Principales structures de santé de la Nouvelle-Calédonie *

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2 Principales structures de santé de la Nouvelle-Calédonie * ARCIPEL DES BELEP Centres hospitaliers publics Cliniques privées Belep Structures de santé de compétence provinciale Centres médicaux secondaires ou infirmeries Centres spécialisés Circonscriptions médicales et centres médico-sociaux Poum Koumac CN P Thavoavianon** PROVINCE NORD Kaala-Gomen Ouégoa Bondé Voh Koné PROVINCE SUD Centre de conseil familial Centre médical polyvalent (ESPAS-CMP) Centre médico-scolaire Service de prévention et de promotion de la santé Népoui Pouébo Poya ienghène Bourail Touho Poindimié Ponérihouen La Foa CT Gaston Bourret CT Magenta CT Raoul Follereau CT Col de la Pirogue CS Albert Bousquet CN R-D Nébayes** ouaïlou Kouaoua Canala Païta Dumbéa NOUMÉA Mouli St-Joseph Ouloup OUVÉA Thio DumbéaNord Mont Dore Boulari Ile Ouen nacoam Siloam Nathalo Chépénéhé LIFOU Unia Yaté Plum Goro PROVINCE ILES LOYAUTÉS Vao naeu Wedrumel Dueulu Mou meleck Wé Tiga Tadine Wabao nawayatch ILE DES PINS Rawa Pénélo La Roche MARÉ Centres de Protection Maternelle et Infantile et Centres Médico-Scolaire Montravel (PMI) Kaméré (CMS) Saint-Quentin (CMS) Centre médical Province des Iles Clinique de la Baie des Citrons Clinique de l Anse Vata Clinique Magnin * Les structures et le personnel de santé à la disposition de la population calédonienne sont détaillés dans le chapitre II : Les services de santé. ** Les CN de Koumac et Poindimié disposent d une antenne médico-psychologique rattachée au CS Albert Bousquet 2011

3 I. L ÉTAT DE SANTÉ I.7. PREVENTION I.7.1. La prévention des pathologies de surcharge I.7.2. La prévention buccodentaire A RETENIR Les pathologies de surcharge 48% de la population adulte en Nouvelle-Calédonie avec un IMC>25, dont 20% d obèses (IMC>30). Buccodentaire enfants examinés en % de ces enfants porteurs d au moins une carie. Situation sanitaire en Nouvelle - Calédonie

