Du renfort au Texas pour les supercalculateurs!

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1 La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI N Mai 2013 La citation de la semaine La France est la patrie du genre humain et l'on y est très accueillant aux étrangers, exception faite, bien entendu, pour les amerloques, les englishes, les fridolins, les macaronis, les espingouins, les polacks, les macaques, les youpins et autres métèques. Thierry Maulnier Du renfort au Texas pour les supercalculateurs! Le mois de mars a révélé deux beaux projets dans le domaine des supercalculateurs au Texas. Ils ont tous deux obtenu d'importants financements de la Fondation Nationale pour la Science ( NSF). Le premier projet porte sur le développement d'un logiciel ouvert créé à l'université Texas A&M, dont le but est de simplifier l'utilisation des supercalculateurs. Le second projet concerne la mise en service d'un nouveau supercalculateur baptisé "Stampede", dont la puissance devrait atteindre 10 pétaflops lorsqu'il sera totalement opérationnel au Centre Informatique Avancé du Texas ("Texas Advanced Computer Center", TACC) de l'université du Texas à Austin. Le Texas tient historiquement un rôle central dans le domaine de l'informatique, avec la découverte en 1958 du circuit intégré par Jack Kilby alors qu'il travaillait au sein de la compagnie Texas Instrument. L'Etat est ainsi le berceau du microprocesseur, et maintient depuis son ambition de rester dans la course aux technologies de pointe de l'informatique. Or, c'est un secteur qui évolue incroyablement vite! Ainsi le premier supercalculateur à avoir officiellement dépassé la puissance de 1 pétaflops en 2008, le "Roadrunner" d'ibm, s'avère être déjà obsolète : il a été désarmé le 31 mars 2013 au laboratoire Los Alamos du Département d'energie des Etats-Unis pour laisser place à une nouvelle machine plus performante "Ciello". Actuellement, une vingtaine de supercalculateurs dans le monde opèrent au-delà du pétaflops. L'engouement pour ces machines à haute performance tient au fait qu'elles permettent aux chercheurs d'approfondir et de repousser les limites des connaissances actuelles dans leurs champs d'expertise : ils peuvent réaliser des simulations et modèles plus complexes nécessitant de fortes puissances de calcul, et aborder ainsi des problèmes qui seraient hors de portée par la seule observation ou expérimentation en laboratoire. Par ailleurs, elles permettent de réaliser les calculs en un temps moindre et d'ainsi gagner en efficacité. Les utilisateurs principaux sont donc les institutions de recherche et les entreprises, dont les sujets d'étude nécessitent de grosses puissances de calcul: prévisions météorologiques, étude du climat, simulations aérodynamiques, simulations d'explosion d'arme nucléaire, imagerie de tumeurs du cerveau, mécanique des glaciers, calculs de résistance des matériaux, cryptanalyse, simulations en finance et assurance, etc. Mondialement, la demande industrielle occupe près de la moitié des supercalculateurs, tandis que la recherche en détient un quart et les universités un peu moins du dernier quart. Répartition du nombre de supercalculateurs par pays, figurants dans le top 500 mondial de novembre 2012 Concurrence mondiale et classement Le classement mondial des 500 supercalculateurs les plus performants doit continuellement être actualisé car le secteur évolue très rapidement. D'après le classement 11/2012, la machine "Titan" construite par Cray Inc. pour le Laboratoire national d'oak Ridge (Tennessee) détient la première place, avec une puissance de calcul de 17,59 pétaflops. Il est intéressant de noter que la moitié des supercalculateurs de ce classement appartiennent aux Etats-Unis (51%). La France en possède 21 (4%), dont deux du CEA figurent dans le top 20. Cependant, IFP Energies Nouvelles a inauguré en janvier dernier son premier supercalculateur "ENER", d'une puissance de 110 téraflops, sur le site de Lyon, qui se placerait en 204e position. L'entreprise Total a annoncé le lancement du "Pangea" sur son site de Pau, qui devrait fonctionner à 2,3 pétaflops, se plaçant à la 9e position. Total devance ainsi son concurrent britannique BP dont un supercalculateur de 2 Pétaflops est actuellement en cours de construction à Houston, Texas. Les forages étant très chers, le besoin d'images précises du sous-sol sont une priorité de ces entreprises. Grâce au supercalculateur, elles peuvent analyser beaucoup plus de données séismiques bien plus rapidement, permettant ainsi de définir le strict minimum de puits à forer pour le plus de rentabilité possible. Les nouveaux projets au Texas Concernant la machine Stampede du TACC au Texas, officiellement mise en service le 27 mars, elle se situe en 7e position du classement mondial. La NSF lui a octroyé un budget de $50 M pour les 4 années à venir. Construite par Dell, elle comprend plus de processeurs, disposés dans 182 armoires occupant une salle de 1022 m2. Un système de plomberie est installé sous le sol afin de refroidir la salle via la circulation d'eau à 7 C. La consommation d'énergie du système est monstrueuse : on s'attend à 9 MW de puissance par an, soit l'équivalent de la consommation de foyers. C'est par ailleurs le premier supercalculateur à utiliser la technologie Xeon Phi, un coprocesseur utilisant l'architecture de Intel "à plusieurs cœurs intégrés" (MIC pour "Many Integrated Core), et qui augmente la performance des processeurs principaux. Ces coprocesseurs comprennent jusqu'à 50 cœurs, et représentent à peu près 8 pétaflops sur les 10 pétaflops de Stampede. Le projet Stampede sera utilisé pour la recherche scientifique nationale pour la prédiction météorologique, la modélisation du climat, la découverte de nouveaux médicaments et l'exploitation et production d'énergie. Plus de 1000 études de recherche devraient en bénéficier chaque année. Le temps d'utilisation du système sera gratuit, mais l'accès sera accordé par un comité scientifique national. Par ailleurs, l'accès sera aussi ouvert aux étudiants de l'université, qui pourront simplement s'identifier sur le système Stampede afin de l'utiliser. Le projet de logiciel ouvert de l'université Texas A&M a lui, reçu un financement de $1,3 M de la NSF. Réalisé par le professeur de mathématiques Wolfgang Bangerth, le financement de la NSF doit aider à élargir l'utilisation du logiciel à plus de chercheurs, en le rendant plus pédagogique et adaptable. Ces deux projets illustrent la volonté du Texas d'ouvrir la recherche scientifique pour la rendre accessible à l'ensemble de la communauté scientifique. Les supercalculateurs sont un moyen de dynamiser cette approche de la recherche, afin que la connaissance scientifique soit partagée pour tous.

