Infor Vie saine : toute la vérité sur le marché de la santé

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1 Infor Vie saine : toute la vérité sur le marché de la santé A l heure où le collectif Initiative Citoyenne s oppose vivement à la vaccination contre la grippe A H1N1, nous avons choisi de donner la parole à un vieux militant de la cause bio. «Activiste» bio-dynamiste de la première heure, Roger Acmanne, septante ans et menuisier à la retraite, est le créateur et principal animateur du périodique Infor Vie Saine. Sa dénonciation des dérives actuelles du business de la santé est sans appel! Par Dominique Parizel «C est une expérience très personnelle qui a déclenché ma perception des choses, précise d emblée Roger Acmanne, et m a sans doute finalement amené à créer Infor Vie Saine. Quand j étais enfant, entre cinq et huit ans, ma maman a souffert d une grave maladie de peau ; toutes les maladies de peau en même temps. Elle a eu la bouche et le tube digestif complètement à vif pendant trois ans et demi et en était véritablement impotente. Elle a été suivie par les plus grands spécialistes de la peau, dont un célèbre professeur qui était titulaire d une chaire à l université de Louvain. Il a tout essayé! C était le début de la pénicilline et elle a eu sept cent cinquante piqûres de pénicilline toutes les trois heures, nuit et jour Sans résultat. Après un très long traitement, ce professeur a dit à mes parents : écoutez, je ne veux pas vous extorquer de l argent, je ne veux plus venir. C était très bien de sa part, mais il a ajouté : dans des cas pareils, on a recours au plus vulgaire des charlatans!» Du pollen de fleurs à la bio-dynamie Peu de temps après cependant, le père de Roger Acmanne apprend que des cas similaires ont été guéris par un pharmacien de Marchienne-au-Pont. «Ma mère était intransportable, se souvient Roger. Quand on enlevait ses vêtements, les croûtes venaient avec. Sans la voir, ce pharmacien lui donne donc un traitement d un mois en lui disant, à la grande incrédulité de mon père, qu elle pourrait ensuite venir le voir. Et effectivement, un mois après, cela allait beaucoup mieux ; un cousin qui avait une voiture a pu la conduire et le traitement a ainsi pu se prolonger. Ma mère a été complètement guérie en assez peu de temps. Les cachets que lui donnait le pharmacien contenaient, en fait, des vitamines et des dépuratifs, essentiellement. Maman devait souffrir d une forme sophistiquée d intoxication. Et le pharmacien, qui était aussi apiculteur, savait encore recourir à une forme de médecine très naturelle Par la suite, mes parents prirent donc l habitude de donner son numéro de téléphone à des gens souffrant de toutes sortes de maladies de peau. Qui n a pas un cas d eczéma dans sa famille? Mais, un jour le pharmacien les a appelés, en leur disant : ne donnez plus mon numéro de téléphone à personne, je suis surveillé nuit et jour!» Toutes ces péripéties marquèrent beaucoup Roger qui, petit à petit, commença à s intéresser à d autres remèdes naturels.

