Sources et méthodes. Taux de chômage localisés. (régions, départements et zones d emploi)
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- Fabien Desjardins
- il y a 8 ans
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1 Sources et méthodes (régions, départements et zones d emploi) L Insee produit des estimations de taux de chômage localisés, en moyennes trimestrielles et annuelles pour la France métropolitaine, et une fois par an au deuxième trimestre pour les Dom (hors Mayotte). Ces séries de taux de chômage localisés s appuient sur la définition européenne du concept de chômage au sens du BIT. Parce qu elles sont obtenues à partir de la synthèse d informations issues de l enquête Emploi en continu (notion de chômage BIT) et de Pôle Emploi sur les demandeurs d emploi en fin de mois (DEFM - notion de chômage répertorié), on parle de «chômage BIT répertorié» ou plus simplement de «taux de chômage localisés». En 2014, la méthode d estimation des taux de chômage localisés a été revue sur différents points (passage de l emploi au lieu de travail à l emploi au lieu de résidence, effectifs de travailleurs frontaliers, méthode de désaisonnalisation, etc.). Afin de garantir la cohérence entre les différents niveaux géographiques (régions, départements, zones d emploi), la méthodologie retenue pour le niveau zone d emploi est similaire à celle adoptée pour les niveaux régional et départemental. La méthode de calcul des estimations de taux de chômage employée depuis 2014 est décrite ici. Un bref rappel de définitions et grands principes est d abord réalisé, avant que les différentes étapes d estimations des composantes du taux de chômage (chômeurs et actifs occupés) ne soient explicitées. Les spécificités du calcul des taux de chômage au niveau zone d emploi sont ensuite détaillées, ainsi que celles concernant les Dom. La méthode d estimation des taux de chômage localisés en moyenne annuelle est ensuite exposée. Enfin, le calendrier de diffusion et les différents facteurs de révisions possibles des séries sont précisés. 1/9
2 1. Définition et principes généraux Le chômage au sens du BIT (Bureau international du travail) a été défini internationalement en Suivant cette définition, le taux de chômage BIT est égal à : Taux de chômage BIT avec : = Chômeurs BIT 100 Population active Population active = Chômeurs BIT + Emploi au lieu de résidence + militaires du contingent (jusqu en 2001) Les taux de chômage localisés présentés ici ne sont pas mesurés au sens du BIT. On parle de concept de chômage «BIT répertorié», du fait de l utilisation de données sur les demandeurs d emploi en fin de mois (DEFM) de Pôle Emploi pour répartir le nombre de chômeurs national de l enquête Emploi. Les estimations de taux de chômage localisés sont réalisées au niveau départemental et suivant une périodicité trimestrielle sur le champ de la France métropolitaine (cf. parties 2 et 3). Les niveaux régionaux et annuels s en déduisent ensuite. Bien que présentant des spécificités, les taux de chômage par zone d emploi sont estimés de manière similaire à ceux établis au niveau départemental (cf. partie 4). L ensemble des estimations est totalement cohérent avec les niveaux nationaux de taux de chômage publiés par ailleurs. Dans les Dom (hors Mayotte), jusqu en 2013, l enquête Emploi n avait lieu qu une fois par an, au deuxième trimestre. Depuis 2014, elle est passée à une périodicité trimestrielle. Mais en l absence de recul temporel suffisant, les estimations de taux de chômage localisés des Dom continuent de porter sur les seuls deuxièmes trimestres de chaque année (cf. partie 5). 2. Estimation du nombre de chômeurs trimestriel au niveau départemental : numérateur du taux de chômage 2.1- Répartition du nombre de chômeurs brut national par département à l aide des DEFM L Enquête Emploi en continu permet d obtenir un nombre total brut de chômeurs en France métropolitaine, en moyenne trimestrielle. La répartition géographique des demandeurs d emploi en fin de mois (DEFM), en données brutes, est utilisée afin de ventiler le nombre de chômeurs national brut par département. Ces données étant mensuelles (données en fin de mois), elles sont préalablement passées en moyenne trimestrielle de la façon suivante : Si l on note t le trimestre pour lequel on veut calculer les effectifs de DEFM en moyenne trimestrielle (DEFM MT,t), et DEFM(m1,t), DEFM(m2,t) et DEFM(m3,t) les DEFM des trois mois qui composent ce trimestre, alors : DEFM MT,t = 1/6 * DEFM(m3,t-1) + 1/3 * DEFM(m1,t) + 1/3 * DEFM(m2,t) + 1/6 * DEFM(m3,t) On se place ainsi en milieu de trimestre t. 2/9
