LA MORPHOGENESE VEGETALE ET LA MULTIPLICATION CELLULAIRE
|
|
- Antoine Després
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 -B- LA MORPHOGENESE VEGETALE ET LA MULTIPLICATION CELLULAIRE : la mitose, un processus commun aux cellules eucaryotes. 1
2 Nous avons vu au cours du premier chapitre que l observation d un végétal en croissance montre que la croissance ne se déroule pas sur toute la longueur du végétal. La croissance a lieu au niveau des méristèmes. Dans ces tissus, l observation microscopique montre une importante activité de multiplication cellulaire. Les cellules se divisent rapidement et leur nombre augmente donc rapidement. Le principe général de la multiplication cellulaire est le suivant : une cellule mère doit transmettre à 2 cellules filles son information génétique. Ces 2 cellules filles sont donc génétiquement identiques entre elles. Comment cela est-il possible? Il s agit d une reproduction conforme. Celle-ci nécessite 2 phases distinctes indissociables et complémentaires : une phase de réplication de l information génétique, c'est-à-dire des molécules d ADN ; et une seconde phase de division cellulaire appelée mitose assurant une égale répartition de l information génétique dans 2 cellules distinctes, mais qui seront génétiquement identiques. 1. La duplication de l ADN. La duplication de l ADN se déroule au cours de l étape préliminaire à savoir l interphase. a) L interphase (Document 11) Elle représente tout l intervalle entre la formation et la division de la cellule. L interphase se divise en 3 sous-phases appelées G 1, S et G 2. Au cours de la phase G 1 (G est l initiale de Gap qui signifie discontinuité, mais aussi de Growth qui signifie croissance), les cellules sont métaboliquement actives, synthétisent des protéines et augmentent considérablement de volume. Puis a lieu la phase S (pour Synthèse) au cours de laquelle un phénomène important a lieu : la réplication. Après la phase S a lieu la phase G2 qui est très brève. Pendant cette période, les enzymes et autres protéines nécessaires à la division cellulaire sont synthétisées. A la fin de G2, la réplication est terminée. Remarques : 1) On parle de phase G0 pour des cellules qui ne se divisent plus (ex : les neurones et les cellules musculaires). 2) Une cellule peut rester au stade G1 pendant plusieurs années si le signal prolifératif n est pas donné. La cellule reste à un stade G1 appelé R (pour Restriction). La sortie de R permet le démarrage de l interphase. 3) La phase G1 d une cellule végétale dure en moyenne 12 h. La phase S d une cellule végétale dure en moyenne de 6 à 8 h. La phase G2 d une cellule végétale dure en moyenne de 3 à5 h. 2
3 b) La Réplication (Document 12) La réplication commence par le déroulement des hélices d ADN. Les liaisons hydrogène qui unissent les paires de bases se rompent.(c est une hélicase qui déroule l ADN et la rupture des liaisons hydrogène). La réplication a généralement lieu à un endroit en forme de Y appelé fourche de réplication. Chaque brin de nucléotide sert de matrice pour la synthèse d une chaîne complémentaire de nucléotides à partir de nucléotides présents dans le nucléoplasme. L ATP fournit l énergie nécessaire à ce processus. L enzyme qui positionne et lie les nucléotides est appelée ADN polymérase. La synthèse de l ADN (Document 13) se fait de façon séparée sur chaque brin, l ADN polymérase se déplace de l extrémité 3 vers l extrémité 5 sur le 1 er brin puis sur le brin 2 dans le sens 3-5. La lecture du brin 3-5 est précédée par la formation d une amorce d ARN de 10 nucléotides environ grâce à une primase. Ensuite ce brin amorce est hydrolysé par une exonucléase pour permettre l assemblage de ces fragments d une centaine de nucléotides appelés fragments d Okazaki. Ensuite les 2 brins néoformés s assemblent aux brins matrices pour former les 2 chromatides. ð La totalité de l ADN est aussi dupliquée avant la mitose, la cellule mère contient donc une quantité d ADN double. Exemple : 3
