Gestion Technique des Bâtiments

Gestion Technique des Bâtiments Solutions pour établissements de santé

SOMMAIRE Introduction Trend, un acteur leader de la GTB dans les établissements de santé 2 & 3 Sur le vif Maître d ouvrage Bruno Cazabat, HCL 4 & 5 «La GTB accroît la sécurité des patients» Maître d oeuvre Alain Aslanian, Jacobs France 6 & 7 «la GTB doit être inversement proportionnelle à la complexité des hôpitaux» Intégrateur Gérard Badard, Méta Productique 8 & 9 «la GTB, un outil de confort, de sécurité et d économies d énergie» Installateur Henri Nouailletas, Billon 10 & 11 «la GTB est incontournable dans une structure hospitalière» Exploitant Hervé Bidou, Elyo Suez 12 & 13 «notre objectif? Abolir la distance!» Solutions Une architecture ouverte qui facilite l intégration 14 à 17 Applications Centre Hospitalier Manchester à Charleville Mézières 18 & 19 Centre Hospitalier de Paray Le Monial 19 & 20 Centre Hospitalier des Massues à Lyon 21 Centre Hospitalier de Saint-Étienne 22 Centre Antoine Lacassagne à Nice 23 Liste de références en établissements de santé 24

Trend, un acteur leader de la G.T.B. dans les Aujourd hui, la problématique de toute infrastructure hospitalière est d optimiser les fonctionnements des installations techniques, par l automatisation de certaines procédures, ou plus simplement d utiliser les capacités d un microprocesseur moderne pour réguler les appels d énergie afin de garantir efficience et confort. Trend équipe un grand nombre d établissements de santé tels que les centres hospitaliers, les cliniques, les cabinets de médecins, les laboratoires. Trend devance tous ses concurrents dans ce secteur grâce à la souplesse de sa technologie G.T.B. (Gestion Technique du Bâtiment). Certaines des installations Trend sont en place depuis plus de vingt ans et se développent encore. introduction Constance et réduction des coûts La réputation déjà bien établie de Trend dans le milieu de la santé s explique en partie par la fiabilité de ses systèmes. Ces derniers sont notamment capables de contrôler et de surveiller en permanence les installations de chauffage, de ventilation et d air conditionné, activités importantes en milieu hospitalier, tout particulièrement dans des zones sensibles telles que les salles de soins intensifs, les blocs opératoires ou les pharmacies. Cette capacité à contrôler avec précision les services touchant l environnement de travail et à les adapter aux besoins du 2 moment permet également d optimiser la consommation d énergie. Les installations de G.T.B. Trend ont souvent démontré leur efficacité en termes de réduction des coûts liés à la consommation d énergie dans les milieux hospitaliers. Les charges de structure étant en constante augmentation, les systèmes Trend constituent par conséquent le meilleur investissement possible. Une accessibilité permanente Le personnel autorisé peut accéder instantanément aux données surveillées et aux paramètres de contrôle à tout moment et en tout lieu. Le seul équipement nécessaire est un ordinateur équipé d un navigateur Web standard, ou un assistant numérique personnel ou encore un téléphone portable pour les personnes très mobiles. La connexion Ethernet du système Trend permet de transmettre immédiatement les alarmes et autres données via le réseau Intranet de l hôpital et via Internet. En dehors des plages fixes, les alarmes peuvent être automatiquement transmises dans une pièce constamment occupée ou à un technicien d astreinte. Il est possible d attribuer une priorité aux alarmes et de les filtrer de façon à ce que seules les alarmes critiques, par exemple une défaillance rencontrée sur un site, soient transmises. Les contrôleurs performants du système Trend permettent aux responsables de rapidement localiser et

établissements de santé Introduction Optimisé pour le futur interpréter les données actuelles et passées relatives au fonctionnement d un site, à l utilisation des infrastructures et aux conditions ambiantes. De telles informations, présentées le plus souvent sous forme de graphes, leur permettent d identifier et de corriger les défauts cachés et les sources de gaspillage d énergie, mais également de répondre aux questions et aux attentes du personnel et des autres utilisateurs du bâtiment. Grâce à sa conception modulaire, le système Trend s adapte et se développe à mesure que les changements surviennent dans l utilisation des bâtiments ou les besoins des utilisateurs, ou encore suite à de nouvelles exigences en matière de législation, par exemple. Et c est bien là ce qui fait des systèmes de G.T.B. de Trend un investissement optimisé dans la perspective du futur. Par ailleurs, Trend a adopté une stratégie de «compatibilité ascendante». Concrètement, les nouvelles générations d équipements de contrôle s intègrent en toute transparence dans les systèmes existants, ce qui évite d avoir à recourir à des passerelles complexes ou de devoir remplacer tout le système. Les utilisateurs finaux ont ainsi l assurance que le développement du système ne sera ni coûteux, ni complexe. Basés sur une technologie éprouvée, flexible et tournée vers l avenir, soutenus par un important réseau de partenaires expérimentés, les systèmes Trend représentent pour le secteur santé une solution gagnante. La liberté de changer Le choix des fournisseurs est également une des raisons pour lesquelles les coûts de déploiement sont faibles. Les systèmes de G.T.B. Trend sont distribués via un réseau d intégrateurs de systèmes indépendants et agréés, capables de satisfaire aux exigences les plus élevées en termes de main d œuvre, de gestion des contrats, de documentation et de contrôle qualité. Certains d entre eux sont des entreprises relativement petites qui travaillent au niveau local alors que d autres sont suffisamment importants pour prendre en charge des projets de grande envergure, quel que soit l emplacement géographique de leur client. La taille du réseau Trend vous garantit des prix compétitifs et la liberté de changer, à tout moment, de fournisseur. Fiables et économiques, conviviales, pérennes et flexibles, les technologies G.T.B. de Trend font preuve d une attractivité inégalée. 3