4 Situation sanitaire en Nouvelle - Calédonie

5 La prévention des pathologies de surcharge Sources : Baromètre santé 2010 en Nouvelle-Calédonie ; résultats préliminaires juin Agence Sanitaire et Sociale de Nouvelle-Calédonie Rapport d activité 2011, Agence Sanitaire et Sociale de Nouvelle-Calédonie I Maladies chroniques et Baromètre santé Une des questions du Baromètre santé 2010 concernait la situation vis-à-vis des maladies chroniques. Ainsi, 16,9% des personnes déclaraient avoir une seule maladie chronique, 3,9% déclaraient en avoir 2 et 79,2% aucune. La fréquence des maladies augmente avec l âge puisque moins d une personne sur 10 (9%) est affectée par une maladie chronique avant 27 ans, alors que cette proportion passe à 1 sur 2 (50%) entre 58 et 67 ans. Cette fréquence varie significativement selon les communautés, avec 26% de personnes concernées parmi les métis, 25% parmi les polynésiens versus 17% parmi les mélanésiens, 23% parmi les européens et 21% parmi les calédoniens. On constate ainsi que les maladies les plus souvent mentionnées (>10%) parmi les 553 personnes affectées par une maladie chronique étaient l asthme, l hypertension artérielle, le diabète, les maladies cardiaques hors RAA. Lorsque l on rapporte à la population de l étude, on obtient ainsi une fréquence plus faible de ces maladies comme le montre la figure suivante. I Maladies chroniques : diabète sucré Un des programmes de l ASSNC concerne le diabète sucré. L équipe du programme est composée du personnel du centre d éducation diététique et diabétique (médecin, infirmière, diététicienne, secrétaires et vacataires : psychologue, podologue, éducateur sportif). Est rattachée à ce programme pour l organisation des réseaux de podologie et d ophtalmologie, une secrétaire à mi-temps. 3 diététiciennes itinérantes interviennent à temps plein pour les communes de l intérieur et des Iles. L étude CALDIA menée en 1992 et 1993 sur l ensemble du territoire et qui portait sur personnes, a permis d estimer la prévalence du diabète à 10,2% dans la population adulte, avec des différences selon les communautés (européens et mélanésiens : 8,4%, polynésiens 15,3%). Par ailleurs on estime à plus de personnes, le nombre d individus affectés par cette maladie en Nouvelle- Calédonie. Les complications les plus fréquentes sont les pathologies cardiovasculaires, les néphropathies diabétiques, les rétinopathies et les neuropathies. Pb articulaires Maladie cardiaque Diabète TA Asthme Fréquence des maladies chroniques 8,3 1,9 11,2 2,6 3,7 4,6 4,3 13,5 14,4 17,1 Ainsi, les objectifs de ce programme sont de participer à la diminution de la prévalence du diabète au travers de la prévention de l obésité au travers du programme de prévention des pathologies de surcharge, d assurer un diagnostic et une prise en charge précoce des patients afin de diminuer les complications secondaires, de garantir aux patients la qualité des soins et de responsabiliser les patients dans la gestion de leur maladie Personnes avec au moins 1 maladie chronique (N=553) Pop ans (N=2513) D autre part, les hommes étaient plus nombreux à déclarer une maladie cardiaque que les femmes (14% versus 9%), parmi les personnes ayant déclaré au moins une maladie, ces dernières déclarant davantage de RAA que les hommes. Sur l ensemble de l échantillon, la fréquence de l asthme n augmente pas de manière significative avec l âge, par contre l hypertension artérielle, le diabète augmentent avec l âge (TA : 0,2% des ans et 17% des ans ; diabète : 2% des ans, 9% des ans et 11% des ans). Les maladies cardiaques affectent plus souvent les plus âgés (11% des ans). Ces valeurs varient également, sur l ensemble de l échantillon, selon les communautés, avec plus de diabètes déclarés chez les polynésiens (8% contre 4% chez les mélanésiens, et autour de 2% pour les autres communautés). L asthme apparaît plus souvent déclaré chez les calédoniens (10%) par rapport au métis (8%), polynésiens (6%), mélanésiens (3%) et européens (3%). Aucune différence n est observée pour l TA selon les communautés. Les populations cibles du programmes sont à la fois la population générale, les personnes à risque de diabète, les patients diabétiques, les professionnels de santé. Un premier axe opérationnel comporte la prévention primaire des pathologies de surcharge et un second axe la prévention secondaire du diabète avec le repérage des populations à risque et le dépistage du diabète. Un programme de dépistage opportuniste du diabète et des facteurs de risque cardiovasculaires a été promu et mené de 2007 à 2010 chez les professionnels de santé. Ce dépistage, réservé aux patients ne se connaissant pas de diabète mais présentant des facteurs de risque de la maladie, était effectué en deux phases : d abord une recherche d hyperglycémie capillaire puis, si la glycémie était >1,2 g/l, le résultat devait être confirmé par une glycémie veineuse à jeun (GVAJ). Ce dépistage avait plusieurs objectifs : rappeler aux médecins les critères de repérage de la population à risque pour proposer ce dépistage, dépister des patients diabétiques qui s ignorent, tester la validité des critères retenus pour ce dépistage. Situation sanitaire en Nouvelle - Calédonie La prévention des pathologies de surcharge I

