COMMUNICATION FINANCIÈRE au 31 décembre 2013



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COMMUNICATION FINANCIÈRE RÉSULTATS 2013 COMMUNICATION FINANCIÈRE au 31 décembre 2013 AVIS DE CONVOCATION DES ACTIONNAIRES COMPTES SOCIAUX AU 31 DÉCEMBRE 2013 de Société Générale marocaine de banques ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS IAS/IFRS AU 31 DÉCEMBRE 2013 EXPOSITION AUX RISQUES ET STRATÉGIE DE COUVERTURE EXTRAIT DES ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS DU GROUPE SOCIÉTÉ GÉNÉRALE AU 31 DÉCEMBRE 2013 EXTRAIT des comptes sociaux de SOCIÉTÉ GÉNÉRALE Tanger Off shore AU 31 DÉCEMBRE 2013

AvIS DE convocation DES AcTIONNAIRES Assemblée Générale Ordinaire de la Société Générale Marocaine de Banques du 14 Mai 2014 Mesdames, Messieurs les actionnaires de la Société Générale Marocaine de Banques, Société Anonyme à Directoire et Conseil de surveillance, au capital de 2.050.000.000,00 de Dirhams, dont le siège Social est à Casablanca, 55, boulevard Abdelmoumen, immatriculée à Casablanca, au Registre du Commerce sous le n 28.987, sont convoqués pour le mercredi 14 Mai à 14h au siège social, en Assemblée Générale Ordinaire à l effet de délibérer sur l ordre du jour suivant : n Rapport de Gestion du Directoire et du Conseil de Surveillance sur l exercice 2013 n Rapport général et spécial des Commissaires aux Comptes sur l exercice 2013 n Examen et approbation des comptes arrêtés au 31 décembre 2013 n Affectation du résultat et quitus au Directoire, au Conseil de Surveillance et aux Commissaires aux Comptes n Fixation du montant des jetons de présence n Renouvellement du mandat d un membre du Conseil de Surveillance n Nomination des Commissaires aux Comptes n Questions diverses Tout actionnaire remplissant les conditions prévues par la Loi n 17-95 telle que modifiée et complétée par la Loi n 20-05 sur les sociétés anonymes, a la faculté de requérir l inscription d un ou plusieurs projets de résolutions à l ordre du jour. La demande d inscription de ces projets de résolutions doit être adressée au siège de la société par lettre recommandée, avec accusé de réception, dans un délai de dix jours à compter de la publication de l avis de convocation. LE PRéSIDENT DU CONSEIL DE SURVEILLANCE PROJET DE TEXTE DES RÉSOLUTIONS Première Résolution L Assemblée Générale, après avoir entendu lecture du rapport du Conseil de Surveillance, du rapport de gestion du Directoire et des rapports des Commissaires aux Comptes, les approuve expressément. Elle approuve également, tels qu ils lui ont été présentés, le bilan et les comptes de l exercice clos le 31 Décembre 2013. Deuxième Résolution L Assemblée Générale, après avoir entendu lecture du rapport spécial des Commissaires aux Comptes sur les conventions passées par la Banque telles que prévues à l article 56 de la loi 17-95 telles que modifiée par la loi n 20-05 sur les sociétés anonymes, les approuve expressément. Troisième Résolution L Assemblée Générale donne aux membres du Directoire, en fonction pendant l exercice clos le 31 Décembre 2013, quitus et décharge de leur gestion pour ledit exercice. Elle donne également quitus aux membres du Conseil de Surveillance pour l exécution de leur mandat pendant l exercice 2013. Quatrième Résolution L Assemblée Générale approuve aussi l affectation et la répartition des bénéfices proposées. Elle fixe en conséquence le dividende de l exercice 2013 à 13 Dirhams par action pour les 20.500.000 actions assujetties aux dividendes. Le résultat de l année, augmenté du report à nouveau, sera ainsi affecté de la manière suivante : Réserve légale : Cumul de 10% du capital social est atteint Réserve spéciale : - Dividende : 266.500.000,00 MAD Réserve extraordinaire : 267.807.000,00 MAD Report à nouveau : 11.941,00 MAD Cinquième Résolution L Assemblée Générale fixe pour 2014 le montant brut des jetons de présence à : 600.000 Dirhams pour le Président du Conseil de Surveillance 200.000 Dirhams pour les autres membres du Conseil de Surveillance. Sixième Résolution L Assemblée Générale constate l arrivée à échéance du mandat de Monsieur Jean François SAMMARCELLI, en sa qualité de membre du Conseil de Surveillance. Elle décide de renouveler son mandat pour une durée de six ans. Son mandat expirera lors de l Assemblée Générale Ordinaire appelée à statuer sur les comptes de l exercice 2019. Septième Résolution L Assemblée Générale constate l arrivée à échéance du mandat des Commissaires aux Comptes : ERNST & YOUNG Représenté par M. Abdeslam BERRADA ALLAM en sa qualité d associé Adresse : 37, Bd Abdellatif Benkaddour, Casablanca FIDAROC GRANT THORNTON Représenté par M. Faïçal MEKOUAR en sa qualité d associé Gérant Adresse : 47, Rue Allal Ben Abdellah, Casablanca Elle décide de renouveler le mandat du cabinet ERNST & YOUNG pour une durée de trois ans. Ce mandat expirera lors de l assemblée Générale Ordinaire appelée à statuer sur les comptes de l exercice 2016. Elle décide de nommer pour une durée de trois ans le cabinet DELOITTE & TOUCHE. Son mandat expirera lors de l assemblée Générale Ordinaire appelée à statuer sur les comptes de l exercice 2016. Huitième Résolution L Assemblée Générale donne tous pouvoirs au porteur d un original, d une copie ou d un extrait du présent procès-verbal pour accomplir les formalités prescrites par la loi. 2

comptes SOcIAUX DE LA SOcIÉTÉ GÉNÉRALE MAROcAINE DE BANQUES AU 31/12/2013 BILAN AU 31 DÉCEMBRE 2013 Comptes Sociaux ACTIF Valeurs en caisse, Banques centrales, Trésor public, Service des chèques postaux 1 513 237 3 132 643 Créances sur les établissements de crédit et assimilés 5 992 194 5 294 502. A vue 1 700 826 1 404 188. A terme 4 291 368 3 890 314 Créances sur la clientèle 54 816 801 54 851 362. Crédits de trésorerie et à la consommation 18 927 479 21 024 951. Crédits à l équipement 13 641 548 14 323 301. Crédits immobiliers 16 927 382 15 247 462. Autres crédits 5 320 392 4 255 648 Créances acquises par affacturage 246 190 204 788 Titres de transaction et de placement 8 347 506 4 158 533. Bons du Trésor et valeurs assimilées 7 501 339 3 091 376. Autres titres de créance 344 645 565 459. Titres de propriété 501 522 501 698 Autres actifs 953 865 971 887 Titres d investissement - -. Bons du Trésor et valeurs assimilées - -. Autres titres de créance - - Titres de participation et emplois assimilés 1 160 553 1 119 284 Créances subordonnées - - Immobilisations données en crédit-bail et en location - - Immobilisations incorporelles 233 008 228 617 Immobilisations corporelles 1 218 254 1 260 284 Total de l Actif 74 481 608 71 221 900 PASSIF Banques centrales, Trésor public, Service des chèques postaux 2 - Dettes envers les établissements de crédit et assimilés 2 809 131 366 333. A vue 1 669 271 196 054. A terme 1 139 860 170 279 Dépôts de la clientèle 53 897 627 50 781 761. Comptes à vue créditeurs 32 362 626 29 689 114. Comptes d'épargne 7 961 563 7 385 484. Dépôts à terme 10 772 190 10 957 901. Autres comptes créditeurs 2 801 248 2 749 262 Titres de créance émis 5 154 590 7 642 609. Titres de créance négociables 5 154 590 7 642 609. Emprunts obligataires - -. Autres titres de créance émis - - Autres passifs 1 331 230 1 420 195 Provisions pour risques et charges 839 931 812 563 Provisions réglementées - - Subventions, fonds publics affectés et fonds spéciaux de garantie - - Dettes subordonnées 2 582 225 2 578 874 écarts de réévaluation - - Réserves et primes liées au capital 5 282 553 4 710 053 Capital 2 050 000 2 050 000 Actionnaires. Capital non versé (-) - - Report à nouveau (+/-) 12 83 Résultats nets en instance d'affectation (+/-) - - Résultat net de l'exercice (+/-) 534 307 859 429 Total du Passif 74 481 608 71 221 900 HORS BILAN AU 31 DÉCEMBRE 2013 HORS BILAN ENGAGEMENTS DONNES 21 417 046 20 696 910 Engagements de financement donnés en faveur d'établissements de crédit et assimilés - - Engagements de financement donnés en faveur de la clientèle 4 284 589 5 266 279 Engagements de garantie d'ordre d'établissements de crédit et assimilés 4 419 408 4 165 518 Engagements de garantie d'ordre de la clientèle 12 713 049 11 265 113 Titres achetés à réméré - - Autres titres à livrer - - ENGAGEMENTS REÇUS 7 883 637 6 072 448 Engagements de financement reçus d'établissements de crédit et assimilés 1 133 419 1 121 918 Engagements de garantie reçus d'établissements de crédit et assimilés 6 135 089 4 530 058 Engagements de garantie reçus de l'etat et d'organismes de garantie divers 615 129 420 472 Titres vendus à réméré - - Autres titres à recevoir - - RÉSUMÉ DU RAPPORT DES COMMISSAIRES AUX COMPTES SUR LES COMPTES SOCIAUX COMPTE DE PRODUITS ET CHARGES AU 31 DÉCEMBRE 2013 I.PRODUITS D EXPLOITATION BANCAIRE 5 072 264 5 031 642 1.Intérêts et produits assimilés sur opérations avec les établissements de crédit 257 393 299 310 2.Intérêts et produits assimilés sur opérations avec la clientèle 3 578 318 3 643 905 3.Intérêts et produits assimilés sur titres de créance 197 766 125 778 4.Produits sur titres de propriété 182 037 123 174 5.Produits sur immobilisations en crédit-bail et en location - - 6.Commissions sur prestations de service 405 874 417 800 7.Autres produits bancaires 450 876 421 675 II.CHARGES D EXPLOITATION BANCAIRE 1 409 197 1 404 253 8.Intérêts et charges assimilées sur opérations avec les établissements de crédit 38 257 25 629 9.Intérêts et charges assimilées sur opérations avec la clientèle 705 976 639 697 10.Intérêts et charges assimilées sur titres de créance émis 386 102 469 512 11.Charges sur immobilisations en crédit-bail et en location - - 12.Autres charges bancaires 278 862 269 415 III.PRODUIT NET BANCAIRE 3 663 067 3 627 389 13.Produits d'exploitation non bancaire 43 570 50 608 14.Charges d'exploitation non bancaire 32 160 34 367 IV.CHARGES GéNéRALES D EXPLOITATION 1 686 481 1 591 317 15.Charges de personnel 861 208 863 454 16.Impôts et taxes 35 188 26 094 17.Charges externes 572 300 537 521 18.Autres charges générales d'exploitation 54 512 7 353 19.Dotations aux amortissements et aux provisions des immobilisations incorporelles et corporelles 163 273 156 895 V.DOTATIONS AUX PROVISIONS ET PERTES SUR CRéANCES IRRéCOUVRABLES 2 160 532 1 526 234 20.Dotations aux provisions pour créances et engagements par signature en souffrance 1 419 750 857 053 21.Pertes sur créances irrécouvrables 450 162 365 518 22.Autres dotations aux provisions 290 620 303 663 VI.REPRISES DE PROVISIONS ET RéCUPéRATIONS SUR CRéANCES AMORTIES 1 088 569 940 745 23.Reprises de provisions pour créances et engagements par signature en souffrance 769 164 733 584 24.Récupérations sur créances amorties 7 735 25 331 25.Autres reprises de provisions 311 670 181 830 VII.RéSULTAT COURANT 916 033 1 466 824 26.Produits non courants 636 90 251 27.Charges non courantes 11 583 82 017 VIII.RéSULTAT AVANT IMPôTS 905 086 1 475 058 28.Impôts sur les résultats 370 779 615 629 IX.RéSULTAT NET DE L EXERCICE 534 307 859 429 TOTAL PRODUITS 6 205 038 6 113 246 TOTAL CHARGES 5 670 731 5 253 817 RéSULTAT NET DE L'EXERCICE 534 307 859 429 3