Maître d ouvrage Bruno Cazabat, HCL : «la GTB accroît la séc Bruno Cazabat dirige les Affaires Techniques des Hospices Civils de Lyon (HCL) qui regroupent 16 hôpitaux. Ce service comprend 470 personnes dont 40 ingénieurs assurant trois missions principales : les grands travaux avec la mise en chantier de trois nouveaux hôpitaux, les investissements courants au sein des établissements existants et la maintenance exploitation de ces structures. La GTB joue un rôle déterminant au niveau de la sécurité des patients, au point de lui consacrer un référentiel spécifique. «Les HCL sont un CHR avec une activité de soins souvent critiques, exigeant une forte technicité ou la défaillance n est pas acceptable. C est pourquoi nous avons une politique technique forte, orientée sur les filières les plus critiques et mise en œuvre à partir de nos propres référentiels. Et avec un application sur le patrimoine et bien sûr dans notre projet immobilier...» explique Bruno Cazabat. Le projet immobilier des HCL apporte les réponses techniques et logistiques aux besoins nouveaux et à l évolution de l organisation prévue dans ce projet. Il s appuie sur l expérience et les mutations importantes de ces dernières années, tant en investissement qu en exploitation et maintenance des 850 000 m² que constitue le patrimoine hospitalier des hôpitaux de Lyon. L activité Grands Travaux de la direction des Affaires Techniques concerne la réalisation de 3 nouveaux hôpitaux dont le budget global représente près de 420 millions d euros. 1) L Hôpital Femme-Mère-Enfant (HFME) mis en service fin 2007 regroupera les services de pédiatrie, les activités de gynécologie et d obstétrique. Il assurera, sur un même site, une réponse aux besoins en néonatalogie pour la maternité (480 lits et places et 22 salles). De plus, il intègre un important plateau de biologie. 2) La construction du Pavillon Médical participe à la restructuration de l offre de soins du Groupement Hospitalier Sud, mais aussi au développement des activités médicales comme la pneumologie, l endocrinologie, la gériatrie, la gastroentérologie, la médecine interne et la dermatologie. Démarré en mai 2005, le chantier doit se terminer fin 2007. Le bâtiment comptera 267 lits et places. 3) Le Bâtiment Clinique au Groupement Hospitalier Nord est destiné à moderniser les conditions d exercice des activités cliniques de l hôpital de la Croix Rousse et des activités médico-techniques associées. Il répond à plusieurs choix institutionnels, comme le désengagement de l Hôtel-Dieu de ses activités d hospitalisation, le renforcement d un accueil d urgence adulte pour le Nord de l agglomération lyonnaise, la mise en place de structures ambulatoires et la constitution d une fédération d hépatogastro-entérologie. Le bâtiment clinique implanté entre le bâtiment historique de l hôpital et le nouveau centre de biologie Nord comprendra 318 lits et places et 15 salles d opération. Investissements courants et maintenance sur le vif Grands travaux Les investissements courants servent à maintenir et développer le niveau de qualité des installations techniques des 16 hôpitaux. Ils permettent notamment de développer 5 nouvelles centrales d énergie, 2 hélistations, des unités d hébergements, les blocs opératoires, etc. Le montant cumulé de ces investissements représente 300 millions d euros. La maintenance et l exploitation des établissements (6000 lits sur 850 000 m²) représentent quand à elles un budget annuel 4

urité des patients» Sur le vif Bruno Cazabat dirige les Affaires Techniques des Hospices Civils de Lyon (HCL) qui regroupent 16 hôpitaux. Ce service comprend 470 personnes dont 40 ingénieurs. de 30 millions d euros. Le poste «énergie» représente à lui seul 17 millions d euros. La sécurité avant tout «Dans l ensemble de nos 16 établissements, nous disposons d une trentaine d installations de GTB hétérogènes. Nous sommes actuellement en train de définir un référentiel qui précisera de que l on attend du lot GTB. Puis, cette ligne de conduite sera appliquée à l ensemble de nos installations, explique Bruno Cazabat, directeur des Affaires Techniques des HCL. Notre démarche est avant tout pragmatique, là où tout va bien, on ne touche rien. Et nous mettons à niveau les installations qui en ont besoin. Cette démarche technique correspond à notre volonté politique qui est de mettre la sécurité des patients au centre de nos préoccupations, précise-t-il. En matière de GTB, nous ne voulons pas «d usine à gaz». Nous avons besoin de solutions intelligentes, performantes et conviviales. Nous recherchons la sécurisation des domaines critiques tels que la continuité dans l approvisionnement en courants forts et faibles, car toute rupture à ce niveau peut avoir des conséquences très graves, la supervision des systèmes informatiques, la maîtrise du traitement de l air (salle d opération notamment), les conditions de confort. Nous portons aussi nos efforts sur la réduction des consommation énergétiques qui représentent 60% du budget de maintenance». IL L A DIT. «En matière de GTB, nous ne voulons pas «d usine à gaz». Nous avons besoin de solutions intelligentes, performantes et conviviales». Bruno Cazabat Pour Bruno Cazabat, les critères de choix d une bonne GTB sont principalement au nombre de trois. Tout d abord, l ouverture des systèmes, c est-à-dire leur capacité à évoluer «sans qu il soit nécessaire de passer systématiquement à la caisse avec les mêmes». Ensuite, l ergonomie du système «afin qu il puisse être pris en main facilement par nos agents». Et enfin, l assistance de l industriel, sa disponibilité, sa capacité à former et informer nos équipes sur les évolutions du matériel. «Autant d atouts que nous avons pu observer dans une de nos installations équipée par Trend», assure-t-il. 5

