LES LIANTS HYDRAULIQUES. Hamdi Boualem ENSSMAL
|
|
- Rose Beaudin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LES LIANTS HYDRAULIQUES Hamdi Boualem ENSSMAL
2
3 Le ciment Le ciment est une matière pulvérulente, formant avec l eau ou avec une solution saline une pâte plastique liante, capable d agglomérer, en durcissant, des substances variées
4 Le ciment Le mot «ciment» peut désigner différents matériaux comme : Le plâtre La chaux commune, Le ciment Portland ou ciment artificiel
5 Fabrication La fabrication du ciment se distingue en six étapes principales : l'extraction la préhomogénéisation le séchage et le broyage la cuisson le refroidissement le broyage
6
7 COMPOSITION CHIMIQUE DU CIMENT PORTLAND Analyses comparées des matériaux primaires, cru, clinker et ciment CALCAIRE ARGILE CRU CLINKER (comb. charbon) CIMENT
8 COMPOSITION CHIMIQUE DU CIMENT PORTLAND COMPOSITIONS Exemples de porteurs d oxydes «acides» amenant les éléments Si, Al et Fe NATURELS SOUS PRODUITS ARGILES PHILLITES SCHISTES MARNES GRES BAUXITES SABLES CENDRES VOLANTES SCORIES INDUSTRIELLES (FER et ACIER) SABLES DE FONDERIE CATALYSEURS BOUES D Al...
9 La phyllite est un type de roche métamorpholique composée à l'origine de quartz et de micas à base de chlorite.
10 Un schiste est une roche métamorphique provenant d une argile
11 La marne que l'on nomme aussi, en fonction de sa qualité est une roche sédimentaire contenant du calcaire CaCO 3
12 Le grès est une roche, issue de l agrégation et la cimentation de grains de sable
13 La bauxite est une roche caractérisée par sa forte teneur en alumine Al 2 O 3 et en oxydes de fer
14 Le sable est constituée de petites particules provenant de la désagrégation d'autres roches dont la dimension est comprise entre 0,063 et 2 mm. Le sable est souvent le produit de la décomposition du granite du fait de l érosion. Ainsi, le plus fréquent de ses composants est le quartz.
15 COMPOSITION CHIMIQUE DU CIMENT PORTLAND Principales phases cristallochimiques du clinker Ca 3 SiO 5 Ca 2 SiO 4 Ca 3 A Ca 4 AI 2 Fe 2 O lo 3CaO - SiO 2 2CaO - SiO 2 3 CaO A CaO Al Fe 2 O 3 C 3 S C 2 S C 3 A C4AF C =CaO: Chaux F = Fe 2 O 3 : Hématite S = SiO 2 : Silice H = H 2 O: Eau A = Al 2 O 3 : Alumine
16 Composition du ciment Portland les silicates : tricalciques (ou alite): 3CaO.SiO 2 ou C 3 S (40 à 75%) bicalciques (ou belite): 2CaO.SiO 2 ou C 2 S (6 à 30 %) les aluminates : tricalciques: 3CaO.Al 2 O 3 ou C 3 A (0.1 à 12 %) ferroaluminate tétracalcique: 4CaO.Al 2 O 3.Fe 2 O 3 ou C 4 AF (2 à 16 %)
17 COMPOSITION CHIMIQUE DU CIMENT PORTLAND LE CLINKER Les phases du clinker contiennent toujours des impuretés dans leur réseau peuvent être sous différentes formes cristallographiques: C 3 S(4) C 2 S (4) C 3A (4) C 4 AF «C 2 A» -«C 2 F»Solution
18 COMPOSITION CHIMIQUE DU CIMENT PORTLAND LE CLINKER Constituants du clinker Teneur en % Domaine Moyenne
19 MORPHOLOGIE DU CIMENT PORTLAND LE CLINKER Image de clinker en microscopie optique (section polie)
20 MORPHOLOGIE DU CIMENT PORTLAND LE CLINKER Image de clinker en microscopie électronique à balayage Cristal de bélite
21 Autres phases CHAUX LIBRE - CaO - Acceptable entre 0.5 et Pas de spécification mais limitation effective
22 COMPOSITION CHIMIQUE DU CIMENT PORTLAND PROPRIETES DES PHASES Chaleurs d hydratation typiques des différentes phases du clinker PHASE C3S 500 C2S 250 C3A 1340 C4AF 420 Chaux libre 1150 Joule/g
23 COMPOSITION CHIMIQUE DU CIMENT PORTLAND PROPRIETES DES PHASES VITESSE D HYDRATATION DES PHASES DU CIMENT eau fixée (%) temps en jours C3A C4AF C3S C2S Aluminates et ferrites présentent une plus grande vitesse d hydratation par rapport aux silicates, mais fournissent une contribution modeste aux résistances mécaniques
24 HYDRATATION, PRISE ET DURCISSEMENT CONSIDERATIONS GENERALES Réaction globale: dissolution suivie de précipitation après sursaturation critique La précipitation peut être divisé en deux phénomènes : la germination et la croissance. La germination est un phénomène qui entraîne la formation de structures ioniques ordonnées. Les germes deviennent stables et donnent lieu à un embryon de cristal. La croissance est le processus de formation des surfaces à l interface liquide - cristal.
