Maïs grain en culture sèche
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- Olivier Leboeuf
- il y a 7 ans
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1 Maïs grain en culture sèche Mis en forme : Police :12 pt, Gras Du retard, des excès pour des résultats moyens : la campagne 2013 n est pas bon élève! Depuis quelques années, les semis de maïs étaient de plus en plus précoces sur la région sera l année qui ne confirmera pas cette tendance. L hiver ayant été très pluvieux, les préparations de sol ne sont pas ou peu avancées à la mi-mars. Quelques semis ont bien démarré fin mars/début avril, mais les pluies abondantes et les températures fraiches de début avril ont vite stoppé les chantiers de semis, entraînant un retard dans l implantation de la culture. Les sols très saturés n ont pu être retouchés qu à partir de la mi-avril grâce à de belles journées très chaudes qui ont lancé une grosse vague de semis sur la région dans les sols les plus rapidement ressuyés. Les levées ont été rapides, grâce à un sol humide et des températures douces. De nouvelles précipitations sont arrivées fin avril avec des températures plus fraîches. Les chantiers de semis prennent alors encore du retard. Les maïs levés végètent à cause de la fraicheur, et ce n est pas le mois de mai pluvieux, gris et frais qui a arrangé le scenario déjà pas très bien commencé. Les maïs commencent à accuser le manque d ensoleillement et de chaleur. Fin mai début juin les maïs sont au même stade qu en 2012 (6 feuilles environ) avec un retard de stade de 5 à 8 jours, ne facilitant pas les interventions de désherbage. Après ces premières semaines difficiles, la situation s est inversée à partir de fin juin/début juillet avec l installation d un temps plus sec et plus chaud! Pour les maïs en culture sèche Cette période a permis de rattraper un peu de retard mais les floraisons ont été quand même plus tardives de 3 à 10 jours en fonction des dates de semis. Toutes ces conditions réunies jusque-là expliquent en partie la petite taille des maïs observées cette année. Les distances courtes d insertion de feuilles sont notamment attribuées aux températures froides du printemps pour ce qui concerne les premiers étages et les déficits hydriques qui ont affecté à partir du 15 juillet la fin de croissance des tiges Et Juillet n a pas été avare de surprises, réservant des épisodes orageux en fin de mois qui ont provoqué localement de la verse et un peu de casse dans les maïs en cours de floraison notamment sur une ligne Angoulême-Poitiers. L été se poursuit avec des conditions plus sèches sur le mois d août ayant pu impacter la phase de remplissage du grain et pénalisant parfois le rendement. Les pluies ont fait leur retour début septembre, le retard enregistré difficile à rattraper est conservé, et la décision de démarrer la récolte à des humidités élevées a été comme toujours difficile à prendre. Au final, les maïs en culture sèche se sont récoltés pour la plupart entre les averses du mois d octobre avec des humidités de l ordre de 30%. Les rendements sont très hétérogènes en fonction du type de sols et des précocités (de 60 qx /ha dans des petites terres ayant souffert en août jusqu à plus de 100 qx sur des terres plus profondes).
2 Essai mis en place par la Chambre d Agriculture de la Charente Cet essai a été mis en place sur terre de champagne à Saint Martial de Montmoreau. Le semis a été réalisé le 23 avril des lors que la fenêtre climatiques le permettait. Les levées ont été rapides et homogènes. Les pluies et le froid qui ont suivi ont fortement perturbé le développement des plantes et sont à l origine du retard, de 2 à 3 semaines, de la floraison. La programmation nombre de grain/m² a été satisfaisante dans l ensemble, et les pluies de retour en fin de cycle ont été favorables au remplissage du grain mais pénalisantes pour les humidités à la récolte. ESSAI VARIETES MAIS CULTURE SECHE 2013 Agriculteurs : LAGARDE Philippe - Saint Martial Expérimentateurs : GOUAUD Lise et BESSETTES Clément CA 16 Type de sol : Champagne Date de semis : 23 avril 2013 Date de récolte : 30 octobre 2013 Codage E.T. : 8 C.V. : 8.27 % Prix de vente 165 /t Rendement économique qx/ha Coût du séchage en qx/ha Hum % Date de floraison Densité épis recoltées moyenne (x1000)/ha DKC 4795 A juil LG 3490 AB août ES PARADISIO AB août DKC 5190 AB août DKC 5031 AB juil DKC 4814 AB juil P 0621 AB août FUTURIXX AB juil MAS 51G AB août CAMA 56 AB août DKC 4950 B août CAMA 55 B août CAMA 49 B août CAMA 52 B août CAMA 54 B juil CAMA 51 B août Moyenne 75.5 qx/ha 21.8 fljhbljdfmljdf97.2 qx/ha août PMG (g) Analyse précocité et rendement En réalisant les graphiques de corrélation avec le rendement nous n avons enregistré aucune corrélation entre : - humidité à la récolte et le rendement
