Le rayonnement de Hawking. Comment les trous noirs rayonnent?
|
|
- Victoire Pierre
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Le rayonnement de Hawking Comment les trous noirs rayonnent?
2 Qu est ce qu un trou noir? Un trou noir est un objet céleste si compact que l'intensité de son champ gravitationnel empêche toute forme de matière ou de rayonnement de s en échapper. De façon classique (Newton), la vitesse de libération à l intérieur du trou noir est supérieure à la vitesse de la lumière. La limite où la lumière ne peut plus s échapper est appelée horizon des événements.
3 Théorème de la calvitie ou d absence de chevelure «No-hair theorem» (1967/73 - Werner Israel, Stephen Hawking, Brandon Carter, David Robinson) Un trou noir se caractérise par seulement 3 paramètres : Masse (M) Moment cinétique (J) Charge électrique (Q) Mais, il manque une notion importante caractérisant un système physique : l entropie qui caractérise le degré de désorganisation au niveau microscopique ou l information manquante permettant de décrire complètement un système. Plus l entropie augmente dans un système et plus celui-ci est désorganisé et plus l information manquante est importante pour décrire en détail le système de façon microscopique lorsqu on ne connaît que ses paramètres macroscopiques. En relativité générale, le trou noir peut être vu doté d'une entropie infinie, car l'information organisée relative à la matière qui forme le trou noir semble perdue.
4 Problème de l entropie des trous noirs John Wheeler Cette disparition peut être contournée si l'on attribue au trou noir une entropie égale à celle du corps absorbé. En fait, cette "solution" n'est manifestement pas satisfaisante puisque classiquement, suite à l'absorption, le trou noir redevient stationnaire et semble perdre complètement toute l information (dont l'entropie) sur le corps disparu. La perte d'entropie liée à un objet tombant dans le trou noir viole le second principe de la thermodynamique, qui postule que cette grandeur est une fonction toujours croissante pour un système fermé et l'univers est un système fermé puisque rien ne peut en sortir par définition.
5 Naissance du concept d entropie pour un trou noir 1972 Stephen Hawking En 1972, Stephen Hawking s est demandé si l on considère la fusion de 2 trous noirs de masses M1 et M2, quelle est la quantité d énergie maximale perdue par émission d ondes gravitationnelles. Le résultat trouvé par Hawking fut surprenant et très général : Quelles que soient les masses, les charges électriques et les moments cinétiques des deux trous noirs, la quantité maximale d'énergie qu'ils pouvaient rayonner était telle que la surface du trou noir final devait être supérieure ou égale à la somme des deux surfaces des trous noirs.
6 Naissance du concept d entropie pour un trou noir 1972 Stephen Hawking Un tel résultat présentait une analogie frappante avec le second principe de la thermodynamique, qui stipule que l'entropie d'un système ne peut que croître au cours du temps (un système fermé a plus de manière d être dans le désordre que d être dans l ordre au niveau de sa description microscopique). Il était donc tentant d'associer à un trou noir une entropie proportionnelle à sa surface, mais la thermodynamique indique qu'un système physique auquel on associe une entropie finie doit également posséder une certaine température. De plus, un objet porté à une température non nulle doit émettre un rayonnement électromagnétique. À l'inverse, un trou noir est un objet qui par définition n'émet aucune forme de matière ou de rayonnement. Il semblait donc y avoir impossibilité de pouvoir associer de quelque manière que ce soit une entropie aux trous noirs.
7 Le trou noir a une entropie qui est proportionnelle à sa surface Jacob Bekenstein Le 2 ième principe de la thermodynamique est sauvegardé. L entropie généralisée (= l entropie d un trou noir + l entropie du reste de l univers) ne diminue jamais.
8 Le trou noir a donc une entropie finie mais en plus rien n a plus d entropie qu un trou noir pour un volume donné. Les trous noirs sont les objets à entropie maximale et donc les objets les plus désordonnés de l Univers On considère une sphère (étoile, planète, bille, ) composée de n importe quelle matière possédant une certaine entropie. On fait ensuite s effondrer une coquille de lumière qui apporte assez d énergie pour que la sphère s effondre en trou noir possédant exactement la même taille. Durant ce processus physique, l entropie ne peut qu augmenter selon les lois de la physique classique. En conséquence, le trou noir final aura toujours plus d entropie que la sphère initiale même si celle-ci a déjà beaucoup d entropie au départ. Pour un volume donné, le trou noir est l objet contenant le plus d entropie. Mais où est stockée l information manquante? (théorie des cordes, théorie de la gravitation quantique à boucle, ) Si l entropie est interprétée comme une quantité d information, alors il y a une limite de stockage de l information dans un volume donné qui provient de la surface liée au volume. C est le principe holographique.