Comptes Sociaux ÉTAT DES SOLDES DE GESTION AU 31 DÉCEMBRE 2013 CRÉANCES SUR LA CLIENTÈLE AU 31 DÉCEMBRE 2013 I - Tableau de formation des résultats 1.(+) Intérêts et produits assimilés 4 033 477 4 068 993 2.(-) Intérêts et charges assimilées 1 130 335 1 134 837 MARGE D INTéRêT 2 903 142 2 934 156 3.(+) Produits sur immobilisations en crédit-bail et en location - - 4.(-) Charges sur immobilisations en crédit-bail et en location - - Résultat des opérations de crédit-bail et de location - - 5.(+) Commissions perçues 478 601 491 150 6.(-) Commissions servies 24 022 22 971 Marge sur commissions 454 579 468 179 7.(+) Résultat des opérations sur titres de transaction - - 8.(+) Résultat des opérations sur titres de placement 27 422 204 9.(+) Résultat des opérations de change 168 469 191 815 10.(+) Résultat des opérations sur produits dérivés - - Résultat des opérations de marché 195 891 192 019 11.(+) Divers autres produits bancaires 216 951 129 646 12.(-) Diverses autres charges bancaires 107 496 96 611 PRODUIT NET BANCAIRE 3 663 067 3 627 389 13.(+) Résultat des opérations sur immobilisations financières -361 8 457 14.(+) Autres produits d'exploitation non bancaire 43 510 44 694 15.( -) Autres charges d'exploitation non bancaire 32 160 31 331 16.( -) Charges générales d'exploitation 1 686 481 1 591 317 RéSULTAT BRUT D EXPLOITATION 1 987 575 2 057 892 17.(+) Dotations nettes des reprises aux provisions pour créances et engagements par signature en souffrance -1 093 013-463 656 18.(+) Autres dotations nettes de reprises aux provisions 21 471-127 412 RéSULTAT COURANT 916 033 1 466 824 RéSULTAT NON COURANT -10 947 8 234 19.(-) Impôts sur les résultats 370 779 615 629 RéSULTAT NET DE L'EXERCICE 534 307 859 429 II - CAPACITé D AUTOFINANCEMENT (+) RéSULTAT NET DE L EXERCICE 534 307 859 429 20.(+) Dotations aux amortissements et aux provisions des immobilisations incorporelles et corporelles 163 273 156 895 21.(+) Dotations aux provisions pour dépréciation des immobilisations financières 1 302 172 22.(+) Dotations aux provisions pour risques généraux 246 359 294 646 23.(+) Dotations aux provisions réglementées - - 24.(+) Dotations non courantes - - 25.(-) Reprises de provisions 216 218 143 587 26.(-) Plus-values de cession des immobilisations incorporelles et corporelles 1 580 3 443 27.(+) Moins-values de cession des immobilisations incorporelles et corporelles 27-28.(-) Plus-values de cession des immobilisations financières - 5 811 29.(+) Moins-values de cession des immobilisations financières - - 30.(-) Reprises de subventions d investissement reçues - - (+) CAPACITE D AUTOFINANCEMENT 727 470 1 158 301 31.(-) Bénéfices distribués 287 000 328 000 (+) AUTOFINANCEMENT 440 470 830 301 CRÉANCES Secteur public Entreprises financières Secteur privé Entreprises non financières Autre clientèle DÉPÔTS DE LA CLIENTÈLE AU 31 DÉCEMBRE 2013 CRÉANCES SUR LES ÉTABLISSEMENTS DE CRÉDIT AU 31 DÉCEMBRE 2013 CRÉDITS DE TRÉSORERIE 3 385 683 509 11 695 192 1 212 017 16 293 401 18 104 358 - Comptes à vue débiteurs 2 755 682 509 4 830 901 1 110 717 8 697 809 10 821 603 - Créances commerciales sur le Maroc - - 2 974 785 10 479 2 985 264 2 656 248 - Crédits à l'exportation - - 121 660-121 660 119 646 - Autres crédits de trésorerie 630 001-3 767 846 90 821 4 488 668 4 506 861 CRÉDITS A LA CONSOMMATION - - - 2 585 399 2 585 399 2 867 316 CRÉDITS A L ÉQUIPEMENT 1 195 925-12 227 055-13 422 980 14 126 216 CRÉDITS IMMOBILIERS - - 3 097 192 13 724 201 16 821 393 15 162 979 AUTRES CRÉDITS 800 000-275 140 629 878 1 705 018 1 722 015 CRÉANCES ACQUISES PAR AFFACTURAGE - - 246 190-246 190 204 788 INTÉRÊTS COURUS À RECEVOIR - - 293 780 79 595 373 375 334 845 CRÉANCES EN SOUFFRANCE - 4 375 2 573 804 1 037 056 3 615 235 2 533 633 - Créances pré-douteuses - - 1 275 915 286 507 1 562 422 973 690 - Créances douteuses - 1 823 945 606 442 088 1 389 517 1 033 723 - Créances compromises - 2 552 352 283 308 461 663 296 526 220 TOTAL 5 381 608 4 884 30 408 353 19 268 146 55 062 991 55 056 150 DÉPÔTS Secteur public Entreprises financières Secteur privé Entreprises non financières Autre clientèle COMPTES À VUE CRÉDITEURS 135 663 378 745 10 473 910 21 374 231 32 362 549 29 689 095 COMPTE D'ÉPARGNE - - - 7 961 568 7 961 568 7 385 489 DÉPÔTS À TERME - 1 069 225 2 125 516 7 446 324 10 641 065 10 826 770 AUTRES COMPTES CRÉDITEURS 229 10 075 954 981 1 835 963 2 801 248 2 749 262 INTÉRÊTS COURUS À PAYER - - - 131 197 131 197 131 145 TOTAL 135 892 1 458 045 13 554 407 38 749 283 53 897 627 50 781 761 CRÉANCES Bank Al-Maghrib Trésor Public et Service des Chèques Postaux Banques au Maroc Autres établissements de crédit et assimilés au Maroc Etablissements de crédit à l étranger Total 31/12/13 Total 31/12/12 COMPTES ORDINAIRES DÉBITEURS 724 034-995 472 75 546 1 795 052 3 802 108 VALEURS REÇUES EN PENSION - - - - - - - au jour le jour - - - - - - - à terme - - - - - - PRÊTS DE TRÉSORERIE - 202 149 1 591 414 428 588 2 222 151 2 137 259 - au jour le jour - 202 149 32 920 358 759 593 828 159 - à terme - - 1 558 494 69 829 1 628 323 2 137 100 PRÊTS FINANCIERS - 78 608 2 468 101-2 546 709 1 585 232 AUTRES CRÉANCES - 78 043 2 517 5 327 85 887 127 888 INTÉRÊTS COURUS À RECEVOIR - - 66 428-66 428 69 999 CRÉANCES EN SOUFFRANCE - - - - - - TOTAL 724 034 358 800 5 123 932 509 461 6 716 227 7 722 486 TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE AU 31 DÉCEMBRE 2013 1.(+) Produits d'exploitation bancaire perçus 4 856 417 4 908 188 2.(+) Récupérations sur créances amorties 7 144 25 331 3.(+) Produits d'exploitation non bancaire perçus 78 060 131 605 4.(-) Charges d'exploitation bancaire versées 1 826 767 1 755 043 5.(-) Charges d'exploitation non bancaire versées 518 137 116 384 6.(-) Charges générales d'exploitation versées 1 686 480 1 591 317 7.(-) Impôts sur les résultats versés 370 779 615 629 I.Flux de trésorerie nets provenant du compte de produits et charges 539 458 986 751 Variation des : 8.(-) Créances sur les établissements de crédit et assimilés 697 692-2 542 970 9.(-) Créances sur la clientèle 6 841 3 315 275 10.(-) Titres de transaction et de placement 4 188 973-148 898 11.(-) Autres actifs -18 022 194 206 12.(-) Immobilisations données en crédit-bail et en location - - 13.(+) Dettes envers les établissements de crédit et assimilés 2 442 798-82 797 14.(+) Dépôts de la clientèle 3 115 866 3 627 15.(+) Titres de créance émis -2 488 019-2 235 853 16.(+) Autres passifs -90 110-177 258 II.Solde des variations des actifs et passifs d exploitation -1 894 949-3 309 895 III.FLUX DE TRéSORERIE NETS PROVENANT DES ACTIVITéS D EXPLOITATION (I + II) -1 355 491-2 323 144 17.(+) Produit des cessions d'immobilisations financières - 5 811 18.(+) Produit des cessions d'immobilisations incorporelles et corporelles 5 270 10 982 19.(-) Acquisition d'immobilisations financières 41 269 11 851 20.(-) Acquisition d'immobilisations incorporelles et corporelles 121 919 169 009 21.(+) Intérêts perçus - - 22.(+) Dividendes perçus 181 003 122 964 IV.FLUX DE TRéSORERIE NETS PROVENANT DES ACTIVITéS D INVESTISSEMENT 23 085-41 103 23.(+) Subventions, fonds publics et fonds spéciaux de garantie reçus - - 24.(+) Emission de dettes subordonnées - 500 000 25.(+) Emission d'actions - - 26.(-) Remboursement des capitaux propres et assimilés - - 27.(-) Intérêts versés - - 28.(-) Dividendes versés 287 000 328 000 V.FLUX DE TRéSORERIE NETS PROVENANT DES ACTIVITéS DE FINANCEMENT -287 000 172 000 VI.VARIATION NETTE DE LA TRéSORERIE (III+ IV +V) -1 619 406-2 192 247 VII.TRéSORERIE à L OUVERTURE DE L EXERCICE 3 132 643 5 324 890 VIII.TRéSORERIE à LA CLôTURE DE L EXERCICE 1 513 237 3 132 643 DETTES ENVERS LES ÉTABLISSEMENTS DE CRÉDIT ET ASSIMILÉS AU 31 DÉCEMBRE 2013 DETTES Etablissements de crédits et assimilés au Maroc Bank Al-Maghrib Trésor Public Banques au et Service des Maroc Chèques Postaux PROVISIONS AU 31 DÉCEMBRE 2013 Autres établissements de crédit et assimilés au Maroc Etablissements de crédit à l étranger Total 31/12/13 Total 31/12/12 COMPTES ORDINAIRES CRéDITEURS - - 115 184 309 701 424 885 186 747 VALEURS DONNéES EN PENSION 570 528 - - - 570 528 - - au jour le jour - - - - - - - à terme 570 528 - - - 570 528 - EMPRUNT DE TRÉSORERIE - 1 230 000 448 338-1 678 338 - - au jour le jour - 1 230 000 - - 1 230 000 - - à terme - - 448 338-448 338 - EMPRUNTS FINANCIERS 8 498-64 547-73 045 102 176 AUTRES DETTES - 29 487 10 041-39 528 53 690 INTÉRÊTS COURUS À PAYER 285 22 522 - - 22 807 23 720 TOTAL 579 311 1 282 009 638 110 309 701 2 809 131 366 333 PROVISIONS Encours 31/12/12 Dotations Reprises utilisées Reprise devenues disponible Ecart de conversion Autres variations Encours 31/12/13 PROVISIONS, DÉDUITES DE L ACTIF SUR : 2 765 488 1 364 615 372 463 396 841 1-104 3 360 696 Créances sur les établissements de crédit et assimilés - - - - - - - Créances sur la clientèle 2 740 614 1 362 990 372 463 388 796 - -104 3 342 241 Titres de placement 14 728 323-7 164 - - 7 887 Titres de participation et emplois assimilés 10 145 1 302-881 1-10 567 PROVISIONS INSCRITES AU PASSIF 812 563 346 078 23 412 295 282 - -15 839 932 Provisions pour risques d exécution d engagements par signature 40 576 38 438-7 906 - -15 71 093 Provisions pour risques généraux 636 810 246 359-215 337 - - 667 832 Provisions pour autres risques et charges 135 177 61 281 23 412 72 039 - - 101 007 Provisions réglementées - - - - - - - TOTAL GéNéRAL 3 578 051 1 710 693 395 875 692 123 1-119 4 200 628 4

