Commune de SAINT-PAUL: Réseau BOUCAN CANOT littoral de l'hermitage et de la Saline, Grand Fond, Saint-Gilles (partie entre Boucan et centre EDF chemin Summer) Vous êtes alimenté(e)(s) par : une eau de surface (ESU) et souterrraine (ESO) Vous dépendez du captage : Bassin des Aigrettes* (ESU), Verrou*(ESU), Rivière des Galets (ESU)*, Bras de Sainte Suzanne (ESU)* Procédé de traitement : clarification physico-chimique, chloration (station Grand Fond) L Agence de Santé Océan Indien (ARS-OI) organise et réalise le contrôle sanitaire de l eau de consommation humaine à La Réunion. Cette mission est assurée par le service Santé-Environnement de la Délégation de l île de La Réunion. L objectif de ce bulletin annuel est de vous informer sur la qualité de l eau distribuée par votre réseau en 2011. Exploitant : La Créole * captage équipé de périmètres de protection >> Quelques notions sur l eau potable Bactériologie Le contrôle de la qualité microbiologique des eaux consiste à rechercher les bactéries hôtes habituels de l intestin de l homme et des animaux. Leur détection fait craindre la présence associée de germes dangereux (virus, bactéries ou parasites). L eau est alors non conforme. Le % de conformité exprime le rapport entre le nombre d analyses conformes et le nombre total d analyses réalisées dans l année. Turbidité Elle est due à la présence de matières en suspension qui donnent un aspect trouble à l eau. Elle se mesure en unités NFU. Les pluies peuvent provoquer, par le lessivage des sols, une dégradation de la qualité de l eau captée en surface. En l absence de filtration, les matières en suspension pénètrent dans les réseaux, les dégradent et constituent un obstacle aux opérations de désinfection finale. Par contre, les pompages dans les nappes souterraines sont protégés de la turbidité; l'eau produite ne nécessite alors qu'une simple désinfection avant distribution. La turbidité des eaux destinées à la consommation ne doit pas être supérieure à 2 NFU en distribution. Dureté La dureté représente une mesure des concentrations en calcium et en magnésium présents dans l eau. Elle s exprime en degrés français ( F). Compte tenu des valeurs rencontrées à La Réunion, les traitements complémentaires (adoucisseurs) ne sont pas nécessaires. Ils sont de nature à altérer notablement la qualité de l eau si leur entretien est mal assuré. Les eaux captées par la commune sont douces et faiblement minéralisées. Elles représentent un bon pouvoir moussant au contact du savon et n entartrent pas les appareils ménagers. Elles sont corrosives pour les canalisations. Nitrates Ils proviennent de l ensemble des activités humaines (agricoles, industrielles, domestiques). Chez les nourrissons, la consommation excessive de nitrates peut entraîner des perturbations du système d échange d oxygène (empoisonnement du sang). De plus ces substances sont suspectées être cancérigènes. Aussi les restrictions de consommation pour les femmes enceintes et les nouveaux nés sont prévues dès que le seuil de 50 mg/l est dépassé. Au delà de 100 mg/l l interdiction de la consommation s adresse à l ensemble de la population. Pesticides Ce sont des produits chimiques organiques provenant d activités agricoles, industrielles ou servant à l'entretien des voiries. Ces produits peuvent être entraînés vers les cours d'eau, s'infiltrer dans les sols, et atteindre les nappes profondes. A forte dose (absorption accidentelle) les effets sur la santé se manifestent par des troubles nerveux, digestifs ou respiratoires. A faible dose et exposition répétée, les effets sont encore mal connus. Les doses s'accumulent dans l'organisme, pouvant entraîner un risque à long terme. Aluminium La présence d aluminium dans l eau peut être d origine naturelle (roches, sols) ou liée à la filière de traitement d eau utilisant des réactifs à base d aluminium. En excès dans l eau, il peut présenter un danger d encéphalopathie pour les personnes subissant des séances de dialyse. Pour les eaux utilisées en dialyse, la concentration en aluminium ne doit pas dépasser 10 µg/l selon la pharmacopée. Pour l eau distribuée, la référence de qualité est fixée à 200 µg/l.
Personne responsable de la Plomb Périmètres de protection Les eaux peu minéralisées sont susceptibles de dissoudre les matériaux à leur contact. Un risque particulier apparaît lorsque le réseau comporte des canalisations en plomb. Il provient de la dissolution de ce métal contenu dans certains types de canalisations, lorsque les eaux sont agressives. Les travaux d adduction d eau ayant débuté à l'ile de La Réunion après 1950, toutes les tuyauteries ont été réalisées en matériaux autre que le plomb. L eau distribuée est de bonne qualité pour ce paramètre, sur l'ensemble du département. Les périmètres de protection, instaurés par arrêté préfectoral, délimitent autour des captages des zones dans lesquelles s appliquent des interdictions ou des servitudes qui ont pour but de limiter les risques de pollution. Leur instauration est rendue obligatoire par le Code de la Santé Publique. Ils contribuent à la sécurité sanitaire des ressources en eau en empêchant, selon leur vulnérabilité, les implantations urbaines et le développement d activités humaines potentiellement polluantes. >> Bilan 2011 L'eau distribuée en 2011 restée de bonne qualité. est Bactériologie (% conformité) Turbidité (NFU) Dureté ( F) Nitrates (mg/l) Pesticides (µg/l) * Aluminium (µg/l) production et de la distribution de l eau (PRPDE) Il incombe à la commune la responsabilité d approvisionner sa population en eau de consommation humaine. Pour cela, elle est propriétaire d un équipement de production et de distribution d eau constitué de captages, d unités de potabilisation, de réservoirs et de réseaux d adduction. La gestion et l exploitation de cet équipement se fait soit en régie, soit il est délégué à un fermier (VEOLIA, CISE, SAPHIR) qui assure alors le service d eau. La PRPDE peut désigner donc à la fois la commune ou son fermier. Limites de qualité Valeurs mesurées sur le réseau Absence de germes tests indicateurs de contamination fécale 100 % 2 Moyenne :0.5 NFU Maximum :1.6 NFU EAU PONCTUELLEMENT NON - Moyenne : 5.1 F EAU DE FAIBLE DURETE 50 Moyenne : 7.8 mg/l EAU CONFORME EN NITRATES 0,1 Moyenne inférieure au seuil de détection ABSENCE DE PESTICIDES 200 Commentaires EAU DE BONNE QUALITE BACTERIOLOGIQUE Moyenne : 7.3 µg/l Maximum : 25 µg/l CONFORME EN TURBIDITE EAU CONFORME EN ALUMINIUM * 1µg/l (microgramme par litre) = 0,001 mg/l En 2011, l ARS-OI a effectué 13 prélèvements donnant lieu à diverses analyses bactériologiques et physico-chimiques sur les unités de potabilisation et les réseaux de distribution (en plus de ceux effectués sur les captages). Chaque analyse est interprétée en référence aux valeurs réglementaires définies en application du Code de la Santé Publique. Les eaux superficielles captées pour l alimentation en eau potable doivent être traitées impérativement au moins par filtration et désinfection, avant leur distribution. >> Conseils pratiques En cas d absence de votre domicile durant plusieurs jours : A votre retour, l eau a stagné dans les canalisations. Faites couler l eau quelques minutes avant de la boire. Lorsqu un cyclone est imminent (alerte orange) : Pensez à constituer des réserves d eau (citernes, bassines ) et à stocker de l eau embouteillée pour la boisson (2 litres par personne et par jour). Lors de fortes pluies : Des problèmes de qualité peuvent affecter de manière ponctuelle les captages. En présence d eau trouble, il est conseillé de la filtrer et de la désinfecter avant consommation (maintenir à ébullition pendant au moins 3 minutes) ou boire de l eau embouteillée. Double réseau : Toute interconnexion du réseau d eau potable public avec un puits privé ou un réseau d irrigation est strictement interdite et dangereuse. Dans les habitats très anciens ayant été équipés de tuyauteries en plomb : il est conseillé de rénover les canalisations de distribution d eau.
