DIUFRAL 2014 Contrôle des connaissances Modules 2 et 3 juin 2014

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1 QCM DIUFRAL 2014 Module 2 : Allergologie Générale Module 3 : Dermatologie 1. Epidémiologie (population mondiale = 6 milliards d individus) a. le nombre d asthmatiques dans le monde est de 300 millions (environ 5%) b. la rhinite allergique touche 500 millions de personnes dans le monde (environ 8%) c. les études la dermatite atopique par examen médical retrouvent une fréquence de 6 à 16% Réponses : a, b, c 2. Calendrier pollinique a. Seuls les pollens entomophiles sont recueillis sur les capteurs b. Une année de recueil de pollens suffit pour établir un calendrier pollinique c. La quantité de pollens est influencée par les facteurs climatiques (températures, ensoleillement, précipitations) Réponses : c 3. Eviction des aéroallergènes a. L éviction des acariens de la chambre améliore significativement l asthme b. Une hygrométrie < 56% et une température < 19% limitent la multiplication des acariens c. Au dessus de 1500m, l air est trop sec pour les acariens d. En cas d allergie aux pollens éviter de sécher le linge dehors et se laver les cheveux le soir Réponses : b, c, d 4. Eviction des trophallergènes a. L éviction stricte et prolongée de l aliment en cause est le traitement recommandé b. L éviction est toujours définitive c. Pour un même aliment, l éviction sera différente selon le profil allergénique du patient d. La diminution du taux des IgE spécifiques de l aliment causal est un indicateur de possible guérison Réponses : c, d 5. Extraits allergéniques, standardisation a. les extraits commerciaux des différents fabricants (Stallergènes, ALK) contiennent les mêmes allergènes b. Les extraits allergéniques standardisés sont plus spécifiques c. La spécificité des prick-tests est améliorée par les recombinants d. On peut tester les aliments apportés par les patients sans problème e. La réalisation des prick-tests n est pas standardisée Réponses : b, d, e 6. La consultation allergologique en pratique a. Prévoir 20mn pour une première consultation en travaillant seul b. Le patient doit repartir avec un compte rendu écrit de son bilan allergologique c. Tout traitement doit être expliqué d. Le diagnostic doit être accompagné de la notion de gravité e. Le suivi d un asthme sévère se fait 1 fois par an Réponses : b, c, d

2 7. Conduite diagnostique a. La recherche des antécédents, des circonstances de survenue et des facteurs favorisants sont les temps essentiels de l interrogatoire b. Une rhinite avec prurit nasal, éternuements et perte de l odorat est le plus souvent allergique c. Dans le cadre d une conjonctivite chronique, les TC + sont un critère de certitude du diagnostic étiologique d. Un asthme intermittent qui survient uniquement en présence d un chat est un asthme allergique au chat Réponses : a, d 8. Choisir une batterie de pricks aux pneumallergènes a. Il est recommandé de tester avec les extraits allergéniques standardisés b. En France, 9 allergènes testés systématiquement permettent de diagnostiquer près de 95 % des allergies : Dermatophagoïdes ptéronyssinus, Dermatophagoïdes farinae, blatte, chat, Alternaria, pollens de graminées, d olivier, de bouleau et d armoise c. Tenir compte de l environnement familial et professionnel est indispensable pour compléter la batterie de base. Réponses : a, b, c 9. Choisir une batterie de prick aux aliments a. Le choix des aliments est guidé par la clinique b. Il y a peu d extraits allergéniques commerciaux mais il faut commencer par ceux-là avant d utiliser les aliments natifs c. L utilisation des fruits récemment congelés est une méthode moins performante que l utilisation des fruits frais pour le diagnostic d. Les aliments doivent être testés crus et cuits Réponses : a, b, d 10. De la bonne pratique du prick-test a. Quelque soit le dispositif utilisé (aiguille hypodermique, Sallerpoint, ALK Lancet ), le fait d essuyer ce dispositif pour pratiquer plusieurs tests provoque un nombre important de faux positifs b. Les prick-tests avant l âge de 4 ans sont ininterprétables car la peau n est pas mature c. Il est nécessaire de faire un témoin négatif (diluant des allergènes) et un témoin positif (histamine) lors de tout bilan allergologique d. La valeur prédictive négative des prick-tests est de 97% pour les allergies alimentaires e. Un prick-test est positif si le diamètre de la papule est > aux 2/3 de celle du témoin positif, d, e 11. De la bonne pratique des patch-tests a. Les patch-tests explorent les hypersensibilités retardées b. La lecture des patch-tests se fait à 48 et 72h c. Les patch-tests sont indiqués dans toute dermatite atopique d. La batterie standard européenne est indispensable dans l exploration de toute dermatite de contact où un facteur allergique est suspecté e. Les atopy patch tests ont une bonne valeur prédictive positive Réponses : a, b, d

