vers des Business Process Platforms

Pour vos appels d offre vers des Business Process Platforms 54 Qu est-ce qu un ERP aujourd hui? Si vous posez la question autour de vous, vous constaterez qu il y a presque autant de définitions que d interlocuteurs! Il est vrai que ces outils informatiques ont bien évolué. De plus, tout dépend du point de vue de l observateur : tion, utilisateur, éditeur, intégrateur Pour le CXP, «L Enterprise Resource Planning (ERP) ou Progiciel de Gestion Intégré (PGI) est un progiciel qui intègre les principales composantes fonctionnelles de l entreprise : comptabilité, contrôle de ges- Depuis leur arrivée sur le marché dans les années 1980, les progiciels de gestion intégrés, dits ERP, n ont cessé d évoluer. D outils limités et monolithiques, ils se sont progressivement enrichis fonctionnellement pour intégrer la relation client (CRM), la relation fournisseur (SRM), l optimisation de la chaîne logistique (SCM), la gestion du cycle de vie des produits (PLM), la Business Intelligence (BI), etc. En parallèle, ils se sont spécialisés par métier (Pharmacie/ Chimie, Automobile, Retail ). D abord réservés aux grands comptes, ils se sont aussi adaptés aux PME/PMI. Sur le plan technique, ils ont peu à peu remplacé leurs outils propriétaires par des technologies standard et ouvertes (.Net, architecture orientée service ). Aujourd hui, le monde des processus métiers et celui de la technologie convergent à travers des Business Process Platforms. Le but des éditeurs étant d offrir aux entreprises des solutions ouvertes et évolutives, dans un environnement international et ce, à des coûts et délais maîtrisés. Mais gare aux investissements élevés que tous les éditeurs ne pourront consentir pour rester dans la course ERP paie, ressources humaines, logistique, gestion commerciale, gestion de production. A l aide de ce système unifié, les utilisateurs de différents métiers travaillent dans un même environnement, reposant sur une base de données unique. Ce modèle assure l intégrité des données, la non redondance de l information et des temps de traitement réduits.» Pour Isabelle Saint Martin, Chef de produit Microsoft Dynamics Nav, une telle définition se place du point de vue de l éditeur ou de l analyste. «Pour les PME, indique-t-elle, l ERP est tout simplement leur sys- N 14 - SUPPLY CHAIN MAGAZINE - AVRIL 2007

tème de gestion.» Peu leur importe de savoir si l outil a été développé spécifiquement par des informaticiens maison, par une SSII locale ou chez un ou plusieurs éditeurs. Une évolution en quatre temps Comme le relate Marc Bensoussan, Vice président de CSC, «l ERP a d abord couvert les fonctions backoffice de type finance, comptabilité et ressources humaines. Puis, il s est ouvert aux autres fonctions pour atteindre le cœur de métier de l entreprise avec la gestion de production. Une troisième grande tendance a été la verticalisation métier. Et enfin, à présent, les ERP jouent l ouverture à la fois sur le plan de la technologie et des processus avec l arrivée de la S.O.A. (Service Oriented Architecture)». C est le schéma suivi par les deux éditeurs d ERP leaders. Parti d une technologie propriétaire peu innovante, SAP a progressivement enrichi son offre sur le plan fonctionnel, puis sur celui des processus en devenant plus transversal. Il s est ensuite ouvert sur le plan technologique en migrant vers les architectures orientées services (S.O.A.). De son côté, maître incontesté de la base de données et de culture plus technique à l origine, Oracle a construit progressivement une plate-forme ouverte sur divers process d entreprise en acquérant Retek (Retail), JD Edwards (PME, Industrie), Peoplesoft (RH, Finance), Siebel (CRM), Hyperion (B.I.) «Alors qu ils étaient encore très différents il y a trois/quatre ans, SAP et Oracle sont à présent assez comparables et tous deux ouverts sur le plan des Business process et de la technologie», analyse Marc Bensoussan. Business Process Platform, c est-àdire, de la capacité à trouver des solutions pour gérer un Business d entreprise.» Ainsi, au-delà du contenu