MSEI MultiSciences Expertises Inc.
|
|
- Sévérine Rivard
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 MultiSciences Expertises Inc. Experts légistes Forensic Experts RAPPORT D EXPERTISE Évaluation du banc d essai BNQ Géogrille - Système Enviro-Septic - ICR Expérimentation réalisée du 22 novembre 2013 au 1er avril 2014 N/dossier : 496, avenue St-Augustin, bureau 101, Breakeyville, QC G0S 1E2 Téléphone (418) Télécopieur (418) , boul. Lévesque Ouest, Laval, QC H7V 4B1 Téléphone (450) Télécopieur (450)
2 RAPPORT D EXPERTISE Évaluation du banc d essai BNQ Géogrille - Système Enviro-Septic - ICR Expérimentation réalisée du 22 novembre 2013 au 1 er avril 2014 Préparé pour M. Benoit Boucher 501, chemin Giroux Sherbrooke, QC J1C 0J8 V/dossier : BNQ Géogrille-ICR Par MSEI MultiSciences Expertises Inc. 496, avenue St-Augustin, bureau 101 Breakeyville (Québec) G0S 1E2 N/dossier : Le 27 mai 2014
3 SOMMAIRE EXÉCUTIF Dans le cadre de ce projet de recherche, MSEI avait pour mandat de fournir une expertise externe avec emphase sur les aspects microbiologiques lors du suivi d un banc d essai expérimental sur le traitement des eaux usées domestiques. Les technologies mises à l essai sont des variantes du système Enviro-Septic MD de la firme DBO Expert, un élément épurateur conventionnel (EEC) et une nouvelle technologie dite Géogrille. Les essais se sont déroulés au banc d essai du BNQ à Québec sur plus de quatre mois, du 22 novembre 2013 au 1 er avril Le Géogrille est un géotextile monofilament servant à retenir une couche de sable dans la construction des éléments épurateurs, afin d éviter que les particules de sable descendent et obstruent les lits d infiltration en gravier. Cette technologie pourrait remplacer l utilisation d une couche de pierre de transition (PDT) normalement utilisée à cette fin dans les filtres à sable classique et les installations Enviro-Septic avec zone de collecte des eaux traitées. Le banc d essai compte deux objectifs principaux. Le premier est de déterminer si le Géogrille, peut être utilisé avantageusement en remplacement de la PDT. Le second est de valider les performances d un système d infiltration conventionnel repensé (ICR) qui utilise des conduites Advanced Enviro-Septic (AES) en combinaison avec les conduites perforées conventionnelles placées dans un lit de pierre concassée. Les principaux paramètres utilisés pour répondre aux objectifs sont reliés à la microbiologie. En effet, le principal risque identifié concernant l utilisation du Géogrille est la formation d un biofilm qui utiliserait le Géogrille comme support pour le développement de la biomasse microbienne. D autre part, les conditions physiques engendrées par la présence ou non d un biofilm colmatant peuvent directement influencer les paramètres de performance des éléments épurateurs selon que les conditions du milieu soient aérobiques ou anaérobiques. Ces conditions vont influencer différemment les paramètres de l épuration des eaux avec un effet particulièrement marqué sur le traitement de l azote. i
4 À cet effet, plusieurs paramètres ont été suivis dans l affluent et les effluents collectés chaque semaine dans les systèmes à l étude et de nombreuses observations ont été colligées. Finalement, des prélèvements de biomasse ont été réalisés lors du démantèlement final du banc d essai. Le suivi analytique de l affluent et des effluents a été réalisé sur les matières en suspensions (MES), la demande biologique carbonée en oxygène sur cinq (5) jours (DBO 5 -C), l azote total Kjeldahl (NTK), l azote ammoniacal (N-NH 4 ) et l azote nitrique (N-NO 2 +N-NO 3 ). Les résultats ont été comparés statistiquement afin d établir les différences significatives entre les traitements. Dans les biomasses collectées à la fin du banc d essai, les bactéries aérobies totales, les bactéries anaérobies totales et les bactéries nitrifiantes ont été dénombrées afin de comparer la présence en importance de chacun de ces groupes avec les résultats analytiques des prélèvements hebdomadaires d eaux traitées. À partir de ces résultats, les efficacités relatives et les activités biologiques dominantes ont pu être estimées par rapport aux systèmes à l étude dans le but de répondre aux objectifs du mandat. Les