9 La thermodynamique des trous noirs et sa correspondance avec la thermodynamique classique du 19 ième siècle Trou noir extrémal : plus petit trou noir possible (plus faible masse) pour une charge et un moment cinétique donné. Les trous noirs extrémaux sont stables et n émettent pas de rayonnement Hawking car ils ont une gravité de surface nulle.
10
11 Qu est ce que le vide en physique? Le vide, au sens où on l entend d habitude, c est-à-dire l absence de toute matière et de tout champ de force, n existe pas. La mécanique quantique prévoit de nombreux effets apparaissant dans le vide, on parle alors de vide quantique. Le vide est rempli de particules et antiparticules virtuelles apparaissant pendant un temps très bref avant de disparaître. Pour une fluctuation dans le vide, par exemple, il y a au départ une absence de particules, puis apparition d'une particule virtuelle et de son antiparticule virtuelle avec une certaine énergie puis disparition des 2 particules virtuelles.
12 Qu est ce que le vide en physique? Le vide est le siège de fluctuations d'énergie suffisamment élevées, tout en étant suffisamment courtes pour ne pas violer le principe d'incertitude de Heisenberg avec le principe de la conservation de l énergie. E. t ħ 2 Cette inéquation signifie que le produit de la variation de l'énergie par une certaine durée (variation de temps) est obligatoirement supérieure à une valeur non nulle pour une particule réelle. Ce qui veut dire qu'il est possible d'emprunter de l'énergie au vide pendant un temps très court pour une particule ou antiparticule virtuelle. C'est ce mécanisme qui est à l'origine des fluctuations du vide. Les particules massives ne peuvent apparaître que pendant très peu de temps, mais les photons (masse = 0) peuvent apparaître d autant plus longtemps que leur fréquence et donc leur énergie est faible.
13 Qu est ce qu une particule virtuelle? Une particule virtuelle est une particule transitoire, dont les caractéristiques sont proches de celles d'une particule ordinaire, mais qui existe pendant un temps limité. En théorie quantique des champs, l'interaction entre particules réelles est décrites en termes d'échange de particules virtuelles. Ces particules virtuelles sont aussi appelées particules «hors couche de masse» (en anglais : off-shell) et ne respectent pas l équation d Einstein (pendant leur durée de vie très courte). Elles peuvent avoir n importe quel quadri-moment (E 2 p 2 c 2 ). E 2 p 2 c 2 m 2 c 4 Les particules réelles sont aussi appelées particules «sur la couche de masse» (en anglais : «on the mass shell» ou plus simplement «on-shell») et respectent l équation d Einstein de la relativité restreinte (1905). E 2 p 2 c 2 = m 2 c 4
14 Qu est ce qu une particule virtuelle? Si on utilise juste 2 dimensions d espace (et non 3 comme notre espace) avec la dimension du temps, l équation peut se représenter comme un hyperboloïde à 3 dimensions (à 4 dimensions en réalité dans notre espace). E 2 (p x 2 +p y 2 ) c 2 = 0 E E 2 (p x 2 +p y 2 ) c 2 = m 2 c 4 p y p x Les particules réelles sont sur ces surfaces (on-shell) et les particules virtuelles sont hors de ces surfaces (off-shell).
15 Qu est ce que le vide en physique? L espace-temps est plein de paires «virtuelles» de particules (noires) et antiparticules (rouges). Les membres d'une paire sortent du vide en même temps en un point dans l'espace-temps, et se déplacent pour ensuite se réunir à nouveau en s annihilant. Une antiparticule réelle possède une énergie mc² positive et égale à celle de la particule réelle. Lors d'une annihilation avec une particule réelle, l'énergie rayonnée (celles des photons émis) est donc 2mc². Dans le cas d'une production de paire virtuelle, tout se passe comme si l'énergie de l une des paires (particule ou antiparticule) était de signe opposée (-mc²) de sorte que l'annihilation est un simple retour à zéro (-mc²+mc²). The Quantum Mechanics of Black Holes by S.W. Hawking (SCIENTIFIC AMERICAN, 1976) Elles sont appelées «virtuelles» parce que, contrairement aux particules «réelles», elles ne peuvent pas être détectées directement. Leurs effets indirects peuvent néanmoins être mesurés.
