S T I G M A T I S E R E X C L U R E TRAQUER DEPORTER ASSASSINER SURVIVRE LES ENFANTS DANS LA SHOAH DOSSIER DE PRESSE
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- Pierre-Marie Raymond
- il y a 8 ans
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1 STIGMATISER EXCLURE TRAQUER DEPORTER ASSASSINER SURVIVRE EXPOSITION dossier de presse DU 19 JUIN AU 31 DÉCEMBRE 2009 Culture Science Education Services
2 SURVIVRE «Si nos corps ont une vie éternelle, ce n est possible qu à travers nos enfants Ce que j aimerais, c est être conscient lorsque je mourrai. Je veux pouvoir dire «au revoir» aux enfants et leur souhaiter d être libres de choisir leur voie» Janusz Korczak
3 Dessin de Thomas Geve Association française Buchenwald, Dora et Kommandos SURVIVRE
4 «Le pire serait de croire, par confort ou paresse, que l humanité s est guérie de ses folies après la Seconde Guerre mondiale» Philippe DURON Député Maire de Caen Président du Mémorial de Caen L exposition sur les enfants de la Shoah présentée par le Mémorial de Caen est à plusieurs titres très importante. C est l histoire qui aborde les terres les plus obscures de l humanité du XX e siècle et qui nous renvoie sans cesse aux grandes questions fondamentales ; questions sur l insondable fragilité de la conscience et de nos certitudes morales ou philosophiques ; questions sur l évolution d une conscience collective forte et partagée des droits humains. Je ne peux par ailleurs m empêcher de penser aux enfants du Rwanda, victimes récentes d un autre génocide, ou à ceux de Douch, au Cambodge, qui vient de faire l aveu du meurtre massif d enfants. Je cite le Rwanda et le Cambodge non pour établir un quelconque parallèle historique mais pour dire que le pire serait de croire, par confort ou paresse, que l humanité s est guérie de ses folies après la Seconde Guerre mondiale. C est bien là le message que veut délivrer le Mémorial de Caen. Cette exposition doit nous imposer une très grave et profonde réflexion sur la fragilité de la nature humaine, sur les dérives meurtrières du totalitarisme, sur les conséquences apocalyptiques d un chaos moral et social comme le furent ces années noires en Europe. Cette exposition est importante parce que le Mémorial de Caen a réuni les plus grands musées et mémoriaux du monde pour la réaliser. Ces collaborations internationales ont permis de produire une réflexion qui rassemble une collection très importante d objets, d œuvres, de témoignages dont l ensemble constitue une trame historique et philosophique, je crois, d un exceptionnel niveau. Je souhaite que ces années de travail nécessaires à la réalisation de «Survivre» apportent leur contribution à l effort de mémoire permanent que nous devons sans cesse aux victimes de «l inhumanité de l homme pour l homme». Je remercie très sincèrement toutes celles et ceux, très nombreux, qui ont travaillé pendant ces années pour que ceci soit dit au Mémorial de Caen, Cité de l histoire pour la Paix.