Maitre d oeuvre Alain Aslanian, Jacobs France : «la GTB doit êtr sur le vif Avec 45 000 personnes dans le monde Jacobs Engineering group Inc. est un des premiers bureaux d études au niveau mondial. Sa filiale, Jacobs France emploie près de 700 personnes réparties entre Paris, Lyon et Bordeaux et dispose d une expertise sans équivalent dans le domaine hospitalier. Actuellement, Jacobs France supervise trente hôpitaux en France (en phase d études et/ou de construction), ce qui représente un total de 900 millions d euros de travaux. «Nous sommes leader en France dans le domaine hospitalier, explique Alain Aslanian, manager de l équipe de Jacobs Sud- Ouest, et les seuls à disposer d une équipe «médical planning» dont la tâche est de conseiller les architectes et clients dans la mise en œuvre du process hospitalier (fonctionnement global de l hôpital, aménagement blocs opératoires, contraintes techniques, etc.)». Alain Aslanian, ingénieur ENSAIS, est aujourd hui un chef d orchestre qui supervise et coordonne l ensemble des disciplines. «J assure la relation entre Jacobs et l architecte en étant garant de la qualité des études, des travaux et du budget», précise-t-il. Sa position de généraliste et son expertise du domaine hospitalier lui permettent de faire une analyse fine des tendances actuelle en matière d établissements de santé et de la GTB. Renforcement des contraintes Compte tenu du renforcement des normes et des directives dans le domaine hospitalier et afin d assurer toujours plus de sécurité pour les patients, la gestion technique des installations électriques, climatiques et sanitaires est devenue indispensable. «Les plans hôpitaux 2007 et 2012 ont élevé le niveau de qualité des équipements en rendant ainsi la GTB indispensable. Sur un hôpital tel que la Timone à Marseille, qui est notre plus grosse opération actuellement en cours (200 millions d euros de travaux), il y a 10.000 points de consigne à surveiller sur une surface de 120.000 m². A l hôpital de Clermont Ferrand (75.000 m² pour 140 millions d euros), il y a 5.000 points, plus 1.600 pour la climatisation et 3.000 pour l électricité. La complexité est telle qu il est devenu impossible d assurer la sécurité de manière manuelle», souligne Alain Aslanian. Un outil de contrôle et d aide à la décision La sécurité se décline selon trois axes principaux : le traitement et la qualité de l air avec la gestion des surpressions et des dépressions d air suivant la classe de risque des locaux, la sécurité de l approvisionnement électrique (démarrage des groupes électrogènes, etc.) et la surveillance du risque lié à la légionellose. La circulaire de 2002 a en effet rendu obligatoire le contrôle des températures des réseaux d eau chaude sanitaire, afin de détecter et de supprimer les «bras morts». La GTB permet de vérifier que la température des réseaux d ECS ne descende pas au dessous du seuil critique de 60 C. «C est un outil de contrôle et d aide à la décision», renchérit Alain Aslanian. De plus, cela offre à l utilisateur un confort accru en matière de gestion des énergies, des horaires du personnel et d autres fonctionnalités. Les critères de choix d une bonne GTB «Dans le domaine hospitalier, nous sommes régit par le code des marchés publics et en aucun cas nous ne devons être liés à 6

Sur le vif e inversement proportionnelle à la complexité des hôpitaux» Alain Aslanian, ingénieur ENSAIS, est aujourd hui un chef d orchestre qui supervise et coordonne l ensemble des disciplines. IL L A DIT. «La GTC se doit d être ouverte, communicante, évolutive et conviviale, son emploi simple, aussi facile que l accès à Internet. L exploitant doit pouvoir prendre en main cet outil et le faire évoluer de lui-même, sans être tributaire d un constructeur». Alain Aslanian PLAN HOPITAL 2012 une marque. L ouverture des systèmes est donc primordiale, les appareils d une marque «A» doivent pourvoir communiquer avec ceux d une marque «B». La GTC se doit d être ouverte, communicante, évolutive et conviviale, son emploi simple, aussi facile que l accès à Internet. L exploitant doit pouvoir prendre en main cet outil et le faire évoluer de lui-même, sans être tributaire d un constructeur. Nous demandons à la GTB d être inversement proportionnelle à la complexité de l hôpital : plus le bâtiment est grand et plus la GTB doit être simple», résume-t-il. «Hôpital 2012, c est 10 milliards d euros consacrés : - à la mise aux normes des bâtiments. Car il est inadmissible que nous ayons encore, sur le territoire français des hôpitaux qui ne garantissent pas la sécurité des patients, de leur entourage et de leurs soignants et je pense en particulier aux services d urgences. - à l informatisation des systèmes hospitaliers. Car c est non seulement une condition indispensable à la coordination des soins, à la prise en charge rapide du patient, mais c est surtout un outil indispensable à la veille et à la sécurité sanitaire, et au renforcement des droits des patients. - à l amélioration des conditions de travail de l ensemble des personnels hospitaliers et d accueil des patients et de leur entourage. Car il est de notre devoir de garantir à ceux qui se dévouent au quotidien pour la santé de nos concitoyens et à ceux qui sont plus vulnérables, un environnement serein. Je souhaite notamment que plus de 80% de chambres soient individuelles - Au renforcement des complémentarités entre les différents hôpitaux d un même territoire de santé, car l avenir de notre système de soins est aux décloisonnements ou complémentarités et aux synergies entre public et privé». Extrait du discours prononcé par Xavier Bertrand, Ministre de la Santé et des Solidarités le 13 février 2007. 7

