ONEP. Traitement & Réutilisation des eaux usées au Maroc: Enjeux, opportunités, contraintes et issues stratégiques
|
|
- Émilie Thomas
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ONEP Traitement & Réutilisation des eaux usées au Maroc: Enjeux, opportunités, contraintes et issues stratégiques Madame Hajiba Bourziza & Brahim Soudi Atelier sur l assainissement, l épuration et la réutilisation des eaux usées Agadir du 07 au 11 Décembre 2009
2 Plan Plan de Développement ONEP en matière d Assainissement liquide Techniques d Épuration Utilisées Actions ONEP en matière de REUE Contraintes Contraintes techniques Contraintes économiques Contraintes institutionnelles Issues stratégiques & Mesures d accompagnement
3 Plan de développement ONEP en Assainissement A fin 2008: l ONEP a pris en charge l exploitation effective dans 65 centres pour environ 2,5 millions d habitants ( abonnés)/ m3/j le contrat programme : évalué à 2,9 milliards de dirhams /concerne 121 centres / vise une population de 3,5 millions d'habitants/ m3/j supplémentaire Plan d action 2011/2012: 34 nouveaux projets pour un investissement d environ 1.3 Milliards de Dirhams; Réalisation de 8 stations d épuration supplémentaires pour atteindre un total de 109 STEP afin d assurer une capacité d épuration totale d environ m 3 /j à fin 2012.
4 Stations d épuration de l ONEP à travers le royaume Tanger Al HoceimaNador Rabat Casablanca Fes Oujda Essaouira Agadir Khouribga Marrakech Ouarzazate Errachidia Bouarfa Guelmim Tarfaya Zag Lâayoune Essmara Boujdour Dakhla
5 Répartition du débit sur les procédés d épuration des STEPs ONEP STEPs existantes Répartition du débit sur les procédés d'épuration STEPs en cours Répartition du débit sur les procédés d'épuration % 100,00 80,00 60,00 40,00 20,00 0,00 Lagunage naturel Boues activées Lits bactériens Autres procédés % 45,00 40,00 35,00 30,00 25,00 20,00 15,00 10,00 5,00 0,00 Lagunage naturel Boues activées Lits bactériens Autres procédés Procédés d'épuration Procédés d'épuration STEPs projetées Répartition du débit sur les procédés d'épuration % 70,00 60,00 50,00 40,00 30,00 20,00 10,00 0,00 Lagunage naturel Boues activées Lits bactériens Autres procédés Procédés d'épuration Non spécifié
6 Procédés d'épuration Procédés d'épuration Contribution de l ONEP au Programme National d Assainissement Contribution STEP ONEP dans le PNA en terme de débit Année Volume total PNA (Mm3/an) % PNA 720 % PNA 750 % PNA Lagunage Boues activées Lits bactériens Autres procédés Volume Total STEP ONEP (Mm3/an) 37, % 53, % 95, % 1,095 0% 16, % 27,3385 4% 0,0657 0% 0,0657 0% 4, % 0,4307 0% 8, % 14, % 39, % 79,424 11% 142, % Contribution STEP ONEP dans le PNA en terme d'abattement de charge polluante Année Charge Polluante urbaine totale (T DBO5/an) % Abattement % Abattement % Abattement Lagunage % % % Boues activées 576 0% % % Lits bactériens 28 0% 28 0% % Autres procédés 150 0% 210 0% 823 0% Charge Polluante STEP ONEP (T DBO5/an) % % %
7 Rattraper le retard accusé dans le domaine de l épuration des eaux usées est un préalable nécessaire au développement d une réutilisation conforme à la réglementation et aux règles d hygiène et de sécurité sanitaire Quelques références internationales Australie, Chine, Europe, USA: Accroissement de 10 à 40 % par an Pour lutter contre la sècheresse, en Europe (20 % de REUE en plus soit ~ 20 milliards d euros économisés) Pic du volume réutilisé: 1,5-1,7 Mm 3 /jour (Californie, Floride etc.) Des objectifs impressionnants: 10 à 30% de la demande en eau (Chypre, Floride, Israël) ; Objectif de 100% des EUE réutilisées dans plusieurs pays Tunisie: 29% du volume est réutilisé (irrigation de hectares dont 760 pour irriguer les terrains de golf et 340 pour les espaces verts).
8 Les actions
9 Actions ONEP en matière de REUE Trois grandes catégories: la mise en place de projets techniques pilotes l initiation de la discussion et de la réflexion sur la démarche organisationnelle l élaboration d une étude sommaire de l assiette financière pour les projets de REUE.
