Editorial. Sommaire. certification PEFC (suite) Chantiers. Le cormier La canicule. Enquête après la tempête en Vexin

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1 Les arbres que j'y ai plantés prospèrent... et nourrissent au fond de mon cœur d'autres illusions. Chateaubriand. Alisier de Fontainebleau Sorbus latifolia Extrait de la flore forestière française D. MANSION - IDF Sommaire Politique forestière certification PEFC (suite) Chantiers Sylviculture Le cormier La canicule Point de vue Enquête après la tempête en Vexin Le saviez-vous? Faut-il brûler les rémanents de coupe? Une forêt privée gérée et préservée par un réseau d hommes compétents au service des générations futures Editorial Léonel de LAUBESPIN - Président du syndicat des propriétaires forestiers sylviculteurs de Seine-et-Marne Le Comité Consultatif de la Réserve Naturelle de la Bassée vient d être installé par le représentant du Préfet de S.-et-M. La direction régionale de l environnement (DIREN) confirme que «les engagements pris précédemment ont été respectés, comme la représentation majoritaire des élus, des propriétaires et des usagers de la Réserve». Et pour respecter cet engagement, qui croyez-vous que le Préfet a nommé comme représentant des propriétaires?... un soutien de la DIREN, choisi par elle pour «son action très constructive sur ce projet», et qui n est même pas propriétaire sur le territoire de la Réserve! On croit rêver! Les syndicats des propriétaires agricoles et forestiers de S.-et-M. ont évidemment saisi le Préfet par un courrier du 12 août 2003 afin d obtenir une représentation «démocratique», et non «dirigiste». On attend la réponse. Autre sujet de plainte contre l Administration : une nouvelle circulaire conjointe des Ministères de l Environnement et de l Agriculture, du 14 août 2003, relative aux dégâts de cervidés en forêt, rappelle une fois de plus l insuffisance des plans de chasse, et demande «de suspendre les dispositions du plan de chasse qualitatif» lorsque nécessaire. La circulaire rappelle l obligation de résultat incombant au propriétaire qui a bénéficié de financements européens pour ses plantations ; d où la nécessité pour celui-ci de demander par lettre RAR au Préfet l augmentation de son plan de chasse qu il jugerait insuffisant, ce qui lui permettra de se retourner contre l Etat en cas de plainte de Bruxelles. La perte de Bruxelles est indemnisable, pas celle du propriétaire! Ce sujet touche évidemment à la gestion durable, ce qui nous amène à évoquer le processus PEFC de certification de nos forêts, initié et soutenue par nos syndicats de propriétaires, et qui approche de son terme. Des précisions vous sont données sur cette question dans les pages qui suivent. Bois Trimestriel et forêts pour d Ile-de-France l action forestière - N N septembre 20 - septembre page 20031

2 Politique forestière POUR VOTRE BOIS : PEFC (SUITE DU N PRÉCÉDENT) UNE CERTIFICATION INTERNATIONALE Xavier JENNER, ingénieur du CRPF. Le PEFC, programme européen des forêts certifiées, est bien un système pour assurer les acheteurs de produits en PEFC/ bois ou à base de bois (y compris le papier) qu ils sont obtenus à partir de bois issu d une propriété boisée gérée durablement. Européen à l origine, ce programme tend actuellement à s étendre notamment outreatlantique. Les forêts ou les bois gérés durablement sont ceux où la gestion respecte des critères de performance environnementale, sociale et économique, reconnus internationalement. Le PEFC est un système basé sur la reconnaissance mutuelle des politiques de gestion durable nationales ou régionales, élaborées pour satisfaire aux exigences internationalement reconnues (celles d Helsinki en Europe). Depuis son lancement en 1999, PEFC est devenu le plus important système de certification forestière auquel se réfèrent des systèmes nationaux du monde entier, permettant de délivrer à l industrie des centaines de million de tonnes de bois, et donc de donner leur place sur le marché du bois à des dizaines de millions d hectares de forêts certifiées. PEFC est soutenu par de solides appuis allant des syndicats de la propriété forestière aux associations naturalistes en passant par les gouvernements. A l heure actuelle, le conseil PEFC, l organisation internationale, présidée par M. Henri Plauche-Gillon, également président de notre fédération nationale des syndicats de propriétaires forestiers sylviculteurs, a reconnu les politiques de gestion forestière durables de 14 pays sur les 26 pays membres. Cela représente 48 millions d hectares certifiés gérés durablement. Pays reconnus par PEFC et hectares certifiés dans ces pays au 30 juin : Autriche ha Belgique 0 ha Tchéquie ha Danemark ha Finlande ha France ha Allemagne ha Italie 0 ha Lettonie ha Norvège ha Espagne ha Suède ha Suisse ha Grande Bretagne ha Total ha Autres pays candidats et membres : Australie Malaisie Brésil Slovaquie Chili Canada Estonie Irlande Lituanie Portugal Luxembourg USA Bois et forêts d Ile-de-France - N 20 - septembre page 2