16 Rayonnement de Hawking du trou noir Interprétation classique Près de l horizon d un trou noir, un membre d'une paire de particule-antiparticule peut tomber dans le trou noir, laissant l'autre membre de la paire sans partenaire avec qui s annihiler. Si le membre survivant de la paire ne suit pas son partenaire dans le trou noir, il peut s échapper à l'infini. Ainsi, le trou noir apparaîtra comme émettant des particules et antiparticules. The Quantum Mechanics of Black Holes by S.W. Hawking (SCIENTIFIC AMERICAN, 1976)
17 Interprétation classique plus détaillée Les particules et antiparticules sont émises par le trou noir avec la même probabilité 50% / 50%. Les photons qui sont leurs propres antiparticules sont les principales particules émises par un trou noir de masse stellaire.
18 Températion de Hawking pour un trou noir de Schwarzschild T = ħc3 8πk B GM T k B c G ħ M : température du trou noir en Kelvin : constante de Boltzmann : lien entre température et énergie : constante de la vitesse de la lumière dans le vide : relativité générale : constante de la gravitation de Newton : relativité générale : constante de Planck réduite (h/2π) : mécanique quantique : masse du trou noir
19 Températion de Hawking pour un trou de Schwarzschild T = ħc3 8πk B GM = 6, M M K ħ = 0 si on veut supprimer les effets de la mécanique quantique : un trou noir a un température = 0 dans le cas classique. Plus le trou noir perd de la masse par rayonnement Hawking, plus sa température augmente : phénomène explosif Plus le trou noir augmente sa masse en absorbant la matière chutant dans son horizon, plus sa température baisse : capacité calorifique négative
20 Entropie de Hawking pour un trou noir de Schwarzschild S = k Bc 3 4ħG A = 4πGk B ħc M 2 = k B 4 A l P 2 S A l P : entropie du trou noir : aire du trou noir : longueur de Planck ħ = 0 si on veut supprimer les effets de la mécanique quantique : un trou noir a une entropie infinie dans le cas classique.
21 Evaporation d un trou noir Le trou noir s'évapore à un rythme accéléré car il perd de la masse. La température du trou noir tend vers l infini à la fin de l évaporation. Nous pouvons nous attendre à observer un rayonnement final de très haute énergie (rayons gamma) qui serait caractéristique de l'évaporation d'un trou noir de Hawking. Un trou noir de 1 masse solaire s évapore complétement en années (durée bien plus grande que l âge de l Univers qui est de 13, années).
22 Paradoxe de l information Mécanique quantique: si on connait exactement l état présent d un système, on peut en principe reconstituer son passé. On dit que l information (on dit aussi l unitarité) est conservée. Relativité générale + rayonnement de Hawking: les trous noirs s'évaporent et peuvent disparaitre complètement, emportant ainsi irrémédiablement l'information sous forme de rayonnement dans leur disparition. Ce rayonnement ne dépend que de la masse, charge et rotation du trou noir et non pas des différents éléments ayant constitués le trou noir. Ce rayonnement émis par le trou noir ne devrait donc pas contenir l information constituant le trou noir. Le trou noir détruit l information et l information n est pas conservée.
23 Toute l information du trou noir pourrait être stockée à sa surface 1993 Gerard t Hooft
24 Comment et où devrait-être stockée l information d un trou noir? La recherche continue
25 FIN
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)
Plus en détailLa physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur!
La physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur! 10-35 Mètre Super cordes (constituants élémentaires hypothétiques de l univers) 10 +26 Mètre Carte des fluctuations du rayonnement thermique
Plus en détailDYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES
A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,
Plus en détailFluorescent ou phosphorescent?
Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailPhotons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique
Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique J.M. Raimond Université Pierre et Marie Curie Institut Universitaire de France Laboratoire Kastler Brossel Département de
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailMécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE. E-MAIL : dataelouardi@yahoo.