observations réalisées au démantèlement ont clairement démontré, au niveau du Géogrille et de la PDT, qu il y avait absence de pénétration du sable vers la pierre concassée de drainage et qu il y avait absence de colmatage ou de biofilm visible sur ces deux matériaux. Nous concluons ainsi que les deux méthodes sont parfaitement efficaces pour éviter que le sable s infiltre dans la pierre concassée. De plus, elles ne favorisent pas le développement rapide d un biofilm qui pourrait colmater les systèmes. Du côté des performances, le système AES a permis une réduction efficace des MES et de la DBO 5 -C. Les analyses des différentes formes d azote dans les effluents ont montré une nitrification significative allant jusqu à plus de 40 % de l azote total de l affluent et une dénitrification allant jusqu à 20 %. Les analyses de la biomasse à la fin des essais ont également confirmé l importante présence des bactéries nitrifiantes et dénitrifiantes dans le système AES par rapport aux autres systèmes. Notre évaluation des principaux groupes fonctionnels des ii
5 bactéries dans les milieux filtrants a ainsi confirmé le développement de flores microbiennes spécialisées en fonction des conditions dominantes des systèmes. D après les observations, MSEI est d avis que les zones du milieu filtrant permettant la dénitrification ne sont pas des zones spécifiques en anaérobie permanente, mais plutôt les mêmes zones qui réalisent la nitrification et qui sont successivement en conditions aérobiques et anaérobiques en fonction des passages séquentiels des volumes d eaux usées dans le système. De son côté, le système ICR a montré une réduction de la DBO 5 -C significativement supérieure à l EEC ainsi qu une nitrification significative qui a augmenté tout au long du banc d essai à compter du deuxième mois d opération. L EEC n a montré aucune nitrification et son effet sur le traitement est principalement attribué à celui de la fosse septique en amont de tous les systèmes à l essai. Tandis que l EEC n a utilisé que les premières sections de son système d infiltration, le système ICR a permis d utiliser toute la surface d infiltration de ses conduites AES, sans toutefois atteindre la conduite perforée dans la dernière partie du système. De plus, aucune biomasse n a pu être observée au pourtour de la conduite perforée de l EEC, tandis qu une importante biomasse a été observée autour des conduites AES du système ICR de même que dans le sable de chaque côté de sa base. Toutes ces observations montrent que l utilisation de conduites AES en remplacement des premiers six mètres de conduites perforées des rangées de conduites d un EEC amènera une amélioration significative de la qualité des eaux qui atteignent le sol récepteur. Cette approche favorisera par la même occasion une distribution longitudinale plus efficace de l affluent de la fosse septique sur le lit d infiltration. Finalement, MSEI est aussi d avis que les systèmes ICR et AES ont un potentiel de traitement supérieur à ce qui a été observé au cours du présent banc d essai en considérant que ce dernier a été démarré et s est tenu durant la période la plus froide de l année. iii
LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.
L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailExemple du SATESE MAGE 42
LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailAssainissement des campings. - 11 janvier 2011
Assainissement des campings - 11 janvier 2011 Etat des lieux de l assainissement non collectif (ANC) en Finistère Caractéristiques des eaux usées des campings Contexte et cadre réglementaire Les chiffres
Plus en détailLes techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel
Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise
Plus en détailRégie du Bâtiment Société pour la résolution des conflits Inc. Plan de garantie no:055148 Dossier 041223001
Régie du Bâtiment Soreconi Société pour la résolution des conflits Inc. Plan de garantie no:055148 Dossier 041223001 Lucie Lacasse, es qualité de représentante du Syndicat de la copropriété de l Ilot des
Plus en détail5. Matériaux en contact avec l eau
Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte
Plus en détailMon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.
Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES Guide d entretien Aillevans - Athesans Etroitefontaine - Autrey Le Vay - Beveuge - Bonnal
Plus en détailSommaire Page 3 : Chapitre 1er - Dispositions générales
Règlement du service d assainissement non collectif (SPANC) Règlement Document issu de l Agence de l Eau Adour Garonne Sommaire Page 3 : Chapitre 1er - Dispositions générales... 5 Article 1 - Objet du
Plus en détailBLUBOX Système de récupération des eaux de pluie
BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie La gestion responsable des eaux pluviales : UNE SOLUTION ACTUELLE POUR UN AVENIR DURABLE L eau est une ressource essentielle à toute forme de vie sur Terre.
Plus en détailUNE MEILLEURE CONNAISSANCE
CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions
Plus en détailComparaison théorique de dispositifs d ANC
2013 Thème «assainissement» - Action 45 Comparaison théorique de dispositifs d ANC les filières par «cultures fixées sur supports fins» autorisées au 1 er novembre 2013 Rapport final Catherine BOUTIN (Irstea,
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailLE POINT DE VUE DE FNE
LE POINT DE VUE DE FNE Voir à ce sujet les articles suivants : - «Pour une eau vivante : la fin des barrages?» de la Lettre eau N 2 (juin 1996) - «Rapport de la Commission Mondiale des Barrages : les clés
Plus en détailÉTUDES SUR L EAU N 86 MODALITÉS TECHNIQUES DU CONTRÔLE DES INSTALLATIONS D ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF DES HABITATIONS INDIVIDUELLES
É D I T O R I A L assainissement non collectif concerne les immeubles, et notamment les L maisons d habitation individuelles, non raccordés à un réseau public de collecte des eaux usées. La directive européenne
Plus en détailDémarrage d une station de traitement biologique par nitrification/dénitrification Sans apport initial de boue activée
Démarrage d une station de traitement biologique par nitrification/dénitrification Sans apport initial de boue activée L application de la circulaire Voynet-Le pensec et la mise en place des programmes
Plus en détailGuide d installation Agrément n 2010-018
Filtres EPURFIX COMPACT COCO PEHD 5 et 7E.H. C.P. (Série «Compact») Guide d installation Agrément n 2010-018 Ce GUIDE D INSTALLATION contient l information nécessaire à la préparation et à la réalisation
Plus en détailRèglement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011
Règlement numéro 346 LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT Avril 2011 VOS RESPONSABILITÉS LIÉES AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT DE VOTRE IMMEUBLE Protection
Plus en détailmurs de soutènement et dalles patio
murs de soutènement et dalles patio solide et esthétique Que ce soit pour votre jardin, votre entrée ou pour un projet de plus grande ampleur, choisir un design Pisa est l assurance d une solution gagnante
Plus en détailAssainissement non collectif
Assainissement non collectif Un écoprêt ue q ifi c é p s o r é z x u a t à Votre maison n est pas reliée au tout-à-l égout? Votre installation individuelle, type fosse septique, n est pas aux normes? Un
Plus en détailRÉSULTAT DE L OUVERTURE PUBLIQUE DE LA SOUMISSION DU 7 OCTOBRE 2014
Numéro «10368» Travaux de démolition de l ex-école Monseigneur-Laval Achats + Ingénierie Coût estimé : 210 300 $ DEMVAR INC. 205 575,30 287 380,02 EXCAVATION RENÉ ST-PIERRE INC. 241 102,58 C.F.G.CONSTRUCTION
Plus en détailSommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...
1 Sommaire INTRODUCTION... 2 1/ Le contexte général de la commune...3 2/ L état des réseaux...3 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...3 4/ Les solutions retenues par la commune...5 CONCLUSION Carte
Plus en détail1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES
AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des
Plus en détailRETOURS D'EXPERIENCES sur les filières d'assainissement non collectif
RETOURS D'EXPERIENCES sur les filières d'assainissement non collectif DOCUMENT DE TRAVAIL EVOLUTIF mai 2011 - VERSION1 Res'eau ASNC "Réseau Rhône Alpes des acteurs de l'anc" GRAIE Version 1 - février 2011
Plus en détailVotre installation septique l essentiel à savoir!
