive pour cette étape. 8 I La mobilité résidentielle et sociale des ménages qui quittent les quartiers Politique de la Ville - Cahier n 5

9 En guise de conclusion Bilan de l enquête habitants : des ménages quittent les quartiers politique de la ville en raison de l amélioration de leurs conditions sociales L ancienneté dans le logement HLM occupé dans un quartier Zus est extrêmement variable d un ménage à l autre. Toutefois, dans la plupart des ménages, le passage par un logement HLM en Zus est assimilé à une fonction «tremplin» qui est rétrospectivement très valorisée : ces ménages ont pu accéder à un logement qui a apporté un confort de vie fort appréciable (autonomie, taille et qualité du logement) mais, au terme de quelques années, et parce que leur situation sociale s est améliorée, ils aspirent à un autre cadre de vie. Ainsi, les individus qui en ont les moyens, parce qu ils disposent de ressources spécifiques et ont obtenu des salaires plus élevés et réguliers, décident de poursuivre leur parcours résidentiel en direction du parc privé (location ou accession) ou du parc social recherché (au sein de quartiers centraux, dans un beau bâti, etc.). La mobilité résidentielle apparaît clairement comme le support et l expression de l amélioration de leurs conditions sociales. La mutation interne est à ce titre aussi très prisée : donner satisfaction à la demande de ces ménages qui, soit ne disposent pas des ressources financières pour partir ou parce qu ils sont attachés à leur quartier, les engage dans une mobilité résidentielle synonyme de meilleures conditions de vie. Préparation de l enquête 2013 : un sondage à l échelle de l agglomération auprès de 400 ménages et des entretiens biographiques L objectif d une enquête par questionnaire auprès d un échantillon représentatif de ménages qui ont déposé leur dédite permettra de savoir si ces résultats sont généralisables à l échelle de l agglomération. Associant les principaux bailleurs de l agglomération, cette enquête procurera une connaissance fine des «ménages sortants» selon qu ils quittent les ZUS ou réalisent une mobilité interne dans le parc HLM. Est-ce les mêmes profils de ménages? Sinon, pour quelles raisons déménagent-ils? De quelles ressources disposent-ils? De même, qu est-ce qui distingue les ménages des quartiers qui disposent d un fort taux de mobilité de ceux dont les habitants partent le moins? Ont-ils les mêmes motivations? Vont-ils dans les mêmes lieux (secteur et statut résidentiels comparables)? Une telle enquête permettra d analyser les mutations internes au parc HLM (hors des quartiers Zus) et le rôle qu elles peuvent jouer dans la politique du peuplement de ces quartiers. Enfin, cette enquête constituera l amorce d une réflexion à poursuivre auprès des «ménages restants» afin de mieux appréhender leurs spécificités et les mettre en perspective avec les résultats des «ménages sortants». Sans attendre ce sondage, le travail d enquête par entretien biographique, en vue d obtenir un matériau qualitatif complémentaire, s est poursuivi en avec le concours des étudiants du collège Coopératif Rhône-Alpes. A terme, c est la connaissance de ces quartiers «Politique de la Ville» qui s en trouvera affinée. Fresques du centenaire de Lyon 7e Tom Viguier - Cité de la Création La mobilité résidentielle et sociale des ménages qui quittent les quartiers Politique de la Ville - Cahier n 5 I 9

10 La démarche L enquête par entretiens conduite en 2012 Les objectifs En vue de réaliser une enquête de grande ampleur auprès des ménages qui occupent un logement HLM dans l une des vingt-huit ZUS de l agglomération lyonnaise et qui déposent leur dédite (en vue de quitter le logement occupé) une étude exploratoire a été réalisée durant l année Elle a été confiée à des étudiants du Collège Coopératif en Rhône-Alpes et a permis d établir un certain nombre de constats*. L analyse de la vingtaine d entretiens recueillis a permis de mettre en avant les facteurs ayant favorisé le projet de déménagement et de dresser le profil des ménages qui ont quitté leur logement situé dans un quartier ZUS. Le terrain et sa méthodologie Avec l aide de Grand Lyon Habitat, un échantillon de 20 ménages a été constitué à partir de sa liste de dédites. Les fiches-adresses des individus habitant en quartiers Cucs ou ZUS ont été retenues. Sur un total de 225 dédites à la période considérée (février-mars 2012), 111 correspondaient à des adresses situées en ZUS ou Cucs (49 %). Parmi les 76 ménages avec lesquels un contact a été établi, 20 ont accepté de participer à l enquête. Il s agissait d un entretien qualitatif à leur domicile sur leur parcours résidentiel et professionnel (durée une à deux heures). L élaboration d un questionnaire pour le sondage à l échelle de l agglomération qui va être réalisé sur un an ( ) Sur la base des connaissances acquises, un questionnaire a été élaboré et sera passé au cours de l année 2013 auprès d un échantillon de locataires HLM habitant dans une ZUS de l agglomération. Son exploitation permettra de disposer de données statistiques sur les caractéristiques de ces habitants, les raisons de leur départ d un logement HLM en ZUS, comprenant ce qui l a motivé et rendu possible, la description du nouveau lieu de résidence. Profils des ménages enquêtés 55% des ménages se situent dans les tranches d âge entre 30 et 49 ans. Tranches d âge des 20 ménages enquêtés - de 30 ans ans ans ans 65 ans et Grand Lyon Habitat Cet organisme de logements locatifs sociaux publics compte logements locatifs sociaux dont en zone urbaine sensibles (47%). 90 % de son parc locatif social en Zus a été construit avant Le service de la mobilité résidentielle prend en charge les opérations de relogement et conduit une réflexion pour favoriser la mobilité résidentielle en interne. Grille d analyse des entretiens biographiques - Parcours logement (enfance, premier logement, déménagement) - Logement actuel (typologie, surface, statut occupation, durée de l occupation, loyer/ charges, avantages/inconvénients) - Le quartier actuel (avantages/inconvénients, évolutions relations de voisinage, ressources, environnement familial) - Motifs déménagement (raisons liées au logement, familiales et professionnelles, quartier) - Eléments déclencheurs du déménagement - Futur logement (typologie, surface, statut occupation, loyer/prix, adresse, type de quartier, environnement familial) - Evènements de vie marquants, - Trajectoire professionnelle (H/F), perceptions des personnes - Identification du ménage H/F : composition du ménage, nombre d enfants, âge, nationalité /origine, Niveau d études, formation professionnelle, métier, catégorie socioprofessionnelle, ressources) 10 I La mobilité résidentielle et sociale des ménages qui quittent les quartiers Politique de la Ville - Cahier n 5

