TECHNOLOGIE DE L OPTIQUE GUIDEE
|
|
- Catherine Géraldine Rousseau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Patrie UNIVERSITE DE YAOUNDE I ECOLE NATIONALE SUPERIEURE POLYTECHNIQUE REPUBLIC OF CAMEROUN Peace - Work Fatherland UNIVERSITY OF YAOUNDE I NATIONAL ADVANCED SCHOOL OF ENGENEERING MASTER PRO 2 EN TELECOMMUNICATIONS TECHNOLOGIE DE L OPTIQUE GUIDEE Leçon 1 : PRINCIPE, PROPRIETES ET TECHNOLOGIES DE LA FIBRE OPTIQUE Equipe des concepteurs : - Martin KOM - Jean EYEBE FOUDA - Guillaume KOM Le contenu est placé sous licence /creative commons/ de niveau 5 (Paternité, Pas d'utilisation commerciale, Partage des conditions initiales à l'identique)..
2 Séquence 1 2 ième partie 1.2 Propriétés des fibres optiques Introduction En tant que canal de transmission, la fibre optique est sujette, comme tout autre canal de transmission, à des déperditions de puissances du signal optique. On peut attribuer ces pertes de puissances à deux types distincts de causes : - les pertes dues à la nature et la structure de la fibre optique (atténuation ou affaiblissement intrinsèque) -les pertes liées à l utilisation de la fibre optique dans les liaisons optiques (pertes de raccordement, de courbures de microcourbure.) Ce phénomène d atténuation, de même que la bande passante, sont les principales propriétés des fibres optiques que nous examinons ci-dessous Pertes dues à la nature et la structure de la fibre optique et conséquences. Atténuation ou affaiblissement intrinséque : «Fenêtres optiques» L affaiblissement ou l atténuation de la fibre optique est due essentiellement à l absorption et à la diffusion de la lumière dans le milieu diélectrique de la fibre. Les impuretés et les inhomogénéités dans le matériau sont des sources de perte de puissance optique transmise. La réduction de cette atténuation est donc avant tout une affaire de technologie et de méthode de production. La courbe typique de l atténuation spectrale du matériau de fabrication de fibre optique (silice) est présenté sur la figure 1.15 :
3 Fig 1.15 : Atténuation spectrale du matériau de fabrication de la fibre optique (silice) Fig 1.16 : Gammes d ondes utilisées dans les fibres optiques La valeur limite de l affaiblissement est donnée par la loi de Rayleigh, qui affirme que la puissance optique absorbée décroît comme λ 4. les pics de la courbe sont dus aux résonances des ions OH - présents comme impuretés dans la fibre. On remarque l existence de trois fenêtres spectrales, régions où l atténuation est minimale. Les fibres optiques fonctionnent actuellement dans ces trois fenêtres : elles définissent donc les gammes d ondes utilisées en communication optique. On les appelle «fenêtres optiques» Réponse impulsionnelle d une fibre optique
4 On appelle réponse impulsionnelle d une fibre optique l enveloppe du signal à la sortie de la fibre lorsqu on émet à l entrée une impulsion supposée rectangulaire de lumière extrêmement brève (à l instar de l impulsion de Dirac), et non le signal optique lui-même (contrairement à la réponse impulsionnelle d une ligne) La Fig 1.17 donne une idée de la forme de h(t), normalisée par rapport à sa valeur maximum, en fonction de la longueur d une fibre à saut d indice. (elle a été calculée à partir d hypothèses simplificatrices) Pour caractériser globalement la réponse h(t), on définit sa durée efficace d heff comme étant l écart-type d une distribution ayant comme densité de probabilité une fonction h (t) proportionnelle à h(t). H(t)= [ 0 t² h (t) dt ] - [ 0 t h (t) dt ]² ] 1/2 (30) Avec h (t) tel que 0 h (t) dt =1 Fig 1.17 : Réponse impulsionnelle normalisée d une fibre à saut d indice Fig 1.18 :Effet de la longueur sur la durée efficace de la réponse impulsionnelle
5 L observation expérimentale de la réponse impulsionnelle des fibres optiques permet de tirer les conclusions suivantes (Fig 1.17). * Conformément au calcul de la distorsion de temps de propagation linéique, gح la dispersion modale conduit à une réponse impulsionnelle dont la durée efficace d heff croît linéairement avec la longueur l de la fibre pour des fibres courtes. à partir d une certaine longueur critique l>l crit, dont la valeur varie énormément d une fibre à l autre, et même selon l état de la fibre (de quelques mètres à quelques kilomètres), le coulage des modes fait que la durée efficace dheff croit moins rapidement et tend vers une dépendance en l ( Fig 1.18). lorsque