3 - PMG( Poids de Mile Grains) et le rendement Par contre il existe une corrélation entre : Humidité (%) Corrélation entre Date de floraison et humidité à la récolte R² = Corrélation entre floraison et rendement 37.0 Rendement (Qx/ha) R² = LG 3490 DKC AAPOTHEOZ LG SE DKC 5031 DKC 4814 FUTURIXX ES PARADISIO DKC 5190 P 0621 LG DKC 4950 ES PARADISIO MAS DKC G DKC 5031 P 0621 DKC 4814 PR37 N OXXYGEN MAS 51G DKC 4950 PR37 N01 LG SE 5441 AAPOTHEOZ 27.0 DKC 4795 OXXYGEN FUTURIXX 85.0 LG juil. 27-juil. 29-juil. 31-juil. 2-août 4-août 6-août 8-août 10-août Date de floraison juil. 27-juil. 29-juil. 31-juil. 2-août 4-août 6-août 8-août 10-août Date de Floraison - la date de floraison et l humidité à la récolte, sans grande surprise, les variétés les plus précoces à floraison terminent leur cycle avec une avance en maturité donc une humidité plus faible. - La date de floraison et le rendement : les variétés à floraison plus tardives ont des potentiels moins bons. Ces observations peuvent s expliquer par l incidence du coup de vent du 27 juillet, les variétés ayant fleuri avant le 1 er août ont bénéficié de conditions humide, donc favorables pour leur Rendement (qx/ha) SE 5441 Corrélation entre Densité épis/ha et rendement AAPOTHEOZ OXXYGEN DKC 5190 MAS 51G DKC 5031 LG 3490 P 0621 DKC 4795 DKC 4950 LG 3395 ES PARADISIO DKC 4814 PR37 N01 LG R² = FUTURIXX fécondation, alors que celles qui ont fleuri début aout ont été pénalisées par le retour d un temps sec et chaud. - la densité pieds/ha et le rendement (corrélation légère) : la logique voudrait que plus le nombre d épi/ha est élevé plus le rendement est élevé (sans tenir compte du PMG qui n influe pas dans notre essai sur le rendement). A noter que la densité dépend en partie du groupe de précocité des variétés (les variétés les plus précoces sont semées plus denses que les variétés tardives). densité épis/ha x 1000 D après ces constatations nous pouvons émettre l hypothèse que la composante de rendement majoritaire est la date de floraison avec les conditions climatiques qui ont impactés sur la fécondation. Les autres composantes n ont pas ou peu d impact. Synthèse régionale Les essais maïs culture sèche mis en place par les différents partenaires, et dont les résultats figurent ci-dessous, ont pour objet de tester les variétés les plus représentatives du segment du marché des variétés demi-précoces à tardives dans une zone où le maïs sec a une place importante dans les assolements. Cette année trois essais ont été mis en place. Tirer des conclusions de ces résultats serait hasardeux mais la représentation graphique nous permet d avoir une tendance.
4 Cette année la représentation graphique a quelques peu évolué et nous vous présentons les résultats, exprimés en %, sur une base 100 correspondant à la moyenne des variétés DKC 4795 et DKC 5190 pour cet essai. Ces 2 variétés ont été choisies comme témoins car considérées comme des références en culture sèches. Du fait que ces 2 variétés répondent à un bon potentiel, les moyennes des autres variétés se trouvent plus en deçà de la base 100 que les années précédentes. Les variétés de référence LG 3490 (Limagrain, 2009, Indice 520) : Variété tardive début de groupe 500 (récolté à plus 35 % d humidité sur 2 essais). C est une variété qui a un potentiel en «dent de scie» selon les années: décevante l an passé en sec, elle remonte cette année en 3 ème position. Plante qui se fait remarquer par son gabarit haut avec aussi une insertion haute. Bon PMG. Elle possède une bonne tenue de tige, bien en verse, et une bonne tolérance aux maladies du feuillage. DKC 5190 (Dekalb, 2009, Indice 520) : Variété tardive, elle est légèrement audessus de la moyenne cette année, mais reste un peu décevante en culture par rapport au potentiel qu on lui attendait. Elle possède un bon profil pour être cultivée en culture sèche : c est une plante courte à insertion basse, elle a une floraison précoce et une dessiccation rapide. Une bonne tolérance à la fusariose tige et aux maladies de fin de cycle. Bon PMG. DKC 4950 (Dekalb, 2004, Indice 480) : Variété demi-tardive avec un potentiel toujours à la moyenne. C est une variété que l on retrouve toujours dans les classements quelques soit les situations et les années. Référence depuis quelques années en culture sèche, elle tend maintenant à laisser sa place à des petites nouvelles. C est une plante au gabarit court avec une bonne tenue de tige.