Commune de SAINT-PAUL: Réseau BOUILLON Plateau Caillou, Bois Rouge, Crève Coeur, Fleurimont, LEP hôtelier, Petite France, Guillaume (en partie), Bellemène (en partie) Vous êtes alimenté(e)(s) par : une eau souterraine Vous dépendez du captage : Puits source Bouillon* (ESO) Forage Renaud* (ESO) Procédé de traitement : chloration (station Bouillon) chloration (station Renaud) L Agence de Santé Océan Indien (ARS-OI) organise et réalise le contrôle sanitaire de l eau de consommation humaine à La Réunion. Cette mission est assurée par le service Santé-Environnement de la Délégation de l île de La Réunion. L objectif de ce bulletin annuel est de vous informer sur la qualité de l eau distribuée par votre réseau en 2011. Exploitant : La Créole * captage équipé de périmètres de protection >> Quelques notions sur l eau potable Bactériologie Le contrôle de la qualité microbiologique des eaux consiste à rechercher les bactéries hôtes habituels de l intestin de l homme et des animaux. Leur détection fait craindre la présence associée de germes dangereux (virus, bactéries ou parasites). L eau est alors non conforme. Le % de conformité exprime le rapport entre le nombre d analyses conformes et le nombre total d analyses réalisées dans l année. Turbidité Elle est due à la présence de matières en suspension qui donnent un aspect trouble à l eau. Elle se mesure en unités NFU. Les pluies peuvent provoquer, par le lessivage des sols, une dégradation de la qualité de l eau captée en surface. En l absence de filtration, les matières en suspension pénètrent dans les réseaux, les dégradent et constituent un obstacle aux opérations de désinfection finale. Par contre, les pompages dans les nappes souterraines sont protégés de la turbidité; l'eau produite ne nécessite alors qu'une simple désinfection avant distribution. La turbidité des eaux destinées à la consommation ne doit pas être supérieure à 2 NFU en distribution. Dureté La dureté représente une mesure des concentrations en calcium et en magnésium présents dans l eau. Elle s exprime en degrés français ( F). Compte tenu des valeurs rencontrées à La Réunion, les traitements complémentaires (adoucisseurs) ne sont pas nécessaires. Ils sont de nature à altérer notablement la qualité de l eau si leur entretien est mal assuré. Les eaux captées par la commune sont douces et faiblement minéralisées. Elles représentent un bon pouvoir moussant au contact du savon et n entartrent pas les appareils ménagers. Elles sont corrosives pour les canalisations. Nitrates Ils proviennent de l ensemble des activités humaines (agricoles, industrielles, domestiques). Chez les nourrissons, la consommation excessive de nitrates peut entraîner des perturbations du système d échange d oxygène (empoisonnement du sang). De plus ces substances sont suspectées être cancérigènes. Aussi les restrictions de consommation pour les femmes enceintes et les nouveaux nés sont prévues dès que le seuil de 50 mg/l est dépassé. Au delà de 100 mg/l l interdiction de la consommation s adresse à l ensemble de la population. Pesticides Ce sont des produits chimiques organiques provenant d activités agricoles, industrielles ou servant à l'entretien des voiries. Ces produits peuvent être entraînés vers les cours d'eau, s'infiltrer dans les sols, et atteindre les nappes profondes. A forte dose (absorption accidentelle) les effets sur la santé se manifestent par des troubles nerveux, digestifs ou respiratoires. A faible dose et exposition répétée, les effets sont encore mal connus. Les doses s'accumulent dans l'organisme, pouvant entraîner un risque à long terme. Aluminium La présence d aluminium dans l eau peut être d origine naturelle (roches, sols) ou liée à la filière de traitement d eau utilisant des réactifs à base d aluminium. En excès dans l eau, il peut présenter un danger d encéphalopathie pour les personnes subissant des séances de dialyse. Pour les eaux utilisées en dialyse, la concentration en aluminium ne doit pas dépasser 10 µg/l selon la pharmacopée. Pour l eau distribuée, la référence de qualité est fixée à 200 µg/l.