3 2.2- Désaisonnalisation des séries Chaque série trimestrielle brute de chômeurs départementale obtenue précédemment est ensuite corrigée des variations saisonnières (CVS). Les coefficients saisonniers sont revus chaque trimestre sur l ensemble de la période et les modèles de saisonnalités sont révisés une fois par an Rétropolation des séries jusque 1982 Chaque trimestre, les séries départementales sont recalculées à partir de La rétropolation jusqu au premier trimestre 1982 est effectuée de la manière suivante : - on reprend les niveaux trimestriels de chômeurs par département sur la période T T issus de l ancienne méthodologie, à partir desquels on calcule des taux d évolution qui ne sont plus révisés ; - ces taux d évolution sont appliqués aux niveaux de chômeurs par département du T issus de l estimation courante Calage sur le nombre de chômeurs national corrigé des variations saisonnières Pour caler les séries trimestrielles départementales CVS de chômeurs sur la série trimestrielle nationale CVS de chômeurs issue de l enquête Emploi, le résidu entre le niveau national et la somme des niveaux départementaux est ventilé uniformément sur les niveaux départementaux. Les séries trimestrielles de chômeurs CVS par région sont obtenues par agrégation des séries CVS départementales. 3. Estimation de la population active occupée trimestrielle au niveau départemental : partie emploi au dénominateur du taux de chômage 3.1- Évaluation de l emploi total au lieu de travail La partie «emploi» figurant au dénominateur des taux de chômage localisés est obtenue à partir des estimations annuelles d emploi salarié au lieu de travail ainsi que des estimations annuelles d emploi non-salarié. Ces estimations d emploi couvrent la période allant de 1989 jusqu au dernier point annuel disponible. Les niveaux annuels d emploi sur le champ salarié marchand non agricole (SMNA) sont trimestrialisés à l aide des estimations trimestrielles d emploi localisé. Ces séries trimestrielles d emploi, corrigées des variations saisonnières, sont «calées» sur chaque point annuel : l écart entre l estimation faite au quatrième trimestre de l année N (des estimations trimestrielles) et l estimation au 31 décembre de l année N (des estimations annuelles) est ventilé sur chacun des trimestres de l année N. A défaut d information trimestrielle pour l emploi non-salarié ainsi que pour l emploi salarié agricole et non-marchand, les niveaux trimestriels sur ces champs sont obtenus par 3/9
4 interpolation des points annuels, via une trimestrialisation géométrique des séries annuelles (cf. encadré ci-dessous). La trimestrialisation géométrique permet ici d interpoler des points annuels afin d obtenir une série trimestrielle. Les effectifs du trimestre T t de l an A n sont calculés comme suit : Eff_T t _A n = Eff_A n-1 * (Eff_A n / Eff_A n-1) ** (T t / 4). Les niveaux de chaque quatrième trimestre coïncident alors avec les niveaux annuels Passage de l emploi au lieu de travail à l emploi au lieu de résidence Pour calculer les estimations trimestrielles de taux de chômage localisés, on utilise comme élément de base les séries d emploi au lieu de travail, qu il faut passer au lieu de résidence. Pour ce faire, des matrices de passage entre les deux concepts d emploi sont estimées, à l aide d une source donnant la double localisation au lieu de travail et au lieu de résidence. Pour l emploi non-salarié, le lieu de travail et le lieu de résidence sont supposés identiques. Le calcul des matrices de passage est donc restreint à l emploi salarié. Sur ce champ, le passage du lieu de travail au lieu de résidence est réalisé à l aide d'une matrice annuelle issue d Estel 2008 pour les années 2008 et ultérieures, et du recensement pour les années antérieures. Les matrices de