10 1. Aspects techniques sites pilotes Deux projets expérimentaux pour la REUE en irrigation (Ouarzazate et Bensergao) ainsi que deux projets pilotes (Benslimane et Drarga), Trois projets de REUE dans l activité industrielle : Réutilisation des eaux usées épurées pour le lavage des phosphates (Khouribga, Bengrir et El Youssoufia), Projets intégrés Epuration/Réutilisation au niveau d Essaouira (arrosage des golfs et des espaces verts de Mogador), Autres projets initiés à l aval des STEP ONEP (Guelmim, Tiznit, ) en cours d études, Projets de REUE pour l irrigation à l aval des centres du Nord (Al Houceima, Imzouren, Bni Bouayach et Targuist) REUE du Grand Nador dans l arrosage des zones touristiques de la Marchika. Recharge de nappe : exemple la STEP de Biougra
11 2. Aspects organisationnels et institutionnels Proposition d un scénario organisationnel et institutionnel de la REUE Appel à une mise en place d un comité de réflexion interministériel Validation des résultats dans le cadre de projets pilotes.
12 Piliers de la démarche SOI proposé Arrangements institutionnels : responsabilité coordination SOIG Opérationnel Approche intégré de gestion des eaux usées domestiques L implication des populations concernées à l amont et à l aval Les mécanismes de financement
13 Proposition simplifiée du SOI Institution s Ministère de l Agriculture (Eau, D. Filières, ONSSA, etc. ) Fonction de base Coordination et pilotage Tâches spécifiques Etudes et gestion de la composante «Réutilisation» Traitements complémentaires selon la nature de l usage des EUE Communes ONEP, Concessionnaires Régies Ministère de l Agriculture Agence de Bassin SSEnv Ministère de l Intérieur Producteurs d EUE Ministère de la Santé (DELM) Institut d Hygiène BMH, ONSSA Production d eaux usées Contrôle, Suivi et surveillance Assainissement Traitement générant des effluents conformes aux normes de rejets Produits agricoles Qualité des sols Qualité des EUE, Contrôle de rejets, Évaluation d impact sur la qualité des eaux Suivi et contrôle sanitaire des eaux, des produits agricoles et des opérateurs
14 Démarche de gestion de projets de REUE PHASES Phase de planification ( ONEP informe les différents intervenants) Phase d identification ( sites potentiels par le ministère de l Agriculture) Phase d élaboration de l APS Phase d études détaillées de a REUE Phase de gestion et d exploitation (gestion de suivi de la qualité de l eau à l entrée et à la sortie des STEP à la charge de l ONEP, suivi de la qualité des sols à la charge du ministère de l Agriculture )
15 3. Cadrage des coûts du complément d épuration pour la REUE Estimation des coûts relatifs aux compléments d investissement (STEP gérées et/ou projetées par l ONEP) Un investissement d environ 450 millions de DH pour la réalisation des traitements tertiaires au niveau des stations d épuration actuellement gérées (32 STEP), en cours de réalisation (20 STEP) et en projet (57 STEP) par l ONEP. Le coût de développement est d environ 2 DH/m 3. Ce coût englobe bien entendu les charges d investissement et d exploitation et intègrent les frais de renouvellement.
16 Les contraintes
17 La contrainte institutionnelle reste posée: Multitude institutions intervenants dans le secteur Faible implication des institutions clés (ABH, MAPM) La prise en charge des systèmes de suivi et de surveillance du système de traitement réutilisation Benchmarking avec l expérience tunisienne Contraintes institutionnelles La concertation, la coordination, l échange d information entre l ONAS et les services du Ministère de l Agriculture chargée de l irrigation, sont à un niveau modeste L intégration des projets de station d épuration et de périmètres irrigués est faible.
18
19 STEP / Drarga Eau traitée jusqu au tertiaire non réutilisé alors que le besoin est manifesté par les usagers
20 Parmi les questions institutionnelles! Implication Du Ministère de l Agriculture? Retour? Eau ABH Redevance? Organisation des usagers, Gestion et encadrement de la réutilisation 0.04 DH/m 3 T1 Opérateur (ex. ONEP) ONEP: 80% Réutilisation (Ag, EV..) Milieu récepteur Consommateurs (Redevance) Traitement Complémentaire Qui le prend en charge? Retour? Epuration des EU Opérateur ( ONEP, Régie, Concessionnaire privé) Une seule condition: Conformité avec les normes de rejets Eaux usées
21 Les contraintes techniques Salinité (cas d Agadir, Settat ) Nécessité d une optimisation de la valorisation de l eau et des éléments nutritifs (optimisation nécessaire) Maîtrise de l asynchronisme Production des EUE saisonnalité des besoins des cultures Benchmarking avec la Tunisie Contraintes techniques Qualité de ces eaux Restrictions culturales (Niveau de traitement) Salinité des eaux épurées Coûts de transfert
