Spécialiste de l hydroculture. Nous proposons 9 modules de formation :
|
|
- Robin Lefèvre
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Spécialiste de l hydroculture Nous proposons 9 modules de formation : Module 1 : Historique de la lutte contre les ravageurs. Module 2 : Règles de base sur la santé des végétaux. Module 3 : Les stress en milieux urbains. Module 4 : Les animaux ravageurs. Module 5 : Les champignons, les bactéries et les virus. Module 6 : La législation en vigueur et la lutte chimique. Module 7 : Les auxiliaires naturels. Module 8 : Les auxiliaires lâchés. Module 9 : Protection Biologique Intégrée en espaces verts.
2 Module 1 : Historique de la lutte contre les ravageurs. Connaître les différentes méthodes de lutte contre les ravageurs. Comprendre les raisons de l'évolution dans le temps de ces méthodes. - Des exploitations agricoles aux espaces verts. - Historique et définition des différentes méthodes de lutte (chimique, raisonnée, biologique et intégrée). - Avantages et inconvénients des différentes méthodes. - Enjeux socio-économiques. 1/2 journée. Module 2 : Règles de base sur la santé des végétaux. Replacer le végétal dans son environnement. Prendre conscience de l'importance et du rôle du sol, de l'eau, de l'air et des apports d'éléments. - Les différents états du sol : physique, physico-chimique, biologique. - Les fonctions et le travail du sol - L'eau : fraction liquide du sol. - Fonctionnement simplifié et nutrition de la plante. - Eléments nutritifs : source, rôle, symptômes de carences ou d'excès.
3 Module 3 : Les stress en milieu urbain Sensibiliser les participants aux contraintes subies par les végétaux en milieux urbains. Connaître les bonnes pratiques de taille. Choisir des végétaux adaptés à chaque site. - Pollutions en milieu urbain. - Compactage des sols et effets sur les végétaux. - Travaux d'aménagement et protection des arbres. - Règles de base pour la taille (plan de coupe, périodes, cicatrisation). Etudes de cas et conséquences. - Contraintes du milieu et choix des végétaux. Module 4 : Les animaux ravageurs Apprendre à reconnaître les différents groupes de ravageurs et leurs dégâts sur les végétaux. Connaître leur mode de vie et leur biotope pour mettre en place une méthode de lutte adaptée. - Introduction et place des différents groupes de ravageurs dans le monde du vivant - Les mammifères et mollusques ravageurs. - Les nématodes, les acariens : détermination, biologie, dégâts et moyens de lutte. - Les insectes : détermination et reconnaissance à partir de la classification, biologie, dégâts et moyens de lutte. 3 journées.
4 Module 5 : Les champignons, bactéries et virus. Apprendre à reconnaître les différents groupes de champignons, de bactéries et de virus à partir des dégâts observés sur les végétaux. Connaître leur Cycle pour mettre en place une stratégie de lutte à la bonne période l'année. - Introduction et place des champignons, des bactéries et des virus dans le monde du vivant. - Les bactéries et les virus: détermination, biologie et dégâts. - Les champignons : détermination et reconnaissance à partir de la classification, cycle biologique, dégâts et stratégie de lutte. 3 journées. Module 6 : La législation et la lutte chimique. Sensibiliser les participants au respect de la législation en matière d'utilisation de produits chimiques. Savoir lire et se servir de l'index phytosanitaire. - Présentation des molécules chimiques et mode d'action. - Toxicité et risques pour l'applicateur. - Protection de l'utilisateur. - Déchiffrage des informations contenues dans l'index phytosanitaire. - Utilisation pratique.