passage trimestrielles sont obtenues par interpolation de ces matrices annuelles. Les niveaux trimestriels d emploi total au lieu de résidence s en déduisent ensuite par agrégation des niveaux trimestriels d emploi salarié au lieu de résidence et des niveaux trimestriels d emploi non-salarié Ajout des travailleurs frontaliers Les niveaux trimestriels d emploi total au lieu de résidence ne comptabilisent pas les effectifs de travailleurs frontaliers résidant en France et travaillant à l étranger, qu il faut donc ajouter. Jusque début 2013, les niveaux trimestriels de travailleurs frontaliers sont obtenus à partir des recensements de la population. Sur la période où les recensements annuels sont disponibles, ils sont interpolés suivant une trimestrialisation géométrique. Mais lors de l estimation des taux de chômage localisés de l année N, seul le recensement de l année N-4 est publié. Sur les années postérieures à N-4, les données du recensement sont donc prolongées à l aide de la tendance observée sur les trois dernières années. À partir du deuxième trimestre 2013, les effectifs de travailleurs frontaliers sont estimés à l aide d informations transmises par la Caisse nationale d assurance maladie (Cnam). Ces données, utilisées en taux d évolution, se substituent temporairement (i.e. dans l attente de la parution des chiffres du recensement) aux extrapolations réalisées à partir des recensements précédents. Lorsque l estimation des taux de chômage localisés porte sur un trimestre où les données de la Cnam ne sont pas encore disponibles, la tendance passée sur la dernière année est prolongée Passage en moyenne trimestrielle Les séries trimestrielles d emploi localisé obtenues à l étape précédente sont passées en moyenne trimestrielle pour assurer la cohérence avec les séries d emploi et de taux de chômage issues de l enquête Emploi. L emploi en milieu de trimestre correspond à la moyenne entre le trimestre t et le trimestre t-1. 4/9
5 Si l on note t le trimestre pour lequel on veut calculer l emploi en moyenne trimestrielle (EMP MT,t ), et EMP t-1, EMP t les niveaux d emploi total obtenus après ajout des travailleurs frontaliers pour les trimestres t-1 et t, alors : EMP MT,t = 1/2 * ( EMP t-1 + EMP t ) On se place ainsi en milieu de trimestre t Désaisonnalisation des séries Les séries trimestrielles d emploi localisé évaluées précédemment sont ensuite désaisonnalisées. Les coefficients saisonniers sont projetés sur les quatre trimestres de l année courante et recalculés une fois par an Rétropolation des séries jusque 1982 Chaque trimestre, les séries sont recalculées à partir de La rétropolation jusqu au premier trimestre 1982 est réalisée de la manière suivante : - on reprend les niveaux trimestriels d emploi localisé total (salarié, non-salarié, frontaliers et, jusqu en 2001, effectifs du contingent) sur la période T T issus de l ancienne méthodologie, à partir desquels on calcule des taux d'évolution qui ne sont plus révisés ; - ces taux d évolution sont appliqués aux niveaux de l emploi localisé total du T provenant de l estimation courante Calage sur la population active occupée nationale corrigée des variations saisonnières Pour caler les séries trimestrielles départementales CVS d emploi sur la série trimestrielle CVS de population active occupée nationale issue de l enquête Emploi, le résidu entre le niveau national et la somme des niveaux départementaux est ventilé uniformément sur les niveaux départementaux. Les séries trimestrielles d emploi CVS par région sont obtenues par agrégation des séries CVS départementales. 4. Spécificités du mode de calcul des taux de chômage au niveau zone d emploi L estimation des taux de chômage localisés par zone d emploi régionale 1 (ZER) en France métropolitaine est réalisée suivant la même méthode que celle décrite ci-dessus sur les départements. Une adaptation doit toutefois être réalisée, dans la mesure où aucune donnée n est disponible sur l emploi en rythme infra-annuel au niveau des ZER. Par ailleurs, il convient de noter que le calage entre les estimations par ZER et celles portant sur les autres échelons géographiques est assuré au niveau régional mais pas départemental. 1 Une zone d emploi pouvant être «à cheval» sur deux régions, les zones d emploi régionales correspondent aux parties régionales des zones d emploi. 5/9