11 Le niveau de formation va de pair avec l accès à l emploi et constitue également un facteur de mobilité résidentielle. Le niveau de formation sur l ensemble des ménages sortant interviewés est pour un tiers à Bac + 3 et plus, et en plus grand proportion chez les femmes. Les niveaux inférieurs ou équivalent au Bac sont représentatifs des diplômes ouvrant plus de facilité pour l accés à l emploi tel le CAP majoritairement chez les hommes pour le Bac professionnel majoritairement chez les femmes. Comparaison niveau de formation homme/femme Sortie avant la 3 e BEPC CAP BEP Bac profession. Bac général Bac +2 Bac +3 et + Non renseigné Niveau de formation de Madame Niveau de formation de Monsieur Total Total Niveau de formation de Madame Niveau de formation de Monsieur Total 7,1% 7,1% 28,6% 7,1% 7,1% 36,7% 7,1% 15,4% 23,1% 7,7% 23,1% 30,8% 7,4% 3,7% 18,5% 3,7% 14,8% 33,3% 3,7% Tri croisé entre le futur statut d occupation et le niveau de formation des ménages Sortie avant la 3 e BEPC CAP BEP Bac profession. Bac général Bac +2 Bac +3 et + Locataire HLM Locataire secteur privé Propriétaire Non renseigné Locataire HLM Locataire secteur privé Propriétaire 8,3% 8,3% 33,3% 16,7% 8,3% 25% 20% 40% 40% 12,5% 12,5% 12,5% 12,5% 25% 25% * Le mémoire, intitulé La question de l ascenseur social dans les quartiers prioritaires de l agglomération lyonnaise. Enquête-test auprès des sortants du logement social, a été réalisé par S. Epalle, P. Labalme, F. Lesueur, R.-M. Maynadier, M.-C. Scotti, étudiants préparant le Diplôme d Etat d Ingénierie Sociale. Ce travail a été encadré par N. Ponton-Frenay de l Agence d urbanisme et auquel ont été associés V. Mazoyer, directeur de Grand Lyon Habitat et E. Santelli (sociologue, Centre Max Weber, Université de Lyon). Rédaction Emmanuelle Santelli, sociologue, Centre Max Weber, Université de Lyon, Nicole Ponton-Frénay, sociologue, Agence d urbanisme pour le développement de l agglomération lyonnaise, avec l appui de Serge Epalle, Philippe Labalme, Françoise Lesueur, Rose-Marie Maynadier, Marie-Claire Scotti, étudiants du Collège coopératif Rhône-Alpes. Mise en pages: Marie-Pierre Ruch La mobilité résidentielle et sociale des ménages qui quittent les quartiers Politique de la Ville - Cahier n 5 I 11

12 Les travaux de l Observatoire partenarial Cohésion sociale et territoriale sont l expression d un partenariat entre la Communauté urbaine de Lyon et l Etat Communauté urbaine de Lyon, Sepal, Etat, Département du Rhône, Région Rhône-Alpes, Villes de Lyon, Villeurbanne, Vénissieux, Vaulx-en-Velin, Bourgoin-Jallieu, Tarare, Communautés d agglomération Porte de l Isère, ViennAgglo, Communautés de communes du Pays de l Arbresle, du Pays Mornantais, du Pays de l Ozon, de la Vallée du Garon, des Vallons du Lyonnais, Syndicats mixtes du Beaujolais, de la Boucle du Rhône, de l Ouest Lyonnais, des Rives du Rhône, du Scot du Bassin d Annonay, du Scot de la Dombes, du Scot des Monts du Lyonnais, du Scot Nord-Isère, du Scot Val de Saône-Dombes, Syndicat mixte pour l aménagement et la gestion du Grand Parc Miribel Jonage, CCI de Lyon, Chambre de métiers et de l artisanat du Rhône, Sytral, Epora, Ademe, Pôle métropolitain, Caisse des dépôts et consignations, Opac du Rhône, Grand Lyon Habitat. 18 rue du lac - BP Lyon Cedex 03 Tél Télécopie Directeur de la publication : Damien Caudron Référent : Nicole Ponton Frénay n.frenay@urbalyon.org Infographie : Agence d urbanisme

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