2 Avec Archivideo, Dassault Systèmes va gérer la ville façon Sim City En mettant la main sur un spécialiste de la modélisation 3D des territoires, Dassault Systèmes peut s attaquer au marché des systèmes d information géographiques des collectivités, bousculés par l arrivée de la 3D. Une communauté de vues. C est ainsi que François Gruson, DG d Archivideo, explique le rachat de sa société, spécialisée dans la modélisation de territoires en 3D pour les collectivités territoriales, par le premier éditeur français, Dassault Systèmes. Annoncée vendredi dernier à l occasion de la présentation des résultats trimestriels de la société de Bernard Charlès, l opération voit le géant de la 3D absorber cette société de 17 personnes fondée en 1985 et dont le siège est à Rennes. En termes de chiffres d affaires, l opération est quasi neutre pour le premier éditeur français qui ajoute à peine 1 M (le CA d Archivideo) à son activité, pesant plus de 2 Mrd. Mais, sur le plan stratégique, cette acquisition ouvre à Dassault Systèmes le marché en devenir des SIG 3D, appelés à compléter voire à supplanter dans certains cas les SIG classiques dans toutes les organisations gérant un territoire, les collectivités mais aussi les opérateurs de réseau. «Ces organisations avaient l habitude de manipuler de la 2D, mais, avec par exemple la participation des citoyens un véritable mouvement de fond -, elles ont désormais besoin de la 3D pour communiquer, échanger avec leurs administrés», explique François Gruson. Amener des fonctions de simulation et de prédiction Au-delà, la fusion des technologies d Archivideo dans la plate-forme de Dassault, promet de concrétiser une idée qui trotte dans la tête de François Gruson depuis 1993 : la gestion d un territoire à la façon de Sim City, le jeu de simulation. «L intégration avec les technologies de Dassault Systèmes va nous permettre de proposer des fonctions de simulation et de prédiction, d intégrer des paramètres venant de toute une série de capteurs pour établir, par exemple, le lien entre le trafic routier et la pression foncière», reprend le dirigeant. Une vision de la «smart city» qui reste encore largement à construire. Pour l heure, le calendrier de l intégration des technologies du Rennais dans la plate-forme 3DExperience de Dassault Systèmes n a pas été dévoilé. Pas plus que le prix de cette acquisition. Signalons toutefois que Archivideo a terminé son exercice 2012 sur une perte significative ( ). Le rachat se concrétise également par le départ du président d Archivideo, Jean Baillon. De son côté, François Gruson est confirmé dans ses fonctions à la tête de la filiale, qui conserve son portefeuille de produits (notamment Territoire3D, une maquette 3D de la France entière coéditée avec l IGN). Cube 3D Printer goes retail at Staples for $1,299 Staples will be among the first retailers to offer a 3D printer. To date, 3D printers have been for hobbyists. Staples will begin selling 3D Systems Cube 3D printer in select stores and online for $1,299 at the end of June. The move will be interesting to watch just to see how many small businesses pick up one. 3D printers have been popular in the tech press, but pricing has kept them from mainstream adoption. Staples price of $1,299 still isn t cheap enough to be an impulse buy, but it s certainly far enough the five-digit mark to gather some interest. The Cube 3D Printer will work with Mac or Windows and includes 25 templates with more available online. Staples will be among the first major retailers to offer a 3D printer. To date, 3D printers have been the focus of hobbyists. For 3D Systems, the Staples distribution may not add up to massive sales yet, but the proof of concept and interest is worth it. The Cube 3D Printer can print items up to 5.5" x 5.5" x D Systems sells its Cubify Invent software as well as plastic cartridge refills, CubeSticks, which stabilize the object being printed and go for $9.99, and replacement Cube Print Pads, which will cost $ Like most printers, ponder the refills since they add to the lifetime cost. WWDC 2013: ios 7, OS X 10.9 previews on deck; but what else? Apple's developer conference often unveils a number of product announcements, with a general focus on software. What should we expect to see this June when Apple chief executive Tim Cook and others take to the stage in California? Here's what we think. Will we see an iwatch? The rumor mill has been spinning for months on a potential iwatch product, a wristwatch like device that might resemble an alternative to those who don't want to be dogged with Google Glass. Expected to be a similar size and shape to the fifth generation ipod nano, it could be on the cards for WWDC 2013 should the technology be ready. It's even spurred on almost every other major mobile maker to announce in some way, shape or form that they are developing a smart watch device. While apps are unlikely to be included and little for developers to play with perhaps more a hardware accessory opportunity health sensors and Siri-like services could be on the cards. Le prochain BlackBerry R10 semble bien viser l'entrée de gamme Un premier cliché crédible de ce terminal à clavier commence à circuler sur la Toile. Il serait lancé au 3T Si le Z10 semble amorcer un bon décollage avec 1 million d'exemplaires écoulés entre janvier et fin mars, BlackBerry doit étoffer sa gamme pour renouer avec les volumes. Outre le Q10, smartphone de milieu de gamme à clavier physique qui sera lancé dans les prochains jours, le canadien aurait dans ses cartons un smartphone d'entrée de gamme baptisée R10. Lui aussi équipé d un clavier physique, il viendrait remplacer les actuels Curve. Selon les informations reprises il y a quelques jours par Boy Genius Report, ce premier smartphone Série R serait notamment équipé de 8 Go de stockage interne avec un emplacement pour carte mémoire microsd et une batterie de 1800 mah. Après la publication d'une première image volée, un nouveau cliché assez crédible du R10 commence à circuler et semble confirmer le positionnement évoqué. Sa sortie serait visée au 3T pour un prix entre 300 et $400.

3 Twitter embauche une ex de Morgan Stanley et prévoirait son entrée en bourse Certaines embauches alertent les analystes concernant une probable entrée en bourse de Twitter. Le service de microblogging accueille désormais Cynthia Gaylor, une ancienne responsable de la banque Morgan Stanley. Twitter continue de renforcer ses équipes. La plateforme de microblogging indique avoir recruté Cynthia Gaylor, de la Morgan Stanley. La responsable aura la charge de promouvoir les travaux des équipes de développement. Mais elle apporte également dans ses bagages son expérience en matière d'investissements, d'acquisitions et d'introductions en bourse. A titre d'exemple, Cynthia Gaylor a servi de conseil dans certains accords importants comme le rachat de Zappos par Amazon ou encore d'admob par Google. Autant de signes qui font dire aux analystes de Reuters que l'entrée en bourse de Twitter serait en vue. Pour rappel, la direction du service a jusqu'à présent refusé de se prononcer sur toute éventuelle introduction en bourse. Fin 2012, plusieurs embauches avaient pourtant mis la puce à l'oreille de certains observateurs, allant même jusqu'à anticiper une entrée en cotation de Twitter à l'orée Mike Gupta, ex-vp de Zynga, siégeant au poste de directeur financier semblait en effet une piste sérieuse pour anticiper la direction que prendra la plateforme à l'avenir. Acer Aspire R7 : une tablette, un notebook, un écran et un Ezel Acer vient de présenter une nouvelle machine qui peut s utiliser de 4 façons différentes grâce à une nouvelle charnière qui relie l écran tactile au reste de la machine. Présentation du Acer Aspire R7. Un titre un peu barbare pour un produit innovant et difficile à décrire. L Acer Aspire R7 peut donc s utiliser sous 4 modes différents. Le mode Ezel permet de faire flotter l écran au-dessus du clavier pour avoir accès aux deux facilement. Le mode Ecran pour regarder un film sans être gêné par le clavier. Le mode tablette où le clavier disparait et enfin le mode Notebook que tout le monde connaît. Mieux que des mots, une image pour comprendre. Bref vous l aurez compris grâce à une nouvelle charnière, vous pouvez mettre l écran comme bon vous semble. Dans tous les modes vous bénéficiez de la puissance de la machine : écran 15,6 full HD 1920 x 1080 pixels ; processeur Intel Core i5 ; jusqu à 12 Go de ram ; Disque dur 1To ou SSD 256 Go ; clavier rétroéclairé ; 1 port HDMI / 3 Ports USB ; Wi-Fi / Bluetooth ; 1 port RJ45 / 1 Port USB (via convertisseur de ports) La machine sera disponible en juin à partir de 999 selon la configuration choisie. Elle a remporté le Red Dot Award, un prix dans le domaine du design produit. Acer shows off Aspire P3 Ultrabook The P3 converts to a Windows 8 tablet. While not as radical as the R7, the new Aspire P3 is a convertible Ultrabook that's also moderately priced. The Windows 8 system will come with a choice of either Intel Core i3 or i5 CPUs, and its 11.6-inch IPS display detaches to function as a tablet. (You can also use it with an optional stylus.) The keyboard is tinier