Comptes Sociaux TITRES DE PARTICIPATIONS ET EMPLOIS ASSIMILÉS AU 31 DÉCEMBRE 2013 Dénomination de la société émettrice Secteur d activité Capital social Participation au capital en % 31/12/2013 Prix d acquisition global Valeur comptable nette Extrait des derniers états de synthèse de la société émetttrice Date de clôture Situation Résultat de l exercice nette net A - Participations dans les entreprises liées 1 061 228 1 061 228 SOGELEASE ACTIVITES FINANCIERES 100 000 100% 210 600 210 600 31/12/13 454 726 25 282 SOGECAPITAL GESTION GESTION D'ACTIFS 1 000 99,92% 999 999 31/12/13 18 305 14 949 INVESTIMA GESTION VALEURS MOBILIERES 105 000 48,04% 59 443 59 443 31/12/13 212 302 17 851 SOGECAPITAL BOURSE INTERMEDIATION BOURSIERE 15 000 99,99% 14 999 14 999 31/12/13 17 554 1 636 SOGECONTACT CENTRE D'APPEL 300 99,83% 300 300 31/12/13 2 178 112 SOGECAPITAL PLACEMENT GESTION D'ACTIFS 1 000 99,94% 999 999 31/12/13 1 980 633 FONCIMMO COMMERCE BIENS IMMOBILIERS 50 000 99,99% 50 000 50 000 31/12/13 50 482 32 317 LA MAROCAINE VIE ASSURANCE 231 750 25,82% 182 002 182 002 31/12/13 377 484 32 888 ATHENA COURTAGE ASSURANCE 300 97% 291 291 31/12/13 38 030 34 467 BANQUE OFFSHORE BANQUE 500 99,92% 5 605 5 605 31/12/13 39 536 1 643 SOGEFINANCEMENT ACTIVITES FINANCIERES 50 000 100,00% 30 000 30 000 31/12/13 58 351 2 499 CREDIT EQDOM ACTIVITES FINANCIERES 167 025 19,97% 502 990 502 990 31/12/13 1 511 802 200 220 ALD AUTOMOTIVE ACTIVITES FINANCIERES 20 000 15,00% 3 000 3 000 31/12/13 104 539 20 000 B - Autres titres de participation 77 218 66 701 DAR AD-DAMANE ACTIVITES FINANCIERES 75 000 0,63% 392 392 31/12/12 85 213 1 091 CMM ACTIVITES FINANCIERES 180 0,32% 224 224 31/12/13 206-23 123 MANAGEM INDUSTRIE MINIERE 850 772-10 833 10 833 31/12/12 19 591 - LESIEUR AFRIQUE AGRO ALIMENTAIRE 276 315 0,03% 758 738 31/12/12 738 - CELLULOSE DU MAROC INDUSTRIE DE PAPIER 700 484 0,95% 8 749 868 31/12/12 91 128 84 370 GPBM SCI ACTIVITES FINANCIERES 19 005 6,67% 1 267 1 267 31/12/12 20 628 - INTERBANK ACTIVITES FINANCIERES 11 500 16,00% 1 840 1 840 31/12/12 26 889 11 678 RECOURS SOCIETE DE RECOUVREMENT 2 500-250 0 31/12/12 3 167 - SANOFI PHARMA MAROC INDUSTRIES CHIMIQUES 44 513-22 22 31/12/12 129 829 5 320 SETTAPARK ZONE INDUSTRIELLE - - 6 530 6 530 - - - SG ATS - - 1 1 - - - PME CROISSANCE ACTIVITES FINANCIERES - - 13 533 13 533 - - - ISAAF-MONDIALE ASSISTANCES ASSURANCE - - 0 0 31/12/12 146 530 28 449 SMAEX ACTIVITES FINANCIERES 37 450 3,28% 1 229 1 229 31/12/12 109 190-5 726 MAROCLEAR ACTIVITES FINANCIERES 20 000 0,17% 351 351 31/12/12 239 514 CENTRE MONETIQUE INTERBANCAIRE ACTIVITES FINANCIERES 98 200 11,20% 11 000 11 000 31/12/12 232 896 66 163 MAROC TELECOMMERCE ACTIVITES FINANCIERES 5 610 10,00% 561 0 31/12/12-903 -1 408 SOGEPIB ZONE INDUSTRIELLE 18 000 5,00% 900 900 31/12/12 23 818 5 031 ACMAR ACTIVITES FINANCIERES 50 000 10,00% 5 339 5 339 31/12/12 84 871 29 358 EXP Service Maroc ACTIVITES INFORMATIQUES 90 000-2 700 1 212 31/12/12 40 397-8 552 FCP SG Cash Plus ACTIVITES FINANCIERES 1 000-990 990 - - - SG EPARGNE PLUS ACTIVITES FINANCIERES - - 1 000 895 - - - FCP SG COURT TERME OBLIG ACTIVITES FINANCIERES - - 999 999 - - - PORNET ACTIVITES INFORMATIQUES 6 000-75 17 31/12/12 1 320-118 SWIFT INDICE ACTIVITES FINANCIERES - - 155 0 - - - FCP SG OPTIMAL PLUS ACTIVITES FINANCIERES - - 999 999 - - - F.C.P SG ACTIONS PLUS ACTIVITES FINANCIERES 1 000-999 999 - - - SOGEPOS ZONE INDUSTRIELLE 35 000 13,20% 4 622 4 622 31/12/12 44 383 4 100 FCP SG CASH Garantie ACTIVITES FINANCIERES - - 900 900 - - - C - Emplois assimilés 32 624 32 624 C/C SCI GPBM ACTIVITES FINANCIERES - - 724 724 - - - C/C FONCIMMO COMMERCE BIENS IMMOBILIERS - - 31 900 31 900 - - - Total général 1 171 070 1 160 553 VALEURS ET SURETÉS REÇUES ET DONNÉES EN GARANTIE AU 31 DÉCEMBRE 2013 Valeurs et sûretés reçues en garantie Valeur comptable nette ÉTAT DES DÉROGATIONS AU 31 DÉCEMBRE 2013 ÉTAT DES CHANGEMENTS DE MÉTHODES DU 1 ER JANVIER 2013 AU 31 DÉCEMBRE 2013 Rubriques de l'actif ou du hors bilan enregistrant les créances ou les engagements par signature reçus Montants des créances ou des engagements par signature reçus couverts Bons du Trésor et valeurs assimilées 200 - - Autres titres 1 123 993 - - Hypothèques 22 418 080 - - Autres valeurs et sûretés réelles 10 333 056 - - TOTAL 33 875 329 - - Valeurs et sûretés données en garantie Indications des dérogations Justifications des dérogations Influence des dérogations sur le patrimoine, la situation financière et les résultats I. Dérogations aux principes comptables fondamentaux Néant Néant II. Dérogations aux méthodes d évaluation Néant Néant III. Dérogations aux règles d établissement et de présentation des états de synthèse Néant Néant Nature des changements I. Changements affectant les méthodes d évaluation II. Changements affectant les règles de présentation Valeur comptable nette Justifications des changements Rubriques du passif ou du hors bilan enregistrant les dettes ou les engagements par signature donnés Influence sur le patrimoine, la situation financière et les résultats Néant Néant Montants des dettes ou des engagements par signature donnés couverts Bons du Trésor et valeurs assimilées 37 300 - - Autres titres - - - Hypothèques - - - Autres valeurs et sûretés réelles - - - TOTAL 37 300 - - VENTILATION DES EMPLOIS ET DES RESSOURCES SUIVANT LA DURÉE RÉSIDUELLE AU 31 DÉCEMBRE 2013 D 1mois 1mois < D 3mois 3mois < D 1an 1an < D 5ans D > 5ans TOTAL ACTIF Créances sur les établissements de crédit et assimilés 1 270 169 695 665 551 974 2 206 057 44 995 4 768 860 Créances sur la clientèle 4 806 556 3 535 150 3 327 000 13 085 611 15 246 118 40 000 435 Titres de créances - 451 818 5 183 812 1 975 451 107 382 7 718 463 Créances subordonnées - - - - Crédit-bail et assimilé - - - - Total 6 076 725 4 682 633 9 062 786 17 267 119 15 398 495 52 487 758 PASSIF Dettes envers les établissements de crédit et assimilés 1 800 604 1 874 459 192 59 641 600 2 321 911 Dettes envers la clientèle 1 341 359 3 268 258 4 845 333 1 098 969 97 354 10 651 273 Titres de créances - 1 355 000 1 578 500 2 077 000-5 010 500 Emprunts subordonnées - - - - 2 500 000 2 500 000 Total 3 141 963 4 625 132 6 883 025 3 235 610 2 597 954 20 483 684 DETTES SUBORDONNÉES AU 31 DÉCEMBRE 2013 Monnaie de l emprunt Montant en monnaie de l emprunt MAD 50 000 - MAD 50 000 - Cours Taux Durée 5,6% (Taux fixe) 5% (Taux révisable) 10 Ans 10 Ans Condition de remboursement anticipé, subordination et convertibilité Le remboursement par anticipation ne peut avoir lieu qu à l initiative de l Emetteur et après accord de BANK AL MAGHRIB Le remboursement du capital et des intérêts n interviendra qu après remboursement de toutes les autres dettes Le remboursement par anticipation ne peut avoir lieu qu à partir de la 5 éme année, avec préavis d un mois, seulement à l initiative de l emprunteur et sous réserve de l accord de BAM Montant de l emprunt en monnaie nationale (ou contrevaleur en KDH) dont entreprises liées Montant N (en contrevaleur KDH) Montant N-1 (en contrevaleur KDH) dont autres apparentés Montant N (en contrevaleur KDH) Montant N-1 (en contrevaleur KDH) - - - - - - - - - - MAD 377 300-5,6% (Taux fixe) 10 Ans Le remboursement par anticipation est possible à partir de la 5 éme année, sans préavis, seulement à l initiative de l emprunteur et sous réserve de l accord de BAM - 245 000 - - - MAD 680 700-4,84% (Taux révisable) 10 Ans Le remboursement par anticipation est possible à partir de la 5 éme année, sans préavis, seulement à l initiative de l emprunteur et sous réserve de l accord de BAM - - - - - MAD 842 000-5,6% (Taux fixe) 10 Ans Le remboursement par anticipation est possible à partir de la 5 éme année, sans préavis, seulement à l initiative de l emprunteur et sous réserve de l accord de BAM - - - - - MAD 324 200-5,98% (taux fixe) 10 Ans Le remboursement par anticipation est possible à partir de la 5 éme année, seulement à l initiative de l emprunteur et sous réserve de l accord de BAM - 85 000 - - - MAD 175 800 5,98% (taux fixe) 10 Ans Le remboursement par anticipation est possible à partir de la 5 éme année, seulement à l initiative de l emprunteur et sous réserve de l accord de BAM - - - - - Total 2 500 000-330 000 - - - 5

Comptes consolidés IAS/IFRS NORMES ET PRINCIPES COMPTABLES APPLIQUÉS PAR LE GROUPE Les établissements de crédit doivent établir et publier leurs états financiers consolidés en normes comptables internationales à partir du 1 er janvier 2008, avec un bilan d ouverture au 1 er janvier 2007. L objectif primordial des autorités réglementaires est de doter les établissements de crédit d un cadre de comptabilité et d information financière conforme aux meilleurs standards internationaux en termes de transparence financière et de qualité de l information fournie. Les nouvelles normes comptables internationales ont donc été appliquées par le groupe Société Générale Marocaine de Banques à compter du 1 er janvier 2008. 1. CONSOLIDATION Périmètre de consolidation : Entrent dans le périmètre de consolidation les entités contrôlées (contrôle exclusif ou conjoint) ou sous influence notable. Il n est pas fixé de seuils chiffrés d exclusion dans les normes, l appréciation de la matérialité doit se faire conformément au cadre conceptuel des IFRS. Ainsi, l information est significative si son omission ou son inexactitude peut influencer les décisions économiques que les utilisateurs prennent sur la base des états financiers. L importance relative dépend de la taille de l élément ou de l erreur, jugée dans les circonstances particulières de son omission ou de son inexactitude. Exclusion du périmètre : Deux cas d exception existent : n la détention en vue de revente ultérieure à un horizon maximum fixé à 12 mois, n l existence de restrictions sévères et durables qui limitent la capacité à transférer des fonds à l investisseur, n le caractère significatif. Regroupements d entreprises : Le groupe Société Générale Marocaine de Banques n a pas effectué de regroupement courant 2008. Conformément aux dispositions de la norme IFRS 1, le Groupe a décidé de ne pas retraiter les regroupements d entreprises antérieurs au 31/12/06. Le groupe Société Générale Marocaine de Banques applique un ensemble de seuils pour inclure certaines entités dans le périmètre de consolidation : Filiales intégrées globalement : Pour être intégrée globalement, une entité doit satisfaire aux critères suivants : n droits de vote > 40% ; n total bilan > 0.1% de celui de l activité agrégée du groupe Société Générale Marocaine de Banques. Filiales mises en équivalence : Pour être mise en équivalence, une entité doit satisfaire aux critères suivants : n droit de vote compris entre 15% et 40% ; n part dans la situation nette > 0.5% des capitaux propres de l activité agrégée ; n total bilan > 0.1% de celui de l activité agrégée. Le Groupe Société Générale Marocaine de Banques ne dispose pas d entité ad hoc. 2. IMMOBILISATIONS CORPORELLES Une immobilisation corporelle est un actif matériel contrôlé et possédé pour la fourniture de services ou pour les tâches administratives propres à la banque. En plus de la nature de la dépense qui reste déterminante pour son passage en immobilisation (au lieu de charge), il y a lieu de tenir compte de la possibilité d inventorier le bien en question et ce durant toute sa durée d existence à l actif de la banque. Il en découle que si la dépense présente des difficultés quant à sa localisation suite à l inventaire physique, il faut la passer en charge. Évaluation initiale : Le coût d acquisition du bien comporte : Le prix d achat, + Les droits de douane et autres impôts et taxes non récupérables, - les réductions commerciales obtenues et des taxes légalement récupérables, + Les frais de transports, + Les frais de transit, + Les frais de réception, + Les frais d assurance + Les charges d installation qui sont nécessaires à la mise en état d utilisation du bien en question. Sont à exclure du coût d acquisition : n Les droits de mutation, n Les honoraires et commissions, n Les frais d actes. Évaluation postérieure : Modèle du coût : Après sa comptabilisation initiale, un actif corporel est comptabilisé à son coût (ou valeur initiale) après diminution du cumul des amortissements et du cumul des pertes de valeur éventuelles. Modèle de réévaluation : Après sa comptabilisation initiale, un actif corporel doit être réévalué régulièrement à sa juste valeur diminuée du cumul des amortissements et pertes de valeur ultérieurs, à condition que sa juste valeur puisse être évaluée de façon fiable. Les réévaluations doivent être effectuées avec une régularité suffisante pour que la valeur comptable ne diffère pas de façon significative de celle qui aurait été déterminée en utilisant la juste valeur à la date de clôture. Amortissement : Approches par composants : chaque composant d une immobilisation dont le coût est significatif par rapport au coût total de l immobilisation doit être amorti séparément. Base amortissable : coût d un actif diminué de sa valeur résiduelle. Valeur résiduelle : le montant estimé qu une entité obtiendrait actuellement de la sortie de l actif, après déduction des coûts estimés, si l actif avait déjà l âge et se trouvait déjà dans l état prévu à la fin de sa durée d utilité. Durée d amortissement (durée d utilité) : c est soit la période pendant laquelle l entité s attend à utiliser un actif, soit le nombre d unités de production ou d unités similaires que l entité s attend à obtenir de l actif. Le mode d amortissement utilisé par le groupe Société Générale Marocaine est le linéaire. Les options retenues portent principalement sur l adoption de l approche par composants, le changement au niveau de la durée d amortissement, et l adoption du coût amorti. Modèle d évaluation : Le Groupe Société Générale Marocaine de Banques n a pas opté pour la réévaluation périodique de ses immeubles d exploitation. Valeur résiduelle : Les normes préconisent la prise en compte d une valeur résiduelle pour chaque immobilisation. Le montant amortissable de l actif est son coût diminué de sa valeur résiduelle. La valeur résiduelle des différentes immobilisations est considérée comme nulle. Frais d acquisition : Les frais d acquisition des immobilisations comprennent exclusivement : n les droits de mutation (droits d enregistrement, de conservation foncière ), n les honoraires ou commissions hors les honoraires d architecte, n les frais d actes. À l exclusion des frais de transport, d installation et de montage ainsi que les honoraires d architecte qui sont compris dans la valeur d entrée des immobilisations concernées. Pour la période précédente à 2012, les frais d acquisition sont forfaitairement inclus dans le coût des immobilisations corporelles concernées (Terrains et constructions) sur la base le cas échéant, d une statistique. D autres frais tels que les honoraires et les droits de mutation sont incorporés dans le coût des immobilisations. A partir de 2012, les frais d acquisition sont constatés au réel suite à l inventaire physique des immobilisations SGMA, et intégrés à la valeur brute des immeubles et terrains, subissant ainsi l amortissement du bien auquel ils sont rattachés. Coût d emprunt : Le groupe Société Générale Marocaine de Banques n a pas opté pour la capitalisation des coûts d emprunt étant donné qu aucun emprunt n est adossé à l acquisition d une immobilisation. Approche par composants : La méthode de reconstitution du coût historique, à partir des factures, a été adoptée pour l application de l approche par composants, d où : n affectation du coût historique par composant, s il y a lieu. n distinction entre part terrain et construction. n calcul des amortissements en tenant compte des durées et taux d amortissements retenus pour l application des normes. n retraitement par les capitaux propres du différentiel d amortissements. Compte tenu de la nature de l activité du groupe Société Générale Marocaine de Banques, l approche par composants s applique essentiellement aux immeubles. Les principaux composants sont : Principaux composants Durée d utilité (annuelle) Durée sociale (annuelle) Gros œuvre 50 25 Agencements 15 10 Ascenseurs 20 10 Façade 30 10 Installations techniques (climatisation) 12 10 Installations techniques (électricité) 25 10 Installations techniques (groupes électrogène) 30 10 Installations techniques (GTB) 15 10 Installations techniques (autres) 15 10 3. IMMEUBLES DE PLACEMENT Un bien immobilier détenu par le propriétaire (ou par le preneur dans le cadre d un contrat de location-financement) pour en tirer des loyers ou pour valoriser le capital ou les deux. 6