l >> lcrit, la forme de la réponse impulsionnelle h(t) devient approximativement gaussienne. Elle eput alors être approchée par : h(t) = 1 2π d heff exp (-t²/2d² heff ) (31) Sa durée efficace dheff égale à l écart-type de la distribution de Gauss, correspond à la moitié de la durée mesurée à h max / e =0,6h max (Fig 1.17) (32) On constate donc que le couplage des modes a un effet favorable sur le comportement temporel des fibres longues, au prix cependant d un affaiblissement supplémentaire Réponse fréquentielle d une fibre optique La réponse fréquentielle optique est donnée par la variation de l affaiblissement en fonction de la longueur d onde ( Fig.1.15). Une fois la longueur d onde choisie dans l une des «fenêtres» optimales, l intérêt se porte plutôt sur la réponse fréquentielle relative à l enveloppe du signal optique, car contrairement à ce qui se passe sur les lignes métalliques, mais de manière analogue aux transmissions radioélectriques, c est cette enveloppe, et non le signal optique qui contient en fait l information à transmettre. La réponse fréquentielle est alors déterminée par phénomènes de dispersion et de couplage des modes. La fonction de transfert qui la caractérise est la transformée de fourier de la réponse impulsionnelle h(t). En particulier, pour une fibre longue où h(t) devient gaussienne (voir relation de h(t) précédente),h(f) est aussi une fonction de GAUSS : H(f)= TF h(t) = exp (-2 Π f²d² heff) ) (33)
6 On définit la distorsion d affaiblissement A(f) de l enveloppe du signal optique en fonction de la fréquence de cette enveloppe, pour une grande longueur l de la fibre par : A(f)= -20log [(H(f) ] ~ d² heff f² (34) Cette distorsion d affaiblissement croît donc proportionnellement au carré de la fréquence de l enveloppe. Elle s ajoute à l affaiblissement Ai =α i l du signal optique lui-même, caractérisé par le flux optique фo (puissance optique), Fig Fig 1.19 : Affaiblissement à travers une fibre de longueur l Finalement, l affaiblissement A de l enveloppe du signal optique est donné par A(f) = Ai (f)+ A(f)= α i ( λ)l + K d² heff f² (35) Où λ est la longueur d onde optique et f la fréquence de l enveloppe. En résumé, on remarque que : pour f<< 1/ d heff, l affaiblissement intrinsèque dépend alors λ de mais pas de f. la durée efficace de la réponse impulsionnelle d heff dépend de la manière non linéaire de la longueur l selon la Fig Il en va de même de la distorsion d affaiblissement A. La fibre a un comportement très prononcé de filtre passe-bas, avec une fréquence de coupure proportionnelle à 1/ d heff, très élevée. Pour une longueur de fibre donnée, l affaiblissement comparé à celui d un câble coaxial est illustré par la figure cidessous
7 Fig 1.20 : Comparaison qualitative entre l affaiblissement d une fibre et d un câble coaxial (longueur arbitraire) Fig 1.21 : Spectre d onde de la lumière - Visible et invisible Pertes liées aux conditions pratiques d exploitation des fibres optiques Le modèle d atténuation que nous venons d examiner convient parfaitement pour une fibre parallèle à la direction de propagation. Cependant, en situation réelle d utilisation, la fibre optique subit bien d autres déperditions de puissance liées aux conditions pratiques d utilisation : courbures, microcourbures, raccordements.
8 Pertes dues aux courbures et microcourbures La fibre ne peut pas dans une application réelle, être exempte de courbures et de microcourbures et dans ces zones le risque pour un rayon lumineux de ne plus satisfaire la condition de réflexion totale est inévitable ; ce qui se traduit par une perte dans la gaine par simple réfraction. L atténuation provoquée par une courbure dépend de la dimension du cœur et aussi du rayon de courbure. Aux courbures de la fibre, il se produit une conversion de mode et en plus une perte d énergie due au rayonnement (Fig 1.22) Fig 1.22 : Pertes dues aux courbures (macrobend) et microcourbures (microbend) Pertes dues aux raccordements : ( jonctions, épissure) Il est indispensable de raccorder de nombreuses fibres pour les transmissions à grande distance. Il est nécessaire aussi de couper les fibres à la longueur appropriée à chaque répéteur et de les connecter à d autres composants. La figure montre les déplacements qui peuvent survenir lors d une connexion bout à bout : Un exemple concret de mesure de pertes dues à des décalages est présenté sur la figure 1.23.