5 Photo extraite d un album de la Koordinacja, association qui travaillait en Pologne après-guerre pour réunir les rares familles survivantes. Beit Lohamei Haghetaot, Israël, don de M. Leneman SURVIVRE
6 «La véritable partie plaignante à votre barre est la civilisation» déclarait le procureur Jackson en ouverture du procès de Nuremberg. SEPTEMBRE 2008 : NOTE D INTENTION FINALE DE L EXPOSITION Le fil directeur de cette exposition sera constitué de trois motifs articulés les uns aux autres et entrelacés : A Philosophique et philologique Il s agira de redonner substance à certaines définitions de notions fondamentales. Les quatre notions traitées à cette occasion seront celles de génocide, résistance, Justes, civilisation. B Historique 1 Faire connaître ce que fut le sort des enfants dans la Shoah à travers l Europe et ceux déportés de France en particulier. C Historique 2 Faire connaître et mettre en valeur ce que furent les tentatives de sauvetage des enfants durant cette période. «L axe central de l exposition sera bâti autour de ce dernier aspect. Etant entendu que cette exposition n a pas pour objet de raconter la Shoah aux enfants mais de tenter de faire saisir ce que fut la Shoah des enfants. Sujet si difficile et éprouvant que nous avons décidé de ne pas le traiter de front. Le propos n est pas non plus de lui donner un caractère trop allusif, ni d aborder ces questions trop crûment. Le déroulé de l exposition ne sera pas strictement «linéaire» mais rapsodique. Construit autour de «résonances», de renvois, de mitoyennetés. Son esprit général sous-jacent étant d une part qu il fallait sauver les enfants d un sort funeste au-delà de l imaginable et que d autre part au final, bien peu échappèrent au projet effroyable de l extermination : 100 à enfants survivants dans toute l Europe, en Conditions générales : L exposition (une création temporaire) sera construite avec tous les éléments utilisés et requis habituellement (images photos, dessins d enfants, documents administratifs et historiques, vidéos cartes, tableaux, textes reproduits, objets, éléments sonores textes lus, chansons) mais l accent sera porté sur une mise en forme scénographique des éléments textuels prioritairement. Ces éléments seront classiquement constitués de textes originaux explicatifs, de cartes, de diagrammes, d informations historiques. Mais encore autant sinon davantage d extraits de témoignages, d œuvres littéraires, de poèmes, de citations nombreuses qui, présentées de façon «rapsodique», résonneront avec les thèmes de l exposition. L exposition sera accompagnée d animations parallèles : projections de films, de documentaires et de conférences (les enfants déportés, les enfants cachés, les enfants dans la guerre, les enfants de la «seconde génération») données par des historiens, des écrivains, des psychanalystes, des anthropologues. Une semaine qui pourrait avoir lieu à l occasion de la Journée internationale des Droits de l enfant, le 20 novembre 2009 et qui fêtera sa 20 e année. A Motif philosophique et philologique Il s agira d établir le sens des mots : génocide, résistance, Juste, civilisation, égrainés au long du parcours de l exposition. 1/ Génocide Origine du mot, contexte et histoire de sa création. Sa trivialisation médiatique et militante. Les différentes façons de nommer la «Shoah» (Holocauste, Judéocide, Shoah, Hurban) définitions et histoire de celles-ci. Génocide = aussi guerre aux enfants, exemple : Arméniens, Juifs, Tsiganes, Tutsis. 2/ Résistance Origine du mot, contexte de sa création et de son usage. La Résistance n est pas que la résistance «armée» des maquis et de la guerilla urbaine (exemples des FFI, FTP-MOI, OJC, Vercors, Normandie, groupes de résistants à travers l Europe : Allemagne, URSS, Pologne, Italie, Yougoslavie, mais encore dans les ghettos Varsovie, Vilno et dans les camps : Treblinka). La Résistance est un «esprit», elle peut être non-armée. Et dans le cas de la domination nazie, elle DEVAIT l être. Appartiennent à la Résistance, l information des populations («La Rose Blanche» en Allemagne, le sabotage, mais encore le sauvetage des livres, des objets de culte et surtout le sauvetage des enfants). La résistance au nazisme n était pas qu une forme de guerre asymétrique du faible au fort. Vu la «nature» du nazisme, elle «était plus qu un conflit de Pouvoir mais un conflit de Civilisation (mœurs, cultures, idéaux, éthiques)». 3/ Justes Origine de la notion dans la tradition hébraïque, le Juste n est pas comme le Saint. Profil d un Juste. Le «Juste parmi les nations». Leur nombre en Europe. 4/ Civilisation «La véritable partie plaignante à votre barre est la civilisation» déclarait le procureur Jackson en ouverture du procès de Nuremberg. Définition du mot «civilisation» à travers des textes et citations de penseurs, philosophes : de Freud à Jean-Paul II, de Montaigne à Jankélévitch, de Montesquieu à Werth La place («les enfants sont la promesse de civilisation de l avenir») faite à la condition de vie des enfants dans le «Travail de civilisation» : morale, éthique, social (le travail des enfants, éducation, santé) sera soulignée. Le concept de «rupture de civilisation» dans et avec le nazisme sera explicité. La «coupure» déjà opérée avec la Première Guerre mondiale sera évoquée.