fonctionnel et technique, l accent est mis davantage sur la fin que sur les moyens. L idée étant de proposer des solutions collant au mieux aux besoins du client s appuyant sur des plates-formes technologiques ouvertes (c est-à-dire communiquant aisément avec d autres applications, évolutives, et aisément accessibles). Bien plus, après avoir longtemps misé sur son centre de Walldorf pour développer lui-même les briques manquant à son ERP, l éditeur allemand change de cap. «Nous avons de plus en plus d accords de partenariats technologiques avec le monde du MES (Apriso, Visiprise, Wonderware ), des WMS (A-Sis ), celui des pièces détachées, de la gestion de caisse, etc. Nous ouvrons notre ERP à des solutions tierces en proposant de porter ces applications sur notre serveur Java», explique Jean-Roland Brisard, Directeur solutions industrie chez SAP France. Et Benoît Gruber de compléter : «Dans l industrie, nous avons des liens de plus en plus étroits entre les ERP, les MES et les outils de gestion d atelier. Nous établissons des liens forts au niveau «les ERP jouent l ouverture à la fois sur le plan de la technologie et des processus avec l arrivée de la S.O.A.» Marc Bensoussan, Vice président de CSC de la remontée de données et des informations de reporting (XAPPS, XMII ). L intégration du monde de la gestion de celui des métiers est une tendance lourde.» Les ERP s invitent chez les PME/PMI Après avoir largement investi les grands comptes, les éditeurs d ERP se livrent une nouvelle bataille pour entrer dans les PME/ PMI. En France, le baromètre IDC/Oracle de novembre 2006 estimait en effet les dépenses informatiques (matériel, logiciels et services) effectuées l année dernière par les PME de 50 à 2.000 salariés à près de près de 22 milliards d euros. Et pour 2007, ces investissements devraient croître en moyenne de 5,9 %, avec une dynamique plus forte dans les plus petites d entre elles (+ 6,7 % pour les entreprises de 50 à 100 salariés, + 6,4 % pour les entreprises de 100 à 500 employés). Mais ce marché est plus difficile à conquérir. En effet, sa complexité réside d une part dans la grande diversité des problématiques métiers à aborder et d autre part dans le manque de moyens dont disposent ces entreprises, comparé aux grands comptes. De plus, elles aussi acquièrent depuis quelques années une cer- 55 Relier le monde de la gestion et des métiers Benoît Gruber, Industry Principal Manager, SAP France, confirme cette évolution : «Nous parlons de moins en moins d ERP et de plus en plus de AVRIL 2007 - SUPPLY CHAIN MAGAZINE - N 14

Pour vos appels d offre Les promesses du SOA Les architectures orientées services reposent sur des services, i.e. des fonctions encapsulées dans un composant interrogeable par une requête. Ces composants logiciels vont pouvoir être regroupés dans des bibliothèques et consultés aisément à distance par différentes applications ou utilisateurs, selon des droits d accès établis. Cette architecture va faciliter l interopérabilité entre des applications hétérogènes ainsi que les échanges (XML, Web services plus légers que les outils de connexion EAI ou les échanges de données informatisés, EDI). Autre avantage, en ajoutant un serveur applicatif intermédiaire entre le serveur central et le client léger, la SOA permet de passer en architecture 3 tiers (avec des connexions plus légères au niveau utilisateur) au lieu du client/ serveur. Enfin, les programmes sont développés dans des langages standard et des technologies ouvertes et inter opérables, gages de souplesse, de pérennité et de baisse des coûts (mutualisation vs verrouillage propriétaire). Si les éditeurs n ont pas encore réécrit l intégralité de leur offre, c est clairement le standard qui va s imposer à moyen terme. filiale dédiée à la GRC (Gouvernance, Risk & Compliance). Autre besoin de plus en plus pressant de la part des entreprises de toutes tailles compte tenu de la mondialisation : la capacité des éditeurs d ERP à les accompagner à l international. «Nos solutions doivent être disponibles dans toutes les langues et répondre aux différentes législations pour pouvoir être déployées sur plusieurs continents», indique Jean- Roland Brisard. Ainsi, les grands éditeurs comme SAP et Microsoft disposent d équipes de développement dans chaque pays qui suivent les évolutions réglementaires et législatives en matière de ressources humaines, de fiscalité pour les intégrer aux solutions. 