Mécanique Quantique EL OUARDI EL MOKHTAR LABORATOIRE MÉCANIQUE & ÉNERGÉTIQUE SPÉCIALITÉ : PROCÈDES & ÉNERGÉTIQUE E-MAIL : dataelouardi@yahoo.fr Site Web : dataelouardi.jimdo.com La physique en deux mots
Plus en détailChap 8 - TEMPS & RELATIVITE RESTREINTE
Chap 8 - TEMPS & RELATIVITE RESTREINTE Exercice 0 page 9 On considère deux évènements E et E Référentiel propre, R : la Terre. Dans ce référentiel, les deux évènements ont lieu au même endroit. La durée
Plus en détailÉNERGIE : DÉFINITIONS ET PRINCIPES
DÉFINITION DE L ÉNERGIE FORMES D ÉNERGIE LES GRANDS PRINCIPES DE L ÉNERGIE DÉCLINAISONS DE L ÉNERGIE RENDEMENT ET EFFICACITÉ DÉFINITION DE L ÉNERGIE L énergie (du grec : force en action) est ce qui permet
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailASTROPHYSIQUE. Aurélien Barrau et Gaëlle Boudoul sont chercheurs à l Institut des sciences nucléaires de Grenoble (CNRS/université Joseph-Fourier).
ASTROPHYSIQUE EN DEUX MOTS Des trous noirs aussi petits que le noyau d un atome, mais aussi lourds qu une montagne pourraient avoir été créés dans les premières phases de l Univers. Dans les années soixantedix,
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailQuelques liens entre. l'infiniment petit et l'infiniment grand
Quelques liens entre l'infiniment petit et l'infiniment grand Séminaire sur «les 2» au CNPE (Centre Nucléaire de Production d'électricité) de Golfech Sophie Kerhoas-Cavata - Irfu, CEA Saclay, 91191 Gif
Plus en détailL histoire de la Physique, d Aristote à nos jours: Evolution, Révolutions
L histoire de la Physique, d Aristote à nos jours: Evolution, Révolutions Martial Ducloy Président Société Française de Physique & Laboratoire de Physique des Lasers Institut Galilée & CNRS Université
Plus en détailSYSTEME DE PARTICULES. DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) Table des matières
Physique Générale SYSTEME DE PARTICULES DYNAMIQUE DU SOLIDE (suite) TRAN Minh Tâm Table des matières Applications de la loi de Newton pour la rotation 93 Le gyroscope........................ 93 L orbite
Plus en détailLe second nuage : questions autour de la lumière
Le second nuage : questions autour de la lumière Quelle vitesse? infinie ou pas? cf débats autour de la réfraction (Newton : la lumière va + vite dans l eau) mesures astronomiques (Rœmer, Bradley) : grande
Plus en détailLES DIFFÉRENTS FORMATS AUDIO NUMÉRIQUES
LES DIFFÉRENTS FORMATS AUDIO NUMÉRIQUES Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Compétence(s) spécifique(s) : Reconnaître des signaux de nature
Plus en détailEtrangeté et paradoxe du monde quantique
Etrangeté et paradoxe du monde quantique Serge Haroche La physique quantique nous a donné les clés du monde microscopique des atomes et a conduit au développement de la technologie moderne qui a révolutionné
Plus en détailLa Relativité Générale et ses Applications
Relativité Générale et Applications Mai 2011 Cité de l Espace, Toulouse La Relativité Générale et ses Applications M2R Cosmos, Champs et Particules - Montpellier Commissariat à l Energie Atomique CEA -
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailTEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE
TEMPÉRATURE DE SURFACE D'UNE ÉTOILE Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : Etre autonome S'impliquer Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité Compétence(s)
Plus en détailÉquivalence masse-énergie
CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en
Plus en détailThermodynamique (Échange thermique)
Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication
Plus en détailAC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =
LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste
Plus en détailRayonnements dans l univers
Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter
Plus en détailIntroduction à la physique quantique. Juin 2014
Introduction à la physique quantique Juin 4 Table des matières Avant Propos............................................ Origine du projet......................................... Guide de lecture..........................................