Personne responsable de la Plomb Périmètres de protection Les eaux peu minéralisées sont susceptibles de dissoudre les matériaux à leur contact. Un risque particulier apparaît lorsque le réseau comporte des canalisations en plomb. Il provient de la dissolution de ce métal contenu dans certains types de canalisations, lorsque les eaux sont agressives. Les travaux d adduction d eau ayant débuté à l'ile de La Réunion après 1950, toutes les tuyauteries ont été réalisées en matériaux autre que le plomb. L eau distribuée est de bonne qualité pour ce paramètre, sur l'ensemble du département. Les périmètres de protection, instaurés par arrêté préfectoral, délimitent autour des captages des zones dans lesquelles s appliquent des interdictions ou des servitudes qui ont pour but de limiter les risques de pollution. Leur instauration est rendue obligatoire par le Code de la Santé Publique. Ils contribuent à la sécurité sanitaire des ressources en eau en empêchant, selon leur vulnérabilité, les implantations urbaines et le développement d activités humaines potentiellement polluantes. >> Bilan 2011 L'eau distribuée en 2011 restée de bonne qualité. est Bactériologie (% conformité) Turbidité (NFU) Dureté ( F) Nitrates (mg/l) Pesticides (µg/l) * production et de la distribution de l eau (PRPDE) Il incombe à la commune la responsabilité d approvisionner sa population en eau de consommation humaine. Pour cela, elle est propriétaire d un équipement de production et de distribution d eau constitué de captages, d unités de potabilisation, de réservoirs et de réseaux d adduction. La gestion et l exploitation de cet équipement se fait soit en régie, soit il est délégué à un fermier (VEOLIA, CISE, SAPHIR) qui assure alors le service d eau. La PRPDE peut désigner donc à la fois la commune ou son fermier. Limites de qualité Valeurs mesurées sur le réseau Absence de germes tests indicateurs de contamination fécale 100 % 2 Moyenne :0.2 NFU Maximum :0.6 NFU EAU CONFORME EN TURBIDITE - Moyenne : 5.0 F EAU DE TRES FAIBLE DURETE 50 Moyenne : 6.1 mg/l EAU CONFORME EN NITRATES 0,1 Moyenne inférieure au seuil de détection ABSENCE DE PESTICIDES Autres paramètres Commentaires EAU DE BONNE QUALITE BACTERIOLOGIQUE EAU CONFORME AUX VALEURS LIMITES REGLEMENTAIRES. (METAUX, SOLVANTS CHLORES ) * 1µg/l (microgramme par litre) = 0,001 mg/l En 2011, l ARS-OI a effectué 17 prélèvements donnant lieu à diverses analyses bactériologiques et physico-chimiques sur les unités de potabilisation et les réseaux de distribution (en plus de ceux effectués sur les captages). Chaque analyse est interprétée en référence aux valeurs réglementaires définies en application du Code de la Santé Publique. Les eaux superficielles captées pour l alimentation en eau potable doivent être traitées impérativement au moins par filtration et désinfection, avant leur distribution. >> Conseils pratiques En cas d absence de votre domicile durant plusieurs jours : A votre retour, l eau a stagné dans les canalisations. Faites couler l eau quelques minutes avant de la boire. Lorsqu un cyclone est imminent (alerte orange) : Pensez à constituer des réserves d eau (citernes, bassines ) et à stocker de l eau embouteillée pour la boisson (2 litres par personne et par jour). Lors de fortes pluies : Des problèmes de qualité peuvent affecter de manière ponctuelle les captages. En présence d eau trouble, il est conseillé de la filtrer et de la désinfecter avant consommation (maintenir à ébullition pendant au moins 3 minutes) ou boire de l eau embouteillée. Double réseau : Toute interconnexion du réseau d eau potable public avec un puits privé ou un réseau d irrigation est strictement interdite et dangereuse. Dans les habitats très anciens ayant été équipés de tuyauteries en plomb : il est conseillé de rénover les canalisations de distribution d eau.
Commune de SAINT-PAUL: Réseau FILAOS La Saline les Bains (depuis Novotel jusqu'à Ravine Hermitage) Vous êtes alimenté(e)(s) par : une eau de surface (ESU) et souterrraine (ESO) Vous dépendez du captage : Bassin des aigrettes* (ESU), Verrou* (ESU), Rivière des Galets* (ESU), Bras de Sainte Suzanne* (ESU), Forage les Filaos* (ESO) Procédé de traitement : chloration (station Filaos), clarification physico-chimique, chloration (station Grand Fond) L Agence de Santé Océan Indien (ARS-OI) organise et réalise le contrôle sanitaire de l eau de consommation humaine à La Réunion. Cette mission est assurée par le service Santé-Environnement de la Délégation de l île de La Réunion. L objectif de ce bulletin annuel est de vous informer sur la qualité de l eau distribuée par votre réseau en 2011. Exploitant : La Créole * captage équipé de périmètres de protection >> Quelques notions sur l eau potable Bactériologie Le contrôle de la qualité microbiologique des eaux consiste à rechercher les bactéries hôtes habituels de l intestin de l homme et des animaux. Leur détection fait craindre la présence associée de germes dangereux (virus, bactéries ou parasites). L eau est alors non conforme. Le % de conformité exprime le rapport entre le nombre d analyses conformes et le nombre total d analyses réalisées dans l année. Turbidité Elle est due à la présence de matières en suspension qui donnent un aspect trouble à l eau. Elle se mesure en unités NFU. Les pluies peuvent provoquer, par le lessivage des sols, une dégradation de la qualité de l eau captée en surface. En l absence de filtration, les matières en suspension pénètrent dans les réseaux, les dégradent et constituent un obstacle aux opérations de désinfection finale. Par contre, les pompages dans les nappes souterraines sont protégés de la turbidité; l'eau produite ne nécessite alors qu'une simple désinfection avant distribution. La turbidité des eaux destinées à la consommation ne doit pas être supérieure à 2 NFU en distribution. Dureté La dureté représente une mesure des concentrations en calcium et en magnésium présents dans l eau. Elle s exprime en degrés français ( F). Compte tenu des valeurs rencontrées à La Réunion, les traitements complémentaires (adoucisseurs) ne sont pas nécessaires. Ils sont de nature à altérer notablement la qualité de l eau si leur entretien est mal assuré. Les eaux captées par la commune sont douces et faiblement minéralisées. Elles représentent un bon pouvoir moussant au contact du savon et n entartrent pas les appareils ménagers. Elles sont corrosives pour les canalisations. Nitrates Ils proviennent de l ensemble des activités humaines (agricoles, industrielles, domestiques). Chez les nourrissons, la consommation excessive de nitrates peut entraîner des perturbations du système d échange d oxygène (empoisonnement du sang). De plus ces substances sont suspectées être cancérigènes. Aussi les restrictions de consommation pour les femmes enceintes et les nouveaux nés sont prévues dès que le seuil de 50 mg/l est dépassé. Au delà de 100 mg/l l interdiction de la consommation s adresse à l ensemble de la population. Pesticides Ce sont des produits chimiques organiques provenant d activités agricoles, industrielles ou servant à l'entretien des voiries. Ces produits peuvent être entraînés vers les cours d'eau, s'infiltrer dans les sols, et atteindre les nappes profondes. A forte dose (absorption accidentelle) les effets sur la santé se manifestent par des troubles nerveux, digestifs ou respiratoires. A faible dose et exposition répétée, les effets sont encore mal connus. Les doses s'accumulent dans l'organisme, pouvant entraîner un risque à long terme. Aluminium La présence d aluminium dans l eau peut être d origine naturelle (roches, sols) ou liée à la filière de traitement d eau utilisant des réactifs à base d aluminium. En excès dans l eau, il peut présenter un danger d encéphalopathie pour les personnes subissant des séances de dialyse. Pour les eaux utilisées en dialyse, la concentration en aluminium ne doit pas dépasser 10 µg/l selon la pharmacopée. Pour l eau distribuée, la référence de qualité est fixée à 200 µg/l.
