MALI Etude des cas Gestion Améliorée de l Environnement : Femmes et les Energies Nouvelles et Renouvelables (FENR)



Documents pareils
Bilan des Emissions de Gaz à Effet de Serre 2011

«ÉCO-SOLIDAIRE» LE DISPOSITIF LA RÉUNION, ILE SOLAIRE ET TERRE D INNOVATION PLUS D UN MILLIER DE FOYERS RÉUNIONNAIS BÉNÉFICIAIRES

Office National des Produits Pétroliers ******** NOT AN OFFICIAL UNCTAD RECORD APPROVISIONNEMENT ET DISTRIBUTION DES PRODUITS PETROLIERS AU MALI

Transition énergétique Les enjeux pour les entreprises

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»

Supporting deployment of low-carbon technologies in the ETC and SEMED regions

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons

L ENERGIE CORRECTION

Appel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste

Jean-Yves RICHARD ADEME

Énergies renouvelables efficaces économiques durables

Économisons l énergie! 11

CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE. Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières

Electrification Rurale au Mali. Technologies et financement


Ministère des Mines, de l Industrie et des PME PROGRAMME NATIONAL «PLATE-FORME MULTIFONCTIONNELLE POUR LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETE (PN-PTFM)

Le bois, la première des énergies renouvelables

Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d

Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière

Conseil Interrégional des Chambres des Métiers de la GR 2

Présentation du projet

UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT

CATALOGUE DE FORMATION 2015 CEF INTERNATIONAL

Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement

Position du secteur électrique français

Maison Modèle BIG BOX Altersmith

Plate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière

Qu est-ce que la Plate-forme?

agissez, un Clima cteur engagé! devenez vous aussi Vous souhaitez contribuer à la réduction des émissions de gaz à effet de serre?

L énergie dans notre quotidien

Plan d actions Bilan Carbone. Périmètres d étude Sources d émissions Nbre d actions

LE CARNET DE L ELEVE. La Maison du Développement Durable présente

NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES

Synthèse du bilan carbone

R y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009

GUIDE de L ÉCO CITOYEN. au BUREAU

EVALUATION FINALE MLI/016. Programme d Appui à la Santé de Base

Audits énergétiques. L efficacité énergétique dans l industrie

Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles

La demande d énergie dans la transition énergétique : technologies et modes de vie dans les visions de l ADEME

vous souhaitez identifier les actions à mettre en œuvre pour promouvoir les ÉNERGIES RENOUVELABLES

PROJET CANTINE ET PROMOTION DE L HYGIENE EN MILIEU SCOLAIRE A TANGASSOGO ET GAH RAPPORT DE MISE EN OEUVRE

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC

GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE

AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre?

L énergie sous toutes ses formes : définitions

Pompes à eau potable solaires pour les communautés

L Assurance agricole au Sénégal

pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux

Bilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA

Titre du projet : Contribution à la réhabilitation et à la sauvegarde de

Le SIEL, des compétences au service des consommateurs d énergies de la Loire

ÉNERGIE : DÉFINITIONS ET PRINCIPES

Résumé et comparaison des coûts

Renouvelable et URE dans la transition énergétique

Energie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème /2015

Catalogue de répartition frais entretien - investissements (Etat au )

ENJEUX ENERGETIQUES. Le Monde et la France. L énergie dans les territoires

Réussir son installation domotique et multimédia

ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.

Accès aux services de l électricité. Énergies locales & développement rural

Réalisation d une adduction d eau potable à pompage solaire

RAPPORT DE L ÉTUDE DE MARCHÉ

«La sécurité d investissement comme préalable à un approvisionnement fiable» Le 5 octobre 2011 Foire du Valais, Journée de l énergie

Que sont les sources d énergie renouvelable?

Un autre débat que celui sur les renouvelables. énergie et lutte contre la pauvreté

Colruyt fonctionne à l électricité verte

RESUME SYNTHETIQUE DE L IMPACT DES DELESTAGES SUR L ACTIVITE ECONOMIQUE ET LE BIEN ETRE DES POPULATIONS

Qu est-ce que l efficacité énergétique?

Investissement participatif

Présentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013

Défis du secteur de l énergie électrique face aux besoins de développement du pays

Épreuve collaborative

L ÉNERGIE EN MAYENNE. Citoyens Responsables associatifs Élus locaux Usagers. Acteurs. de la transition énergétique. en Mayenne

Argumentaires Contre

Les projets VALOREM pour proposer l investissement participatif dans les EnR:

Du standard au sur-mesure

Evolution du mix électrique en France - Qui paiera?