6 La prévention des pathologies de surcharge Ainsi, une fiche spécifique a été remplie par le médecin pour chaque patient sélectionné. Au total, fiches ont été saisies et analysées avec la répartition suivante, par prescripteur du dépistage : Répartition des prescripteurs DACAS Iles; 92; ASS. Diabét.; 8% 272; 22% CAFAT CT; 2; 0% SLN; 67; 5% SMIT; 126; 10% DASSPS Nord; 32; 3% DPASS Sud; 633; 52% 35% des personnes dépistées sur la base des critères définis et figurant dans les recommandations calédoniennes diffusées auprès du corps médical, ont présenté un résultat anormal (N=424). Parmi ces 424 cas, les facteurs associés au résultat anormal du test étaient : l indice de masse corporel élevé (279 cas), l TA (164 cas), des antécédents familiaux de diabète (148 cas), la communauté polynésienne (96 cas), une dyslipidémie (47 cas), des symptômes de diabète (42 cas), un antécédent de diabète gestationnel (14 cas). Le résultat du test de confirmation biologique a été rarement consigné sur la fiche, soit pour seulement 27% des cas. Parmi les 116 patients pour lesquels l information était mentionnée, 34% ont eu confirmation du diabète (GVAJ >1,26g/l). A noter que 45 patients qui avaient un dépistage négatif ont également fait l objet d une confirmation biologique, dont 2 se sont révélées positives. Ainsi, seuls 41 patients (soit 3,3%) ont eu un diagnostic de diabète confirmé parmi les personnes à risque incluses, ce qui peut difficilement refléter la réalité compte tenu des critères de sélection de la population et de la prévalence de cette maladie dans la population générale calédonienne (cf. Baromètre santé 2010 : 3,7% chez les ans et plus de patients pris en charge au titre de la longue maladie en 2011). Dans la mesure où le protocole de dépistage n a été que partiellement respecté, qu il existe également un biais de recrutement et que le remplissage des fiches est incomplet, il est impossible d interpréter ces données et aucune estimation de la fréquence de cette maladie parmi les populations à risque ne peut être effectuée. I Prévention primaire des pathologies de surcharge Le surpoids et l obésité sont définis par une accumulation anormale ou excessive de graisse corporelle qui peut nuire à la santé. L obésité est une maladie reconnue, qui peut engendrer d autres problèmes de santé. L OMS considère qu il existe une épidémie d obésité dans le monde avec plus de 1,6 milliards d adultes de plus de 20 ans atteints et plus de 43 millions d enfants de moins de 5 ans en surpoids. Les causes de l obésité sont représentées par un déséquilibre énergétique entre les calories consommées et les calories dépensées. Les conséquences d un indice de masse corporelle élevé (IMC calculé à partir du poids en kg/taille² en mètre) sont : - les maladies cardiovasculaires, - le diabète de type 2, le syndrome d apnée du sommeil, - les troubles musculo-squelettiques, certains cancers (colon, endomètre, sein). La Nouvelle-Calédonie n échappant pas à ce problème préoccupant comme le montrait une étude menée en novembre 2011 auprès de 800 ménages du Grand Nouméa et qui faisait apparaître 48% de la population adulte avec un IMC>25 dont 20% d obèses (IMC>30). Par ailleurs, les résultats provisoires de la phase 2 du Baromètre santé qui comportait des mesures anthropométriques montraient que 61% des adultes de l échantillon avaient un IMC >25, dont 33% d obèses. 11% de l échantillon présentaient également une hyperglycémie. On estime également à 20% la fréquence des surcharges pondérales chez les enfants scolarisés dans les classes primaires. Ces données anciennes qui nécessitent cependant une réactualisation montrent que cette situation est inquiétante, d autant plus que l obésité infantile est déterminante pour l avenir, et qu une proportion importante des enfants obèses le reste à l âge adulte. Aussi, depuis 2007, un programme de prévention primaire des pathologies de surcharge a été mis en place en Nouvelle- Calédonie via l ASS-NC afin de permettre à la population calédonienne d acquérir des connaissances pour effectuer des choix alimentaires judicieux et plus équilibrés (cf. résultats du Baromètre santé 2010). Les deux principaux objectifs sont donc d améliorer l état nutritionnel de la population et de stabiliser la prévalence de la surcharge pondérale chez les enfants. Ce programme a été mis en place suite à un travail de concertation multisectorielle et les populations cibles du programme sont représentées par la population générale, les professionnels de santé, de l éducation, de la jeunesse et des sports, de l industrie agro-alimentaire. Les 3 axes qui ont été adoptés sont : - sensibiliser la population à la problématique de la surcharge pondérale, 02 La prévention des pathologies de surcharge I.7.1- Situation sanitaire en Nouvelle - Calédonie