Comptes consolidés IAS/IFRS Aucun actif ne satisfait aux conditions de classifications en immeuble de placement. Les immobilisations hors exploitations telles que : les centres de vacances et loisirs, les logements de fonction font parties des immobilisations corporelles. 4. IMMOBILISATIONS INCORPORELLES Une immobilisation incorporelle est un actif non monétaire identifiable et sans substance physique, détenu en vue de son utilisation pour la production de biens et services, pour une location à des tiers ou à des fins administratives. Immobilisations incorporelles générées en interne : Un goodwill généré en interne ne peut jamais être reconnu en tant qu actif. Le processus de production d une immobilisation incorporelle comporte deux phases : n la recherche : les dépenses sont passées en charge. n le développement : les dépenses doivent être capitalisées lorsque certains critères sont réunis : n la faisabilité technique nécessaire à l achèvement n l intention d achever l immobilisation incorporelle en vue de son utilisation ou de sa vente n sa capacité à utiliser ou à vendre l immobilisation incorporelle n la façon dont l immobilisation incorporelle générera des avantages économiques futurs probables (existence d un marché ou l utilité en interne) n la disponibilité des ressources nécessaires à l achèvement n la capacité à évaluer de façon fiable les dépenses attribuables à l immobilisation incorporelle au cours de son développement. Si l entité ne peut pas distinguer la phase de développement de la phase de recherche, tous les coûts passent en charges. évaluation postérieure : Modèles d évaluation : À l instar des immobilisations corporelles, deux modèles d évaluation peuvent être appliqués : Modèle du coût : Comptabilisation au coût diminué du cumul des amortissements et des pertes de valeur. Modèle de la réévaluation : Comptabilisation pour le montant réévalué diminué du cumul des amortissements et des pertes de valeurs ultérieurs. Ce modèle ne peut être retenu que si les conditions suivantes sont réunies : n juste valeur déterminée par référence à un marché actif n les réévaluations régulières n tous les actifs d une même catégorie doivent être réévalués sauf s il n existe pas de marché actif Amortissement : Mode d amortissement : Le mode d amortissement doit traduire le rythme de consommation des avantages économiques de l actif. Le mode linéaire doit être utilisé si un autre rythme ne peut être déterminé de façon fiable. Une immobilisation à durée d utilité indéterminée n est pas amortie. Une immobilisation à durée d utilité finie doit être amortie sur cette dernière. La durée et le mode d amortissement doivent être réexaminés au minimum à la clôture de chaque exercice. Pertes de valeur : Un test de dépréciation doit être pratiqué à chaque fois qu un indicateur de perte de valeur est identifié et à chaque clôture d exercice pour les immobilisations incorporelles à durée d utilité indéterminée. Les immobilisations incorporelles du groupe Société Générale Marocaine de Banques sont évaluées à leur coût amorti. Le taux d amortissement retenu est celui appliqué en social. La valeur résiduelle est estimée comme nulle. Les charges à répartir sont retraitées en contrepartie des capitaux propres. Les dépenses engagées dans le cadre des projets informatiques sont traités dans les comptes sociaux selon deux : n Phase de recherche : les dépenses sont considérées comme charges n Phase de développement : les dépenses sont immobilisées. 5. CONTRATS DE LOCATION Un contrat de location est un accord par lequel le bailleur cède au preneur pour une période déterminée, le droit d utilisation d un actif en échange d un paiement ou d une série de paiements. Classification des contrats de location : Contrat de location-financement : Un contrat de location financement est un contrat ayant pour effet de transférer au preneur la quasi-totalité des risques et des avantages inhérents à la propriété d un actif. Le transfert de propriété peut intervenir ou non, in fine. Contrat de location simple : Un contrat de location est classé en tant que contrat de location simple s il ne transfère pas au preneur la quasi-totalité des risques et des avantages inhérents à la propriété. La classification d un contrat est étroitement liée au degré de transfert des risques et des avantages au preneur, et exige en ce sens une analyse en substance des contrats par opposition au formalisme juridique qui prévaut en normes locales. Un contrat de location simple désigne tout contrat de location autre qu un contrat de location financement. La norme IAS 17 indique cinq exemples de situations qui conduisent normalement à considérer un contrat comme un contrat de location-financement : n le contrat de location transfère la propriété de l actif au preneur au terme de la d u ré e du contrat de location. n le contrat de location donne au preneur l option d acheter l actif à un prix qui devrait être suffisamment inférieur à sa juste valeur à la date à laquelle l option peut-être levée pour que, dès le commencement du contrat de location, on ait la certitude raisonnable que l option sera levée. n la durée du contrat de location couvre la majeure partie de la durée de vie économique de l actif même s il n y a pas transfert de propriété. n au commencement du contrat de location, la valeur actualisée des paiements minimaux au titre de la location s élève au moins à la quasi-totalité de la juste valeur de l actif loué. n les actifs loués sont d une nature tellement spécifique que seul le preneur peut les utiliser sans leur apporter des modifications majeures. Comptabilisation : Location financement : Comptabilisation chez le bailleur Le bailleur doit comptabiliser dans son bilan les actifs détenus en vertu d un contrat de location-financement et les présenter comme des créances pour un montant égal à l investissement net dans le contrat de location. Les paiements reçus doivent être répartis entre la partie en capital considérée comme un amortissement de la créance et la partie en intérêt représentant le paiement d un taux effectif acquis ou à recevoir. La comptabilisation des revenus financiers doit s effectuer sur la base d une formule traduisant un taux de rentabilité périodique constant sur l encours d investissement net restant du bailleur tel que défini dans le contrat de location-financement. Comptabilisation chez le preneur : Le preneur doit comptabiliser les contrats de location-financement à l actif et au passif de son bilan pour des montants égaux à la juste valeur du bien loués ou, si celle-ci est inférieure, à la valeur actualisée des paiements minimaux au titre de la location, déterminées chacune au commencement du contrat. Location simple : Les actifs faisant l objet de contrats de location simple doivent être présentés au bilan du bailleur selon la nature de l actif. Compte de résultat : les revenus locatifs provenant des contrats de location simple doivent être comptabilisés en produit de façon linéaire sur toute la durée du contrat de location à moins qu une autre base systématique ne soit plus représentative de l échelonnement dans le temps de la diminution de l avantage retiré de l utilisation de l actif loué. L amortissement des actifs loués doit se faire sur une base cohérente avec la politique normalement suivie par le bailleur pour l amortissement d actifs similaires. Les entités exerçant l activité du crédit-bail au niveau du Groupe sont Sogélease et Eqdom. Le taux de non levée de l option d achat est quasi nul. Le traitement comptable appliqué par le groupe Société Générale Marocaine de Banques dans le cadre de la consolidation est conforme aux IFRS. 6. ACTIFS ET PASSIFS FINANCIERS Prêt et créances : Les prêts et créances sont définis comme étant des non dérivés à paiements fixes ou déterminables et non cotés sur un marché actif. Les obligations non cotés sur un marché actif sont classées en prêt est créances. Exceptions : Les prêts émis ou achetés : n avec l intention d être vendus immédiatement ou à court terme sont à classer en actifs détenus à des fins de transaction. n désignés à l origine comme étant à la juste valeur par résultat. n désignés à l origine comme étant disponibles à la vente. Taux d intérêts effectif (TIE) : C est le taux qui égalise les cash flows futurs estimés actualisés et la valeur comptable initiale du prêt. Dépôts : Les dépôts sont traités en IFRS de façon symétrique aux crédits. Les problématiques rencontrées sont donc similaires : Evaluation initiale : Si le dépôt est rémunéré à des conditions hors marché, il devra faire l objet d une décote. Evaluation ultérieure : Les coûts et les commissions directement associés à la mise en place du dépôt doivent être étalés via le taux d intérêt effectif du dépôt. Crédits restructurés : Lorsqu un crédit est restructuré du fait de la situation financière d un débiteur, les flux futurs du crédit sont actualisés au TIE d origine et la différence entre ce montant et la valeur comptable du crédit est enregistrée immédiatement en coût du risque. Cette décote est réintégrée sur la durée de vie du crédit dans la marge d intérêt. L abandon d intérêt est comptabilisé exhaustivement au moment de la renégociation et la rémunération contractuelle initiale est conservée tout au long de la vie du crédit. 7

Comptes consolidés IAS/IFRS Prêts et créances : L application du coût amorti aux crédits à plus d un an, est considérée comme non significative. Dépôts : Les dépôts sont maintenus à leur valeur comptable. Aucune décote n est nécessaire compte tenu des caractéristiques des opérations réalisées par le groupe Société Générale marocaine. Crédit restructuré : Pour le chiffrage de l impact, les dossiers retenus observent un seuil de 1,5 MMAD. La décote est calculée sur les crédits restructurés pour des raisons de difficultés financières tel que défini dans la norme. Elle est calculée au jour de la restructuration par différence entre la valeur nette comptable du prêt restructuré et la somme des cash flows futurs attendus du nouveau prêt restructuré, actualisé au taux d origine du prêt. La décote est jugée non significative. 7. TITRES Quatre catégories de titres existent : Titres à la juste valeur par résultat : Titres de trading : Ce sont des actifs financiers acquis dans le but principal de dégager un bénéfice des fluctuations à court terme de leur prix ou des marges d un arbitragiste. Tout actif financier dont le rythme de transaction est fréquent doit faire partie du portefeuille de transaction. Le transfert hors la catégorie trading n est pas autorisé. Mode comptabilisation : Evaluation à la juste valeur par contrepartie du compte résultat Titres option juste valeur : Il est possible de désigner initialement et irrévocablement tout instrument financier (actif ou passif) dans la catégorie «trading», quelle que soit sa nature et l intention de gestion initiale. Mode comptabilisation : Evaluation à la juste valeur par contrepartie du compte résultat. Dépréciation : Un actif comptable est déprécié s il est probable que sa valeur comptable est supérieure à sa valeur recouvrable estimée : n appréciation au minimum annuelle de l existence d un indicateur objectif, n dépréciation inscrite en compte de résultat, n dépréciation peut être statistique mais ne peut être générale. A la fin de chaque période l entreprise doit statuer sur la présence d indications objectives de dépréciation de ses actifs financiers. Pour cette catégorie de titre (titres de transaction), il n y a pas de dépréciation à constater. Titres détenus jusqu à l échéance (HTM) : Ce sont des actifs à échéance fixée et à paiements fixés ou déterminables, que l entreprise a l intention expresse et la capacité de conserver jusqu à l échéance. Les placements ne peuvent être classés comme HTM si : n ils sont destinés à être détenus pour une période indéfinie, sauf si le versement des intérêts est prévu pour une période définie. n Ils sont susceptibles d être vendus en raison des évolutions des conditions du marché, des besoins de liquidité n L émetteur a le droit de régler à un montant nettement inférieur à la valeur comptable. n Il existe une ou des clauses pouvant remettre en cause la détention jusqu à la maturité. Les actions sont exclues de cette catégorie. L intention et la capacité doivent être évaluées à chaque clôture d exercice : n interdiction de couvrir les titres HTM contre le risque de taux. n L entité doit disposer des ressources financières nécessaires pour continuer à financer son placement jusqu à l échéance. Si une entité du groupe Société Générale Marocaine de Banques vend à l extérieur (ou reclassifie) un montant non négligeable de HTM, le groupe doit reclasser l intégralité des titres détenus jusqu à l échéance et ne peut plus classer ses actifs financiers dans cette catégorie pendant 2 ans (règle du tainting). Mode de comptabilisation : Evaluation au coût amorti sur la base du taux effectif initial, qui inclut les frais d acquisition et les éventuelles surcotes/décotes. Le coût amorti est affecté en «produits d intérêts assimilés», les dépréciations et les reprises d provisions lors de la cession ainsi que les moins values de cession, sont enregistrées en «coût du risque». Les plus values de cession sont enregistrées en «gains ou pertes». Dépréciation : Dépréciation de façon à prendre en compte les seuls flux jugés recouvrables. C est l écart entre la valeur au bilan et la valeur actualisée, au taux effectif initial, des flux futurs probables. Titres disponible à la vente (AFS) : Ce sont des actifs financiers autres que : n les actifs de trading. n les HTM. n les prêts et créances émis par l entreprise. Mode de comptabilisation : Evaluation à la juste valeur à moins qu elle ne puisse être évaluée de manière fiable. La différence entre le coût et la juste valeur est comptabilisée séparément en capitaux propres jusqu à ce qu ils soient vendus. La valorisation en juste valeur des titres de ce portefeuille est répartie entre les lignes suivantes du compte résultat : n produit d intérêts : pour le montant correspondant au coût amorti de la période. n Résultat net sur actifs disponibles à la vente : pour le montant correspondant aux dividendes, aux dépréciations durables sur titres à revenu variable, aux résultat de cession. n Coût du risque pour les dépréciations durables (titres à revenus fixes et variables) et réappréciation sur titres à revenu fixe. n Et la ligne de capitaux propres «variation de valeur sur actifs disponibles à la vente» pour le montant correspondant au complément de juste valeur. Dépréciation : Provisionnement pour la partie négative constatée en fonds propres. Prêts et créances : Ce sont des actifs financiers à paiements fixes ou déterminables non cotés sur un marché non actif autres que ceux que l entité décide de classer en catégorie juste valeur par résultat ou AFS. Les actifs financiers pour lesquels le détenteur peut ne pas recouvrer l intégralité de son investissement initial pour une raison autre que la détérioration du risque crédit ne peuvent pas être enregistrés dans cette catégorie (exclusion des parts OPCVM). Mode de comptabilisation : Evaluation au coût amorti sur la base du taux effectif initial, qui inclut les frais d acquisition et les éventuelles surcotes/décotes. Le coût amorti est affecté en «produits d intérêts assimilés», les dépréciation et les reprises d provisions lors de la cession ainsi que les moins values de cession, sont enregistrées en «coût du risque». Les plus values de cession sont enregistrées en «gains ou pertes». Dépréciation : Dépréciation de façon à prendre en compte les seuls flux jugés recouvrables. C est l écart entre la valeur au bilan et la valeur actualisée, au taux effectif initial, des flux futurs probables. Divers options sont retenues par le groupe Société Générale Marocaine de Banques : n Classement des titres en fonction de l intention de gestion dans les deux catégories : AFS et prêts et créances. AFS Prêts et créances - Titres de participation - Bons CNCA - Bons de trésor classés en portefeuille de placement - Bons CIH - Obligations et autres titres de créance n Valorisation des bons de trésor selon la courbe du marché secondaire. n Détermination de la valeur des titres non côtés sur la base de la situation nette des entités concernées. n La valeur retenue pour la valorisation des titres cotés est le cours boursier. n Etalement actuariel des surcotes et décotes n Calcul des dépréciations durables dans le cas où une baisse durable et significative est constatée (baisse de 30% de la moyenne mobile des cours sur 12 mois par rapport au prix de revient). Toutefois, si la baisse n est pas continue sur les 12 mois, une appréciation qualitative est effectuée au cas par cas. 8. PROVISIONS 8.1 Provisions pour risques et charges : Une provision pour risques et charges est un passif dont l échéance ou le montant sont incertains. Un passif est une obligation actuelle de l entreprise résultant d évènements passés et dont l extinction devrait se traduire pour l entreprise par une sortie de ressources représentatives d avantages économiques. Évaluation : La norme IAS 37 retient la même méthode d évaluation des provisions pour risques et charges que le référentiel comptable marocain. Ainsi le montant comptabilisé en provision doit être la meilleure estimation de la dépense nécessaire à l extinction de l obligation actuelle à la date de clôture. Critères de constitution d une PRC : n L obligation actuelle envers un tiers. n La forte probabilité de sortie de ressources pour éteindre l obligation. n La fiabilité de l évaluation de cette sortie de ressource. Un seuil de 1 MMAD est retenu pour l analyse des provisions pour risques et charges, l actualisation est à effectuer si le montant est significatif. Les provisions à caractères généraux et les provisions réglementées sont annulées. 8.2 Provisions sur créances : 8.2.1 Provisions individuelles : Doivent faire l objet d une provision toutes les créances présentant, individuellement ou collectivement, une ou plusieurs indications objectives de dépréciation (risque avéré). 8

