Quelques équivalences logiques (rappel) La résolution pour le calcul des prédicats. D autres exemples d équivalence lorsque x / VI (A) Forme prénexe

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Transcription:

Quelques équivalences logiques (rappel) La résolution pour le calcul des prédicats Méthode par réfutation : A est valide ssi A est insatisfaisable (n a pas de modèle) ssi en appliquant la méthode de résolution à A on obtient une contradiction (réfutation). Forme prénexe Skolemisation Forme clausale Règles de résolution Correction et complétude x. A x. A x. A x. A x. A x. A x. A x. A x. (A B) x. A x. B x. (A B) x. A x. B x. (A B) x. A x. B x. y. A y. x. A x. y. A y. x. A Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 1 / 24 Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 2 / 24 D autres exemples d équivalence lorsque x / VI (A) Forme prénexe x. A x. A A x. (A B) A x. B x. (A B) A x. B x. (A B) A x. B x. (A B) A x. B x. (A B) A x. B x. (A B) A x. B x. (B A) x. B A x. (B A) x. B A Définition : Une formule G est dite en forme prénexe ssi elle est de la forme Q 1 x 1... Q n x n A, où chaque Q i est un quantificateur ou et A ne contient pas de quantificateur. Théorème : Pour toute formule G il existe une formule G en forme prénexe t.q G G. Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 3 / 24 Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 4 / 24

Exemples Skolemisation partielle ( x p(x)) r(x) y (p(y) r(x)) ( x p(x)) ( x r(x)) x (p(x) r(x)) ( x p(x)) ( x r(x)) x y (p(x) r(y)) ( x p(x)) ( x r(x)) x y (p(x) r(y)) ( x p(x)) ( y r(y)) x y (p(x) r(y)) [( x p(x)) ( y r(y))] x y (p(x) r(y)) Définition : Soit G une formule prénexe de la forme x 1... x n x n+1 Q n+2 x n+2... Q n+i x n+i A. Soit f un nouveau symbole de fonction n-aire. La formule x 1... x n Q n+2 x n+2... Q n+i x n+i {x n+1 f (x 1,..., x n )}(A) est la skolemisation partielle de G. Lemme : Soit G une formule prénexe et soit G sa skolemisation partielle. Alors G a un modèle ssi G a un modèle. Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 5 / 24 Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 6 / 24 Exemples Skolemisation G est la skolemisation partielle de G. G G x y z r(x, z) x y r(x, f (x, y)) x z y w w s(w, x, h(z)) x y w w s(w, x, h(g(x))) x z y s(x, x, z) z y s(a, a, z) Définition : Soit G une formule prénexe ayant n quantificateurs. La Skolemisation de G est la formule obtenue par n applications successives de la skolemisation partielle. Théorème : Soit G la Skolemisation de la formule G. Alors Si G contient n quantificateurs, G contient au plus n nouveaux symboles de fonction. G ne contient pas de quantificateurs. G a un modèle ssi G a un modèle. Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 7 / 24 Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 8 / 24

Exemples Forme normale conjonctive pour le calcul des prédicats G est la Skolemisation de G. G G x y z r(x, z) x y r(x, f (x, y)) x z y w w s(w, x, h(z)) x y s(i(x, y), x, h(g(x))) x z y s(x, x, z) y s(a, a, b) Définition : Un littéral est une formule de la forme r(t 1,..., t n ) ou r(t 1,..., t n ). Une clause est une formule de la forme L 1... L q, q 0, où chaque L i est un littéral. La clause vide s écrit. Une formule est en forme normal conjonctive (FNC) ssi elle est de la forme C 1... C n, n 0, où chaque C i est une clause. La FNC vide s écrit. Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 9 / 24 Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 10 / 24 Exemples Existence de la FNC est une FNC. est une FNC. p(h(x)) est une FNC. p(h(x)) p(y) est une FNC. ( p(h(x)) p(y)) p(z) est une FNC. ( p(h(x)) p(y)) (p(z) p(h(x))) est une FNC. (p(x) p(z)) n est pas une FNC. p(x) ( p(z) p(h(z))) n est pas une FNC. p(x) ( p(z) p(h(z))) n est pas une FNC. Théorème : Pour toute formule A sans quantificateurs, il existe une formule A sans quantificateurs en FNC telle que A A. Preuve : Comme dans le cas propositionnel : utiliser les équivalences suivantes: A B A B A A (A B) A B (A B) A B A (B C) (A B) (A C) Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 11 / 24 Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 12 / 24