Intégrateur Gérard Badard, Méta Productique : «La GTB, sur le vif Créée en 1989, La société Meta Productique basée à St Etienne est intégrateur en informatique industrielle. Elle possède une agence à Baillargue près de Montpellier, emploie 18 collaborateurs (ingénieurs, chefs de projets, développeurs) et intervient sur tout le territoire français. Gérard Badard est l un des deux ingénieurs commerciaux de cette structure spécialisée dans l optimisation des outils de production industriels et la gestion technique des bâtiments. «Une bonne GTB doit être simple d utilisation pour tous les opérateurs, qu ils soient exploitants ou intervenants occasionnels. Cette simplicité est d ailleurs l un des critères principaux de choix retenu par le client lorsqu un projet est lancé» indique Gérard Badard. La surveillance et la gestion technique des bâtiments sont en effet confiées à des équipes qui ne sont pas composées d experts tous corps de métiers. Ainsi le système doit comporter plusieurs niveaux d accès en fonction des compétences de chaque intervenant. Il est important aussi que l intelligence soit bien répartie entre le logiciel et les automates, ne pas surcharger l un par rapport aux autres, que ce soit dans le cadre de la régulation, du process, de l archivage, etc.). «La surveillance doit être un guide pour l exploitant. La GTB regroupe une foule d informations qu elle doit présenter sous la forme la plus simple tout en respectant des échelles d importance, d urgence, de technicité» précise Gérard Badard. Un équipement de régulation, par exemple, englobe une quinzaine de paramètres. L utilisateur ne possède pas les compétences pour intervenir sur chacun de ces paramètres mais il doit pouvoir régler tout de même le point de consigne de la température de telle ou telle pièce. La lecture des défauts et alarmes se doit d être le plus clair possible pour des raisons évidentes de sécurité. Quinze ans d évolution spectaculaire Les premiers systèmes de GTB étaient de véritables casse-têtes pour les utilisateurs et les exploitants. La principale évolution concerne l accès aux opérateurs les moins qualifiés tout en garantissant la sécurité des paramètres. L autre aspect important de cette évolution, c est la compatibilité des matériels de marques différentes grâce à un réseau fédérateur. Un bon logiciel actuel peut dialoguer avec les produits de plusieurs fabricants. L accès sélectif au système en fonction de la compétence de chacun a fait de la GTB un outil convivial, indispensable à la gestion optimum des bâtiments que ce soit en termes d économies d énergie, de confort ou de sécurité. La gestion des alarmes est un élément primordial. Les différents niveaux d alarmes sont désormais gérés en fonction de la compétence de chaque intervenant. La GTB autorise soit la lecture simple à un acteur, soit la lecture et l effacement à tel autre ou enfin la lecture et l intervention sur le système concerné par tel autre plus qualifié. Il en est de même pour les interventions de réglage de toutes les fonctions gérées par la GTB, de la simple lecture de la température d un local par exemple à l intervention sur les paramètres d une régulation en passant par le réglage d un point de consigne. Pérennité et écoute du marché : les deux points forts d une GTB performant Pour Gérard Badard, la compatibilité des matériels toutes générations et la garantie d une évolution pérenne de l installation, sont les principaux arguments d une bonne GTB. Si à cela s ajoute la simplicité des outils de programmation pour l intégrateur, la solution devient idéale. Pour cet ingénieur, Trend possède tous ces atouts. «Trend 8

Sur le vif un outil de confort, de sécurité et d économies d énergie» Gérard Badard est ingénieur commercial au sein de la société Méta Productique dont le siège est situé à Saint-Etienne. IL L A DIT. «Trend est à l écoute de ses partenaires sur les évolutions des besoins même si ces derniers ont des spécificités techniques ou locales. C est le seul fabricant à adapter ses logiciels aux nécessités locales avec autant de réactivité et de précision». Gérard Badard adresse sa démarche vers les intégrateurs. Ce constructeur est à l écoute de ses partenaires sur les évolutions des besoins même si ces derniers ont des spécificités techniques ou locales. C est le seul fabricant à adapter ses logiciels aux nécessités locales avec autant de réactivité et de précision» apprécie l ingénieur de Meta Productique. Trend a créé, à la demande des intégrateurs, des logiciels qui s adaptent parfaitement aux contraintes techniques et réglementaires des bâtiments français par exemple, contrairement à d autres constructeurs qui développent une solution globale quelle que soit l application. Trend adapte très rapidement ses produits aux nouvelles technologies grâce à ce dialogue permanent avec les intégrateurs. Il garantit en outre une formation permanente, un service exemplaire et une assistance technique irréprochable. La simplicité de programmation des produits Trend a permis aux utilisateurs de réaliser eux-mêmes certaines extensions sans intervention de l intégrateur. C est une des spécificités très appréciée des clients qui ne sentent plus considérés comme les otages d un système. Gérard Badard considère que Trend propose aujourd hui la solution idéale pour des utilisateurs aux profils les plus variés en matière de compétence, de secteur d activité ou d implantation géographique. 9

Installateur Henri Nouailletas : «la GTB est incontournable sur le vif Henri Nouailletas exerce le métier de l installation de génie climatique depuis plus de 25 ans. Il est aujourd hui membre du directoire de l entreprise Billon et occupe les fonctions de directeur technique de l ensemble de la société, organisée en départements autonomes. A ce titre, il supervise nombre de réalisations, notamment dans le domaine hospitalier, où la GTB joue un rôle primordial. Depuis plus de 70 ans, l entreprise familiale Billon S.A. œuvre dans les domaines du génie climatique, de l étanchéité et du bardage. Aujourd hui composée de près de 300 collaborateurs, Billon S.A. est reconnue pour la qualité de ses prestations et son savoir faire, notamment dans le domaine hospitalier (hôpital de Paray Le Monial, Saint-Étienne, etc.). Répartie sur deux sites, Valence et Lyon, l entreprise réalise un chiffre d affaires de près de 45 millions d euros. «Chez Billon nous estimons que lorsque l on met en œuvre des produits ou des technologies, nous devons en assurer la maîtrise complète» explique d emblée Henri Nouailletas, directeur technique de Billon S.A.. C est la raison pour laquelle j ai développé avec mon collègue Jean-Louis Pierre, un département GTB dès 1986 et que nous sommes devenus un véritable intégrateur de cette technologie». Aujourd hui, Billon réalise la majorité de ses installations de gestion technique centralisée avec du matériel Trend, une réalité qui s explique par l ouverture totale des systèmes Trend. «Ce constructeur nous offre la possibilité de prendre en main totalement le produit, alors que les autres fournisseurs sont réticents. Il nous propose des systèmes qui répondent à nos besoins et nous forme à leurs évolutions, ce qui nous permet de coller aux plus près des demandes de nos clients. Dans notre métier, les aléas sont nombreux et avec Trend, nous avons l assurance d avoir toujours quelqu un qui nous donne satisfaction, c est aussi simple que cela», poursuit H. Nouailletas. Les contraintes de l univers hospitalier Le métier d installateur de génie climatique conjugue les fonctions de prestataire de service et de commerçant. Il est indispensable de savoir sélectionner les matériels, les acheter, les mettre en œuvre afin d assurer les conditions de confort requises. Dans le domaine hospitalier, les contraintes sont spécifiques et l importance du pilotage des installations et primordiale. Le manque de place est une des particularités de ce domaine. L organisation d un chantier est toujours complexe il y a un grand nombre de fluides à faire passer dans des volumes restreints. D autre part, il s agit d un milieu très exigeant par nature. Nous pouvons distinguer d un côté le secteur public avec les hôpitaux et des projets figés et de l autre, le domaine privé avec les cliniques où les projets évoluent en permanence et rapidement. «La GTB y est indispensable car c est l outil qui permettra à l exploitant de piloter l installation» témoigne H. Nouailletas. Classiquement, une GTB assurera la supervision des fonctions, chauffage, refroidissement, climatisation, la qualité de l air, la surveillance de l encrassement des filtres des zones à empoussièrement contrôlé, le suivi de la consommation énergétique et le délestage éventuel, le contrôle des pressions et des surpressions de certaines zones et les retours d alarmes. 10