Un projet Bois Energie Citoyen?

L investissement participatif dans les EnR en France : état des lieux les projets VALOREM

Économiser l Électricité

Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude

Que suis-je? Plus de 50% des GES sont sous mon contrôle et donc ma responsabilité

Infos pratiques. Choisir sa solution de production d eau chaude sanitaire (ECS) Solution économique. Solution confort. Les chauffe-eau solaires

Ingénieur en prévention des risques

J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E

Bilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France. Olivier Laguitton

La gestion de l énergie

EVALUATION FINALE BKF/012

«Résoudre les problèmes de l'énergie, une clé pour la survie de l'humanité»

Audits énergétiques. L efficacité énergétique dans les bâtiments

RÉDUISEZ VOTRE ISF FAITES UN DON À LA FONDATION ÉNERGIES POUR LE MONDE. Donnez du souffle à nos projets!

THEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE

Evaluation des émissions

Etude de marché de la gazéification en Languedoc Roussillon Présentation Séminaire BioénergieSud du 26 Novembre 2013

LES CRÉDITS CARBONE, MEILLEURS AVANT JANVIER 2015 COHABITATION DU MARCHÉ VOLONTAIRE ET DU MARCHÉ RÉGLEMENTÉ DU CARBONE

DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE

Plan Climat Territorial de la Communauté d Agglomération de l Artois

2. L offre et la demande d énergie: tendances et perspectives

Transcription:

MALI Etu s cas Gestion Améliorée l Environnement : Femmes et les Energies Nouvelles et Renouvelables (FENR) 2. Lieu d exécution : Régions Koulikoro, Ségou et Sikasso 3. Pério d exécution : Octobre 1996 à Décembre 2001 4. Source financement : budget national (BN) et PNUD PNUD : 873.300 US soit 600 millions FCFA B N : 59 millions FCFA 5. Cadre institutionnel Le projet sera exécuté par le gouvernement du Mali au sein du Mines s mines l Energie et l Eau (MM EE). La Direction Nationale l Energie a assuré la supervision du Projet en tant qu organisme tutelle avec la collaboration étroite d un comité technique composé 20 services techniques dont la Direction Nationale la promotion la Femme. Le Centre National l Energi e Solaire et s Energies Renouvelables (CNESOLER) a assuré la réalisation du Projet en collaboration avec la DNAFLA (actuelle éducation non formelle) les opérations développement dans les régions, les ONG et le secteur privé. 6. Objectifs du projet : L objectif fondamental du Projet est contribuer à la stratégie nationale en qui concerne la protection l environnement, la lutte contre la désertification, la lutte contre la pauvreté et la valorisation s ressources naturelles. Le projet vise a u s s i à appuyer également la participation s femmes dans les programmes développement du secteur l énergie. 7. Stratégie le projet au cours son exécution a développé une approche participative en direction s groupes cibles autour s points suivant s : Information et sensibilisation s populations sur les ENR dans les régions Ségou et Sikasso par l implication s autorités administratives régionales, les Opérations Développement Rural (ODR) tels que : CMDT, Office du Niger, Office Riz, Associations s femmes et ONG. Elaboration s outils pédagogiques, en bamanan et formation sur ces outils s groupes cibles, les ODR, les ONG et les réparateurs locaux. Organisation et animation s Associations s femmes, s Comités gestion s t e c hnologies ENR. Elaboration Protocole d Accord avec les ODR et contrat avec les villages pour définir le rôle chaque partie ; Installation 2 à 3 technologies ENR dans chaque village (éclairage, chauffe -eau, séchoir, éolienne pompage, plate-forme à huile pourghère) ; Suivi, encadrement par le projet, les ODR, les Associations femmes et les ONG ; Différente évaluation du projet : Audit financier ; Evaluation à mi -parcours ; Evaluation finale ; Etu d impact s technologies ENR.