Votre installation septique l essentiel à savoir! Saviez-vous que... les eaux usées des résidences non raccordées à un réseau d égout doivent être évacuées et traitées par une instal lation septique aussi
Plus en détailRetours d expérience du SATESE 37
Les filières d épuration pour les petites collectivités Retours d expérience du SATESE 37 Syndicat d Assistance Technique pour l Epuration et le Suivi des Eaux d Indre et Loire Domaine d activité papillon
Plus en détailL'assainissement individuel : est-ce une solution archaïque et chère?
février 2015 L'assainissement individuel : est-ce une solution archaïque et chère? L essentiel Document rédigé par Elodie Sanchez-Collet (Graie) Relecteurs : le réseau des acteurs de l ANC du Graie et
Plus en détailGUIDE UTILISATEUR. Microstation dʼépuration à culture fixée. Gamme SIMBIOSE. www.simbiose.fr SB 4 - SB 5 - SB 6 - SB 8 - SB 13 23/01/2015
GUIDE UTILISATEUR Microstation dʼépuration à culture fixée Gamme SIMBIOSE SB 4 - SB 5 - SB 6 - SB 8 - SB 13 www.simbiose.fr 23/01/2015 Station SIMBIOSE, marque déposée par le fabricant ABAS - Reproduction
Plus en détailEst-elle bonne à boire?
Environnement et Travail Gestion de l environnement et des aires naturelles L eau de votre puits Est-elle bonne à boire? 1 Cette série de brochures décrit ce que les propriétaires de puits privés peuvent
Plus en détailLaboratoire Eau de Paris. Analyses et Recherche
Laboratoire Eau de Paris Analyses et Recherche L eau, un aliment sous contrôle public Pour Eau de Paris, approvisionner la capitale en eau, c est garantir à ses 3 millions d usagers une ressource de qualité,
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (CCTP)
Institut National de la Recherche Agronomique Etablissement Public à caractère Scientifique et Technologique Centre INRA de LILLE CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (CCTP) Réalisation, Fourniture
Plus en détailCARNET D'ENTRETIEN D'UNE INSTALLATION D'ASSAINISSEMENT AUTONOME
CARNET D'ENTRETIEN D'UNE INSTALLATION D'ASSAINISSEMENT AUTONOME SOMMAIRE Comment fonctionne un système d'assainissement non collectif? A vérifier régulièrement Le planning d'entretien La vidange de la
Plus en détailPASSEPORT INNOVATION Guide de présentation des demandes Janvier 2015
PASSEPORT Guide de présentation des demandes Janvier 2015 Le présent document a été produit par le ministère de l Économie, de l Innovation et des Exportations Coordination et rédaction Direction du soutien
Plus en détailPASSEPORT INNOVATION Guide de présentation des demandes Mai 2015
PASSEPORT INNOVATION Guide de présentation des demandes Mai 2015 Le présent document a été produit par le ministère de l Économie, de l Innovation et des Exportations Coordination et rédaction Direction
Plus en détailLa prévention des intoxications dans les silos à fourrage
La prévention des intoxications dans les silos à fourrage Ali Bahloul, Brigitte Roberge et Nicole Goyer / IRSST Mauricio Chavez et Marcelo Reggio / École polytechnique de Montréal Avec la collaboration
Plus en détailPROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS
PROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS 1 I. OÙ TROUVER LES DONNÉES ET COMMENT LES ACQUÉRIR I. Où trouver les données et comment
Plus en détailInformations personnelles. Lieu de résidence actuel. Résidence prospective
Demande de location Corporation Immobilière Côte St-Luc Côte St. Luc Building Corporation Inc. 1550, boul. de Maisonneuve ouest, Bureau 1111, Montréal, (Qc) H3G 1N2 www.cslbc.com Tél.: (514) 934-0734 Téléc.:
Plus en détailL électricité solaire jour et nuit. Avec la solution intelligente de stockage BPT-S 5 Hybrid