than a typical notebook sports, and it lacks a touchpad, though there's a USB 3.0 port that you can use to attach a mouse or other input device to. Our sister site CNET lists some additional specs, including either 2GB or 4GB of RAM and either 60GB or 120GB SSD. Priced starting at $ and available now, the P3 might be a better alternative for some users than dedicated Windows 8 tablets for a similar cost, as you essentially get a bigger screen and a keyboard and case/cover in a 3-pound package. It delivers on the promise of Windows 8 ushering in some different types of portable devices. Details of Acer's 8-inch, $380 Windows 8 tablet leak Details of the first 8 Windows 8 tablet have leaked, after Amazon.com prematurely published a listing for a new Acer device. The tiny tablet could be ready before Microsoft's Windows update (named Blue), due this summer. A few months ago, Microsoft officially relaxed its size and screen resolution requirements for Windows 8 certified devices. The obvious target is new tablets in smaller form factors and possibly with different aspect ratios. Now, thanks to a leak from Amazon, we ve seen more details of what might be the first of a new wave of small Windows 8 tablets. The first pictures of Acer s Iconia W3-810 appeared at TabletGuide.nl a couple weeks ago. Yesterday, PC World s Brad Chacos spotted the listing for Acer s W3-810 and snapped this screenshot. If the specs in the Amazon listing are accurate, this device will have a 1280x800 touchscreen at 8.1 that horizontal resolution is below the minimum 1366 pixels previously required for a Windows 8 device. It s the same resolution and roughly the same size as Google s Nexus 7 and Amazon s Kindle Fire. The aspect ratio is less elongated than the current crop of 16:9 Windows 8 tablets and is noticeably more appropriate for applications such as reader programs, which work best in portrait mode. According to the Amazon Product Information sheet, the device will weigh 1.1 pounds (significantly less than the 1.5-pound weight of the current ipad but more than the 0.68 pounds of the ipad Mini). The claimed average battery life is 8 hours. Those earlier photos show optional covers and a keyboard dock for the device. GeekBench results saved at Primate Labs website show that the device contains an Intel Atom Z2760. That s the same CPU found in several currently available 10-inch Windows 8 tablets, including HP s Envy X2, Dell s Latitude 10, and Acer s 10-inch W510. The earliest benchmark scores are from nearly a month ago, suggesting that the device could enter the market sooner than the

4 expected unveiling of Windows Blue at Microsoft's BUILD Conference in late June. The specs show this device running a 32-bit version of Windows 8 Pro, which means in theory it s capable of running almost any Windows desktop app, including Microsoft Office. If the performance of existing devices using this CPU is a guide, though, that will be a secondary task for this device, which is much more suited for reading books and playing music and movies and games. Acer launches 7.9 Iconia A1 Android tablet starting at $169 In addition to introducing a pair of noteworthy laptops, Acer has unveiled the new Iconia A1 tablet, a 7.9 Android slate that will compete against the ever-expanding range of smaller tablets. Curiously, the company's press release failed to mention the word "Android", though it noted that the A1 "delivers the Google experience", it runs Android Jelly Bean 4.2. It's powered by a quadcore MediaTek processor and comes with either 8GB or 16GB of capacity (with a microsd card slot). The display is LED backlit, featuring IPS technology and 1,024x768 resolution. You also get front- and rear-facing cameras, with the rear-facing one able to record 1080p video at 30fps. The A1 is priced to compete against the likes of the Kindle Fire, as the 8GB version will start at $169 and the 16GB flavor at $ when it hits in June. But it also has to compete against the Apple ipad mini, Google Nexus 7, Samsung Note 8.0, and a plethora of other 7- and 8-inch tablets. And maybe it's going to be competing against another, more intriguing small tablet from Acer potentially the first mini-model that runs Windows 8. Whether it can stand out amid all of that competition remains to be seen, though pricing aside, there's nothing about the A1's specs that suggests it definitely will. IBM en désaccord avec Lenovo sur le prix de vente de sa division x86 Lenovo et IBM ont provisoirement suspendu les discussions concernant la cession des activités de serveurs x86 d'ibm à Lenovo. La raison réside dans un désaccord entre les deux sociétés sur le prix de vente. Les groupes IBM et Lenovo ont interrompu leurs négociations pour l'acquisition de la division serveur x86 d'ibm par Lenovo. Selon le magazine Fortune, qui cite des sources anonymes, les discussions avaient été suspendues en raison d'un désaccord dans la détermination de la valeur. Mais elles pourraient reprendre à une date ultérieure. Pour mémoire, il y a deux semaines, des rumeurs, confirmées par Lenovo, avaient fait état de l'intention de Lenovo d'acquérir la division serveur x86 d'ibm. Le site d'informations CRN révélait que Lenovo proposait 5 à $6 Bn pour se séparer de cette activité. Facebook Will Make the Most Popular App for Google Glass Facebook s CEO has signalled interest in Google s wearable computer, and the social network s app would likely be as popular as it is on other devices. If Facebook releases an app for Google Glass it will likely be very popular. There are lots of unknowns about Google Glass, the company s wearable displaycamera-computer gadget just trickling out to early testers. But one thing is fairly certain: Facebook will be the most popular app for Glass. Facebook has more users than any other social network, and its mobile apps dominate on both Android-based and Apple devices. Comscore estimates that 23 % of the time spent using mobile apps is spent with Facebook s. If Facebook releases an app for Glass, it will likely be similarly popular. There s good reason to think that Facebook will release an app. Mobile-only social network Path is pre-installed on the explorer versions of Glass being made available to a select group of software developers, and Twitter has been testing its own app for Glass. When Facebook CEO Mark Zuckerberg first tried Glass in February, he suggested an app was coming. Zuckerberg happened to be at a public event also attended by Sergey Brin, the Google co-founder closely involved with the Glass project. I can t wait to get my own, Forbes reported a very interested Zuckerberg saying, as Brin showed him the functions of the device. The Facebook boss even asked Brin: Is there anything specific you want us to be trying? If so, I want to be doing that. We can only guess at the kind of things Brin suggested in response. The way Glass is worn, its ability to capture point-of-view video and even detect eyeblinks would certainly allow Facebook to create a very novel app. It would be possible, for example, for a Facebook app to friend request a person when a Glass wearer looked at their face, using facial recognition technology to find their Facebook profile. However, I suspect that the app Facebook does release will be rather dull compared to the wilder visions of what apps installed onto your face could do. It will probably center on sharing photos and videos captured with the device, an activity that right now happens by default through Google s own social network, Google+. Foldarap rend les imprimantes 3D pliables et transportables Pour rendre accessible au plus grand nombre l'impression 3D, un ingénieur a mis au point une imprimante pliable à bas coût, dont le développement s'est fait entièrement de manière participative. Si l'impression tridimensionnelle est maintenant répandue, elle reste encore peu abordable pour le grand public et difficilement adaptée aux déplacements. Deux points que l'ingénieur Emmanuel Gilloz a tenté de résoudre en développant Foldarap, une imprimante 3D pliable et transportable, présentée à l'occasion du OuiShare Fest qui se déroulait à Paris. L'intérêt est que les utilisateurs puisse la mettre en forme eux-mêmes avec des matériaux disponibles à tout un chacun et par l'intermédiaire du système RepRap, une imprimante 3D qui, pour rappel, permet de créer de manière participative une partie de ses matériaux. Un modèle participatif Et pour cela, le concepteur de cette imprimante s'est servi de modèles disponibles sur Internet en open source afin de concevoir son propre appareil. Celui-ci se compose tout simplement d'une base robuste de profilés aluminium et de plastique PLA biodégradable, ainsi que d'un système de montage simplifié, pour lequel la base électronique est fournie à la vente. De