5 Module 7 : Les auxiliaires naturels. Apprendre à reconnaître et à respecter les auxiliaires naturels. Favoriser leur retour et leur installation. - Présentation des différents groupes d'auxiliaires. - Notions de prédateurs et de parasitoïdes. - Détermination et reconnaissance des différents stades de développement. - Cycles biologiques et mode de vie. - Cibles. - Interactions auxiliaires-auxiliaires. Module 8 : Les auxiliaires lâchés. Connaître les différents auxiliaires commercialisés et leur cible. - Présentation des auxiliaires et de leur cycle biologique. - Mode d'action. - Conditions optimales pour la réussite du lâché. - Reconnaissance de la cible. - Estimation du nombre d'individu à lâcher
6 Module 9: La Protection Biologique Intégrée en Espaces Verts urbains. Présenter et aider à la mise en œuvre des techniques de Protection Biologique Intégrée en espaces verts urbains. - Définition et principes de la protection biologique intégrée. - Mise en œuvre dans les espaces verts urbains. - Comptage et suivi des populations de ravageurs. - Reconnaissance, comptage, suivi et stratégie d utilisation des différents groupes d auxiliaires naturels et commerciaux : Mammifères, Oiseaux, Arthropodes... - Aménagements pour favoriser la présence des auxiliaires. 3 journées.
Permet plus de souplesse au niveau du raisonnement de la lutte contre les organismes nuisibles
Atelier Biocontrôle Matthieu BENOIT Chambre régionale d agriculture de Normandie - arboriculture Action pilotée par le ministère chargé de l'agriculture, avec l appui financier de l Office national de
Plus en détailLes méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)
Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»
Plus en détail2. Les auxiliaires de culture
III- Maîtriser les ravageurs et les adventices 2. Les auxiliaires de culture Insectes Le principe de la lutte biologique est la régulation des populations de ravageurs de culture par l utilisation de leurs
Plus en détailNormes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs)
105 Annexe 3 Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) On trouvera ci-après une description succincte des NIMP adoptées. Le texte intégral des NIMP peut être consulté sur le Site
Plus en détailCe qu'il faut retenir
N 10 5 juin 2015 Ce qu'il faut retenir Balanin : des balanins sont présents en verger et d'après les dissections de femelles et de mâles, les accouplements devraient commencer dans les prochains jours.
Plus en détailCHOU BIOLOGIQUE. Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires
CHOU BIOLOGIQUE Evaluation d aménagements floristiques sur la répartition intra-parcellaire des auxiliaires Essai de plein champ conditions expérimentales 1 Auteurs : Christian ICARD (Ctifl-SERAIL), Nadine
Plus en détailLa loi NRE. Article 116
La loi NRE La loi sur les nouvelles régulations économiques fixe (art.116) l'obligation pour les sociétés française cotées sur un marché réglementé l'obligation de rendre compte dans leur rapport annuel
Plus en détailCertificat de Spécialisation «RESPONSABLE TECHNICO-COMMERCIAL : AGRO-FOURNITURES»
Certificat de Spécialisation «RESPONSABLE TECHNICO-COMMERCIAL : AGRO-FOURNITURES» S appuyant sur le Brevet de Technicien Supérieur Agricole : Analyse et conduite des systèmes d exploitation Arrêté du 27
Plus en détailAuxiliaires. Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels
Auxiliaires Vue d ensemble les ravageurs et leurs ennemis naturels Mouches Blanches L un des ravageurs les plus communs dans de nombreuses cultures. Lors d une forte attaque, la mouche blanche peut s avérer
Plus en détailNous prøsentons dans ce document notre questionnaire et les røponses telles que nous avons re ues, dans leurs intøgralitøs.
Nous prøsentons dans ce document notre questionnaire et les røponses telles que nous avons re ues, dans leurs intøgralitøs. Questionnaire: (q Oui q Non) (q Oui q Non) espaces verts? (q Oui q Non) q IntØressantes
Plus en détailEnvironmental Research and Innovation ( ERIN )
DÉpartEment RDI Environmental Research and Innovation ( ERIN ) Le département «Environmental Research and Innovation» (ERIN) du LIST élabore des stratégies, des technologies et des outils visant à mieux
Plus en détailvérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises
Avant d utiliser des produits chimiques, vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web www.biobest.be Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises
Plus en détailModalités de Contrôle des Connaissances A partir de septembre 2014
Master 1 semestre 1 1 2 3 4 5 6 Intitulé précis de l Communication, bases de données et projet professionnel personnel Domaine Sciences, Techniques et Santé 1 Session 1 / Contrôle continu Note plancher
Plus en détailFiche technique. Comment lutter contre les nématodes parasites des cultures maraichères par la solarisation?