56 taine maturité, de sorte qu elles deviennent beaucoup plus exigeantes vis-à-vis des offreurs de solutions. «La demande des PME est forte avec des tendances différentes d il y a trois ou quatre ans, remarque Isabelle Saint Martin. Les besoins sont exprimés de manière très simple : «Nous voulons équiper notre entreprise d un système de gestion», mais le pré requis pour être retenu est de disposer en standard de spécialités métiers. Qu elles renouvellent leur système d information ou sortent du papier/ crayon, les PME savent que l offre ERP a évolué et mènent à présent de véritables projets d entreprises.» Il s agit de moderniser la force de vente, d optimiser la logistique... Et les objectifs sont clairs et rapidement mesurables en termes de résultats. De nouvelles exigences «L ERP devient un outil de Compliance, c est-à-dire de garantie que les bonnes règles de gouvernance sont respectées», souligne Jean-Roland Brisard. Il note en effet que les clients demandent de plus en plus à leur outil de gestion de permettre de contrôler toutes les activités. A travers la traçabilité d une part (respect des normes et réglementations, du process dans l agroalimentaire, la pharmacie, la chimie, etc.) et la capacité à auditer d autre part (Sarbane Oaxley ). «Nous disposons d outils qui analysent tous les utilisateurs connus et leurs droits. Ils sortent des alertes en cas de cumul de fonctions dangereuses (ex : pouvoir créer une fiche fournisseur et le régler) et proposent des actions correctives.» SAP a d ailleurs acquis la société Virsa, «Nous parlons de moins en moins d ERP et de plus en plus de Business Process Platform, c est-à-dire, de la capacité à trouver des solutions pour gérer un Business d entreprise.» Benoît Gruber, Industry Principal Manager, SAP France Prendre les bonnes décisions En outre, la capacité à prendre rapidement les décisions appropriées devient décisive. Ainsi, dans Microsoft Dynamics Nav 5.0, les outils de reporting temps réel sont intégrés directement à l écran de travail personnalisé de l utilisateur. De sorte qu il peut suivre en permanence des indicateur clefs ou être alerté en cas de problème (ex : réagencement d un rayon dont le chiffre d affaires est particulière- N 14 - SUPPLY CHAIN MAGAZINE - AVRIL 2007

Pour vos appels d offre 58 Les balbutiements de l ASP et de l Open Source Faire héberger son ERP (infogérance) et louer son utilisation en mode ASP (Application Service Provider) peut présenter l avantage de faciliter la maintenance et de réduire les coûts (variables). Pour autant, si cette solution a quelques adeptes (28 % des PME ayant demandé un devis dans ce sens selon le baromètre 2006 de Companeo), elle se cantonne essentiellement aux applications de comptabilité, RH, formation, marketing et téléphonie. Et il semble que les éditeurs en parlent pour le moment plus que leurs clients De même, l Open Source ne semble séduire que les PME, et pour le moment de manière encore relativement confidentielle. ment faible). De même, chez SAP : «Le reporting ne s effectue plus à la fin du projet via des outils tiers comme Business Object ou Cognos. BW est intégré à nos solutions et le reporting fait partie du périmètre du projet. Un utilisateur SAP a autant de transactionnel que de reporting sur son écran, car il a autant de besoins liés à l exécution qu au pilotage/ contrôle», expliquent Jean-Roland Brisard et Benoît Gruber. Pour faciliter la réalisation de statistiques d aide à la décision plus long terme ainsi que la gestion des documents, des passerelles sont également tendues vers les outils bureautiques. «L intégration est de plus en plus forte avec les outils de bureautique. Par exemple, dans Demand Planer, on peut exporter le tableau de