6 4.1- Population active occupée : partie «emploi» au dénominateur des taux de chômage Contrairement au niveau départemental, il n existe pas d information trimestrielle sur la composante «emploi» des taux de chômage au niveau ZER, ni pour l emploi salarié, ni pour l emploi non-salarié. La trimestrialisation des séries annuelles d emploi total (salarié et nonsalarié) par ZER se fait donc géométriquement jusqu au dernier point annuel définitif disponible. Afin d obtenir une estimation jusqu à l année courante, on prolonge la tendance des quatre dernières années et on trimestrialise géométriquement ces points annuels estimés. Chaque trimestre, l emploi par ZER est calé sur les effectifs des zones d englobantes 2, euxmêmes obtenus à partir des estimations effectuées au niveau des départements, suivant la méthodologie exposée précédemment. La zone englobante étant souvent plus étendue que le département, la cohérence avec le niveau départemental n est pas assurée Nombre de chômeurs : numérateur et partie «chômage» au dénominateur des taux de chômage La composante «chômage» des taux de chômage au niveau ZER est calée chaque trimestre sur le niveau des zones englobantes (de la même façon que pour la composante «emploi»). 5. Cas des Dom La spécificité des Dom provient de l absence d enquête Emploi trimestrielle avant Estimation du taux de chômage de chaque Dom à partir de l enquête Emploi annuelle Dans les Dom (hors Mayotte), jusqu en 2013, l enquête Emploi n avait lieu qu une fois par an, durant chaque deuxième trimestre. C est la raison pour laquelle seule une estimation de taux de chômage portant sur le deuxième trimestre était effectuée pour chacun des Dom. Depuis 2014, la périodicité de l enquête Emploi est devenue trimestrielle. Faute toutefois de recul temporel suffisant, notamment pour effectuer des corrections de variations saisonnières, les estimations continuent de ne porter que sur les deuxièmes trimestres de chaque année. Il est à noter toutefois qu un taux de chômage trimestriel est calculé sur le champ de la France entière (métropolitaine et Dom). Le principe retenu consiste alors à utiliser, pour les Dom, les résultats des enquêtes Emploi annuelles (qui permettent de mesurer un taux de chômage au sens du BIT au printemps de chaque année), puis d en déduire des estimations trimestrielles du nombre de personnes en emploi et au chômage en mobilisant des sources externes (estimations d emploi salarié marchand non agricole et DEFM) Estimation de taux de chômage par zone d emploi dans les Dom suivant une méthode similaire à celle retenue en France métropolitaine Au niveau des zones d emploi, des estimations sont effectuées pour chacun des Dom suivant une méthode comparable à celle exposée ci-dessus dans le cas de la France métropolitaine. Compte tenu toutefois de la périodicité annuelle de l enquête Emploi, elles ne portent que sur les deuxièmes trimestres de chaque année. 2 Une zone englobante correspond à la plus petite zone géographique regroupant des zones d emploi régionales. Elle correspond le plus souvent à la région dans laquelle se situe la zone d emploi mais peut aussi se limiter à un regroupement de départements au sein d une région. 6/9
7 Plus précisément, la partie «emploi» figurant au dénominateur du taux de chômage par zone d emploi d un Dom est obtenue en trimestrialisant les estimations annuelles d emploi total, en effectuant ensuite le passage au lieu de résidence, puis en ajoutant les travailleurs frontaliers à partir du recensement de la population. Cette série d emploi en fin de trimestre est passée en moyenne trimestrielle et seul le deuxième trimestre de chaque année est conservé, l enquête Emploi n étant qu annuelle. Le calage sur la population active occupée issue de l enquête Emploi annuelle est effectué séparément pour chaque Dom. La composante «chômage» est obtenue par ventilation du nombre de chômeurs issu de l enquête Emploi portant sur le deuxième trimestre à l aide de la structure des DEFM. 6. Estimations des taux de chômage localisés