3 12. Contribution de la biologie dans l aide au diagnostic en allergologie a. Une augmentation des IgE totales est un bon indicateur de terrain atopique b. Les multitests ne doivent pas être un outil diagnostic pour l allergologue c. En allergie alimentaire, les IgE spécifiques contribuent au diagnostic et aident à suivre l évolution d. Le dosage des IgE totales est recommandé dans l urticaire chronique Réponses : b, c 13. Allergènes moléculaires Classer par ordre croissant de risque de manifestations cliniques graves les panallergènes végétaux suivants : a. Protéines de stockage b. Crossreactive Carbohydrates Determinant (CCD) c. La protéine végétale de défense (PR-10) d. Profilines e. Lipid Transfer Protein (LTP) Réponses : CCD < Profilines < PR 10 <LTP < Protéines de stockage 14. Allergie au latex a. Les prick-tests sont systématiques en pré-opératoire b. Il s agit d une hypersensibilisation retardée c. Elle s accompagne systématiquement d allergies alimentaires croisées d. On peut être sensibilisé sans avoir d allergie Réponses : d 15. Immunothérapie allergénique (ITA) a. L asthme persistant sévère ou instable est une contre-indication b. La survenue d une grossesse durant une ITA est une contre indication à sa poursuite c. La prise d ITA sublinguale doit être interrompue provisoirement en cas de plaie buccale d. L ITA en comprimés existe pour les acariens, les pollens de graminées et d ambroisie 16. ITA spécifique des venins d hyménoptères a. L ITA est efficace dans 95 % pour la guêpe, et 80% pour l abeille b. L ITA est indiquée en cas de réaction allergique avec manifestation cardio-respiratoire même si le bilan immunologique (tests et/ou IgEs) est négatif c. La durée habituelle est de 5ans 17. La trousse d urgence en allergologie a. Les 3 réactions allergiques sévères sont l œdème laryngé, le bronchospasme sévère et le choc anaphylactique b. L adrénaline est le seul médicament du choc anaphylactique qui est une urgence vitale c. La voie d injection recommandée pour l adrénaline est la voie sous cutanée d. Les quatre médicaments contenus systématiquement dans la trousse d urgence sont : les antihistaminiques, les corticoïdes per os, les beta 2 mimétiques et l adrénaline Réponses : a, b

4 18. La dermatite atopique : a. Est une maladie inflammatoire chronique évoluant sur un terrain atopique ou autoimmun b. Est une allergie alimentaire c. Son diagnostic est clinique d. Guérit toujours après 18 ans e. Est rarement prurigineuse 19. L inflammation cutanée de la dermatite atopique est due à : a.une altération de la barrière cutanée qui laisse pénétrer les molécules en contact avec la peau b.une allergie alimentaire c.une surinfection herpès d.un stress psychologique Réponses : a 20. Traitement de la dermatite atopique a. Les émollients sont le traitement le plus important car ils restaurent la barrière cutanée altérée b. Les dermocorticoïdes et les immunomodulateurs sont dangereux et ne doivent pas être utilisés c. On utilise souvent les corticoïdes per os pour traiter les poussées d. Il n existe pas de traitement systémique de la DA Réponses : a 21. Bilan de la dermatite atopique a. Le bilan allergologique doit être fait avant la mise en route du traitement local b. Les prick tests aux pneumallergènes et aux aliments sont les examens de référence pour définir les allergènes responsables des lésions d eczéma c. Les patch tests aux allergènes de contact (Batterie européenne standard-bes) sont souvent pratiqués d. Les «atopy» patch tests doivent être réalisés systématiquement Réponses : c 22. Eczéma de contact a. Tout eczéma de contact est allergique b. L eczéma de contact est, dans la majorité des cas, induit par le contact de la peau avec des produits chimiques non protéiques c. L eczéma allergique de contact est une hypersensibilité retardée due à des lymphocytes T spécifiques d allergènes d. Le diagnostic d eczéma allergique de contact repose sur les patch-tests et en particulier ceux de la Batterie européenne standard (BES) e. L éviction et le traitement dermocorticoïde sont les 2 moyens de traiter l eczéma de contact Réponses : b,c,d,e

5 23. Urticaire a. Les lésions sont prurigineuses et érythémato-oedémateuses ; elles ressemblent à des piqures d ortie b. Les lésions sont fugaces et durent, en général, moins de 24h c. Les cellules responsables de l urticaire sont les polynucléaires d. Le traitement repose sur l adrénaline Réponses : a,b 24. Urticaire chronique a. Est une maladie allergique b. Est due à l activation des mastocytes c. Les leucotriènes sont le médiateur principal d. Le traitement consiste en la prise quotidienne d anti-histaminique H1 e. Cette maladie peut durer des années Réponses : b,d,e 25. Angioedèmes (AO) du visage a. Sont en majorité histaminique et correspondent à une urticaire b. Les AO histaminiques sont en majorité sans gravité c. Tous ces mots sont synonymes : AO, Oedème de Quincke, œdème segmentaire du visage d. Un angioedème isolé (grade I de Ring et Messner) est exceptionnellement allergique Réponses : a,b,c,d

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