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailLa vie des étoiles. La vie des étoiles. Mardi 7 août
La vie des étoiles La vie des étoiles Mardi 7 août A l échelle d une ou plusieurs vies humaines, les étoiles, que l on retrouve toujours à la même place dans le ciel, au fil des saisons ; nous paraissent
Plus en détailQu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir?
exposé UE SCI, Valence Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir? Dominique Spehner Institut Fourier et Laboratoire de Physique et Modélisation des Milieux Condensés Université
Plus en détailPHYSIQUE QUANTIQUE ET STATISTIQUE PHYS-H-200
UNIVERSITÉ LIBRE DE BRUXELLES Faculté des sciences appliquées Bachelier en sciences de l ingénieur, orientation ingénieur civil Deuxième année PHYSIQUE QUANTIQUE ET STATISTIQUE PHYS-H-200 Daniel Baye revu
Plus en détailÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009
ÉJECTEURS CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS 1 ÉJECTEURS INTRODUCTION Les éjecteurs sont activés par la chaleur perdue ou la chaleur provenant de sources renouvelables. Ils sont actionnés directement
Plus en détailPuissance et étrangeté du quantique Serge Haroche Collège de France et Ecole Normale Supérieure (Paris)
Puissance et étrangeté du quantique Serge Haroche Collège de France et Ecole Normale Supérieure (Paris) La physique quantique nous a donné les clés du monde microscopique des atomes et a conduit au développement
Plus en détailLE VIDE ABSOLU EXISTE-T-IL?
Document professeur Niveau : Seconde LE VIDE ABSOLU EXISTE-T-IL? Compétences mises en œuvre : S approprier : extraire l information utile. Communiquer. Principe de l activité : La question posée à la classe
Plus en détailLe pâle écho lumineux du Big Bang vu par le satellite Planck
Le pâle écho lumineux du Big Bang vu par le satellite Planck Alain Riazuelo Institut d astrophysique de Paris riazuelo AT iap.fr Gap, 21 août 2014 Préc. Suiv. FS Fin Plan 1. Introduction (rapide!) à la
Plus en détailUniversité de Caen. Relativité générale. C. LONGUEMARE Applications version 2.0. 4 mars 2014
Université de Caen LMNO Relativité générale C. LONGUEMARE Applications version.0 4 mars 014 Plan 1. Rappels de dynamique classique La force de Coulomb Le principe de moindre action : lagrangien, hamiltonien
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome
PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -
Plus en détailTP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler
TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du
Plus en détailLogique binaire. Aujourd'hui, l'algèbre de Boole trouve de nombreuses applications en informatique et dans la conception des circuits électroniques.
Logique binaire I. L'algèbre de Boole L'algèbre de Boole est la partie des mathématiques, de la logique et de l'électronique qui s'intéresse aux opérations et aux fonctions sur les variables logiques.
Plus en détail1S9 Balances des blancs
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.
Plus en détailComment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER
Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique Yves LEROYER Enjeu: réaliser physiquement -un système quantique à deux états 0 > ou 1 > -une porte à un qubitconduisant à l état générique α 0 > +
Plus en détailNotes sur le temps en physique (classique)
Notes sur le temps en physique (classique) Titre : Jean-Philippe Uzan Institut d Astrophysique de Paris Le sujet imposé par Annick était le temps en cosmologie. Ce qu un physicien peut faire, c est parler
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détailChapitre 1: Facteurs d'échelle
Chapitre 1: Facteurs d'échelle Des considérations générales sur la taille des objets ou des êtres vivants et leur influence sur différents paramètres, permettent d'établir simplement quelques lois ou tendances,
Plus en détailCHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques
CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques VIII. 1 Ce chapitre porte sur les courants et les différences de potentiel dans les circuits. VIII.1 : Les résistances en série et en parallèle On
Plus en détailDécharge électrostatique
Décharge électrostatique F. Rachidi École Polytechnique Fédérale de Lausanne Groupe Compatibilité Électromagnétique Farhad.Rachidi@epfl.ch http://emcwww.epfl.ch 1 Contenu Génération des charges statiques
Plus en détailOndes gravitationnelles de basses fréquences et relativité
Ondes gravitationnelles de basses fréquences et relativité numérique Jérôme Novak LUTH : Laboratoire de l Univers et de ses THéories CNRS / Université Paris 7 / Observatoire de Paris F-92195 Meudon Cedex,
Plus en détailChapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX
Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément
Plus en détailUne réponse (très) partielle à la deuxième question : Calcul des exposants critiques en champ moyen
Une réponse (très) partielle à la deuxième question : Calcul des exposants critiques en champ moyen Manière heuristique d'introduire l'approximation de champ moyen : on néglige les termes de fluctuations
Plus en détailI - Quelques propriétés des étoiles à neutrons
Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est
Plus en détailQu est-ce qui cause ces taches à la surface du Soleil? www.bbc.co.uk/science/space/solarsystem/solar_system_highlights/solar_cycle
Qu est-ce qui cause ces taches à la surface du Soleil? www.bbc.co.uk/science/space/solarsystem/solar_system_highlights/solar_cycle Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. Durant la vie de l
Plus en détailStockage ou pas stockage?
