SOMMAIRE 1 LA CONSOMMATION... 5 1.1 L EVOLUTION DE LA CONSOMMATION... 5 1.2 LES TENDANCES DE CONSOMMATION... 8 2 LA PRODUCTION...



Documents pareils
Enquête industrie Agroalimentaire

L AGROALIMENTAIRE DANS BROME-MISSISQUOI C EST: 124 ENTREPRISES PLUS DE 1000 EMPLOIS

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE

Les stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio BIOCONSEIL

Bio Suisse cherche le Magasin Bio de l année 2008 Participez! Nous nous réjouissons de votre candidature!

Indice de Confiance agricole Crelan 2015

Produits laitiers de ferme

ANCRÉ PAR NOS RESSOURCES

Deuxième production mondiale derrière le pétrole, le café est un produit de consommation

Dossier d information

Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur

B.T.S. N.R.C. SESSION 2006 Management et gestion d'activités commerciales. Proposition de Corrigé "JAMPI" Dossier 1 L entreprise et son marché

Etude-action pour le développement des circuits courts en pays Haut-Languedoc et Vignobles

APPEL À MANIFESTATION D INTÉRÊT

Les Points de vente collectifs de PACA Etat des lieux et dynamiques

Dossier de presse. SIAL 2010 : Groupama Assurance-Crédit présente la nouvelle plaquette Défaillances d entreprises

JLB DÉVELOPPEMENT : CONCEPTEUR ET FABRICANT D INNOVATIONS

Fiche descriptive d activités

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis

réglementation bio Partie générale bio, reconnaissable et contrôlé

L information nutritionnelle sur les étiquettes des aliments

Geoffroy Ménard, agr.

Principaux partenaires commerciaux de l UE, (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)

Le développement de la franchise dans le Groupe Casino

«Les Potagers de Marcoussis»

ATELIER 3 Les nouvelles formes de consommation et de pratiques d achats et leur impact sur l aménagement du territoire 22 MAI 2012

Développement d une application pilote

Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts

PROTECTION DE PRODUITS EN IG

COMMERCE ÉQUITABLE ET POLITIQUES D ACHAT DES ENTREPRISES. Quels leviers pour l intégration du commerce équitable dans les achats des entreprises?

GRENADE / GARONNE 30 janvier Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne

Sécuritaire Fiable Sans gluten Programme de certification sans gluten

Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays

D O S S I E R D E P R E S S E 1 2 J U I N

Enquête publique sur les changements climatiques Compléments aux graphiques

Nos savoir-faire & solutions business

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY

Les Rencontres de la Boulangerie

60 produits solidaires pour les familles

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation

«Cette femme réduit le grain en farine grâce à une pierre à moudre (metate) et un broyeur cylindrique (mano)». 1 LA PROBLEMATIQUE

Les formations agroalimentaires dans la Loire

Agence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire

Région Haute-Normandie. Plan régional pour l internationalisation des entreprises en Haute-Normandie

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO

Votre implantation à l étranger

CHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ

Étude sur la caractérisation des marchés publics du Québec. Sommaire exécutif

Food Safety System Certification fssc 22000

Etude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise

Consultation publique

Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude

Enquête internationale 2013 sur le Travail Flexible

Best of des STAGES (depuis ) Master 2 Professionnel Commerce International Equitable et Développement

Compte rendu de la réunion du 13 novembre 2014 Restauration scolaire et hygiène buccodentaire.

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER

Quel est le temps de travail des enseignants?

Travailler ensemble pour une meilleure alimentation, éthique et plus respectueuse des animaux d élevage. CIWF Agroalimentaire

choucroute Dossier de presse d lsace La Choucroute d Alsace comme vous ne l avez jamais goûtée DU 17 AU 25 janvier 2015

Les produits solidaires, 100 jours pour convaincre!

industrie agroalimentaire

LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE

Perceptions et préférences des consommateurs pour les fromages d alpage

UN CONCEPT UN FACTEUR DE SUCCÈS. Décoration et cadeaux pour la maison et le jardin.

ICC septembre 2012 Original : anglais. tendances de la consommation du café dans certains pays importateurs.

Auriol : le service public de la Restauration scolaire

La diversification agricole en Camargue

Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28

Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC)

Projet Fish & Catering Sector (Mise à jour du 13/10/08)

Demande de Soumission - Transformateur

Europimmo LFP. SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT

Compétitivité internationale des industries françaises des filières animales

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.