8. Les résultats : 8.1. Plan institutionnel L e p r o j e t a contribué au renforcement s capacités du CNESOLER et s ressources humaines au niveau national 20 services techniques constituant le comité technique du projet. 8.2. Les activités terrain D a n s le cadre l exécution du Projet les activités menées sont les suivantes : E n q u ê t e s o c i o-économique ayant permis sélectionner 90 villages dans les régions Ségou et Sikasso s ajoutant aux 40 villages la phase pilote la région Koulikoro couvert p a r Projet 1992 à 1995. Bien cibler les femmes comme groupes cibles du projet ; Informer et sensibiliser les populations concernées sur les ENR ; Intifier et recenser les besoins en formation et technologies ENR ; Elaboration s outils pédagogiques en langue nationale bamanan sur les aspects généraux, la réparation et la gestion s technologies ENR Tableau s outils pédagogiques élaborés en bamanan Technologies Aspects généraux Réparation Gestion 2 (dont 1 fiche 1 fiche technique technique et 1 fiche l animateur Pompage solaire 2 1 Séchoir solaire 2 1 Chauffe -eau solaire 2 1 Pompe éolienne 2 1 Plate -forme à huile 3 1 pourghère Total 13 6 Comité gestion : constitution et rôle chaque membre ; les recettes, les frais réparation, les bénéfices, les dépôts en caisse d épargne, les rétraits Formation s groupes cibles sur les aspects généraux s ENR dans les régions Ségou et Sikasso et recyclage s groupes cibles la région Koulikoro Situation l a formation Régions Nombre formé Ségou 150 animatrices (eurs) Sikasso 150 animatrices (eurs) Koulikoro 175 animatrices (eurs) Ségou, Sikasso et Koulikoro Réparateurs locaux Ségou, Sikasso et Koulikoro 3 500 femmes néo alphabètes Outils péda gogiques distribués aux animatrices (eurs) et réparateurs Désignation Aspects généraux Réparation Fiches techniques Guis Affiches 1 440 1 400 1 085 420

Total 3 965 420 d) Elaboration Protocoles d Accord avec l Office Riz Ségou, l Office du Niger Ségou, les réunions CMDT Koutiala, Sikasso et Bougouni. Un appui financier a été accordé à l Office Riz suite à sa man pour l enca drement s 20 villages leur zone. L Office Riz Ségou a fourni au projet s rapports trimestriels suivi pendant ux ans 1998 à 1999. Le s autres partenaires Office du Niger, régions CMDT Koutiala, Ségou et Sikasso ont effectué s suivis dans le cadre leurs activités mais n ont fourni rapports au projet. e) Elaboration contrat entre le projet et le projet et les 90 villages s régions Ségou et Sikasso. f) Organisation et animation 90 comités gestion et l Association féminine. g) Mise en place dans chaque village d un fonds maintenance s équipements ENR. h) Installation technologie ENR dans les villages sélectionnés. Le tableau fourni la situation s installations dans les trois régions du projet REGION village Chauffeeau Installation séchoir Eolienne Plateforme Koulikoro 40 33 19 09 - - 63 Ségou 44 40 27 12 dont 20 02 01 82 semi industriel Total ENR Sikasso 46 40 28 06-15 89 Total 130 113 74 27 02 16 dont 3 232 avec mécanique Les éclairages solaires sont installés dans les centres santé, les centres d alphabétisation et les centres d éducation. Les chauffe - eaux solaires sont installés dans les centres santé Les éoliennes pompage sont soit dans le jardin du village pour le maraîchage ou sur un forage pour l approvisionnement en eau potable du village. Les séchoirs ont installés dans les zones production s fruits et légumes au profit s associations femmes rurales. Les p l a t e s -formes multifonctionnelles utilisant l huile pourghère comme le carburant sont installées dans les villages ayant un potentiel en plante pourghère au profit s associations f e m m e s. 3. Plan contribution au développement et à la protection l environnement Contribution au développement