Institut National de la Recherche Agronomique du Niger Réseau National des Chambres d'agriculture du Niger Fiche technique RECA Réseau National des Chambres N d Agriculture du Niger iger Comment lutter
Plus en détailAssociation des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale,
Objectifs Association des convivialité, réunir les habitants autour du jardinage action sociale, création de jardins familiaux action environnementale, promouvoir un jardinage respectueux de l environnement
Plus en détailAnnexe A : Tableau des exigences
E1 E1.1 E1.2 E1.3 E1.4 E1.5 E1.6 Exigences générales production Les végétaux destinés à la consommation humaine doivent être cultivés au Québec. Les végétaux destinés à la consommation humaine doivent
Plus en détailLe rôle des haies dans le maintien et le développement des auxiliaires de culture et les pollinisateurs
Le rôle des haies dans le maintien et le développement des auxiliaires de culture et les pollinisateurs A LES INSECTES UTILES : LES POLLINISATEURS Ce sont essentiellement les insectes de l ordre des Hyménoptères
Plus en détailÉcole du Paysage et de l'horticulture
Convention de stage École du Paysage et de l'horticulture 14480 Saint Gabriel Brécy Concernant l'élève : Nom : Prénom : Date de naissance : En classe de : CAPA Seconde BAC Pro Dans l'option : Productions
Plus en détailVégétaux Exemples d individus
Végétaux Formation Biologie 2011 2012 Végétaux Exemples d individus Végétaux Embranchement Classification Description Reproduction Mode de vie Exemples d individu Végétaux Règne > Etymologie «Végetaux»
Plus en détailEnterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.
FICHE PRATIQUE LES PRODUITS BIOCIDES Enterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.fr/een La Chambre de commerce et
Plus en détailRésumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011
Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Brigitte Duval, agronome (MAPAQ Nicolet) et Geneviève Labrie, Ph.D. (CÉROM) en collaboration avec Joëlle Cantin, stagiaire, Mathieu
Plus en détailJournées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013
Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Principe: Favoriser la biodiversité fonctionnelle sur l exploitation -Impact très souvent sous estimé de la faune auxiliaire naturellement présente -Importance
Plus en détail12. À chacun son point de vue
12. À chacun son point de vue Secondaire, cycle 1 Durée : 60 min. L agriculture est en crise partout sur la planète. Alors que certains louent les bénéfices de l agriculture conventionnelle moderne, d
Plus en détailPage 1/6 - Lutte biologique contre les organismes nuisibles à l'agriculture
25/04/2006 - Par Bernard Pintureau, Chercheur INRA Lutte biologique contre les organismes nuisibles à l'agriculture Les plantes cultivées subiraient entre 20 et 40 % de pertes avant récolte, dues à des
Plus en détailLes débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie
Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce
Plus en détailBibliothèque Royale Albert 1er
Bibliothèque Royale Albert 1er Description du projet Ce projet a pour but de valoriser des espaces plats et inutilisés (toit, terrasse ou autre) par la création de potagers écologique (sans pesticide,
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailFAVORISER LA BIODIVERSITÉ DANS LE CIMETIÈRE. Guillaume Larregle (Maison de l Environnement de Seine-et-Marne)
FAVORISER LA BIODIVERSITÉ DANS LE CIMETIÈRE Guillaume Larregle (Maison de l Environnement de Seine-et-Marne) LA TRAME VERTE ET BLEUE RECONSTITUER UN RÉSEAU DE CONTINUITÉS ÉCOLOGIQUES Permettre à la faune
Plus en détailBULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté
BULLETIN de SANTE du VEGETAL Franche-Comté Bulletin N 11-24 juillet 2015 INSCRIPTIONS Si vous ne recevez pas le BSV Légumes chaque semaine, vous pouvez vous inscrire aux listes diffusion de votre choix
Plus en détailLe compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détailFASCICULE DES 10 ESPECES D'ARBRES URBAINS ENIGME V - A LA DECOUVERTE DE LA NATURE
FASCICULE DES 10 ESPECES D'ARBRES URBAINS ENIGME V - A LA DECOUVERTE DE LA NATURE INTRODUCTION La nature est incroyablement diversifiée. Elle regroupe la Terre avec ses zones aquatiques telles que les
Plus en détailL EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les
L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les deuxièmes plus grands consommateurs d eau potable, juste
Plus en détailREPOBIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana-Fahafahana-Fandrosoana
REPOBIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana-Fahafahana-Fandrosoana CONTEXTE 2 INTRODUCTION... 2 I. QUELQUES DEFINITIONS ET CONCEPTS... 2 I.1. Qu est ce que les archives?... 2 I.2. Pourquoi archiver?... 2 I.3.