22 Besoins en eau bruts et surface irrigable Asynchronisme: Production des EUE Utilisation par les cultures Stockage!? de régulation
23 Les contraintes économiques et financières Rentabilité de la REUE Difficulté de recouvrement des coûts Financement du traitement complémentaire (dans le sens de la durabilité)
24 La rentabilité de la REU : notion relative Elle dépend de: 1. Niveau d épuration Niveau de qualité C B A Type de réutilisation Irrigation localisée des cultures de la catégorie B si les ouvriers agricoles et le public ne sont pas exposés Irrigation des cultures céréalières, industrielles et fourragères, des pâturages et plantations d arbres Irrigation des cultures dont les produits sont destinés à être consommées crus, des terrains de sport et des jardins publics Niveau de traitement Traitement primaire Prétraitement + Lagune anaérobie Même traitement que niveau C + Lagune facultatif Même traitement que B + traitement tertiaire
25 Coût (DH) La rentabilité de la REU : notion relative Elle dépend de: 2. Du niveau de disponibilité des ressources en eau conventionnelles et du déficit climatique Situation 1: Situation de déficit extrême 3 2,5 2 Situation 2. Pompage d eau souterraine / le coût de pompage dépasse le prix du m 3 des eaux de barrage et augmente avec le Niveau piézométrique 1,5 1 Situation 3. Irrigation avec les eaux de surface mobilisées (de barrage) de prix oscillant entre 0.2 et 0.5 DH/m³ Année Tarif Min (DH/m³) 0,0225 0,045 0,12 0,22 0, NP (mètres) Tarif Max (DH/m³) 0,029 0,116 0,38 0,67
26 Inégale répartition géographique des ressources en eau
27 Inégale répartition géographique des ressources en eau
28 Déductions importantes: à micro échelle, dans des zones à fort déficit hydrique, la réutilisation est aussi agro - économiquement très bénéfique Triple objectif à ce niveau: Objectif environnemental, sanitaire et de valorisation à l échelle macro-économique: le volume des EUE demeure relativement faible (5 à 10% du Volume des eaux conventionnelles mobilisé (13 Milliards de m 3 ); le traitement réutilisation devrait avoir un objectif environnemental et de protection de la santé publique
29 Issues stratégiques
30 Recommandations et issues stratégiques Elaboration d une Stratégie de valorisation des EUE / PNA: Carte nationale des options de REU en fonction de la rentabilité de REU (climat, niveau de traitement, disponibilité des eaux conventionnelles, etc. ) Elaboration d un Plan d action pour la promotion et l organisation de la REUE (solutions locales, régionales et nationales, de court, moyen et long terme) Evaluer les besoins en matière de renforcement des capacités (formation, recherche, etc.) Arrêter les priorités nationales en fonction du contexte, des risques sanitaires et environnementaux etc.? o o o o EV et golfs Cultures industrielles Cultures de fruits et légumes avec intégration agro-industrielle Etc. Options EV et Golfs (fort développement dans les pays méditerranéens et dans le monde). Prix de revient compétitif avec l eau potable au tarif industriel Rareté des ressources en eau ne justifie plus l usage de l eau potable Le recours aux forages n est pas une option durable : avancée du biseau marin. La politique de développement touristique impose d étoffer et entretenir les espaces verts
31 Mesures d accompagnement Élaboration par l ONEP d un guide de bonnes pratiques pour la R.E.U en agriculture adaptées aux conditions marocaines Promouvoir la REUE dans les zones touristique pour l arrosage des golfs et des espaces verts; Susciter la Création d un comité de suivi locale et Élaboration d une convention liant tous les intervenants dans le projet de réutilisation avec une définition du rôle et la responsabilité de chaque intervenant dans le projet (Commune, AUEA, ONEP, DPA, ORMVA, ABH, Délégation de la Santé) Susciter la Création des Associations d Usagers de l Eau en Agriculture qui offre plusieurs avantages : - le statut juridique des AUEA est opérationnel - Bonne expérience nationale en matière d AUEA - Existence des Subventions de l état aux AUEA - Les AUEA bénéficient de l Encadrement des DPA et ORMVA Préparation du dossier d autorisation de la réutilisation par l AUEA (Le décret relatif à l'utilisation des eaux usées n du 6 chaoual 1418 (4 février 1998) stipule qu aucune eau usée ne peut être utilisée si elle n'a pas été préalablement reconnue épurée; Et exige une demande d Autorisation adressée au directeur de l'agence du bassin hydraulique.