Comptes consolidés IAS/IFRS Les indications d une dépréciation liée à l existence d un risque de crédit suivantes sont proposés par la norme : n Difficultés financières importantes de l émetteur ou du débiteur. n Une rupture du contrat telle qu un défaut de paiement des intérêts ou du principal. n L octroi par le prêteur à l emprunteur, pour des raisons économiques ou juridiques liées aux difficultés financières de l entreprise, d une facilité que le prêteur n aurait pas envisagée dans d autres circonstances. n La probabilité croissante de faillite ou autre restructuration de l emprunteur. n La disparition d un marché actif pour cet actif financier, suite à des difficultés financières ou, n Des données observables indiquant une diminution évaluable des flux de trésorerie futurs estimés provenant d un groupe d actif financiers depuis la comptabilisation initiale de ces actifs, bien que la diminution ne puisse pas encore être rattachée à chaque actif financier du groupe. Perte de valeur : L impairment se mesure comme la différence entre, d une part, la valeur comptable des créances, d autre part la valeur recouvrable. La valeur recouvrable est la valeur actuelle des flux de récupération attendus, actualisés en utilisant le taux d intérêt effectif d origine de la créance. Les provisions sont constituées sur des créances ayant connu un indice objectif de dépréciation sur la base de leur valeur recouvrable estimée, actualisée au taux d origine des crédits. Les critères d identification des créances en souffrance adoptés par Bank Al-Maghrib sont maintenus. Les provisions concernant les créances en souffrance présentant des montants significatifs sont estimées individuellement par l entité de recouvrement : n Clients compromis ayant un risque net > 2,5 MMAD. n Clients compromis ayant une provision > 5 MMAD. Le groupe Société Générale Marocaine de Banques a développé des modèles statistiques sur la base des historiques de recouvrement et des garanties et sûretés détenues pour le calcul des provisions pour les créances en souffrance non significatives. 8.2.2 Provisions collectives : Si une entité détermine qu il n existe pas d indications objectives de dépréciation pour un actif financier considéré individuellement, significatif ou non, elle inclut cet actif dans un groupe d actifs financiers présentant des caractéristiques de risque de crédit similaires et les soumet collectivement à un test de dépréciation. Les actifs soumis à un test de dépréciation individuel et pour lesquels une perte de valeur est comptabilisée ou continue de l être ne sont pas inclus dans un test de dépréciation collectif. La norme ne distingue pas deux méthodologies différentes pour l évaluation des provisions sur encours «impaired» individuellement ou collectivement. Le principe unique à appliquer est de provisionner l excédent de la valeur comptable du ou des actifs sur leur valeur recouvrable. La constitution de provisions n intervient qu en cas de dégradation observable du niveau de risque d un groupe de créances, et ayant une incidence mesurable sur les flux de trésorerie attendus du groupe constitué. La base de dépréciation du portefeuille des prêts et créances concerne les créances sensibles (selon les cotations internes à la banque). Le groupe Société Générale Marocaine de Banques a développé des modèles statistiques pour calculer les provisions collectives sur la base des historiques de transformation des créances sensibles en créances en souffrance. 9. GOODWILL Le Goodwill est constitué par l ensemble des avantages économiques futurs générés par des actifs qui ne peuvent être individuellement identifiés et comptabilisés séparément. Il correspond donc à la différence entre le coût d acquisition et la part d intérêt de l acquéreur dans la juste valeur nette des actifs et passifs éventuels identifiables. Après être évalué, il doit être comptabilisé à la date d acquisition en tant qu actif. Lorsque l acquisition est réalisée par étape, le goodwill doit être calculé à chaque étape, sur la base de la juste valeur de l actif net identifiable de l entreprise à cette date. L amortissement du goodwill laisse la place en IFRS à un test de dépréciation, au minimum annuel. L amortissement des goodwill est abandonné et des tests de dépréciation réguliers sont effectués. Pour le traitement du Goodwill, la valeur nette comptable retenue est celle arrêtée au 31/12/06. 10. AVANTAGES AU PERSONNEL La norme IAS 19 identifie 4 catégories d avantage du personnel : n avantages à court terme, tels que les salaires, les rémunérations, les cotisations de sécurité sociale, les congés payés, les congés maladie, l intéressement et les primes (s ils sont payables dans les 12 mois suivants la fin de l exercice) et les avantages non monétaires (tel que l assistance médicale, le logement, les voitures et les biens ou services gratuits ou subventionnés) accordés au personnel en activité ; n avantages postérieurs à l emploi tels que les pensions de retraite et autres prestations postérieures à l emploi, l assurance-vie postérieure à l emploi et l assistance médicale postérieure à l emploi ; n avantages à long terme comprenant les congés liés à l ancienneté, congés sabbatiques, jubilés ou autres avantage liés à l ancienneté, indemnité d incapacité de longue durée et, s ils sont payables 12 mois ou plus après la fin de l exercice, l intéressement, les primes et rémunérations différées. n indemnités de fin de contrat de travail. Régimes à cotisations définies : Dans les régimes à cotisations définies, l employeur paye des cotisations fixes à une entité distincte et n aura aucune obligation juridique ou implicite de payer des cotisations supplémentaires si le fonds n a pas suffisamment d actifs pour servir tous les avantages correspondant aux services rendus par le personnel pour l exercice et les exercices antérieurs. La norme impose à l entité de comptabiliser les cotisations versées au régime à contributions définies lorsque le membre du personnel a rendu des services en échange de ces cotisations. Régimes à prestations définies : Les régimes à prestations définies peuvent être non financés, ou partiellement ou intégralement financés. La norme impose à l entité : n De comptabiliser non seulement son obligation juridique mais aussi toute obligation implicite générée par les pratiques passées de l entité. n De déterminer la valeur actuelle des obligations au titre des prestations définies et la juste valeur des actifs des régimes avec une régularité suffisante pour que les montants comptabilisés dans les états financiers ne diffèrent pas de façon significative des montants qui auraient été déterminés à la date de clôture. n D utiliser la méthode des unités de crédit projetées pour évaluer ses obligations et ses coûts. n D affecter les droits à prestations aux périodes de services en vertu de la formule de calcul des prestations du régime. n D utiliser des hypothèses actuarielles objectives et mutuellement compatibles concernant les variables démographiques et financières. n De déterminer le taux d actualisation par référence à un taux du marché à la date de clôture basé sur les obligations d entreprises de première catégorie. n De déduire la juste valeur des éventuels actifs du régime montant comptable de l obligation. Amendements à IAS 19 «Avantages du personnel» : Les amendements à IAS 19 «Avantages du personnel» rendent obligatoire l enregistrement en Gains et Pertes comptabilisés directement en capitaux propres des écarts actuariels sur les régimes postérieurs à l emploi à prestations définies, sans qu ils puissent être reclassés ultérieurement en résultat. Par ailleurs, en cas de modification de plan, ces amendements entraînent la comptabilisation immédiate en résultat du coût des services passés, que les droits soient acquis ou non. L application de ces amendements est rétrospective et leur incidence sur les exercices précédents a été enregistrée dans les capitaux propres. Conformément à la norme IAS 19 Révisée, le groupe n applique plus la méthode du corridor pour comptabiliser les écarts actuariels sur ces engagements et reconnait au bilan l intégralité des réévaluations des régimes post emploi à prestations définies. Par ailleurs, et conformément à l option prévue dans IFRS 1, les réestimations des écarts actuariels à la date de transition ont été comptabilisées directement en capitaux propres, sans possibilité de recyclage en résultat. 11. DÉRIVÉS Change à terme Les opérations de change sont enregistrées dans le bilan à la date de l engagement et non plus dans le hors bilan, même si la juste valeur à l initiation est nulle pour la quasi-totalité des contrats (juste valeur nulle pour des contrats fermes initiés à des conditions de marché). Les opérations de change spot donnent lieu à comptabilisation directement au bilan avec réévaluation comme pour le cas des normes marocaines. Toutes les opérations de change à terme sont suivies en valeur de marché. Le groupe Société Générale Marocaine de Banques n effectue pas d opérations de couverture. L ensemble des opérations de change réalisées est classé en instruments en juste valeur par résultat. 12. IMPÔTS DIFFÉRÉS L impôt différé gomme les distorsions pouvant exister entre : n les valeurs bilantielles comptables et les valeurs bilantielles fiscales ; n le résultat sociale et le résultat fiscal ; n le résultat social t le résultat IAS. L impôt recalculé représente finalement le résultat courant et le résultat différé. Un impôt différé passif doit être pris en compte pour toutes les différences temporelles imposables puisqu il s agit d une dette future d impôt. Les impôts différés actifs, qu ils soient liés à des différences temporaires déductibles ou à des pertes fiscales reportables, ne sont pris en compte que si leur récupération est probable. L actualisation est interdite Les actifs et les passifs d impôt différé doivent être évalués aux taux d impôt dont l application est attendue sur l exercice au cours duquel l actif sera réalisé ou le passif réglé sur la base des taux d impôt adoptés ou quasiment adoptés à la clôture. 9

ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS IAS/IFRS AU 31/12/2013 BILAN CONSOLIDÉ AUX NORMES IAS/IFRS AU 31/12/2013 Comptes consolidés IAS/IFRS ACTIF IFRS Valeurs en caisse, Banques Centrales, Trésor public, Service des chèques postaux 1 513 598 3 132 691 Actifs financiers à la juste valeur par résultat 12 074 6 266 Instruments dérivés de couverture - - Actifs financiers disponibles à la vente 8 510 122 4 282 364 Prêts et créances sur les établissements de crédit et assimilés 2 510 047 2 959 027 Prêts et créances sur la clientèle 64 653 838 64 330 170 écart de réévaluation actif des portefeuilles couverts en taux - - Placements détenus jusqu'à leur échéance - - Actifs d'impôts exigibles 786 269 891 088 Actifs d'impôts différés 1 002 370 800 626 Comptes de régularisation et autres actifs 494 527 570 287 Actifs non courants destinés à être cédés - - Participations dans des entreprises mises en équivalence 429 494 413 932 Immeubles de placement - - Immobilisations corporelles 1 596 774 1 613 627 Immobilisations incorporelles 268 166 259 836 écarts d'acquisition 61 248 61 248 TOTAL ACTIF IFRS 81 838 527 79 321 162 PASSIF IFRS Banques centrales, Trésor public, Service des chèques postaux 2 - Passifs financiers à la juste valeur par résultat 32 864 11 079 Instruments dérivés de couverture - - Dettes envers les établissements de crédit et assimilés 6 784 669 4 297 194 Dettes envers la clientèle 53 964 250 50 846 282 Titres de créance émis 6 720 917 10 016 053 Écart de réévaluation passif des portefeuilles couverts en taux - - Passifs d'impôts exigibles 929 457 1 175 185 Passifs d'impôts différés 564 486 481 348 Comptes de régularisation et autres passifs 795 291 925 792 Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés - - Provisions techniques des contrats d'assurance - - Provisions 383 213 215 343 Subventions et fonds assimilés - - Dettes subordonnées et fonds spéciaux de garantie 2 582 225 2 578 874 Capitaux propres 9 081 153 8 774 012 Capitaux propres part du groupe 8 958 018 8 648 081. Capital et réserves liées 7 332 553 6 760 053. Réserves consolidées 987 776 827 999. Gains ou pertes latents ou différés 74 000 56 185. Résultat de l exercice 563 689 1 003 844 Intérêts minoritaires 123 135 125 931 TOTAL PASSIF IFRS 81 838 527 79 321 162 COMPTE DE RÉSULTAT CONSOLIDÉ AUX NORMES IAS/IFRS AU 31/12/2013 TABLEAU DES FLUX DE TRÉSORERIE AU 31/12/2013 Intérêts et produits assimilés 4 634 709 4 620 349 Intérêts et charges assimilées -1 413 448-1 397 231 MARGE D'INTÉRÊT 3 221 261 3 223 118 Commissions (Produits) 896 146 924 217 Commissions (Charges) -180 021-168 094 MARGE SUR COMMISSIONS 716 125 756 123 Gains ou Pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat -16 945 33 038 Gains ou Pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente 57 907 39 984 Produits des autres activités 75 103 32 846 Charges des autres activités -6 809-31 275 PRODUIT NET BANCAIRE 4 046 642 4 053 834 Charges générales d'exploitation -1 609 549-1 546 773 Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles -137 817-136 773 RÉSULTAT BRUT D'EXPLOITATION 2 299 276 2 370 288 Coût du risque -1 461 920-927 958 RÉSULTAT D'EXPLOITATION 837 356 1 442 330 Quote part du résultat net des entreprises mises en équivalence 53 297 65 097 Gains ou pertes nets sur autres actifs -125 3 443 Variations de valeur des écarts d'acquisition - - RÉSULTAT AVANT IMPÔT 890 528 1 510 870 Impôt sur les résultats -318 824-503 942 Résultat net d'impôt des activités arrêtées ou en cours de cession - - RÉSULTAT NET 571 704 1 006 928 Intérêts minoritaires -8 015-3 084 RÉSULTAT NET PART DU GROUPE 563 689 1 003 844 ÉTAT du résultat net et des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres au 31/12/2013 Résultat net 571 704 1 006 928 Variation de valeur des actifs financiers disponible à la vente 15 781-22 455 Variation de valeur différées des instruments dérivés de couverture - - Réévaluation des immobilisations - - écarts de conversion - - Total cumulé 587 485 984 474 Part du groupe 581 504 970 898 Part des minoritaires 5 981 13 577 Résultat avant impôts 890 528 1 510 878 +/- Dotations nettes aux amortissements des immobilisations corporelles et incorporelles 137 817 136 773 +/- Dotations nettes pour dépréciation des écarts d acquisition et des autres immobilisations - - +/- Dotations nettes pour dépréciation des actifs financiers 12 779-1 773 +/- Dotations nettes aux provisions 911 210 927 958 +/- Quote-part de résultat liée aux sociétés mises en équivalence -53 297-65 097 +/- Perte nette/(gain net) des activités d investissement - - +/- Perte nette/(gain net) des activités de financement - - +/- Autres mouvements 16 945-58 934 Total des éléments non monétaires inclus dans le résultat net avant impôts et des autres ajustements 1 025 455 938 927 +/- Flux liés aux opérations avec les établissements de crédit et assimilés 1 566 956-83 135 +/- Flux liés aux opérations avec la clientèle 2 794 300-954 900 +/- Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs financiers -7 506 917-1 564 688 +/- Flux liés aux autres opérations affectant des actifs ou passifs non financiers -162 693-699 160 - Impôts versés -681 517-724 537 Diminution/(augmentation) nette des actifs et des passifs provenant des activités opérationnelles -3 989 871-4 026 420 Flux net de trésorerie généré par l activité opérationnelle -2 073 888-1 576 615 +/- Flux liés aux actifs financiers et aux participations 68 859 24 680 +/- Flux liés aux immeubles de placement - - +/- Flux liés aux immobilisations corporelles et incorporelles -127 836-73 398 Flux net de trésorerie lié aux opérations d investissement -58 977-48 718 +/- Flux de trésorerie provenant ou à destination des actionnaires -288 552-328 000 +/- Autres flux de trésorerie nets provenant des activités de financement 3 351 - Flux net de trésorerie lié aux opérations de financement -285 201-328 000 Effet de la variation des taux de change sur la trésorerie et équivalent de trésorerie - - Augmentation/(diminution) nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie -2 418 066-1 953 333 Trésorerie et équivalents de trésorerie à l ouverture 3 478 898 5 432 231 Caisse, Banques centrales, CCP (actif & passif) 3 132 691 5 324 939 Comptes (actif & passif) et prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit 346 207 107 292 Trésorerie et équivalents de trésorerie à la clôture 1 060 832 3 478 898 Caisse, Banques centrales, CCP (actif & passif) 1 513 596 3 132 691 Comptes (actif & passif) et prêts/emprunts à vue auprès des établissements de crédit -452 764 346 207 Variation de la trésorerie nette -2 418 066-1 953 333 TABLEAU DE VARIATION DES CAPITAUX PROPRES au 31/12/2013 Tableau de variation des capitaux propres Capital Réserves liées Actions Réserves et résultats Gains ou pertes Capitaux propres Intérêts au capital propres consolidés latents ou différés part Groupe minoritaires Total Capitaux propres clôture 31/12/2011 2 050 000 4 032 353-1 782 351 89 131 7 953 835 138 225 8 092 060 Opérations sur capital - 677 700 - -677 700 - - - - Dividendes - - - -328 000 - -328 000-11 987-339 987 Résultat de l exercice - - - 1 003 844-1 003 844 3 084 1 006 928 Immobilisations corporelles et incorporelles : Réévaluations et cessions (D) - - - - - - - - Instruments financiers : variations de juste valeur et transferts en résultat (E) - - - - -32 946-32 946 10 493-22 455 écarts de conversion : variations et transferts en résultat (F) - - - - - - - Gains ou pertes latents ou différés (D) + (E) + (F) - - - - -32 946-32 946 10 493-22 455 Divers opérations sur Capitaux Propres - - - 65 142-65 142 9 004 74 146 Variation de périmetre - - - -13 794 - -13 794-22 887-36 681 Capitaux propres clôture 31/12/2012 2 050 000 4 710 053-1 831 844 56 185 8 648 081 125 931 8 774 012 Opérations sur capital - 572 500 - -572 500 - - - - Paiements fondés sur des actions - - - - - - - - Opérations sur actions propres - - - - - - - - Dividendes - - - -288 552 - -288 552-8 777-297 329 Résultat de l exercice - - - 563 689-563 689 8 015 571 704 Immobilisations corporelles et incorporelles : Réévaluations et cessions (D) - - - - - - - - Instruments financiers : variations de juste valeur et transferts en résultat (E) - - - - 17 815 17 815-2 034 15 781 écarts de conversion : variations et transferts en résultat (F) - - - - - - - Gains ou pertes latents ou différés (D) + (E) + (F) - - - - 17 815 17 815-2 034 15 781 Divers opérations sur Capitaux Propres (*) - - - 16 985-16 985-16 985 Variation de périmètre - - - - - - - - Capitaux propres clôture 31/12/2013 2 050 000 5 282 553-1 551 465 74 000 8 958 018 123 135 9 081 153 (*) Tenant compte de l impact de la norme IAS 19 révisée et de l ajustement des réserves consolidées de SOGELEASE 10

Comptes consolidés IAS/IFRS EXTRAIT DES NOTES ANNEXES MARGE D INTÉRÊTS 31/12/2013 31/12/2012 Produits Charges Net Produits Charges Net Opérations avec la clientèle 4 251 060 871 016 3 380 044 4 333 924 809 859 3 524 065 Comptes et prêts/emprunts 3 788 167 854 672 2 933 495 3 866 681 782 916 3 083 765 Opérations de pensions 3 698 16 344-12 646 4 976 26 943-21 967 Opérations de location-financement 459 195-459 195 462 267-462 267 Opérations interbancaires 383 649 542 432-158 783 286 425 587 364-300 939 Comptes et prêts/emprunts 186 358 526 179-339 821 252 552 573 757-321 205 Opérations de pensions 197 291 16 253 181 038 33 873 13 607 20 266 Emprunts émis par le Groupe - - - - - - Instruments de couverture de résultats futurs - - - - - - Instruments de couverture des portefeuilles couverts en taux - - - - - - Portefeuille de transactions - - - - - - Titres à revenu fixe - - - - - - Opérations de pensions - - - - - - Prêts/emprunts - - - - - - Dettes représentées par un titre - - - - - - Actifs disponibles à la vente - - - - - - Actifs détenus jusqu à échéance - - - - - - TOTAL DES PRODUITS ET CHARGES D INTÉRÊTS OU ASSIMILÉS 4 634 709 1 413 448 3 221 261 4 620 349 1 397 223 3 223 126 COÛT DU RISQUE Dotations aux provisions -1 401 932-1 306 666 Provisions pour dépréciation des prêts et créances -1 320 536-1 286 036 Provisions engagements par signature -38 438-11 785 Autres provisions pour risques et charges -42 959-8 845 Reprises de provisions 528 084 731 172 Reprises de provisions pour dépréciation des prêts et créances 509 531 702 400 Reprises de provisions engagements par signature 7 906 7 506 Reprise des autres provisions pour risques et charges 10 648 21 266 PRÊTS ET CRÉANCES SUR LES ÉTABLISSEMENTS DE CRÉDIT Comptes à vue 188 419 680 175 Prêts 2 321 628 2 278 852 Opérations de pension - - Total des prêts consentis et créances sur les établissements de crédits avant dépréciation 2 510 047 2 959 027 Dépréciation des prêts et créances émis sur les établissements de crédit - - Total des prêts consentis et créances sur les établissements de crédits nets de dépréciation 2 510 047 2 959 027 Variation des provisions -588 072-352 464 Pertes sur prêts et créances irrécouvrables non provisionnées -219 391-17 479 Pertes sur prêts et créances irrécouvrables provisionnées -372 305-339 202 Récupérations sur prêts et créances amorties 7 234 13 060 Autres pertes -3 609-8 843 Coût du risque -1 461 920-927 958 PRÊTS ET CRÉANCES SUR LA CLIENTÈLE Commissions nettes au 31/12/2013 Produits Charges Net Commissions nettes sur opérations 786 657 180 021 606 636 avec les établissements de crédit - - - avec la clientèle 368 967 29 339 339 628 sur titres 25 148 3 366 21 782 de change 392 542 147 316 245 226 sur instruments financiers à terme et autres opérations hors bilan - - - Prestation de services bancaires et financiers 109 489-109 489 Produits nets de gestion d OPCVM 11 089-11 089 Produits nets sur moyen de paiement 85 184-85 184 Assurance 2 539-2 539 Autres 10 677-10 677 Produits nets de commissions 896 146 180 021 716 125 Comptes ordinaires 10 257 314 10 858 465 Prêts consentis à la clientèle 52 518 355 50 886 200 Opérations de pension 69 050 - Opérations de location-financement 6 916 233 6 877 903 Total des prêts consentis et créances sur la clientèle avant dépréciation 69 760 952 68 622 568 Dépréciation des prêts et créances sur la clientèle -5 107 114-4 292 398 Total des prêts consentis et créances sur la clientèle nets de dépréciation 64 653 838 64 330 170 Dettes envers les établissements de crédit Comptes à vue 641 183 333 968 Emprunts 5 572 958 3 963 226 Opérations de pension 570 528 - Information sectorielle au 31/12/2013 Total des dettes envers les établissements de crédit 6 784 669 4 297 194 Banque de détail et de financement Leasing Marge d'intérêts 2 989 474 231 787 3 221 261 Marge sur commissions 718 339-2 214 716 125 Total Dettes envers la clientèle Résultat des activités de marché - - - Produit net bancaire 3 815 649 230 993 4 046 642 Résultat brut d'exploitation 2 124 835 174 441 2 299 276 Résultat d'exploitation 734 007 103 349 837 356 Résultat net 519 225 52 479 571 704 Résultat net part du Groupe 511 210 52 479 563 689 Comptes ordinaires créditeurs 33 088 042 31 190 100 Comptes à terme 8 504 400 8 484 551 Comptes d'épargne à taux administré 7 961 568 7 385 489 Bons de caisse 3 410 840 3 461 761 Opérations de pension 999 400 324 381 Total des dettes envers la clientèle 53 964 250 50 846 282 11