7 La prévention des pathologies de surcharge - agir sur l environnement pour le rendre plus favorable à l adoption de modes de vie sains, - évaluer l impact global du programme et son fonctionnement interne de manière à pouvoir porter un jugement critique et pertinent sur son efficacité. En 2011, pour répondre à ces objectifs, ont été renforcées : - les campagnes médiatiques avec diffusion régulière des messages sur différents supports (campagnes «Et toi comment tu bouges», «Bois de l eau», bande dessinée «Bob retrouve ses amis», série TV «Fins motivés, je mange mieux, je bouge plus»), - l implication des personnes relai et acteurs de terrain à la prévention des maladies de surcharge, - la sensibilisation des enfants en milieu scolaire, - l information sur l étiquetage nutritionnel des produits alimentaires, - l incitation des industriels agro-alimentaires à s engager dans la lutte contre le surpoids et l obésité. Une charte de bonnes pratiques pour la restauration scolaire a été établie. Les données du Baromètre santé de 2010 ont permis d établir le T zéro de la prévalence des pathologies de surcharge et du surpoids, des enquêtes «omnibus» ont été commandées pour évaluer les connaissances de la population en matière d équilibre alimentaire avant la diffusion de la série TV. Pour 2012, les principaux projets concernent la poursuite de la sensibilisation de la population calédonienne, des actions sur l environnement et l évaluation de l impact global du programme. Situation sanitaire en Nouvelle - Calédonie La prévention des pathologies de surcharge I

8 La prévention des pathologies de surcharge 04 La prévention des pathologies de surcharge I Situation sanitaire en Nouvelle - Calédonie