32 Autres Recommandations Intégration de la filière boue (stratégie de gestion en cours d élaboration par le Département de l Environnement + Plan d Action pour les STEP de l ONEP (par l ONEP FAO) [Curage, Traitement, Elimination, Valorisation, etc.] Intégration de la filière «air» / Odeurs Intégrer la gestion des sables, des huiles et refus de dégrillage
33 Le grillage entre les usagers agricoles et la STEP : il n est pas métallique, il est institutionnel
34 MERCI
Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau
ROYAUME DU MAROC Secrétariat d État chargé de l Eau et de l Environnement Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau Mohamed HACHIMI Du 08 au 09/07/2009 à Tunis Gouvernance au niveau des Agences
Plus en détailCONCEPTION PARTICIPATIVE D UN PROJET COLLECTIF D IRRIGATION LOCALISÉE DANS LE PÉRIMÈTRE DE PMH FOUM EL ANCER (BÉNI MELLAL)
CONCEPTION PARTICIPATIVE D UN PROJET COLLECTIF D IRRIGATION LOCALISÉE DANS LE PÉRIMÈTRE DE PMH FOUM EL ANCER (BÉNI MELLAL) M. KUPER, A. HAMMANI ET B. JAOUADI FIGURE 51 Atelier de restitution du projet
Plus en détailSynthèse des réponses au questionnaire
Etat des lieux sur les réseaux et programmes de Monitoring dans les pays partenaires méditerranéens Synthèse des réponses au questionnaire X. Detienne Aquapôle, Université de Liège Réalisé pour le compte
Plus en détailLE SECTEUR DE L EAU EN JORDANIE : ENJEUX ET ENSEIGNEMENTS. Présentation des enjeux du secteur
LE SECTEUR DE L EAU EN JORDANIE : ENJEUX ET ENSEIGNEMENTS Présentation des enjeux du secteur Avec des taux d accès proches de 100 %, les enjeux de l eau et l assainissement en Jordanie ne sont pas l accès
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailSOLUTIONS ENERGETIQUES. professionnelles
SOLUTIONS ENERGETIQUES professionnelles Afriquia Gaz Sommaire L énergie d un leader 5 6 8 11 14 15 21 22 Afriquia Gaz, un leader gazier tourné vers l avenir Chiffres clés Une offre complète de produits
Plus en détailAutorisation et Convention
Autorisation et Convention Déversement d eaux usées non domestiques dans les réseaux publics de collecte Entreprises et Collectivités : procédures pour être en conformité avec la loi Crédit photo CA Évry
Plus en détailROYAUME DU MAROC AGENCE DU BASSIN HYDRAULIQUE DU LOUKKOS
ROYAUME DU MAROC AGENCE DU BASSIN HYDRAULIQUE DU LOUKKOS Plan de Communication Opérationnel de l Agence du Bassin Hydraulique du Loukkos 1 PLAN 1. Analyse de l environnement 2. l environnement externe
Plus en détailVERS UNE GESTION OPTIMALE DES RESSOURCES EN EAU. EXEMPLE DE LA TUNISIE.
VERS UNE GESTION OPTIMALE DES RESSOURCES EN EAU. EXEMPLE DE LA TUNISIE. Habaieb H*., Albergel J.** * Institut National Agronomique de Tunisie ** Mission IRD de Tunis RESUME La Tunisie reçoit en moyenne
Plus en détailDirection Générale des Impôts. Taxe d'habitation et Taxe de Services Communaux
Direction Générale des Impôts Taxe d'habitation et Taxe de Services Communaux Edition 2010 Direction Générale des Impôts Service de la Communication Rue Haj Ahmed Cherkaoui, Agdal, Rabat Tél. : 212 (0)
Plus en détailEAU ET MILIEUX AQUATIQUES. Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012
EAU ET MILIEUX AQUATIQUES Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012 Janvier 2007 9 es 2007-2012 programmes des agences de l eau «L Europe s est dotée d un cadre communautaire pour
Plus en détailLES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.
L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,
Plus en détailMon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.
Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES Guide d entretien Aillevans - Athesans Etroitefontaine - Autrey Le Vay - Beveuge - Bonnal
Plus en détailComptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004
Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)
Plus en détailL injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel
L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel Claire BRECQ GrDF - Délégation Stratégie- Régulation 10 ème Conférence sur le biogaz et le biométhane Montréal, le 24 mai 2012 Présentation de GrDF
Plus en détailR y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009
Royaume du Maroc PLAN MAROC VERT Mai 2009 ENJEUX Enjeux économiques Contribue pour 19 % du PIB national 15% production 4% Agro industrie Rôle capital dans la stabilité macro économique Enjeux sociaux Emploie
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON
REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement
Plus en détaildu Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI
Ministère de l Environnement l et du Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI Expert National Statisticien/Economiste
Plus en détailLe Plan Départemental de l Eau
de l Eau CG1/PIADDT/DAE/MD-LS-9/05/009 de l Eau Son organisation schématique va s appuyer sur : 1. Les infrastructures existantes d intérêt départemental,. Les schémas directeurs territoriaux, 3. Des maillages
Plus en détailSTRATEGIE DE GESTION DES RISQUES DANS LE SECTEUR AGRICOLE
Royaume du Maroc Ministère de l Agriculture et de la Pêche Maritime STRATEGIE DE GESTION DES RISQUES DANS LE SECTEUR AGRICOLE Congrès International sur l Assurance et la Réassurance des Risques Agricoles
Plus en détailExemple du SATESE MAGE 42
LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux
Plus en détailNOR : DEV O 08 1 5 9 0 7 C