Plus en détailFondation GoodPlanet Programme Action Carbone. Présentation des projets de compensation carbone
Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone Présentation des projets de compensation carbone Fondation GoodPlanet Mettre l écologie au cœur des consciences Fondée en juillet 2005 par Yann Arthus-Bertrand
Plus en détailThème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique
Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification
Plus en détailGranulés anti-limaces : pas sans risques!
Granulés anti-limaces : pas sans risques! Conseils pratiques pour une utilisation et un stockage corrects et sans danger pour vos animaux domestiques Comment utiliser et stocker sans danger les granulés
Plus en détailLes macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH
Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailécologique Guide des arbres Ornement fruitier forestier Exigences culturales, maladies, ravageurs, protection biologique ÉLISABETH & JÉRÔME JULLIEN
ÉLISABETH & JÉRÔME JULLIEN Guide écologique des arbres Ornement fruitier forestier Exigences culturales, maladies, ravageurs, protection biologique Préface de Denis Cheissoux Sang de la Terre et Groupe
Plus en détailCLÉS POUR COMPRENDRE L AGRO-ÉCOLOGIE
10 CLÉS POUR COMPRENDRE L AGRO-ÉCOLOGIE L agro-écologie «Je souhaite engager notre agriculture sur la voie de la double performance économique et écologique, pour faire de l environnement un atout de notre
Plus en détailCONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI
CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses
Plus en détailGuide des auxiliaires indispensables : Aphelinus mali, punaises prédatrices et acariens prédateurs
Lesauxiliaires auxiliaires Les enarboriculture arboriculture en Guide des auxiliaires indispensables : Aphelinus mali, punaises prédatrices et acariens prédateurs Insectes pollinisateurs : respecter les
Plus en détailConstruire un plan de nettoyage et de désinfection
Construire un plan de nettoyage et de désinfection Docteur Régine POTIÉ-RIGO Médecin du Travail Mlle Laetitia DAVEZAT IPRP Ingénieur Hygiène/Sécurité Mme Laetitia MARCHE Technicienne des services généraux
Plus en détailRESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV
RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE, Suivant la proposition de la Commission I
Plus en détailConseil Spécialisé fruits et légumes
Conseil Spécialisé fruits et légumes Proposition d axes pour l expérimentation pour 2013/2015 dans la filière fruits et légumes frais (hors pomme de terre) 18 décembre 2012 FranceAgriMer Préparation de
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : NOTION DE CONSERVATION
LE SERVICE D INFORMATION ET DE DOCUMENTATION SID, Mars 2009 DE LA FONDATION ALLIANCE FRANÇAISE FICHE TECHNIQUE : NOTION DE CONSERVATION D UN FONDS D ARCHIVES D UNE ALLIANCE FRANÇAISE. SOMMAIRE Les objectifs...