5 fait, l'appareil fonctionne comme toute autre imprimante 3D, à la différence de sa flexibilité extrême. «L'objectif premier était de bâtir une imprimante facile à déplacer et à ranger», explique son concepteur. Donc une fois pliée, celle-ci, qui ne pèse pas plus de 4kg, ne mesure que 33,5 x 37,6 x 9,8 cm. Le financement participatif déjà banalisé «L'open source est une pierre angulaire de l'imprimerie 3D» explique Emmanuel Guilloz. Mais ce n'est pas l'unique méthode participative utilisée par celui-ci. En effet, le concepteur explique que l'open innovation est également au cœur de son travail puisqu'il a soumis sur internet les différentes étapes de création et qu'il s'est appuyé sur les conseils d'internautes pour améliorer son projet. De même, ce projet a été financé via le crowdfunding par le biais de la plate-forme Ulule. Pour Emmanuel Gilloz «aujourd'hui le phénomène Kickstarter, ou quelle que soit la plate-forme utilisée, est complètement normal dans le domaine des imprimantes, même si cela peut paraître original vu de l'extérieur». En effet, beaucoup de projets d'imprimerie 3D utilisent des modèles distribués librement sur Internet, et l'échange de pièces manufacturées entre Fab labs est devenu «une pratique courante», selon le créateur de l'imprimante 3D pliante. Google Glass : navigation et SMS bientôt disponibles via un iphone Actuellement, pour envoyer des SMS et faire de la navigation assistée, les lunettes de Google nécessitent d être connectées à un smartphone Android sur lequel est installée l application dédiée. Selon TechCrunch, cette contrainte sera prochainement levée. Si les Google Glass sont pour le moment réservées à quelques milliers de développeurs et journalistes triés sur volet, leur commercialisation à partir de l année prochaine suppose qu elles soient en mesure de fonctionner avec les principales plateformes mobiles. Pour le moment, seul un terminal Android doté de l application Glass permet d exploiter toutes les fonctions des bésicles Google. C est le cas en particulier pour l envoi de SMS et la navigation pas à pas. Or, à l heure actuelle, ces deux fonctions ne sont pas disponibles lorsque les lunettes sont associées à un iphone via une liaison Bluetooth ou WiFi. Mais selon les informations de TechCrunch, un représentant de Google aurait confirmé que l envoi de SMS et la navigation seront bientôt disponibles indépendamment du type de smartphone avec lequel les Glass sont connectées. Aucun détail n a été révélé sur cette évolution qui laisse supposer que la version finale des lunettes attendue en 2014 évoluera techniquement pour être autonome États-Unis : le département de la Défense approuve BlackBerry 10 et Samsung Knox Le département américain de la Défense vient d approuver coup sur coup l usage des nouveaux smartphones BlackBerry 10 mais également des terminaux Android Samsung compatibles avec le service de sécurité Knox. BlackBerry et Samsung ont tour à tour confirmé l adoption de leurs solutions mobiles sécurisées par le département américain de la Défense (DoD). Pour la firme canadienne, ce blanc -seing concerne les smartphones Z10, Q10 ainsi que la tablette PlayBook qui fonctionnent avec la plateforme cloud BlackBerry Enterprise Service 10. De son côté Samsung annonce que tous ses smartphones et tablettes Android compatibles avec sa solution de sécurité Knox ont passé avec succès les tests de l'agence des systèmes d'information de la Défense (DISA). Une première pour des terminaux Android souligne le géant coréen. Pour le moment, seul le Galaxy S4 fonctionne avec Knox. Samsung compte capitaliser sur ce succès pour percer sur d autres marchés dans les domaines de la finance et de la santé. La semaine dernière, le Wall Street Journal évoquait également l approbation des iphone et ipad d'apple. Cette information n a pas encore été officialisée. Test de l Asus FonePad : une tablette 7 capable de téléphoner Annoncée lors du CES en début d année, la FonePad, la nouvelle petite tablette d Asus arrive enfin chez nous! Ce n est pas la première tablette de 7 capable de téléphoner, Samsung avait déjà tenté le coup avec sa première Galaxy Tab. Sa particularité vient plus précisément du fait qu elle embarque un processeur Intel au lieu des habituelles solutions ARM. Estce-que cela joue sur les performances ou l autonomie de la tablette, la réponse est dans ce test. Design Cette FonePad vous dit quelque chose? Normal, elle a des airs de Nexus 7, la tablette construite par Asus pour Google. On retrouve donc le même écran, et le même niveau de finition bien que les matériaux choisis ne soient pas les mêmes, ainsi que des caractéristiques techniques assez proches. Le plastique caoutchouteux du dos de la Nexus 7 fait place, ici, à une coque en aluminium. D une manière générale, cette FonePad est plutôt jolie et laisse une bonne impression de solidité. Au cœur de l Asus FonePad : Ecran LCD IPS de 7 résolution 1280 x 800 pixels (densité de 216 ppi) ; Processeur mono cœur Intel Atom Z2420 cadencé à 1,2Ghz ; Processeur graphique PowerVR SGX540 ; 1 Go de RAM ; 8 ou 16 Go de stockage interne (extensible via microsd) ; Batterie de 4270 mah autonomie annoncée de 9 heures ; 2 capteurs photos : 1.2 MP à l avant et 3 MP à l arrière ; Connectique sans fil : 3G+ ( HSPA+ fonction téléphone), Bluetooth 3.0, Wifi b/g/n, DLNA ; Ports : jack 3.5mm, port microusb, microsd, microsim ; Senseurs de mouvements : gyroscope, accéléromètre, boussole ; Autres : puce A-GPS pour la géolocalisation, capteur de proximité et capteur de luminosité ; 196,6 x 120,1 x 10,4 mm, 340g Interface&Ergonomie La FonePad fonctionne sous Android Jelly Bean, et Asus propose une très légère surcouche qui devrait permettre à cette petite tablette d être mise à jour relativement rapidement. Concernant cette légère surcouche, elle ne prend vraiment effet que sur quelques éléments comme la barre de notification, les bureaux et par l ajout d une barre de lancement rapide d applications. Le reste se rapporte aux widgets et applications implémentées par Asus. Ainsi, la barre de notification s agrémente d une barre d interrupteurs qui défilent. Cela vous permettra d activer en un clic : la connexion Wifi, les données, le GPS, le bluetooth, la rotation automatique de l écran, le mode de gestion de l énergie Sous cette barre d interrupteurs, vous pourrez modifier la luminosité, la gérer automatiquement et aussi activer le mode Outdoor ; ce mode améliorera la luminosité en extérieur. Enfin, à droite du nom du réseau (sous l heure), trois autres boutons vous amènent aux paramètres de la connexion Wifi, aux réglages du son, et aux réglages généraux. Comme c est aussi le cas chez Samsung sur sa surcouche TouchWizz, Asus a implémenté une petite barre de lancement rapide. Elle se déclenche lorsque vous appuyez sur le quatrième bouton placé en bas à droite de l écran. Conclusion Cette année, Asus va tenter de vendre autant de FonePad que de Nexus 7 l an dernier. Son atout est de proposer une

6 petite tablette au format identique à celui de la tablette créée conjointement avec Google, pour un prix à peu près équivalent. La FonePad dispose d une fonction téléphone (appel/sms) que n a pas la Nexus 7, fonctionnalité que beaucoup souhaitent. En 2010, Samsung avait réussi à promouvoir ce format de tablette-téléphone avec sa Galaxy Tab, à vendre plusieurs milliers de sa tablette alors qu Android n était même pas optimisé pour ce format. Mais cette année est différente : les smartphones haut-degamme arborent des écrans de 5 FullHD, les phablets s étendent maintenant des écrans de 5,5 à 6,5 HD. Vous l avez compris, la FonePad a donc de nouveaux concurrents, et ce n est pas sûr qu elle possède les éléments suffisants pour se confronter à ces nouveaux terminaux. Ne reste qu avec un prix d environ 250, c est l un des grands smartphones les moins chers du marché, et ça, ça parle toujours aux consommateurs. Les + : Qualité de fabrication de la tablette ; Ecran IPS ; Grande connectivité (wifi, bluetooth, carte microsd) ; Autonomie ; Le prix Les - : Pas d écran Full HD ; Pas de NFC Samsung annonce le smartphone Galaxy Core Samsung commercialisera dans le courant du mois un smartphone Android 4,3 pouvant recevoir 2 cartes SIM. Une version mono SIM sortira en juillet. Samsung a dévoilé hier un énième modèle dans sa gamme de smartphones Galaxy. Il s agit du Galaxy Core qui sera proposé en version double et simple carte SIM. Les spécifications techniques le placent en milieu de gamme, avec un écran 4,3 480x800 pixels, un SoC double cœur 1,2 GHz, 1 Go de mémoire vive et 8 Go de stockage interne. Côté photo, on trouve un capteur 5 mégapixels avec flash LED et une caméra frontale VGA. Il est équipé d une batterie de 1800 mah. On note la présence des fonctions Smart Stay qui réduit la luminosité de l écran lorsque l utilisateur ne le regarde pas et Motion UI qui offre quelques commandes gestuelles. Le Galaxy Core double SIM sera commercialisé dans le courant du mois tandis que la version simple SIM est annoncée pour juillet. Samsung n a pas communiqué le prix de ces deux modèles. Adobe goes all in on the cloud, ditches Creative Suite Creative Suite? Sayonara. The Creative Cloud is the way of the future. The latest version of Adobe's Creative Suite the exceedingly popular design, web and multimedia software suite that includes Photoshop, Illustrator, Flash, After Effects, Dreamweaver and Acrobat will be its last, the company announced. Moving forward, the company will double down on its Creative Cloud software-as-a-service offering, introduced last year. (Author's