L électricité solaire jour et nuit Avec la solution intelligente de stockage BPT-S 5 Hybrid Mon électricité, je peux bien l utiliser moi-même, non? Le jour se termine. La lumière reste. Et si je pouvais
Plus en détailLogiciel pavages drainants mode d emploi
Logiciel pavages drainants mode d emploi FEBESTRAL a développé, en collaboration avec le Centre de Recherches Routières (CRR), un logiciel de calcul pour pavages drainants. Ce programme vous guide lors
Plus en détailRÉSULTAT DE L OUVERTURE PUBLIQUE DE LA SOUMISSION DU 20 SEPTEMBRE 2011
Numéro «27839» Travaux de réfection et achat de pièces pour pompes submersibles Flygt, modèle CP-3312-835 à la station d épuration la Pinière Achats et gestion contractuelle ITT WATER & WASTEWATER VOIR
Plus en détailAvis d Appel d offres **** Deuxième Projet d Appui à la Réforme de l Enseignement Supérieur (PARES II) ***
Avis d Appel d offres REPUBLIQUE TUNISIENNE ***** Ministère de l'enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique **** Deuxième Projet d Appui à la Réforme de l Enseignement Supérieur (PARES II)
Plus en détailLa principale cause du développement
LES AUTRES thèmes LA MAÎTRISE DU RISQUE LEGIONELLES Gestion de la problématique Legionella dans les réseaux d eau chaude sanitaire : conception, maintenance et surveillance biologique Jacques Naitychia,
Plus en détailLes Produits MURPHCO Ltée
DESCRIPTION Les Produits MURPHCO Ltée Le drain de toit Murphco est constitué d'un tablier de cuivre plein et d'un manchon en cuivre rigide sans joint ni soudure verticale. Il se distingue par sa conception
Plus en détailEtirements des chaînes musculaires postérieure et antérieure.
Interprétation des tests sécuritaires Document réalisé par Jean Marc Blanc responsable de la préparation physique sur le pôle France d Antibes Mars 2002 Ratio abdominaux / psoas : Trois cas se présentent
Plus en détailMunicipalité de Saint-Marc-sur- Richelieu
Plania Municipalité de Saint-Marc-sur- Richelieu Chapitre 11 Dispositions particulières applicables à certaines zones P031607 303-P031607-0932-000-UM-0023-0A Municipalité de Saint-Marc-sur-Richelieu 102
Plus en détailUTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage
UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET
Plus en détailSensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments
Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité
Plus en détail2 www.pmibuilding.com
2 www.pmibuilding.com Projet: Parc du Mont Saint-Mathieu NOTRE VISION Être la référence de par notre expertise, notre efficacité d innovation pour la conception et la fabrication d ouvrages structurels
Plus en détailLes Stations Compactes EPARCO à massif de zéolithe. Stations Compactes EPARCO de 5 à 20 Equivalents Habitants
Les Stations Compactes EPARCO à massif de zéolithe Stations Compactes EPARCO de 5 à 20 Equivalents Habitants Version du 5 Juillet 2010 révisée le 15 Janvier 2014 INTRODUCTION AUX STATIONS COMPACTES EPARCO
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailUSAGERS. Assainissement non collectif. Guide d information sur les installations. Outil d aide au choix
USAGERS Assainissement non collectif Guide d information sur les installations Outil d aide au choix Ministère de l'écologie, du Développement durable et de l Énergie www.developpement-durable.gouv.fr
Plus en détailContexte réglementaire en hygiène alimentaire
Contexte réglementaire en hygiène alimentaire 1 Réforme de la législation communautaire pour la restauration collective Approche traditionnelle = obligation de moyens Réglementation Arrêté Ministériel