Plus en détailAménagements agroforestiers et Biodiversité fonctionnelle
Aménagements agroforestiers et Biodiversité fonctionnelle Cette plaquette, réalisée par Arbre et Paysage 32, en lien avec le projet CASDAR «Améliorer l efficacité agro-écologique des systèmes agroforestiers
Plus en détailSurveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis
Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora glabripennis Asian longhorned beetle (ALB) Longicorne asiatique Photo LNPV DRAAF - SRAL ALSACE Surveillance et suivi d un émergent en Alsace Anoplophora
Plus en détail4. Notice d utilisation
Clauses techniques pour une prise en compte de la réduction de l utilisation des produits phytopharmaceutiques dans les marchés publics d entretien et de conception des espaces publics Mars 2012 Action
Plus en détailPOLITIQUE DE BIOSÉCURITÉ
Date d entrée en vigueur: Mai 2006 Remplace/amende: VRS-52/s/o Origine: Vice-rectorat aux services Numéro de référence: VPS-52 DÉFINITION Une substance biologique dangereuse se définit comme un organisme
Plus en détailCHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT
CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT 1 Relations alimentaires entre les êtres vivants 1 1 Les chaines alimentaires. Une chaine alimentaire est constituée par une succession d êtres vivants
Plus en détailJeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur
Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant
Plus en détailLa crise écologique. Perspectives anticapitalistes pour la préservation de la vie sur Terre
La crise écologique Perspectives anticapitalistes pour la préservation de la vie sur Terre Qu est-ce que la crise écologique? Le réchauffement climatique? La destruction des forêts? La fin du pétrole?
Plus en détailForum du 07 /04 /2011
Forum du 07 /04 /2011 Bilan général du tout automobile et de ces conséquences. La voiture est devenue l objet primordial de nos déplacements Infrastructures au détriment de la qualité de la vie Conséquences
Plus en détail>Si j ai réussi, je suis capable de
Fiche 10 Rechercher des informations sur Internet La plupart des informations disponibles sur Internet sont gratuites à la consultation. Elles sont présentées par des personnes ou des organisations qui
Plus en détailAVERTISSEMENT. Par ailleurs, ce texte consolidé ne peut en aucun cas être considéré comme contenant la liste exhaustive des dispositions applicables.
AVERTISSEMENT Le texte de la consolidation officieuse ci-après tend à refléter les dispositions réglementaires existantes et ne possède, présenté sous cette forme, aucune valeur juridique contraignante.
Plus en détailmunicipales (L.R.Q., chapitre C 47.1); PROVINCE DE QUÉBEC VILLE DE SALABERRY DE VALLEYFIELD RÈGLEMENT 222 Règlement sur les pesticides
PROVINCE DE QUÉBEC VILLE DE SALABERRY DE VALLEYFIELD RÈGLEMENT 222 Règlement sur les pesticides ATTENDU QUE l utilisation de pesticides est susceptible de représenter un risque pour la santé et entraîner
Plus en détailbiocides : définitions d et frontières res réglementaires
Les produits Conférence «Biocides» MEDDTL - ANSES 10/04/2012 biocides : définitions d et frontières res réglementaires Direction générale de la prévention des risques Service de la prévention des nuisances
Plus en détailLes insectes auxiliaires du jardin Maintenir la biodiversité dans le Grand Lyon
Les insectes auxiliaires du jardin Maintenir la biodiversité dans le Grand Lyon Le Syrphe ceinturé DÉFINITION Les ravageurs sont des organismes qui causent des dégâts aux plantes cultivées, aux stocks
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailPLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION
PLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION Pourquoi les élu-es EELV au Conseil Régional ne voteront pas le Plan Bio Midi-Pyrénées 2014-2020 en l état? Plan Bio Midi-Pyrénées, un plan sans
Plus en détaildu Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI
Ministère de l Environnement l et du Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI Expert National Statisticien/Economiste
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailNiveau CEl CE2. Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus
Niveau CEl CE2 Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus INTRODUCTION: non un poisson. Le dauphin souffleur ou grand dauphin est un mammifère marin, et Comme tous les mammifères il suivantes
Plus en détailPartie IV. Identifier les carences informationnelles d'une PME / PMI
Partie IV. Identifier les carences informationnelles d'une PME / PMI 222 Partie IV. Identifier les carences informationnelles d'une PME / PMI Chapitre A. Représentation de l'utilisation de l'information
Plus en détailListe des matières enseignées
Liste des matières enseignées Domaine : Sciences de la Nature et de la Vie Filière : Biologie Parcours : Tronc Commun Semestre1 VHG Coefficient Cours TD/TP Crédits/s. unité crédits U.E fondamental : 13
Plus en détailPlan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes?