Stockage ou pas stockage? Table des matières 1- Stockage chimique?...1 2- Stockage thermique?...3 3- Stockage thermique et chimique!...4 4- Conclusion...5 La question du surplus dans les installations
Plus en détailEspace Repreneur Guide de la Demande d'accès
Espace Repreneur Guide de la Demande d'accès Avril 2013 V 2.07 Présentation du guide Ce guide s adresse aux repreneurs qui doivent effectuer une déclaration trimestrielle de reprise et de recyclage à Ecofolio.
Plus en détailLes rayons X. Olivier Ernst
Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse
Plus en détailLE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND
LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 0 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND SERGE HAROCHE DAVID WINELAND Le physicien français Serge Haroche, professeur
Plus en détailPhysique: 1 er Bachelier en Medecine. 1er juin 2012. Duree de l'examen: 3 h. Partie 1: /56. Partie 2 : /20. Nom: N ō carte d étudiant:
Nom: Prénom: A N ō carte d étudiant: Physique: 1 er Bachelier en Medecine 1er juin 2012. Duree de l'examen: 3 h Avant de commencer a repondre aux questions, identiez-vous en haut de cette 1ere page, et
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailINTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE
INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles
Plus en détailPrincipe et fonctionnement des bombes atomiques
Principe et fonctionnement des bombes atomiques Ouvrage collectif Aurélien Croc Fabien Salicis Loïc Bleibel http ://www.groupe-apc.fr.fm/sciences/bombe_atomique/ Avril 2001 Table des matières Introduction
Plus en détailComparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10
PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?
Plus en détailChap 2 : Noyaux, masse, énergie.
Physique. Partie 2 : Transformations nucléaires. Dans le chapitre précédent, nous avons étudié les réactions nucléaires spontanées (radioactivité). Dans ce nouveau chapitre, après avoir abordé le problème
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailLes équations n ont pas de préjugés
Stéphane Durand Professeur de physique Cégep Édouard-Montpetit DossierAstronomie Big Bang, expansion de l'univers, antimatière, trou noir, quarks, quanta. Comment les physiciens ont-ils imaginé ces idées?
Plus en détailUne fréquence peut-elle être instantanée?
Fréquence? Variable? Instantané vs. local? Conclure? Une fréquence peut-elle être instantanée? Patrick Flandrin CNRS & École Normale Supérieure de Lyon, France Produire le temps, IRCAM, Paris, juin 2012
Plus en détailActivité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction
Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailAIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES
Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation
Plus en détailMOND avec ou sans matière noire
MOND avec ou sans matière noire Luc Blanchet Institut d Astrophysique de Paris, GRECO, 98 bis boulevard Arago, 75014 Paris, France Françoise Combes Observatoire de Paris, LERMA, 61 avenue de l Observatoire,
Plus en détailLe Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.
Le Soleil Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil, une formidable centrale à Fusion Nucléaire Le Soleil a pris naissance au sein d un nuage d hydrogène de composition relative en moles
Plus en détailVoyage autour (et a l inte rieur) d un trou noir
Voyage autour (et a l inte rieur) d un trou noir Alain Riazuelo Institut d astrophysique de Paris Confe rence de l IAP, 3 janvier 2012 Titre Plan Trous noirs E toiles Relativite Simulations Horizon Conclusion
Plus en détailProduction d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir?
COURS-RESSOURCES Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que Objectifs : / 1 A. Les besoins en eau chaude sanitaire La production d'eau chaude est consommatrice en énergie. Dans les pays occidentaux,
Plus en détailDes systèmes de chauffage avec pompe à chaleur et accumulateur de chaleur pour les construction dans les zones de montagne.