3 Politique forestière (suite) Le projet actuel de développement du système de certification forestière PEFC est sa mondialisation. Dans le monde, 8 processus de gestion forestière durable sont reconnus par 149 pays et couvrent 85% des surfaces boisées. Le processus applicable à l Europe est celui d Helsinki. Un groupe de travail examine la question et doit faire des propositions concrètes sur les ajustements nécessaires pour intégrer au PEFC les 7 autres processus intergouvernementaux. Il existe d autres systèmes de certification forestière de par le monde. PEFC arrive en tête pour les surfaces forestières certifiées. Surfaces de forêts certifiées selon les principaux systèmes : millions d ha au 31 mai ,32 38,44 36,51 17,44 10,52 PEFC SFI FSC CSA ATFS Forest Stewardship Concil (FSC) est très peu représenté en France en raison de son coût et de son inadaptation à la petite propriété. Les trois autres systèmes sont nord-américains et sont en passe d obtenir avec PEFC une reconnaissance mutuelle. En Ile-de-France, l adhésion à PEFC vous sera prochainement proposée pour 2004 (cf. Bois et forêts N 19 de juin dernier). CHANTIERS FORESTIERS Les employeurs doivent désormais déclarer et signaler les travaux forestiers, dans le cadre de la lutte contre le travail illégal en forêt (article L du code du travail & décret N du 12 février 2003, JO du 19). Il s agit : des chantiers de coupe ou de débardage dont le volume est supérieur à 50 m 3, volume transitoirement porté à 500 m 3 pendant trois ans à la demande de votre syndicat forestier, des chantiers de boisement, reboisement ou travaux sylvicoles d une surface supérieure à 4 ha. La déclaration écrite comportant le nom, la dénomination sociale de l'entreprise, son adresse, la situation géographique exacte du chantier, la date du début et la date de fin prévisible des travaux et le nombre de salariés qui seront occupés, le cas échéant, sur ce chantier doit parvenir : 1/ au service départemental de l'inspection du travail, de l'emploi et de la politique sociale agricole (DDAF - SDITEPSA) au plus tard le dernier jour ouvrable précédent le début des travaux. Cette déclaration se fait par lettre recommandée avec avis de réception, par dépôt au service contre récépissé ou par tout moyen électronique comportant une preuve de réception. 2/ en copie et dans le même délai, à la mairie de la ou des communes de situation du chantier. 3/ ces chantiers doivent être signalisés avec les mêmes informations par panneau d'affichage d au moins 100 x 80 cm. Bois et forêts d Ile-de-France - N 20 - septembre page 3