en moyenne annuelle Les estimations annuelles de taux de chômage localisés sont produites à partir des estimations trimestrielles, suivant la méthode détaillée ci-dessous dans le cas des départements. Les estimations annuelles portant sur les autres échelons géographiques sont obtenues de manière similaire Estimation de l emploi Les niveaux départementaux d emploi en moyenne annuelle sont calculés à partir de la composante emploi CVS des taux de chômage départementaux trimestriels, en appliquant la formule suivante : emp dep ann = (emp dep T1 / 4) + (emp dep T2 / 4) + (emp dep T3 / 4) + (emp dep T4 / 4) Avec emp dep ann : niveau d emploi annuel d un département emp dep Ti (i=1 à 4) : niveau d emploi d un département pour le trimestre Ti 6.2- Estimation du chômage Les effectifs départementaux de chômeurs en moyenne annuelle sont calculés à partir de la composante chômage CVS des taux de chômage départementaux trimestriels, de la manière suivante : chom dep ann = (chom dep T1 / 4) + (chom dep T2 / 4) + (chom dep T3 / 4) + (chom dep T4 / 4) Avec chom dep ann : nombre de chômeurs annuel d un département chom dep Ti (i=1 à 4) : nombre de chômeurs d un département pour le trimestre Ti 6.3- Calcul des taux de chômage Les taux de chômage départementaux en moyenne annuelle sont ensuite calculés comme suit : tx chom dep ann = (chom dep ann) / (chom dep ann + emp dep ann) * 100 7/9
8 7. Diffusion et révision des séries 7.1- Diffusion des séries Les estimations de taux de chômage localisés par région et département sont disponibles depuis 1982 et celles déclinées par zone d emploi depuis Les estimations trimestrielles de taux de chômage localisés sont diffusées à la fin des mois de mars, juin, septembre et décembre (ou au début du mois suivant). Le dernier point diffusé en fin de trimestre T (ou en début de trimestre T+1) est le trimestre T-1. Sur le site internet de l Insee, les taux de chômage localisés apparaissent dans les chiffres clés ou dans les bases de données locales aux adresses suivantes : - Emploi : - Chômage : (département) (région) (zone d emploi) Les estimations annuelles de taux de chômage localisés sont publiées chaque année en avril, une fois parues les estimations trimestrielles d emploi et de taux de chômage localisés du quatrième trimestre de l année précédente. Le dernier point des séries annuelles diffusées l année N est l année N-1. Les données annuelles sont mises à disposition sur le site internet de l Insee, dans l'insee Résultats "L'emploi départemental et sectoriel ( xx) - Le chômage départemental ( xx)" (tableau T302) Révision des séries Les estimations trimestrielles de taux de chômage localisés peuvent faire l objet de révisions d un trimestre à l autre pour différentes raisons. Prise en compte de nouvelles données sources La prise en compte de nouvelles données sources (Cnam en mars et septembre, recensement de la population en juin, DEFM chaque trimestre, etc.) est susceptible d engendrer des révisions sur l emploi ou le nombre de chômeurs. Calage sur les nouveaux niveaux annuels d emploi L intégration d un nouveau point d emploi annuel provisoire ou définitif (calculé à partir des données d Estel) conduit à revoir les taux de chômage localisés. Les révisions touchent l emploi salarié marchand non agricole, ainsi que l emploi non salarié et l emploi salarié des secteurs agricoles et non-marchands. Elles ont lieu deux fois par an, en mars et en septembre. Actualisation des coefficients saisonniers Concernant le nombre de chômeurs trimestriels, les coefficients saisonniers sont recalculés chaque trimestre. Les séries peuvent alors être légèrement revues. La révision 8/9
9 des modèles de saisonnalité, qui a lieu une fois par an, peut engendrer des révisions un peu plus importantes. Pour les données d emploi trimestrielles, la révision des coefficients saisonniers n intervient qu une seule fois par an. Au niveau national, les coefficients saisonniers sur le nombre de chômeurs et sur l emploi sont recalculés chaque trimestre. Parce qu elles sont calées sur les niveaux trimestriels nationaux, les séries localisées peuvent en être affectées. 9/9
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