25 HYDRATATION, PRISE ET DURCISSEMENT CONSIDERATIONS GENERALES La cristallisation dépend de nombreux paramètres: température, conductibilité thermique, sursaturation, impuretés... Z Y X Dans la solution Germe cristallin Croissance cristalline
26 HYDRATATION, PRISE ET DURCISSEMENT HYDRATATION DU C3S D un point de vue cinétique, le processus d hydratation s articule en cinq phases: Hydratation superficielle instantanée des particules de C3S lorsqu elles entrent en contact avec l eau Période de basse réactivité Période d accélération de l hydratation Décélération par effet de barrière de diffusion des produits hydratés formés en surface des grains Achèvement lent de l hydratation
27 HYDRATATION, PRISE ET DURCISSEMENT HYDRATATION DU C3S Période dormante: inactivité apparente mais Ca en solution augmente progressivement Formation d une couche de CSH en surface des grains (tendance des hydrates à précipiter dans les zones de concentration maximum autour des granules de ciment et non dans le volume de la solution où les concentrations ioniques sont inférieures et uniformes). Fin de la période dormante avec la précipitation de la portlandite qui joue le role de «gâchette» de la prise
28 HYDRATATION, PRISE ET DURCISSEMENT HYDRATATION DU C3S Période de la prise Débute avec la «prise initiale» Flux de chaleur en forte augmentation Formation de CSH et de portlandite dans les pores entre grains. La pâte plastique devient un solide par enchevêtrement de CSH.
29 HYDRATATION, PRISE ET DURCISSEMENT HYDRATATION DU C3S Période de durcissement La porosité se remplit progressivement de CSH Les résistances se développent Le flux de chaleur diminue La vitesse de dissolution diminue rapidement à cause de la formation des hydrates et de la modification conséquente des gradients de concentration. Les dimensions des capillaires contenant l eau diminuent L eau a plus de difficulté à traverser l épaisseur des produits L eau a plus de difficulté à traverser l épaisseur des produits hydratés pour atteindre les surfaces anhydres du clinker.