4 Sylviculture CES FRUITIERS QUE RECÈLENT NOS FORÊTS (SUITE DU N 18) LE CORMIER - Sorbus domestica François QUAGNEAUX, chambre d agriculture de l Ile-de-France et coopérative forestière d Evreux Comme l'alisier Torminal, il est de la famille des rosacées. Cette espèce, toujours disséminée, est spontanée dans le Sud de l'europe et l'afrique du Nord. Elle est assez commune en région méditerranéenne et beaucoup moins répandue dans le Nord-Est et le Bassin Parisien. Toutefois, ses dimensions sont beaucoup plus respectables sur ce secteur atteignant des hauteurs de mètres pour une circonférence de cm. Il est sans doute subspontané et a dû faire l'objet de culture pour ses fruits dans notre région. Quelques sujets remarquables sont à noter dans les secteurs d'ablis et de Rosny-sur- Seine (bille de pied de 6 à 7 mètres, circonférence 140 à 180 cm). DESCRIPTION BOTANIQUE On le confond très facilement avec le sorbier des oiseleurs, du fait de feuilles composées peu différenciées. Les folioles sont généralement dentées sur les deux tiers supérieurs du limbe pour le cormier, alors qu'elles le sont entièrement pour le sorbier des oiseleurs. Les fruits sont très différents : petites poires de 2 à 3 cm, insérées par petites grappes, de couleur jaunâtre teinté de rouge, devenant brune et blossissante (devenant blet) à maturité pour le cormier. Alors que le sorbier des oiseleurs, produit de grosses grappes, de petites baies sphériques rouge-orangé, d'au plus 1 centimètre. Le tronc est droit et le houppier globuleux. Son couvert est léger. Son écorce est gris-noirâtre, à gerçure longitudinale précoce, très fine dans le jeune âge, devenant épaisse avec des écailles semblables à celles du chêne rouvre avec l'âge. Les rameaux sont lisses et brun rouge pour le cormier, alors qu'ils sont gris-vert pour le sorbier des oiseleurs. Les bourgeons sont gros, verdâtres, ovoïdes allongés, à écailles glabres et visqueuses pour le cormier, alors qu'ils sont fusiformes, gris-brun, à écailles bordées d'un velours blanc-beige au sommet. Un petit duvet peut être distingué sur la face inférieure des folioles du cormier, juste après débourrement mais cette pubescence disparaît rapidement. TEMPERAMENT - ECOLOGIE Sa croissance est très lente, il peut vivre 500 à 600 ans. On le trouve disséminé dans les peuplements de taillis-sous-futaie de chêne et constitue au même titre d'excellentes réserves. Son enracinement est pivotant et il rejette correctement de souche. Il aime la lumière (héliophile) et peut être classé comme essence thermophile calcique (supporte les sols calcaires en exposition chaude). Sa croissance et ses dimensions sont meilleures sur des terrains profonds, type argiles de décarbonatation plus ou moins caillouteuse avec humus de type mull carbonaté, à ph basique. Il supporte des déficits hydriques estivaux. On peut parfois le trouver sur des terrains légèrement acides, alors que le sorbier des oiseleurs est un acidiphile Bois et forêts d Ile-de-France - N 20 - septembre page 4

5 Sylviculture (suite) que l'on trouve sur des sols sableux. Plus que l'alisier torminal, il demande un espace et un ensoleillement suffisant, c'est pourquoi, on le trouvera plutôt dans les haies, les lisières de forêt et les peuplements clairs. Les jeunes semis s'installent très bien en trouée mais doivent être vigoureusement dégagés pour ne pas être étouffés par la végétation concurrente. On trouve rarement des semis sous le porte-graine malgré le couvert léger de son houppier. Les semis naturels sont très rares en Ile-de-France, malgré une fructification abondante et assez régulière, dans les secteurs où le cormier est présent. Sa présence dans notre région est certainement liée à une culture ancienne, pour son fruit comestible également apprécié par le gibier. Il rejette très fortement de souche et il n'est pas rare de le trouver en cépée, ayant été exploité au même titre que le taillis pour le bois de chauffage, d'autant qu il est un excellent bois de feu. Mais la qualité exceptionnelle en fait un feuillu précieux, encore plus apprécié que l'alisier torminal, pour des usages nobles. Il est peu sujet aux défauts, son port est souvent très ample avec une bille de pied courte, favorisé par son caractère post pionnier nomade. La fibre torse est aussi gênante que sur le chêne mais se remarque très facilement par l'aspect vrillé de son écorce. MALADIES Il est sensible aux mêmes maladies que le sorbier des oiseleurs et l'alisier. Il est apprécié par le gibier, une protection est donc indispensable. SÉCHERESSE ET CANICULE Cette première quinzaine d août a été vraiment exceptionnelle au plan climatique : sécheresse marquée et fortes températures se sont en effet conjuguées de manière inédite. L évapo-transpiration des arbres se régule par la fermeture des stomates des feuilles. Lorsque le stress hydrique se fait plus intense, les feuilles perdent leur alimentation en sève, se dessèchent et tombent. La photosynthèse s arrête, l arbre affaibli devient plus sensible aux pathogènes et ravageurs secondaires. Les problèmes sanitaires préexistants accentuent la sensibilité au sec et en exacerbent les effets. Mais les rouilles du peuplier ont été fortement freinées. Les très jeunes plantations résistent difficilement. Si vous avez bénéficié d une aide du fonds forestier Ile-de-France, soyez vigilant car vous vous êtes engagé à réussir. Signalez au CRPF vos dégâts afin que l impact de cette sécheresse soit clairement établi. Pour les arbres plus grands, et plus particulièrement les feuillus, il faut attendre au moins un an avant de prendre une décision pour tenir compte des capacités de survie et de récupération. Profitez de cet épisode exceptionnel pour observer dans votre bois la réaction des essences et cultivars de peupliers. Tirez-en des enseignements pour l avenir. Enregistrez et signalez-nous les symptômes. Faites préciser les diagnostics pour éviter les confusions. Evitez les interventions trop hâtives. Suivez l évolution des peuplements pour réagir à temps. Bois et forêts d Ile-de-France - N 20 - septembre page 5