dans une structure hospitalière» Sur le vif Henri Nouailletas, directeur technique de Billon, a développé dès 1986 un département GTB au sein de cette entreprise d installation de génie climatique. IL L A DIT. «Trend nous offre la possibilité de prendre en main totalement le produit, alors que les autres fournisseurs sont réticents. Premièrement, ce constructeur nous offre des systèmes qui répondent à nos besoins et ensuite, il nous forme à leurs évolutions, ce qui nous permet de coller aux plus près des demandes de nos clients». Henri Nouailletas PREVENTION DE LA LEGIONELLOSE Une capacité naturelle à communiquer «Au-delà des protocoles de communication qui, à mon sens, répondent plus à des modes qu à de réelles nécessités techniques, c est l ouverture d un système de GTB, sa capacité à évoluer dans le temps et à suivre les rénovations et les extensions successives qui est primordiale. Avec Trend, nous pouvons faire communiquer des éléments installés il y a une vingtaine d année avec le logiciel de supervision le plus récent. C est un plus qui permet de pérenniser l investissement dans le temps. De plus, les passerelles disponibles permettent à ces produits de communiquer avec une très large palette de produits disponibles sur le marché», conclut Henri Nouailletas. La légionellose est une pneumopathie sévère parfois mortelle en progression ces dernières années. Elle se contracte à la suite de l inhalation d aérosols contaminés par des bactéries appelées les légionelles qui se développent dans l eau. L urbanisation, les progrès technologiques ont donné la possibilité à cette bactérie de se développer dans certaines installations techniques (réseaux d eau chaude, douches, tours aéroréfrigérantes (TAR), humidificateurs d air, bains bouillonnants, etc.). Ces équipements peuvent constituer des installations à risque à l origine de légionelloses. Rappel des recommandations visant à maîtriser les niveaux de contamination par cette bactérie : - Circulaire du 25 avril 1997 relative à la surveillance et à la prévention de la légionellose. Cette circulaire définit dans ces annexes II et V, les bonnes pratiques d entretien des installations à risque. - Circulaire du 31 décembre 1998 relative à la mise en œuvre de bonnes pratiques d entretien des réseaux d eau dans les établissements de santé et aux moyens de prévention du risques lié aux légionelles dans les installations à risques et celles des bâtiments recevant du public. - Circulaire du 22 avril 2002 relative à la prévention du risque lié aux légionelles dans les établissements de santé. - Décret N 2004-1331 du 1er Décembre 2004 avec la création d une nouvelle rubrique ICPE N 2921, relative au tour de refroidissement (Installation Classée pour la Protection de l Environnement) qui définit les actions à mettre en oeuvre pour limiter la prolifération des bactéries. Ces documents sont disponibles en ligne sur www.sante.gouv. fr/dossier/legionelle 11

Exploitant Hervé Bidou, Elyo Suez : «notre objectif? Ab sur le vif Elyo Suez appartient à la branche Energies Services du groupe Suez. Hervé Bidou est responsable des Télé services et Méthodes à la direction régionale Midi-Océan, l une des cinq directions d Elyo Suez en France. Il a en charge de concevoir tous les outils nécessaires à la gestion des énergies et à l exploitation des installations en contrat. En partenariat avec Trend, il a développé un concept de supervision, propre au groupe Elyo, qui gère aujourd hui 1500 installations réparties sur 600 sites. Sa fierté : produire, en toute transparence eu égard aux engagements contractuels, des indicateurs de résultat à ses clients et aux équipes Elyo en charge des prestations. «Pour s engager contractuellement sur un résultat, il faut être capable de proposer à nos clients, en temps réel, en continu et en historique, des indicateurs de résultat pertinents et partagés. Sinon, cet engagement ne pourra être suivi qu avec une approche restrictive de contrat de moyens» déclare Hervé Bidou en préalable. Pour ce responsable de service, la gestion des énergies et la maintenance ne doivent pas se résumer à de simples visites programmées d un site, pour la relève d index compteurs ou pour la maintenance systématique d équipements à des dates de visite prévues par un contrat. Non, pour lui une installation doit se surveiller, se gérer. «une intervention de maintenance, sur un brûleur de chaudière par exemple, doit pouvoir être initiée par une information de perte de rendement énergétique ou encore à partir d un seuil d alerte sur la durée réelle de fonctionnement de l équipement» insiste-t-il à juste raison. «Pour appliquer ces méthodes, il y a deux moyens : soit déplacer régulièrement un technicien pour vérifier tous les points de l installation, soit automatiser le système et le rendre communicant. Le premier étant inenvisageable pour des raisons évidentes de coût, nous avons développé, en partenariat avec Trend, un concept de gestion distante des informations et des automations appliquées à l ensemble des composants des installations» expliquet-il en précisant que Trend a su répondre parfaitement à ses attentes en mettant à la disposition de ses équipes le savoir faire et tous les outils de programmation. Le concept s appuie sur le superviseur et les automates de la gamme Trend qui reçoivent les programmes et les projets développés par Elyo intégrants ainsi la valeur ajoutée de son propre savoir faire métier. Ne pas confondre GTC et Supervision «Notre volonté est d optimiser la gestion des sites pour lesquels nous sommes engagés à garantir les résultats en qualité de fonctionnement, d économies d énergie, de délais d interventions, de pérennité des installations et d assurer la transparence de nos prestations auprès du client. C est également vrai pour les nombreux sites pour lesquels nous n assurons pas une présence physique permanente. La typologie de nos contrats, constitués d installations multiples et géographiquement dispersées, ne nous permet pas, ni techniquement, ni économiquement, d envisager l utilisation de GTC.» commente ce responsable d Elyo Suez. Et de poursuivre, «de surcroît nous pensons que l intelligence doit être embarquée dans les automates présents sur site, ainsi autonomes, et non dans un PC centralisé. C est avec cette approche globale que nous avons orienté nos travaux vers la conception d une solution de supervision. En cela, Trend très avancé dans ce domaine tout comme pour les technologies de communication, s est trouvé être un partenaire précieux.» L intérêt majeur d un tel système réside dans les sources d optimisation qu offrent les possibilités d accès distants. Aujourd hui, 12