Comptes consolidés IAS/IFRS EXTRAIT DES NOTES ANNEXES IMMOBILISATIONS CORPORELLES ET INCORPORELLES VBC 31/12/2013 31/12/2012 Cumul des amortissements et pertes de valeur VNC VBC Cumul des amortissements et pertes de valeur Terrains et constructions 1 445 206-473 107 972 099 1 448 472-449 456 999 016 Equip. mobilier, installation 1 227 622-826 988 400 635 1 165 001-750 333 414 668 Biens mobiliers donnés en location - - - - - - Autres immobilisations 224 040-224 040 199 943-199 943 Total Immobilisations corporelles 2 896 868-1 300 094 1 596 774 2 813 416-1 199 789 1 613 627 Logiciels informatiques acquis 451 272-403 524 47 748 418 708-367 470 51 238 Logiciels informatiques produits par l'entreprise - - - - - - Autres immobilisation incorporelles 220 418-220 418 208 598-208 598 Total Immobilisations incorporelles 671 690-403 524 268 166 627 306-367 470 259 836 Total Immobilisations 3 568 558-1 703 618 1 864 940 3 440 722-1 567 259 1 873 463 VNC Actifs financiers disponibles à la vente Titres de créance négociables 7 535 624 3 342 582 Bons du Trésor et autres effets mobilisables auprès de la banque centrale 7 501 932 3 106 374 Autres titres de créance négociables 33 692 236 208 Obligations 47 913 49 743 Obligations d'état - - Autres Obligations 47 913 49 743 Actions et autres titres à revenu variable 974 599 939 194 dont titres cotés 646 134 618 374 dont titres non cotés 328 465 320 820 Total des actifs disponibles à la vente avant dépréciation 8 558 136 4 331 519 Provisions pour dépréciation des actifs disponibles à la vente -48 014-49 155 Total des actifs disponibles à la vente nets de dépréciations 8 510 122 4 282 364 Éventualités et engagements hors bilan donnés et reçus Engagement de financement Engagements de financements donnés Aux établissements de crédit - - A la clientèle 4 355 904 5 613 446 Ouverture de crédit ouvert - - Autre engagements en faveur de la clientèle - - Total des engagements de financement donnés 4 355 904 5 613 446 Engagements de financements reçus des établissements de crédit 1 133 419 1 121 918 de la clientèle - - Total des engagements de financement reçus 1 133 419 1 121 918 Engagement de garantie Engagements de garantie donnés D ordre des établissements de crédit 4 414 738 4 156 508 D ordre de la clientèle 9 075 448 7 989 501 Cautions administratives et fiscales et autres cautions - - Autres garanties d ordre à la clientèle - - Total des engagements de garantie donnés 13 490 186 12 146 009 Engagements de garantie reçus des établissements de crédit 6 153 912 4 563 498 de l'état et d'autres organismes de garantie 976 445 420 472 Total des engagements de garantie reçus 7 130 357 4 983 970 ProvisionS pour risques et charges 31/12/12 Dotations Reprises Impact IAS19 Révisée Autres variations 31/12/13 Provision pour risques d exécution des engagements par signature 40 575 38 438 7 906 - -16 71 091 Provision pour engagements sociaux 142 508 23 368 9 868 72 293-228 301 Autres provisions pour risques et charges 32 260 42 958 11 773-20 375 83 821 Provisions pour risques et charges 215 343 104 764 29 546 72 293 20 359 383 213 Impôts courants et différés Impôts courants 786 269 891 088 impôts différés 1 002 370 800 626 Actifs d'impôts courants et différés 1 788 639 1 691 714 Impôts courants 929 457 1 175 185 impôts différés 564 486 481 348 Passifs d'impôts courants et différés 1 493 943 1 656 533 PÉRIMÈTRE DE CONSOLIDATION Dénomination Activité % Contrôle % Intérêts SOCIÉTÉ GÉNÉRALE MAROCAINE DE BANQUES Méthode de consolidation BANCAIRE 100,00% 100,00% IG INVESTIMA SOCIÉTÉ DE PARTICIPATION 48,04% 48,04% IG SOGECAPITAL BOURSE INTERMÉDIATION EN BOURSE 100,00% 100,00% IG SOGECAPITAL GESTION GESTION D'ACTIFS 99,94% 99,94% IG SOGECAPITAL PLACEMENT GESTION D'ACTIFS 99,96% 99,96% IG SOGELEASE LEASING 100,00% 100,00% IG SOCIÉTÉ GÉNÉRALE TANGER OFF SHORE BANCAIRE 99,92% 99,92% IG Évolution du capital et des résultats par action 31/12/11 31/12/12 31/12/13 Capital 2 050 000 2 050 000 2 050 000 Nombre d actions 20 500 20 500 20 500 Résultat Part groupe 1 120 998 1 003 844 563 689 Résultat par action (dh) 55 49 27 SOGEFINANCEMENT CRÉDIT À LA CONSOMMATION 100,00% 100,00% IG ATHENA COURTAGE COURTAGE D'ASSURANCE 96,93% 96,93% IG FONCIMMO ACTIVITÉ IMMOBILIÈRE 100,00% 100,00% IG SOGECONTACT CENTRE D'APPEL 99,83% 99,83% IG LA MAROCAINE VIE ASSURANCES 25,82% 25,82% MEE CRÉDIT EQDOM CRÉDIT À LA CONSOMMATION 19,97% 20,88% MEE ALD AUTOMOTIVE LOCATION LONGUE DURÉE 15,00% 15,00% MEE IG : Intégration globale MEE : Mise en équivalence 12

Comptes consolidés IAS/IFRS EXPOSITION AUX RISQUES ET STRATÉGIE DE COUVERTURE La démarche de la Société Générale Marocaine de Banques en matière de gestion des risques s inscrit dans le cadre réglementaire en vigueur, et dans celui des meilleures pratiques définies au niveau international, qui déterminent largement les procédures internes du Groupe en matière des Risques et de Contrôle Interne. Le Groupe a défini une politique de gestion des risques, en conformité avec les recommandations du comité de Bâle II et qui s intègre dans le cadre de la politique du Groupe Société Générale. Cette politique globale vise au pilotage et à la maîtrise de tous les risques inhérents à l activité bancaire : Risques de Contrepartie, Risques de Marchés, Risques Structurels, Risques Opérationnels, Risque de Conformité, et au dispositif de Contrôle Interne qui soustend l exercice effectif du pilotage des risques. LE CONSEIL DE SURVEILLANCE en tant qu organe d administration, a institué deux Comités chargés de l assister en matière de Risques et de Contrôle Interne : n LE COMITE DES RISQUES, en charge des risques de contrepartie, des risques de marché et des risques structurels ; n LE COMITE D AUDIT, qui, outre la validation des comptes du Groupe, est en charge du pilotage des Risques Opérationnels et du Contrôle Interne. 1. RISQUE DE CRÉDIT 1.1. Organisation de la filière Risque de Crédit La filière Risques de Crédits est du ressort de la Direction des Risques et de la Direction du Recouvrement, indépendantes des Pôles et Métiers, et rattachées directement au Directoire. La Direction des Risques couvre l ensemble des aspects relatifs à l octroi des crédits et à la surveillance des engagements. La Direction du Recouvrement est en charge du recouvrement précontentieux et contentieux. L octroi du crédit est exercé en fonction de limites d autorisations déléguées aux divers intervenants. On distingue divers échelons d autorisation en fonction des montants, de la nature des crédits, de la notation des clients : n Les Directions Régionales ; n La Direction des Risques ; n Le Comité et les Sous Comités des Engagements ; n La Commission des Crédits. 1.2. Rôle de la Direction des Risques La Direction des Risques est autonome par rapport aux unités opérationnelles. Il lui appartient de veiller au respect des conditions d octroi des crédits et ensuite de surveiller le bon déroulement des opérations de crédits. Les missions permanentes de la Direction des Risques : n Evaluer les risques de crédits (clients, contrepartie et transaction) attachés à une opération ; n Contrôler la cohérence des décisions prises ; n Recommander les modifications de structure et les protections souhaitables pour rester en conformité avec la Politique de Risque du Groupe ; n Communiquer son avis sur l acceptabilité de ces risques en rédigeant une évaluation de crédit dûment motivée et explicitée. 1.2.1. Surveillance des risques La Direction des risques doit aussi assurer une surveillance des risques qui : n Détecte le plus tôt possible les irrégularités (non renouvellement d autorisations, prise d engagements non autorisés, dépassements d autorisations, non constitution de garanties exigées, etc.) et en informe les responsables de la Direction des Risques et des entités. n Détecte les engagements à classer en créances sensibles en vue d en assurer un suivi rapproché. n Détecte les engagements en défaut en vue de leur déclassement en créances en souffrance et à leur provisionnement suivant les critères réglementaires par la Direction du recouvrement. n Audite les risques pris par les agences et les Directions Régionales dans le cadre de leurs limites déléguées. La Direction des Risques a également pour mission de vérifier l efficacité de la Filière Risques mise en place dans les Directions Régionales et le respect des instructions en vigueur relatives à l octroi des crédits et à la surveillance des risques. 1.3. Rôle de la Direction du Recouvrement La Direction du Recouvrement doit gérer le recouvrement des créances compromises : n en charge de la politique et de l organisation du recouvrement ; n traitement de tous les dossiers (clientèle commerciale et clientèle privée) ; n gestion des provisions en liaison avec la Direction des risques ; n assure l ensemble des tâches administratives liées à la fonction (reporting, comités de crédit, relations avec les autorités et auxiliaires de justice, ). 1.4. Les Notations Lors de la décision d octroi des crédits, les clients de la banque font l objet d une notation, définie suivant les standards Société Générale et périodiquement mise à jour. Celle-ci a pour but : n D aider à la prise de décision, n De permettre de suivre l évolution de la qualité du risque sur la contrepartie, n De déterminer l étendue des délégations pour l octroi des concours ; n D apprécier la qualité des risques sur un portefeuille donné. 2. RISQUE DE MARCHÉ Le risque marché se définit comme étant le risque de perte ou de dévalorisation des positions détenues pour compte propre en instruments négociés sur un marché. La formation de prix fréquents sur les marchés permet de constater facilement une perte réalisée ou potentielle. 2.1. Risque de change Ce risque correspond au risque de variation d une position ou d un instrument financier du fait des fluctuations des cours de devises sur le marché. L avènement du marché des changes et l élargissement du marché monétaire ont amené le Groupe à se doter de structures spécifiques répondant aux standards internationaux. Selon les règles du Groupe Société Générale, ce risque est mesuré en Conditional Value at Risk (CVaR), qui répond mieux aux exigences de Bâle II. Il s agit là d un risque de contrepartie à la charge des clients. Afin de maîtriser ce risque, des limites sont fixées. Celles-ci sont de deux types: des limites en valeur nominale et des limites en «stress test». 2.2. Gestion des limites Les limites mises en place pour maîtriser les risques de change sont issues des instructions de Bank Al Maghrib régissant la tenue des positions en devises et le respect du «stop loss» fixé à 3% de la valeur d une devise. En plus des limites réglementaires, des limites internes en nominal et stress test sont fixées par la maison mère sur les positions intraday et over night. 2.3. Risque règlement-livraison C est le risque de non paiement des sommes en attente de réception. Il se mesure par la valeur des flux à recevoir. Il naît dans le cas d opérations donnant lieu à échanges simultanés et réciproques à la date d irrévocabilité de notre ordre de paiement et s éteint à la date de constat de la réception (ou non) des fonds. Ce risque est dû à l intervalle de temps requis pour le transfert de fonds (décalage horaire, plages d ouverture des systèmes de règlement locaux, organisation interne pour l envoi des fonds et le pointage des paiements reçus). Afin de distinguer les risques afférents aux opérations à très court terme pour lesquelles une réactivité en cas de dépassement doit être immédiate, des risques afférents aux opérations à plus long terme, il est apparu nécessaire de les distinguer suivant la proximité de règlement : - le risque de livraison immédiat est le risque instantané supporté sur une contrepartie ; - le risque de livraison différé est le risque engendré par les opérations à terme. C est un risque potentiel qui deviendra effectif uniquement lorsqu une opération arrivera à maturité. A ce moment là, le risque de livraison différé se transforme donc en risque de livraison immédiat. 3. RISQUES STRUCTURELS Les principaux risques structurels sont : n le risque de taux n le risque de liquidité Pour la gestion structurelle des risques de taux et de liquidité, le Groupe adopte une approche dynamique, dans laquelle toutes les données sont mises à jour trimestriellement. Il s agit d une modélisation automatique des emplois et des ressources. Le suivi des risques structurels est assuré par le Groupe Société Générale à travers un reporting trimestriel «Risques structurels». L établissement de ce reporting est du ressort de la Direction Financière. Ce reporting est analysé régulièrement par le Comité Financier, comité instauré par la Banque depuis mai 2004, dont le rôle est de définir et mettre en œuvre la stratégie à court et moyen-long termes de la banque en matière de gestion globale des ressources et des emplois générés par ses activités commerciales. Un ensemble d objectifs a été fixé à cette instance : n Optimiser le couple risque/rentabilité en fonction des évolutions du marché et de la stratégie clientèle. n Améliorer le coût de la collecte des ressources ; n Prévoir et contrecarrer les impasses de liquidité et de taux ; n Optimiser la gestion du portefeuille de titres de placement ; n Développer la démarche de gestion Actif - Passif. Les Risques de taux et de liquidité sont suivis également par Bank Al Maghrib. 3.1. Le risque global de taux d intérêt Ce risque correspond au risque de variation de la valeur des positions globales de la banque (net actif-passif par nature de taux) ou au risque de variation des flux de trésorerie futurs d un ensemble d instruments financiers du fait de l évolution des taux d intérêt de marché. 3.2. Le risque de liquidité 3.2.1. Modalités et procédures de suivi La gestion de la trésorerie immédiate (court terme) est assurée par la Salle des Marchés de la Banque à travers un calcul quotidien du gap de trésorerie en fonction de la Réserve Monétaire Bank Al Maghrib (solde du compte Bank Al Maghrib), des flux entrant et sortant des agences et des prêts/emprunts quotidiens sur le Marché Monétaire. Un Comité Hebdomadaire de Trésorerie, présidé par un membre du Directoire, prend les décisions de gestion de la liquidité à court terme (levées de liquidité, prêts/emprunts sur le Marché Monétaire, ). Il est animé conjointement par la Direction Financière et par la Salle des Marchés. 13

Comptes consolidés IAS/IFRS EXPOSITION AUX RISQUES ET STRATÉGIE DE COUVERTURE (suite) La gestion de la liquidité structurelle est assurée par la Direction Financière à travers : n Le calcul des gaps de liquidité sur chaque maturité, et de la sensibilité du bilan ; n La présentation, au Comité Financier, du tableau de bord ALM incluant le gap de liquidité ainsi que les flux prévisionnels de trésorerie, permettant de mesurer l exposition de la Banque au risque de liquidité. 3.2.2. Limites fixées en matière de risque de liquidité et modalités de leur révision La banque s impose une limite en termes de cash (montant maximum à emprunter sur le marché monétaire pour financer son gap quotidien de trésorerie), et de gap de liquidité. Les limites sont fixées pas le Comité Financier et approuvées par le Comité d Audit. 4. RISQUES OPÉRATIONNELS Le risque opérationnel (RO) est défini comme le risque de perte résultant de l inadaptation ou de la défaillance de procédures, de personnes, de systèmes internes ou résultant d événements extérieurs (catastrophes, incendie, agressions ) La fonction RO vise à mesurer et suivre les risques opérationnels avérés et potentiels et à mettre en œuvre les actions correctives afin d en limiter l étendue. Pour une meilleure optimisation de sa gestion des RO et afin de remplir les exigences prudentielles renforcées dans le cadre des accords de Bâle (dispositif Bâle II), Le Groupe a mis en place une Cellule Surveillance Permanente (SP), Risques Opérationnels et Conformité directement rattachée au Directoire. RÉSUMÉ DU RAPPORT D AUDIT SUR LES ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS 14