2 «J étais très intéressé par la question du pollen de fleurs, dit-il, et j ai commencé à en prendre une cuillerée à soupe tous les matins, à jeun. J étais sujet au refroidissement, j avais des rhumes à répétition, des angines et des grippes. Après un mois seulement de ce traitement, je n ai plus rien eu du tout! Mon père, lui, avait une infection chronique de l oreille interne qui remontait à une scarlatine mal soignée dans son enfance. Depuis de nombreuses années déjà, il se rendait tous les mois chez le spécialiste ORL. Et celui-ci n est jamais arrivé à rien. Or, après seulement trois mois de traitement au pollen de fleurs, ses oreilles ont définitivement arrêté de couler!» Cette expérience avec un aliment non raffiné, non trafiqué par l Homme, incite Roger à lire d autres livres sur l alimentation. Progressivement, il se découvre un intérêt pour la biodynamie et participe à différents séminaires donnés par Xavier Florin. C était dans le milieu des années 70 Le doigt dans l engrenage «Xavier Florin parlait autant de botanique que d apiculture ou de fabrication de fromages, se souvient Roger Acmanne. Et tout cela était relié à la pédagogie, à la médecine, à l alimentation Il allait dans toutes les directions. J étais tellement impressionné par son enseignement que je suis allé suivre d autres séminaires en alimentation, en agriculture, en jardinage bio-dynamiques... J appris également, sur ces entrefaites, que le docteur Jean Pilette et sa femme souhaitaient créer une école Steiner, à Namur. Ils avaient assisté à un stage de médecine anthroposophique, à Dornach, où ils avaient conversé avec de jeunes médecins allemands qui les avaient convaincus de l importance de cet enseignement. Comme c était ce qu ils voulaient pour leurs trois filles, ils créèrent une association et demandèrent à Xavier de venir animer des conférences sur la pédagogie. Avec l appui de Léon Baré, dont la ferme venait juste de passer en bio-dynamie, nous en avons profité pour organiser trois conférences publiques, ainsi que des activités pratiques dans sa ferme de Balâtre. Pour faire la promotion de ces nouvelles activités, nous avons fait appel à Raymond Hauglustaine qui disposait du fichier qu un professeur de yoga de Beez lui avait confié. Et, afin d être à même de financer l envoi à toutes ces personnes, nous avons décidé de réaliser un périodique qui nous permettrait de payer moins de timbre. Ce fut un succès et c est comme cela que nous avons mis le doigt dans l engrenage...» Le petit groupe décide d abord d organiser une conférence publique chaque année. Puis, au bout de deux ans, les demandes étant nombreuses, il lance un séminaire d agriculture biodynamique, avec l aide de Xavier Florin! «Nous pouvions accueillir trente personnes, se souvient Roger, et nous avons eu soixante inscrits! Nous avons fini par organiser un stage tous les trois mois. Durant les deux premières années, nos activités étaient organisées sous l égide d une association qui s appelait Survie Belgique, dont Jean Pilette était le vice-président, et dont le président était un ancien officier NBC nucléaire, bactériologique et chimique qui était, par ailleurs, opposé au nucléaire Un jour, cet ancien militaire voulut porter plainte contre Jean Pilette, devant l Ordre des Médecins, en affirmant qu il tirait des profits illicites des conférences que nous organisions à Namur. Puis, il s en est également pris à moi. En réalité, il voulait écarter Jean Pilette car il avait appris qu il était médecin anthroposophe. Et, pour lui, l anthroposophie, c était le diable! Nous étions donc dans l impossibilité totale de continuer à collaborer avec Survie Belgique. A cette époque, face à de tels problèmes, nous avons même envisagé de constituer une régionale de Nature & Progrès»

3 La naissance d Infor Vie Saine «Sur les conseils de Léon Baré, nous avons finalement préféré rester totalement indépendants, poursuit Roger Acmanne, et nous avons rédigé les statuts d Infor Vie Saine, en une soirée, chez Jean Pilette, à Waret-la-Chaussée. C était en Le périodique n était alors que le programme des activités que nous organisions. Et il est d ailleurs resté gratuit pendant plusieurs années. Chaque fois que j avais une adresse de personne intéressée, je l ajoutais dans mon fichier et je lui adressais le périodique. A partir de ce moment-là, nous avons organisé un séminaire et une conférence publique chaque mois. La plupart du temps, nous avions le même animateur qui donnait sa conférence le vendredi soir, et nous avions le séminaire durant le week-end. Nous considérions que tout ce qui avait un rapport, proche ou lointain, avec la santé était intéressant à faire connaître au public. Nous n avions donc guère de limites et c est d ailleurs toujours le cas