5 DKC 4795 (Dekalb, 2009, Indice 430) : variété en tête cette année en culture sèche, comme bien souvent depuis quelques années Elle ne fait que confirmer son bon positionnement en conditions sèches. Variété rustique sur l élaboration de son rendement avec une dessiccation rapide en fin de cycle. Plante courte à insertion basse, avec un bon PMG, quelques tiges creuses sur un site. DKC 4590 (Monsanto, 2009, Indice 400) : Variété demi-précoce. Plante moyennement haute à insertion haute. Présente sur un seul site cette année, elle se positionne dans la deuxième partie du classement avec un rendement légèrement supérieur à la moyenne de l essai. Cette année encore elle confirme sa grande capacité à programmer beaucoup de grain/m² au détriment du PMG qui se retrouve faible. Variété rustique à bon potentiel en situation sèche. OXXYGEN (Ragt, 2009, Indice 380): Variété demi-précoce au potentiel décevant cette année : de tête de classement l an passé elle passe en queue de peloton cette année (présente sur 2 sites seulement). La vigueur de l année dernière n a pas été retrouvée. Plante haute à insertion d épi moyenne. Floraison plutôt tardive cette année. Surveiller les tiges creuses. Les variétés en 2ème année d expérimentation P 0725 (Pionner, 2010, Indice 490) : Variété demi-tardive. Bonne vigueur de départ. Elle a été testée pour la deuxième fois dans les essais en situation sèche.et est décevante cette année : sa floraison tardive et dessiccation lente ne l ont pas favorisée. C est une variété à petits grains. Sur l essai conduit sur terre de champagne elle présente un peu de tiges creuses DKC 4814 (Dekalb, 2011, Indice 470) : Variété demi-tardive. Pour sa deuxième année en culture sèche, elle confirme les bons résultats entrevus l an dernier.elle possède une vigueur de départ moyenne. Plante trapue à insertion basse avec une dessiccation rapide. Attention quand même au stress fin de cycle. A poursuivre dans les essais en culture sèche. Semble bien se comporter en champagnes. FUTURIXX (Ragt, 2009, Indice 410) : Variété de tout début de groupe demitardive. Variété qui ressort bien cette année avec un bon potentiel de rendement la classant dans les premières. Bonne régularité sur l ensemble des essais. Plante haute à insertion d épi moyenne. Bonne vigueur au départ. Nouvelle variété à poursuivre en conditions sèches. Elle possède une bonne tenue de tige et est bien en verse. Les variétés en 1ère année d expérimentation DKC 5222 (Dekalb, 2012, Indice 520) : Variété tardive présente pour la première année en culture sèche et seulement en Vendée. Elle ressort en cinquième position du classement de cet essai avec une bonne programmation : un grand nombre de grains mais un petit PMG. Plante courte à insertion basse. Bien en tige creuse. MAS 51 G (Maisadour, 2011, Indice 480) : Variété demi-tardive. Elle ressort en tête de classement en Vendée et est plutôt à la moyenne des essais sur terres de champagne (Charente et Charente Maritime). Plante assez haute à insertion basse. Bien en tige creuse et en verse. Elle possède une excellente rusticité et une dessiccation rapide qui convient bien aux cultures sèches.
6 PO222 (Pioneer, 2010, Indice 480) : Variété présente que sur le site de la Vendée. Elle finit légèrement au-dessus de la moyenne des rendements. Bonne vigueur de départ. Variété programmant un grand nombre de grains mais avec un petit PMG. PR 37 N01 (Pioneer, 20, Indice 420) : Variété du début de groupe des demitardifs, que nous testions pour la première année. Elle présente une bonne régularité sur terre de champagne, avec un potentiel moyen. C est une variété que l on choisira pour sa rusticité et sa capacité à passer partout. Elle est bien en tige creuse mais est sensible à la verse. Conclusion : Ces essais mettent en avant les variétés les plus adaptées à des situations non irriguées. Celles-ci sont bien souvent moins sensibles aux longues périodes de stress hydrique. Elles possèdent une certaine aptitude à maintenir ou compenser les composantes de rendement en conditions sèches. La campagne 2013 souligne et nous confirme l importance de la rusticité d une variété dans les 8 à 10 jours encadrant la floraison. D autres critères comme la précocité, la programmation du nombre de grain/m² et le PMG sont à prendre en compte lors du choix des variétés à implanter en culture sèches.
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