4 Deux molécules d ADN seront donc formées à partir de l hélice d ADN originale à laquelle elles sont identiques, chaque molécule d ADN comporte un brin matrice (c'est-à-dire le brin ancien) et un brin nouveau (c est-à-dire le brin néoformé). C est pourquoi le mécanisme de la réplication de l ADN est souvent appelé réplication semi-conservative. Le modèle de réplication semi-conservative a été proposé en 1953 par Watson et Crick. Ce modèle a été confirmé par Taylor (1957) sur des cellules de racines de Bellevalia, une plante proche du lis et par Meselson et Stahl (1958) sur une bactérie Escherichia coli. Nous pouvons observer ce phénomène de réplication au microscope électronique (Document 14) : il est alors possible de voir des zones appelées «yeux de réplication» où la molécule d ADN semble s être dédoublée. Chaque œil correspond en fait à deux «fourches de réplication», figures en forme de Y, qui progressent en sens inverse et assurent la réplication de la molécule d ADN. Du fait de la progression en sens inverse des fourches de réplication au niveau de chaque œil, les différents yeux finissent par se rejoindre et la molécule d ADN est ainsi dupliquée. Remarques: 1) L ADN polymérase est douée d une fonction de «correction d erreurs» : elle contrôle systématiquement le dernier nucléotide mis en place et, s il existe une erreur d appariement, elle enlève ce nucléotide et le remplace par le bon nucléotide. Ainsi la réplication de l ADN est un processus fiable. 2) Bien distinguer duplication et réplication La duplication correspond au dédoublement d un élément cellulaire, d une molécule comme la duplication de l ADN. On emploie le terme de réplication de l ADN quand on fait référence au mécanisme et non au résultat. 2. Le déroulement de la mitose (Document 15) (dans le cas d une cellule végétale eucaryote). La mitose est un terme réservé à la division des cellules eucaryotes des organismes pluricellulaires. La mitose correspond à la division d une cellule mère en 2 cellules filles. Les mitoses des cellules vivantes permettent ainsi le développement d un tissu ou le remplacement de ses cellules mortes. Cette mitose a lieu après l interphase. Elle permet le partage du matériel génétique dupliqué. 4
5 La mitose est un phénomène continu mais on a néanmoins fixé 4 phases. a) La prophase (du grec pro, en avant) : C est la phase la plus longue. Lors de cette phase, la chromatine s organise en filaments de plus en plus épais, nets et courts et colorables appelés chromosomes. Chez l Homme, ils sont au nombre de 46. Chaque chromosome est divisé en 2 chromatides réunies par un centromère. A ce stade, les chromosomes sont constitués de 2 filaments nommés chromatides (les chromosomes sont alors dits bichromatidiens) unis par un centromère. Les 2 chromatides qui constituent un chromosome sont en réalité 2 molécules d ADN, condensés et associés à des protéines (histones) mais identiques l une de l autre car elles proviennent d une même molécule initiale par processus de réplication. Un chromosome est constitué de 2 chromatides génétiquement identiques. Le nucléole disparaît progressivement L enveloppe nucléaire se démantèle progressivement et finit par disparaître ; Entre les 2 pôles de la cellule s organise dans le cytoplasme un fuseau de division (appelé aussi fuseau mitotique ou fuseau achromatique). Il est constitué d éléments appartenant au cytosquelette : les microtubules. Ces structures fibreuses sont elles-mêmes formées de tubuline, une protéine dont les sous-unités peuvent s assembler par polymérisation. Remarque : Dans une cellule animale, les 2 centrioles entourés de fibres rayonnantes migrent vers les 2 pôles, leur aspect étoilé leur a fait donner le nom d ASTER. 5
6 b) La métaphase (du grec meta, transformation). C est une phase de courte durée. La condensation des chromosomes est maximale. Jusqu alors disposés en vrac dans la cellule, les chromosomes entrent en mouvement et se rassemblent dans un plan à égales distances des deux pôles. Tous les chromosomes sont bien rangés dans un plan médian à la cellule, d où la dénomination de plaque équatoriale. C est en particulier au cours de cette phase que l on peut, le plus facilement les dénombrer et les identifier. Au moment de la métaphase mitotique, chaque chromosome est relié aux deux pôles du fuseau mitotique par des microtubules (appelés aussi fibres chromosomiques ou fibres kinétochoriennes) s attachant au niveau du centromère. Les centromères sont alignés sur le plan équatorial. c) L anaphase (du grec ana, en haut) C est une phase très rapide. Au cours de cette phase, il se produit un raccourcissement des fibres chromosomiques. Cela entraîne une traction qui s exerce sur les centromères des chromosomes. A la suite d un clivage du centromère, les 2 chromatides de chaque chromosome se séparent, les 2 chromosomes-fils (chromosomes monochromatidiens) ainsi formés s éloignent l un de l autre. L anaphase est donc caractérisée par l ascension polaire de deux lots identiques de chromosomes. La séparation des deux copies de l information génétique se produit alors, c est le phénomène de caryocinèse. 6