9 Fig 1.23 : Les différents décalages au raccordement de fibres et leur abaissement (brun) La figure 1.24 résume l ensemble des pertes de puissance liées à la nature, à la structure, et aux conditions pratiques d utilisation de la fibre optique. Un cas pratique de quantification de pertes de puissance sur une ligne optique est présenté sur la figure Fig 1.24 : Les différents types de pertes sur une fibre optique
10 Fig 1.25 : Les pertes aux connexions sur une ligne optique Bande passante L étude de la bande passante (étude théorique) est très complexe dans l ensemble. Cependant, on peut appréhender très simplement cette notion en se limitant au cas de la fibre optique à saut d indice conformément à la définition conventionnelle. On définit par bande passante la plage de fréquences pour laquelle l atténuation de l enveloppe du signal optique est de 3dB au maximum. Ainsi, pour une fibre à saut d indice de fonction de transfert de type gaussien, la bande passante est donnée par la relation : Bo= 0,19/d heff (36) où d heff est la durée efficace de la réponse impusionnelle. La bande passante évolue en fonction de la longueur de la fibre (Fig 1.26).
11 Fig 1.26:L évolution de la largeur de la bande passante en fonction de la longueur de la fibre
LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION
LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION ) Caractéristiques techniques des supports. L infrastructure d un réseau, la qualité de service offerte,
Plus en détailEcole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009
Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009 1 Les fibres optiques : caractéristiques et fabrication 2 Les composants optoélectroniques 3 Les amplificateurs optiques
Plus en détailÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D. Mesures sur les fibres optiques
ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE - PARTIE D TITRE : Mesures sur les fibres optiques 0 Temps de préparation :... h 5 minutes Temps de présentation devant le jury :.0 minutes Entretien avec le jury :..0 minutes GUIDE
Plus en détailChapitre I La fonction transmission
Chapitre I La fonction transmission 1. Terminologies 1.1 Mode guidé / non guidé Le signal est le vecteur de l information à transmettre. La transmission s effectue entre un émetteur et un récepteur reliés
Plus en détailLa fibre optique CNAM
La fibre optique - Qu est-ce qu une fibre optique? - Principes de base - Monomode / Multimode - Atténuation, fenêtres de propagation - Principales caractéristiques - Transmission sur fibre optique - Boucle
Plus en détailTransmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission
Page 1 / 7 A) Principaux éléments intervenant dans la transmission A.1 Equipement voisins Ordinateur ou terminal Ordinateur ou terminal Canal de transmission ETTD ETTD ETTD : Equipement Terminal de Traitement
Plus en détailChapitre 2 : communications numériques.
Chapitre 2 : communications numériques. 1) généralités sur les communications numériques. A) production d'un signal numérique : transformation d'un signal analogique en une suite d'éléments binaires notés
Plus en détailUE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd
UE 503 L3 MIAGE Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique A. Belaïd abelaid@loria.fr http://www.loria.fr/~abelaid/ Année Universitaire 2011/2012 2 Le Modèle OSI La couche physique ou le
Plus en détailQUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS. OM1, OM2 ou OM3, QUELLE EST LA FIBRE QU IL ME FAUT POUR MON INSTALLATION?
QUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS LE MATCH µm VS 62,5 µm Dans les années 70, les premières fibres optiques de télécommunications avaient un coeur de µm : ces dernières ont été remplacées
Plus en détailG.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction
DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner
Plus en détailSystèmes de transmission
Systèmes de transmission Conception d une transmission série FABRE Maxime 2012 Introduction La transmission de données désigne le transport de quelque sorte d'information que ce soit, d'un endroit à un
Plus en détailTELEVISION NUMERIQUE
REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Patrie --------------------- UNIVERSITE DE YAOUNDE I ---------------------- ECOLE NATIONALE SUPERIEURE POLYTECHNIQUE ---------------------- REPUBLIC OF CAMEROUN Peace
Plus en détailLa Fibre Optique J BLANC
La Fibre Optique J BLANC Plan LES FONDAMENTAUX : LA FIBRE OPTIQUE : LES CARACTÉRISTIQUES D UNE FIBRE : TYPES DE FIBRES OPTIQUES: LES AVANTAGES ET INCONVÉNIENTS DE LA FIBRE : QUELQUES EXEMPLES DE CÂBLES
Plus en détailChapitre 18 : Transmettre et stocker de l information
Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Connaissances et compétences : - Identifier les éléments d une chaîne de transmission d informations. - Recueillir et exploiter des informations concernant
Plus en détailMise en pratique : Etude de spectres
Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La
Plus en détailTout savoir sur. la fibre optique. Livret didactique
Tout savoir sur Livret didactique la fibre optique EXPERIDE 10 place Charles Béraudier, Lyon Part-Dieu, 69428 LYON CEDEX 3, France Tel. +33 (0)4 26 68 70 24 Fax. +33(0)4 26 68 70 99 contact@experide-consulting.com
Plus en détailChapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information
Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,
Plus en détailM1107 : Initiation à la mesure du signal. T_MesSig
1/81 M1107 : Initiation à la mesure du signal T_MesSig Frédéric PAYAN IUT Nice Côte d Azur - Département R&T Université de Nice Sophia Antipolis frederic.payan@unice.fr 15 octobre 2014 2/81 Curriculum
Plus en détailChamp électromagnétique?
Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailCommunications numériques
Communications numériques 1. Modulation numérique (a) message numérique/signal numérique (b) transmission binaire/m-aire en bande de base (c) modulation sur fréquence porteuse (d) paramètres, limite fondamentale
Plus en détailCULTe Le samedi 9 février2008 à 15h. Conf 1 : WIFI, les bases
CULTe Le samedi 9 février2008 à 15h Conf 1 : WIFI, les bases 1) Principes de fonctionnement (antennes, fréquences, emetteurs/recepteurs, point d'accés) a) Les grandes classes de fréquences HF, 300 Khz
Plus en détailIntérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale
Intérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale David BONACCI Institut National Polytechnique de Toulouse (INP) École Nationale Supérieure d Électrotechnique, d Électronique, d Informatique,
Plus en détailSystèmes de communications numériques 2
Systèmes de Communications Numériques Philippe Ciuciu, Christophe Vignat Laboratoire des Signaux et Systèmes cnrs supélec ups supélec, Plateau de Moulon, 9119 Gif-sur-Yvette ciuciu@lss.supelec.fr Université
Plus en détail2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP)
2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP) 2.1 Introduction 2.2 Signal 2.3 Support de transmission 2.4 Adaptation du signal aux supports de transmission 2.5 Accès WAN 2.1 Introduction Introduction Rôle
Plus en détailChapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires
Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Systèmes cellulaires Réseaux cellulaires analogiques de 1ère génération : AMPS (USA), NMT(Scandinavie), TACS (RU)... Réseaux numériques de 2ème
Plus en détailExpérience 3 Formats de signalisation binaire
Expérience 3 Formats de signalisation binaire Introduction Procédures Effectuez les commandes suivantes: >> xhost nat >> rlogin nat >> setenv DISPLAY machine:0 >> setenv MATLABPATH /gel/usr/telecom/comm_tbx
Plus en détailApproche expérimentale du rayonnement électromagnétique émis par un téléphone portable
Approche expérimentale du rayonnement électromagnétique émis par un téléphone portable RÉSUMÉ U N I O N D E S P R O F E S S E U R S D E P H Y S I Q U E E T D E C H I M I E par Lycée Victor Hugo - 25000
Plus en détailQuantification Scalaire et Prédictive
Quantification Scalaire et Prédictive Marco Cagnazzo Département Traitement du Signal et des Images TELECOM ParisTech 7 Décembre 2012 M. Cagnazzo Quantification Scalaire et Prédictive 1/64 Plan Introduction
Plus en détailTD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE
TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE Exercice en classe EXERCICE 1 : La fibre à gradient d indice On considère la propagation d une onde électromagnétique dans un milieu diélectrique