olir la distance!» Sur le vif les 1200 collaborateurs d Elyo Midi-Océan, équipés des PC ou de Smartphones (téléphone et bureau mobile) connectés au réseau de l entreprise, peuvent, où qu ils se trouvent et selon leur droit d accès, consulter et éventuellement intervenir sur les installations. De même nos clients se connectent par internet, via le portail électronique Elyodirect, afin d accéder à leur compte personnel et ainsi à l ensemble des indicateurs de résultat ainsi qu aux informations et documents de suivi de contrat. «Mon mot d ordre, insiste Hervé Bidou, est : moderniser nos métiers par la mise en œuvre de télésystèmes pour exploiter autrement ( sans oublier la deuxième partie de cette phrase.)» Un auxiliaire de sécurité incomparable «Nous avons développé, sur nos sites, les capteurs de comptage et de T C sans fil de type Wireless. Une fois encore, c est une étroite collaboration avec Trend qui nous a permis cette avance technologique» dit Hervé Bidou. Cette application est particulièrement appréciable dans le cadre de la surveillance des réseaux d eau chaude sanitaire en particulier dans le cadre de la prévention légionellose. «Nous sommes en mesure de placer des capteurs de température aux endroits les plus inaccessibles, comme des caniveaux ou galeries, en un temps record sur tous les points sensibles d un circuit (bras morts)» précise-t-il. Cette technique permet l enregistrement et l archivage des courbes de T C et de générer une alarme lorsqu un point du réseau présente une T C critique susceptible de présenter un terrain favorable au développement de la bactérie. Ces indicateurs sont accessibles, en temps réel, en continu et en historique grâce à une connexion intranet par les techniciens d Elyo et grâce à une connexion extranet par le client, voire, dans certains cas, selon accord du client, également par les services sanitaires. IL L A DIT. «il faut moderniser nos métiers par la mise en œuvre de télé systèmes pour exploiter autrement». Hervé Bidou Un contrat de réel partenariat avec Trend «Toute notre réussite avec Trend c est le fait d avoir pu intégrer la technologie avancée et les matériels Trend dans notre propre système d information avec pour objectif, atteint, d abolir la distance.» se satisfait Hervé Bidou. Ce concept, Elyo l avait pensé, il ne lui manquait que le partenaire. Trend a su répondre aux attentes de l exploitant avec une réactivité qui a surpris le responsable d Elyo. «Ils m ont dit (trend), nous faisons ce qu il faut pour se mettre en concordance avec votre système d information. Quinze jours plus tard, c était fait!» appréciet-il en ajoutant «Nous avons établi avec Trend une relation équitable. Nous apportons une approche métier concrète, moderne et innovante, qui soutien, conforte, et influence je pense, les efforts de recherche et de développement Trend. Ainsi nous travaillons en vrais partenaires pour l avenir du futur qui n est rien d autre que, déjà, le présent». 13

Une architecture ouverte qui facilite l i Trend occupe une place à part dans l univers des fabricants de matériel de Gestion Technique du Bâtiment. Grâce à sa philosophie d ouverture des systèmes et la capacité d intégration de ses composants, Trend permet à l ensemble des acteurs du bâtiment de bénéficier de nombreux avantages et notamment celui de la liberté par rapport au choix de son prestataire de service. De plus, Trend concentre tous ses efforts à la recherche et au développement, ce qui lui permet de rester toujours avec un temps d avance sur ses confrères. Les principaux bénéfices de ce choix d ouverture sont d une part la capacité inégalée des systèmes Trend à s adapter aux évolutions futures et leur faculté d intégration et d autre part, la faculté de s intégrer à n importe quel système capable de communiquer avec un protocole ouvert. L adaptabilité : une valeur sûre Il y a deux éléments qui sont indispensables pour assurer l adaptabilité d une GTB dans le futur : premièrement, l assurance que le système sera évolutif, capable d être mis à jour tout au long de la vie du bâtiment et, deuxièmement, d éviter d être liés avec un seul et même fournisseur. L approche Trend La clé du succès de Trend tient en quelques mots : sécuriser les investissements de ses clients dans l avenir. Ainsi, à chaque développement d un nouveau système, la compatibilité avec les systèmes antérieurs est une priorité. Compatibilité totale Le «plus» Trend : pas de conflit de génération Un régulateur IQ Trend installé il y a une vingtaine d années peut parfaitement communiquer avec notre plus récent modèle. De plus, dans le cas d une migration de langage au niveau d un réseau (Ethernet ou LON), l ancien et le nouveau système pourront toujours communiquer entre eux grâce à un routeur autodidacte. En effet, les routeurs Trend ont permis aux utilisateurs, durant toutes ces années et quelles que soient les évolutions des réglementations, de continuer à développer leurs systèmes de GTB sans reconfiguration ou remplacements coûteux. solutions... Trend propose une compatibilité totale de tous ses produits avec les protocoles LON, BACnet et OPC, ce qui permet d intégrer ultérieurement des équipements quelque soit la marque, capables de dialoguer avec ces protocoles. Et, pour permettre à ses clients de n être jamais liés avec un unique fournisseur en situation de monopole, Trend commercialise ses équipements au travers d un réseau d intégrateurs indépendants, les System Integrators. Par conséquence, où que vous soyez dans le monde, vous pourrez toujours trouver un large choix de professionnels agrées vous garantissant la maintenance ou l extension de votre GTB. 14