7 La séparation des deux lots identiques de chromatides se poursuit jusqu à ce que ces dernières soient parvenues aux pôles du fuseau. d) La télophase (du grec telos, fin). C est une phase d une durée comparable à celle de la prophase Les chromatides, séparées en deux lots identiques aux pôles du fuseau, vont se décondenser, tandis que se reconstituent de nouvelles enveloppes nucléaires autour de ces chromatides. Deux noyaux-fils se reconstituent contenant chacun un des deux copies de l information génétique. Ces deux noyaux-fils sont quantitativement et qualitativement identiques sur le plan génétique. Le fuseau mitotique disparaît. A cette mitose succède alors une phase de division cytoplasmique que nous étudierons dans la partie 3. Bilan : A l issue de la mitose, on obtient 2 cellules filles identiques entre elles et identiques à la cellule mère, identiques d un point de vue génétique et d un point de vue cytoplasmique. On parle de reproduction conforme. Ces cellules filles ont plusieurs destinées possibles : - elles retournent en interphase (phase G1) et se préparent à une nouvelle reproduction conforme. - elles cessent de se diviser, se spécialisent et n accomplissent qu une fonction précise. Ces cellules différenciées sont hors-cycle (celles en phase G0). Nous pouvons citer quelques exemples : les cellules des feuilles vont se spécialiser dans la photosynthèse, les cellules de racines se spécialisent dans l absorption de l eau et des nutriments, L association multiplication cellulaire et différenciation cellulaire aboutit, selon un programme génétique précis, au développement d un végétal particulier, présentant des caractéristiques propres. L ensemble Interphase + Mitose correspond à un cycle cellulaire. e) Notion de cycle cellulaire : ð Les caractéristiques du cycle cellulaire (Document 16). 7
8 Le schéma se lit dans le sens des aiguilles d une montre. ð Evolution de la quantité d ADN par cellule au cours du cycle cellulaire (Document 11). Si l on mesure la quantité d ADN dans le noyau cellulaire, on observe que la quantité «q» d ADN présente en début d interphase (G1) double en fin d interphase (soit «2q») et reste constante pendant la mitose. Puis lors de la télophase c est-à-dire lors de la séparation des 2 cellules filles, on retrouve la même quantité «q» d ADN. Le Document 17 représente le cycle cellulaire sur le plan quantitatif et sur le plan qualitatif. Les nucléofilaments (ADN + protéines) passent alternativement par des phases où ils sont présents en simple ou en double exemplaire, ainsi que par des phases où ils sont plus ou moins condensés. On peut bloquer le cycle mitotique à la métaphase pour réaliser un caryotype. ð Notion et établissement d un caryotype. Un caryotype est une présentation photographique ou dessinée du nombre et de la forme des chromosomes, il est caractéristique de l espèce (Document 18). La colchicine est aussi appelée antimitotique. Cette molécule bloque la mitose en métaphase en empêchant la formation du fuseau mitotique et donc la séparation des chromatides des chromosomes dupliqués. f) Signification de la mitose. ð Les rôles de la mitose : Chez l Homme, la mitose a lieu 30 h après la fécondation. Les mitoses embryonnaires conduisent à l augmentation rapide du nombre de cellules et à l édification d un organisme pluricellulaire. Chez les animaux, les mitoses sont essentiellement destinées à pourvoir au remplacement des cellules mortes Les cellules nerveuses ne se divisent jamais au sein du système nerveux de l adulte. Les hématies du sang (cellules anucléées) ne se divisent pas. Les cellules musculaires possèdant plusieurs centaines de noyaux (cellules plurinucléées) ne subissent pas de mitoses. Chez les végétaux, les mitoses permettent la croissance végétale. ð Altération de la mitose Les cancers sont des anomalies cellulaires : les cellules subissent des divisions anormales à un rythme considérable et donnent naissance à un massif cellulaire important (tumeur). 8