11 décembre Arles Plan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes? Claire LAFON Benoit DUPUY Introduction
Plus en détailBILAN DE LA CAMPAGNE 2014
BSV n 13 bilan saison 214 Epidémiosurveillance BRETAGNE-NORMANDIE-PAYS DE LA LOIRE : Bilan de la Saison 214 SOMMAIRE BILAN DE LA CAMPAGNE 214 Les observateurs Les observations Les Bulletins de Santé du
Plus en détailJEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL
JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVII e Édition Règlement n o 2014-02 : Règlement sur le développement des toits verts et l agriculture urbaine PRÉSENTATION Présenté par M. Charles Marois, membre du comité exécutif,
Plus en détailTrichogrammes. Les. dans le maïs sucré. Lutte contre la pyrale du maïs
Les Trichogrammes dans le maïs sucré Lutte contre la pyrale du maïs hristine Jean iologiste-entomologiste hargée de projet Para-io Saint-ugustin-de-Desmaures (Québec) Remerciements Para-io et l auteure
Plus en détailPJ 28/12. 7 février 2012 Original : anglais. Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni
PJ 28/12 7 février 2012 Original : anglais F Comité des projets/ Conseil international du Café 5 8 mars 2012 Londres, Royaume Uni Encourager l intensification de la production caféière et vivrière au moyen
Plus en détailPuceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte
Puceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte Daniel Cormier, Ph. D. Institut de recherche et de développement d en agroenvironnement inc.. (IRDA), Québec, Canada Pourquoi
Plus en détailLes compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique
Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression
Plus en détailMASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE)
MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE DES PLANTES
Plus en détailNormes pour la mise en œuvre des objectifs de performances dans les cours interentreprises Polybâtisseuse CFC / polybâtisseur CFC
Normes pour la mise en œuvre des objectifs de performances dans les cours interentreprises Polybâtisseuse CFC / polybâtisseur CFC Etanchéification version décembre 09 Mise en œuvre CFC dans les cours interentreprises
Plus en détailACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE
ACTIONS ET POLITIQUES SUR L'INVESTISSEMENT DANS L'AGRICULTURE 1. Les investissements doivent contribuer à et être compatibles avec la réalisation progressive du droit à une alimentation suffisante et nutritive
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détailInformations techniques sur la culture de l ananas
Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant
Plus en détailPrincipes généraux de la lutte intégrée sur cultures maraîchères en Polynésie française
Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement Ministère de l'agriculture et de l'élevage Service du Développement Rural Département Agriculture Principes généraux
Plus en détailCOMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?
COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche
Plus en détailFiche de données de sécurité selon 1907/2006/CE, Article 31
Page : 1/5 1 Identification de la substance/du mélange et de la société/l'entreprise Identificateur de produit Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations déconseillées
Plus en détailne définition de l arbre.
LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement
Plus en détailAVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Le directeur général Maisons-Alfort, le 7 juillet 2015 AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à «un guide de bonnes pratiques d hygiène
Plus en détailRADICAL. Guide. pratique
RADICAL Guide pratique Protéger son jardin avec des solutions naturelles : La lutte biologique permet de combattre les ravageurs du jardin sans utiliser des traitements nocifs. Elle apporte des solutions
Plus en détailLe Monde des insectes, son importance pour l Homme et l apport de l étude des insectes aux sciences du vivant.
MEDAILLE D OR DU CNRS 2011 Le Monde des insectes, son importance pour l Homme et l apport de l étude des insectes aux sciences du vivant. Extrait de l allocution prononcée le 19 juin 2007 par Jules Hoffmann,
Plus en détailL eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.