6 Point de vue ETHNO-SOCIOLOGIE LE VEXIN APRÈS LA TEMPÊTE Bois et forêts est heureux de présenter de travail d une étudiante en géographie de la faculté Paris VIII Saint-Denis. Céline LIENARD, étudiante. Voici le résultat d une enquête sur un échantillon volontairement réduit de 40 personnes (20 propriétaires et 20 gestionnaires), issues de la population forestière vexinoise, réalisée pour ma maîtrise de géographie en coordination avec le GIP-ECOFOR (groupement de chercheurs sur les écosystèmes forestiers). Comme dans la plupart des zones périurbaines, les espaces boisés du Vexin français sont victimes de mutations, liées à l augmentation des populations rurbaines, d où émergent des conflits d intérêts entre les fonctions de production, de protection et de récréation de la forêt. Les propriétaires La population de femmes retraitées, très attachée à la propriété par le lien familial, fut choquée malgré de faibles dégâts : ce sont les premières victimes des exploitants forestiers peu scrupuleux. Les hommes retraités ( notamment les agriculteurs), souvent liés à la forêt par le loisir de la chasse, sont impressionnés mais relativement optimistes pour les forêts du Vexin. Ils interviendront eux-mêmes s il le faut (mais en fonction de leurs intérêts). La population «jeune» (20 à 29 ans) voit dans la tempête une opportunité pour mobiliser les propriétaires. Si elle le peut, elle agira par ses propres moyens. Les moins sinistrés se replient car les dommages dont ils sont victimes, sont très réduits et ne nécessitent pas de grandes interventions : les quelques arbres arrachés ne seront pas replantés. Ceux pour qui les dégâts sont plus importants mais modérés, ne se sentent pas plus concernés par les aides et se débrouillent avec leurs moyens. Si la surface qu ils possèdent est exploitable, ils tenteront de rentabiliser avec les revenus de l exploitation mais ils auront beaucoup de mal à replanter. Enfin, les plus sinistrés (les plus de 100 ha) font appel, le plus souvent, aux professionnels avec lesquels ils travaillent habituellement ; ils essayeront dès que possible de monter un dossier d aide pour pallier les pertes sèches. En résumé, les propriétaires avertis misent tout sur la vente du bois pour rentabiliser tandis que d autres sont prêts à tout brader pour récupérer un minimum d argent ou à laisser pourrir le bois. Le dernier discours va dans le sens de l insatisfaction perpétuelle du propriétaire forestier. Ils souhaiteraient recevoir des aides mais sans qu il y ait de contrôle derrière ; l aide à la reconstitution, n est pas envisageable car le propriétaire veut rester maître de son espace. Ces propriétaires ne sont pas les moins motivés mais souhaitent réellement assurer leur rôle de propriétaire contre les pressions de contraintes extérieures. La tempête a bouleversé les esprits des propriétaires, pris au dépourvu. Les Bois et forêts d Ile-de-France - N 20 - septembre page 6