Plus en détailEtude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau
Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine
Plus en détailGESTION DE STOCK. July 2009. Hilde De Boeck
GESTION DE STOCK July 2009 Hilde De Boeck Table des matières Introduction Organisation du stock centrale 1. Gestionnaire de stock 2. Stockage: - Les Conditions - Rangement des produits 3. Les outils de
Plus en détailEDUCATION A L ENVIRONNEMENT QUALITE DE L EAU
DOCUMENT D AIDE A LA PREPARATION DE LA CLASSE Plan de Rénovation de l Enseignement des Sciences et de la Technologie A l école au cycle 3. EDUCATION A L ENVIRONNEMENT QUALITE DE L EAU Groupe sciences Isère
Plus en détailCM2E 2014. Colloque Martinique Energie Environnement. Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation
CM2E 2014 Colloque Martinique Energie Environnement Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation M. Torrijos, Laboratoire de Biotechnologie de l Environnement, INRA-LBE,
Plus en détailMaster professionnel aliments, microbiologie, assurance qualité
Master professionnel aliments, microbiologie, assurance qualité OBJEIFS Parcours Microbiologie appliquée à l agro-alimentaire et l agro-environnement La spécialité a pour but de former des cadres de haut
Plus en détailLes potagers Neerstalle
Les potagers Neerstalle Une initiative de Marc COOLS, Échevin de l Environnement et des Propriétés communales, avec le soutien du Collège des Bourgmestre et Échevins d Uccle Une action menée par le Service
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailNicole Blinn, directrice générale est aussi présente. 14-06-02 PROCÈS-VERBAL DE L ASSEMBLÉE RÉGULIÈRE
Le 2 juin 2014 ASSEMBLÉE RÉGULIÈRE L assemblée régulière du conseil municipal de la Municipalité de Stanbridge East s est tenue à l Hôtel de Ville, 12, rue Maple, Stanbridge East, Québec, le lundi 2 juin
Plus en détailCHAPITRE VII REGLEMENT DE LA ZONE UF*
CHAPITRE VII REGLEMENT DE LA ZONE UF* Zone à dominante d activités économiques (PME, services, activités artisanales, activités tertiaires) et d équipements collectifs PLU Champigny-sur-Marne Approuvé
Plus en détail4. Conditionnement et conservation de l échantillon
1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique
Plus en détailFévrier 2013. L outil de référence de l industrie de la maçonnerie du Québec
L outil de référence de l industrie de la maçonnerie du Québec À lire: - Mot du président - Baisse de mises en chantiers - Éditorial - Les grands enjeux 2013 - Information technique - Implication du règlement
Plus en détailADOPTION DE L ORDRE DU JOUR
PROVINCE DE QUÉBEC CONSEIL MRC BROME-MISSISQUOI 5 mai MUNICIPALITÉ DE SAINTE-SABINE 2014 Lundi le cinquième jour de mai deux mille quatorze, séance régulière du Conseil de la municipalité de Sainte-Sabine
Plus en détailTableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»
Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.
Plus en détailAUTOMATISATION DES PROCÉDÉS PROTECTING YOUR PROCESS SYSTÈMES D ALARME POUR SÉPARATEURS DE LIQUIDES LÉGERS SIGNALISATION PAR SMS
AUTOMATISATION DES PROCÉDÉS SYSTÈME D ALARME SPÉCIFIQUE À L APPLICATION AUTOMATISATION DES PROCÉDÉS PROTECTING YOUR PROCESS SYSTÈME D ALARME POUR SÉPARATEURS D HUILE/D HYDROCARBURES AVEC SIGNALISATION
Plus en détailPROVINCE DE QUÉBEC RÉGIE INTERMUNICIPALE DU COMTÉ DE BEAUCE-SUD
PROVINCE DE QUÉBEC RÉGIE INTERMUNICIPALE DU COMTÉ DE BEAUCE-SUD Procès-verbal d'une assemblée régulière des administrateurs de la Régie Intermunicipale du comté de Beauce-Sud, tenue jeudi le 18 décembre
Plus en détailLe SEUL Salon d Automne à Montréal!