Plus en détailCisco Certified Network Associate
Cisco Certified Network Associate Version 4 Notions de base sur les réseaux Chapitre 8 01 Quelle couche OSI est responsable de la transmission binaire, de la spécification du câblage et des aspects physiques
Plus en détail- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE
- MANIP 2 - - COÏNCIDENCES ET MESURES DE TEMPS - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE L objectif de cette manipulation est d effectuer une mesure de la vitesse de la lumière sur une «base
Plus en détailCommunication parlée L2F01 TD 7 Phonétique acoustique (1) Jiayin GAO <jiayin.gao@univ-paris3.fr> 20 mars 2014
Communication parlée L2F01 TD 7 Phonétique acoustique (1) Jiayin GAO 20 mars 2014 La phonétique acoustique La phonétique acoustique étudie les propriétés physiques du signal
Plus en détailChaine de transmission
Chaine de transmission Chaine de transmission 1. analogiques à l origine 2. convertis en signaux binaires Échantillonnage + quantification + codage 3. brassage des signaux binaires Multiplexage 4. séparation
Plus en détailCAPTEURS - CHAINES DE MESURES
CAPTEURS - CHAINES DE MESURES Pierre BONNET Pierre Bonnet Master GSI - Capteurs Chaînes de Mesures 1 Plan du Cours Propriétés générales des capteurs Notion de mesure Notion de capteur: principes, classes,
Plus en détailPRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS
PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailTD1 Signaux, énergie et puissance, signaux aléatoires
TD1 Signaux, énergie et puissance, signaux aléatoires I ) Ecrire l'expression analytique des signaux représentés sur les figures suivantes à l'aide de signaux particuliers. Dans le cas du signal y(t) trouver
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailLe réseau sans fil "Wi - Fi" (Wireless Fidelity)
Professionnel Page 282 à 291 Accessoires Page 294 TPE / Soho Page 292 à 293 Le réseau sans fil "Wi - Fi" (Wireless Fidelity) Le a été défini par le Groupe de travail WECA (Wireless Ethernet Compatibility
Plus en détailLe concept cellulaire
Le concept cellulaire X. Lagrange Télécom Bretagne 21 Mars 2014 X. Lagrange (Télécom Bretagne) Le concept cellulaire 21/03/14 1 / 57 Introduction : Objectif du cours Soit un opérateur qui dispose d une
Plus en détailJ AUVRAY Systèmes Electroniques TRANSMISSION DES SIGNAUX NUMERIQUES : SIGNAUX EN BANDE DE BASE
RANSMISSION DES SIGNAUX NUMERIQUES : SIGNAUX EN BANDE DE BASE Un message numérique est une suite de nombres que l on considérera dans un premier temps comme indépendants.ils sont codés le plus souvent
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailMESURES D UN ENVIRONNEMENT RADIOELECTRIQUE AVEC UN RECEPTEUR CONVENTIONNEL ETALONNE
Jacques Mézan de Malartic / F2MM MESURES D UN ENVIRONNEMENT RADIOELECTRIQUE AVEC UN RECEPTEUR CONVENTIONNEL ETALONNE 1- Objectif des mesures (Page 1) 1-1 Critères de qualité radio 1-2 Principe des mesures
Plus en détailProcédures de tests en réflectométrie. Septembre 2013
Procédures de tests en réflectométrie Septembre 2013 Procédure de certification des liaisons optiques avec un réflectomètre Pour les mesures optiques quelques rappels: - Outils calibré et avec le dernier
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailSENACO AS100. Manuel d Utilisation Octobre 2000 ENACO AS100
SENACO AS100 Manuel d Utilisation Octobre 2000 ENACO AS100 Consignes de sécurité Il est important de respecter les consignes fournies dans ce manuel d utilisation pour garantir la sécurité de l utilisateur
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailCHAPITRE V. Théorie de l échantillonnage et de la quantification
CHAPITRE V Théorie de l échantillonnage et de la quantification Olivier FRANÇAIS, SOMMAIRE I INTRODUCTION... 3 II THÉORIE DE L ÉCHANTILLONNAGE... 3 II. ACQUISITION DES SIGNAUX... 3 II. MODÉLISATION DE
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailFAG Detector III la solution pour la surveillance et l équilibrage. Information Technique Produit
FAG Detector III la solution pour la surveillance et l équilibrage Information Technique Produit Principe Utilisation Hautes performances utilisation simple Le FAG Detector III est, à la fois, un appareil
Plus en détailSensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détailWWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale
WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailChapitre 2 Les ondes progressives périodiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................
Plus en détailRapport. Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS
Rapport Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS A.AZOULAY T.LETERTRE R. DE LACERDA Convention AFSSET / Supélec 2009-1 - 1. Introduction Dans le
Plus en détailFiltres passe-bas. On utilise les filtres passe-bas pour réduire l amplitude des composantes de fréquences supérieures à la celle de la coupure.