7 Point de vue (suite) plus concernés, possédant de grandes parcelles, ont retenu la leçon lorsque des peuplements tels que la peupleraie ou la pineraie ont été ravagées, ils replanteront de nouvelles essences plus adaptées. Les professionnels (CRPF, DDAF, ONF, PNRVF, Syndicats, coopératives, exploitants) De manière générale, les professionnels sont résignés, ne croient plus au développement de la filière-bois mais tentent de réguler un marché très timide qui s organise autour de la propriété forestière importante. Pour eux la tempête était une occasion de confirmer la nécessité de leur présence et de se remettre en question face aux problèmes induits par les caractéristiques de la petite propriété. D après les propriétaires, la gestion locale de la tempête est tout à fait satisfaisante. Le CRPF, les DDAF ont répondu aux principales attentes des plus sinistrés et quelques petits propriétaires se sentent rassurés de voir qu ils ne sont pas totalement oubliés. Seul le PNR, ne semble pas trouver sa place et endosse les critiques austères d une majorité de propriétaires. Cette hostilité n est pas sans fondements et exclut tous les autres acteurs qui ont su, dans ce contexte d urgence, répondre efficacement. Frédéric Chiche recherche 1 à 2 ha à louer pour installer un parcours acrobatique. Contact : Après la tempête, les propriétaires constatent que les différents intervenants réagissent rapidement ; quand ils n ont pas la visite d un professionnel, ils reçoivent de nombreux courriers ou peuvent assister aux réunions organisées pour tous les propriétaires. Les petits propriétaires se marginalisent et pourtant parmi eux quelques-uns, notamment les «jeunes agriculteurs» et les retraités, amateurs de chasse, se manifestent et entretiennent des rapports durables avec les principaux acteurs intervenants dans le Vexin français. Ils approuvent et encouragent la concertation visible entre les différents opérateurs, pour une meilleure gestion de la crise et peut-être pour une plus forte mobilisation des petits propriétaires. Une majorité de petits propriétaires, essentiellement composée de retraité(e)s, reste à l écart de la filière et pratique la «non-gestion*». Dans cette «histoire» la bête noire se décrit comme étant peu scrupuleuse et à la recherche du profit au détriment des impacts psychologiques, et écologiques qu elle cause. Tant bien que mal, exploitants et coopératives ont tenté de s approprier de nouveaux marchés. * La non-gestion n est pas, dans l absolu, néfaste pour le milieu et peut être assimilée à une gestion écologique qui favorise l implantation d essences formant un climax (stade final d une succession de végétations) et aboutit ainsi à une diversification ou une homogénéisation naturelle. Bois et forêts d Ile-de-France - N 20 - septembre page 7

8 Le saviez-vous SANTÉ DES FORÊTS PROSCRIRE LE BRÛLAGE DES RÉMANENTS Jacky Jaquet, technicien du CRPF. Brûler les rémanents d une coupe... et son capital d avenir! En voulant trop bien faire, souvent on fait mal! Pour nettoyer l emprise d une coupe, on procède encore au brûlage des branches des arbres abattus, ainsi que des arbustes et épines du sous-bois. Pourquoi? Tout d abord, c est l habitude. En plus, on n aime pas laisser un chantier sale! Faire place nette permet aux bûcherons de marcher plus facilement, l exploitation des bois est facilitée. Sur sol propre, la repousse du bois serait, croiton, meilleure. Et pourtant, les feux présentent bien des inconvénients. En brûlant, on détruit de la matière organique. Celle-ci est pourtant nécessaire ; si elle restait à terre, elle alimenterait tous les micro-organismes du sol, les insectes, les vers de terre, etc. Elle contribuerait ainsi à la vie de ce substrat et donc aux arbres. N oublions pas que le sol est un milieu vivant, chaînon indispensable à la vie de la forêt. Les feux provoquent souvent de graves brûlures sur le tronc et les racines des arbres restant sur pied dans un rayon de quelques mètres. La chaleur tue la partie vivante de l arbre située sous l écorce, sans pour autant qu il y ait calcination ni noircissement. On ne voit rien dans l immédiat. Mais deux à trois ans après, une grande plaie apparaît sur les troncs. Pour le vérifier, quelques années après une coupe de taillis, repassez voir les baliveaux gardés à proximité d un feu! Enfin, bien que le problème soit limité dans notre région, les feux provoquent parfois des incendies de forêts. Alors, que faire? Ne pas brûler. Laisser les branchages sur le sol, éparpillés, par petits tas ou petits andins, pour faciliter la circulation sur la coupe. Plus la surface en contact avec le sol est importante, plus ils se dégradent rapidement. Ainsi ils auront disparu en quelques années. Les branchages ne gênent pas la repousse du bois, à moins qu ils soient en tas épais. Au contraire même, puisqu ils nourrissent le sol. Directeur de la publication : Etienne de Magnitot - Coordinateur de la rédaction : Xavier Jenner - ISSN CP 1203 B Abonnement gratuit - Edition : CRPF d'ile-de-france et du Centre - Impression : Chambre d agriculture au Chesnay. 2, avenue Jeanne d'arc - BP LE CHESNAY Cedex - tél./fax Mél. : CRPF.Versailles@wanadoo.fr - sites Internet : et Centre régional de la propriété forestière d Ile-de-France et du Centre : Chambre interdépartementale d agriculture de l Ile-de-France : Chambre départementale d agriculture de Seine-et-Marne : Syndicats des propriétaires forestiers sylviculteurs : Bois et forêts d Ile-de-France - N 20 - septembre page 8

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