REPUBLIQUE FRANCAISE MINISTERE DE L ECOLOGIE, DE L ENERGIE, DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE DIRECTION DE L'EAU Sous-Direction de l'action territoriale, De la directive cadre
Plus en détailASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF
ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Bases juridiques et dernières évolutions règlementaires Séminaire des animateurs territoriaux, le 26 juin 2012 Ludiana KORTH, chargée d étude juridique
Plus en détailElaboration de la Vision et de la Stratégie Eau 2050 de la Tunisie
BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT Langue: Français Original: Français Distribution: Limitée REPUBLIQUE DE TUNISIE Elaboration de la Vision et de la Stratégie Eau 2050 de la Tunisie RAPPORT D EVALUATION
Plus en détailGesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ) / Office National de l Assainissement (ONAS)
Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ) / Office National de l Assainissement (ONAS) PROGRAMME DE GESTION DURABLE ET INTEGREE DE L EAU (SWIM) MISSION POUR L ETUDE D EVALUATION DE LA SITUATION
Plus en détailFICHE RESUME DE L ETUDE DU SECTEUR DU TOURISME 2011
FICHE RESUME DE L ETUDE DU SECTEUR DU TOURISME 2011 21 Beatriz Cerezo Monje Rosalva Espino Ramírez Cristina Silvera Roig 1. INTRODUCTION Principales fuentes de energías renovables actualmente en Marruecos
Plus en détailExpert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc
Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société
Plus en détailSystèmes de stockage simples à installer et économiques
Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de
Plus en détailGlossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance
Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance Au sens des fiches de définition des indicateurs de performance : 1. Parties prenantes Autorité organisatrice
Plus en détailREFERENCES. ES Assainissement & AEP
REFERENCES ES Assainissement & AEP Votre partenaire polyvalent EAU POTABLE ET ASSAINISSEMENT Projet Gazoduc Etudes de tracé, étude topographique et étude du sol pour la réalisation d une bretelle de gaz
Plus en détailCREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN
REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE
Plus en détailINTEGREE DES RESSOURCES EN EAU
Forum de l eau de Kyoto Contribution à la session du RIOB «Les progrès réalisés dans le monde dans la gestion intégrée des ressources en eau par bassin» GESTION INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Par M. Jean-Michel
Plus en détailAgriculture paysanne durable: innovations et meilleures pratiques aux fins de transposition et de reproduction à plus grande échelle
Méthodes innovantes d amélioration sylvo-pastorale: Le cas du projet de lutte participative contre la désertification et de réduction de la pauvreté dans les écosystèmes arides et semi-arides des hauts
Plus en détailDéfis du secteur de l énergie électrique face aux besoins de développement du pays
Office National de l Electricité et de l Eau Potable (ONEE) Défis du secteur de l énergie électrique face aux besoins de développement du pays Novembre 2014 PARC DE PRODUCTION DIVERSIFIE Tiers nationaux
Plus en détail10 ème PROGRAMME (2013 2018)
10 ème PROGRAMME (2013 2018) Version adoptée par le comité de bassin du 18 octobre 2012 (délibération n CB 12-15) et par le conseil d administration des 18 octobre 2012 (délibération n CA 12-12) 14 novembre
Plus en détailINVESTIR AU MAROC région Tanger-Tétouan
INVESTIR AU MAROC région Tanger-Tétouan FINANCES & CONSEIL MEDITARRANEE 23 Octobre Avril 2012 I. Généralités Superficie Capitale Villes principales Langue officielle Monnaie Population 710 000 Km² Rabat
Plus en détailLES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC
LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour le bassin Rhône Méditerranée,
Plus en détailPROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS
PROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS 1 I. OÙ TROUVER LES DONNÉES ET COMMENT LES ACQUÉRIR I. Où trouver les données et comment
Plus en détailOFFICE NATIONAL DE L'EAU POTABLE
OFFICE NATIONAL DE L'EAU POTABLE Communication sociale et Approche participative au service de la gestion durable des ressources hydriques et des projets d alimentation en eau potable Présenté par: Mr
Plus en détailL évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se
PHYTOREM S.A. L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se Le BAMBOU-ASSAINISSEMENT Le Procédé Sol EFFLUENTS EXPORTATION VERS LA TIGE Chaume ou tige Pollution organique et minérale
Plus en détailCENTRALES HYDRAULIQUES
CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des
Plus en détailLe 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie
Le 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie Les aides aux activités économiques Franck LEROY Responsable du Service Investissements Collectivités et Industrie Direction Seine Aval
Plus en détailETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 3600 Z
REGIE DES EAUX DE VENELLES ETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 3600 Z Service de l Eau Potable Année 2013 Elaboré
Plus en détailSommaire INTRODUCTION...4 L eau potable...5 UNE COMPETENCE COMMUNALE... 5 Etat du droit antérieur à la loi n 2006-1772 du 30 décembre 2006...