note: There seems to be some confusion about the use of the term "cloud" here, so allow me to be more specific. Adobe's Creative Cloud applications live on the desktop not in a browser, and not in the cloud. The "cloud" bit comes in the syncing, sharing, editing and storage of files across multiple devices. It's a distribution-focused baby step compared to the web applications you're used to.). Creative Suite 6 -- the current version of the desktop-based offering -- will still be available for purchase, but it is the final version and will not be updated beyond routine maintenance. Goodbye, CS. Hello, CC. This is a big step for Adobe and its customers. For one, the company is finally ditching the boxed software concept, even though it has offered downloadable versions for some time. Secondly, the move triggers a major revenue shift, from the one-and-done model of old to the subscription-based one so in vogue in recent years. Finally, the decision indicates that connectivity is ubiquitous enough at least for the group that spends $1,300 or more on professional software that it can be fully and deeply integrated into the default experience. Customers' early reactions have been mixed. "I really can't see this working out too well," one self-proclaimed "art nerd" wrote on Twitter. "A brave move," another person tweeted. Adobe is "moving to a new model called BS," a third wrote. And most damningly, professional photographer David Hobby wrote that the decision "feels like the biggest money grab in the history of software." He has a point. Individual licenses for the software suite, which comes in various configurations suited to different creative roles, range from $20 to $70 per month in a one-year contract. That's as low as $240 and upwards of $840 per year far less than the $1,299 to $2,599 you might spend on the desktop suite. The catch: just how many professionals (or companies) actually upgrade their software each year? (Adobe has traditionally introduced a new full version of the Creative Suite every two years.) If i ndividual users or companies were slow to upgrade (and many are, including this author), this move is ultimately a price hike. On the other hand, for occasional users and power users, the extremes of the usage spectrum, it becomes a deal: you always get the newest and best stuff for less than you used to pay, or you get access to Adobe's software for far less than it used to cost. For Adobe, the benefits are clear. A subscription model ensures regular, stable revenue streams. Focus on a cloud offering allows it to update its entire customer base immediately. Dropping the desktop offering allows it to focus on the cloud and deeper integration of its products. And the new pricing and distribution scheme could result in reduced piracy. Why the cloud will (entirely) replace in-house applications Cloud computing is the latest IT "fad" that isn't a fad. How many times do we have to do this before we get it right? This article is a direct reaction to my colleague Steve Ranger's "Why the cloud will never (entirely) replace in-house applications" article that he posted yesterday. I'm not blaming Steve for his viewpoint, because he shares it with a lot of people. I can't tell you how many times I hear that "cloud computing is a fad" or "the cloud is inherently not secure", or best of all, "the Cloud is not a sustainable business model". To all of those, I simply say, "Nonsense". I'd like to say something related to bovine excrement, but I'll resist. Cloud computing is not a fad. It is not inherently a security risk. And it certainly is a sustainable business model. Cloud computing is the latest IT "fad" to become the target of the short-sighted commentary and naysaying that I've observed for the past three decades. If you look at what's happened over those past three decades in IT, you see that I'm spot on with that statement. Don't believe me? How about the personal computer, as my first example. That's about 30 or so years old. How did that "fad" turn out? I can remember analysts saying that the personal computer fad is a fleeting fancy, an expensive hobby, or a rich man's toy. I'll name the fads that I can recall for you, but I'll spare you the details of each along the way (and they are not necessar ily in chronological order): Personal computers ; Mobile phones ; Windows ; Apple stuff ; Linux ; Virtualization ; Laptops ; Tablets ; Blade

7 servers ; Telecommuting ; Cloud Computing Now look back, if you will, and cite examples of those fads that burned out like an old man's pipe. You can't name one, can you? Nope, you can't. That's because they aren't fads at all. They're real. They fill a need. They're part of our technological evolution. Cloud computing is no different from the rest of that list. It fills a need a need for low-cost, agile, OPEX-charged computing that's available 24x7 anywhere in the world. For some strange reason, analysts and observers see cloud computing as some sort of "tech devil", or some hell spawn that is very different from what has existed for many years under other names. I find it both disturbing and humorous to imagine these people penning their negative reactions to cloud computing, when most of them haven't a clue what it even is that they're talking about. It's kind of like people who toss around the term "trans fat". They have no idea what trans fat is. They have heard the term and they know it's bad. Well, in case you're wondering, I know what trans fat is. I know what cis fat is, as well. I can draw them for you. And I can tell you that cloud computing is here to stay, and that all services, even your operating systems, will exist only in the horrible, terrible, unsecure, devil-spawn fad that we now call the Cloud. It makes me wonder how progress in this world was ever made with so many people standing about saying, "Nope, that'll never work", or "Don't waste your time with that nonsense". It makes me realize that without those hard-headed, negativity-deaf, determined innovators, there are many things that we wouldn't have today. Here's a partial list of those things: Radio ; Airplanes ; Cars ; Trains ; Telephones ; An accurate view of the solar system ; Television ; Personal computers ; Cloud computing Now to some of Mr.Ranger's points from his article: At the moment cloud still accounts for a relatively small slice of enterprise IT spending perhaps no more than five or six percent of the total software market, although one prediction sees this climb to 20 percent by the end of the decade. Yes, it might currently account for a small percentage, but by the end of the decade, it will comprise 90 % plus. You have to understand that technology adoption isn't linear. When the first personal computers hit the market, uptake was slow, but quickly and exponentially grew to millions of converts. Same for cell phones, TVs, cars, and just about anything else technology-related that you can think of. That's partly because companies remain cautious about the new technology, but also because they have significant investments in their existing on-premise IT infrastructure, both hardware and software. True, but how long does it take for on-premise hardware to become obsolete? Three years? Five years? By the end of the decade, none of the hardware in datacenters right now will still be running in datacenters. That's plenty of time for conversion, and it will happen. By 2020, only a small percentage of hardware (<20) will be left on premise as privately-owned. The cloud will be the next utility, the next commodity, if you will, and we'll purchase it much the same as we do electricity, water, or gasoline in bulk, and as needed. Indeed, the rapid growth of cloud (and Software as a Service in particular) has made some question whether on -premise applications have a long-term future at all, or whether all applications will eventually be cloud-powered. See? Steve realizes the folly of thinking that the cloud is a passing fancy or a fad. He is correct that all applications will be cloudpowered. But it's also possible that on-premise applications still have some use and some fight left in them, at least as far as CIOs are concerned. They do, but very little, and it's running out fast. CIOs will convert to cloud or be cloud-convinced when the winds of change blow their minds that direction. Everyone will soon have a "cloud initiative", or whatever buzz-term someone invents for it. The bottom line is that if you aren't already researching or planning your "cloud initiative", you're behind the curve. John Gracyalny, VP IT at SafeAmerica Credit Union, said: "I don't consider the internet stable enough for truly critical functions. I'm also reluctant to trust a third-party datacenter's security." I don't know John, but it sounds like he needs to get on his horse and mosey on over to the General Store and answer the clue telegraph. You trust third parties to prepare your food, to service your car, and to handle your mail, so what is it that makes thirdparty trust so difficult in IT operations? I can remember when every company wanted to run its own mail server and web server in house. Why? Why do you need