Construction Rénovation Le SEUL Salon d Automne à Montréal! Décoration Aménagement intérieur et extérieur Du 22 au 25 octobre 2015 au Stade olympique, sur l aire de jeu! 50 000 visiteurs attendus 300 exposants
Plus en détailOui (2007) 2e étage. Publiée reg. foncier du Qc Oui (2007-04-26) 4 18 0 $ (2015) 0 $ (2014)
François Bissonnette, Courtier immobilier agréé REALTA Agence immobilière 1295, AVENUE VAN HORNE OUTREMONT (QC) H2V 1K5 http://www.realta.ca 514-789-2889 Télécopieur : 514-789-2884 francois@realta.ca No
Plus en détail«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte»
«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» Silva Cell Module d enracinement pour arbres Application : - Le module Silva Cell crée un espace souterrain permettant l enracinement des arbres en ville.
Plus en détail10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel
10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences
Plus en détailne définition de l arbre.
LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement
Plus en détailLe chantier compte 4 étapes :
02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton
Plus en détailMesure DBO/de la diminution d oxygène. La demande biochimique en oxygène (DBO) Respiration/Réduction
Mesure DBO/de la diminution d oxygène La demande biochimique en oxygène (DBO) Mesure DBO conforme à EN 1889 1 et 1889 2 et à des fins d autocontrôle La demande biochimique en oxygène est un paramètre important
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailLe 4 août 2014 ORDRE DU JOUR. 1. Adoption de l ordre du jour.
Le 4 août 2014 Procès-verbal de l assemblée ordinaire du conseil de la Municipalité de la Paroisse de Saint-Christophe d Arthabaska, tenue le 4 août 2014 à 20 heures au Centre Administratif, sous la présidence
Plus en détailSYSTEM O. Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire
SYSTEM O Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire CONCEPTION, CHOIX DES MATÉRIAUX ET MAINTENANCE : La sécurité des réseaux passe par une bonne conception,
Plus en détailPRÉVISIONS BUDGÉTAIRE 2015
DATE: Du 01-01- au 31-12- 1 2 REVENUS 3 4 TAXES 5 TAXES GÉNÉRALES 6 TAXES GÉNÉRALES 133,156,500 $ (Taux,72) -914 512.00-958 726.00 7 TAXE EMPRUNT - CAMION INCENDIE (Taux,0152) -18 029.00-20 400.00 8 TAXE
Plus en détailCours de Structures en béton
Cours de Structures en béton Chapitre 12 DETAILS DE CONSTRUCTION Section 12.3 Les murs 12.3.1 Le mur extérieur en béton armé 12.3.2 Le mur extérieur en maçonnerie traditionnelle 12.3.3 Le mur extérieur
Plus en détailSYNERGYTEK. Logiciel de gestion de la production sur mesure
SYNERGYTEK Logiciel de gestion de la production sur mesure Sommaire SYNERGYTEK Pourquoi :: Est-ce que ce logiciel est fait pour vous? Quoi :: Qu est-ce que ça fait exactement? Comment :: Une implantation
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détail10-09.01 VÉRIFICATION DES PRÉSENCES
PROCÈS-VERBAL de la neuvième (10-09) réunion du Comité exécutif du Collège de Rimouski tenue le jeudi 12 août 2010, à 8 h, au local D-225 du Cégep de Rimouski. 10-09.01 VÉRIFICATION DES PRÉSENCES Mesdames
Plus en détailProgramme de revitalisation/brouillette. 762.38$ C.S.S.T dossier 141530964. 1 191.54 Sécurité publique 48 774.00 TOTAL : 50 727.