7 SURVIVRE B Motif historique 1 : la Shoah des enfants Il s agira de faire connaître le sort des enfants dans la Shoah. Si c est là l objet réel de l exposition, en raison de l épouvante des faits effroyables qui le constituent et de l insupportable des documents qui le personnifient, il ne peut en constituer le centre. Trois séquences seront présentées combinant toujours les situations en Europe occupée et en France : exclusion, déportation, extermination. Il s agira d inscrire dans la compréhension des visiteurs le nombre peu connu ou perçu d enfants juifs en Europe. Mais les données chiffrées ne peuvent être disponibles que dans peu de pays. 1/ Exclusion : sera montrée la discrimination sociale et l exclusion des enfants des écoles, des jardins publics, des terrains de sport Le port obligatoire de l étoile jaune. Les enfants dans les ghettos. L augmentation de la mortalité infantile. Outre des documents administratifs et historiques, leurs conditions de vie (détresse, famine, misère, froid, mais aussi tentatives de vie «normale», scolarisation,etc. seront évoquées par des récits, des témoignages, des documents, des dessins. 2/ Déportation : seront montrés les enfants dans les centres de rassemblements Pithiviers, Beaune-la-Rolande, Drancy et d autres lieux en Europe : Malines en Belgique, Westerbork en Hollande On exposera le zèle des Pouvoirs Collaborateurs d autres lieux en Europe (Laval / Brasillach), acteurs plus que complices. La séparation des enfants avec les parents réalisée par des gendarmes français. Puis la demande de déportation des enfants par Laval. Les ruses, les mensonges des nazis pour rassembler et attraper les familles juives (exemple de Vittel et autres). On évoquera les Kinderaktionen, les convois exclusivement d enfants comme celui de Kovno (Kaunas) à Auschwitz, en septembre 1944 ou celui de 1260 enfants parti de Bialystok pour Auschwitz en passant par Terezin. On présentera les dessins d enfants de Terezin. Des lettres d enfants. Mais encore la «préparation» des enfants à la mort annoncée, pressentie. Les berceuses réécrites à cette fin. Le pédagogue Janusz Korczak qui fait jouer aux enfants de son orphelinat une pièce de théâtre en prévision de ce qui va leur arriver. 3/ Extermination : seront présentés le numéro de «J accuse» d octobre 42 qui annonce les gazages de Juifs et d autres documents similaires. Sera explicité que la seule destination des enfants était la chambre à gaz, quand ils ne servaient pas de cobayes pour expériences médicales. Sera raconté comment les enfants en attente de leur sort s amusaient à rejouer des scènes vues au camp (jouer à la chambre à gaz) ou comme dans le ghetto de Kovno, ils mimaient les creusements des fosses, les exécutions, les enterrements. Ce sera l occasion de faire valoir, en suivant le travail de Serge Klarsfeld, des chiffres particulièrement significatifs concernant la France. Seulement 200 adolescents survécurent sur environ enfants juifs déportés (dont plus de 6000 de la région parisienne 4000 au Vel d Hiv lors de la rafle du 16 juillet 42). Mais les nazis comptabilisent les enfants jusqu au seuil de 15 ans. Nous pourrions dire qu aucun enfant n est en fait revenu. Mais du côté du «sauvetage des enfants» on soulignera encore que sur enfants juifs en France en 1939, furent déportés. Soit 84% des enfants juifs sauvés ; chiffre le plus élevé en Europe, grâce aux soutiens divers dans la population française. C Motif historique 2 : le sauvetage des enfants L axe central de l exposition. Celui par lequel sont soutenues les applications de «Résistance», de «Juste parmi les nations», de «civilisation». Le sauvetage des enfants se distingue entre enfants exfiltrés et enfants cachés. Il y eut aussi des enfants errants livrés complètement à eux-mêmes. Les enfants exfiltrés sont ceux des Kindertransporte, des transports d enfants qui se mirent en place dès les années 38-39, afin de faire passer des milliers d enfants d Allemagne, d Autriche, de Tchécoslovaquie, vers la Suède, la Grande-Bretagne. L action se poursuit vers la Suisse après le déclenchement de la guerre de