Filtres passe-bas Ce court document expose les principes des filtres passe-bas, leurs caractéristiques en fréquence et leurs principales topologies. Les éléments de contenu sont : Définition du filtre
Plus en détailLE VDSL 2 EN FRANCE. Source : www.ant.developpement-durable.gouv.fr
LE VDSL 2 EN FRANCE Par Jean-Marc Do Livramento Consultant télécom fixe et mobile Mai 2013 Des offres d accès Internet Très Haut Débit par VDSL 2 bientôt disponibles en France? Le 26 avril dernier, le
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détailModule HVAC - fonctionnalités
Module HVAC - fonctionnalités Modèle de radiation : DO = Discrete Ordinates On peut considérer l échauffement de solides semi transparents causé par le rayonnement absorbé par le solide. On peut également
Plus en détailMeine Flüssigkeit ist gefärbt*, comme disaient August Beer (1825-1863) et Johann Heinrich Lambert (1728-1777)
1ère S Meine Flüssigkeit ist gefärbt*, comme disaient August Beer (1825-1863) et Johann Heinrich Lambert (1728-1777) Objectif : pratiquer une démarche expérimentale pour déterminer la concentration d une
Plus en détailLe câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV)
Le câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV) Évidemment, l emploi le plus fréquent de la fibre optique se trouve dans le domaine des télécommunications. Mais d autre part,
Plus en détailLA COUCHE PHYSIQUE EST LA COUCHE par laquelle l information est effectivemnt transmise.
M Informatique Réseaux Cours bis Couche Physique Notes de Cours LA COUCHE PHYSIQUE EST LA COUCHE par laquelle l information est effectivemnt transmise. Les technologies utilisées sont celles du traitement
Plus en détailGrilles acoustiques. Type NL 6/6/F/2
Grilles acoustiques Type NL //F/ Sommaire Description Description Exécutions Dimensions et poids Constructions modulaires Options Installation 5 Données techniques, type NL Données techniques type, NL
Plus en détailTP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler
TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du
Plus en détailTransmission des signaux numériques
Transmission des signaux numériques par Hikmet SARI Chef de Département d Études à la Société Anonyme de Télécommunications (SAT) Professeur Associé à Télécom Paris. Transmission en bande de base... E
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailGELE5222 Chapitre 9 : Antennes microruban
GELE5222 Chapitre 9 : Antennes microruban Gabriel Cormier, Ph.D., ing. Université de Moncton Hiver 2012 Gabriel Cormier (UdeM) GELE5222 Chapitre 9 Hiver 2012 1 / 51 Introduction Gabriel Cormier (UdeM)
Plus en détailAcquisition et conditionnement de l information Les capteurs
Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs COURS 1. Exemple d une chaîne d acquisition d une information L'acquisition de la grandeur physique est réalisée par un capteur qui traduit
Plus en détailSystèmes de communications numériques 2
Systèmes de Communications Numériques Philippe Ciuciu, Christophe Vignat Laboratoire des Signaux et Systèmes CNRS SUPÉLEC UPS SUPÉLEC, Plateau de Moulon, 91192 Gif-sur-Yvette ciuciu@lss.supelec.fr Université
Plus en détailChapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique
Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3
Plus en détailEMETTEUR ULB. Architectures & circuits. Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006. David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006
EMETTEUR ULB Architectures & circuits David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006 Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006 Introduction Emergence des applications de type LR-WPAN : Dispositif communicant
Plus en détailEquipement. électronique
MASTER ISIC Les générateurs de fonctions 1 1. Avant-propos C est avec l oscilloscope, le multimètre et l alimentation stabilisée, l appareil le plus répandu en laboratoire. BUT: Fournir des signau électriques
Plus en détailTransmission et stockage de l information
Transmission et stockage de l information La transmission d informations peut être libre, c est-à-dire assurée par des ondes électromagnétiques émises dans toutes les directions de l espace (Wi-Fi, radio,
Plus en détailUne application de méthodes inverses en astrophysique : l'analyse de l'histoire de la formation d'étoiles dans les galaxies
Une application de méthodes inverses en astrophysique : l'analyse de l'histoire de la formation d'étoiles dans les galaxies Ariane Lançon (Observatoire de Strasbourg) en collaboration avec: Jean-Luc Vergely,
Plus en détailSpectrophotomètre double faisceau modèle 6800
Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Double faisceau avec optiques parfaitement stables. Bande passante 1,5 nm. Logiciel de navigation Jenway Flight
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailINTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE
INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE Le schéma synoptique ci-dessous décrit les différentes étapes du traitement numérique
Plus en détailAFFAIBLISSEMENT DÛ AUX NUAGES ET AU BROUILLARD
Rec. UIT-R P.84- RECOMMANDATION UIT-R P.84- AFFAIBLISSEMENT DÛ AUX NUAGES ET AU BROUILLARD (Question UIT-R /3) Rec. UIT-R P.84- (99-994-997) L'Assemblée des radiocommunications de l'uit, considérant a)
Plus en détailSpectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :
Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette
Plus en détail(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.»
