L école EMI - CFD (Marie) L Ecole des Métiers de l Information propose une palette très variée de formations pour tous les niveaux en journalisme, graphisme, photo, édition, multimédia et communication. Pour évoluer dans ces univers, l école propose une dizaine de stages qualifiants, d une durée de quatre à huit mois. Chacun peut également bénéficier d une formation "sur mesure" grâce à un réseau de professionnels appartenant aux différents métiers de l information. Pour les journalistes soucieux de s adapter aux différentes évolutions du métier, des stages de perfectionnement permettent aussi d élargir ses compétences ou d améliorer ses connaissances dans différents domaines (informatique, écriture, connaissances pratiques, etc.) L EMI CFD organise également des conférence et rencontres avec des professionnels, ainsi que des ateliers ciblés sur les nouvelles pratiques du journalisme et de la communication. Adresse7/9, rue des Petites Écuries, 75010, Paris, France L Ecole des métiers de l information (EMI-CFD) propose un ensemble de formations dans les secteurs de la presse, de l édition, des arts graphiques, de la photographie et du multimédia. Cette diversité, unique dans le paysage de la formation professionnelle, est un atout à l heure de la convergence des médias. Grâce à un réseau comptant un millier de professionnels en exercice, cette école intègre rapidement, aux métiers, les besoins créés par les nouvelles technologies de l information dans le domaine des médias et de la communication. Aujourd hui, un journaliste de presse écrite doit savoir rédiger pour un site web, un graphiste concevoir des visuels adaptés au papier comme à l électronique, un photojournaliste maîtriser les nouveaux canaux de diffusion de ses images... Ces nouveaux défis exigent non seulement une évolution de la formation à ces métiers, mais aussi une réflexion approfondie sur les conséquences entraînées par un tel changement. L EMI-CFD répond à ces deux objectifs, en élargissant la palette de son offre sans transiger sur la qualité du traitement de l information. Afin de répondre au mieux à ses besoins, chaque candidat voit son projet faire l objet d une évaluation personnalisée avant l élaboration du programme de formation. Durant son parcours, le stagiaire acquiert toutes les bases du métier choisi, mais bénéficie aussi d enseignements communs à plusieurs filières : conférences, travaux école, ateliers... La validation de la formation s effectue par contrôle continu et évaluation finale par un jury composé de professionnels. Cette école travaille dans le même esprit avec les entreprises, en proposant une offre de formation qui répond aux exigences de la direction mais aussi aux besoins des équipes. Modules interentreprises, sessions sur mesure, ateliers de réflexion, conférences professionnelles : ces derniers mois, Ouest France, Libération, Moto magazine, Etapes, la Mutualité française, 2R2C, Reporters sans frontières... ont fait confiance à EMI CFD pour participer à la mise en œuvre de leurs projets éditoriaux et visuels. Enfin, la volonté de maîtriser, d enrichir et de partager cette expertise acquise, essentiellement humaine et sociale, conduit à choisir le statut de coopérative pour l entreprise. On considère en effet que le fruit de l intelligence collective de l équipe résulte avant tout des exigences et désirs de chaque membre.
Les études de journaliste (Sandrine) En général pour les études de journaliste, il est conseillé de faire un bac S ou ES ou L. Le salaire d un débutant peut varier de 1 500 à 2 500 bruts par mois. Les recrutements et les débouchés sont faibles. Il y a 13 formations qui sont reconnues par la convention collective des journalistes. Ce sont : Quatre écoles privées : 1. Le Centre de formation des journalistes de Paris : - Le coût annuel des études est de 3500 par an (1900 pour les boursiers). - La durée des études est de 2 ans et un recrutement par concours à partir de bac +2. Ce sont les concours communs CFJ et IPJ. - Il y a 40 places pour 805 candidats. 2. L Ecole supérieure de journalisme de Lille : - Le coût annuel des études est de 3900 par an (gratuit pour les boursiers). - La durée des études est de 2 ans et un recrutement par concours à partir de bac +3. C est le concours commun ESJ-Lille- IEP Lille. - Il y a 680 places pour 800 candidats. 3. L Institut pratique de journalisme à Paris : - Le coût annuel des études est de 4380 par an. - La durée des études est de 2 ans et un recrutement par concours à partir du bac +3. Ce sont les concours CFJ et IPJ. - Il y a 44 places pour 800 candidats. 4. L Ecole de journalisme de Toulouse : - Le coût annuel des études est de 3750 par an pour les 2 premières années et 3000 pour la 3 ème année. - La durée des études est de 3 ans et un recrutement par concours à partir du bac +2. - Il y a 30 places pour 382 candidats. Deux IUT : 1. IUT Lannion : - Le coût annuel est les frais d inscriptions universitaire (environ 300 ). - La durée des études est de 2 ans pour un DUT et un an de plus pour la licence pro et un recrutement sur dossier et entretien à partir du niveau bac. - Il y a 28 élèves pour plus de 800 dossiers. 2. IUT de Tours : - Le coût annuel est les frais d inscriptions universitaire (environ 300 ). - La durée des études est un an pour l année spéciale (presse magazine) deux ans pour le DUT et trois ans pour la licence pro et un recrutement sur dossier et entretien à partir du bac +1/+2. - Il y a 30 élèves sélectionnés pour plus de 800 dossiers. Sept écoles publiques en fac : 1. Le master Journalisme de Sciences Po Paris 2. L'EJCM (École de journalisme et de communication de Marseille, Aix-Marseille-II). 3. Le CUEJ (Centre universitaire d'enseignement du journalisme) de Strasbourg-III. 4. Le Celsa (École des hautes études en sciences de l'information et de la communication) de Paris-IV. 5. L'ICM (Institut de la communication et des médias) d'échirolles-grenoble-i. 6. L'IFP (Institut français de presse). Elles fonctionnent comme les écoles privées. 7. L'IJBA (Institut de journalisme de Bordeaux Aquitaine), ex-dut, prépare au master. Pour ces 7 écoles, il faut payer les frais d inscriptions (environ 300 ). Ils font un recrutement par concours à partir du bac +3 et une durée d étude de 2 ans. Les qualités requises pour être journaliste sont : la culture générale et l esprit critique. / - La bonne expression écrite et orale / La rigueur / Le contact facile.