ntégration Solutions Intégration L intégration peut se produire à trois niveaux distincts : la gestion, la régulation et le terrain. Il est utile d avoir plusieurs solutions à disposition pour intégrer les systèmes à différents niveaux. Parmi les trois principaux standards du marché, OPC fonctionne au niveau de la gestion, tandis que BACnet et LON trouvent leurs applications aussi bien aux niveaux de la régulation et du terrain. Intégration : la solution Trend Trend dispose de l ensemble des solutions communiquant avec les protocoles BACnet, LON et OPC afin de répondre aux attentes de l ensemble des clients. Ceci signifie que les solutions Trend sont compatibles avec n importe quel système capable de communiquer avec ces protocoles ouverts. Les plus Trend Trend propose également une gamme de régulateurs intégrés qui sont capables de collecter directement les informations des équipements d un système tiers. Ces régulateurs peuvent s interfacer avec des protocoles RS232, RS485 et maintenant Ethernet. Des centaines d interfaces ont déjà été développées et sont disponibles. Toutefois, les équipes de spécialistes Trend sont à même de développer de nouvelles applications spécifiques si nécessaire. Trend a toujours été empreint d une culture de «l ouverture» et a développé des composants «ad hoc» pouvant être intégrés à d autres systèmes, leur permettant alors de communiquer directement avec le système Trend. L intégration aux réseaux de l entreprise est considérée comme un autre point clé de l avenir des systèmes de GTB au niveau le plus élevé, celui de la gestion. Les régulateurs Trend IQ3 sont tous basés sur des protocoles Ethernet et TCP/IP ce qui simplifie considérablement leur usage grâce à l emploi de navigateurs courants. L utilisation de serveurs web associés à des services web, permettra une intégration des systèmes de gestion d énergie à ceux de l entreprise pour bénéficier ainsi de l utilisation optimale des données collectées par la GTB. Quelques soient vos besoins actuels et futurs contactez-nous : nous sommes en mesure de vous apporter les réponses les plus adaptées. Parfois, une solution particulière demande une coopération étroite entre les acteurs afin de parvenir à une résolution optimale du problème. 15

Une architecture ouverte qui facilite l i Superviseur BACnet système tiers Navigateur web standard 3xtend/EINC L IQ3xcite/96 IQL13+ IQL15+ Passerelle BACnet Trend Routeur LON IQ3xcite/16 IQL17+ IQLVAV Appareils BACnet système tiers IQ3xact Routeur LON LONC Appareils LON système tiers BACnet Ethernet et TCP/IP LON solutions... Trend a une passerelle BACnet qui communique sur Ethernet et fournit une intégration horizontale entre les contrôleurs Trend et d autres systèmes BACnet IP. Il est parfaitement approprié aux systèmes de grande capacité. De plus, la passerelle BACnet peut fonctionner avec d autres supervisions Bacnet d autres fabricants ce qui permet au système Trend d être incorporé dans une large structure BACnet. La gamme des IQ3XCITE Trend fonctionne sur Ethernet et utilise les protocoles TCP/IP. Ils possèdent un serveur web embarqué et peuvent envoyer des emails via un serveur SMTP. En utilisant simplement un navigateur web, l utilisateur peut visualiser et commander son site via une interface graphique. De plus, les services web permettent l intégration à la gestion d énergie de l utilisateur et à son système intégré. Tous les contrôleurs IQL Trend sont certifiés LonMark, et de plus, les LONCs de Trend permettent à d autres appareils LonMark d être intégrés dans un système Trend. La 3xtend/EINC L relie le réseau Ethernet, le réseau boucle de courant Trend et le réseau LON, afin de fournir un système transparent. Par conséquent, l information LON d un système tiers peut être partagée dans tout le système. 16

ntégration Solutions Superviseur 963 Trend Client OPC système tiers 3xtend/EINC L IQ3xcite circa 2006 XNC220 Serveur OPC Trend Appareil système tiers IQ3xcite/XNC IQ3xcite/XNC Appareil système tiers Client OPC système tiers Appareil système tiers IQ2 Series circa 1996 Appareil système tiers IQ1 Series circa 1986 Variateur de puissance communiquant Variateur de puissance communiquant Réseau Clé TCP/IP Ethernet LON Bus Trend Intégration des contrôleurs Trend Trend a une gamme de contrôleurs qui communique sur la boucle de courant Trend ou sur Ethernet et peut fournir des interfaces sur RS232, RS485 et Ethernet. Ces appareils comportent deux parties, la première étant un contrôleur IQ standard et la seconde, un traducteur de protocole. Le réseau de spécialistes Trend en intégration ont écrit plus de 100 applications d interface différentes, telles que MODBUS et MBUS. OPC Trend est un membre de la fondation OPC et dispose d un serveur OPC entièrement compatible à la norme OPC. Le serveur OPC TREND a été utilisé avec succès dans différentes applications. Trend utilise la norme OPC DATA Acces dans laquelle des caractéristiques supplémentaires et importantes ont été intégrées. Premièrement, les calendriers sont facilement gérés et deuxièmement le serveur Trend OPC peut recevoir des alarmes sans nécessité de surveiller continuellement les points critiques. 17 Autres systèmes Les composants Trend faits à la demande, peuvent permettre à d autres systèmes de dialoguer directement avec les appareils Trend quelque soit le réseau. Ceci peut fournir les interfaces uniques non disponibles par d autres moyens.