Cette contribution est largement décrite dans les différentes évaluations (à mi-parcours et finales) et d étu d impact du projet. De ces évaluations et étus ont retiendra que le projet que le Projet a réalisé les points suivants : - le renforcement s capacités s ressources humaines pour le développement du mon rural à travers : les formations en langue nationale bamanan s groupes cibles et les réparateurs locaux. - L organisation et l animation s associations femmes et comités gestion s technologies ENR. - Les retombées du projet sont dans le secteur du développemnt rural qui préoccupent beaucoup le gouvernement du Mali à savoir : La lutte contre la pauvreté à travers les revenus tirés s séchoirs systèmes d exhaure (éolienne et solaire) l amélioration la nutrition, la sécurisation s revenus s producteurs f r u i t s e t légumes, l amélioration s soins santé, l amélioration l éducation et l alphabétisation, l amélioration la capacité gestion du mon rural, l allègement s taches femmes s femmes etc. La sécurité alimentaire à travers les séchoirs et les systèmes d exhaure. La mise en valeur s ressources énergétiques locales soleil, vent et huile pourghère contribuant à la réduction sortie vise au niveau s villages et du pays. Economie vise sur la carburant importé Système Economie combustible fossile Pétrole lampant 146,4 dans le litres/an/système (soit centre 2 196 litres/15 ans ou santé 2,2 Tep) Economie vise en 15 ans 651 900 FCFA 545 834 FCFA soit 780 (1 =700 FCFA) Indication pétrole lampant Prix CFA rendu à 248,56 FCFA/litre les prix à la consommation varient suivant les z o n e s Système Economie combustible fossile Pétrole lampant 36,25 dans le litres/an/système ou 0,5 centre T e p formation Economie vise en 15 Indication pétrole ans lampant 135 216 FCFA soit 193 Prix CFA rendu à 248,56 FCFA/litre Utilisation l huile pourghère Système Economie combustible fossile Plate -forme Gazoil 2 184 équipée litres/an/pfm ou 2,2 Tep mécanique Soit 10 920 litres/5 ans PFM ou 11 Tep Système Economie combustible fossile Economie vise en 5 ans 651 900 FCFA 545 834 FCFA soit 780 (1 =700 FCFA) Indication pétrole lampant Prix CFA rendu à 299, 95 FCFA/litre Indication Plate -forme Gazoil 667 1 166 665 FCFA soit 2 381 Prix CFA rendu à

équipée manuel Nyeleni litres/an/pfm ou 0,67 Tep Soit 3 335 litres/5 ans ou 3,3 Tep 299,95 FCFA/litre La promotion la femme et son implication dans le développement du secteur l énergie par le rôle qu elle joue dans le projet. b. Contribution à la protection l environnement : La contribution à la protection l environnement est mesurée à travers les économies bois (lutte contre la déforestation, d émission gaz carbonique (changement climatique) et lutte anti-érosive liée à la plante pourghère. Ces éléments sont largement décrits dans étu d impact du projet. Le tableau suivant donne par système les valeurs sur les différentes économies Contribution à la protection l environnement Système Chauffe -eau solaire dans les centres santé s centres santé s centres d éducation Utilisation l huile pourghère mécanique Presse manuelle Economie bois ou carburant Bois 171 T/ chauffe -eau 12 664 T/ 674 chauffe -eau P é t r o l e 2 196 litres /système en 15 ans ou 2,2 Tep 164 700 litres /15ans pour 75 systèmes ou 165 Tep P é t r o l e 544 litres /système en 15 ans ou 0,5 Tep 20 663 litres /15ans pour 38 systèmes ou 20,6 Tep G a z o i l 2184 litres / an / système ou 2,2 Tep 10 920 litres /5ans / système soit 10 920 litres x 3= 32 760 litres ou 33 Tep G a z o i l 667 litres / an / système ou 0,7 Tep 3 335 litres /5ans / système s o i t 3 335 litres x 13= 43 355 litres ou 43,3 Tep Quantité CO2 évité 295,8 T/chauffe-e a u 21 891 T / 7 4 chauffe-eau 4,24 T/système 3 1 8, 4 5 T/ 75 systè m e s 0, 9 6 T / système 39,75 T / 38 s y s t è m e s 21 T/ système 63T / 3 systèmes 1,35 T /système 1 7, 5 5 T / 13 s y s t è m e s Coût CO2 évité 12F/kg 3 549 600 x 74 = 262 670 000 50 880 x 75 = 3 816 000 11 520 x 38= 437 760 252 000 x 3= 756 000 16 200 x 13= 210 600 Rapport Banque Mondiale C O 2 émission 1994-1,73kg CO 2 /kg bois - 1,93 CO 2 /kg kérosène c. Contraintes

Les principales contraintes rencontrées sont les suivantes : - le faible niveau ou même l absence formation s groupes cibles - le faible pouvoir d achat s groupes cibles - le faible dynamisme s comités gestion s technologies ENR - l absence au niveau loc al structures d approvisionnement en pièces rechange et systèmes maintenance économiques s technologies ENR - le nombre peu élevé technologies ENR existants dans les villages. 9. Perspectives a la fin cette phase le projet ambitionne couvrir au moins 400 villages pour une meilleure contribution au développement socio-économique du pays et à la protection l environnement. Les négociations sont en cours avec le PNUD pour la poursuite s activités du projet.