9 Examinons les divisions cellulaires d un point de vue cytoplasmique. 3. Le partage du cytoplasme : la cytodiérèse (appelée aussi cytocinèse). Chez les végétaux, la séparation du cytoplasme s effectue par la construction d une nouvelle paroi à l équateur de la cellule. Cette étape est assurée par l alignement de vésicules golgiennes sur l ancien plan équatorial du fuseau. Ces vésicules, contenant des précurseurs de la paroi cellulaire, se dirigent vers le centre de la cellule. Ces vésicules fusionnent et forment le phragmoplaste, qui lui-même fusionne à ses 2 extrémités avec la membrane plasmique de la cellule. Les 2 cellules filles sont alors formées, une nouvelle paroi les sépare (Document 19). Chez les animaux, le cytoplasme est divisé en 2 par un simple étranglement du cytoplasme dans la région équatoriale du fuseau de division (Document 20). Conclusion : La croissance des végétaux passe par une phase de multiplication cellulaire, située au niveau des méristèmes. A leur niveau, les cellules issues de mitoses, après réplication de l ADN en interphase, peuvent continuer à se multiplier ou peuvent se différencier et participer à la construction morphologique et fonctionnelle du végétal. Mais un autre phénomène intervient, la croissance cellulaire qui, comme la multiplication cellulaire, participe à la croissance du végétal. 9
LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE
Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule
Plus en détailSéquence 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN
Séquence 1 Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN Sommaire 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN 2. Variabilité
Plus en détailChapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire
UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailInformation génétique
chapitre 3 Information génétique et division cellulaire L étude de la division cellulaire est abordée pour découvrir comment est transmise et conservée l information génétique portée par les chromosomes.
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne
ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une
Plus en détailINFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE
Partie 1, Chapitre 4 INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Constat : à l'exception des jumeaux, chaque individu est unique. Ses caractères héréditaires dependent des info génétiques (allèles) portées
Plus en détail1 les caractères des êtres humains.
Quelques rappels des classes précédentes ACTIVITÉ livre pages 8 et 9 : apprendre le bilan de la page 9 Les êtres vivants sont répartis en espèces. Chaque être vivant est formé de cellules. schéma d une
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailVieillissement moléculaire et cellulaire
Vieillissement moléculaire et cellulaire Yves Courtois Lorsque, en 1961, Léonard HAYFLICK, aux USA, re - mit en cause le concept général de l'immortalité des cellules, il apportait à la recherche en gérontologie
Plus en détailI. La levure Saccharomyces cerevisiae: mode de vie
LES LEVURES UE «levures» -5 avril: généralités (MN Simon) -6 avril: analyse génétique (MN Simon) -6 avril: Cycle cellulaire I: la réplication (E. bailly) -7 avril: Cycle cellulaire II: la mitose (E. Bailly)
Plus en détailLe cycle de division cellulaire et sa régulation
Oncologie (2003) 5: 311-326 pringer-verlag 2003 311 Le cycle de division cellulaire et sa régulation L. eijer Équipe Cycle Cellulaire, CNR, tation Biologique, F-29680 Roscoff, France ORIGINAL Résumé :
Plus en détailSITUATION PROFESSIONNELLE
PÔLE Biologie et microbiologie appliquées Ergonomie-soins Sciences médico-sociales Animation et éducation à la santé Nutrition-alimentation Services à l usager SITUATION N 1 COMPETENCES C.2.2.1. Présenter
Plus en détailLes débuts de la génétique
HPITRE 9 DES DÉBTS DE L ÉNÉTIQE X ENJEX TELS DES BIOTEHNOLOIES 1 Les débuts de la génétique est avec les travaux de regor Mendel vers la fin du XIX e siècle que furent posées les bases de la génétique.