maintenant Ces conférences et ces séminaires ont duré pendant plus de dix ans ; nous faisions pratiquement tout à deux, Raymond Hauglustaine et moi. Mais, petit à petit, de nombreux groupes se sont créés un peu partout autour de nous, qui ont commencé à inviter les mêmes animateurs que nous. Nous avons donc connu une diminution progressive de la fréquentation de nos activités et nous avons même dû supprimer quelques séminaires. Comme La Maison de l Ecologie fonctionnait très bien, à ce moment-là, et qu ils étaient très motivés, nous nous sommes résolus à arrêter les conférences. Et comme le périodique s était progressivement étoffé sur la base de la modeste cotisation que nous demandions alors à nos membres, nous avons privilégié sa réalisation parce que nous estimions plus important de faire connaître, au grand public, des informations toujours largement occultées par les médias ordinaires. Tout ce que nous divulguons, au niveau de la santé, nuit à de gros intérêts : médecine, agriculture, lobbies de l énergie, etc.» Et Roger Acmanne poursuit donc inlassablement sa mission, ne voyant toujours pas poindre à l horizon de média qui pourrait prendre le relais d Infor Vie saine. «Même si Bioinfo a maintenant pas mal d articles intéressants en matière de santé, avoue-t-il. Je suis menuisier de formation et je n ai aucune compétence médicale! Mais cela fait tout de même quarante ans que je lis énormément. Et avec toutes les conférences et les séminaires que j ai organisés, j ai été le premier bénéficiaire de tout cela. Il est vrai que nous avons également eu des contacts privilégiés avec tous les conférenciers que nous avons invités.» Grande pourvoyeuse de tares et de tarés! Roger confie que ses choix rédactionnels sont très intuitifs, pas vraiment rationnels, pas vraiment objectifs, mais qu il aurait bien de quoi remplir une dizaine de périodiques s il le voulait «Je reste le seul actif de l association, continue-t-il, même s il y a, bien sûr, d autres personnes qui en font partie, sinon ce ne serait pas une association! Nous n avons pas non plus de membres. Je suis directeur, président-général, expéditeur, etc. Le financement de la revue vient des lecteurs, même si j accuse actuellement un déficit de euros. Et si j ajoute les factures que je dois encore à mon imprimeur, j arrive à plus de euros de déficit que, fort heureusement, j ai pu combler moi-même! J ai été un peu trop généreux dans l information : pendant des années, j ai envoyé au moins quatre ou cinq cents périodiques gratuitement. J ai beaucoup diminué le nombre de ces envois gratuits parce que, financièrement, cela approfondissait encore beaucoup plus le déficit. J ai fait exemplaires du dernier numéro, mais il y a pas longtemps, nous tirions encore à 3.500

4 exemplaires, alors que nous n avons qu un millier d abonnés. Nous sommes en diminution, mais nous abordons évidemment des sujets qui choquent pas mal de gens, comme les vaccinations, par exemple. Je prends conscience de l importance de continuer le périodique tel qu il est maintenant, parce qu il y a une telle désinformation et de tels mensonges qui sont racontés, au point de vue de la médecine, que cela en devient grave pour la santé publique Comme le disait le naturaliste Jean Rostand, il y a déjà pas mal d années, «on se rend compte aujourd hui que la médecine est la principale pourvoyeuse de tares et de tarés». Actuellement, des études scientifiques très sérieuses dont une qui fut publiée dans The Lancet démontrait que la médecine elle-même est devenue la troisième cause de mortalité. Moi, il me semble que cela devrait faire la une de tous les journaux! Mais non, personne ne veut en parler. Je suis maintenant presque certain, quant à moi, avec tout le recul que j ai pu prendre, que la médecine est la principale cause de mortalité chez l Homme. Il se fait, depuis l avènement de la chimie, que toute la médecine naturelle a été abandonnée, et que certains lobbies s ingénient même à vouloir la faire carrément disparaître. Le codex alimentarius qui doit entrer en application au début de cette année va engendrer une véritable hécatombe au niveau des vitamines et des compléments alimentaires. Le principal problème vient évidemment du fait qu il est impossible de breveter un médicament naturel et donc d en tirer de gros profits. Il est donc indispensable, pour réaliser de gros bénéfices, qu un médicament soit chimique pour qu on puisse en avoir l exclusivité pendant toute la durée du brevet.» Une médecine de confort «Toute la médecine est aujourd hui basée sur des médicaments de ce type, s insurge Roger Acmanne, et le gros problème est que ces molécules chimiques ne sont pas reconnues par l organisme humain. Elles provoquent, par conséquent, des effets secondaires importants, à