manière plus difficile, aléatoire et peu massive. Les enfants cachés sont ceux qui grâce à des réseaux efficaces purent être hébergés dans des familles non-juives, dans des couvents, des orphelinats, des «maisons d enfants». Mais encore ceux qui «survécurent» cachés dans des trous, des caves, des placards, des greniers, des maisons abandonnées On racontera ce que furent les réseaux (Eclaireurs Israélites de France, Œuvre de Secours à l enfance, Organisation Solidarité, MNCR, Comité Amelot, Mouvement Zagota en Pologne, chrétiens, catholiques, protestants, musulmans en Bosnie, Albanie ) Comment ils s organisèrent : fabrique de fausses identités. On racontera des histoires individuelles. On présentera des sauveteurs. Qui ils étaient. Comment ils procédaient. Pourquoi ils prenaient des risques. On racontera aussi ce qu était la vie des enfants cachés contraints à une double identité : «Si je pleurais, c était la petite juive qui pleurait et toute la journée, c était Simone. Simone vivait le jour et Sophie, c était la nuit.» On saluera en les citant quelques unes des actions et grands centres de sauvetage en France : le Chambon-sur-Lignon, l école catholique de Capdenac-Gare, etc. Y compris en Normandie. On suivra le destin de quelques enfants sauvés. Même si chaque histoire est individuelle, elle a une valeur métonymique de celle des autres. On découvrira les documents officiels menaçant de déportation ou d exécution ceux qui cachaient des Juifs. On présentera une «galerie» de photos de Sauveteurs. On découvrira par des vidéos des témoignages d enfants cachés, d entretiens avec des sauveteurs. On devra conclure qu il y a eu à travers l Europe en réalité bien peu de Justes. Une vingtaine de milliers au maximum. Et au résultat, bien peu, si peu d enfants survivants.»le 8 septembre 2008
8 Élément scénographique : Evocation d une colonne Morris en France occupée : sur fond de vie culturelle parisienne, se détachent les affiches de l exposition de propagande «Le juif et la France» ( ) Élément scénographique : scène de 4 cimaises sur le thème du sauvetage des enfants Élément scénographique : scène d humiliation à Vienne en 1938 et enfants juifs stigmatisés à l école
9 SURVIVRE Élément scénographique : présentation de dessins d enfants réalisés dans le camp ghetto de Terezin Élément scénographique : scène de 4 cimaises sur le thème des enfants dans les ghettos et les camps
10 Stéphane GRIMALDI Directeur du Mémorial de Caen Le 14 octobre 1942 les juifs du ghetto de Mizocz, dans la région de Rovno en Ukraine, sont assassinés. Ce crime a été photographié, comme souvent, par les bourreaux eux-mêmes. On y voit des femmes nues couchées au fond d une sorte de cratère herbeux. Au milieu des corps se tiennent deux hommes en arme dont un est placé au milieu de la scène d exécution : il pointe un fusil de guerre sur un enfant. L enfant est nu. On peut penser que sa mère vient d être exécutée à ses côtés. Il se tient légèrement de côté, assis, son bras droit planté dans le sol. Il doit avoir 8 ou 9 ans. Au moment où la photographie est prise, en amont du cratère, il est encore vivant. Le fusil est pointé sur lui. Il va certainement mourir dans la seconde qui suit le cliché. Cet enfant n a plus de nom. Je connaissais bien cette photographie qui est celle d une exécution de masse dite de «proximité». Il y a trois ans, en la regardant plus attentivement, c est-àdire en allant au-delà de l épouvante de la «massification» j ai découvert cet enfant. Je ne l avais jamais vu, alors même qu il est au centre du drame. Je n avais vu que les dizaines de corps suppliciés. On connaît l histoire de la Shoah. On sait que 6 millions de personnes ont été assassinées mais on doit dire que parmi eux environ 1.3 millions enfants ont été rejetés, humiliés, traqués et assassinés. C est en leur mémoire que j ai voulu cette exposition qui tente de décrire cette «rupture de civilisation». Je remercie tout particulièrement Isabelle Bournier et Gérard Rabinovitch qui ont cru dès le premier jour à ce projet. «Ce crime a été photographié, comme souvent, par les bourreaux eux-mêmes.»