Personne responsable de la Plomb Périmètres de protection Les eaux peu minéralisées sont susceptibles de dissoudre les matériaux à leur contact. Un risque particulier apparaît lorsque le réseau comporte des canalisations en plomb. Il provient de la dissolution de ce métal contenu dans certains types de canalisations, lorsque les eaux sont agressives. Les travaux d adduction d eau ayant débuté à l'ile de La Réunion après 1950, toutes les tuyauteries ont été réalisées en matériaux autre que le plomb. L eau distribuée est de bonne qualité pour ce paramètre, sur l'ensemble du département. Les périmètres de protection, instaurés par arrêté préfectoral, délimitent autour des captages des zones dans lesquelles s appliquent des interdictions ou des servitudes qui ont pour but de limiter les risques de pollution. Leur instauration est rendue obligatoire par le Code de la Santé Publique. Ils contribuent à la sécurité sanitaire des ressources en eau en empêchant, selon leur vulnérabilité, les implantations urbaines et le développement d activités humaines potentiellement polluantes. >> Bilan 2011 L'eau distribuée en 2011 restée de bonne qualité. est Bactériologie (% conformité) Turbidité (NFU) Dureté ( F) Nitrates (mg/l) Pesticides (µg/l) * Aluminium (µg/l) production et de la distribution de l eau (PRPDE) Il incombe à la commune la responsabilité d approvisionner sa population en eau de consommation humaine. Pour cela, elle est propriétaire d un équipement de production et de distribution d eau constitué de captages, d unités de potabilisation, de réservoirs et de réseaux d adduction. La gestion et l exploitation de cet équipement se fait soit en régie, soit il est délégué à un fermier (VEOLIA, CISE, SAPHIR) qui assure alors le service d eau. La PRPDE peut désigner donc à la fois la commune ou son fermier. Limites de qualité Valeurs mesurées sur le réseau Absence de germes tests indicateurs de contamination fécale 100 % 2 Moyenne :0.3 NFU Maximum :1.2 NFU EAU PONCTUELLEMENT NON - Moyenne : 9.4 F EAU DE FAIBLE DURETE 50 Moyenne : 27 mg/l EAU CONFORME EN NITRATES 0,1 Moyenne inférieure au seuil de détection ABSENCE DE PESTICIDES 200 Commentaires EAU DE BONNE QUALITE BACTERIOLOGIQUE Moyenne : 21 µg/l Maximum : 132 µg/l CONFORME EN TURBIDITE EAU CONFORME EN ALUMINIUM * 1µg/l (microgramme par litre) = 0,001 mg/l En 2011, l ARS-OI a effectué 10 prélèvements donnant lieu à diverses analyses bactériologiques et physico-chimiques sur les unités de potabilisation et les réseaux de distribution (en plus de ceux effectués sur les captages). Chaque analyse est interprétée en référence aux valeurs réglementaires définies en application du Code de la Santé Publique. Les eaux superficielles captées pour l alimentation en eau potable doivent être traitées impérativement au moins par filtration et désinfection, avant leur distribution. >> Conseils pratiques En cas d absence de votre domicile durant plusieurs jours : A votre retour, l eau a stagné dans les canalisations. Faites couler l eau quelques minutes avant de la boire. Lorsqu un cyclone est imminent (alerte orange) : Pensez à constituer des réserves d eau (citernes, bassines ) et à stocker de l eau embouteillée pour la boisson (2 litres par personne et par jour). Lors de fortes pluies : Des problèmes de qualité peuvent affecter de manière ponctuelle les captages. En présence d eau trouble, il est conseillé de la filtrer et de la désinfecter avant consommation (maintenir à ébullition pendant au moins 3 minutes) ou boire de l eau embouteillée. Double réseau : Toute interconnexion du réseau d eau potable public avec un puits privé ou un réseau d irrigation est strictement interdite et dangereuse. Dans les habitats très anciens ayant été équipés de tuyauteries en plomb : il est conseillé de rénover les canalisations de distribution d eau.
Commune de SAINT-PAUL: Réseau LA SALINE LES BAINS Trou d'eau, Hermitage Novotel (jusqu'à Trou d'eau) Vous êtes alimenté(e)(s) par : une eau de surface (ESU) et souterrraine (ESO) Vous dépendez du captage : Forage Trou d eau la Saline* (ESO), Bassin des Aigrettes* (ESU), Bras de Sainte Suzanne* (ESU), Rivière des Galets* (ESU), Verrou*(ESU), FRH 5* (ESO) Procédé de traitement :chloration (station Trou d eau), chloration (station FRH 5), clarification physico-chimique, chloration (station Grand Fond) L Agence de Santé Océan Indien (ARS-OI) organise et réalise le contrôle sanitaire de l eau de consommation humaine à La Réunion. Cette mission est assurée par le service Santé-Environnement de la Délégation de l île de La Réunion. L objectif de ce bulletin annuel est de vous informer sur la qualité de l eau distribuée par votre réseau en 2011. Exploitant : La Créole * captage équipé de périmètres de protection >> Quelques notions sur l eau potable Bactériologie Le contrôle de la qualité microbiologique des eaux consiste à rechercher les bactéries hôtes habituels de l intestin de l homme et des animaux. Leur détection fait craindre la présence associée de germes dangereux (virus, bactéries ou parasites). L eau est alors non conforme. Le % de conformité exprime le rapport entre le nombre d analyses conformes et le nombre total d analyses réalisées dans l année. Turbidité Elle est due à la présence de matières en suspension qui donnent un aspect trouble à l eau. Elle se mesure en unités NFU. Les pluies peuvent provoquer, par le lessivage des sols, une dégradation de la qualité de l eau captée en surface. En l absence de filtration, les matières en suspension pénètrent dans les réseaux, les dégradent et constituent un obstacle aux opérations de désinfection finale. Par contre, les pompages dans les nappes souterraines sont protégés de la turbidité; l'eau produite ne nécessite alors qu'une simple désinfection avant distribution. La turbidité des eaux destinées à la consommation ne doit pas être supérieure à 2 NFU en distribution. Dureté La dureté représente une mesure des concentrations en calcium et en magnésium présents dans l eau. Elle s exprime en degrés français ( F). Compte tenu des valeurs rencontrées à La Réunion, les traitements complémentaires (adoucisseurs) ne sont pas nécessaires. Ils sont de nature à altérer notablement la qualité de l eau si leur entretien est mal assuré. Les eaux captées par la commune sont douces et faiblement minéralisées. Elles représentent un bon pouvoir moussant au contact du savon et n entartrent pas les appareils ménagers. Elles sont corrosives pour les canalisations. Nitrates Ils proviennent de l ensemble des activités humaines (agricoles, industrielles, domestiques). Chez les nourrissons, la consommation excessive de nitrates peut entraîner des perturbations du système d échange d oxygène (empoisonnement du sang). De plus ces substances sont suspectées être cancérigènes. Aussi les restrictions de consommation pour les femmes enceintes et les nouveaux nés sont prévues dès que le seuil de 50 mg/l est dépassé. Au delà de 100 mg/l l interdiction de la consommation s adresse à l ensemble de la population. Pesticides Ce sont des produits chimiques organiques provenant d activités agricoles, industrielles ou servant à l'entretien des voiries. Ces produits peuvent être entraînés vers les cours d'eau, s'infiltrer dans les sols, et atteindre les nappes profondes. A forte dose (absorption accidentelle) les effets sur la santé se manifestent par des troubles nerveux, digestifs ou respiratoires. A faible dose et exposition répétée, les effets sont encore mal connus. Les doses s'accumulent dans l'organisme, pouvant entraîner un risque à long terme. Aluminium La présence d aluminium dans l eau peut être d origine naturelle (roches, sols) ou liée à la filière de traitement d eau utilisant des réactifs à base d aluminium. En excès dans l eau, il peut présenter un danger d encéphalopathie pour les personnes subissant des séances de dialyse. Pour les eaux utilisées en dialyse, la concentration en aluminium ne doit pas dépasser 10 µg/l selon la pharmacopée. Pour l eau distribuée, la référence de qualité est fixée à 200 µg/l.