30 HYDRATATION, PRISE ET DURCISSEMENT HYDRATATION DU C3S L hydratation des silicates de calcium produit: Silicates de calcium hydratés CSH Hydroxyde de calcium Ca(OH)2 Le CSH n est pas un composé stoechiométrique et cristallin, mais a les caractéristiques d un gel gel = substance constituée de particules de dimensions nanométriques avec un ordre structurel interne
31 HYDRATATION, PRISE ET DURCISSEMENT HYDRATATION DU C3S HYDRATATION DES PHASES SILICATEES: EQUATIONS CHIMIQUES C3S + xh -> CnSHy ( CSH ) + (3-n)CH avec n tendant vers ~1.7, 1.8 à hydratation complète C2S + xh -> CnSHy + (2-n)CH Réaction similaire à celle du C3S mais beaucoup plus lente
32 HYDRATATION, PRISE ET DURCISSEMENT HYDRATATION DU C3S Pâte de ciment hydratée 7 jours: Ca(OH) 2 et CSH (SEM 7000 X)
33 HYDRATATION, PRISE ET DURCISSEMENT HYDRATATION DU C3S Formations fibreuses de CSH (pâte de ciment 7 jours (SEM 1100 X))
34 HYDRATATION, PRISE ET DURCISSEMENT HYDRATATION DU CIMENT DIAPORAMA DE L EVOLUTION DE LA MICROSTRUCTURE Pâte de ciment 1 h
35 5. HYDRATATION, PRISE ET DURCISSEMENT 4. HYDRATATION DU CIMENT DIAPORAMA DE L EVOLUTION DE LA MICROSTRUCTURE Pâte de ciment 2 h
36 HYDRATATION, PRISE ET DURCISSEMENT HYDRATATION DU CIMENT DIAPORAMA DE L EVOLUTION DE LA MICROSTRUCTURE Pâte de ciment 5 h
37 HYDRATATION, PRISE ET DURCISSEMENT HYDRATATION DU CIMENT DIAPORAMA DE L EVOLUTION DE LA MICROSTRUCTURE Pâte de ciment 1 jour
38 HYDRATATION, PRISE ET DURCISSEMENT HYDRATATION DU CIMENT DIAPORAMA DE L EVOLUTION DE LA MICROSTRUCTURE Pâte de ciment 1 mois
Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs
Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents
Plus en détail2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid
Chapitre Les bétons courants.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid.7.1 - Le bétonnage par temps chaud 3 Granulats Les conditions climatiques lors de la mise en œuvre ont une grande influence sur
Plus en détailPrésentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste
Présentations GTF Présenté par : Georges NAHAS Organismes : Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) Paris 26 mai 2009 Introduction Le vieillissement des ouvrages de génie civil et plus
Plus en détailUltrasons diffus pour la caractérisation d une fissure dans le béton
Thèse de Doctorat UNIVERSITÉ AIX-MARSEILLE École Doctorale : Sciences pour l Ingénieur : Mécanique, Physique, Micro et Nanoélectronique Spécialité : Mécanique des solides Audrey QUIVIGER Ultrasons diffus
Plus en détailUtilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements
Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements 7 juin 2012 Francis Peters Bien qu il n y ait pas de nano particules dans les usines qui produisent les mélanges
Plus en détailOn peut être «lourd» et agile!
éditorial Traitements & Matériaux 412 Octobre - Novembre 2011 3 On peut être «lourd» et agile! La métallurgie est considérée comme une industrie «lourde», les traitements thermiques comme de «vieux» procédés,
Plus en détailPoser un carrelage mural
Thierry Gallauziaux - David Fedullo Poser un carrelage mural Deuxième édition 2012 Groupe Eyrolles, 2012, 978-2-212-13490-2 Poser un carrelage mural Le carrelage est un revêtement de sol ou mural indémodable.
Plus en détailLES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES
CONGRÈS MATÉRIAUX 2014 Colloque 6 «Corrosion, vieillissement, durabilité, endommagement» LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES Une méthode non destructive pour contrôler le vieillissement et l endommagement
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailComprendre l efflorescence
Février 2006 Bulletin technique 4 BULLETIN TECHNIQUE Le Conseil Canadien des Systèmes d Isolation et de Finition Extérieure (SIFE) / (416) 499-4000 Comprendre l efflorescence Nous avons tous déjà observé
Plus en détailLes bétons : formulation, fabrication et mise en œuvre