11 SURVIVRE Brassard qui appartenanit à Bruno Schwarz. Drohobycz, Pologne. Yad Vashem Collection, Jérusalem, Israël Autoportrait réalisé par l artiste juif d origine tchèque Yehuda Bacon Collection Beit Lohamei Haghetaot, Israël. Encrier fabriqué par un père pour sa fille. Musée national de la Résistance de Champigny-sur-Marne Poupée retrouvée à Drancy Mémorial de la Shoah, Paris
12 Denis PESCHANSKI Historien Directeur de Recherche au CNRS Président du Conseil Scientifique du Mémorial de Caen «Je ne puis oublier la voix de ce petit garçon de 4 ans qui répétait sans arrêt, sur le même ton, avec une voix de basse incroyable dans ce petit corps : «Maman, je vais avoir peur, Maman, je vais avoir peur». Odette Daltroff- Baticle écrivit ce témoignage au printemps Elle venait d accueillir à Drancy les enfants venus des camps du Loiret. Destination : les chambres à gaz de Birkenau. Les parents avaient été déportés quelques semaines plus tôt. Avec le massacre des enfants, l historien atteint les limites de l explication rationnelle. Et pourtant. Pourtant, un tel crime signe la nature de la politique mise en œuvre : il y a bien génocide puisque enfants, adultes et vieillards sont également visés. Au-delà de l émotion légitime, immédiate, il y a l impératif de réflexion. Le crime renouvelé se nourrit de la démission de l intelligence. «Au-delà de l émotion légitime, immédiate, il y a l impératif de réflexion. Le crime renouvelé se nourrit de la démission de l intelligence.»
13 SURVIVRE Gérard RABINOVITCH Commissaire scientifique de l exposition. Philosophe et sociologue, Chercheur au CNRS (Centre de Recherches : Sens, Éthique, Société). Chaque fois que l on aborde les terres ténébreuses du nazisme, on bute sur une stupeur intérieure, une épouvante de l âme, une glaciation de la pensée. Comme en avertissait la philosophe Hannah Arendt : «il n y a pas d histoire plus difficile à raconter dans toute l Histoire de l humanité [ ] En elle-même, elle n offre rien d autre que peine et désespoir» ajoutait-elle. Aborder cette destruction au coeur la Destruction que fut l extermination des enfants juifs, et tsiganes, ne peut qu accroître l effroi panique qui saisit tout humain interrogé sans faux-fuyants par ce que l homme peut faire à l Homme. Mais ne pas l aborder, l esquiver, l éviter, c est se dérober à la convocation que fait la détresse des traqués, à «ce pouvoir de transfert et de substitution, sans lequel il n y a point de sens de la justice, de sens de l humain» invoqué par l écrivain Léon Werth. C est assurer, par cette négligence, sa probable répétition d une manière ou d une autre. En ces temps où la mort en masse était la loi suprême, le hasard «le plus outrageant et le plus arbitraire des hasards» (Hannah Arendt) seul occasionnait un répit momentané à la vie. Mais il y eut aussi des hommes et des femmes qui répondirent, avec de faibles moyens, à la convocation des traqués, à l éthique du Deutéronome : «Choisis la vie». C est là, aussi, leur évocation.