Plus en détailEpreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9
Epreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9 Travaux pratiques de biologie... 17 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 26 Travaux d initiative personnelle encadrés
Plus en détailBanque Agro-Veto Session 2014 Rapport sur les concours A filière BCPST
1 Épreuve de biologie Épreuve non prise en compte au concours PC BIO Concours Nb cand. Moyenne Ecart type Note la plus basse Note la plus haute A BIO 2158 11,94 4,10 1 20 A ENV 883 13,54 3,69 1,5 20 Ce
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailgrande simple microscope microscope inventé années 1825. biologie = cellule) et (logos de plus en Anglais. Utilise un La microscopie, 1665,
Cours de Biologie Cellulaire Présentés par Mr CHELLI A. FSNV 2012/ /2013 CHAPITRE I : INTRODUCTION A LA BIOLOGIE CELLULAIRE A- Introduction et définitionn de la biologie cellulaire : Il était difficile
Plus en détailTravaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015
Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne
Plus en détailIntroduction au Monde VégétalV. Les Champignons. Les Algues. Introduction au Monde Animal. Les Invertébr. (Les Lichens)
Enseignement de Biologie des Organismes 11 ère ère année de de Licence DEUG STS STPIBGS Introduction au Monde VégétalV Les Champignons Les Algues Introduction au Monde Animal Les Invertébr brés (Les Lichens)
Plus en détailStabilitéet variabilitédes génomes au cours de la reproduction sexuée
Stabilitéet variabilitédes génomes au cours de la reproduction sexuée 1 1 Reproduction sexuée et stabilitéde l espèce 2 2 L évolution du nombre de chromosones au cours de la reproduction sexuelle Le cycle
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailVue d ensemble de la vie microbienne
Vue d ensemble de la vie microbienne C HAPITRE D EUX I Structure cellulaire et évolution 22 2.1 Les structures cellulaires et virales 22 2.2 L organisation de l ADN dans les cellules microbiennes 24 2.3
Plus en détailPARTIE I Compte pour 75 %
PARTIE I Compte pour 75 % Instructions : Noircissez la lettre correspondant à la bonne réponse sur la feuille de réponse fournie. 1. Dans le diagramme, quelles structures font partie du système nerveux
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailSéquence 2. L expression du patrimoine génétique. Sommaire
Séquence 2 L expression du patrimoine génétique Sommaire 1. La synthèse des protéines 2. Phénotypes, génotypes et environnement Synthèse de la séquence 2 Exercices de la séquence 2 Glossaire des séquences
Plus en détailLa notion de croissance (végétale) en sixième et en première S.
La notion de croissance (végétale) en sixième et en première S. Activité proposée : La notion de croissance est abordée en classe de 6 ème et elle est traitée en première S. Montrez sur cet exemple qu
Plus en détailChapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype
Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chaque chromosome est en double exemplaire Donc chaque gène (situé sur son locus) est en double exemplaires : et peut être sous différente
Plus en détailCoordinateur Roland Calderon
SVT-3 e -/Sciences de la Vie et de la Terre-/ erre-/-programme 2008 LIVRE DU PROFESSEUR Coordinateur Roland Calderon Les auteurs Vincent Béranger Professeur à Paris Louis-Marie Couteleau Professeur à Paris
Plus en détailRAPPORT SUR LE CONCOURS D ADMISSION AUX ÉCOLES NATIONALES VÉTÉRINAIRES CONCOURS B ENV
Ministère de l'agriculture et de la pêche Service des Concours Agronomiques et Vétérinaires RAPPORT SUR LE CONCOURS D ADMISSION AUX ÉCOLES NATIONALES VÉTÉRINAIRES CONCOURS B ENV Session 2005 Ministère
Plus en détail4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE
4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE L écologie microbienne (ou étude des micro-organismes de l environnement) étudie : les relations entre les différentes populations de micro-organismes
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailSection «Maturité fédérale» EXAMENS D'ADMISSION Session de février 2014 RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES. Formation visée
EXAMENS D'ADMISSION Admission RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES MATIÈRES Préparation en 3 ou 4 semestres Formation visée Préparation complète en 1 an 2 ème partiel (semestriel) Niveau Durée de l examen
Plus en détailCommentaires sur les épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre
Commentaires sur les épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre Épreuve ÉCRITE de BIOLOGIE A...2 Épreuve ÉCRITE de BIOLOGIE B...9 Épreuve ORALE de BIOLOGIE...13 ANNEXE 1 : LISTE DES SUJETS D ORAL PROPOSÉS
Plus en détailUniversité de Montréal. Développement d outils pour l analyse de données de ChIP-seq et l identification des facteurs de transcription
Université de Montréal Développement d outils pour l analyse de données de ChIP-seq et l identification des facteurs de transcription par Eloi Mercier Département de bioinformatique Faculté de médecine
Plus en détailVI- Expression du génome
VI- Expression du génome VI-1.- EXPRESSION DU GÉNOME- PRINCIPES GÉNÉRAUX DOGME CENTRAL Les gènes et l information génétique sont conservés sous forme d acides nucléiques La perpétuation à l identique de
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailL universalité et la variabilité de l ADN
L universalité et la variabilité de l DN Unité 4 3 μm hromosomes observés en microscopie électronique à balayage. Les chromosomes, présents dans le noyau, sont constitués d acide désoxyribonucléique (DN).