to do that? Are you an provider or a web hosting company? If not, why not allow someone else, who knows what they're doing, do it instead? I don't build my own cars, washing machines, or vacuum cleaners. I don't even build my own computers anymore. If you need to feel ownership and control of something, plant a tree. Some CIOs realize that moving to cloud-based services is part of the technology evolution inevitable. Those are the CIOs to keep. The other ones, unfortunately, not so much. If your CIO isn't looking to take your company to the future in technology, what good is he or she? Perhaps there are some openings for CAO Chief Anachronism Officers: In charge of keeping things the way they were yesterday, somewhere. Cloud computing is a fact. Cloud computing is a good thing. It is the future of IT for business and for personal computing. Choose a direction now, and head toward it for the future, because whether or not you like it, the cloud will (entirely) replace in-house applications. And it will happen sooner, rather than later. The next PC game-changer: The Android-powered PC The PC industry is stagnating, with consumers shifting to ios and Android-powered tablets and smartphones. If consumers like Android so much currently over 1.5 million new devices are activated daily then why not give them Android-powered PCs? So far, the notebook market is dominated by two players, Windows and OS X, but there's an OS that could drop into this mix and be highly disruptive Android. There's been a lot of discussion bouncing around the tech blogosphere about Intel's plans to get all disruptive and start supporting Android on devices that will cost in the region of $200. While Microsoft might not be happy about being sidelined by a company that was once one of its biggest supporters, this is exactly what the PC industry needs. Think this is a huge leap? It isn't. Some of Intel's Atom processors are already compatible with Android 4.2 Jelly Bean. PCs aren't selling, and partly, this is down to price. PCs as we know them aren't cheap, and part of the reason for this is how much Microsoft charges for Windows licenses. OEMs say that even with the new Windows 8 price cuts, it's hard to compete with free OS. Android is "free". ios is "free". OS X is "free". (Technically, none are free, but the consumer price is $0.) Windows is not, and increasingly, price-conscious consumers are asking what Microsoft is giving them in exchange for their dollars. Given the way that buyers (consumers and enterprise alike) have embraced Android on sma rtphones and tablets activations of new devices sit at 1.5 million daily, or 45 million every month it makes sense to give consumers what they want, and put this operating system onto notebooks, convertibles, and hybrid systems. And why leave it there? Why not go the whole way and put Android onto desktop systems? But what about Chrome OS? Doesn't this operating system fill in any gap that's potentially left for Android? I don't think it does, because Chrome OS is all about cloud services and buying into the Google ecosystem. Android on the other

8 hand, is more open and allows users to take more control over their data and apps. While an all-cloud existence works for some, having apps, local storage, and a flourishing Google Play Store are compelling. And at $200, PCs suddenly become attractive in a way that they weren't before. A PC in every room starts to become a reality, and this is good for both OEMs who sell the hardware and good for developers who suddenly have a whole new platform to develop for. Samsung NX2000 : l'hybride Wi-Fi, NFC et tout tactile Samsung a annoncé le renouvellement de son appareil photo hybride d'entrée de gamme. Le NX2000 succède donc au NX1000, un an après son lancement, et pousse encore un peu plus loin le concept de «Smart Camera». Si le NX1000 accueillait le Wi-Fi, le NX2000 mise sur le tactile, sur les traces de la gamme de compacts, sans pour autant adopter Android comme l'étonnant Galaxy Camera. Un grand écran tactile Le Samsung NX2000 reprend ainsi les grandes lignes de son prédécesseur, si ce n'est qu'au dos un grand écran tactile de 3,7 800 x 480 pixels remplace la plupart des commandes. Seuls un bouton menu, un bouton visualisation et un bouton personnalisable complètent les indispensables déclencheurs (photo et vidéo) et la molette. Cet écran facilite l'utilisation de fonctions telles que «Smart Face», qui prend 5 photos et permet de choisir les meilleures expressions des personnes. Wi-Fi et NFC On retrouve par ailleurs le Wi-Fi, désormais associé à une connectivité NFC, qui permet d'automatiser la connexion de l'appareil photo à Internet via un smartphone, une tablette ou un ordinateur portable compatible, comme chez Panasonic. Il n'y a en revanche toujours pas de GPS. Une fois connecté, ce «Smart Camera» peut toujours sauvegarder automatiquement les photos sur un service de stockage en ligne, les partager par ou sur des réseaux sociaux, ou les afficher sur un grand écran via DLNA. Sur le plan purement photographie enfin, le NX2000 hérite du capteur APS-C à 20 millions de pixels en service depuis 2 générations, soit depuis 4 ans. Associé à la puce de traitement de dernière génération DRIMe IV, il photographie toujours à 8 i/s, filme toujours en Full HD à 25 ou 30 i/s, mais culmine dorénavant à ISO. On retrouve enfin la monture spécifique à Samsung, donnant accès à douze objectifs interchangeables, dont celui permettant de photographier et de filmer en 3D. Le Samsung NX2000 sera commercialisé en France courant mai. $649.99, including a mm lens. Voyages-Sncf lance un m-billet avec QR Code pour les commandes en ligne Les voyageurs ayant acheté leur billet de train sur le site de la SNCF pourront présenter au contrôleur leur titre de transport sous forme de QR Code reçu sur leur smartphone. La nouvelle version de l'application mobile de Voyages-Sncf va enfin permettre à ses clients de ne pas imprimer et composter leur billet de train. Ils pourront présenter directement au contrôleur le QR Code affiché sur le m-billet qu'ils recevront sur leur smartphone. Le m-billet est proposé sur les smartphones fonctionnant sous Android, ios, Windows Phone et Blackberry. Pour l'utiliser, l'acheteur doit lors de sa commande en ligne sélectionner le mode de livraison "e-billet". Un QR Code s'affichera alors sur son compte, à présenter au contrôleur qui le scannera. L'application est en outre conçue pour fonctionner hors ligne : pas besoin de connexion Internet au moment de présenter le m-billet, stocké dans le téléphone. Jusqu'ici, seuls les billets de train achetés sur mobile pouvaient prendre la forme d'un m-billet, ainsi que les e-billets des lignes à grande vitesse Nord et Méditerranée. Le m-billet est désormais disponible sur la totalité des lignes TGV et Intercités. FLAYVR, l appli photo-vidéo indispensable sur iphone et ipad arrive sur Android Une appli mobile qui jouit d une telle image ne pouvait rester longtemps cantonnée au seul ios. La voici qui débarque sur plateformes Android pour convaincre un public encore plus large. Dans la galaxie des applications mobiles dédiées aux photos et auxvidéos, l application de galeries «magiques» Flayvr a impressionné et convaincu nombre d utilisateurs sur iphone et ipad. La voici qui débarque sur plateformes Android sans avoir rien perdu de ses qualités Marre du balayage sans fin de vos photos ou de vos vidéos depuis l écran de votre smartphone (ou de votre tablette tactile)? Avec Flayvr les photos comme les vidéos présentes dans la mémoire de l appareil (ou sa mémoire externe) se retrouvent «comme par magie» triées, et magnifiées, dans des albums à conserver ou à partager avec ses proches. Sur Android pour enfoncer le clou L application déboule donc sur le Google PlayStore, auréolée de son succès sur ios, de nombreuses récompenses internationales et bénéficie toujours d une grande facilité d utilisation et de la gratuité Créée par une startup de Tel-Aviv, Flayvr ou «flaveur» (ce qui fait penser à Flavour, saveur ou parfum en anglais) sait reconnaître automatiquement les photos et vidéos prises au cours d un même événement (mariage, visite touristique, fête de fin d année à l école, etc.) et réalise sans coup férir un «collage» des plus réussis. Il présente ensuite tous les albums créés au sein d une liste, classée par date et emplacement. Le partage d évènements s opère alors d un doigt, que ce soit par , SMS, Facebook, Twitter ou Google+. Au passage, on hérite bien sûr d une multitude de petits raffinements : masquage des photos non désirées dans l album, choix de la présentation, visionnage en arrière-plan des vidéos pendant qu on regarde les photos d un album ou affichage côte à côte des photos et vidéos (ce qui n est pas possible «en standard», etc. Et puis, contrairement à d autres applis quelque peu intrusives, flayvr ne met pas à mal la vie privée puisque ses concepteurs s engagent à ne copier aucune des photos ou vidéos personnelles, seuls se retrouvant publiés les albums que l utilisateur a choisi de partager. Bref, une application à voir et à télécharger sans hésitation, d autant encore une fois qu elle est intégralement gratuite.