planification vers Microsoft Office puis revenir dans DP après l avoir modifié sur Excel», déclare Jean-Roland Brisard. Des clients plus matures «Les demandes sont beaucoup moins génériques et portent moins sur les fonctions traditionnelles de type comptabilité/finance que sur les spécificités métiers, complète Isabelle Saint Martin. Exemple : «Nous recherchons un système de gestion qui couvre l Horlogerie.» Elle note également que la mobilité est un axe fort de développement des PME. Autre signe «Un utilisateur SAP a autant de transactionnel que de reporting sur son écran, car il a autant de besoins liés à l exécution qu au pilotage/ contrôle» Jean-Roland Brisard, Directeur solutions industrie chez SAP France. de maturité de ces entreprises : la partie technique est de plus en plus intégrée aux solutions. «Avant, ces questions étaient plutôt abordées à part et traitées par des responsables informatiques. Aujourd hui, les demandes émanent de la bouche même du patron de la PME.» Même constat de progrès au niveau de la gestion des projets par Thierry Ceyras, Directeur des opérations et membre du directoire de Qualiac : «Le temps des très gros projets s achève car les clients se sont aperçus qu ils avaient du mal à les maîtriser. Aujourd hui, les projets sont plus pragmatiques et l approche anglosaxonne prédomine : une stratégie, puis un avancement de projet pas à pas. On étale la mise en place de l ERP sur deux à trois ans, en définissant des problématiques et en intégrant petit à petit de plus en plus de collaborateurs pour accomplir finalement le schéma final. Les entreprises ont fait d énormes progrès en termes de sensibilisation du personnel et d adaptation aux processus» Une «nouvelle race» de consultants Pour Marc Bensoussan, qui a une vision grands comptes, la réduction des délais de mise en œuvre des ERP atteint ses limites. «Du plan stratégique à la mise opérationnelle, il se passe un an ou deux contre cinq à six auparavant. Ces délais sont déjà très courts et certaines entreprises peinent à suivre le rythme. Accélérer encore s avèrerait risqué d un point de vue humain, car il faut un minimum de temps pour transformer durablement une entreprise», estime-t-il. Selon lui, le défit majeur aujourd hui est de trouver des ressources dotées d une double compétence, à la fois processus métier et technique, capables d accompagner les entreprises dans leur mutation. «Pour éviter les erreurs de conception ou de mise en œuvre et maîtriser les délais, il faut tout mettre dans la même tête», résume le Vice Président de CSC. Or, N 14 - SUPPLY CHAIN MAGAZINE - AVRIL 2007

les profils actuels sont souvent soit techniques, soit fonctionnels, du fait d un clivage historique entre ces deux mondes qui convergent à présent. Il ne sont donc pas immédiatement opérationnels et doivent être formés. Pour combler ce manque, le cabinet CSC lance un Mastère en partenariat avec l Université Paris Dauphine. Dès septembre 2007, 30 à 40 consultants seront formés à la double compétence pour répondre aux besoins du marché. Dans le cadre de l apprentissage, cette formation sera rémunérée et les heureux élus auront la garantie de l emploi. Cerise sur le gâteau, grâce à un partenariat avec l Université d Atlanta, ils auront même un double diplôme. Déployer un ERP en moins de 20 jours! Pour séduire les PME, éditeurs et intégrateurs ont redoublé d efforts afin de réduire les délais et les coûts de mise en œuvre. Ainsi, les offres sont plus packagées (i.e. intègrent des processus basés sur les bonnes pratiques et les spécificités métiers) et les méthodes de conduite de projet ont été affinées. «L enjeu des projets ERP est crucial pour les PME car ils peuvent mettre en péril leur activité. Elles recherchent un engagement sur la mise en œuvre rapide ainsi qu un accompagnement dans le temps, dans le cadre d un budget contraint. Nos partenaires intégrateurs les accompagnent et s engagent sur les résultats, l offre de service et le support (formation, hot line, évolution des connaissances après la mise en œuvre ). En tant qu éditeur, nous nous engageons sur