COLLECTION T ECHNIQUE C IMBÉTON G11 FICHES TECHNIQUES TOME 2 Les bétons : formulation, fabrication et mise en œuvre FICHES TECHNIQUES TOME 2 Les bétons : formulation, fabrication et mise en œuvre Avant-propos
Plus en détailAnne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval. Le chapitre 3. Les rédacteurs
La gestion du ph du sol Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval Le chapitre 3 Les rédacteurs Anne Vanasse (responsable) Marc Hébert Lotfi Khiari Sébastien Marchand Abdo Badra Hélène Moore 1 Introduction
Plus en détailNORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999
CODEX STAN 212-1999 Page 1 de 5 NORME CODEX POUR LES SUCRES 1 CODEX STAN 212-1999 1. CHAMP D'APPLICATION ET DESCRIPTION La présente norme vise les sucres énumérés ci-après destinés à la consommation humaine
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailCompte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation
4 6 8 2 4 8 22 26 3 34 38 42 46 5 54 58 62 66 7 74 78 83 89 96 8 44 Bertin Morgan Compte rendu de LA37 B, TP numéro. Les essais effectués par le laboratoire des ponts et chaussés nous ont fournis la température
Plus en détailLa gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche
La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailInterprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses)
L' approche de la complexité; Un exemple de démarche en classe de seconde. Bulletin officiel spécial n 4 du 29 avril 2010 L approche de la complexité et le travail de terrain Le travail de terrain est
Plus en détailIntroduction générale aux nanomatériaux
Introduction générale aux nanomatériaux J.Lecomte, M.Gasparini 16/10/2014 le centre collectif de l industrie technologique belge Notre centre Federation for the technology industry Collective centre of
Plus en détailPRESCRIPTIONS D ENTRETIEN
PRESCRIPTIONS D ENTRETIEN Pour le choix des produits d entretien ou de nettoyage il est très important de savoir si la pierre naturelle contient de la calcite (marbre, pierre calcaire) ou si la pierre
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailPrimaire à 2 composants à base de résines acryliques réactives
Fiche technique Edition 1, 2012 Identification no. 02 08 01 05 001 0 000003 Version no. 23042012 Sikafloor -13 Pronto Sikafloor -13 Pronto Primaire à 2 composants à base de résines acryliques réactives
Plus en détailMatériel de laboratoire
Matériel de laboratoire MATERIAUX UTILISE... 1 L'APPAREILLAGE DE LABORATOIRE... 1 a) Les récipients à réaction... 2 b) La verrerie Graduée... 2 MATERIEL DE FILTRATION... 6 FILTRATION SOUS VIDE AVEC UN
Plus en détailLa construction durable : quelle stratégie d innovation d. Pascal Casanova, Directeur R&D, Lafarge
La construction durable : quelle stratégie d innovation d? Pascal Casanova, Directeur R&D, Lafarge Le béton est le matériau le plus utilisé sur la planète après l eau et le plus largement disponible Materials
Plus en détail11.3 Panorama des activités
.3 Panorama des activités CIMENT UN LEADER MONDIAL (au 3 décembre 204) 8 545 chiffre d affaires millions d euros Carrière 2 Extraction de la matière Concasseur 3 Broyeur 4 37 000 collaborateurs (27 000
Plus en détailLe monde nano et ses perspectives très prometteuses.
Le monde nano et ses perspectives très prometteuses. I/ Présentation du monde nano. Vidéo «Science Suisse : Christian Schönenberger, nano-physicien», 12 min. «Christian Schönenberger conduit le Swiss Nanoscience
Plus en détail- Support de Cours (Version PDF) - Les céramiques. Société Francophone de Biomatériaux Dentaires J. DEJOU
Les céramiques Société Francophone de Biomatériaux Dentaires J. DEJOU Date de création du document 2009-2010 Table des matières I Quelques éléments historiques... 3 II Définitions...5 III Classification
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailPour l environnement. Strength. Performance. Passion.