Personne responsable de la Plomb Périmètres de protection Les eaux peu minéralisées sont susceptibles de dissoudre les matériaux à leur contact. Un risque particulier apparaît lorsque le réseau comporte des canalisations en plomb. Il provient de la dissolution de ce métal contenu dans certains types de canalisations, lorsque les eaux sont agressives. Les travaux d adduction d eau ayant débuté à l'ile de La Réunion après 1950, toutes les tuyauteries ont été réalisées en matériaux autre que le plomb. L eau distribuée est de bonne qualité pour ce paramètre, sur l'ensemble du département. Les périmètres de protection, instaurés par arrêté préfectoral, délimitent autour des captages des zones dans lesquelles s appliquent des interdictions ou des servitudes qui ont pour but de limiter les risques de pollution. Leur instauration est rendue obligatoire par le Code de la Santé Publique. Ils contribuent à la sécurité sanitaire des ressources en eau en empêchant, selon leur vulnérabilité, les implantations urbaines et le développement d activités humaines potentiellement polluantes. >> Bilan 2011 L'eau distribuée en 2011 restée de bonne qualité. est Bactériologie (% conformité) Turbidité (NFU) Dureté ( F) Nitrates (mg/l) Pesticides (µg/l) * Aluminium (µg/l) production et de la distribution de l eau (PRPDE) Il incombe à la commune la responsabilité d approvisionner sa population en eau de consommation humaine. Pour cela, elle est propriétaire d un équipement de production et de distribution d eau constitué de captages, d unités de potabilisation, de réservoirs et de réseaux d adduction. La gestion et l exploitation de cet équipement se fait soit en régie, soit il est délégué à un fermier (VEOLIA, CISE, SAPHIR) qui assure alors le service d eau. La PRPDE peut désigner donc à la fois la commune ou son fermier. Limites de qualité Valeurs mesurées sur le réseau Absence de germes tests indicateurs de contamination fécale 100 % 2 Moyenne :0.4 NFU Maximum :0.5 NFU EAU PONCTUELLEMENT NON - Moyenne : 12.3 F EAU DE MOYENNE DURETE 50 Moyenne : 15.9 mg/l EAU CONFORME EN NITRATES 0,1 Moyenne inférieure au seuil de détection ABSENCE DE PESTICIDES 200 Commentaires EAU DE BONNE QUALITE BACTERIOLOGIQUE Moyenne : 11.5 µg/l Maximum : 29 µg/l CONFORME EN TURBIDITE EAU CONFORME EN ALUMINIUM * 1µg/l (microgramme par litre) = 0,001 mg/l En 2011, l ARS-OI a effectué 8 prélèvements donnant lieu à diverses analyses bactériologiques et physico-chimiques sur les unités de potabilisation et les réseaux de distribution (en plus de ceux effectués sur les captages). Chaque analyse est interprétée en référence aux valeurs réglementaires définies en application du Code de la Santé Publique. Les eaux superficielles captées pour l alimentation en eau potable doivent être traitées impérativement au moins par filtration et désinfection, avant leur distribution. >> Conseils pratiques En cas d absence de votre domicile durant plusieurs jours : A votre retour, l eau a stagné dans les canalisations. Faites couler l eau quelques minutes avant de la boire. Lorsqu un cyclone est imminent (alerte orange) : Pensez à constituer des réserves d eau (citernes, bassines ) et à stocker de l eau embouteillée pour la boisson (2 litres par personne et par jour). Lors de fortes pluies : Des problèmes de qualité peuvent affecter de manière ponctuelle les captages. En présence d eau trouble, il est conseillé de la filtrer et de la désinfecter avant consommation (maintenir à ébullition pendant au moins 3 minutes) ou boire de l eau embouteillée. Double réseau : Toute interconnexion du réseau d eau potable public avec un puits privé ou un réseau d irrigation est strictement interdite et dangereuse. Dans les habitats très anciens ayant été équipés de tuyauteries en plomb : il est conseillé de rénover les canalisations de distribution d eau.