Les services publics d eau et d assainissement Sommaire INTRODUCTION...4 L eau potable...5 UNE COMPETENCE COMMUNALE... 5 Etat du droit antérieur à la loi n 2006-1772 du 30 décembre 2006... 5 Modifications
Plus en détailLa couverture des risques agricoles
PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture
Plus en détailRéunion d experts Financement du développement en Afrique du Nord Rabat, Maroc, 19-21 octobre 2010
CEA-AN/AH/FD/10/3 Nations Unies Commission économique pour l Afrique Bureau pour l Afrique du Nord Réunion d experts Financement du développement en Afrique du Nord Rabat, Maroc, 19-21 octobre 2010 LE
Plus en détailLES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Volet eau potable
LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Volet eau potable Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour
Plus en détailProjet Nador West Med
ROYAUME DU MAROC Projet Nador West Med NOTE DE PRESENTATION SOMMAIRE Mai 2014 Sommaire EXECUTIVE SUMMARY 3 PARTIE I - PRESENTATION GENERALE DU PROJET NWM 5 1. Positionnement stratégique du Projet 2. Composantes
Plus en détailL eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.
1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les
Plus en détailSyndicat Mixte Oise-Aronde
Syndicat Mixte Oise-Aronde Compte-rendu du Syndicat Mixte Oise-Aronde (SMOA) du 13 décembre 2012 L ordre du jour est le suivant : Approbation du compte rendu de la séance précédente 1. Modélisation de
Plus en détailLes avantages de la charte de l investissement
Les avantages de la charte de l investissement La charte de l investissement a pour objectif de fixer l action de l Etat en matière de promotion des investissements pour les dix années à venir. Elle remplace
Plus en détailLA STRATEGIE CARBONE DU GROUPE OCP Saïd Mouline Conseiller du Président CONFERENCE NATIONALE LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES AU MAROC: DEFIS ET OPPORTUNITES RABAT, 11-12 février 2009 50% des réserves du Monde
Plus en détailPRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS. Avril 2011
PRESENTATION DE L AGENCE NATIONALE DES PORTS Avril 2011 1 Mise en place d un cadre législatif et réglementaire L instauration par la Loi 15-02 de: l obligation d exercice des activités portuaires dans
Plus en détailLA FONDATION: MISSION ET VISION
Premier symposium régional sur la pêche artisanale en Méditerranée et en mer Noire Gestion durable de la pêche artisanale: Actions menées par la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l'environnement
Plus en détailL AFD ET LE SECTEUR DE L ENERGIE AU MAROC
Energie MAROC Note sectorielle L AFD ET LE SECTEUR DE L ENERGIE AU MAROC 1/ Présentation générale du secteur Le secteur de l'électricité au Maroc est caractérisé par une très forte dépendance aux énergies
Plus en détailEcoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets
Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets Présentation d Ecoval Maroc 2 Sommaire Présentation d Ecoval Maroc Perception du Marché de déchets Objectifs de la plateforme Ecoval
Plus en détailGUIDE DE L INVESTISSEUR
GUIDE DE L INVESTISSEUR - 2 - Table des matières DÉMARCHES ADMINISTRATIVES POUR S INSTALLER AU MAROC 5 Entrée et installation des étrangers 6 Recrutement de salarié étranger au Maroc 6 Acquisition de biens
Plus en détailContrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT
Contrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT CONTEXTE GÉNÉRAL L amélioration de la compétitivité logistique des flux import-export, en termes de développement
Plus en détailATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC
Ministère Chargé du Commerce Extérieur ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC Présentation du secteur agroalimentaire (IAA) Le secteur des industries agroalimentaires
Plus en détailETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z
REGIE DES EAUX DE VENELLES ETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z Service de l Eau Potable Année 2007 RAPPORT
Plus en détailDISPOSITIF DE L ANPME POUR L APPUI À LA JEUNE ET LA PETITE ENTREPRISE
DISPOSITIF DE L ANPME POUR L APPUI À LA JEUNE ET LA PETITE ENTREPRISE 2 3 f é v r i e r 2 0 1 1 B o u t a i n a I s m a i l i i d r i s s i Coordinatrice du projet soutien à l entreprise Agence Nationale
Plus en détailDISPOSITIONS FISCALES DE LA LOI DE FINANCES 2015
DISPOSITIONS FISCALES DE LA LOI DE FINANCES 2015 Abdellatif ZAGHNOUN Directeur Général des Impôts OEC, 22 janvier 2015 Contexte d élaboration de la LF 2015 Recommandations des Assises Nationales sur la
Plus en détailPrésentation de la situation actuelle et projetée au niveau législatif, économique, incitant financier et imposition technique
Présentation de la situation actuelle et projetée au niveau législatif, économique, incitant financier et imposition technique Salon Best 19 octobre 2013 Situation en Région wallonne Coût d achat du courant
Plus en détailTable des matières... i. Liste des figures...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des tableaux...fehler! Textmarke nicht definiert.
Table des matières Table des matières... i Liste des figures...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des tableaux...fehler! Textmarke nicht definiert. Liste des annexes... iv Liste des abréviations
Plus en détailLes résultats de la 2ème édition du baromètre Averty sur le E-commerce au Maroc en partenariat avec le salon E-commerce.ma. Maroc Telecommerce
Les résultats de la 2ème édition du baromètre Averty sur le E-commerce au Maroc en partenariat avec le salon E-commerce.ma Maroc Telecommerce Objectifs. Paiement de taxes & factures Fréquence Motivations
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détailAction 5.1.1 : Mettre en place des outils d accompagnement technico-économique en matière de pratiques culturales
Orientation stratégique n 5 : Innover pour amélior er la productivité des exploitations Objectif opérationnel 5.1 : acquérir des références technico-économiques sur des techniques alternatives Action 5.1.1
Plus en détailSommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...