Strength. Performance. Passion. Pour l environnement Réduire les émissions de CO 2 en optimisant les matériaux de construction et les méthodes de production Holcim (Suisse) SA Les fondements de notre avenir
Plus en détailEau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE
FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailEtude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau
Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine
Plus en détailTRAITEMENT DES SOLS EN PLACE AUX LIANTS HYDRAULIQUES. Joseph ABDO
TRAITEMENT DES SOLS EN PLACE AUX LIANTS HYDRAULIQUES Joseph ABDO LE CONTEXTE LA ROUTE, UNE NÉCESSITN CESSITÉ La route : moyen de communication nécessaire au développement. - Mais, sa construction et son
Plus en détailLEADER CIMENT. MONDIAL (au 31 décembre 2012) PRÉSENTATION DU GROUPE. chiffre d affaires. collaborateurs. pays. sites de production
PRÉSENTATION DU GROUPE CIMENT LEADER MONDIAL (au 3 décembre 202) Carrière 2 Extraction de la matière Concasseur 3 Broyeur 0 373 chiffre d affaires millions d euros Refroidisseur Préchauffage Stockage clinker
Plus en détailet 40 % de la génération des déchets en volume. C est ce qu on appelle le «quatrequarante Comment agir maintenant pour développer une construction
Les matériaux de structures du «développement durable» pour l habitat Alain Ehrlacher Les matériaux de structures du «développement durable» pour l habitat Préparé par Paul Acker, Olivier Baverel, Laurent
Plus en détailNotice technique La filtration sur terre
Notice technique La filtration sur terre 1 PRINCIPES ET DEFINITIONS La filtration du vin est une pratique très ancienne. Le mot lui même est un dérivé de «filtrum», le feutre qui était alors utilisé pour
Plus en détailRÔLES DE LA MICROSTRUCTURE ET DE LA COMPOSITION MINERALOGIQUE DE SOLS ARGILEUX DU BASSIN DE PARIS SUR LEUR SENSIBILITE AU RETRAIT - GONFLEMENT
RÔLES DE LA MICROSTRUCTURE ET DE LA COMPOSITION MINERALOGIQUE DE SOLS ARGILEUX DU BASSIN DE PARIS SUR LEUR SENSIBILITE AU RETRAIT - GONFLEMENT ROLES OF MICROSTRUCTURE AND MINERALOGICAL COMPOSITION OF CLAY
Plus en détailTerre végétale. www.remu.fi. Remblaiement de tranchée. Enrobage de réseaux. Compostage. Applications industrielles. Recyclage et dépollution
Screening Technology & Amphibious Excavators Terre végétale Remblaiement de tranchée Enrobage de réseaux Compostage Applications industrielles Recyclage et dépollution Criblage de tourbe et produits organiques
Plus en détailEléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés
Actualités gemmologiques Eléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés Dr. Erel Eric 1 Développés depuis les années 50 pour leurs applications dans les domaines des abrasifs,
Plus en détailTraitement de l eau par flux dynamique
GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat
Plus en détailDOCTEUR DE L ECOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSEES. Thai Quang NGUYEN
Thèse présentée pour l obtention du diplôme de DOCTEUR DE L ECOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSEES Spécialité : Structures et matériaux par Thai Quang NGUYEN Sujet de thèse: Modélisations physico-chimiques
Plus en détailDrainage de maches anti-remontée à l humidité. Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs.
Drainage de maches anti-remontée à l humidité Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs. Goutte par goutte, le désastre prend forme. Comme ils ne
Plus en détailIntroduction à la sécurité incendie :
LES ESSENTIELS DE L HABITAT 6 Introduction à la sécurité incendie : Le classement des matériaux et systèmes ÉDITION 2012 LES ESSENTIELS DE L HABITAT 6 Introduction à la sécurité incendie En France, en
Plus en détailPrésentation générale des principales sources d énergies fossiles.
Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Date : 19/09/2012 NOM / Name SIGNATURE Etabli / Prepared Vérifié / Checked Approuvé /Approved G J-L & R-SENE R.SENE R.SENE Sommaire 1.
Plus en détailLe chantier compte 4 étapes :
02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton
Plus en détailN09 Viaduc de Chillon
Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication DETEC Office fédéral des routes N09 Viaduc de Chillon Solution innovante en relation avec la RAG Conférence JERI
Plus en détailpro-part Ficha técnica Applications recommandées Matériaux Supports
Ficha técnica pro-part Profilé décoratif pour revêtements céramiques, permet de remplacer la traditionnelle frise décorative en céramique. Convient à la finition des angles et des transitions entre carreaux
Plus en détailLe gaz de schistes : son exploitation
Le gaz de schistes : son exploitation Résumé de l exploitation du gaz de schiste Après la lecture de cet article, ce schéma synthétique vous apparaîtra très simple et clair. Déjà, il sera plus grand. Le
Plus en détailLa Vinification en Alsace
La Vinification en Alsace La grande caractéristique des Vins d Alsace est qu ils sont tous élaborés à partir de cépages très aromatiques. Le vinificateur n aura de cesse, tout au long des vendanges et
Plus en détailSOMMAIRE Thématique : Matériaux
SOMMAIRE Thématique : Matériaux Rubrique : Connaissances - Conception... 2 Rubrique : Essais... 7 Rubrique : Matériaux...11 1 SOMMAIRE Rubrique : Connaissances - Conception Connaître les matières plastiques...