SÉANCE RÉGULIÈRE DU 3 NOVEMBRE 2014 À une séance régulière du conseil municipal, tenue le 3 novembre 2014 au lieu ordinaire des sessions dudit conseil, à vingt heures. Présents(e) : Mmes Jocelyne Bronsard
Plus en détailPRiCEWATERHOUSGOPERS 0
PRiCEWATERHOUSGOPERS 0 PricewaterhouseCoopers Inc. 1250, boulevard Rene-Levesque Ouest Bureau 2800 Montreal (Quebec) Canada H3B 2G4 Telephone +1 (514) 205 5000 Telec. direct +1 (514) 205 5694 PROVINCE
Plus en détail16- Grand lac Shaw Portrait 2006
Grand lac Shaw 16- Grand lac Shaw Portrait 2006 16.1 Localisation et description physique du Grand lac Shaw : Municipalité St-Narcisse-de- Rimouski Bassin versant (sous-bassin) Tenure Altitude (m) Latitude
Plus en détailASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF
ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Bases juridiques et dernières évolutions règlementaires Séminaire des animateurs territoriaux, le 26 juin 2012 Ludiana KORTH, chargée d étude juridique
Plus en détailSERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière
Plus en détailRAPPORT D'ENQUÊTE D'ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE ÎLE-DE-MONTRÉAL-1 ACCIDENT MORTEL SURVENU À UN EMPLOYEUR AU 426, RUE GAGNÉ, LASALLE LE 7 JUILLET 2003
EN003429 RAPPORT D'ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE ÎLE-DE-MONTRÉAL-1 ACCIDENT MORTEL SURVENU À UN EMPLOYEUR AU 426, RUE GAGNÉ, LASALLE LE 7 JUILLET 2003 PAUL LÉTOURNEAU, ING., INSPECTEUR TABLE DES MATIÈRES
Plus en détailMuret Laurentien MC. Classique et Versatile
Muret Laurentien MC Classique et Versatile Le muret Laurentien par son look classique s agence à toutes nos gammes de pavé. Qualités et caractéristiques Intégration particulièrement harmonieuse du muret
Plus en détailOuverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique
Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement
Plus en détailSTOCKAGE DES BOUES DE STATIONS D EPURATION URBAINES Bassin Artois Picardie
PREFECTURE REGION NORD PAS DE CALAIS Direction Régionale de l Environnement Nord - Pas de Calais Service Eau, Milieux Aquatiques et Risques Naturels Cellule Réglementation et Gestion Territoriale de l'eau
Plus en détailCATALOGUE D'ESSAIS INTERLABORATOIRES AGLAE 2015 BIOLOGIE MEDICALE
Ensemble pour s'améliorer CATALOGUE D'ESSAIS INTERLABORATOIRES AGLAE 2015 BIOLOGIE MEDICALE Association AGLAE Parc des Pyramides 427 rue des Bourreliers 59320 Hallennes lez Haubourdin +33 (0)3 20 16 91
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailp. 4-5 p. 6-7 p. 8-9 p. 10-11
L eau est une ressource essentielle partagée par tous. Elle est indispensable à l équilibre des écosystèmes, au développement durable et à notre survie même. L eau fait partie des préoccupations prioritaires
Plus en détailLa Terre mise en scène
Objectif La pièce peut servir d «évaluation des performances» et offrir aux élèves la possibilité de montrer de manière créative ce qu ils ont appris sur la Terre en tant que système. Vue d ensemble La
Plus en détailModèle de curriculum vitae thématique. Pierre Dupont 3700 rue Berri Montréal (Québec)
Modèle de curriculum vitae thématique Pierre Dupont 3700 rue Berri Montréal (Québec) Résidence : 514) 873-0000 Bureau : (514) 873-1111 Télécopieur : (514) 873-9304 Courriel : pdupont@pdup.com Cadre infirmier
Plus en détailLe petit livre. des toilettes. Les égouts ne sont pas des poubelles!
Le petit livre des toilettes Les égouts ne sont pas des poubelles! Editeur responsable : B. ANTOINE AIVE Drève de l Arc-en-Ciel 98 6700 ARLON Tél. 063 23 18 11 www.aive.be infoligne@idelux-aive.be janvier
Plus en détailRÈGLEM ENT DU S.P.A.N.C. SERVICE PUBLIC D ASSAINISSEM ENT NON COLLECTIF COMMUNAUTÉ DE COMMUNES JURA SUD
RÈGLEM ENT DU S.P.A.N.C. SERVICE PUBLIC D ASSAINISSEM ENT NON COLLECTIF COMMUNAUTÉ DE COMMUNES JURA SUD 87 Avenue de Saint Claude - 39260 Moirans-en-Montagne - Tél. : 03.84.42.61.20 Fax : 03.84.42.38.03
Plus en détail