Unicité Vers la mise sous forme clausale Soit clu(a) (resp. cle(a)) la clôture universelle (resp. existentielle) d une formule A. Soit clu( ) = {clu(a) A } et cle( ) = {cle(a) A }. La FNC d une formule n est pas unique. Exemple: p p p p p. Donc, p p, p p p et sont trois FNC de la formule p p. Lemme : Soit = {A 1,..., A n } un ensemble de formules sans quantificateurs. Soit FNC = {E 1,..., E n } un ensemble de formules où chaque E i est une FNC de A i. Soit C l ensemble de clauses de FNC construit comme 1 i n {D i 1,..., D ik E i FNC et E i = D i1... D ik }. Alors l ensemble de formules clu( ) a un modèle ssi l ensemble de clauses clu(c ) a un modèle. Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 13 / 24 Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 14 / 24 Mise sous forme clausale Théorème : Pour toute formule G il existe un ensemble de clauses C G t.q VI (C 1 ) VI (C 2 ) = si C 1, C 2 C G et C 1 C 2 G a un modèle ssi clu(c G ) a un modèle. Preuve : 1 D abord de G on fixe G 1 = cle(g). G a un modèle ssi G 1 a un modèle. 2 Utiliser l équivalence A B A B pour éliminer les implications de G 1. On obtient une formule G 2 G 1. 3 Calculer G 3, la forme prénexe de G 2. On a G 3 G 2. 4 Calculer G 4 = x 1... x m A (m 0), la Skolemisation de G 3. On a que G 4 a un modèle ssi G 3 a un modèle. 5 Calculer la forme normal conjonctive de A dont les variables sont {x 1,..., x m }. On obtient G 5 = x 1... x m (C 1... C n ) (m 0, n 0). On a G 5 G 4. 6 Donner comme résultat C G = {C 1,..., C n} qui est un renommage de {C 1,..., C n } afin d eviter les variables communes. On a que G a un modèle ssi clu(c G ) a un modèle. Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 15 / 24 Exemple G = [[Q(a) ( x Q(x) Q(f (x)))] z Q(f (f (z)))] 1 G 1 = G. 2 G 2 = [ [Q(a) ( x ( Q(x) Q(f (x))))] z Q(f (f (z)))]. 3 G 3 = z x [ [Q(a) ( Q(x) Q(f (x)))] Q(f (f (z)))]. 4 G 4 = G 3. 5 G 5 = z x [[Q(a) ( Q(x) Q(f (x)))] Q(f (f (z)))]. 6 C G = {Q(a), Q(x) Q(f (x)), Q(f (f (z)))}. Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 16 / 24