l évolutivité de la solution», déclare Isabelle Saint Martin. Ce qui implique également la conception par Microsoft de solutions rapides à installer. «Nous avons fait de gros efforts pour développer un plan de mise en œuvre ultra rapide, poursuit-elle. Le principe consiste à proposer une solution intégrant les spécificités métiers très proches des besoins des utilisateurs et à travailler par écart. Grâce à cette méthode, Microsoft Dynamics Nav peut être déployé en moins de 20 jours sur un périmètre léger (i.e. hors production et logistique)». D autres fonctionnalités ont été insérées à destination des intégrateurs. Par exemple, depuis la version 4.01, Microsoft Dynamics Nav intègre une fonction de reprise de données (RIM, s appuyant sur l import/ export et les macro instructions d Excel). Cette étape, souvent pénalisante en termes de temps dans les projets, est néanmoins indispensable pour conserver la mémoire de l entreprise et garantir la qualité des données. En plus d accélérer la reprise de données, cette fonction facilite la réplication à d autres sites d un Core System développé, par exemple, pour une filiale représentative. «Certains intégrateurs ont même développé des offres TPE à partir de RIM», ajoute-t-elle. Poursuite de la concentration Mais toutes ces évolutions du marché des ERP coûtent cher. Pour rester dans la course sur le plan technologique et affiner les solutions sur le plan métier, les investissements sont élevés. Si bien que les éditeurs regroupent leurs forces. «Plus de deux cent mouvements de fusions/ «L enjeu des projets ERP est crucial pour les PME car ils peuvent mettre en péril leur activité.» Isabelle Saint Martin, Chef de produit Microsoft Dynamics Nav acquisitions ayant impliqué au niveau mondial des éditeurs de logiciels de gestion d entreprises ont été comptabilisés à ce jour depuis janvier 2004», constatait IDC France. Ainsi, Oracle englobe Peoplesoft et JD Edwards, mais aussi Retek, Siebel, G Log Lawson a avalé Intentia. Cegid a repris CCMX, PMI Soft, IsoTool et s apprête à intégrer AS Infor. Infor a repris SCT, Infor Business Solution, Datastrean, Geac, Lilly Software, Mapics, Mercia Software, SSA Global qui luimême avait acquis Baan, Caps Logistics, Exe Technology Sage a repris C2G, Elit après avoir acquis Adonix qui avait racheté Cle 128 Bref, on y perd un peu son latin! Le point positif étant que l on devrait y voir plus clair prochainement puisque le nombre d acteurs, et donc de marques, diminue... Pour Jean-Roland Brisard, le marché des éditeurs d ERP compte deux catégories d acteurs : les grands ayant une couverture mondiale et une présence sur tous les processus Business (SAP, Oracle, Microsoft) et des acteurs de niche (tous les autres). Et tous nos interlocuteurs s accordent sur le fait que la concentration devrait encore se poursuivre Cathy Polge 59 AVRIL 2007 - SUPPLY CHAIN MAGAZINE - N 14

Pour vos appels d offre PRINCIPAUX EDITEURS D ERP Figurent dans ce tableau les principaux éditeurs d ERP que nous avons consultés et qui nous ont répondus dans les délais impartis. Pour en savoir plus, veuillez consulter la rubrique POUR VOS APPELS D OFFRE/ERP de notre site www. SupplyChainMagazine.fr. Vous y retrouverez l intégralité du Dossier ainsi que les fiches détaillées téléchargeables gratuitement de chacune de ces solutions (plus d autres parvenues après cette parution). EDITEUR Solution Implantation C.A. total Cible Couverture fonctionnelle / Coût 2006 M spécificité à partir de AGENA 3000 Genacod France 7,5 Toutes tailles Gestion de la chaîne 200 ERP Industrie CPG logistique des fournisseurs mode ASP de la grande distribution AGIPROD AgiProd Pays 3,4 5 à 50 pers. Mécanique, GPAO, prévision/ 500 HT Groupe SILOG francophones électronique, planification licence plasturgie,agro- et collaboration. alimentaire, auto AUDAXIS Compiere Monde 4,3 10-500 pers. distribution, Open source Ex : 40 K (COMPIERE) négoce, industrie, média, Préconfiguré marché total PME associations français, personnalisable distribution CEGID Cegid France 228,2 TPE à grande E, Large couverture hors NC