Information destinée aux patients et aux proches. Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile

Le BTS Sciences et Technologies des Aliments (STA)

Modifications apportées au cahier des charges «VBF»

Programme de certification sans gluten

Big Bang Céréales. Compétition d agence

Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49

Uniterres. Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux

Circulaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives

JUIN 2012 DÉCEMBRE L étiquetage des denrées alimentaires. L information des consommateurs,

Factsheet Qu est-ce que le yogourt?

IMPORT - EXPORT. Concilier l art culinaire et la santé

AMAZON FRESH AUX ETATS-UNIS

Madame Michu en 2013, sa consommation PGC & media. Laurent Zeller Président Directeur Général, Nielsen France

Créer une AMAP. Les autres "paniers" S informer et agir! Qu'est-ce que c'est? Le principe est simple :

Teneur en glucides des produits de la Réunion. 15 décembre 2011

e-commerce+ e-commerce+ LE CHOIX DU MULTICANAL Hydraligne, le succès pour ce spécialiste de la parapharmacie en ligne!

Votre revendeur de confiance Mercaway Time for shopping..com

NOTE D INFORMATION : PERIMETRE DECLARATIF ECO-EMBALLAGES

Dynamiques des entreprises agroalimentaires (EAA) du Languedoc-Roussillon : Evolutions

La création d entreprise en milieu rural

Que manger le jour de la compétition (Athlétisme - concours)?

Panorama de la grande distribution alimentaire en France

Des solutions adaptées à vos besoins. l agroalimentaire

Transcription:

SOMMAIRE 1 LA CONSOMMATION... 5 1.1 L EVOLUTION DE LA CONSOMMATION... 5 1.2 LES TENDANCES DE CONSOMMATION... 8 2 LA PRODUCTION... 13 2.1 L EVOLUTION DE LA PRODUCTION... 13 2.2 LES PRODUCTEURS BIOLOGIQUES... 14 2.3 LES MENACES POUR LE MARCHE BIOLOGIQUE... 16 3 LA DISTRIBUTION... 17 3.1 L EVOLUTION DE LA DISTRIBUTION... 17 3.2 LES DIFFERENTS CANAUX DE DISTRIBUTION... 18 4 LA REGLEMENTATION... 21 4.1 LES PRODUITS AGROALIMENTAIRES... 21 4.2 LES PRODUITS COSMETIQUES... 24 4.3 LES PRODUITS D ENTRETIEN... 25 5 LE MARCHE LUXEMBOURGEOIS... 27 5.1 LA CONSOMMATION... 27 5.2 LA PRODUCTION... 27 5.3 LA DISTRIBUTION... 28 5.4 LA REGLEMENTATION... 28 6 LES OPPORTUNITES POUR LA FRANCE... 29 6.1 L IMPORTATION EN BELGIQUE... 29 6.2 L IMPORTATION AU LUXEMBOURG... 29 7 LES CATEGORIES DE PRODUITS... 31 7.1 LES PRODUITS AGROALIMENTAIRES... 31 7.2 LES PRODUITS COSMETIQUES... 34 7.3 LES PRODUITS D ENTRETIEN... 35 8 LES ADRESSES UTILES... 37 9 LES SALONS... 39 10 LES FICHES OPERATEURS... 41 10.1 LES OPERATEURS BELGES... 43 10.2 LES OPERATEURS LUXEMBOURGEOIS... 115 Sur les 66 fiches présentes dans ce guide-répertoire, on répertorié : - 36 entreprises intéressées par des produits alimentaires biologiques ; - 25 entreprises intéressées par des produits cosmétiques naturels et «biologiques» ; - 19 entreprises intéressées par des compléments alimentaires naturels ; - 17 entreprises intéressées par des produits d entretien écologiques ; - 9 entreprises intéressées par divers accessoires de nature écologique.