Plus en détailPotentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique
Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique CRM: Centre de Recherches Métallurgiques ASBL établie en Belgique Créée en 1948 par l industrie sidérurgique belge Certifiée ISO 17025 et
Plus en détailSOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM
SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM Nouvelle solution en grès cérame grande épaisseur pour l aménagement extérieur. Dalles en grès cérame fin coloré pleine masse de 2 cm d épaisseur, obtenues par atomisation
Plus en détailL eau invisible 1 Tous les sols contiennent-ils de l eau?
L eau invisible 1 Tous les sols contiennent-ils de l eau? Les sols reçoivent de l eau provenant de différents flux, et une partie de l eau arrivant dans le «compartiment» sol y est retenue. Ainsi, la pluie
Plus en détailQuel avenir pour l énergie énergie nucléaire?
Quel avenir pour lénergie l énergie nucléaire? Origine de l énergie nucléaire État critique du réacteur Utilité des neutrons retardés Quel avenir pour le nucléiare? 2 Composant des centrales nucléaires
Plus en détailMicrostructure des soudures de titane. Paul Danielson, Rick Wilson, et David Alman U. S. Department of Energy, Albany Research Center Albany, Orégon
Microstructure des soudures de titane Paul Danielson, Rick Wilson, et David Alman U. S. Department of Energy, Albany Research Center Albany, Orégon Revue de Matérialographie Struers 3 / 2004 Structure
Plus en détailINFLUENCE de la TEMPERATURE. Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage
INFLUENCE de la TEMPERATURE Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage Transition ductile/fragile Henry Bessemer (UK)! 1856 : production d'acier à grande échelle Pont des Trois-Rivières 31 janvier
Plus en détailPlaques CDP CastoDur Diamond Plates
Pièces et solutions de surfaçage Plaques CDP CastoDur Diamond Plates Des performances durables... Plus fort, avec Castolin Eutectic Une protection active contre l abrasion et l érosion Réduire les coûts
Plus en détail*EP001039352A1* EP 1 039 352 A1 (19) (11) EP 1 039 352 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 27.09.2000 Bulletin 2000/39
(19) Europäisches Patentamt European Patent Office Office européen des brevets *EP001039352A1* (11) EP 1 039 352 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 27.09.2000 Bulletin 2000/39
Plus en détailLe plaisir du petitdéjeuner. 28 ~
le petit- déjeuner Le plaisir du petitdéjeuner. 28 ~ 29 ~ le petit-déjeuner CR-22 961010715 EAN-13: 8412788027698 Essence ~ Cafetière expresso. ~ Design innovant : version chocolat et aluminium, réservoir
Plus en détailLe diagnostic énergétique d une cimenterie
agence intergouvernementale de la francophonie Le diagnostic énergétique d une cimenterie F i c h e t e c h n i q u e P R I S M E nº 1 Problématique La production mondiale de ciment s élevait, en 2001,
Plus en détailLa pierre Cette pierre extraite de la carrière n'est qu'un caillou. L'homme, avec ses outils, va la façonner, la modeler, lui donner vie.
La pierre Cette pierre extraite de la carrière n'est qu'un caillou. L'homme, avec ses outils, va la façonner, la modeler, lui donner vie. Carrière souterraine de Thénac exploitée depuis l'antiquité - cr1974
Plus en détailApplication de panneaux de construction en extérieur. Guide pratique et technique
Application de panneaux de construction en extérieur Guide pratique et technique FR Les produits et systèmes wedi garantissent un niveau de qualité élevé et, par conséquent, sont certifiés selon de nombreuses
Plus en détailAPPLICATION, NETTOYAGE ET ENTRETIEN Le Groupe Pavigrés représente une vaste gamme de produits céramiques pour application au sol et au mur.