Business Tous secteurs transport et entrepôt fin. Expertise PME/PMI CYLANDE Cyrus France,Italie,Chine 21,8 Grande distribution Solution dédiée GD NC 60 CYLANDE Storeland France,Italie,Chine 21,8 Commerce spécialisé Solution SCE hors Prod. NC DIVALTO Divalto Pays 6,7 1 à 500 pers. négoce, Verticaux mécanique- 900 (ex Interlogiciel) francophones industrie, services décolletage, BTP, agro- licence alimentaire + qualité, 99 ASP métrologie, SAV, ordonnancement EUREKA Eurêka ERP France 3 > 50 pers, 15 M CA. Large couverture 15 K SOLUTIONS Distribution, négoce, AS400/windows licence industrie, emballage, mobilité 800 K vin, parapharmacie projet EXACT Exact Globe Monde 242,1 50 à 500 pers. Large couverture 1.000 / SOFTWARE Enterprise/ et > 500 pers. 30 langues user FRANCE e-synergy Tous secteurs licence EXPERTUS Pyra XRP F, A, NL, 1,6 < 500 pers. commerce gros, Outil de gestion complété 12 K HT SOLUTIONS Maghreb prev 2007 distribution, fournisseurs par module planification/ licence GD, CAT, édition, hôpitaux ordo. Windows 20 K projet GALION Galion France 4,8 20 à 1.000 pers. Dédié, flux tendu auto, NC SOLUTIONS Automotive équipementiers EDI intégré, AS400 GENERIX/ Generix Monde 45 Toutes tailles Distribution, Solution SCE NC INFLUE Collaborative négoce, industrie, hors production Enterprise prestataires log. IBS IBS Monde 255 PME-PMI, filiales Solutions verticales pharma, 1.000 Enterprise commerce de gros, négoce, édition, mat. électrique, licence production fournitures de bureau, 180 K emballage projet IFS IFS Appli- Monde 233 10 M à > 200 M Large couverture 1.500 / cations 7 Négoce, industrie, services 7 solutions verticales user S.O.A. depuis 1995 INFOR Infor ERP LN Monde 2,1 Md$ CA > 30 M$ aéro & defense, Large couverture avec NC automobile, electronique extensions à venir Evolution techno vers SOA INFOR Infor ERP Monde 2,1 Md$ PME/ PMI production Idem NC Syteline mode discret JEEVES Jeeves ERP Monde 14 Mid Market Production, Large couverture, solution 1.350 / (licence) négoce, services récente sur le plan techno. user ou 39 Va être portée sur AS400 mois/user LAWSON Lawson M 3 Monde 391M$ CA > 35 M agroalimentaire, Expertise PME NC mode/ textile, distribution, Large couverture automobile, process/ discret fonctionnelle N 14 - SUPPLY CHAIN MAGAZINE - AVRIL 2007

EDITEUR Solution Implantation C.A. total Cible Couverture fonctionnelle / Coût 2006 M spécificité à partir de MICROSOFT Dynamics Monde 36,8 Md$ > 200 pers. Industrie, négoce, 36 langues. 1.700 / AX distribution, services, Large couverture user simul. secteur public. hors transport. 0,3 M projet MICROSOFT Dynamics Monde 36,8 Md$ 20 à 500 pers. Industrie, Large couverture 1.500 / Nav négoce, distribution, fonctionnelle hors user simul. services prévisions (TXT) et transport. Ratio 1/1 Mise en œuvre moins 20 j service/licence ORACLE JD Edwards Monde 14,4 Md$ PME/PMI, Filiales Large couverture fonction- 50 K Enterprise One CA > 30 M nelle hors planification trans. licence ORDIROPE MINOS France 15,3 Fournisseurs GMS Bonne gestion production NC toutes tailles et logistique. Collaboratif. QUALIAC Qualiac ERP Europe, Niger, 10,8 CA > 70 M Spécialisé process. Qualiac NC Canada Tous secteurs Maîtrise chaîne des dépenses SAGE Sage X3 Monde 1.368 Moyenne à grande, auto, Outil de gestion intégré 2.500 / Enterprise pharma, chimie, GMS, à Geode WMS user simul. services, mode Ratio 1/1 à 1/2 SAP SAP ERP Monde 9.402 Md Toutes tailles 30 langues, 25 solutions NC Tous secteurs verticales. Très large couverture fonctionnelle SILOG Silog ERP France 3,6 PME/PMI Industrie Bonne couverture hors RH, 1.500 / achats, transport, Windows user SILVERPROD Silver CS France 6 > 80 pers. Gestion à l affaire et 10 K licence Industrie manufacturière petites/grandes séries. 100 K projet SYLOB Sylob 7 France 4,7 PMI > 30 à 500 pers. Solutions verticales 2.000 aéronautique, auto, agro, licence électronique 80 K projet VIF VIF France, Brésil 10,8 CA > 5 M, > 20 pers. Spécificités process agro- 200 K Industrie agroalimentaire alimentaire. MES intégré projet 61 AVRIL 2007 - SUPPLY CHAIN MAGAZINE - N 14