8 1.2 LES TENDANCES DE CONSOMMATION La part de produits biologiques dans l'alimentation en 2008 7% 2% Alimentation composée exclusivement de produits non bio 22% Alimentation composée pour une faible part de produits bio 69% Alimentation composée pour moitié de produits bio Alimentation composée pour l'essentiel de produits bio Source : CRIOC Les différents profils des consommateurs Il existe quatre profils types de consommateurs bio : Le consommateur-militant : il consomme bio depuis que le bio existe. Pour lui, c est une consommation réfléchie et responsable qui se fonde sur des valeurs (respect de l environnement, alimentation saine, etc.). La quasi-totalité de ses achats alimentaires est certifiée bio. Le consommateur-diététique : relativement âgé, il consomme bio pour des raisons de santé. Selon lui, la qualité nutritionnelle des aliments bio doit prévenir les maladies. Le consommateur-paysan : il consomme bio par souci d authenticité. Il recherche des produits du terroir fabriqués de façon artisanale. Le consommateur-moderne : plutôt jeune et aisé, il consomme bio pour des préoccupations de bien-être et de santé. Mais, contrairement au consommateurmilitant, la démarche est moins extrême. Le consommateur-moderne a une alimentation mixte faite de produits biologiques mais également de produits conventionnels. Cette catégorie de consommateurs est encline à se développer davantage. Au-delà des ces profils types, on distingue deux logiques de consommation selon l origine du consommateur. Le consommateur flamand, de type nordique, achète des produits biologiques pour l aspect santé ainsi que pour des préoccupations environnementales, tandis que le consommateur wallon, de type latin, choisit la gamme biologique pour la qualité et l authenticité des produits.

19 Dans les deux cas, les GMS, en proposant des produits MDD certifiés bio, ont permis de démocratiser un segment jusqu alors réservé à une clientèle avertie et plutôt aisée. Avec comme enjeu la baisse des prix de la gamme biologique, cette domination des grandes enseignes ne tend pas à faiblir ces prochaines années. Le prix élevé des références biologiques est inhérent aux produits et à cela s ajoutent des frais de transport et de distribution conséquents. Or, le prix, encore un tiers plus élevé, est le principal frein au développement de la filière. Pour résoudre ce problème, les GMS ont désormais tendance à passer des contrats directement avec les producteurs. En réduisant cet écart de prix entre produits biologiques et conventionnels, les enseignes espèrent toucher les plus récalcitrants envers le bio. Les magasins spécialisés Pendant près de quinze ans, les magasins spécialisés détenaient le monopole de la distribution des produits biologiques. Ce marché était confidentiel, mais grâce à la fidélité des consommateurs au profil militant, les indépendants profitaient alors d une relative pérennité. Mais, avec l arrivée des enseignes de grande distribution et la commercialisation des produits MDD, les magasins spécialisés ont perdu une partie de leur attractivité. En effet, grâce à des volumes importants, les GMS arrivent à réduire le différentiel de prix entre produits biologiques et produits conventionnels. Par ailleurs, l assortiment biologique et naturel ne cesse de se développer dans la grande distribution : fruits & légumes, viande, œufs, produits laitiers, produits sucrés, pains & pâtisseries, plats préparés, boissons, cosmétiques, produits ménagers, etc. Néanmoins, les magasins indépendants, pionniers de la filière, conservent un avantage déterminant : le savoir-faire et le conseil. Les vendeurs étant spécialisés en produits biologiques, ils maîtrisent parfaitement leur gamme et offrent ainsi aux consommateurs une plus-value non négligeable, particulièrement appréciée par les consommateurs militants. Enfin, pour certains produits atypiques, les magasins spécialisés sont la seule alternative. Par conséquent, et malgré une concurrence accrue, le canal de la distribution indépendante semble avoir les armes nécessaires pour résister à la grande distribution et conserver un quart des ventes biologiques. La vente directe aux consommateurs Historiquement, la filière biologique s est développée autour de la vente directe aux consommateurs. A la fin des années 1980, quand les premiers producteurs se sont lancés dans une production alternative, leurs produits, alors limités aux produits de la ferme, étaient commercialisés sur place à un cercle d initiés. Avec l ampleur du phénomène biologique, la filière s est peu à peu organisée et a investi les canaux de distribution classiques. Néanmoins, cette pratique de vente à la ferme reste courante et conserve 5 % de parts de marché. Parallèlement, on assiste aujourd hui au développement des livraisons à domicile, notamment grâce au système de paniers de fruits & légumes frais, concept très plébiscité dans le secteur. Enfin, la vente directe passe aussi par la vente à distance, notamment sur Internet.