Plus en détailIntroduction générale
Introduction générale Touchant près de 600 nouvelles personnes chaque année en France, la leucémie myéloïde chronique est une maladie affectant les cellules du sang et de la moelle osseuse (située au cœur
Plus en détailTransformations nucléaires
I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailCompétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur
Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détail2 C est quoi la chimie?
PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailNEUROPHYSIOLOGIE (2)
NEUROPHYSIOLOGIE (2) B - LE SYSTEME NERVEUX (SUITE) - NEURONES ET GLIOCYTES IV - LES NEURONES ET LES GLIOCYTES 1) OBJET DE LEUR ETUDE La NEUROPHYSIOLOGIE est l étude du fonctionnement du système nerveux.
Plus en détailLa vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août
La vie des étoiles La vie des étoiles Mardi 7 août A l échelle d une ou plusieurs vies humaines, les étoiles, que l on retrouve toujours à la même place dans le ciel, au fil des saisons ; nous paraissent
Plus en détailMicroscopie Confocale. Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire
Université Paris Descartes L3 - Licence Professionnelle «Industries chimiques et Pharmaceutiques Option Biotechnologie» Microscopie Confocale Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire Bruno
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailMYRIAD. l ADN isolé n est à présent plus brevetable!
MYRIAD La Cour Suprême des Etats-Unis revient sur plus de 30 ans de pratique : l ADN isolé n est à présent plus brevetable! Mauvaise passe pour les inventions en biotechnologies sur le territoire américain.
Plus en détailLa reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006
La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel En 1890 Emil Fisher a proposé le modèle "serrure et clé" pour expliquer la façon de fonctionner des systèmes biologiques. Un substrat rentre et
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailUn laboratoire d auto-immunité paperless : mythe ou réalité? L.Lutteri Laboratoire d auto-immunité Service de Chimie Clinique CHU Liège
Un laboratoire d auto-immunité paperless : mythe ou réalité? L.Lutteri Laboratoire d auto-immunité Service de Chimie Clinique CHU Liège Immunofluorescence Dépistage Aspect Titre Cellules Hep 2: Connectivites
Plus en détailSéquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.
Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications
Plus en détailLuca : à la recherche du plus proche ancêtre commun universel Patrick Forterre, Simonetta Gribaldo, Céline Brochier
MEDECINE/SCIENCES 2005 ; 21 :???-??? > L application des méthodes de la biologie moléculaire à l étude des premières étapes de l évolution a montré que le monde vivant pouvait être divisé en trois domaines
Plus en détaila)390 + 520 + 150 b)702 + 159 +100
Ex 1 : Calcule un ordre de grandeur du résultat et indique s il sera supérieur à 1 000 L addition est une opération qui permet de calculer la somme de plusieurs nombres. On peut changer l ordre de ses
Plus en détailContrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles
Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles http://perso.univ-rennes1.fr/serge.hardy/ utilisateur : biochimie mot de passe : 2007 L'ARNm, simple intermédiaire entre le
Plus en détailUnivers Vivant Révision. Notions STE
Univers Vivant Révision Notions STE Chap. 13) L Écologie 1) a) Qu est-ce que l empreinte écologique? L empreinte écologique correspond à la surface terrestre et aquatique totale nécessaire à un individu,
Plus en détailEnergie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015
Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la
Plus en détailChapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation
Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le
Plus en détailAnnales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année)
Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Equipe pédagogique Université Bordeaux-1 Didier Morin, Michel Moenner, Sophie North, Gérard Tramu et IJsbrand Kramer Contact : i.kramer@iecb.u-bordeaux.fr
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailL ÉLECTRICITÉ C EST QUOI?