EXTRAIT DES ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS DU GROUPE SOCIÉTÉ GÉNÉRALE AU 31 DÉCEMBRE 2013 BILAN CONSOLIDÉ AU 31/12/2013 ACTIF (En M EUR) 31.12.2013 31.12.2012* Caisse et banques centrales 66 602 67 591 Actifs financiers à la juste valeur par résultat 484 386 484 026 Instruments dérivés de couverture 11 483 15 934 Actifs financiers disponibles à la vente 134 564 127 714 Prêts et créances sur les établissements de crédit 84 842 77 204 Prêts et créances sur la clientèle 333 535 350 241 Opérations de location financement et assimilées 27 741 28 745 Écart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 3 047 4 402 Actifs financiers détenus jusqu'à l'échéance 989 1 186 Actifs d'impôts 7 337 6 154 Autres actifs 55 895 53 646 Actifs non courants destinés à être cédés 116 9 417 Participations dans les entreprises mises en équivalences 2 129 2 119 Immobilisations corporelles et incorporelles 17 624 17 190 Écarts d'acquisition 4 972 5 320 Total 1 235 262 1 250 889 * Montants retraités par rapport aux états financiers publiés en 2012, suite à l entrée en vigueur des amendements à la norme IAS 19 qui s appliquent de façon rétrospective. Les rubriques impactées sont les Actifs d impôts pour 245 M EUR, les Autres actifs pour -59 M EUR, et les Actifs non courants destinés à être cédés pour 7 M EUR. COMPTE DE RÉSULTAT CONSOLIDÉ AU 31/12/2013 (En M EUR) 31.12.2013 31.12. 2012* Intérêts et produits assimilés 27 271 29 904 Intérêts et charges assimilées (17 181) (18 592) Dividendes sur titres à revenu variable 467 314 Commissions (produits) 9 056 9 515 Commissions (charges) (2 549) (2 538) Résultat net des opérations financières 4 084 3 201 dont gains ou pertes nets sur instruments financiers à la juste valeur par résultat 3 802 2 566 dont gains ou pertes nets sur actifs financiers disponibles à la vente 282 635 Produits des autres activités 59 088 38 820 Charges des autres activités (57 405) (37 514) Produit net bancaire 22 831 23 110 Frais de personnel (9 225) (9 493) Autres frais administratifs (6 253) (6 000) Dotations aux amortissements et aux dépréciations des immobilisations incorporelles et corporelles (921) (925) Résultat brut d'exploitation 6 432 6 692 Coût du risque (4 052) (3 935) Résultat d'exploitation 2 380 2 757 Quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence 153 154 Gains ou pertes nets sur autres actifs 575 (504) Pertes de valeur sur les écarts d'acquisition (50) (842) Résultat avant impôts 3 058 1 565 Impôts sur les bénéfices (533) (341) Résultat net de l'ensemble consolidé 2 525 1 224 Participations ne donnant pas le contrôle 350 434 Résultat net part du Groupe 2 175 790 Résultat par action ordinaire 2,40 0,66 Résultat dilué par action ordinaire 2,40 0,66 * Montants retraités par rapport aux états financiers publiés en 2012, suite à l entrée en vigueur des amendements à la norme IAS 19 qui s appliquent de façon rétrospective. Les rubriques impactées sont les Frais de personnel pour 20 M EUR, les Gains ou pertes nets sur autres actifs pour 3 M EUR et les Impôts sur les bénéfices pour -7 M EUR. ÉTAT DU RÉSULTAT NET ET GAINS ET PERTES COMPTABILISÉS DIRECTEMENT EN CAPITAUX PROPRES (En M EUR) 31.12.2013 31.12. 2012* Résultat net 2 525 1 224 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres et qui seront reclassés ultérieurement en résultat (1 028) 1 543 écarts de conversion (1) (962) 40 écarts de réévaluation de la période (962) 40 Actifs financiers disponibles à la vente (104) 2 143 écarts de réévaluation de la période 101 2 603 Reclassement en résultat (205) (460) Instruments dérivés de couverture 42 (31) écarts de réévaluation de la période 47 (31) Reclassement en résultat (5) - Quote-part de gains et pertes sur entités mises en équivalence comptabilisés directement en capitaux propres qui seront reclassés (6) 2 ultérieurement en résultat Impôts sur éléments qui seront reclassés ultérieurement en résultat (2) 2 (611) Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres et qui ne seront pas reclassés ultérieurement en résultat 141 (209) écarts actuariels sur avantages postérieurs à l emploi 211 (310) Quote-part de gains et pertes sur entités mises en équivalence comptabilisés directement en capitaux propres et qui ne seront pas - - reclassés ultérieurement en résultat Impôts sur éléments qui ne seront pas reclassés ultérieurement en résultat (2) (70) 101 Total des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres (887) 1 334 Résultat net et gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres 1 638 2 558 Dont part du Groupe 1 463 1 987 Dont participations ne donnant pas le contrôle 175 571 * Montants retraités par rapport aux états financiers publiés en 2012 suite à l entrée en vigueur des amendements à la norme IAS19 qui s appliquent de manière rétrospective. Les rubriques impactées sont le résultat net pour 16 M EUR, les écarts de conversion pour 2 M EUR et les gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres et qui ne seront pas reclassés en résultat pour -209 M EUR, soit un total de -191 M EUR sur le résultat net des gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres. (1) La variation de l écart de conversion en part du Groupe s élève à -843 M EUR et s explique principalement par l appréciation de l Euro par rapport au Dollar -180 M EUR, au Rouble -140 M EUR, à la Couronne tchèque -139 M EUR, au Yen -115 M EUR, à la Couronne norvégienne -64 M EUR et au Réal brésilien -63 M EUR, et au rachat de participations ne donnant pas le contrôle sur Rosbank -36 M EUR. La variation de l écart de conversion dans les participations ne donnant pas le contrôle s élève à -119 M EUR principalement liés à l appréciation de l Euro contre la Couronne tchèque -100 M EUR et au Rouble -53 M EUR et au rachat de participations ne donnant pas le contrôle sur Rosbank 36 M EUR. (2) Cf. Note 14. PASSIF (En M EUR) 31.12.2013 31.12.2012* Banques centrales 3 566 2 398 Passifs financiers à la juste valeur par résultat 426 756 411 388 Instruments dérivés de couverture 9 819 13 975 Dettes envers les établissements de crédit 91 098 122 049 Dettes envers la clientèle 344 687 337 230 Dettes représentées par un titre 131 734 135 744 écart de réévaluation des portefeuilles couverts en taux 3 706 6 508 Passifs d'impôts 1 639 1 150 Autres passifs 59 761 58 163 Dettes liées aux actifs non courants destinés à être cédés 4 7 327 Provisions techniques des entreprises d'assurance 97 167 90 831 Provisions 3 829 3 523 Dettes subordonnées 7 395 7 052 Total dettes 1 181 161 1 197 338 CAPITAUX PROPRES Capitaux propres part du Groupe Capital et réserves liées 27 381 26 196 Réserves consolidées 21 927 21 916 Résultat de l'exercice 2 175 790 Sous-total 51 483 48 902 Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres (475) 377 Sous-total Capitaux propres part du Groupe 51 008 49 279 Participations ne donnant pas le contrôle 3 093 4 272 Total capitaux propres 54 101 53 551 Total 1 235 262 1 250 889 * Montants retraités par rapport aux états financiers publiés en 2012, suite à l entrée en vigueur des amendements à la norme IAS 19 qui s appliquent de façon rétrospective. Les rubriques impactées sont les Passifs d impôts pour -17 M EUR, les Passifs non courants destinés à être cédés pour 40 M EUR, les Provisions pour 716 M EUR, les Réserves consolidées pour -542 M EUR, le Résultat de l exercice pour 16 M EUR, les Gains et pertes comptabilisés directement en capitaux propres pour -4 M EUR et les Participations ne donnant pas le contrôle pour -16 M EUR. Le total des capitaux propres est ainsi ajusté pour un montant de -546 M EUR. ATTESTATION des commissaires aux comptes 15

Tanger Offshore COMMUNICATION FINANCIÈRE comptes SOcIAUX DE SOCIÉTÉ GÉNÉRALE TANGER OFF SHORE AU 31/12/2013 BILAN AU 31 DÉCEMBRE 2013 (en dollar US ) ACTIF Valeurs en caisse, Banques centrales, Trésor public, Service des chèques postaux 43 023 - Créances sur les établissements de crédit et assimilés 56 623 916 503 185. à vue 1 345 005 503 185. à terme 55 278 911 - Créances sur la clientèle 522 554 923 446 050 653. Crédits de trésorerie et à la consommation 462 823 323 409 740 940. Crédits à l équipement 56 297 039 34 398 086. Crédits immobiliers - -. Autres crédits 3 434 562 1 911 627 Créances acquises par affacturage - - Titres de transaction et de placement - -. Bons du Trésor et valeurs assimilées - -. Autres titres de créance - -. Titres de propriété - - Autres actifs 177 993 189 166 Titres d investissement - -. Bons du Trésor et valeurs assimilées - -. Autres titres de créance - - Titres de participation et emplois assimilés - - Créances subordonnées - - Immobilisations données en crédit-bail et en location - - Immobilisations incorporelles 21 155 116 250 Immobilisations corporelles - - Total de l Actif 579 421 010 446 859 254 (en dollar US ) PASSIF Banques centrales, Trésor public, Service des chèques postaux - - Dettes envers les établissements de crédit et assimilés 569 908 151 439 140 681. à vue - -. à terme 569 908 151 439 140 681 Dépôts de la clientèle 3 449 339 2 852 812. Comptes à vue créditeurs 3 169 543 2 204 152. Comptes d'épargne - -. Dépôts à terme - -. Autres comptes créditeurs 279 796 648 660 Titres de créance émis - -. Titres de créance négociables - -. Emprunts obligataires - -. Autres titres de créance émis - - Autres passifs 187 978 180 850 Provisions pour risques et charges - - Provisions réglementées - - Subventions, fonds publics affectés et fonds spéciaux de garantie - - Dettes subordonnées - - écarts de réévaluation - - Réserves et primes liées au capital 4 180 921 2 895 523 Capital 500 000 500 000 Actionnaires. Capital non versé (-) - - Report à nouveau (+/-) 3 989 3 989 Résultats nets en instance d'affectation (+/-) - - Résultat net de l'exercice (+/-) 1 190 632 1 285 399 Total du Passif 579 421 010 446 859 254 HORS BILAN AU 31 DÉCEMBRE 2013 (en dollar US ) HORS BILAN ENGAGEMENTS DONNéS 1 234 569 2 683 407 Engagements de financement donnés en faveur d'établissements de crédit et assimilés - - Engagements de financement donnés en faveur de la clientèle 246 283 1 176 378 Engagements de garantie d'ordre d'établissements de crédit et assimilés - - Engagements de garantie d'ordre de la clientèle 988 286 1 507 029 Titres achetés à réméré - - Autres titres à livrer - - ENGAGEMENTS REÇUS 449 615 094 393 556 102 Engagements de financement reçus d'établissements de crédit et assimilés - - Engagements de garantie reçus d'établissements de crédit et assimilés 449 615 094 393 556 102 Engagements de garantie reçus de l'état et d'organismes de garantie divers - - Titres vendus à réméré - - Autres titres à recevoir - - attestation DES COMMISSAIRES AUX COMPTES SUR LA SITUATION DES COMPTES SOCIAUX PÉRIODE DU 1 ER JANVIER AU 31 DÉCEMBRE 2013 COMPTE DE PRODUITS ET CHARGES AU 31 DÉCEMBRE 2013 (en dollar US ) PRODUITS D EXPLOITATION BANCAIRE 7 192 095 6 474 032 Intérêts et produits assimilés sur opérations avec les établissements de crédit 505 526 118 487 Intérêts et produits assimilés sur opérations avec la clientèle 6 543 042 6 321 084 Intérêts et produits assimilés sur titres de créance - - Produits sur titres de propriété - - Produits sur immobilisations en crédit-bail et en location - - Commissions sur prestations de service 125 302 17 053 Autres produits bancaires 18 224 17 408 CHARGES D EXPLOITATION BANCAIRE 4 967 875 4 723 582 Intérêts et charges assimilées sur opérations avec les établissements de crédit 4 933 520 4 680 148 Intérêts et charges assimilées sur opérations avec la clientèle - - Intérêts et charges assimilées sur titres de créance émis - - Charges sur immobilisations en crédit-bail et en location - - Autres charges bancaires 34 355 43 435 PRODUIT NET BANCAIRE 2 224 220 1 750 450 Produits d'exploitation non bancaire - - Charges d'exploitation non bancaire - - CHARGES GéNéRALES D EXPLOITATION 367 233 359 907 Charges de personnel - - Impôts et taxes 379 182 Charges externes 270 628 250 900 Autres charges générales d'exploitation 1 132 13 730 Dotations aux amortissements et aux provisions des immobilisations incorporelles et corporelles 95 095 95 095 DOTATIONS AUX PROVISIONS ET PERTES SUR CRéANCES IRRéCOUVRABLES 1 000 468 66 225 Dotations aux provisions pour créances et engagements par signature en souffrance 1 000 468 66 225 Pertes sur créances irrécouvrables - - Autres dotations aux provisions - - REPRISES DE PROVISIONS ET RéCUPéRATIONS SUR CRéANCES AMORTIES 536 168 111 860 Reprises de provisions pour créances et engagements par signature en souffrance 536 168 111 860 Récupérations sur créances amorties - - Autres reprises de provisions - - RéSULTAT COURANT 1 392 687 1 436 178 Produits non courants 30 - Charges non courantes 46 659 10 352 RéSULTAT AVANT IMPôTS 1 346 058 1 425 826 Impôts sur les résultats 155 426 140 427 RéSULTAT NET DE L EXERCICE 1 190 632 1 285 399 TOTAL PRODUITS 7 728 293 6 585 892 TOTAL CHARGES 6 537 662 5 300 494 RéSULTAT NET DE L'EXERCICE 1 190 632 1 285 399 16