Commune de SAINT-PAUL: Réseau LES HAUTS DE ST-PAUL Les Hauts de la Plaine (au-dessus de l'église), Bois de Nèfles centre, Bellemène Vous êtes alimenté(e)(s) par : une eau de surface Vous dépendez du captage : Les Orangers (ESU), Grand Mère (ESU) Procédé de traitement : chloration (réservoir R1 Bois de Nèfles) Exploitant : La Créole L Agence de Santé Océan Indien (ARS-OI) organise et réalise le contrôle sanitaire de l eau de consommation humaine à La Réunion. Cette mission est assurée par le service Santé-Environnement de la Délégation de l île de La Réunion. L objectif de ce bulletin annuel est de vous informer sur la qualité de l eau distribuée par votre réseau en 2011. * captage équipé de périmètres de protection >> Quelques notions sur l eau potable Bactériologie Le contrôle de la qualité microbiologique des eaux consiste à rechercher les bactéries hôtes habituels de l intestin de l homme et des animaux. Leur détection fait craindre la présence associée de germes dangereux (virus, bactéries ou parasites). L eau est alors non conforme. Le % de conformité exprime le rapport entre le nombre d analyses conformes et le nombre total d analyses réalisées dans l année. Turbidité Elle est due à la présence de matières en suspension qui donnent un aspect trouble à l eau. Elle se mesure en unités NFU. Les pluies peuvent provoquer, par le lessivage des sols, une dégradation de la qualité de l eau captée en surface. En l absence de filtration, les matières en suspension pénètrent dans les réseaux, les dégradent et constituent un obstacle aux opérations de désinfection finale. Par contre, les pompages dans les nappes souterraines sont protégés de la turbidité; l'eau produite ne nécessite alors qu'une simple désinfection avant distribution. La turbidité des eaux destinées à la consommation ne doit pas être supérieure à 2 NFU en distribution. Dureté La dureté représente une mesure des concentrations en calcium et en magnésium présents dans l eau. Elle s exprime en degrés français ( F). Compte tenu des valeurs rencontrées à La Réunion, les traitements complémentaires (adoucisseurs) ne sont pas nécessaires. Ils sont de nature à altérer notablement la qualité de l eau si leur entretien est mal assuré. Les eaux captées par la commune sont douces et faiblement minéralisées. Elles représentent un bon pouvoir moussant au contact du savon et n entartrent pas les appareils ménagers. Elles sont corrosives pour les canalisations. Nitrates Ils proviennent de l ensemble des activités humaines (agricoles, industrielles, domestiques). Chez les nourrissons, la consommation excessive de nitrates peut entraîner des perturbations du système d échange d oxygène (empoisonnement du sang). De plus ces substances sont suspectées être cancérigènes. Aussi les restrictions de consommation pour les femmes enceintes et les nouveaux nés sont prévues dès que le seuil de 50 mg/l est dépassé. Au delà de 100 mg/l l interdiction de la consommation s adresse à l ensemble de la population. Pesticides Ce sont des produits chimiques organiques provenant d activités agricoles, industrielles ou servant à l'entretien des voiries. Ces produits peuvent être entraînés vers les cours d'eau, s'infiltrer dans les sols, et atteindre les nappes profondes. A forte dose (absorption accidentelle) les effets sur la santé se manifestent par des troubles nerveux, digestifs ou respiratoires. A faible dose et exposition répétée, les effets sont encore mal connus. Les doses s'accumulent dans l'organisme, pouvant entraîner un risque à long terme. Aluminium La présence d aluminium dans l eau peut être d origine naturelle (roches, sols) ou liée à la filière de traitement d eau utilisant des réactifs à base d aluminium. En excès dans l eau, il peut présenter un danger d encéphalopathie pour les personnes subissant des séances de dialyse. Pour les eaux utilisées en dialyse, la concentration en aluminium ne doit pas dépasser 10 µg/l selon la pharmacopée. Pour l eau distribuée, la référence de qualité est fixée à 200 µg/l.
Personne responsable de la Plomb Périmètres de protection Les eaux peu minéralisées sont susceptibles de dissoudre les matériaux à leur contact. Un risque particulier apparaît lorsque le réseau comporte des canalisations en plomb. Il provient de la dissolution de ce métal contenu dans certains types de canalisations, lorsque les eaux sont agressives. Les travaux d adduction d eau ayant débuté à l'ile de La Réunion après 1950, toutes les tuyauteries ont été réalisées en matériaux autre que le plomb. L eau distribuée est de bonne qualité pour ce paramètre, sur l'ensemble du département. Les périmètres de protection, instaurés par arrêté préfectoral, délimitent autour des captages des zones dans lesquelles s appliquent des interdictions ou des servitudes qui ont pour but de limiter les risques de pollution. Leur instauration est rendue obligatoire par le Code de la Santé Publique. Ils contribuent à la sécurité sanitaire des ressources en eau en empêchant, selon leur vulnérabilité, les implantations urbaines et le développement d activités humaines potentiellement polluantes. >> Bilan 2011 L eau distribuée en 2011 est restée généralement de qualité satisfaisante. Cependant, des problèmes de turbidité peuvent apparaître lors des pluies. L'insuffisance du traitement au vu de la nature de l'eau constitue un facteur de risque. Aussi il est recommandé pour les personnes immunodéprimées, les personnes âgées de plus de 75 ans, les enfants de moins de 5 ans et les femmes enceintes de ne pas consommer l'eau du robinet sans ébullition préalable pendant 3 mn, même en dehors des périodes de pluies. Bactériologie (% conformité) Turbidité (NFU) Dureté ( F) Nitrates (mg/l) Pesticides (µg/l) * production et de la distribution de l eau (PRPDE) Il incombe à la commune la responsabilité d approvisionner sa population en eau de consommation humaine. Pour cela, elle est propriétaire d un équipement de production et de distribution d eau constitué de captages, d unités de potabilisation, de réservoirs et de réseaux d adduction. La gestion et l exploitation de cet équipement se fait soit en régie, soit il est délégué à un fermier (VEOLIA, CISE, SAPHIR) qui assure alors le service d eau. La PRPDE peut désigner donc à la fois la commune ou son fermier. Limites de qualité Valeurs mesurées sur le réseau Absence de germes tests indicateurs de contamination fécale 100 % 2 Moyenne :0.3 NFU - Moyenne : 3.4 F EAU DE TRES FAIBLE DURETE 50 Moyenne : 1 mg/l EAU CONFORME EN NITRATES 0,1 Moyenne inférieure au seuil de détection ABSENCE DE PESTICIDES Autres paramètres Commentaires EAU DE BONNE QUALITE BACTERIOLOGIQUE EAU PONCTUELLEMENT NON CONFORME EN TURBIDITE EAU CONFORME AUX VALEURS LIMITES REGLEMENTAIRES. (METAUX, SOLVANTS CHLORES ) * 1µg/l (microgramme par litre) = 0,001 mg/l En 2011, l ARS-OI a effectué 15 prélèvements donnant lieu à diverses analyses bactériologiques et physico-chimiques sur les unités de potabilisation et les réseaux de distribution (en plus de ceux effectués sur les captages). Chaque analyse est interprétée en référence aux valeurs réglementaires définies en application du Code de la Santé Publique. Les eaux superficielles captées pour l alimentation en eau potable doivent être traitées impérativement au moins par filtration et désinfection, avant leur distribution. >> Conseils pratiques En cas d absence de votre domicile durant plusieurs jours : A votre retour, l eau a stagné dans les canalisations. Faites couler l eau quelques minutes avant de la boire. Lorsqu un cyclone est imminent (alerte orange) : Pensez à constituer des réserves d eau (citernes, bassines ) et à stocker de l eau embouteillée pour la boisson (2 litres par personne et par jour). Lors de fortes pluies : Des problèmes de qualité peuvent affecter de manière ponctuelle les captages. En présence d eau trouble, il est conseillé de la filtrer et de la désinfecter avant consommation (maintenir à ébullition pendant au moins 3 minutes) ou boire de l eau embouteillée. Double réseau : Toute interconnexion du réseau d eau potable public avec un puits privé ou un réseau d irrigation est strictement interdite et dangereuse. Dans les habitats très anciens ayant été équipés de tuyauteries en plomb : il est conseillé de rénover les canalisations de distribution d eau.