tel point que certains spécialistes vont aujourd hui jusqu à affirmer qu un médicament qui n entraîne pas d effets secondaires, eh bien, ce n est, tout simplement, pas un médicament! On se situe toujours sur une subtile ligne d équilibre entre le risque et le bénéfice. Mais, de toute façon, l intérêt de l industrie pharmaceutique est préservé quoi qu il arrive : si le médicament destiné à soigner votre première pathologie en induit une seconde, on vous donnera un second médicament, et ainsi de suite Il est donc courant que des personnes prennent dix ou quinze médicaments différents à la fin de leur vie! C est un non-sens total : la médecine entretient la maladie plus qu elle ne la soigne. Tout simplement parce qu un Homme en bonne santé ne rapporte rien! Ceci dit, je ne critique pas les médecins. Ils ne font jamais qu appliquer ce qu on leur a appris pendant leurs études. C est le système, en lui-même, qui est vicié car il les paie à l acte médical posé. Par conséquent, s ils n ont qu un seul client par jour, ils ne vont pas gagner bien lourd. Et s ils guérissent leurs patients, ils scient la branche sur laquelle ils sont assis. Il est donc impératif car il est indispensable pour le système de travailler à sa propre sauvegarde qu ils aient recours à toute une batterie de médicaments qui ne guérissent pas, mais qui se bornent à agir sur les symptômes, qui se contentent de veiller à l impression de confort qu a le patient Une poussée de fièvre, par exemple, n est jamais confortable ; on la coupe donc aussitôt, sans tenir compte du fait que cette fièvre est un mécanisme de défense indispensable à l organisme. Des tas de gens sont morts de poliomyélite à cause de cela. Il a pourtant été démontré que la plupart des virus sont thermosensibles et sont inactivés à partir de 39 C de température. En coupant systématiquement toute hausse de température, on se prive donc du médicament le plus efficace et le plus adapté qui soit.» Quant aux vaccins

5 «Chez la plupart des gens, la vaccination est devenue une croyance, clame Roger Acmanne! Il n y a strictement rien de scientifique dans les vaccins. Raymond Hauglustaine, par exemple, a été victime des vaccins quand il était jeune enseignant. Il a eu de gros problèmes de dos juste après l administration du vaccin ; à tel point qu on a pensé qu il avait des pierres aux reins. Il n a jamais trouvé dans la littérature scientifique un cas semblable au sien. Et il en souffre encore maintenant. Jacques Gauthier, par exemple, a compris, en lisant la littérature scientifique, que la vasculite qui le promettait à la quadraplégie provenait des vaccins qu il avait eus avant d aller en Afrique. Les effets néfastes d un vaccin peuvent survenir à très longue échéance. Un médecin homéopathe de Wépion m a raconté le cas d un monsieur qui souffrait d une spondylarthrite ankylosante, une maladie inguérissable. Ce monsieur lui confia qu il avait souffert, à l âge de six ans, des suites d un vaccin contre la diphtérie ; le médecin décida donc de faire une isothérapie du vaccin, c est-à-dire qu on «homéopathise» le vaccin et qu on le rend à la personne. Cela en corrige les mauvais effets. Après cette isothérapie, on assista à une brève amélioration, puis à une rechute. Le monsieur se souvint ensuite avoir également reçu le vaccin contre la variole à l âge d un an, mais ce vaccin n avait alors pas posé de problème. Le médecin décida pourtant de faire une nouvelle isothérapie, et le monsieur a complètement guéri en quelques jours seulement! Les deux vaccins administrés, pendant l enfance, étaient donc bien responsables, ensemble, de la spondylarthrite ankylosante qui était survenue de nombreuses années après. C est inouï les dégâts que les vaccins peuvent faire.» Mais que pense Infor Vie saine du collectif Initiative Citoyenne qui s est vivement opposé à la vaccination contre la grippe A H1N1? «Je pense que c est une voie très intéressante, dit Roger Acmanne. Je connais très bien Sophie Meulemans qui est aussi une victime de la vaccination et à qui on a d ailleurs reconnu 30 % d invalidité. Elle a vingt-cinq ans mais est néanmoins la compagne de mon ami Raymond Hauglustaine. Il est vrai qu ils partagent les mêmes motivations. Pour ma part, je suis à peu près sûr qu on va vers une obligation des vaccins, notamment en ce qui concerne la grippe A H1N1 ; j en veux pour seule preuve que tout a été prévu pour vacciner tout le monde. Mais tous ceux qui sont vaccinés vont souffrir du vaccin. Et cela va engendrer des épidémies. De toute façon, ce n est pas de la grippe qu il faut avoir peur, mais des vaccins!» Infor Vie saine : Roger Acmanne, 127, rue de fernelmont à 5020 Champion (081/ ) Collectif Initiative Citoyenne :

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