Centre Hospitalier Manchester à Charleville Mézières Le centre hospitalier Manchester de Charleville Mézières est un établissement neuf d environ 400 lits. Il est destiné à terme à regrouper les activités de l hôpital public actuellement réparties sur 6 sites. Ces sites appartenaient à deux hôpitaux qui existaient avant la fusion des villes de Charleville et de Mézières. A terme, un seul établissement hospitalier, Manchester, regroupera l ensemble des services. Le nouvel établissement englobe déjà la chirurgie, les urgences, les blocs opératoires, et la réanimation dans un bâtiment de 4 étages, la pneumologie et la pédiatrie sur deux étages d un autre immeuble de 4 étages. Deux autres bâtiments abritent l hémodialyse, la néphrologie dans l un et la maternité, la diabétologie et des blocs opératoires dans l autre. D autres services sont également intégrés tels que la radiologie, la rhumatologie, la médecine générale, la gériatrie, la médecine nucléaire et un plateau de rééducation. Enfin, un bâtiment abrite le laboratoire sur deux étages et un autre les services administratifs. Le service de cardiologie intègrera le nouvel hôpital sous un an, la psychologie médicale, la gastro-entérologie et les derniers services médicaux suivront dans les deux ans. applications... Michel Colle, agent chef de maintenance du centre hospitalier démontre sa satisfaction : «le système est excellent, parfaitement convivial et beaucoup plus complet que tout ce que je connaissais. Il offre une multitude de possibilités et nous sommes loin de les avoir toutes exploitées. Trend a formé deux de nos agents qui maîtrisent parfaitement la GTB et désormais nous effectuons en interne toutes les modifications que nous souhaitons». Souplesse, convivialité et autonomie du système La GTB Trend contrôle 80% des installations thermiques de l établissement et 90% de la gestion des alarmes. Le laboratoire et la cuisine centrale disposent d une surveillance autonome grâce à leur propre superviseur tout en conservant un renvoi des alarmes sur le serveur général. Pour la cuisine, le système permet entre autres une mise en mémoire des courbes de températures des chambres froides, données impératives pour le respect de la procédure HACCP. Toutes les alarmes de l établissement sont retransmises sur une imprimante «fil de l eau» située au standard de l hôpital. Le chauffage et le rafraîchissement sont assurés par des CTA fonctionnant en «tout air neuf». Selon l utilisation des locaux, la régulation de la température s effectue par zone ou par pièce. Un fonctionnement en mode réduit s établit automatiquement à partir de 20 heures dans les blocs opératoires en réduisant les débits d air des deux tiers. Une simple commande située dans le bloc permet au personnel de rétablir le fonctionnement normal du traitement d air. Cette opération est imposée au personnel soignant par un signal sonore qui se déclenche dès la mise en «réduit». Installée depuis 1999, la GTB est composée d un serveur 963, d un poste basic 963 et de deux serveurs 962. Ces superviseurs remplacent les anciens 945 installés initialement. Une centaine d automates de la série 200 sont répartis sur l ensemble de l établissement. Une GTB aux multiples possibilités Michel Colle, agent chef de maintenance du centre hospitalier Manchester, se montre particulièrement satisfait des prestations de Trend. Pourtant avoue-t-il «j ai été déçu au début par un mode de programmation qui me semblait particulièrement compliqué par rapport à ce que je connaissais «. Mais il s empresse de rectifier cette première impression : «En fait, je me trompais. Le système est excellent, parfaitement convivial et beaucoup plus complet que tout ce que je connaissais. Il offre une multitude de 18

Applications possibilités et nous sommes loin de les avoir toutes exploitées. Trend a formé deux de nos agents qui maîtrisent parfaitement la GTB et désormais nous effectuons en interne toutes les modifications que nous souhaitons». Une bonne collaboration est établie entre Trend, l intégrateur et les services techniques de l hôpital. Ce qui fait dire à Michel Colle :»Quand il y a des choses qui marchent, nous sommes contents d en parler. Il faut savoir le dire!» Michel Colle est secondé par Laurent Marquis, responsable spécifique de la GTB. Deux techniciens de l hôpital ont été formés par Trend et un troisième est sur le point de l être. 55% des automates ont ainsi été installés, programmés et mis en service par le personnel de l établissement. Les intervenants : BE : Jacobs Installateur : Axima et Ineo Intégrateur : GTI Exploitant : CH Manchester Centre Hospitalier de Paray Le Monial Le centre hospitalier de Paray le Monial en Saône et Loire s étend sur 27000 m² et abrite 196 lits. Etablissement généraliste, il regroupe des services de médecine générale, de chirurgie, un service de pédiatrie et une maternité. 430 personnes y sont employées dont 42 médecins. Un nouveau bâtiment regroupe toutes les activités médicales et chirurgicale, alors que l ancien hôpital est désormais entièrement réservé à la gériatrie et maison de retraite. L hôpital est équipé de quatre blocs opératoires principaux deux aseptiques et deux hyper aseptiques et un bloc pour la chirurgie ambulatoire. Il dispose également d une salle de réanimation divisée en huit box. La GTC Trend assure la gestion de la température, des pressions d ambiance et de l hygrométrie dans la nouveau bâtiment. Elle commande également l éclairage des parkings et des circulations principales 2/3,1/3.. Deux chaudières en cascade dans le nouveau bâtiment et une dans les cuisines alimentent les circuits de chauffage et de production d eau chaude sanitaire. Deux groupes de production d eau glacée, en cascade alimentent les centrales de traitement d air des blocs opératoires. La GTC regroupe toutes les informations concernant le chauffage, la climatisation, les hygrométries, l éclairage, le fonctionnement des groupes électrogènes et les fluides médicaux du nouveau bâtiment. Dans l ancien hôpital, seul les reports d alarme incendie et techniques sont reportés sur la GTC, en information. 19