APPLICATION, NETTOYAGE ET ENTRETIEN Le Groupe Pavigrés représente une vaste gamme de produits céramiques pour application au sol et au mur. Ces produits se divisent en 3 groupes : Grés cérame, Grés émaillé
Plus en détailLiquides oraux : et suspensions. Préparations liquides pour usage oral. Solutions
Préparations pharmaceutique Cours de en 2ème petites Année quantités de Master en Pharmacie Liquides oraux : solutions, Préparation sirops pharmaceutique et suspensions en petites quantités Section des
Plus en détailREGARDS KERAPORT. ÉTANCHÉITÉ ET RÉSISTANCE À LA CORROSION.
REGARDS KERAPORT. ÉTANCHÉITÉ ET RÉSISTANCE À LA CORROSION. 2 Vue dans un regard KeraPort DN 1000 STEINZEUG-KERAMO SITES DE PRODUCTION Allemagne : Frechen et Bad Schmiedeberg Belgique : Hasselt EFFECTIF
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailChapitre 5 Mesures géophysiques
Chapitre 5 Mesures géophysiques Plan 5.1 Introduction 5.2 Sismique réfraction 5.3 Prospection électrique 5.4 Radar géologique 5.1 Introduction Pour tous les projets de construction connaissance préalable
Plus en détail10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel
10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences
Plus en détailChapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ
Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent
Plus en détailProjet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com
Projet SETHER Appel à projets 2008 Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com SETHER STOCKAGE D ELECTRICITÉ SOUS FORME THERMIQUE À HAUTE TEMPÉRATURE Partenaires : POWEO, SAIPEM, CEA, CNAM, GEMH,
Plus en détailMaçonneries. Guide pratique du patrimoine bâti du Vexin français. Les différents types de roches. La localisation
Maçonneries Guide pratique du patrimoine bâti du Vexin français Territoire de calcaire, c est tout naturellement que le choix des matériaux pour ériger les constructions dans le Vexin français s est porté
Plus en détailAPPLICATIONS DE L'IMPLANTATION IONIQUE POUR LE BIOMEDICAL
Ion Beam Services ZI Peynier / Rousset Rue G. Imbert Prolongée 13790 Peynier, France Tel. : +33 4 42 53 89 53 Fax : + 33 4 42 53 89 59 Email : frank.torregrosa@ion-beam-services.fr APPLICATIONS DE L'IMPLANTATION
Plus en détailMÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE
MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE (Radiateurs et planchers chauffants) Brevet de désembouage N 0116861 EURO FILTR'EAUX 18/22 RUE D ARRAS - F 92000 NANTERRE TÉL. : (33) 01 30 94 37 60 FAX
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailConsolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER
Consolidation des argiles CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Plan Introduction Argiles Phénomène de consolidation Essais de consolidation Equation de la consolidation Degré de consolidation et facteur
Plus en détailPrincipe de fonctionnement des batteries au lithium
Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /
Plus en détailLa Plateforme GALA. Un projet régional structurant. avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique CPER 2007-2013
La Plateforme GALA Un projet régional structurant CPER 2007-2013 avec le pôle Cancer-Bio-Santé pour la recherche et l'innovation en galénique Labellisé en avril 2009 Plateforme GALA : quel rôle? Principe
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION LISTE DES PRODUITS FICHES TECHNIQUES
TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION LISTE DES PRODUITS FICHES TECHNIQUES RECOMMANDATIONS D APPLICATION INTRODUCTION HISTORIQUE, AVANTAGES TECHNOLOGIQUES, ET BÉNÉFICES DU POLYURÉTHANE HYGRORÉACTIF À UN COMPOSANT.
Plus en détailweber.cel bordure (procomix)
Κ. ΚΑΛΦΙΔΗΣ ΕΠΕΞΕΡΓΑΣΜΕΝΑ ΔΟΜΙΚΑ ΥΛΙΚΑ ΤΕΧΝΙΚΑ ΚΟΝΙΑΜΑΤΑ ΚΑΘΗΓ. Δ. ΕΥΡΙΓΕΝΗ 15 (ΚΕΡΑΜ. ΑΛΛΑΤΙΝΗ) ΤΚ 542 49 ΘΕΣ/ΝΙΚΗ ΤΗΛ / FAX: 2310-330 003 e-mail: info@weberkalfidis.gr www.weberkalfidis.gr Το έντυπο
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailEstimer le poids spécifique du maïs bien mûri après le séchage... 17-4. Classement... 17-15
17. Maïs Détermination du taux d impuretés... 17-2 Définitions... 17-2 Impuretés non déclarées... 17-2 Procédure normale de nettoyage... 17-2 Composition des impuretés... 17-3 Estimer le poids spécifique
Plus en détailUTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage
UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET
Plus en détailNotions physiques Niveau 2
14 novembre 2011 Contenu 1. Les pressions Les différentes pressions 2. La loi de Mariotte (Autonomie en air) 2.1. Principes 2.2. Applications à la plongée 3. Le théorème d Archimède (Flottabilité) 3.1.