1 Sommaire INTRODUCTION... 2 1/ Le contexte général de la commune...3 2/ L état des réseaux...3 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...3 4/ Les solutions retenues par la commune...5 CONCLUSION Carte
Plus en détailBILAN HYDRIQUE ET BESOIN D IRRIGATION DE LA CEREALICULTURE EN REGION SEMI-ARIDE.
Résumé Des travaux de recherches combinant les précipitations annuelles et les températures, classent la zone d étude dans le climat méditerranéen de l étage semi-aride (Seltzer, 1949; Emberger, 1955).
Plus en détailGuide pratique de l investisseur étranger au Maroc
Guide pratique de l investisseur étranger au Maroc A- Implantation d une société au Maroc : 1. Aspects juridiques - Implantation sous forme de société commerciale (les formes les plus courantes) : Société
Plus en détailProtection de la ressource et Métiers de l Automobile. Intervention du 12 octobre 2009
Protection de la ressource et Métiers de l Automobile Intervention du 12 octobre 2009 Intervention 1. Le CNPA et le Défi de l Environnement 2. Environnement et Métiers de l Automobile 3. Le parcours du
Plus en détailREGLEMENT DU SERVICE DE L'ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF. Obligations des propriétaires. Dispositions générales
REGLEMENT DU SERVICE DE L'ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Les cases grisées de commentaires sont à supprimer avant toute diffusion Le règlement du service, délibéré et voté par l'assemblée délibérante dans
Plus en détailOpérations collectives vers les entreprises, PME/PMI et artisans :
Opérations collectives vers les entreprises, PME/PMI et artisans : Quels intérêts? Stéphanie BOULAY Direction des Rivières Ile-de-France Service Investissements Industries Ile-de-France SIARH - 3 décembre
Plus en détailRÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE
9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,
Plus en détailEDUCATION A L ENVIRONNEMENT QUALITE DE L EAU
DOCUMENT D AIDE A LA PREPARATION DE LA CLASSE Plan de Rénovation de l Enseignement des Sciences et de la Technologie A l école au cycle 3. EDUCATION A L ENVIRONNEMENT QUALITE DE L EAU Groupe sciences Isère
Plus en détailENTRETIEN AVEC ULRICH SCHRÖDER, PRESIDENT DE DIRECTOIRE DE LA KFW : LES PME,PMI.EN PREMIERE LIGNE PAR FARIDA MOHA
ENTRETIEN AVEC ULRICH SCHRÖDER, PRESIDENT DE DIRECTOIRE DE LA KFW : LES PME,PMI.EN PREMIERE LIGNE PAR FARIDA MOHA Ce sont les PME, PMI, TPE qui sont le moteur du développement, de la création d emplois,..l
Plus en détailBÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL
BÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL A. PRÉSENTATION : BEST ENTREPRISE SARL est une société de droit sénégalais qui intervient dans les Bâtiments/Travaux Publics, le
Plus en détailJournée Environnement Industrie
Journée Environnement Industrie Plan de l intervention Partie 1 : Bilan à mars 2011 des aides pour la «surveillance initiale» Partie 2 : Les aides post «surveillance initiale» 1 Bilan mars 2011 des aides
Plus en détailElaboration participative des programmes communaux
Séminaire Elaboration participative des programmes communaux 29-29 Mars 2014 à Ain Draham Hôtel «Nour El Ain» Première journée : Vendredi 28 Mars Ain Draham Contexte général et objectifs : L Association
Plus en détailLe contexte global. La ressource. I.1 Particularités de la ressource en eau. Superficie : 41 526Km 2
Le contexte global Superficie : 41 526Km 2 Population: 16,34M.(89,6% urbaine: / 10,4% rurale:) 2006 PIB/hab 2007: 35 576 USD Divisions administratives: 12 provinces et 467 communes en nombre variable Régime:
Plus en détailde la valeur 1. CRÉER DE LA VALEUR
#1 Créer de la valeur Riche de plus de 90 ans d expérience et disposant de réserves de phosphate parmi les plus importantes au monde, OCP poursuit un double objectif de génération de valeur et d engagement
Plus en détailSchéma général d assainissement du Grand Lyon
Schéma général d assainissement du Grand Lyon 2015-2027 ORIENTATIONS ET ENJEUX Introduction générale Le Code général des collectivités territoriales oblige les collectivités de plus de 2 000 habitants
Plus en détailLa gestion déléguée. l expérience de la LYDEC
NOT AN OFFICIAL UNCTAD RECORD Partenariat Public-Privé Privé pour le développement du secteur énergétique en Afrique Vendredi 30 avril 2004 - Marrakech La gestion déléguée de la distribution de l'électricité