Chapitre 5 / TP 1 : Contrôle qualité de l'eau de Dakin par dosage par étalonnage à l'aide d'un spectrophotomètre Objectif : Vous devez vérifier la concentration massique d'un désinfectant, l'eau de Dakin.
Plus en détailTP Modulation Démodulation BPSK
I- INTRODUCTION : TP Modulation Démodulation BPSK La modulation BPSK est une modulation de phase (Phase Shift Keying = saut discret de phase) par signal numérique binaire (Binary). La phase d une porteuse
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailProduction des Services d Assurance non-vie selon le SCN 2008
REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Patrie ---------- INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ---------- REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work Fatherland ---------- NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS ----------
Plus en détailI. TRANSMISSION DE DONNEES
TD I. TRANSMISSION DE DONNEES 1. QU'EST-CE QU'UN CANAL DE TRANSMISSION? 1.1 Rappels Une ligne de transmission est une liaison entre les deux machines. On désigne généralement par le terme émetteur la machine
Plus en détailProjet de Traitement du Signal Segmentation d images SAR
Projet de Traitement du Signal Segmentation d images SAR Introduction En analyse d images, la segmentation est une étape essentielle, préliminaire à des traitements de haut niveau tels que la classification,
Plus en détailCours 9. Régimes du transistor MOS
Cours 9. Régimes du transistor MOS Par Dimitri galayko Unité d enseignement Élec-info pour master ACSI à l UPMC Octobre-décembre 005 Dans ce document le transistor MOS est traité comme un composant électronique.
Plus en détailEchantillonnage Non uniforme
Echantillonnage Non uniforme Marie CHABERT IRIT/INP-ENSEEIHT/ ENSEEIHT/TéSASA Patrice MICHEL et Bernard LACAZE TéSA 1 Plan Introduction Echantillonnage uniforme Echantillonnage irrégulier Comparaison Cas
Plus en détailLa couche physique de l ADSL (voie descendante)
La couche physique de l ADSL (voie descendante) Philippe Ciblat École Nationale Supérieure des Télécommunications, Paris, France Problématique qq kilomètres CENTRAL câble de 0,4mm Objectifs initiaux :
Plus en détailDETECTOR BICANAL FG2 1. DIMENSIONS ET CONNEXIONS ELECTRIQUES 2. GENERALITES. 24 VDC Alimentat. 24 Vcc. Contact Boucle 2 4 5. Contact Boucle 1 6 7
DETECTOR BICANAL FG. DIMENSIS ET CNEXIS ELECTRIQUES FRANÇAIS 4 VDC Alimentat. 4 Vcc 3 Contact Boucle 4 5 Contact Boucle 6 7 Boucle 8 9 0 Boucle Dimensions en mm. GENERALITES Applications: contrôle de barrières,
Plus en détailAnnée 2010-2011. Transmission des données. Nicolas Baudru mél : nicolas.baudru@esil.univmed.fr page web : nicolas.baudru.perso.esil.univmed.
Année 2010-2011 Réseaux I Transmission des données Nicolas Baudru mél : nicolas.baudru@esil.univmed.fr page web : nicolas.baudru.perso.esil.univmed.fr 1 Plan 1 Notions de signaux 2 Caractéristiques communes
Plus en détailLes transmissions et les supports
Chapitre chapitre 1 Les transmissions et les supports Un réseau suppose plusieurs équipements informatiques (ordinateurs fixes ou portables, divers équipements électroniques, téléphones, assistants numériques
Plus en détailI - Quelques propriétés des étoiles à neutrons
Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est
Plus en détailNombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN
Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Table des matières. Introduction....3 Mesures et incertitudes en sciences physiques
Plus en détail