Plus en détailbcdefghijklmnopq tuvwxyzabcdefgh lmnopqrstuvwxyz
Lexique bcdefghijklmnopq tuvwxyzabcdefgh lmnopqrstuvwxyz A Accélérateur Adjuvant, soluble dans l eau, qui augmente la vitesse d hydratation du ciment. On distingue : les accélérateurs de prise, les accélérateurs
Plus en détailVisualisation des produits de l'alcali-réaction par fluorescence Extension de la méthode au diagnostic sur ouvrage
Visualisation des produits de l'alcali-réaction par fluorescence Extension de la méthode au diagnostic sur ouvrage Jeanne-Sylvine GUÉDON Docteur en Géologie, ITPE François MARTINEAU Technicien André LE
Plus en détailFICHE TECHNIQUE POSTE METALLIQUE
CEL FRANCE Sarl au capital de 40 000E RC Alès 97RM 300 SIRET 410 748 875 00011 TVA CEE FR56410748875 NAF 316D Tableaux HTA Transformateur HTA Postes de transformation TGBT Disjoncteur BT www.cel france.com
Plus en détailAtlas sur la géothermie très basse énergie en région Centre
Atlas sur la géothermie très basse énergie en région Centre Rapport final BRGM/RP-55088-FR mars 2007 Atlas sur la géothermie très basse énergie en région Centre Rapport final BRGM/RP-55088-FR mars 2007
Plus en détailChapitre Contenu Page. 14 Restauration du béton 383
Chapitre Contenu Page 14 383 14 Principes De par ses propriétés particulières, le béton s est installé comme matériau dans tous les domaines de la construction. Partenaire important et fiable, il est
Plus en détailLa théorie des trois systèmes (the three systems theory)
La théorie des trois systèmes (the three systems theory) Jean-François VAUTIER, AFSCET (pour en savoir plus : http://www.terivau.org) Introduction Dans quel type de démarche globale s insère cette théorie?
Plus en détailPuissant et écologique à la fois
Puissant et écologique à la fois La technologie innovante de désinfection et d oxydation à l ozone économique et écologique www.prominent.com L ozone Un puissant désinfectant La plus-value à la clé : une
Plus en détailLABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage
LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration
Plus en détailFICHE TECHNIQUE SikaLatex
FICHE TECHNIQUE SikaLatex RÉSINE À MÉLANGER À L'EAU DE GÂCHAGE DES MORTIERS DESCRIPTION DU PRODUIT Le SikaLatex est une dispersion aqueuse de résine synthétique qui se présente sous la forme d un liquide
Plus en détailMesure sans contact Mesure, contrôle et détection
Mesure sans contact Mesure, contrôle et détection Mesure de niveau Le système de mesure par rayonnement gamma est utilisé pour la détection ou la mesure en continu de niveau, sans contact, de liquides
Plus en détailSIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE
SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE Denis DEFAUCHY Gilles REGNIER Patrice PEYRE Amine AMMAR Pièces FALCON - Dassault Aviation 1 Présentation
Plus en détailL E BILAN DES ACTIVITÉS
L E BILAN DES ACTIVITÉS Activité 1 Des volcans en éruption Mots-clés Il existe deux types d éruptions volcaniques : les éruptions explosives, caractérisées par des explosions plus ou moins importantes,
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détail16- Grand lac Shaw Portrait 2006
Grand lac Shaw 16- Grand lac Shaw Portrait 2006 16.1 Localisation et description physique du Grand lac Shaw : Municipalité St-Narcisse-de- Rimouski Bassin versant (sous-bassin) Tenure Altitude (m) Latitude
Plus en détail