29 6 LES OPPORTUNITES POUR LA FRANCE 6.1 L IMPORTATION EN BELGIQUE La demande est actuellement supérieure à l offre ce qui laisse place à l importation de produits biologiques. En outre, il existe un fort courant d exportations et de réexportations qui stimule les importations. Malgré l étroitesse du marché belge, il existe un certain nombre d importateurs, qui, la plupart du temps, transforment les matières premières ou les produits finis sous MDD. A noter que les importateurs de produits biologiques sont de plus en plus concentrés et spécialisés. Les principaux acteurs de l importation sont les producteurs-transformateurs (spécialisés ou mixtes), qui représentent un tiers des importations, et les grossistes spécialisés en bio, qui représentent plus de la moitié des importations. Les grossistes non spécialisés en bio ont quant à eux un rôle négligeable dans l importation de produits biologiques. Au niveau du type d importations, les principaux produits importés sont les produits bruts tels que les céréales, les graines, les fruits secs, le café, le thé, les épices, les fruits & légumes frais ou encore les carcasses de viande. Pour les produits déjà transformés, les opportunités dépendent de chaque catégorie. Les produits recherchés sont majoritairement les produits laitiers, notamment les produits infantiles, les céréales pour petit-déjeuner, les confitures, les plats préparés, les boissons non alcoolisées et les cosmétiques. En revanche, les produits bovins, les détergents et les compléments alimentaires sont faiblement importés en raison d une forte concurrence sur le plan national. Les produits français sont jugés comme étant de qualité mais avec des niveaux de prix élevés pour le marché belge. Néanmoins, la France reste l un des partenaires commerciaux privilégiés de la Belgique. Les deux pays étant membres de l Union Européenne, il n y a aucune difficulté au niveau règlementaire. 6.2 L IMPORTATION AU LUXEMBOURG Au Grand-duché de Luxembourg, près de 90 % des produits biologiques consommés sont importés. Le marché étant trop restreint pour développer une véritable filière biologique, les opérateurs bio importent les produits, notamment les produits finis, depuis l Allemagne, les Pays-Bas et la France. Le niveau d importations est tel que toutes les catégories de produits sont recherchées : produits agroalimentaires, cosmétiques, compléments alimentaires et détergents. Ainsi, les exportateurs français peuvent facilement pénétrer ce marché favorable au développement de la tendance biologique, naturelle et écologique. Tout comme les échanges avec la Belgique, les exportations vers le Luxembourg sont facilitées par l appartenance des deux états à l Union Européenne.

69 NXXXX SXXX Identification Dénomination sociale : NXXX Forme juridique : SPRL Date de création : 2003 Adresse : Pxx Cxx, 3 - xxxx 0 Jaxxxx Téléphone : 32 xxxx Fax : 32 xxxx E-mail : ixxx@nxxx.com Site web : www.nxxx.com Contacts Mr. Dxxx Dominique (Directeur général et responsable achats) Téléphone : 32 xxxx Fax : 32 xxxx E-mail : doxxx@naxxx.com Informations La société Nxxx, qui compte actuellement 10 employés dans son effectif, a réalisé un chiffre d affaires de 2 millions d euros en 2008. Cet importateur-grossiste, qui dispose de 2 entrepôts, est spécialisé dans la distribution de produits agroalimentaires biologiques, de cosmétiques naturels et de détergents écologiques : Produits agroalimentaires : 45 % du CA (aliments secs, produits sucrés, pains & pâtisseries, plats préparés, boissons) ; Cosmétiques : 50 % du CA (cosmétiques biologiques, compléments alimentaires) ; Détergents : 5 % du CA (détergents écologiques). Les clients de Nxxxx sont les transformateurs (10 %), les grossistes (20 %) et les revendeurs détaillants (70 %). Les produits Nxxx sont distribués en Belgique, au Luxembourg et aux Pays-Bas. Pour son approvisionnement, Nxxxfait appel à des : Fournisseurs locaux, Fournisseurs étrangers : France, Allemagne, Pays-Bas, Italie et Espagne. Le choix d un nouveau partenaire se fait en fonction de la certification des produits. Actuellement, l entreprise est intéressée par l offre biologique, naturelle ou écologique concernant les produits suivants : Aliments secs (dont céréales), Produits sucrés, Plats préparés, Boissons, Cosmétiques biologiques, Détergents écologiques.