Plus en détailAssainissement des campings. - 11 janvier 2011
Assainissement des campings - 11 janvier 2011 Etat des lieux de l assainissement non collectif (ANC) en Finistère Caractéristiques des eaux usées des campings Contexte et cadre réglementaire Les chiffres
Plus en détailMOT DU directeur général
MOT DU directeur général Building Logistics services est la concrétisation d une vision, celle d une société proposant une logistique de qualité, intelligente et abordable. Destinée aux opérateurs privés
Plus en détailVAlorisation et Stockage du CO 2. Un projet global de management du dioxyde de carbone sur la zone de Fos Berre Gardanne - Beaucaire
VAlorisation et Stockage du CO 2 Un projet global de management du dioxyde de carbone sur la zone de Fos Berre Gardanne - Beaucaire Gilles Munier Directeur Général gmu@geogreen.fr Projet cofinancé par:
Plus en détailEROSION ET ENVASEMENT DES BARRAGES-RESERVOIRS
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DES RESSOURCES EN EAU AGENCE NATIONALE DES BARRAGES ET TRANSFERTS EROSION ET ENVASEMENT DES BARRAGES-RESERVOIRS Exposé établi par Mr MANSER Amor
Plus en détailREGLEMENT SANITAIRE DEPARTEMENTAL DE MAINE ET LOIRE TITRE VIII PRESCRIPTIONS APPLICABLES AUX ACTIVITES D'ELEVAGE ET AUTRES ACTIVITES AGRICOLES
REGLEMENT SANITAIRE DEPARTEMENTAL DE MAINE ET LOIRE TITRE VIII PRESCRIPTIONS APPLICABLES AUX ACTIVITES D'ELEVAGE ET AUTRES ACTIVITES AGRICOLES Arrêté préfectoral du 20 novembre 1985 153.1. Champ d application
Plus en détail22/06/2015 IMP50PO5-2
22/06/2015 REGLEMENT DU SERVICE PUBLIC D ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF (SPANC-SATESE 37) SATESE 37 Z.A du Papillon 3 Rue de l Aviation 37210 PARÇAY-MESLAY Tél : 02 47 29 47 37 / Fax : 02 47 29 47 38 Internet
Plus en détailSession d accompagnement de la rénovation du BTSA GEMEAU Bordeaux, mai 2011. Atelier n 4. Formation en milieu professionnel EPREUVE E7- SPV/SPS
Session d accompagnement de la rénovation du BTSA GEMEAU Bordeaux, mai 2011 Atelier n 4 Formation en milieu professionnel EPREUVE E7- SPV/SPS L épreuve 7 permet d évaluer la capacité intégrative 10 du
Plus en détailstratégie nationale de développement de la compétitivité logistique
ROYAUME DU MAROC MINISTERE DE L EQUIPEMENT ET DES TRANSPORTS polariser les flux logistiques......pérenniser le développement. stratégie nationale de développement de la compétitivité logistique Synthèse
Plus en détailLes prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards
Plus en détail«L initiative 1000 MW» un projet qui vise la réalisation de 14 sites de production de l électricité à partir des énergies éoliennes.
Totalement propre et indéfiniment renouvelable, l'énergie éolienne constitue aujourd hui une importante source de production d'électricité permettant de concilier croissance économique et respect de l
Plus en détailLa technologie écologique rend la vie plus harmonieuse
La technologie écologique rend la vie plus harmonieuse SAS RECYCL EAU au capital de 30 294,88 contact@recycleau.fr 150 avenue des Ferrailles N SIRET : 515 330 009 00017 www.recycleau.fr 84800 Isle sur
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailPrésentation du Programme
Ministère de l Hydraulique et de l Assainissement République du Sénégal ATELIER DE LANCEMENT SECTORIEL EAU-ASSAINISSEMENT Jeudi 25 septembre 2014, King Fahd Palace Hôtel - Dakar Présentation du Programme
Plus en détailZones franches et places financières offshore au Maroc
Zones franches et places financières offshore au Maroc Actualisation au 1 mai 2002 MINEFI DREE/TRÉSOR Soucieux de consolider sa politique d ouverture commerciale, d améliorer ses capacités d exportation
Plus en détailFICHE RESUME DE L ETUDE DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE
FICHE RESUME DE L ETUDE DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE 2 2011 Beatriz Cerezo Monje Rosalva Espino Ramírez Cristina Silvera Roig 1. INTRODUCTION Le Maroc est un pays de tradition agricole et rurale, et dispose
Plus en détailEXEMPLES D'ACTIONS EN MATIÈRE DE GESTION DE L'EAU EN ENTREPRISE
EXEMPLES D'ACTIONS EN MATIÈRE DE GESTION DE L'EAU EN ENTREPRISE Dernière révision du document : août 2013 INTRODUCTION L'étape préalable nécessaire à la mise en place d'actions d'économies d'eau en entreprise
Plus en détailLes techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel
Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise
Plus en détail