Des systèmes de chauffage avec pompe à chaleur et accumulateur de chaleur pour les construction dans les zones de montagne. Formation à la promotion des énergies renouvelables à CEFIDEC Vatra Dornei Dănuţ
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détail10 leçon 2. Leçon n 2 : Contact entre deux solides. Frottement de glissement. Exemples. (PC ou 1 er CU)
0 leçon 2 Leçon n 2 : Contact entre deu solides Frottement de glissement Eemples (PC ou er CU) Introduction Contact entre deu solides Liaisons de contact 2 Contact ponctuel 2 Frottement de glissement 2
Plus en détailPRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE
PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE Un microscope confocal est un système pour lequel l'illumination et la détection sont limités à un même volume de taille réduite (1). L'image confocale (ou coupe optique)
Plus en détailChapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre)
Chapitre 10 : Radioactivité et réactions nucléaires (chapitre 11 du livre) 1. A la découverte de la radioactivité. Un noyau père radioactif est un noyau INSTABLE. Il se transforme en un noyau fils STABLE
Plus en détailMesure de la dépense énergétique
Mesure de la dépense énergétique Bioénergétique L énergie existe sous différentes formes : calorifique, mécanique, électrique, chimique, rayonnante, nucléaire. La bioénergétique est la branche de la biologie
Plus en détailParrainage par Monsieur Philippe PAREIGE de notre classe, presentation des nanotechnologies.
LUDIVINE TASSERY 1ere S 5 Parrainage par Monsieur Philippe PAREIGE de notre classe, presentation des nanotechnologies. Lors de la seconde visite, Monsieur PAREIGE, nous a parlé des nanotechnologies et
Plus en détailPanorama de l astronomie. 7. Spectroscopie et applications astrophysiques
Panorama de l astronomie 7. Spectroscopie et applications astrophysiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gilles Theureau, Grégory Desvignes, Lab Phys. & Chimie de l Environement, Orléans Ludwig.klein@obspm.fr,
Plus en détailCryptologie et physique quantique : Espoirs et menaces. Objectifs 2. distribué sous licence creative common détails sur www.matthieuamiguet.
: Espoirs et menaces Matthieu Amiguet 2005 2006 Objectifs 2 Obtenir une compréhension de base des principes régissant le calcul quantique et la cryptographie quantique Comprendre les implications sur la
Plus en détailThéorie quantique et échelles macroscopiques
Adapté du Bulletin de l Union des Physiciens, 1997 (JMLL) Théorie quantique et échelles macroscopiques Jean-Marc Lévy-Leblond * «Pourquoi ma connaissance est-elle bornée? Ma taille? Quelle raison a eue
Plus en détailPHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1
PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente
Plus en détailI- Définitions des signaux.
101011011100 010110101010 101110101101 100101010101 Du compact-disc, au DVD, en passant par l appareil photo numérique, le scanner, et télévision numérique, le numérique a fait une entrée progressive mais
Plus en détailLa physique nucléaire et ses applications
La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension
Plus en détailLes moyens d observations en astronomie & astrophysique
Les moyens d observations en astronomie & astrophysique Unité d Enseignement Libre Université de Nice- Sophia Antipolis F. Millour PAGE WEB DU COURS : www.oca.eu/fmillour cf le cours de Pierre Léna : «L
Plus en détailLa relativité générale est quelquefois considérée
Relativité et interactions fondamentales La relativité générale et la spirale infernale des étoiles binaires compactes La théorie relativiste de la gravitation, très bien vérifiée par les tests classiques
Plus en détailCours Base de données relationnelles. M. Boughanem, IUP STRI
Cours Base de données relationnelles 1 Plan 1. Notions de base 2. Modèle relationnel 3. SQL 2 Notions de base (1) Définition intuitive : une base de données est un ensemble d informations, (fichiers),
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailCompétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur
Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)
Plus en détailPrésentation du programme. de physique-chimie. de Terminale S. applicable en septembre 2012
Présentation du programme de physique-chimie de Terminale S applicable en septembre 2012 Nicolas Coppens nicolas.coppens@iufm.unistra.fr Comme en Seconde et en Première, le programme mélange la physique
Plus en détailIntroduction à la relativité générale
Introduction à la relativité générale Bartolomé Coll Systèmes de référence relativistes SYRTE - CNRS Observatoire de Paris Introduction à la Relativité Générale Préliminaires Caractère théorique (formation)
Plus en détail