L ÉLECTRICITÉ C EST QUOI? L électricité est le moyen de transport de l énergie! L électricité, comme l énergie, est présente dans la nature mais on ne la voit pas. Sauf quand il y a un orage! L électricité
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailChapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)
Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détail3: Clonage d un gène dans un plasmide
3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par
Plus en détailGénétique et génomique Pierre Martin
Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détailAC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =
LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste
Plus en détailLes outils de génétique moléculaire Les techniques liées aux acides nucléiques
Les outils de génétique moléculaire Les techniques liées aux acides nucléiques Sommaire Preparation des acides nucléiques Extraction / purification Les enzymes agissant sur les acides nucléiques Les enzymes
Plus en détailFonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI
Fonction de conduction de la moelle épinière Dr F. TOUMI I. GENERALITES : Communication Moelle avec les centres supra spinaux Communication Intra segmentaire (ipsilatérale / controlatérale) Communication
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailLA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte
LA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte Comment comprendre sa maladie de Waldenström lorsque l'on est ni médecin, ni biologiste? Bernard Cornillon, biochimiste à l'inserm, a rédigé ce document
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailLes lières. MSc in Electronics and Information Technology Engineering. Ingénieur civil. en informatique. MSc in Architectural Engineering
Ingénieur civil Ingénieur civil Les lières MSc in Electronics and Information Technology Engineering MSc in Architectural Engineering MSc in Civil Engineering MSc in Electromechanical Engineering MSc
Plus en détail- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites
LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les
Plus en détailModule 5 La maturation de l ARN et le contrôle post-transcriptionnel chez les eucaryotes
Module 5 La maturation de l ARN et le contrôle post-transcriptionnel chez les eucaryotes Où trouver l'information complémentaire? MCB -11, GVII-5, 22, 23. La maturation des ARNm chez les eucaryotes Les
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailCOUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux
COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection
Plus en détailStage : "Développer les compétences de la 5ème à la Terminale"
Stage : "Développer les compétences de la 5ème à la Terminale" Session 2014-2015 Documents produits pendant le stage, les 06 et 07 novembre 2014 à FLERS Adapté par Christian AYMA et Vanessa YEQUEL d après
Plus en détailL ÉLECTRICITÉ, C EST QUOI?
L ÉLECTRICITÉ, C EST QUOI? L'électricité est le moyen de transport de l'énergie! L électricité, comme l énergie, est présente dans la nature mais on ne la voit pas. Sauf quand il y a un orage! L électricité
Plus en détailLA TRANSMISSION DES CARACTÈRES
LA TRANSMISSION DES CARACTÈRES HÉRÉDITAIRES BIO-5065-2 GUIDE D APPRENTISSAGE BIOLOGIE Janvier 2005 Version révisée (avril 2005) 2 Ce document, produit par la Commission scolaire Marie-Victorin, reprend
Plus en détailSéquence 4. La nature du vivant. Sommaire. 1. L unité structurale et chimique du vivant. 2. L ADN, support de l information génétique
Séquence 4 La nature du vivant Sommaire 1. L unité structurale et chimique du vivant 2. L ADN, support de l information génétique 3. Synthèse de la séquence 4. Exercices Devoir autocorrectif n 2 Séquence
Plus en détailDepuis des milliers de générations, le ver à soie est l objet d une sélection
Production de soie et caractéristiques des glandes séricigènes de 13 races de ver à soie (Bombyx mori) J. M. FAYARD Laboratoire de biométvie, Dépavtement de biologie générale et appliquée Université Claude
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailVégétaux Exemples d individus
Végétaux Formation Biologie 2011 2012 Végétaux Exemples d individus Végétaux Embranchement Classification Description Reproduction Mode de vie Exemples d individu Végétaux Règne > Etymologie «Végetaux»
Plus en détailPlateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations
Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA «Anexplo» Service Transgenèse Catalogue des prestations 04/01/12 - Page 1 sur 8 Présentation du service de Transgenèse Le service de Transgenèse
Plus en détailLA PHYLLOTAXIE SPIRALE
ALBERTIN Thierry - CAVALLARO Jean-Sébastien - MARCHESE Emilie 1 ère S 3 LA PHYLLOTAXIE SPIRALE Lycée Thierry MAULNIER Année Scolaire : 2004-2005 Professeurs : M. Gouy (S.V.T.) M. Martinez (Mathématiques)
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailTout sur le sucre Octobre 2012
1 2 Tout sur le sucre Par Jérémy Anso Extrait 3 Disclaimer A lire 4 Vous êtes en train de lire un extrait du futur guide «Tout sur le sucre» qui sera disponible sur le site à partir du 31 octobre. Ce petit
Plus en détail