9 Pairasight,un concurrent pour les Google Glass Ces lunettes permettent de prendre de prendre des vidéos en 3D.Alors que les Google Glass font le buzz, il semblerait que groupe ait créé des émules sur le créneau des lunettes connectées. La start-up Pairasight a en effet présentée son dernier prototype à Disrupt. Equipées de deux caméras, ces lunettes permettent de prendre de prendre des vidéos en 3D en 1080HD, de stocker ces fichiers sur les serveurs de Pairasight ou de les partager en live. Son cofondateur Aaron Salow a expliqué au JDN vouloir cibler les professionnels qui travaillent avec leurs mains, comme par exemple les médecins. Breitling Emergency II watch doubles as a satellite emergency beacon Emergency beacons are great insurance for aviators and sailors, but they aren't worth much if a disaster leaves you in one place and the beacon in another. Just to be safe, you might as well strap the beacon to your wrist, which is what the Breitling Emergency II does. The Swiss-made wrist chronograph watch provides those who travel in remote, risky places with a dual-channel emergency satellite transmitter that activates with a twist and a yank. The Emergency II is an improved version of the earlier Breitling Emergency, which only transmits on a single analog frequency. It s intended for survival situations that can happen without a second's warning, such as plane crashes, ship sinkings, mountaineering accidents and the sort of potentially fatal mishaps that can occur in deserts, jungles and ice caps around the world. The aesthetics of the Emergency II are not exactly what one would call slim and elegant by weighing in at 140 g without the strap. This weight comes from not only the massive titanium case, but also because that case holds a PLB Category 2 beacon micro-transmitter. This in itself required a lot of R&D to squeeze the electronics into even a watch the size of a doorstop. It also has to work for 24 hours, so that means a bespoke battery that can not only punch out enough power for a satellite to pick up, but that can also be recharged regularly, so that power will actually be there in an emergency. Part of the battery s problem is that the Emergency II works on two different frequencies. These mean different power demands ranging from 30 to 3000 mw, hence the need for a rechargeable lithium-ion battery separate from the watch movement s silver oxide battery. The watch even comes with its own charger/tester case to make sure it's working probably. Maybe isn t a word you want to associate with whether or not an emergency beacon is working. The Emergency II puts out signals alternately on two frequencies. The first is a digital signal on 406 MHz that goes out for 0.44 seconds every 50 seconds, and the second is an analog signal on MHz lasting 0.75 seconds every 2.25 seconds. This dual frequency isn t just to be thorough. It s a strategy that not only helps to ensure that the emergency signal reaches the search and rescue teams, but also helps them to zero in on the target. It s all part of the international Cospas-Sarsat system, which saved 26,000 lives since It s based on a network of satellites in low-altitude earth orbit (LEOSAR) and in geostationary orbit (GEOSAR) along with ground stations and coordinating centers around the world. The satellites work on 406 MHz, which, theoretically, should be all that s needed to find those in distress, since the Cospas-Sarsat system doesn t listen to other frequencies. Many search and rescue systems use the older MHz and it s still very useful for making those last-minute location fixes before visual contact is made. So dual-frequency transmitters are preferred. The other half of the equation is the integrated antenna system. Designed to be used by someone who may be hanging upside down from a rock wall with broken bones, it s made in two sections so that the transmitter can select between part or all of the antenna when switching between frequencies. Turning on the beacon is a simple matter of unscrewing the right-hand antenna cover. This also unscrews the left-hand cover. From there, pulling the antennae free and extending them activates the beacon, and the signal starts going out. By the way, there s also a watch in here. It s a Breitling thermocompensated SuperQuartz Caliber 76 that s officially chronometercertified by the Contrôle Officiel Suisse des Chronomètres (COSC). It also has a 12/24-hour analog and LCD digital display, battery end-of-life indicator, 1/100th second chronograph, timer, second time zone and multilingual calendar. The titanium case with a cambered sapphire crystal is water-resistant to 5 bar (50 m) and sports a compass scale. Dials are available in Volcano black, Cobra yellow, and Intrepid orange. The Emergency II sells for about $17,000 or, if you want a titanium bracelet about $18,600. The video below outlines the Breitling Emergency II. Bill Gates est convaincu que l'ipad va perdre sa couronne mondiale Le terminal d'apple est trop "frustrant" estime Bill Gates qui parie sur un succès des tablettes hybrides sous Windows 8. Méthode Coué ou vraie vision stratégique? Pour Bill Gates, la domination sans partage d'apple sur le marché des tablettes touchera bientôt à sa fin. En cause, l'expérience jugée "frustrante" du terminal à la pomme. Interrogé par CNBC, le fondateur de Microsoft estime que les utilisateurs souhaitent créer des documents bureautiques avec leurs tablettes et donc "pouvoir taper et utiliser Office". On lui rappellera que des claviers physiques pour ipad sont en vente depuis des années et que les solutions tierces de traitement de texte ou de tableur existent pour ipad... Pour Bill Gates, cette "frustration" engendrée ouvre grand les portes aux terminaux hybrides Windows 8, jugés "révolutionnaires". Ce n'est donc qu'une "question de temps" avant que Windows passe devant Apple. Les chiffres sont encore loin de lui donner raison. Au premier trimestre, Apple s'arroge encore 39,6% des parts de marché au niveau global, affirme IDC, Microsoft fait office de bon dernier : il n'a vendu que unités de ses tablettes Surface sur la période. Soit une part de marché de 1,8%, encore très en-dessous d'un vendeur modeste comme Amazon par exemple. Nouvelle vague sous Windows 8.1 Microsoft est néanmoins arrivé tard sur ce marché, et ses solutions, notamment la Surface Pro, ne sont même pas toutes disponibles dans l'ensemble des pays visés par ses concurrents. Pour détrôner Apple, Redmond mise sur une nouvelle gamme de produits qui selon Digitimes seront dévoilés lors de sa conférence annuelle Build fin juin. Il s'agirait de plusieurs modèles de Surface de 7 à 9 sous Windows 8.1. C'est en effet la vocation de cette nouvelle mouture de Windows : adresser les terminaux à petits écrans. De son côté, un analyste de NPD DisplaySearch évoque plus précisément une taille de 7,5 pour le plus petit modèle, comme le

10 signalent nos confrères de CNET.com. Il se pourrait en outre que ces tablettes embarquent le tout nouveau processeur Haswell d Intel qui sera disponible début juin. Gravé en 22 nm, il a été pensé pour améliorer l autonomie de façon très significative afin d offrir une autonomie de 8 à 10 heures selon les appareils et les usages. Samsung rachète MOVL et se met au second écran La firme indique avoir racheté une start-up américaine spécialisée dans le développement d'applications de second écran. MOVL a mis sur le marché des jeux permettant l'interactivité entre un mobile et une télévision. L'opération a été réalisée voilà un mois mais Samsung fait désormais état du rachat de la start-up basée à Atlanta, MOVL. Cette dernière propose des applications dites de second écran, faisant la part-belle aux interactions entre l'écran de télévision et celui d'un smartphone ou d'une tablette. Si l'acquisition a été confirmée, notamment auprès de GigaOM, le montant de la transaction reste lui inconnu. Samsung met donc la main sur la société, ses dirigeants mais surtout sur une plateforme de développement d'applications baptisée MOVL Connect. Elle a vocation à simplifier le processus de création de ce type de service. Elle intègre, par exemple, des fonctionnalités permettant à n'importe quel joueur de rejoindre une partie en cours ou même de faire fonctionner une application de second écran sans que le support soit connecté au même réseau WiFi que celui de la télévision. La petite équipe de MOVL (9 personnes) a déjà rejoint les bureaux américains de Samsung. La question est désormais de comprendre comment leurs outils seront intégrés aux services de la firme. Intel officialise Silvermont pour des Atom plus rapides Et l'on reparle d'intel! Alors que la nouvelle micro-architecture répondant au nom de code Haswell du fondeur est attendue pour le début du mois de juin, la marque officialisait hier soir Silvermont. Derrière ce nom de code, se cache l'architecture des prochaines puces Atom basse consommation gravées en 22nm. En soi, l'existence de Silvermont ne constitue pas une nouveauté, puisqu'intel évoque régulièrement le sujet depuis deux ans maintenant. Pas plus d'ailleurs que la finesse de gravure de 22nm retenue pour ces nouvelles puces Atom. On en sait toutefois plus, et de manière officielle, sur l'architecture de ces puces x86 qui va laisser de côté le «In Order» des Atom canal historique pour adopter un mode d'exécution «Out of order». Concrètement cela permet au processeur de réorganiser à sa guide les instructions qui lui arrivent pour optimiser leur exécution. Entre autres nouveautés, Silvermont prendra en charge le 64 bits ainsi que la plupart des jeux d'instructions récents comme les SSE 4.1/4.2 ou l'aes-ni. Et l'habituelle technologie Turbo Boost des puces Intel se trouve ici rebaptisée en Burst 2.0, dans une version spécifique aux Atoms. Des Atoms Silvermont qui pourront compter jusqu'à 4 coeurs d'exécution alors qu'intel ne détaille pas la partie graphique qui devrait pourtant constituer un retour au source puisqu'intel se débarrasserait du circuit Power VR pour proposer un HD