Commune de SAINT-PAUL: Réseau OMEGA Savanah, lotissement Ylang Ylang, ZAC, ZIC Cambaie, St- Paul Nord, Grand Pourpier, Camp Jacquot.. Vous êtes alimenté(e)(s) par : une eau souterraine Vous dépendez du captage : Forages 3 chemins* (ESO) Forage FRH 15* (ESO) Procédé de traitement :chloration (bâche de réception 3 Chemins), chloration (réservoir R17 Savannah) L Agence de Santé Océan Indien (ARS-OI) organise et réalise le contrôle sanitaire de l eau de consommation humaine à La Réunion. Cette mission est assurée par le service Santé-Environnement de la Délégation de l île de La Réunion. L objectif de ce bulletin annuel est de vous informer sur la qualité de l eau distribuée par votre réseau en 2011. Exploitant : La Créole * captage équipé de périmètres de protection >> Quelques notions sur l eau potable Bactériologie Le contrôle de la qualité microbiologique des eaux consiste à rechercher les bactéries hôtes habituels de l intestin de l homme et des animaux. Leur détection fait craindre la présence associée de germes dangereux (virus, bactéries ou parasites). L eau est alors non conforme. Le % de conformité exprime le rapport entre le nombre d analyses conformes et le nombre total d analyses réalisées dans l année. Turbidité Elle est due à la présence de matières en suspension qui donnent un aspect trouble à l eau. Elle se mesure en unités NFU. Les pluies peuvent provoquer, par le lessivage des sols, une dégradation de la qualité de l eau captée en surface. En l absence de filtration, les matières en suspension pénètrent dans les réseaux, les dégradent et constituent un obstacle aux opérations de désinfection finale. Par contre, les pompages dans les nappes souterraines sont protégés de la turbidité; l'eau produite ne nécessite alors qu'une simple désinfection avant distribution. La turbidité des eaux destinées à la consommation ne doit pas être supérieure à 2 NFU en distribution. Dureté La dureté représente une mesure des concentrations en calcium et en magnésium présents dans l eau. Elle s exprime en degrés français ( F). Compte tenu des valeurs rencontrées à La Réunion, les traitements complémentaires (adoucisseurs) ne sont pas nécessaires. Ils sont de nature à altérer notablement la qualité de l eau si leur entretien est mal assuré. Les eaux captées par la commune sont douces et faiblement minéralisées. Elles représentent un bon pouvoir moussant au contact du savon et n entartrent pas les appareils ménagers. Elles sont corrosives pour les canalisations. Nitrates Ils proviennent de l ensemble des activités humaines (agricoles, industrielles, domestiques). Chez les nourrissons, la consommation excessive de nitrates peut entraîner des perturbations du système d échange d oxygène (empoisonnement du sang). De plus ces substances sont suspectées être cancérigènes. Aussi les restrictions de consommation pour les femmes enceintes et les nouveaux nés sont prévues dès que le seuil de 50 mg/l est dépassé. Au delà de 100 mg/l l interdiction de la consommation s adresse à l ensemble de la population. Pesticides Ce sont des produits chimiques organiques provenant d activités agricoles, industrielles ou servant à l'entretien des voiries. Ces produits peuvent être entraînés vers les cours d'eau, s'infiltrer dans les sols, et atteindre les nappes profondes. A forte dose (absorption accidentelle) les effets sur la santé se manifestent par des troubles nerveux, digestifs ou respiratoires. A faible dose et exposition répétée, les effets sont encore mal connus. Les doses s'accumulent dans l'organisme, pouvant entraîner un risque à long terme. Aluminium La présence d aluminium dans l eau peut être d origine naturelle (roches, sols) ou liée à la filière de traitement d eau utilisant des réactifs à base d aluminium. En excès dans l eau, il peut présenter un danger d encéphalopathie pour les personnes subissant des séances de dialyse. Pour les eaux utilisées en dialyse, la concentration en aluminium ne doit pas dépasser 10 µg/l selon la pharmacopée. Pour l eau distribuée, la référence de qualité est fixée à 200 µg/l.