9 La prévention bucco-dentaire Source : Rapport d activité 2011, Agence Sanitaire et Sociale de Nouvelle-Calédonie (ASS-NC) I Introduction En accord avec les recommandations de l OMS, il a été décidé par les représentants du gouvernement, des 3 provinces, de la CAFAT et des chirurgiens-dentistes (syndicats et conseil de l ordre) en 2007 de mettre en place un projet de prévention bucco-dentaire (complémentaire aux actions de prévention collectives déjà entreprises), soutenu et coordonné par l ASS-NC. Ce projet, initié dès 2008 consiste en un système de cabinet dentaire mobile (caravane) dans lequel des actions d éducation et de soins sont dispensées. Participent à ce projet des chirurgiens-dentistes libéraux. Le cabinet dentaire mobile se rend dans les écoles classées prioritaires. Sont concernés tous les enfants scolarisés dans les classes de CP. Le programme prévoit un cours de prévention collective sur l hygiène bucco-dentaire suivi, après autorisation des parents, d un comblement des puits et sillons sur les premières molaires définitives. Ce projet a été mis en place pour répondre à plusieurs objectifs qui sont : l amélioration de l état dentaire des enfants, la sensibilisation des parents à l hygiène buccale de leurs enfants, la prise de conscience des enfants à la nécessité d un bon brossage régulier des dents. I Contexte du projet Ainsi, 29 écoles prioritaires ont été visitées en province Sud, concernant élèves de CP, 16 écoles en province Nord (Voh, Koné, Pouembout, Poya, Canala), concernant 281 élèves, 18 écoles dans les Iles Loyauté (Lifou), concernant 198 élèves, ce qui représentait en 2010, 35% de la population scolaire des CP. Au cours de l année 2011, la caravane a été utilisée à 88% du temps scolaire, avec 59% du temps passé en province Sud, 17% en province Nord (Voh, Koné, Pouembout, Koumac, Poindimié, Ouégoa, Canala, Kaala-Gomen, Ponérihouen) et 12% dans les Iles Loyauté. Ainsi en 2011, 83 écoles ont été visitées, concernant environ 2040 élèves de CP, augmentant ainsi par rapport à 2010, la proportion des élèves concernés à 46% effectifs concernés. 43 écoles prioritaires ont été visitées en province Sud, concernant élèves de CP, 22 écoles en province Nord pour 478 élèves, 18 écoles dans les Iles (Lifou) pour 208 élèves. Province Sud Province Nord Province Iles Nb écoles Nb d élèves concernés % 70 % 18 % 12 % Nb écoles Nb d élèves concernés % Bilan élèves % + 24% % + 70% % + 5% Total ,7% L évaluation de l état bucco-dentaire des enfants est effectuée au travers de la mesure de l indice CAO (nombre de dents cariées, absentes ou obturées par bouche). Plusieurs enquêtes ont été effectuées dans le passé chez les enfants de 12 ans et avaient permis de montrer que le niveau de santé dentaire était inférieur au regard des recommandations de l OMS (2010 : indice >1) puisque l indice moyen de la province Nord en 2009 était égal à 3,5, celui de la province Sud en 2007 égal à 1,95 et celui de la province des Iles en 2002 égal à 3,1. Dans ce contexte, et après convention passée avec le centre de recherche en odontologie de l Université de Clermont-Ferrand, un chirurgien dentiste a été missionné pour coordonner une enquête épidémiologique sur l état de santé bucco-dentaire des enfants âgés de 6, 9 et 12 ans scolarisés en Nouvelle-Calédonie selon un protocole standardisé. I Résultats Bilan d activité des campagnes Au cours de l année 2010, la caravane s est déplacée 122 jours, soit 75% du temps scolaire qui était de 163 jours, avec 67% du temps passé en province Sud, 18% dans le Nord et 15% dans les Iles Loyauté. Ainsi, la campagne 2011 a permis d augmenter de 29,7% le nombre d élèves éligibles de CP, de manière plus importante en province Nord et de 31,7% le nombre d écoles visitées. Dans la mesure où une autorisation parentale devait être obtenue pour pratiquer l examen bucco-dentaire, en 2010, 91% des parents ont donné cette autorisation et enfants ont été examinés et en 2011, un taux comparable (90%) avec élèves examinés (+23% par rapport à 2010). Santé bucco-dentaire Sont comptabilisés le nombre de molaires définitives par enfant qui font l objet d un comblement de sillon. Ainsi, en 2010, 38% des enfants examinés avaient au moins une molaire définitive non sortie, ce qui représentait 27% de molaires non sorties parmi les concernées. En 2011, 33% des enfants examinés avaient au moins une molaire non sortie, soit 24% des molaires non sorties (tableau page 2). Ainsi en 2011 (indépendamment du fait qu un plus grand nombre d enfants ont été examinés), ont été réalisés par rapport à 2010 plus de comblements de sillon chez des enfants qui présentaient une proportion plus élevée de molaires sorties et une proportion moins élevée de molaires cariées ou avec doute de carie. Situation sanitaire en Nouvelle - Calédonie La prévention bucco-dentaire I

10 La prévention bucco-dentaire Enfants enfants examinés enfants examinés Au moins 1 carie 24,5% des enfants 13% des enfants Orientation chez un dentiste 73,5% des enfants 71% des enfants Dents molaires concernées molaires concernées Dents incluses 27% 24% Comblements de sillons - existants - réalisés 4% molaires 48% molaires 4% molaires 57% molaires Molaires obturées 0,5% 0,5% Doutes de caries 6,5% 7,5% Molaires cariées 13,6% 7% En conclusion, le taux de dents définitives cariées ou avec un doute de carie reste encore élevé pour des enfants de 6 ans et justifie la nécessité de faire prendre conscience aux parents ainsi qu aux enseignants de l importance de l hygiène bucco-dentaire, ainsi que de l intérêt du comblement du sillon des molaires encore saines, et de la poursuite de la sensibilisation à la prévention sur l hygiène bucco-dentaire. 02 La prévention bucco-dentaire I.7.2- Situation sanitaire en Nouvelle - Calédonie

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