14 Page d un journal écrit par un enfant dans le ghetto de Kouno (Lituanie) Élément scénographique : silhouettes Fiche signalétique d un enfant pris en charge par la Koordincja en Pologne après-guerre Beit Lohamei Haghetaot, Israël Dessin d enfant du Ghetto de Terezin Jewish Museum in Prague
15 Album réalisé par Hela Leneman, responsable de la maison d enfants de la Koordinacja, une association juive qui a œuvré en Pologne dans l après-guerre à la recherche des quelques centaines d orphelins juifs survivants, disséminés ça et là, parfois ignorant même leur identité véritable. Collection Beit Lohamei Haghetaot, Israël. SURVIVRE
16 Comité scientifique de l exposition Stéphane Grimaldi Isabelle Bournier Gérard Rabinovitch Denis Peschanski Michal Gans Hélène Waysbord-Loing Christophe Bouillet Directeur du Mémorial de Caen Directeur des affaires culturelles du Mémorial de Caen Commissaire scientifique de l exposition. Philosophe et sociologue, Chercheur au CNRS (Centre de Recherches : Sens, Éthique, Société). Historien, Directeur de Recherche au CNRS, Président du Conseil Scientifique du Mémorial de Caen Historienne, ancienne Directrice du Beit Lohamei Haghetaot Présidente de l association de la Maison d Izieu et auteure du rapport sur l enseignement de la Shoah Historien au Mémorial de Caen Relations Presse Linda Siline Sophie Bruneau de la Salle Attachée de presse Attachée de presse Communication Franck Moulin Corinne André Directeur de la Communication Chargée de Communication Scénographie Philippe Miesch Mireille Kintz Franck Marie Scénographie de l exposition Assistante scénographie et conception graphique Régisseur de l exposition Quel est le rapport que nous entretenons avec cette partie de l Histoire? Ne pas la classer de façon attendue dans l ensommeillement des choses acquises mais réveiller, entretenir la vigilance, le discernement, le contact avec une réalité récente. Ces enfants, ces hommes, nos presque-contemporains avaient notre taille, nos visages, vivaient dans nos lieux en grandeur, en vie réelle! Quelle serait notre surprise ou notre indifférence si nous les rencontrions dans la rue avec leur étoile jaune. Si nous allions dans un jardin public où l accès leur est clairement interdit? La conception de la scénographie de cette exposition est partie de l intention d accompagner le visiteur pour lui permettre d entrer en relation avec les éléments présentés, de rythmer le parcours, de se servir de l émotion plastique pour entretenir l attention et la lucidité, d aider à ressentir en plus d apprendre ou d essayer de comprendre. Philippe Miesch Scénographe Le Mémorial de Caen tient à remercier très chaleureusement les partenaires de cette exposition sans lesquels rien n était possible. Beit Lohamei Haghetaot, Mémorial de la Shoah, Imperial War Museum, Jewish Museum in Prague, Cercil, Yad Vashem Museum, Musée de la Résistance Nationale et la LICRA Maquette : aprim - Imprimé par NII - Photos : Mendel Grosman, M.Leneman, Beit Lohamei Haghetaot / Thomas Geve, Association française Buchenwald, Dora et Kommandos / Musée national de la Résistance de Champigny-sur-Marne / Mémorial de la Shoah / Jewish Museum in Prague
17 SURVIVRE PROGRAMMATION Afin d enrichir l exposition temporaire «Survivre», le Mémorial proposera plusieurs rendez-vous dans le courant de l automne 2009 : rencontres, témoignages et projections de documentaires ou de films de fiction. Cette programmation culturelle sera complétée d une action pédagogique afin de permettre aux enseignants d appréhender ce sujet délicat et difficile dans la transmission de la connaissance à leurs élèves. La complexité du sujet présenté au sein de l exposition mérite de développer sur une journée les questions à poser sur les différents thèmes qui apparaissent dans cette exposition en présence de témoins, mais aussi d historiens, de sociologues ou de psychologues. Cette journée d études historiques développera ainsi plusieurs thématiques : les différents modes de persécution des populations européennes juives ; les organisations de sauvetage d enfants juifs ; le sort des enfants dans les ghettos et camps de concentration ; le retour des camps ; apprendre à vivre après-guerre en ayant perdu sa famille ; etc. Le thème de l enfance sera aussi abordé le 20 novembre 2009, à l occasion du 20 e anniversaire de la Déclaration des Droits de l enfant, en partenariat avec diverses structures étatiques ou associatives qui œuvrent au quotidien pour la protection de l enfance.
18 SURVIVRE Exposition présentée tous les jours jusqu au 11 novembre de 9 heures à 19 heures. Du 12 novembre au 27 décembre, de 9h30 à 18 heures, fermée le lundi. Du 28 au 31 décembre, tous les jours de 9h30 à 18 heures. Entrée libre et gratuite Relation Presse : Linda Siline et Sophie Bruneau de la Salle Esplanade Général Eisenhower - BP Caen Cedex 4 - Tél. 33 (0) Fax: 33 (0) presse@memorial-caen.fr EXPOSITION dossier de presse DU 19 JUIN AU 31 DÉCEMBRE 2009 Culture Science Education Services Mémorial de Caen - Maquette : aprim
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