Graphics. Au delà des détails techniques, Intel évoque des performances 3 fois supérieures ou une consommation 5 fois inférieure face à la génération actuelle de processeurs Atom. Des chiffres prometteurs, qu'il faudra évidemment vérifier, mais qui attestent des progrès réalisés par Intel sur un Atom vieillissant. Les nouvelles puces à architecture Silvermont devraient se retrouver dans un certains nombres de tablettes dès la fin de l'année notamment sous des formes différentes avec les SoC ou System On a Chip Bay Trail, Avoton, ou Merrifield, ce dernier se destinant aux smartphones. Casetop "laptop" uses your smartphone as its brains Packing powerful processors supported by a healthy amount of system memory and storage, modern smartphones are just like mini computers that can be carried around in your pocket. As a mobile office, however, such devices do have some practical limitations. Even with the relatively large display offered by Samsung's new Galaxy S4, for example, having to use a finger to input text can be a real productivity killer. What's needed is a comfortable physical keyboard and more spacious display real estate. That's precisely what's on offer with the Casetop from Livi Design, a netbook-like LCD panel, keyboard and battery pack combination that uses a smartphone for its computing power. Livi Design was founded in 2010 by John Andrus, and the Casetop is its first product. Currently at the pre-production development stage, it's compatible with any smartphone that sports Bluetooth and a video out option, including the iphone, Blackberry 10 and many Android smartphones (at the m oment, there's no support for Windows phones due to the lack of video out). There's an 11.1 glass-covered LED LCD display that supports 720p video playback (though Full HD and IPS are on the wish list), below which is a full-size (78 keys) island-style keyboard similar to an Apple Bluetooth keyboard that's set in one piece of injectionmolded polycarbonate. The smartphone, which connects to the keyboard via Bluetooth, is held in place out front by a sliding support called the frontbar. Usefully, if someone wants to use your Casetop, all they need do is slide in their smartphone and away they go no risk of deleting your files or downloading questionable content. The frontbars in the current design are passive (they simply hold the smartphone in place) but Livi has plans to extend frontbar functionality in the future with active versions. There's one with a built-in touchpad, another that includes more battery cells, and another still that will cater for wireless video and audio. Casetop benefits from a built-in 56 Wh battery that not only provides power to the device itself, but will also top up your phone's battery so, when you've finished being productive, you can look forward to walking away with a juiced up smartphone. Because there's no power-hungry processor, GPU, spinning disks, or fans, the multi-cell custom battery is said to be good for over 30 hours. Also inside the housing is a dual-lvds controller board manufactured in Shenzhen, China (a smaller version of those you might find

11 in a desktop monitor), but the Casetop only utilizes the interface ports. By supporting HDMI, MHL and micro-usb port standards, Livi sees this product supporting new smartphones for at least the next 10 years. Moving forward, the developers are looking at including a much smaller board that should extend battery life, while also freeing up some room inside. A built-in amplifier throws out audio via 1-watt stereo speakers, and there's one full-size USB charging port to take advantage of the onboard battery pack. Livi has committed to supplying the unit with micro-hdmi, MHL and short HDMI (for iphone) cables, and is hoping to make Casetop's plastic components from environmentally-friendly plastics in the future. After-sales service includes repair of a broken unit for the cost of a damaged part plus US$10 for installation, or you can order the replacement part direct from the company and install it yourself. The open source files needed to 3D-print a replacement frontbar at home have also been released on Thingiverse. Livi Design has launched on Kickstarter to take the latest 3D-printed working prototype into production and beyond. All early bird levels have been snapped up, so backers will now have to pledge at least $250 for a white Casetop and two passive frontbars. If you want a special iphone edition, you'll need to add another $50. Other pledge levels are available for rewards including a black version, and one that's been custom engraved. Should the campaign pass its funding target to the tune of $3 million, Livi plans to include a touchscreen display option. Andrus told us that if the Kickstarter campaign fails to reach its funding goal, Livi will look for partners to help bring Casetop to market. The campaign closes on June 2, and is almost 20 % funded at the time of writing. Have a look at the pitch video below. HP Slate7 disponible en stock à Initialement annoncée pour la fin mai par HP, Topachat.com possède la Slate 7 pour une livraison immédiate. Le retour de HP sur le marché des tablettes tactiles à bas prix se fait donc via la HP Slate 7 que nous vous avions présenté lors du Mobile World Congress A première vue, à 149, il s agit d un bon rapport qualité/prix. Nous avions aimé sa finition de bonne facture et son écran FFS. Topachat.com vient d annoncer via Twitter qu ils avaient la tablette 8Go grise en stock au tarif de 149. D autres marchands proposent également des précommandes pour une livraison la semaine prochaine au plus tôt Hardware features The Slate 7 houses a 1.5GHz Rock CPU and a Mali- 400MP4 quad-core GPU. It comes with 8GB of storage and includes 1GB of RAM. The tablet supports b/g/n Wi-Fi and Bluetooth 2.1 EDR, and it features an accelerometer. There's no GPS hardware and no gyroscope included, however. Conran re-imagines the camera with a big hole The Conran design firm was recently asked to re-imagine an everyday item by BBC Future. Its designers picked the digital camera, and the resulting concept certainly is different. The Conran camera does away with the typical protruding lens and instead features a large hole through the middle, surrounded by an array of small camera sensors. It also lacks an LCD monitor and is instead designed to wirelessly connect to a smartphone. Jared Mankelow, Senior Product Designer for Conran and Partners, says one of the core ideas behind his design for the camera was that it shouldn't act as a barrier between photographer and subject. As such, he decided there should be a large aperture through the center of the camera for framing shots in a more natural (although potentially less accurate) way. This hole is then surrounded by an array of somewhere between 10 and 20 small image sensors like those used in mobile phones which would work together, allowing the camera to "resolve images with incredible clarity." Around the sensor array, there's a ring flash (always popular with macro and fashion photographers) which would allow for lighting close-up subjects. The fact that there's a big hole in the camera also means there's no practical space for an LCD monitor on the rear. But, according to the designer, that's not a problem because we all already carry around high-resolution screens on our mobile phones and tablets and screens are power-hungry anyway. The Conran camera would instead be able connect via Bluetooth and transmit images to your smart device instantly. Alternatively, it could also be used more like a film camera, with shots remaining a mystery until you get home. We love the idea of not viewing your images right away. It brings back some of the excitement of taking your film to the lab, and having to wait to find out what s on it, said Mankelow... who apparently doesn't like to know if everyone in a group-shot has got their eyes open! It's not just the lack of instant gratification which sees the proposed future of cameras hark back to film cameras. Mankelow has drawn from SLRs when it comes to the manual controls, which are located at the top of the camera's rear. All of the manual settings can be controlled by physical controls, rather than the screen-based menus in which they are nowadays often hidden. The bottom 2/3 of the camera have been left as a point-and-shoot with minimal settings. Obviously, concept cameras like the smartphone/interchangeable-lens WIVL and the Timeless Capture rarely make it to store shelves. ere's a quick video from Conran Bientôt la 3D sur nos smartphones sans lunettes! Si nous acceptons assez facilement de mettre des lunettes spéciales pour voir un film en relief au cinéma, il n'en va pas de même pour voir en trois dimensions les images délivrées par notre smartphone. Les travaux réalisés par le centre de R&D de HP à Palo Alto devraient prochainement permettre de voir sans lunettes d'excellentes images en relief sur nos portables et tablettes. Ces chercheurs utilisent un procédé nommé «auto stéréoscopie» qui permet à chaque œil de percevoir une image légèrement différente, de façon à ce que le cerveau puisse reconstruire une image en trois dimensions. Jusqu'à présent, ce procédé était très contraignant et l'utilisateur devait visualiser l'image sous un angle précis pour avoir la sensation de relief. Mais l'équipe de David Fattal a développé un nouveau système d'affichage en relief des images fixes et des vidéos qui contourne cette limitation. Pour parvenir à ce résultat, les scientifiques ont eu recours à l optique diffractive : des diodes électroluminescentes envoient des faisceaux lumineux à travers un réseau de pixels directionnels. Ceux-ci orientent la lumière vers des obturateurs, ce qui permet de produire une image animée en relief. Ce système d'affichage en trois dimensions permet à l'utilisateur de percevoir le relief sur 90 degrés et sous de multiples angles différents. Cerise sur le gâteau, les images en 3D produites sont en haute définition : 127 pixels par pouce.