Ensemble des formations pour faire du journalisme.(syana) Pour devenir journaliste il faut avoir une solide culture générale ou se spécialiser dans un domaine.il n'y a pas de formation type pour devenir journaliste. Le cursus normal est de faire une grande école de journalisme Ces écoles sont généralement assez coûteuses et durent 3 ans. L'idéal est de faire un DUT journalisme puis de passer le concours pour entrer au CFJ (centre de formation des journalistes ). Il existe 12 écoles de journalisme (Institut Français de presse, Master de journalisme, ICM (Institut de la Communication et des Medias), IUT Lannion, Ecole de Journalisme de Toulouse, Institut Pratique du Journalisme, Ecole de Journalisme et de Communication de la Méditerranée, CELSA Master option journalisme, Centre Universitaire de Technologie de Tours, Institut de Journalisme de Bordeaux Aquitaine, Centre Universitaire d Enseignement du Journalisme de Strasbourg, Ecole Supérieure de Journalisme de Lille, Centre de Formation des Journalistes.) reconnues par la profession, 4 seulement d'entre elles sont privées. Les publiques sont des facs soit des UIT, chacune est plus ou moins spécialisée dans un type de média ( radio, télé ou presse écrite) mais bien que publiques la plupart comportent une sorte de concours d'accès pour lesquels il est recommandé d'avoir déjà fait des stages et/ou des piges(freelance et payé à l'article) dans les journaux locaux. Une licence Bac +3 en histoire, en langues vivantes ou en lettres peut être une bonne initiative pour ouvrir des portes une fois la formation terminée. Deux années supplémentaires dans une bonne école de journalisme, telle que Cuej ou ESj ne peuvent que aider à obtenir un emploi en journalisme. Il ne faut pas non plus hésiter à faire plusieurs stages en milieu de travail. On peut également faire des prépa lettre "hypocragne, puis cragne " De plus la connaissance de l'anglais est un atout majeur dans le monde des communications. Les stages en entreprise, même s'ils ne servent qu'à observer, sont très utiles et, finalement, la maîtrise du français, parlé et écrit, est primordiale.
Les avantages d internet par rapport a la presse (anaïs) Un des inconvénients de la presse écrite est le coût. En effet, maintenant, grâce à Internet, les coûts sont réduits, car il n est plus nécessaire de payer l encre, ni le papier, qui de plus de nos jours, avec le réchauffement climatique, permet ainsi une économie de papier et réduit un peu la déforestation qui frappe fort. Un autre avantage, c est l instantanéité. Effectivement, au lieu de devoir attendre un délai avant l impression et la publication des journaux, on peut désormais aller sur internet pour recevoir toutes les informations que nous souhaitons. De plus, avec le progrès de la technologie, ayant internet sur son smartphone, on peut avoir accès à ces infos, n importe où, n importe quand. En plus de pouvoir obtenir toutes ces infos quoi que nous fassions, il est en effet également possible de commenter un article publié, d interroger, de communiquer ou de faire parts de son avis au journaliste qui l a rédigé. Ainsi, cela crée une interactivité entre le lecteur et l auteur et qui permet ainsi à la population de s investir un peu plus dans la société Maintenant, dans toute publication sur Internet, on ajoute des informations complémentaires qui n étaient pas forcément mises sur papier comme par exemple les journaux économiques qui donnent des bases de données et des analyses dans le but de personnaliser un peu plus la presse en ligne. Il est également possible de pouvoir ajouter un son, une image ou une vidéo à un article sur le Net, alors que cela était impossible à faire à l écrit.
Les inconvenients d internet pour la presse (lauren) Internet a profondément bouleversé les pratiques en matière de recherche, de traitement et de diffusion de l information. Cette tache n est plus le monopole exclusif des journalistes professionnels. Grâce aux forums, blogs et autres réseaux sociaux, tout le monde peut se proclamer journaliste. La presse écrite qui était chargée d analyser l évènement du jour se retrouve désormais dans une course effrénée d annonces. Le journaliste qui était l analyste du jour se trouve maintenant pris au piège de cette dictature de la toile. Il est désormais l analyste de l instantanéité. Recherche, traitement et diffusion de l information, tous peuvent désormais le faire. Le journaliste professionnel perd le monopole d annonce ou d analyse d évènement. Avec les réseaux sociaux, on parle de journalisme citoyen alternatif. Les sites personnels, les blogs, les forums de discussion permettent aux citoyens de contrôler l action de la presse. Le journaliste se doit d être plus rigoureux car le citoyen peut maintenant intervenir pour démentir ou analyser son travail. Le journaliste est désormais l analyste de l instantanéité : «L instantanéiste». Il n a pas toujours le temps de recouper les informations reçues ou de vérifier les sources, donc il s expose au risque de la «désinformation». Les règles de base ne sont plus respectées, vie privée et vie publique sont confondues, la crédibilité du journaliste hypothéquée avec l entrée en action de certains donneurs d informations sans la moindre formation. Ces dérives ne sont pas nouvelles mais ont été démultipliées avec Internet. La liberté de la presse est un droit fondamental, le respect de la vie privée aussi. Le non respect du secret médical, l intervention dans la vie privée, l utilisation abusive de l image; ce sont autant de cas de violation de la vie privée.