Exemple Résolution pour le calcul des prédicats Axiomes : aucun Règles d inférence : G = ( y r(x, y) z q(z, z)) ( x p(x)) p(u). 1 G 1 = u(( y r(x, y) z q(z, z)) ( x p(x)) p(u)). 2 G 2 = G 1. 3 G 3 = u x y z ((r(x, y) q(z, z)) p(x ) p(u)). 4 G 4 = z ((r(x, b) q(z, z)) p(a) p(c)). 5 G 5 = G 4. D r(s 1,..., s n ) C r(t 1,..., t n ) (coupure) σ(d C).. où σ est l unificateur principal du problème {s 1 = t1,..., s n = tn } D L L (factorisation) σ(d L) 6 C G = {r(x, b) q(z, z), p(a), p(c)}. où L = r(s 1,..., s n ) (resp. L = r(s 1,..., s n )) et L = r(t 1,..., t n ) (resp. L = r(t 1,..., t n )) σ est l unificateur principal du problème {s 1. = t1,..., s n. = tn } Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 17 / 24 Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 18 / 24 Rappel : Le cas particulier de la règle coupure lorsque r(s 1,..., s n ) et r(t 1,..., t n ) sont unifiables : r(s 1,..., s n ) r(t 1,..., t n ) Notation : Comme dans le cas propositionnel, on écrit R A si A est dérivée à partir de l ensemble par résolution et R si est dérivée à partir de l ensemble par résolution. Notion de réfutation Un ensemble de formules est réfutable ssi en lui appliquant la méthode de résolution on obtient. Exemple I Montrer que l ensemble suivant est contradictoire. H 1 : x 0 t(x 0 ) H 2 : x 2 (d(x 2 ) x 1 r(x 1, x 2 )) H 3 : x 3 x 4 (t(x 3 ) q(x 4 )) r(x 3, x 4 ) H 4 : x 5 ( d(x 5 ) q(x 5 )) D abord, on donne un ensemble de clauses C correspondant à {H 1, H 2, H 3, H 4 }. C = {t(a), d(x 2 ) r(x 1, x 2 ), t(x 3 ) q(x 4 ) r(x 3, x 4 ), d(b), q(b)} Puis on donne une réfutation de l ensemble C par la méthode de résolution. d(b) d(x 2 ) r(x 1, x 2 ) t(x 3 ) q(x 4 ) r(x 3, x 4 ) q(x 4 ) r(a, x 4 ) d(b) r(a, b) t(a) q(b) Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 19 / 24 Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 20 / 24

Exemple II Montrer que la formule J 4 est conséquence logique de la formule J 1 J 2 J 3. Exemple II J 1 : x 0 t(x 0 ) J 2 : x 2 (d(x 2 ) x 1 r(x 1, x 2 )) J 3 : x 3 x 4 (t(x 3 ) q(x 4 )) r(x 3, x 4 ) t(x 3 ) q(x 4 ) r(x 3, x 4 ) t(a) J 4 : x 5 ( d(x 5 ) q(x 5 )) q(x 4 ) r(a, x 4 ) q(b) D abord on utilise le fait que J 1 J 2 J 3 = J 4 ssi J 1 J 2 J 3 J 4 n a pas de modèle (est réfutable). Ensuite on donne un ensemble de clauses C dont la clôture universelle a un modèle ssi J 1 J 2 J 3 J 4 a un modèle. On peut prendre J 1, J 2, etc. et indépendamment calculer les clauses. d(b) d(x 2 ) r(x 1, x 2 ) r(a, b) d(b) C = {t(a), d(x 2 ) r(x 1, x 2 ), t(x 3 ) q(x 4 ) r(x 3, x 4 ), d(b), q(b)} On donne une réfutation de l ensemble C par la méthode de résolution. Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 21 / 24 Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 22 / 24 Exemple III Propriétés de la résolution Montrer que la formule J : x p(x) y p(y) est valide. D abord on utilise le fait que J est valide ssi J est réfutable. On donne donc un ensemble de clauses C correspondant à J. C = { p(a), p(y)} Théorème : La résolution est correcte, i.e., si R A, alors le séquent clo( ) clo(a) est valide et si clo( ) R, alors n a pas de modèle. On donne une réfutation de l ensemble C par la méthode de résolution. p(a) p(y) Théorème : La résolution est complète pour la réfutation, i.e., si clo( ) n a pas de modèle, alors R. Autres exemples avec formalisation : au tableau Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 23 / 24 Peter Habermehl (U. Paris Diderot) Logique 26 mars 2015 24 / 24