1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les
Plus en détailREPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION
REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE ET DE SECURITE ALIMENTAIRE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET
Plus en détailBureau de la Commission Locale de l Eau. Olivet le 25 novembre 2014
Bureau de la Commission Locale de l Eau Olivet le 25 novembre 2014 1. Portage du contrat territorial 2. Projets 2015 / Formations 2015 3. Points divers Ordre du jour 1. Portage du contrat territorial Portage
Plus en détailPRATIQUES PHYTOSANITAIRES RESPECTUEUSES DE L ENVIRONNEMENT : LA LUTTE BIOLOGIQUE
PRATIQUES PHYTOSANITAIRES RESPECTUEUSES DE L ENVIRONNEMENT : LA LUTTE BIOLOGIQUE 1. DEFINITIONS «Lutte biologique ou biological control : utilisation par l homme d ennemis naturels tels que des prédateurs,
Plus en détailEtat de la connaissance de la biodiversité. sur la commune de Pantin
Direction des Espaces Verts Mars 2011 Etat de la connaissance de la biodiversité sur la commune de Pantin Depuis sa création, le Département de la Seine-Saint-Denis a mobilisé ses moyens et fédéré les
Plus en détailParc naturel régional du Perche Maison du Parc- Courboyer 61340 Nocé 02 33 85 36 36 www.parc.naturel.perche.fr
Parc naturel régional du Perche Maison du Parc- Courboyer 61340 Nocé 02 33 85 36 36 www.parc.naturel.perche.fr Malle documentaire Jardin Pourquoi faire un jardin? Quel type de jardin mettre en place? Quelle
Plus en détailMise en place de serveurs Galaxy dans le cadre du réseau CATI BBRIC
Mise en place de serveurs Galaxy dans le cadre du réseau CATI BBRIC {Sebastien.Carrere, Ludovic.Legrand,Jerome.Gouzy}@toulouse.inra.fr {Fabrice.Legeai,Anthony.Bretaudeau}@rennes.inra.fr CATI BBRIC 35 bioinformaticiens
Plus en détailLes principaux thèmes liés à cette cause sont :
S engager pour l environnement Les hommes sont dépendants de leur environnement : c est leur lieu de vie. C est pourquoi lutter contre la pollution et le gaspillage est important. La défense de l environnement,
Plus en détailCOMMENTAiRES/ DECISIONS
Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N
Plus en détailL'écologie. Introduction à l écologie des communautés. Différents types de niveau d organisation correspondent à différents domaines de l écologie
Introduction à l écologie des communautés L'écologie! Ecologie : des mots grecs "Oikos", maison / habitat, et "logos", discours / étude! Ecologie : Science qui étudie les organismes (leur distribution
Plus en détailCompte-rendu des ateliers
FORUM DE DÉVELOPPEMENT SOCIAL LOCAL 2010 2 E rencontre citoyenneté Compte-rendu des ateliers La 2e rencontre du Forum a abordé le thème de la citoyenneté. Cette rencontre s'est déroulé en suivant en partie
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL - BAPAAT
REFERENTIEL PROFESSIONNEL - BAPAAT 1. PARTICIPATION (au Fonctionnement de l'entreprise) DOMAINES de COMPETENCE OBJECTIFS GENERAUX OBJECTIFS OPERATIONNELS Appréciation d'un sportif et socioculturel Droit
Plus en détailUNE INITIATIVE DE : ASSOCIÉS A :
UNE INITIATIVE DE : ASSOCIÉS A : Cette charte est le résultat de trois années de travaux de consultations nationales et locales menées en région Rhône-Alpes, visant à identifier et adapter les principes
Plus en détailRecettes maison contre les ravageurs et les maladies par M. Jean-Claude Vigor
Recettes maison contre les ravageurs et les maladies par M. Jean-Claude Vigor MISE EN GARDE : Les recettes de pesticides «maison» présentées ci-dessous (destinées à un usage domestique) sont données à
Plus en détail