Personne responsable de la Plomb Périmètres de protection Les eaux peu minéralisées sont susceptibles de dissoudre les matériaux à leur contact. Un risque particulier apparaît lorsque le réseau comporte des canalisations en plomb. Il provient de la dissolution de ce métal contenu dans certains types de canalisations, lorsque les eaux sont agressives. Les travaux d adduction d eau ayant débuté à l'ile de La Réunion après 1950, toutes les tuyauteries ont été réalisées en matériaux autre que le plomb. L eau distribuée est de bonne qualité pour ce paramètre, sur l'ensemble du département. Les périmètres de protection, instaurés par arrêté préfectoral, délimitent autour des captages des zones dans lesquelles s appliquent des interdictions ou des servitudes qui ont pour but de limiter les risques de pollution. Leur instauration est rendue obligatoire par le Code de la Santé Publique. Ils contribuent à la sécurité sanitaire des ressources en eau en empêchant, selon leur vulnérabilité, les implantations urbaines et le développement d activités humaines potentiellement polluantes. >> Bilan 2011 L'eau distribuée en 2011 restée de bonne qualité. est Bactériologie (% conformité) Turbidité (NFU) Dureté ( F) Nitrates (mg/l) Pesticides (µg/l) * production et de la distribution de l eau (PRPDE) Il incombe à la commune la responsabilité d approvisionner sa population en eau de consommation humaine. Pour cela, elle est propriétaire d un équipement de production et de distribution d eau constitué de captages, d unités de potabilisation, de réservoirs et de réseaux d adduction. La gestion et l exploitation de cet équipement se fait soit en régie, soit il est délégué à un fermier (VEOLIA, CISE, SAPHIR) qui assure alors le service d eau. La PRPDE peut désigner donc à la fois la commune ou son fermier. Limites de qualité Valeurs mesurées sur le réseau Absence de germes tests indicateurs de contamination fécale 100 % 2 Moyenne :0.2 NFU Maximum :0.7 NFU EAU CONFORME EN TURBIDITE - Moyenne : 9.9 F EAU DE FAIBLE DURETE 50 Moyenne : 21.2 mg/l EAU CONFORME EN NITRATES 0,1 Moyenne inférieure au seuil de détection ABSENCE DE PESTICIDES Autres paramètres Commentaires EAU DE BONNE QUALITE BACTERIOLOGIQUE EAU CONFORME AUX VALEURS LIMITES REGLEMENTAIRES. (METAUX, SOLVANTS CHLORES ) * 1µg/l (microgramme par litre) = 0,001 mg/l En 2011, l ARS-OI a effectué 23 prélèvements donnant lieu à diverses analyses bactériologiques et physico-chimiques sur les unités de potabilisation et les réseaux de distribution (en plus de ceux effectués sur les captages). Chaque analyse est interprétée en référence aux valeurs réglementaires définies en application du Code de la Santé Publique. Les eaux superficielles captées pour l alimentation en eau potable doivent être traitées impérativement au moins par filtration et désinfection, avant leur distribution. >> Conseils pratiques En cas d absence de votre domicile durant plusieurs jours : A votre retour, l eau a stagné dans les canalisations. Faites couler l eau quelques minutes avant de la boire. Lorsqu un cyclone est imminent (alerte orange) : Pensez à constituer des réserves d eau (citernes, bassines ) et à stocker de l eau embouteillée pour la boisson (2 litres par personne et par jour). Lors de fortes pluies : Des problèmes de qualité peuvent affecter de manière ponctuelle les captages. En présence d eau trouble, il est conseillé de la filtrer et de la désinfecter avant consommation (maintenir à ébullition pendant au moins 3 minutes) ou boire de l eau embouteillée. Double réseau : Toute interconnexion du réseau d eau potable public avec un puits privé ou un réseau d irrigation est strictement interdite et dangereuse. Dans les habitats très anciens ayant été équipés de tuyauteries en plomb : il est conseillé de rénover les canalisations de distribution d eau.
Commune de SAINT-PAUL: Réseau ORANGERS-BOUILLON Palmiste, Route Hubert de Lisle, Tan Rouge, Petite France, Guillaume, Ravine Daniel, la Saline les Hauts Vous êtes alimenté(e)(s) par : une eau de surface (ESU) et souterrraine (ESO) Vous dépendez du captage : Les Orangers (ESU), Grandmère (ESU), Puits source Bouillon* (ESO) Procédé de traitement : chloration (réservoir R1 Bois de Nèfles), chloration (station Bouillon ) L Agence de Santé Océan Indien (ARS-OI) organise et réalise le contrôle sanitaire de l eau de consommation humaine à La Réunion. Cette mission est assurée par le service Santé-Environnement de la Délégation de l île de La Réunion. L objectif de ce bulletin annuel est de vous informer sur la qualité de l eau distribuée par votre réseau en 2011. Exploitant : La Créole * captage équipé de périmètres de protection >> Quelques notions sur l eau potable Bactériologie Le contrôle de la qualité microbiologique des eaux consiste à rechercher les bactéries hôtes habituels de l intestin de l homme et des animaux. Leur détection fait craindre la présence associée de germes dangereux (virus, bactéries ou parasites). L eau est alors non conforme. Le % de conformité exprime le rapport entre le nombre d analyses conformes et le nombre total d analyses réalisées dans l année. Turbidité Elle est due à la présence de matières en suspension qui donnent un aspect trouble à l eau. Elle se mesure en unités NFU. Les pluies peuvent provoquer, par le lessivage des sols, une dégradation de la qualité de l eau captée en surface. En l absence de filtration, les matières en suspension pénètrent dans les réseaux, les dégradent et constituent un obstacle aux opérations de désinfection finale. Par contre, les pompages dans les nappes souterraines sont protégés de la turbidité; l'eau produite ne nécessite alors qu'une simple désinfection avant distribution. La turbidité des eaux destinées à la consommation ne doit pas être supérieure à 2 NFU en distribution. Dureté La dureté représente une mesure des concentrations en calcium et en magnésium présents dans l eau. Elle s exprime en degrés français ( F). Compte tenu des valeurs rencontrées à La Réunion, les traitements complémentaires (adoucisseurs) ne sont pas nécessaires. Ils sont de nature à altérer notablement la qualité de l eau si leur entretien est mal assuré. Les eaux captées par la commune sont douces et faiblement minéralisées. Elles représentent un bon pouvoir moussant au contact du savon et n entartrent pas les appareils ménagers. Elles sont corrosives pour les canalisations. Nitrates Ils proviennent de l ensemble des activités humaines (agricoles, industrielles, domestiques). Chez les nourrissons, la consommation excessive de nitrates peut entraîner des perturbations du système d échange d oxygène (empoisonnement du sang). De plus ces substances sont suspectées être cancérigènes. Aussi les restrictions de consommation pour les femmes enceintes et les nouveaux nés sont prévues dès que le seuil de 50 mg/l est dépassé. Au delà de 100 mg/l l interdiction de la consommation s adresse à l ensemble de la population. Pesticides Ce sont des produits chimiques organiques provenant d activités agricoles, industrielles ou servant à l'entretien des voiries. Ces produits peuvent être entraînés vers les cours d'eau, s'infiltrer dans les sols, et atteindre les nappes profondes. A forte dose (absorption accidentelle) les effets sur la santé se manifestent par des troubles nerveux, digestifs ou respiratoires. A faible dose et exposition répétée, les effets sont encore mal connus. Les doses s'accumulent dans l'organisme, pouvant entraîner un risque à long terme. Aluminium La présence d aluminium dans l eau peut être d origine naturelle (roches, sols) ou liée à la filière de traitement d eau utilisant des réactifs à base d aluminium. En excès dans l eau, il peut présenter un danger d encéphalopathie pour les personnes subissant des séances de dialyse. Pour les eaux utilisées en dialyse, la concentration en aluminium ne doit pas dépasser 10 µg/l selon la pharmacopée. Pour l eau distribuée, la référence de qualité est fixée à 200 µg/l.